vendredi 30 septembre 2011

La voiture percute un arbre et prend feu: un mort à Diarville

Ttragique accident de la circulation vers 12 h 30 en Meurthe-et-Moselle près de la commune de Diarville. Un automobiliste de 50 ans qui circulait en direction de Mirecourt a, semble-t-il, perdu le cotrôle de sa voiture à dans une courbe. Le véhicule a traversé la chaussée, l'a quittée et il est allé percuté de plein fouet un platane. La voiture a alors pris feu. Le conducteur n'a pu en réchapper.
Il n'a pas pu être identifié. Son corps est carbonisé et les plaques minéralogiques n'ont pas pu, pour l'instant, être exploitée. L'une a brûlé. L'autre s'est encastrée dans l'arbre.
Le choc a été d'une violence inouïe. La batterie a été projetée à une soixantaine de mètres du lieu d'impact. Aucune trace de freinage n'a été relevée.
D'importants moyens de secours sont mobilisés sur les lieux. La D913 est coupée. Une déviation locale est mise en place.

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2011/09/30/accident-a-diarville-(54)-la-d913-coupee

Un adolescent se fait sectionner deux doigts par une porte

Le drame s'est produit hier matin, dans les toilettes situées au rez-de-chaussée de la Cité de la voile Éric-Tabarly, à proximité du hall d'entrée. Un groupe scolaire de Laillé (35), hébergé au centre nautique de Kerguélen, participait alors à des ateliers pédagogiques au sein de l'établissement, situé à la base des sous-marins de Lorient. Vers 10h, une partie de ce groupe s'est rendue aux toilettes, accompagnée d'un encadrant. C'est là que l'accident est survenu. Alors qu'un garçon âgé de onze ans avait ses doigts dans l'entrebâillement d'une porte, près des gongs, l'un de ses camarades l'aurait malencontreusement refermée. Assez fort pour lui sectionner deux phalanges à la main gauche. Ce sont des membres du personnel des services techniques de la cité qui ont porté les premiers secours. «Nous avons fait ce que nous pouvions en contenant la plaie, explique l'un d'eux. Durant tout ce temps, le jeune a été très courageux, il pleurait à peine. Il est resté conscient. À leur arrivée, les pompiers nous ont dit que nous avions fait ce qu'il fallait, en ne touchant surtout pas à la plaie. Ici, nous sommes tous formés aux premiers secours, c'est une obligation». Évacué sur l'hôpital Bodélio par les pompiers de Lorient, le jeune garçon a ensuite été transféré sur Rennes dans une clinique spécialisée.
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/morbihan/lorient-un-adolescent-se-fait-sectionner-deux-doigts-par-une-porte-30-09-2011-1447761.php

Une quadragénaire décède en prenant un cours de conduite

Un terrible accident de la circulation a coûté la vie à une femme de 45 ans hier après-midi sur la D18, à hauteur du mas Moutou, entre le giratoire de l’autoroute A9 et l’entrée d’Espira-de-l’Agly. La victime prenait des cours afin de pouvoir conduire une 125 cm3.
Collision frontale

Hier, vers 15 h, elle circulait sur un scooter, suivie par la voiture auto-école et en présence de deux autres élèves. Selon les premiers éléments, la conductrice se serait, pour une raison encore indéterminée, déportée sur la voie de gauche dans une grande courbe, percutant de plein fouet un véhicule qui arrivait en face. Les pompiers ont été immédiatement dépêchés sur les lieux. Malgré tous leurs efforts pour la réanimer, la malheureuse, domiciliée sur la commune, a succombé à ses blessures.
Les deux automobilistes, sous le choc, ont été transportés à l’hôpital de Perpignan. La circulation a été coupée dans les deux sens entre Espira et Montpins et une déviation mise en place. Le trafic est revenu à la normale vers 16 h 30. Les gendarmes se sont rendus sur place et ont ouvert une enquête pour déterminer les causes et circonstances de ce dramatique accident.
http://www.midilibre.fr/2011/09/29/lozere-un-homme-tue-a-coups-de-couteau,395523.php

Chaux-du-Dombief : la passagère d'une moto tuée dans un accident

La passagère d'une moto Suzuki immatriculée en Saône-et-Loire est décédée jeudi soir sur la RD678, entre Chaux-du-Dombief et Bonlieu. Le pilote a visiblement perdu le contrôle de son véhicule à hauteur du carrefour d'Ilay, alors qu'il circulait en direction de Lons-le-Saunier.
Il a été blessé dans l'accident et évacué sur l'hôpital de Champagnole. La femme qui se trouvait avec lui a manifestement percuté la glissière de sécurité. Elle est décédée sur le coup. Elle était âgée d'une vingtaine d'années.

http://www.leprogres.fr/actualite/2011/09/29/chaux-du-dombief-la-passagere-d-une-moto-tuee-dans-un-accident

Un bébé meurt après que sa mère soit libérée du centre de rétention pour « traitements inhumains »

Le 21 août, la décision du juge des libertés et de la détention de Lille de faire sortir du centre de rétention de Lesquin une famille de Serbes du Kosovo qui y avait été envoyée par la préfecture du Puy-de-Dôme avait fait grand bruit. Le juge avait en effet libéré la famille rom en invoquant les « traitements inhumains et dégradants » que le couple Bejzaku et ses trois jeunes enfants ont subis au cours de la procédure, de l'interpellation au petit matin à Clermont-Ferrand aux douze heures de voyage imposées jusqu'à l'autre bout de la France.
À son retour à Clermont-Ferrand, le 24 août, la jeune maman, âgée de 30 ans et enceinte de cinq mois, est admise d'urgence au service des grossesses à risques. Elle souffre d'un décollement du placenta. Mercredi 21 septembre, au CHU de Clermont-Ferrand, elle donne naissance à une petite fille. Mais El Medina, c'était son prénom, n'a pas survécu.


Un haut responsable de la préfecture du Puy de Dôme - qui requiert l'anonymat « pour ne plus recevoir de mails désagréables » - affirme que « la situation a été traitée en respectant les règles ». « Nous ne savions pas qu'elle était enceinte » , insiste-t-il, précisant que, puisqu'« il y avait un interprète lors de l'interpellation, elle aurait pu le dire ».
Me Norbert Clément, l'avocat lillois qui a obtenu la remise en liberté de la famille le 21 août, ne décolère pas : « La préfecture du Puy-de-Dôme savait : des pièces dans le dossier le confirment. » Sa grossesse était d'autant plus à risques qu'elle avait fait une fausse couche en février. Malgré tout, « la préfecture a fait descendre un avocat de Paris et lui a demandé d'aller jusqu'à mettre en doute la maternité de ma cliente, alors qu'elle était dans la salle ! », vitupère l'avocat.
« Que la préfecture dise qu'elle ne savait pas, ce n'est pas plausible », juge Alain Turri, médecin clermontois qui a ausculté la parturiente après sa sortie du CHU de Clermont-Ferrand. « C'est une toute petite dame, toute menue. Sa grossesse, elle se voit comme le nez au milieu de la figure », martèle-t-il. Le porte-parole de la préfecture du Puy-de-Dôme affirme le contraire. « Dire qu'une grossesse est visible ou non à ce stade, c'est un domaine sur lequel je ne m'engagerai pas : ce n'est pas une situation objective », estime le fonctionnaire.
Alain de Tonquede, secrétaire général de l'Ordre de Malte, association qui a assisté la famille lors de son passage au CRA de Lesquin, ne croit pas à l'ignorance de la situation par la préfecture. « La politique du chiffre ne justifie pas tout », accuse-t-il, jugeant « choquant qu'à aucun moment de la procédure l'approche humaine n'ait été abordée ». « Ils ont été traités comme des m... », tonne Cécile Buisson, Clermontoise devenue amie intime et principal soutien de la famille Bejzaku. Les documents médicaux attestant de la grossesse de la jeune femme, c'est elle qui les avait rangés « dans un petit porte-document que je lui avais donné : il y en avait un pour l'administratif, l'autre pour sa grossesse ». À force de batailler, Cécile Buisson a obtenu un prolongement jusqu'au 30 septembre de l'hébergement de la famille dans un hôtel, sur des financements du conseil général. Mais pour le porte-parole de la préfecture du Puy-de-Dôme, le couple et ses enfants « sont toujours en situation irrégulière » et « ont vocation à quitter le territoire français ».
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/09/29/un-bebe-meurt-apres-que-sa-mere-eut-ete.shtml

jeudi 29 septembre 2011

Un cadavre lardé de coups de couteaux

Le cadavre d'un homme de 27 ans, lardé de coups de couteaux, a été retrouvé hier soir à son domicile à Aumont-Aubras (Lozère), a-t-on appris de source judiciaire aujourd'hui.

La femme de la victime a découvert son mari décédé à son retour à la maison, tard dans la soirée, selon la même source.

La section des recherches de la gendarmerie de Nîmes a été chargée de l'enquête.

Le procureur de la République de Mende, Samuel Finielz, devait tenir une conférence aujourd'hui en fin d'après-midi.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/29/97001-20110929FILWWW00686-un-cadavre-larde-de-coups-de-couteaux.php

Bousculade en Charente : la mort de Tylane reste inexpliquée

Le décès de la petite Tylane mardi à l'école élémentaire Jean-Moulin de Soyaux reste inexpliqué à l'issue de l'autopsie réalisée hier à l'institut médico-légal de Bordeaux. Selon un communiqué du parquet d'Angoulême, le rapport provisoire des médecins légistes n'a pas relevé de lésions traumatiques de nature à expliquer le décès, ni de malformation cardiaque. Des examens complémentaires ont été demandés par le parquet, mais leur résultat ne devrait pas être connu avant trois semaines.

L'enfant « agresseur » très choqué

Tylane, âgée de 10 ans, est décédée mardi à la mi-journée après avoir reçu un coup de pied au thorax d'un petit garçon de neuf ans, dans la file d'attente de la cantine. « Ce coup ne peut pas avoir causé la mort » répétait hier après-midi le docteur François Nebout, maire de Soyaux. « L'animatrice qui était devant la fillette au moment où elle a reçu le coup de pied assure que ce coup n'était pas violent » précise-t-il. Les résultats de l'autopsie vont donc dans ce sens. « Quand on a annoncé les conséquences de son geste à l'enfant, le choc a été énorme pour lui » confie le procureur d'Angoulême Nicolas Jacquet.
Cet enfant et ses parents ont reçu le soutien de la cellule psychologique mise en place depuis mardi à l'école de Soyaux, tout comme le petit frère de Tylane et ses parents, ainsi que l'équipe de cette école de six classes et 165 élèves.
Tout au long de la journée d'hier, des mamans et des papas ont accompagné leurs enfants auprès des psychologues pour les aider à dépasser ce drame. « L'école doit absolument reprendre normalement ce matin, avec tous les enfants, y compris le petit frère de Tylane et celui qui lui a donné le coup » assure François Nebout.
Les auditions des enfants témoins de ce qui s'est passé, impossibles mardi, doivent débuter aujourd'hui avec des policiers spécialisés dans l'écoute des mineurs.
Hier, des gerbes de fleurs et des dessins d'enfants accrochés sur la grille de l'école en hommage à Tylane témoignaient de l'émotion de tous.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/29/1179383-bousculade-en-charente-la-mort-de-tylane-reste-inexpliquee.html

Incendie à Pantin : "un drame de la misère"

Au moins six morts et trois blessés. C'est le bilan en milieu de journée de l'incendie d'un immeuble passage Roche à Pantin, en Seine-Saint-Denis. Le feu s'est déclaré dans le bâtiment de deux étages vers 6 heures du matin, mercredi 28 septembre. Les pompiers, qui ont pu venir à bout du sinistre vers 7h15, recherchaient toujours vers 12h d'autres victimes potentielles. Ces derniers ont connu quelques difficultés pour avancer dans leur travail car l'immeuble appartenant à la municipalité devait être détruit prochainement pour construire un projet de Zone d'aménagement concerté (ZAC) et était donc muré. Les victimes, des migrants tunisiens, libyens et égyptiens, semble-t-il, y avaient trouvé refuge depuis quelques temps, selon la Préfecture.
Ils semble qu'ils ont été surpris dans leur sommeil et qu'une bougie soit à l'origine du sinistre, expliquent la Préfecture et la mairie de Pantin. L'enquête est toujours en cours. Quatre victimes sont mortes brûlées et deux sont décédées par asphyxie. Mais combien étaient-ils exactement cette nuit dans le squat ? "Vingt-six", selon Philippe Bon, directeur de cabinet du maire de Pantin. "Une trentaine", selon la Préfecture. "Quinze", selon Omar Saïd interrogé par le "Nouvel Observateur" , rescapé du sinistre âgé de 20 ans et qui a pu s'échapper avant que le feu ne se propage davantage. Selon lui, ce sont de nombreux livres sur lesquels étaient posées des bougies qui ont pris feu lorsque cinq d'entre elles sont tombées, enflammant rapidement la bâtisse.
"Où est la solidarité ? "
Originaire d'Egypte, Omar Saïd explique avoir rejoint la France il y a trois ans, après être arrivée en Europe par l'Ile de Lampedusa. Si lui dormait dans l'immeuble du passage Roche depuis un peu plus d'une semaine, il affirme que ses compagnons d'infortune l'occupaient depuis environ trois mois. La mairie affirme de son côté que le squat lui a été "signalé très récemment" selon Phillipe Bon. "Les services de la mairie étaient sur le dossier depuis quelques jours ", assure Nathalie Berlu, adjointe chargée de la culture à Pantin. Cependant, plusieurs voisins affirment que des lettres ont été envoyées à la mairie il y a plus de deux mois pour leur signifier que l'immeuble était occupé.
Des riverains rassemblés autour du cordon de police laissent éclater leur colère. "Ils (les migrants) sont venus pour tenter de trouver un meilleur avenir et ils n'ont rien trouvé", tempête Savah, 25 ans. "Où est la solidarité promise avec les printemps arabes ?, interroge une de ses amies, on les traite comme des chiens". "On a laissé crever des travailleurs immigrés", a dénoncé, "indignée", Harmonie Bordes, une habitante de Pantin à l'AFP. Selon plusieurs voisins, certains des migrants du squat dormaient auparavant dans un parc près de la Villette, avant d'en être chassés.
Des filières criminelles ?
Que va-t-il se passer pour eux désormais ? Interrogée sur le devenir de ces migrants, la préfecture de Seine-Saint-Denis affirme qu'il est trop tôt, que la question se posera dans un second temps. Plusieurs rescapés sont actuellement entendus par la police dans le cadre de l'enquête, comme l'a confirmé la police sur place au "Nouvel Observateur". Omar Saïd, lui, sait simplement qu'il va dormir dehors cette nuit, près de la gare de la Lyon, à Paris.
Le ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, a dénoncé les "filières criminelles de l'immigration irrégulière", Claude Bartolone, le président PS du conseil général de Seine-Saint-Denis, a évoqué lui un "nouveau drame lié au manque de places en hébergement d'urgence". Pour Nathalie Berlu, adjointe chargée de la culture à Pantin, qui n'exclut pas complètement l'hypothèse de Claude Guéant, le véritable responsable du sinistre reste la politique du gouvernement qui pousse "les gens à errer". "C'est un drame de la misère", conclut-elle.
De son côté, l'association Droit Au Logement exige que les sinistrés soient "relogés décemment, et régularisés, comme il se doit après un tel drame, d’une part pour des raisons humanitaires, évidentes pour tout le monde, d’autre part parce que ces incendies sont la conséquence de l’incapacité des pouvoirs publics en matière de lutte contre la crise du logement".
http://rss.nouvelobs.com/c/32262/f/493634/s/18ea8912/l/0Ltempsreel0Bnouvelobs0N0Cactualite0Csociete0C20A110A9280BOBS12440Cincendie0Ea0Epantin0Eun0Edrame0Ede0Ela0Emisere0Bhtml/story01.htm

mercredi 28 septembre 2011

Une employée se suicide dans la salle des coffres de la Trésorerie

Une femme employée à la Trésorerie générale d'Auch s'est suicidée hier, en début d'après-midi, dans la salle des coffres de l'édifice. Décrite comme un agent assidu au travail, il ne lui était connu ni conjoint ni enfants par son entourage professionnel.
Hier, une fonctionnaire de la Trésorerie générale d'Auch s'est suicidée dans la salle des coffres, à l'abri des regards de ses collègues. Le bâtiment a immédiatement été fermé au public jusqu'à la fin de la journée.
Dès 14 h 15, la rue Gambetta qui jouxte la Maison de Gascogne a été envahie de véhicules de police et de camions des sapeurs-pompiers. En cause, le décès d'une femme, employée comme caissière depuis plusieurs années à la Trésorerie générale. L'agent, dont le corps a été retrouvé dans la salle des coffres, se serait suicidé en se tirant une balle dans la tête. Elle s'était enfermée au préalable dans cette salle en verrouillant la porte blindée. Les policiers, prompts à se rendre sur les lieux, ont mis un long moment avant de pouvoir parvenir jusqu'à elle. Ce sont ses collègues qui, ne la trouvant pas, ont prévenu les forces de l'ordre. Ils ont d'abord pensé qu'elle était allée faire un tour. Mais ne la voyant pas revenir, ils se sont rapidement inquiétés.
Le suicide aurait eu lieu en tout début d'après-midi, un peu avant 14 heures.

Une femme discrète

La Trésorerie générale auscitaine, qui compte une quarantaine de fonctionnaires, employait cet agent depuis plusieurs années. Elle était réputée discrète par ses collègues, qui ne lui connaissaient ni conjoint ni enfants. Son entourage professionnel loue volontiers son assiduité au travail, mentionnant du même fait qu'il est, à leur sens, peu crédible que l'employée se soit suicidée dans son service pour protester contre les conditions dans lesquels elle exerçait son métier. Selon l'AFP, la victime aurait été affectée par le suicide récent du docteur Cassiède, médecin condomois qu'elle connaissait, et dont le corps avait été retrouvé le 20 septembre dernier.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/28/1178415-auch-elle-se-suicide-dans-la-salle-des-coffres.html

GB: un des deux mineurs retrouvé mort

Un mineur coincé sous terre a été retrouvé mort mardi dans le Yorkshire (nord de l'Angleterre), tandis que le deuxième homme également pris au piège a été retrouvé sain et sauf par les secours, a annoncé la société exploitant la mine, UK Coal.
Cet incident à la mine de Kellingley survient onze jours après la mort de quatre mineurs, pris au piège dans une houillère du Pays de Galles après l'effondrement d'un mur de soutènement.

Le service des ambulances du Yorkshire avait indiqué avoir envoyé des équipes de secours dans cette mine située près de la ville de Knottingley, après un appel d'urgence à 16h51 (17h51 en France).

La mine, exploitée par la société privée UK Coal, est la plus grande encore en fonctionnement dans le Yorkshire. Ses deux puits principaux vont jusqu'à 800 mètres de profondeur.

Aujourd'hui, seules quelques mines sont encore en activité au Royaume-Uni, après un déclin de cette industrie dans la seconde moitié du XXe siècle.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/27/97001-20110927FILWWW00825-gb-un-des-deux-mineurs-retrouve-mort.php

Accident mortel de Lille-Sud : le conducteur de la Clio revenait de boîte de nuit

Le Lillois interpellé vers 6 h, après l'accident qui a coûté la vie à un jeune homme de 19 ans, rue du Faubourg-des-Postes à Lille-Sud, devrait être présenté aux magistrats cet après-midi.

Le suspect a reconnu avoir été au volant de la Clio qui, peu après 5 h 30 lundi, s'est encastrée contre un camion de nettoyage de la Propreté de Lille, tuant son passager. Il a toutefois nié avoir roulé à une vitesse excessive.
Les deux hommes revenaient d'une boite de nuit du secteur Masséna Solférino, où ils auraient bu l'équivalent d'une bouteille d'alcool fort. Lors de son interpellation, le suspect présentait un taux d'alcoolémie d'un peu plus d'un gramme par litre de sang. Il était déjà connu pour des infractions routières.
Du coup, parallèlement à l'enquête sur l'accident proprement dit, les policiers vont également s'intéresser à l'établissement de nuit d'où sortaient les deux garçons et vérifier dans quelles conditions le conducteur a pu boire autant d'alcool et reprendre ensuite le volant. Une demande de sanction contre la boîte de nuit est envisagée.
http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Metropole_Lilloise/2011/09/27/article_accident-mortel-de-lille-sud-le-conducte.shtml

mardi 27 septembre 2011

Une fillette meurt, bousculée à la cantine

Une fillette de dix ans est morte mardi midi dans une école de Soyaux (Charente) des suites d'un coup reçu au thorax après une bousculade dans la file de la cantine, a-t-on appris auprès du procureur de la République à Angoulême, Nicolas Jacquet. La petite fille a reçu un coup de pied au thorax porté par un autre enfant,  un garçon de neuf ans, à la suite semble-t-il d'une bousculade dont il l'aurait  rendue responsable, a-t-il indiqué à l'AFP, confirmant une information de LCI et de la Charente libre.

Le drame s'est produit à l'école Jean Moulin. Alors que les enfants étaient en rang deux par deux, "une bousculade involontaire", selon les premiers éléments de l'enquête, s'est produite dans la file d'attente. Dans ce qui ressemble à "un coup-réflexe", selon le procureur, le garçon a donné un coup de pied au thorax d'une des fillettes présentes. Elle s'est aussitôt effondrée au sol.

Les secours arrivés rapidement sur les lieux lui ont prodigué des massages cardiaques pendant près de trois quarts d'heure, mais l'enfant est morte à 13h40. Le procureur a ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes du décès, et ordonné une autopsie. Il a par ailleurs demandé à une association d'aide aux victimes de prodiguer des soins psychologiques à la famille et aux témoins. Le jeune garçon était entendu par la police mardi après-midi.


Une gendarme met fin à ses jours dans son logement à la caserne Delfosse

Une femme gendarme âgée de 30 ans a mis fin à ses jours en utilisant son arme de service. Cette dernière, qui était en poste à la brigade d’Irigny, ne s’était pas présentée à son travail samedi matin. Elle ne répondait pas non plus aux appels de collègues venus taper à la porte de son logement situé à la caserne Delfosse de la rue Bichat, tout près de Perrache, qui est le siège du groupement de gendarmerie du Rhône. Inquiets, les gendarmes décident de pénétrer dans son logement et font alors la terrible découverte. Les constats ont été effectués en présence du parquet qui s’est immédiatement rendu sur place.
On ignore encore les raisons qui ont pu pousser la jeune femme à commettre l’irréparable.

http://www.leprogres.fr/rhone/2011/09/27/une-gendarme-met-fin-a-ses-jours-dans-son-logement-al-a-caserne-delfosse

Marseille: une adolescente agresse sa compagne de 16 ans à l'arme blanche

Une jeune fille de 17 ans a été placée lundi soir en garde à vue à la brigade criminelle de la Sûreté départementale des Bouches-du-Rhône après une tentative de meurtre sur son amie de 16 ans, dans le métro de Marseille, inspirée semble-t-il par des motifs sentimentaux.

Selon les premiers éléments, une violente rixe a opposé, lundi vers 19 heures, l'adolescente à sa compagne sur les quais du métro Rond-Point du Prado (8e arrondissement). La querelle amoureuse s'est terminée par deux coups de couteau dans le flanc de la plus jeune, qui a été transportée par les marins-pompiers à l'hôpital dans un état sérieux. Les médecins estimaient mardi matin que le pronostic vital n'était désormais plus engagé. L'adolescente en fuite dans un premier temps, s'est rendue à la police. C'est la jalousie qui serait à l'origine de ce drame, la victime ayant noué une nouvelle liaison avec une de ses amies à l'insu de sa jeune amante.


http://lci.tf1.fr/filnews/france/marseille-une-adolescente-poignarde-sa-compagne-de-16-ans-dans-6729011.html

Drame familial: triple noyade dans les eaux d’une rivière

Trois membres d’une même famille se sont noyés en voulant sauver deux enfants tombés dans la rivière Wapishish, au nord de Saint-Fulgence, au Saguenay-Lac-Saint-Jean.
Deux garçons de six et huit ans jouaient avec un canard de chasse près du cours d’eau vers 18 h, samedi, quand l’appât en plastique est tombé dans la rivière. Ils ont voulu le rattraper en sautant à l’eau et ont été emportés à leur tour par le courant.
Les pères des deux enfants, Dominic et Benoît Dassylva, se sont alors jetés dans la rivière pour secourir leur fils.
« C’est le principe de l’enfant qui court après le ballon. Quand c’est ton enfant, tu te poses zéro question » a raconté le policier Giovanni Grenon.
Le père du jeune de huit ans a réussi à extirper son fils de la rivière, mais voyant que son frère Benoît et son neveu étaient toujours en difficulté, il s’est ensuite porté à leur secours.
Dans la panique, la mère du garçon de six ans, Nathalie Chouinard, a également sauté à l’eau.
C’est finalement l’autre maman, restée sur la rive, qui est allée chercher un gilet de sauvetage. Elle a pu le lancer au petit garçon en détresse et le sauver.
Les deux enfants étaient sains et saufs, mais les trois adultes manquaient à l’appel. La SQ a donc été appelée sur les lieux. Après quelques heures de recherche, le corps de la mère de famille a été récupéré en bordure de la rivière.
C’est Giovanni Grenon qui a découvert les corps à proximité du chalet familial vers 6 h 40, dimanche.
« C’est difficile pour nous, c’est moi qui ai retiré les deux frères de l’eau ce matin (dimanche), et hier (samedi), c’est moi qui suis allé chercher la dame aussi. C’est incroyable, c’est inhumain », a raconté le policier, des sanglots dans la voix.
Le plus jeune des enfants, aujourd’hui orphelin, demandait à voir ses parents, a poursuivi le policier. « Il disait : papa il est où? 20 minutes après, je trouvais sa mère. Ça fend le cœur ».
Les trois victimes, originaires Chicoutimi, étaient toutes dans la trentaine. Les deux couples possédaient un chalet à la pourvoirie Wapishish depuis plusieurs années.
L’identité des trois victimes devrait être rendue publique lundi matin, lorsque les policiers seront parvenus à rejoindre tous les membres de la famille, qui étaient pour la plupart partis à la chasse toute la fin de semaine.
Une grande famille de chasseurs endeuillée
Assistés d’ambulanciers, des policiers sont retournés dans la Zec Martin-Valin, près de Saint-Fulgence, dimanche matin, pour trouver Régis Dassylva et lui annoncer la mort de ses deux fils, Benoit et Dominic.
Il était parti à la chasse sur une île située à une trentaine de kilomètres de l’endroit où s’est joué le drame. Les policiers, qui ont eu la lourde tâche d’annoncer la triste nouvelle, ont dû faire preuve de doigté en raison de l’état de santé précaire de l’homme qui avait déjà subi un triple pontage coronarien.
« Ç’a été long parce qu’on ne voulait pas qu’il fasse une crise de cœur sur l’île, là-bas », a raconté le policier Giovanni Grenon.
M. Dassylva a reçu la nouvelle avec beaucoup de difficulté, mais il a pu rejoindre le reste de sa famille rapidement grâce à l’aide des policiers.
Une famille de chasseur
D’autres membres et proches de la famille partis à la chasse dans le même secteur ont appris la nouvelle, tard dimanche soir.
L’oncle des deux des victimes, Michel Dassylva s’est rendu immédiatement au chalet de ses neveux pour se recueillir, mais aussi pour sécuriser l’endroit laissé sans surveillance après le drame.
« Toute la famille est sous le choc, c’est une tragédie familiale », a dit la cousine des victimes, Fanny Dassylva.« La chasse est terminée cette année, oublions ça », a lancé Jean-Claude Bouchard, un autre membre de la famille, incapable de retenir ses larmes.
http://lejournaldemontreal.canoe.ca/journaldemontreal/actualites/faitsdiversetjudiciaires/archives/2011/09/20110926-045724.html

lundi 26 septembre 2011

Montpellier: un élève tente de se suicider dans son lycée

L'adolescent, scolarisé au lycée Mendès-France, souffre de nombreuses fractures, mais ses jours ne sont pas en danger. 
Un élève de seconde a tenté de se suicider ce lundi en se jetant du 2e étage de lycée Pierre-Mendès-France de Montpellier,. Il souffre de multiples fractures, mais sa vie n'est pas en danger, selon l'inspection académique de Montpellier.
L'élève de seconde s'est défenestré à 8H15, sous les yeux d'un agent du lycée, qui n'a rien pu faire. L'adolescent a été hospitalisé, grièvement blessé.
Les raisons de son geste ne sont pas connues, mais l'inspection académique a précisé qu'il était déjà suivi sur le plan psychologique.
Aucun élève de l'établissement n'aurait été témoin de cette tentative de suicide. L'inspection académique a ouvert une enquête pour comprendre les raisons de ce geste.
http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/montpellier-un-eleve-tente-de-se-suicider-dans-son-lycee_1034183.html

Lille : Un mort lors d'un accident entre une voiture et un camion de la Propreté de Lille

Ce matin, peu après 5 h 30, une Clio a percuté à vive allure un camion-balayeuse de la Propreté de Lille, qui intervenait rue du Faubourg-des-Postes à Lille-Sud, face à une agence de la Poste. L'accident, spectaculaire, a fait un mort, le passager de la voiture âgé de 19 ans. Il a été désincarcéré.


Les pompiers ont également porté secours à deux personnes choquées, a priori les deux agents de la Propreté de Lille, qui ont découvert la victime et appelé immédiatement les secours.
Le conducteur de la voiture, lui, a pris la fuite mais a été retrouvé peu après et interpellé par la police dans le secteur des 400 maisons. Il a été placé en garde à vue.
Le conducteur, qui était en état d'ivresse, est âgé d'une vingtaine d'années. Les deux jeunes sont originaires de Lille-Sud. Ce matin, la famille de la victime doit recevoir la visite des élus lillois.
La rue est restée en partie fermée jusqu'à 9 h. Selon la ville ce matin, le camion-balayeuse qui était en intervention, roulait lentement avec ses gyrophares
http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Metropole_Lilloise/2011/09/26/article_lille-un-mort-lors-d-un-accident-entre-u.shtml

Bébé défenestré : la mère déclarée "irresponsable"

Une contre expertise médicale conclut à « l'irresponsabilité totale », de Cécile B., cette jeune maman accusée d'avoir défenestré son nourrisson, le 26 août 2010, à Toulouse.
C'est une pièce majeure du dossier qui pourrait signer la fin d'une affaire aussi effroyable que dramatique. Un an après la mise en examen pour meurtre aggravé de Cécile B, cette jeune maman qui avait défenestré du huitième étage de son appartement son bébé de 15 jours, le 26 août 2010, allées Jean-Jaurès, à Toulouse, deux experts psychiatres concluent à « l'irresponsabilité totale », de la jeune femme. Dans cette contre expertise réalisée à la de mande du parquet, Jean-Michel Masson et le professeur Brion considèrent qu'au moment des faits, le discernement de Cécile B, alors âgée de 34 ans, et le contrôle de ses actes étaient « totalement abolis. » Ces conclusions arrivent six mois après une première expertise médicale affirmant que la jeune femme n'était pas accessible à une sanction pénale. Depuis plus d'un an, Cécile B. est détenue en unité psychiatrique. « Dans un système pénal où la liberté est la règle et la détention l'exception, cette femme aurait dû être remise en liberté tout de suite », réagit l'avocat de la jeune mère, Me Simon Cohen. Et d'ajouter : « On savait depuis l'origine que cette femme n'était pas responsable de son acte. Mais malheureusement, la réaction répulsive suscitée par les faits l'a emporté sur l'analyse objective de la maladie psychiatrique de cette personne. » Selon les médecins, Cécile B., suivie médicalement depuis 2004, souffre d'une « décompensation psychiatrique majeure. » Sans avoir eu connaissance de ce dernier rapport, l'avocat de la jeune femme a déposé une énième demande de remise en liberté. Elle devrait être examinée dans les prochains jours. L'instruction de cette affaire dramatique se poursuit. « Le dossier n'est pas pour autant terminé, relève le procureur de la République, Michel Valet. Mais cette seconde expertise peut accélérer les choses », conclut-il.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/26/1176489-bebe-defenestre-la-mere-irresponsable.html

Deux morts dans un accident de la route

Deux jeunes gens de 20 et 21 ans ont été tués dans un accident, ce matin vers 4 h 40, route de Corbeyssieu, sur la D163 entre Frontonas et Saint-Marcel-Bel-Accueil. Le véhicule a quitté la route dans un virage à droite, avant de s'encastrer dans un poteau électrique en béton. Les deux garçons originaires de La Verpillière et de Grenay, le conducteur et le passager arrière, sont probablement morts sur le coup. La passagère avant, une jeune fille de 20 ans, n'a été que légèrement blessée. Mais elle a été retrouvée en état de choc par les gendarmes de la brigade de Crémieu, chargés de l'enquête, et transportée à l'hôpital de Bourgoin-Jallieu.

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2011/09/25/deux-morts-dans-un-accident

dimanche 25 septembre 2011

24H du Mans moto : un spectateur se tue en chutant des tribunes

Un spectateur de 22 ans, originaire de la Haute Vienne, a trouvé la mort dimanche à l'occasion des 24 heures du Mans moto au Mans, lors d'une chute d'une dizaine de mètres de hauteur, depuis les tribunes, a-t-on appris auprès de l'Automobile club de l'ouest (ACO) et du parquet.

Le jeune homme est tombé vers 1h20 du matin au-dessus des stands depuis le bord d'une tribune. Il a été transféré à l'hôpital où il est décédé peu après, a-t-on indiqué de mêmes sources. Selon les premiers éléments de l'enquête, la chute serait accidentelle.


http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/24h-du-mans-moto-un-spectateur-se-tue-en-chutant-des-tribunes-6727732.html

Émotion après la découverte du corps d'un alpiniste toulousain

Prisonnier des glaces depuis le 22 mai, le corps de Pascal Brisset, ce Toulousain de 43 ans, membre du comité directeur du Club alpin français (Caf), a été retrouvé jeudi par les gendarmes du PGHM de Pierreffite, dans les Hautes-Pyrénées. « C'est un soulagement pour sa famille et ses proches, témoigne, Jean Le Corre, l'un de ses amis. Pascal était un homme incroyablement intelligent et très discret dans la vie. Il avait fait la traversée des Pyrénées à ski, un exploit dont il ne s'était jamais vanté. » Chercheur à l'École nationale de l'aviation civile (Enac), à Toulouse, Pascal Brisset a travaillé sur des modèles de drone, son autre passion après l'alpinisme. Il consacrait aussi beaucoup de son temps à la formation des jeunes au sein du Caf. Le 22 mai, Pascal Brisset participait à un stage de sécurité sur glacier. Avec ses compagnons, il devait passer la nuit au refuge des Oulettes de Gaube. Lors de l'accident, un pont de neige avait alors cédé. Les secours s'étaient rendus sur place par hélicoptère pour tenter d'atteindre et de dégager la dépouille. En vain.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/25/1175807-emotion-apres-la-decouverte-du-corps-d-un-alpiniste-toulousain.html

Les quatre membres de la familles étaient morts depuis près de trois semaines

Comprendre. C’est l’idée qui revient sans cesse à l’esprit, au lendemain de la découverte par la police d’une famille décimée, vendredi vers 18 heures, dans un appartement de Bagnols-sur-Cèze
Pourquoi un homme d’une trentaine d’années aurait-il assassiné son ex-compagne et deux enfants en bas âge, dont un enfant du couple de 2 ans ? Le commissariat de Bagnols, mandaté par le parquet de Nîmes sur cette terrible affaire, tente d’établir les circonstances et surtout le mobile qui a conduit à l’irréparable.

Le parquet de Nîmes a demandé l’autopsie des quatre corps pour déterminer avec exactitude les causes de la mort. Si des traces d’impact de balle ont été découvertes sur les corps de l’homme et des deux enfants - la petite-fille de 5 ans et le petit garçon de 2 ans -, la femme n’en portait visiblement pas. Ce qui laisse penser à une mort par étouffement. Mais cela reste à vérifier. Il faudra aussi démontrer que l’arme - qui ressemble à une arme de collection - retrouvée sur place, a bien servi au père de famille pour commettre le crime.
En parallèle, des expertises ADN ont également été demandées afin de confirmer l’identité des victimes. Et vérifier qu’elles correspondent à celles des personnes recherchées, depuis début septembre par la police de Bagnols, dans le cadre d’une enquête pour disparition inquiétante. S’il s’agit bien de la famille en question, la mort des quatre personnes pourrait remonter à la nuit du 5 au 6 septembre.
Les enquêteurs ignorent encore si le couple était séparé ou bien divorcé, mais une chose semble certaine : "Il y avait un litige au sein du couple au sujet des modalités de garde du petit garçon", indiquait hier le vice-procureur de Nîmes, Eric Emmanuelidis, en charge du dossier.
La femme âgée de 38 ans, mère de trois enfants (les deux retrouvés sans vie vendredi, ainsi qu’un adolescent vivant avec son père dans une autre ville), serait d’ailleurs venue récemment plusieurs fois au 12 rue Saint-Victor, chez son ex-compagnon, pour aborder les questions liées aux enfants. Est-ce la garde du petit dernier qui a fait basculer la famille dans le drame ? L’enquête se poursuit.
http://www.midilibre.fr/2011/09/24/bagnols-morts-depuis-pres-de-trois-semaines,392836.php

samedi 24 septembre 2011

Un Lyonnais de 18 ans agresse ses parents à l'arme blanche...la mère est décédée

Un jeune homme de 18 ans a frappé ses parents de plusieurs coups de couteau dans la nuit de vendredi à samedi à Lyon, blessant mortellement sa mère dans son "accès de folie", a-t-on appris de source policière. Le drame s'est produit vers 0h40 au domicile familial, dans le 6e arrondissement de Lyon, où le jeune homme résidait avec ses parents, tous deux sexagénaires. La mère est décédée de ses blessures peu de temps après son arrivée à l'hôpital. Le pronostic vital du père, qui a reçu lui aussi plusieurs coups de couteau, n'est pas engagé, a précisé la police. Le jeune homme, interpellé peu après les faits à proximité du domicile familial, a été placé en garde à vue, selon la même source.

Drame du Cap-Sizun : La mère toujours à l'hôpital

Le 15septembre, des promeneurs découvraient les corps inertes d'une mère et de ses deux enfants, au petit matin, non loin de la pointe du Van (Cléden-Cap-Sizun). Seule la femme de 36 ans avait pu être secourue. Elle avait été transportée dans un état critique au centre hospitalier de Brest. Plus d'une semaine après la mort des garçons de 4 et 9 ans, le parquet de Quimper s'est dessaisi de l'affaire, jeudi soir, au profit de celui de Brest, en charge des affaires criminelles. La conséquence d'une possible ouverture d'une information judiciaire pour double infanticide.

Coma artificiel

«La jeune femme est sortie du coma. Mais face aux soins, les médecins ont décidé de la plonger dans un coma artificiel», expliquait, hier, Éric Tuffery, procureur de la République de Quimper. Et de préciser: «La question des séquelles neurologiques ou cérébrales reste posée». Une fois réveillée, une expertise médicale devra permettre de décider ou non d'une audition de l'institutrice, soupçonnée d'avoir donné la mort à ses deux garçons. Une première mesure de garde à vue qui pourrait se dérouler dans les locaux du centre hospitalier de Brest.

Pas de lithium

Du côté de l'enquête, la piste de l'endettement est toujours privilégiée. «Plusieurs milliers d'euros ont été empruntés. Elle avait demandé de l'argent à des prochespour les rembourser», poursuit Éric Tuffery. Les enquêteurs de la brigade de recherches de Quimper et ceux du commissariat duMans ne sont toujours pas parvenus à savoir à quelle fin cet argent a été utilisé. Seule certitude, les recherches toxicologiques menées sur les corps des petites victimes ont écarté l'intoxication au lithium, un temps évoqué. Des analyses complémentaires doivent permettre de confirmer si les enfants ont été drogués avant d'être asphyxiés par les fumées. Celles d'un feu de papier fatal, allumé sur le tableau de bord du véhicule.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/drame-du-cap-sizun-la-mere-toujours-a-l-hopital-24-09-2011-1440927.php

Un pêcheur retrouvé mort

A 21 h 40 hier soir, l’épouse d’un homme, sorti pêcher à 15h00, a donné l’alerte au sémaphore de Saint-Cast-le-Guildo car ce dernier n’est toujours pas rentré et n’a donné aucune nouvelle.
L’homme de 59 ans est sorti seul à bord de sa vedette de 5.60 mètres le Brave heart. Aussitôt informé le centre opérationnel régional de surveillance et de sauvetage (CROSS) Corsen a mis en oeuvre les vedettes SNSM de Saint-Cast-le-Guildo et de Lancieux ainsi que l’hélicoptère de la sécurité civile basé à Granville.

A 23 h 15, l’hélicoptère a repéré l’embarcation dans les rochers à proximité du Fort la Latte. Le survol de la zone permettra de découvrir le corps du pêcheur qui sera treuillé sur la côte et pris en charge par une équipe des pompiers qui ne pourra que constater son décès. Il ne portait ni gilet de sauvetage ni vêtement à flottabilité intégrée (VFI).
http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/fort-la-latte-22-un-pecheur-retrouve-mort-23-09-2011-1440592.php

vendredi 23 septembre 2011

Vézelois (90) : un enfant renversé en descendant du bus scolaire

Un enfant de 12 ans a été renversé jeudi en fin de journée par une voiture à Vézelois (Territoire de Belfort). L'accident s'est produit alors que l'écolier venait de descendre du bus scolaire. Selon les premiers éléments, à confirmer, il se serait engagé rapidement sur la chaussée. Il a alors été percuté par une voiture qui ne l'aurait pas vu en raison justement de la présence du bus. Le choc a été violent. L'enfant a été sérieusement blessé. Il souffre notamment d'un traumatisme crânien.

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2011/09/23/vezelois-(90)-renverse-en-descendant-du-bus-scolaire

Double infanticide dans le Finistère : encore beaucoup d’interrogations

Huit jours après avoir été retrouvée inconsciente dans une voiture auprès de ses deux enfants morts, une institutrice du Mans est toujours dans le coma. « Elle s’était réveillée. Mais les médecins ont dû la replonger dans un coma artificiel pour les besoins des soins », explique Eric Tuffery, le procureur de la République de Quimper. Vu la situation, la femme n’a toujours pas été entendue. Et l’enquête est au point mort.
4 et 9 ans
Jeudi 15 septembre, un passant découvre une voiture garée sur le parking de la pointe du Van, à Cléden-Cap-Sizun (Finistère). Dans le véhicule fermé, deux garçons sarthois de 4 et 9 ans, décédés. Et leur mère, âgée de 36 ans, inconsciente, mais vivante.
Tout laisse penser à un double infanticide, suivi d’une tentative de suicide. La femme aurait tenté de mettre le feu à la voiture en allumant des papiers sur le tableau de bord. L’autopsie des enfants a conclu à une mort par asphyxie.
Où est passé l’argent ?
Pourquoi cette femme aurait-elle tué ses enfants ? Les enquêteurs continuent de privilégier la thèse de grosses difficultés financières. « Elle avait contracté des emprunts, poursuit le procureur de Quimper. Le problème, c’est qu’on ne sait pas ce qu’elle a fait de l’argent. C’est l’interrogation. Elle ne semblait pas mener grand train. Tout ça n’est pas très clair. »
Pourquoi, par ailleurs, venir du Mans jusque dans le Finistère ? Là encore, pas de réponse. « Je pense qu’elle a dû aller au plus loin, hasarde le procureur. Elle n’a en tout cas aucune attache dans le Finistère. »
Risque de séquelles
Hier, le parquet de Quimper s’est dessaisi de l’affaire au profit du parquet de Brest pour des raisons pratiques, la femme restant hospitalisée en soins intensifs dans un hôpital brestois. Le parquet de Brest attend qu’elle puisse être entendue. Dans l’incertitude : « Il y a un risque de séquelles. Et il y aura un travail d’expertise concernant sa capacité à être jugée », souligne le procureur de Quimper.

La jeune Hongroise n'a pas survécu à ses brûlures

Brûlée grièvement dans l'incendie de la rue Lisbonne à Agen, Kitti Kovàcs est décédée à l'âge de 22 ans, mercredi soir, à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux.
Transportée dans un état critique au service des grands brûlés de Bordeaux, Kitti Kovàcs n'a malheureusement pas survécu à ses lésions. Plongée dans le coma, cette jeune Hongroise de 22 ans venue dans le cadre d'un échange caresser le rêve d'une formation en cuisine, est décédée mercredi soir, à 22 heures, à l'hôpital Pellegrin, après avoir vécu le martyr dans son appartement en feu de la résidence Pradines à Agen le 16 septembre au matin. Un incendie criminel allumé au rez-de-chaussée par un Agenais de 34 ans en proie à des troubles psychiatriques ce jour-là au point d'être interné. Un départ de feu qu'il a pris soin d'attiser avec une bouteille de gaz embrasant l'immeuble et piégeant dangereusement la cage d'escalier. Brûlé au niveau des jambes, Le petit ami de la victime, qui hurlait sa douleur le matin des faits et était sur le point de se jeter dans le vide, est toujours hospitalisé sur Agen. Il a appris hier matin la triste nouvelle. La victime s'apprêtait à regagner la Hongrie. Son apprentissage achevé et les dernières formalités réglées, elle avait rendez-vous avec le propriétaire de son logement lundi pour un état des lieux avant de rendre les clés. Sa famille est arrivée le week-end dernier en France, dans un premier temps pour faire le point sur son état de santé jugé très alarmant, voire précaire. Des proches qui sont hébergés chez des connaissances à Agen. Notamment sa sœur jumelle Aliz, une cousine également en stage dans la région, ainsi que les deux beaux-frères de Kitti. Sa mère et son beau-père devraient arriver dans les prochains jours dès que la levée du corps sera autorisée par le parquet. Les proches de ce jeune couple ont été reçus hier à l'hôtel de ville par le député maire Jean Dionis du Séjour qui tenait à adresser en personne ses condoléances à cette famille éprouvée par ce drame injuste et terrible.

Rapatriement du corps

Le directeur de cabinet du maire, David Rauscent, avait pris attache dès le matin avec les services du consulat et de l'ambassade en vue du rapatriement de la dépouille de Kitti Kovàcs. La mairie a assuré la famille de son soutien dans cette douloureuse démarche : le retour à sa terre d'origine. Alors qu'elle était venue chercher la promesse d'un avenir meilleur, en une fraction de seconde, sa vie s'est heurtée au déséquilibre d'un homme. Une information judiciaire va être ouverte sans tarder par le parquet qui, hier soir, ne s'était pas encore prononcé sur la qualification : homicide involontaire ou destruction par incendie ayant entraîné la mort ? La question centrale de la responsabilité pénale ou non de l'auteur présumé va être posée. Dans cette logique, une expertise psychiatrique devrait être ordonnée.

« Ne plus se retrouver dans cette situation »

L'élu à la sécurité, André Gounou, est en colère : « C'est une mort que je ne veux pas accepter. Nous ne devons plus nous retrouver dans cette situation demain ». Et de souhaiter qu'une réflexion municipale de fond s'engage sur la cohabitation des personnes en situation de fragilité en milieu ouvert, au sein d'un habitat collectif. Une mixité pouvant conduire à des drames comme celui-ci. « L'encadrement social doit jouer pleinement son rôle avec une veille plus exigeante ».
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/23/1174389-agen-la-jeune-hongroise-n-a-pas-survecu-a-ses-brulures.html

Un autre drame conjugal à Alfortville

Un second drame conjugal touchant un policier s’est déroulé dans le département, peu après celui de Chevilly. Là encore, c’est une histoire de cœur qui est à l’origine du suicide de ce fonctionnaire, âgé de 36 ans et affecté au réseau ferré de la gare de Lyon, à Paris. L’homme était plongé dans la tourmente d’une rupture avec sa concubine, elle aussi fonctionnaire de police.
Une séparation qu’il vivait mal puisqu’elle avait été contrainte de déposer plainte contre l’homme qui ne cessait de la relancer. Une plainte qui avait atterri sur le bureau de l’IGS (inspection générale des services), qui avait convoqué les deux parties hier matin. Mais Olivier ne s’est pas rendu à la convocation. Sans doute profondément affecté par la fin de cette histoire, il a choisi de se donner la mort par pendaison à son domicile d’Alfortville.

Un employé d'autoroute fauché par un camion sur l'A6

Un employé d'autoroute est décédé mercredi soir sur l'A6 après avoir été fauché par un poids lourd au niveau de la gare de péage de Tournus, en Saône-et-Loire. L'accident s'est produit vers 22 heures alors que trois employés de cette société d'autoroute se trouvaient sur une zone de travaux. L'un d'entre eux, âgé d'une cinquantaine d'années, a été accroché par le poids lourd dans des circonstances encore non établies. Victime d'un arrêt cardio-respiratoire, les pompiers et le SMUR ont tenté de ranimer l'employé qui est finalement décédé vers 22h45. Le conducteur du poids lourd devait subir des tests d'alcoolémie et de drogue

http://lci.tf1.fr/filnews/france/un-employe-d-autoroute-fauche-par-un-camion-sur-l-a6-6723428.html

jeudi 22 septembre 2011

Drame de Léran : un jeune homme interpellé par les gendarmes

Le parquet de Toulouse a confirmé à l’Agence France Presse l’interpellation, mercredi 21 septembre "un peu avant 22 heures", de la personne d’une vingtaine d’années que les gendarmes recherchaient depuis dimanche soir et le drame survenu à Léran (Ariège). Drame au cours duquel un homme d’environ quarante ans a perdu la vie, touché par un tir de carabine.
Le parquet s’est toutefois refusé à plus de commentaires quant aux conditions de l’interpellation, et encore moins sur les circonstances qui ont conduit à ce drame. En ce jeudi 22 septembre après-midi, le jeune homme était toujours en garde à vue. Il devrait être présenté au parquet de Toulouse demain vendredi. Son audition doit permettre d’éclaircir les nombreuses zones d’ombres qui subsistent pour comprendre le déroulement des choses, ce dimanche soir à Léran, et notamment confirmer l’hypothèse selon laquelle ce jeune homme, recherché pendant trois jours, aurait tiré le coup de feu mortel.

http://www.gazette-ariegeoise.fr/4477-Drame-de-Leran-un-jeune-homme-interpelle-par-les-gendarmes.html

Deux policiers se suicident coup sur coup en région parisienne

Deux policiers se sont suicidés coup sur coup jeudi matin en région parisienne, dont l'un après avoir mortellement blessé son épouse, a-t-on appris de sources policières. Selon les tout premiers éléments de l'enquête, le premier, en poste à la police judiciaire, a mis fin à ses jours «dans une voiture banalisée», à Paris (XIXème), et serait «en état de mort cérébrale», ont précisé ces sources. Le second, en poste à la direction de l'ordre public (DOPC), aurait mortellement blessé son épouse chez lui à Chevilly-Larue (Val-de-Marne), a retourné son arme contre lui et il est décédé, ont ajouté ces sources.

Les faits se sont produits quasiment coup sur coup, peu avant 9h00 mais n'ont pas de lien entre eux. Des enquêtes ont été ouvertes.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/deux-policiers-se-suicident-coup-sur-coup-en-region-parisienne-22-09-2011-1620184.php

Une jeune femme de 18 ans mortellement fauchée sur la voie rapide

Selon une information de L'Indépendant, une jeune femme, âgée de 18 ans, a été mortellement fauchée par une voiture alors qu'elle marchait le long de la voie rapide. La malheureuse a été tuée sur le coup.
Le drame s'est produit hier en fin de soirée, sur la voie rapide "la pénétrante nord", à hauteur de Pia au nord de Perpignan à proximité de l'aéroport.

http://www.midilibre.fr/2011/09/22/une-jeune-femme-de-18-ans-mortellement-fauchee-sur-la-voie-rapide,391549.php

Rhône/éboulement: un homme disparu

Un homme qui travaillait sur le chantier de l'A89 à Tarare (Rhône) a disparu en fin d'après-midi lors d'un éboulement, a-t-on appris auprès des pompiers.

Une trentaine de pompiers et vingt véhicules étaient présents dans la soirée pour débuter les recherches mais la terre étant instable, elles n'avaient pu commencer.

Environ 1.500 m3 de terre ont été emportés par cet éboulement qui a eu lieu aux alentours de 18H00.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/21/97001-20110921FILWWW00627-rhoneeboulement-un-homme-disparu.php

Une octogénaire écrasée par un poids lourd au Cateau

Hier matin, une octogénaire a été happée par un poids lourd tandis qu'elle traversait la chaussée sur un passage pour piétons, en plein centre-ville du Cateau-Cambrésis. ...

Ses membres inférieurs ont été écrasés. L'octogénaire a dû être héliportée dans la foulée à Lille pour y être opérée. Triste clin d'oeil : le drame s'est joué juste en face de la mairie. Qui, avec les Catésiens, réclame un contournement pour débarrasser le centre-ville des camions.
Pied de nez sordide : le drame s'est joué quelques semaines après qu'une enquête d'utilité publique a rendu un avis défavorable au projet. Or, « cette triste actualité donne, aujourd'hui, raison à tous les acteurs locaux qui se battent, depuis plus de trente ans, pour un contournement de la ville et pour un environnement préservé et sécurisé de tous ses habitants », a ainsi communiqué Patrick Kanner, président du conseil général.
Vendredi dernier, les élus du secteur se sont réunis afin de parcourir le tracé projeté et d'étudier les suites à donner aux conclusions défavorables du rapport de la commissaire enquêtrice sur la nécessité d'un contournement. « Je tiens à rappeler qu'une nouvelle délibération sera soumise, très prochainement, à l'assemblée départementale afin d'assurer, dans les meilleures conditions, la poursuite de ce projet », a-t-il ajouté.

http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/09/21/article_une-octogenaire-ecrasee-par-un-poids-lou.shtml

mercredi 21 septembre 2011

Le tireur venait d'emmenager dans le village

Le jeune homme de 26 ans qui a ouvert le feu, dimanche soir, sur un quadragénaire, à Léran, le blessant mortellement, venait de s'installer dans l'immeuble où s'est produit le drame. « Il n'était là que depuis une quinzaine de jours, confie la propriétaire de la résidence. Il m'a dit qu'il travaillait dans le photovoltaïque, l'installation de panneaux solaires, et qu'il ne serait là que de temps en temps, pendant le week-end. J'ai signé le bail avec sa compagne. C'est elle la locataire de l'appartement ». Le couple arrivait de l'Aude. On ne sait pas s'il compte des attaches en Ariège. Par ailleurs, les causes du décès de la victime, un quadragénaire qui s'était installé quelques mois auparavant dans la petite commune du Pays d'Olmes sont désormais mieux connues : une seule balle, de calibre 22LR, est à l'origine du décès. À Léran, les habitants connaissaient de vue cet homme qui, depuis quelque temps, vivait seul dans une petite maison, près de la rivière, mais qui comptait quelques fréquentations au sein de la commune, « un milieu assez marginal », confie le maire, Henri Barou. A plusieurs reprises, les gendarmes avaient été contraints d'intervenir, à son domicile, en raison d'incivilités ou de tapage nocturne. Enfin, hier soir, le jeune homme qui a ouvert le feu dimanche était activement recherché, tant en Ariège que dans les départements voisins. Olivier Caracotch, procureur de la République, à Foix, prévoyait de confier le dossier au pôle d'instruction de Toulouse, en vue de l'ouverture d'une information judiciaire. Elle permettrait en effet aux recherches d'être plus efficaces si le jeune homme s'était enfui à l'étranger, en Espagne par exemple.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/21/1172236-le-tireur-venait-d-emmenager.html

Un TER heurte une voiture, un mort

Un homme de 45 ans est mort quand sa voiture a été heurtée par un train express régional (TER) ce matin à un passage à niveau à Herrlisheim (Bas-Rhin), à une vingtaine de kilomètres au nord de Strasbourg.

Le train circulait entre Lauterbourg (Bas-Rhin) et Strasbourg. Ses 45 occupants, tous indemnes, ont été pris en charge par des bus de substitution. La voiture s'est encastrée sous le train et a été traînée sur 400 mètres, ont précisé les gendarmes, qui n'en savaient pas plus dans l'immédiat sur les circonstances de l'accident.

Des perturbations sur la ligne étaient attendues jusqu'en milieu d'après-midi, a précisé la SNCF.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/20/97001-20110920FILWWW00402-un-ter-heurte-une-voiture-un-mort.php

mardi 20 septembre 2011

Mathieu, 18 ans, tué dans un choc frontal

Il était 17 heures, hier, quand, sur la départementale 632, territoire de Puntous, juste après le croisement entre la D632 et la D10, au lieu-dit « Quatre routes de Puntous », un ensemble routier espagnol, qui roule dans le sens Castelnau- Trie-sur-Baïse, voit arriver face à lui une voiture pleine gauche, qui roule dans le sens Trie-sur-Baïse - Castelnau, et qui vient le percuter de plein fouet. Le chauffeur a bien vu arriver la voiture, comme les marques de freinages au sol en témoignent, mais il n'a rien pu faire.
Au volant de la voiture, un jeune de 18 ans, Mathieu Pique, d'Osmets. Malgré les secours prodigués sur place par les pompiers de Castelnau, Lannemezan et le Samu, sous les ordres du capitaine E. Riva, il n'a pas survécu au choc. Les brigades de gendarmerie de Galan-Castelnau sécurisent les lieux et mettent une déviation en place. Le commandant de la brigade de gendarmerie de Tarbes, le capitaine Dars, et Eric Duffo, maire de Puntous, se sont rendus sur les lieux.
Mathieu Pique était très connu ; joueur de l'US Pouyastruc et fils du maire de la commune d'Osmets, il était au lycée agricole de Vic-en-Bigorre.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/20/1171453-mathieu-18-ans-tue-dans-un-choc-frontal.html

USA : le crash d'un avion qui a fait neuf morts lors d'un meeting reste inexplicable

Les enquêteurs américains cherchaient samedi à comprendre les causes du spectaculaire accident d'un avion de la Seconde guerre mondiale qui s'est écrasé la veille lors d'un meeting aérien à Reno dans le Nevada (ouest des Etats-Unis), faisant 9 morts et 54 blessés.
Le bilan s'est alourdi samedi avec la découverte de dépouilles dans les débris du chasseur P-51 Mustang qui s'est écrasé sur une tribune pendant une compétition aérienne.
Nous avons acheminé 54 blessés dans différents hôpitaux de la région. Les autorités hospitalières ont confirmé la mort de deux personnes (BIEN deux). Mais nous avons trouvé sept corps sur le tarmac dont celui du pilote", a précisé Dave Evans, chef de la police locale.

http://www.sudouest.fr/2011/09/18/usa-le-crash-d-un-avion-qui-a-fait-neuf-morts-lors-d-un-meeting-reste-inexplicable-502695-4803.php

Un automobiliste refuse un contrôle routier et se tue en s'enfuyant

Un automobiliste est mort dans un accident de voiture sur la RN 12 à la hauteur de Coëtmieux, en direction de Brest, vers 16 h 45 aujourd’hui.
Sa voiture a été retrouvée dans un champ de maïs à une trentaine de mètres de la route par des gendarmes quelques instants après. L’homme était poursuivi par les forces de l’ordre après avoir refusé de se soumettre à un contrôle à Trémeur, un peu plus loin en direction de Rennes.
De nombreux gendarmes se trouvent sur place afin de déterminer les circonstances de cet accident. Un important bouchon s’est formé sur la voie express depuis l’accident. Le ralentissement remonte jusqu’à Lamballe, une dizaine de kilomètres avant l’accident.

lundi 19 septembre 2011

Accident: trafic SNCF interrompu entre Reims et Épernay

Vers 14h30, un TER, qui assurait la liaison entre Reims et Épernay, a percuté un homme dans un tunnel à Rilly-la-Montagne. Celui-ci est mort sur le coup, environ 450 mètres après l'entrée du tunnel long de 3,5 km. La thèse du suicide est privilégiée.
Vers 16h, les pompiers, les gendarmes et le personnel de la compagnie de chemin de fer se trouvaient sur place. A 16h30, le trafic ferroviaire était toujours totalement interrompu entre Reims et Epernay. Le train TER 840904 parti de la gare Champagne Ardenne TGV à 13h39 et en direction d'Epernay 14h26 n'a pu arriver à bon port. Sept autres trains TER accusaient également des retards ou des modification d’itinéraire. Les voyageurs sont acheminés par la route.

http://www.lunion.presse.fr/article/region/accident-trafic-sncf-interrompu-entre-reims-et-epernay

Mantes-la-Jolie : il jette sa femme du deuxième étage

Un homme de 38 ans a été interpellé, dimanche 18 septembre en fin d'après-midi à Mantes-la-Jolie pour tentative d'homicide. Quelques instants plus tôt, vers 17 heures, cet habitant d'une résidence située boulevard Carnot avait été vu, par un promeneur, en train de jeter son épouse depuis le deuxième étage.

La femme a terminé sa chute sur le balcon situé juste en dessous. Les secours sont iimmédiatement intervenus. La victime, souffrant à la tête, au dos et au bassin, a été transportée à l'hôpital Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine). Son pronostic vital n'est pas engagé. Le mari, d'abord retranché dans l'appartement, a fini par être interpellé.


http://www.leparisien.fr/yvelines-78/mantes-la-jolie-il-jette-sa-femme-du-deuxieme-etage-19-09-2011-1615386.php

Etudiant à Rouen, un jeune Narbonnais est mort écrasé sur l’autoroute

Narbonne est à nouveau endeuillée. Cette fois, le drame s’est noué à plusieurs centaines de kilomètres des tours de Saint-Just. Sur l’autoroute A150, en Seine-Maritime. La victime est un jeune Narbonnais de 21 ans, parti faire ses études à Rouen.

C'est vendredi, vers 4 h 30 du matin, une Renault Mégane roulait entre Rouen et Barentin, à hauteur de la commune de Bapeaume-lès-Rouen, quand elle a percuté un piéton qui se trouvait sur la voie de gauche. Le jeune homme a été tué sur le coup.

Sur lui, aucun papier n’a, dans un premier temps, permis son identification. Un trousseau de clés retrouvé dans ses poches amènera finalement les enquêteurs jusqu’à son appartement. Les policiers ne s’expliquent toujours pas dans quelles circonstances il s’est retrouvé à pied, sur la voie de gauche de l’autoroute, à cette heure.

Le conducteur de la voiture impliqué, très choqué, a été hospitalisé. Âgé de 25 ans et originaire d’un village alentour, il se rendait à son travail quand l’accident est arrivé

http://www.midilibre.fr/2011/09/17/un-jeune-narbonnais-meurt-ecrase-sur-l-autoroute,389097.php

dimanche 18 septembre 2011

Agen. Incendie criminel, le traumatisme perdure...

La vision cauchemardesque de l'immeuble en feu, ce vendredi matin, en bordure du boulevard de la Liberté était hier encore dans tous les esprits des riverains du lieu. Les images de cet homme pendu à son balcon de la résidence Pradines, située à l'angle de ce boulevard et de la rue Lisbonne, pour tenter d'échapper aux flammes et des victimes sorties du sinistre par les pompiers et les secours dépêchés sur les lieux resteront gravées.
Il est vrai que la ville n'avait pas connu un sinistre d'origine criminelle de cette ampleur depuis longtemps, en tout cas avec autant de victimes.
On sait que parmi ces blessés, une jeune femme de 22 ans a été plus particulièrement atteinte. Grièvement brûlée, elle avait été transportée à Bordeaux à l'hôpital des grands brûlés. Hier soir, son état était toujours préoccupant, mais «stationnaire».
Au total, ce sont pas moins de vingt-sept personnes qui ont dû être secourues par les pompiers, la plupart pour intoxiquées par les fumées.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/18/1169881-l-asso-casse-toi-pov-con-privee-de-la-fete-de-l-huma-incendie-criminel-le-traumatisme.html

Etats-Unis : un show aérien tourne au drame, trois morts

Au moins trois personnes ont été tuées et des dizaines d'autres blessées vendredi à Reno, dans le Nevada, lorsqu'un avion ancien participant à un show aérien s'est écrasé à proximité du public, rapportent les médias locaux. Ce bilan pourrait évoluer à la hausse, 15 personnes étant blessées dans un état critique. Aucune source officielle ne pouvait confirmer dans l'immédiat le bilan de l'accident. Interrogé par des journalistes, Mike Houghton, le président de l'association de course aérienne de Reno, a déclaré toutefois "penser" qu'il y avait des morts parmi les spectateurs, selon des images diffusées par la chaîne MSNBC.


"C'est comme un massacre, comme si une bombe venait d'exploser", a raconté un témoin, Gerald Lent, citée par le Reno-Gazette Journal. "Un type était coupé en deux, il y a du sang partout... Il y a des bras et des jambes...", a-t-il décrit. Le pilote de l'avion, selon toute vraisemblance décédé, travaillait dans l'immobilier en Floride, a déclaré à des journalistes Mike Houghton. Selon la chaîne MSNBC, il était âgé de 80 ans.

Une vidéo de l'accident, diffusée sur les télévisions américaines et sur internet, montre l'avion --un Mustang P-51 de la Deuxième guerre mondiale-- s'écraser à proximité d'une tribune après avoir piqué vers le sol. Il était toutefois difficile de distinguer s'il s'est écrasé directement sur le public ou à proximité. Selon le porte-parole de l'événement - une course entre avions anciens -, le pilote de l'avion était dans son premier ou deuxième tour de course quand il a envoyé un appel de détresse avant de s'écraser. "Nous ne savons pas pourquoi il s'est écrasé. Le pilote a lancé un appel de détresse, il est sorti de la course, c'est ce qu'ils font quand il y a problème", a-t-il ajouté.

samedi 17 septembre 2011

Un chasseur se noie dans l'Adour

Pierre Pujo, de Sarrouilles s'est noyé accidentellement dans l'Adour, à Hères, alors qu'il chassait le canard.
Avec sa compagne, il est venu chasser le canard sur un bras de l'Adour à Hères, mercredi. Il est donc parti chasser, laissant sa compagne l'attendre dans sa voiture lui indiquant qu'il repasserait toutes les demi-heures. Celle-ci a entendu deux coups de fusil et a pensé que Pierre avait fait bonne chasse. Mais au bout de 30 minutes, ne le voyant pas revenir, elle décide d'aller à sa rencontre.
Arrivée sur le bord de l'Adour, elle appelle et appelle encore… sans réponse. Elle décide alors d'alerter la gendarmerie, elle sait que Pierre ne sait pas nager. Un important dispositif est mis en place pour rechercher le chasseur.
Les brigades de gendarmerie de Vic, Maubourguet et Castelnau fouillent les abords et tout le périmètre, aidées du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie de Tarbes, d'un maître-chien et de l'hélicoptère du détachement aérien de la gendarmerie. Les recherches sont dirigées par le capitaine Pelary.
Malgré ce dispositif, aucune trace du chasseur et dans la nuit de mercredi à jeudi, les recherches sont abandonnées.
C'est jeudi matin que le capitaine décide d'intensifier les recherches.
elles reprennent avec les moyens décrits auxquels s'ajoutent les gendarmeries de Tarbes, Tournay, Rabastens et les plongeurs d'Hendaye.

Dans un trou d'eau de 2 m

Les plongeurs retrouvent d'abord le fusil. Un habit est alors aperçu, flottant sur un trou d'eau profond d'environ 2 m, alors que le reste de la rivière n'est guère profond. Là, le corps du malheureux est retrouvé. L'examen du corps ne dévoile rien de suspect si ce n'est la mort par noyade. Il semble que Pierre Pujo se soit noyé en tentant de repêcher le canard qu'il avait tué et qui était tombé dans l'Adour
http://www.ladepeche.fr/article/2011/09/17/1169382-un-chasseur-se-noie-dans-l-adour.html

Infanticide dans le Finistère. Tristesse dans l'école des enfants

Ce matin, à l'heure de la rentrée, le drame qui touche l’école privée Saint-Pavin du Mans était palpable. Hier, une institutrice et ses deux enfants, scolarisés dans la même école que leur maman, ont été retrouvés inanimés dans une voiture sur le parking de Cleden Cap-Sizun, dans le Finistère.
Les deux petits garçons sont décédés. Hospitalisée à l'hôpital du Mans, la maman est dans un état critique.
Ce matin, parents et enfants ont été accueillis par la directrice et le président de l’association de parents d’élèves. Certains étaient au courant, d’autres pas. L’église voisine a ouvert ses portes dès ce matin, pour accueillir les parents qui avaient besoin de se recueillir.
L’hypothèse d’un double infanticide et d’une tentative de suicide est pour l’instant l’hypothèse privilégiée par les gendarmes.

vendredi 16 septembre 2011

Mortellement happé par une arracheuse de pommes de terre

Ce matin, vers 11 h, un terrible accident du travail s’est produit sur une exploitation agricole située au lieu-dit Elleouet en Sizun. Un homme de 30 ans, Sébastien Guillerm, qui aidait ses parents, a été happé par une arracheuse de pommes de terre alors qu’il tentait d’extraire l’herbe qui s’était amoncelée à l’intérieur de la machine.
Sur place, les pompiers de Sizun n’ont pu sauver le jeune homme. Le maire de la commune, Jean-Pierre Breton, et les gendarmes de Pleyber-Christ se sont également déplacés sur les lieux.

http://www.letelegramme.com/local/finistere-nord/morlaix/sizun/sizun/sizun-29-mortellement-happe-par-une-arracheuse-de-pommes-de-terre-16-09-2011-1432612.php

Haut-Doubs : une petite fille éjectée d’une voiture

Hier, vers 21 h 20, au lieu-dit le Petit Sarrageois près de Mouthe dans le Haut-Doubs, une petite fille de trois ans a été éjectée, avec son siège enfant, de la voiture familiale.
L’accident, qui n’a impliqué qu’un seul véhicule, est dû à une perte de contrôle, pour l’instant indéterminée. L’automobile a heurté le talus du côté gauche et a terminé sa course en travers de la chaussée.
Les trois occupants étaient domiciliés à Sarrageois. L’un d’eux, le beau-père de l’enfant, a été transporté à l’hôpital de Pontarlier. La petite fille quant à elle a été héliportée à l’hôpital de Besançon. Ce matin, son pronostic vital n’était plus engagé.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/09/16/une-petite-fille-ejectee-d-une-voiture

Une femme retrouvée étranglée dans un appartement

Dans la nuit de jeudi à vendredi, une femme âgée de 40 ans a été découverte morte étranglée dans son appartement situé dans l'hyper-centre de Grenoble. Inquiet de constater qu'elle n'ouvrait pas sa porte, un ami de la victime a alerté les secours dans la soirée.
Lorsqu'ils sont entrés dans ce logement de la rue de Bonne, les sapeurs-pompiers et la police ont découvert le corps sans vie de la quadragénaire. Les premières constatations ont établi qu'elle avait été étranglée. Selon nos informations, la victime vivait seule dans ce vaste appartement et était sans profession. Selon une source judiciaire, il s'agissait d'une personne "en grande difficulté sociale et psychiatrique", qui recevait fréquemment des marginaux et des personnes sans domicile fixe. Le même interlocuteur a indiqué au Dauphiné Libéré que la victime n'a pas subi de violences sexuelles, et que le mobile du meurtre n'est "probablement pas crapuleux".

Kevin, 13 ans, n’a pas survécu à ses blessures

Une famille endeuillée, un collège sous le choc. Kevin, 13 ans, n’a pas survécu à ses blessures. Il est décédé mardi dans la soirée, à l’hôpital femme-mère-enfant de Bron, où il avait été héliporté vendredi en fin d’après-midi.
Ce jour-là, vers 17 h 30, le collégien rejoint son domicile à vélo, par la rue de Baude, un quartier pavillonnaire de Morestel.
Dans une courbe, le garçon, déstabilisé, chute lourdement sur la chaussée. Au même moment, un monospace arrive en face. Sa conductrice a bien tenté d’éviter l’adolescent qui gît sur le bitume, mais en vain.
Rapidement alertés, sapeurs-pompiers et médecin du Smur prodiguent les premiers soins à l’adolescent, qui a perdu connaissance. Souffrant notamment d’un traumatisme crânien, Kevin a été plongé dans un coma artificiel afin de faciliter son transport sur l’hôpital. Sur les lieux de l’accident, les médecins sont alors très réservés quant au pronostic vital de la jeune victime.

Marche blanche ce vendredi

Depuis, l’état de santé de l’adolescent n’a fait que s’aggraver. Il s’est éteint mardi après-midi sans avoir repris connaissance.
Afin de déterminer les circonstances du drame, une autopsie du corps de la victime sera pratiquée dès aujourd’hui.
Hier matin, une cellule de soutien psychologique a été mise en place au collège. Les camarades de classe de Kévin ont par ailleurs décidé d’organiser une marche blanche. Celle-ci se déroulera vendredi matin, en partant du collège pour aller jusqu’au lieu du drame, où chacun pourra se recueillir.
http://www.ledauphine.com/isere-nord/2011/09/14/kevin-13-ans-n-a-pas-survecu-a-ses-blessures

jeudi 15 septembre 2011

Suicide d'une salariée de la Poste

Une salariée du Centre financier de la Poste s'est suicidée ce matin sur son lieu de travail à Paris en se défenestrant du 4ème étage, a annoncé la CGT dans un communiqué, la direction soulignant que le décès faisait l'objet d'une enquête de police.

Tout en indiquant ne pas connaître les raisons de cet acte, le syndicat a souligné que "le fait de choisir de se suicider sur son lieu de travail, pendant ses heures de service, en présence de ses collègues ne peut être considéré comme anodin". "C'est avec une grande tristesse que La Poste a appris ce jour, en fin de matinée, le décès d'une collaboratrice du Centre financier de Paris", a indiqué la direction du groupe à l'AFP, précisant que "les circonstances de ce décès font actuellement l'objet d'une enquête de police".

Selon la direction de la Poste, "une cellule psychologique a été mise en place pour soutenir l'entourage professionnel" et un Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) a été réuni.

Dans son communiqué, la CGT souligne qu'elle "ne cesse de dénoncer les pressions engendrées par les restructurations permanentes décidées à la Poste au nom de la rentabilité financière". Le syndicat affirme que "les services financiers sont particulièrement touchés par la baisse des effectifs, l'augmentation de la charge de travail et la remise en cause de leur mission de service public en lien avec la volonté de la Poste de faire de la Banque Postale une banque comme les autres".

La CGT "demande que toute la lumière soit faite sur ce drame" et estime qu'il y a "urgence à revoir en profondeur la finalité, l'organisation et le contenu du travail" au sein du groupe. La Poste, devenue le 1er mars 2010 une société anonyme à capitaux publics, emploie environ 240.000 personnes. Le dernier bilan social, rendu public en mai, faisait apparaître une dégradation des indicateurs de santé au travail pour le personnel, avec notamment une hausse des arrêts maladie, les syndicats y voyant un motif d'alarme

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/09/15/97001-20110915FILWWW00621-suicide-d-une-salariee-de-la-poste.php

Le meurtrier présumé remis en liberté

Coup de théâtre, hier soir, vers 21 heures. Sur ordre de la Cour de cassation, S.G., le meurtrier présumé de Jérémy Censier, ce jeune Gersois de 19 ans tué à coups de couteau lors des fêtes de Nay, en août 2009, a été remis en liberté après deux ans de détention provisoire à la maison d'arrêt de Pau.
La plus haute juridiction de l'ordre judiciaire avait été saisie par les avocats du jeune homme. Ils dénonçaient un vice de procédure et une détention arbitraire.

Les avocats soulevaient un problème d'audiencement de l'une de leur requête, à savoir une requête de mise en état du dossier, une première à Pau. Ils avaient saisi de cette demande le président de la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Pau, en octobre. Lequel avait trois mois pour organiser cette audience. Passé ce délai, la remise en liberté est d'office.
Or, la cour d'appel de Pau s'y était opposée alors qu'elle n'avait organisé l'audience de mise en état qu'en avril dernier. D'où la décision de la Cour de cassation, tombée hier.
« Nous ne l'avons appris que dans la soirée. La sœur de notre client a reçu un coup de téléphone vers 21 heures, lui annonçant qu'il fallait qu'elle aille chercher son frère. Il est rentré chez ses proches, à Nay, pour y passer la nuit, mais partira vivre dans les Landes dès demain matin [aujourd'hui, NDLR] », expliquait hier soir Me Denise Pombielh, l'une des avocates de S.G. avec Me Thierry Sagardoytho.
« Le droit enfin respecté »
« Nous éprouvons un grand sentiment de satisfaction, poursuit l'avocate du jeune homme. Les règles de procédure et de droit sont enfin respectées. La Cour de cassation a traité cette affaire avec sérénité, loin des passions qu'elle suscite dans notre région ».
Mis en examen pour meurtre depuis qu'il a avoué avoir asséné des coups de couteau à la victime, S.G., qui était mineur au moment des faits, est le seul parmi les dix personnes qui ont été mises en examen dans ce dossier à faire l'objet d'un renvoi devant la cour d'assises pour ce chef criminel.
En effet, courant août, la juge d'instruction chargée de cette affaire a rendu une ordonnance de mise en accusation en ce sens.
Mais les avocats de S.G. n'entendent pas baisser la garde. Ils ont immédiatement fait appel de cette ordonnance. Un appel qui sera examiné le 4 octobre prochain par la chambre de l'instruction de Pau.
http://www.sudouest.fr/2011/09/15/le-meurtrier-presume-remis-en-liberte-499633-4483.php