lundi 30 septembre 2013

Pécorade : une femme de 69 ans décédée sur la route

L'accident mortel a été déploré peu avant 16 heures, ce lundi. La victime circulait sur la Départementale 11 lorsqu'un véhicule qui devait la croiser s'est déporté sur sa voie
Un nouvel accident mortel de la route a été déploré ce lundi peu avant 16 heures dans le sud des Landes. Pour des raisons indéterminées, une femme de 57 ans qui circulait sur la départementale 11, à Pécorade, a perdu le contrôle de son véhicule au moment même où elle devait croiser deux autres berlines. La collision avec ces deux véhicules n'a laissé aucune chance à la conductrice de la seconde voiture, une Landaise de 69 ans domiciliée à Urgons (40).
Les circonstances du drame ont été clairement identifiées par les gendarmes grâce aux témoignages des quatre occupants de la première voiture, ressortis choqués mais indemnes. La conductrice à l'origine de la sortie de route, une femme de Seine-Maritime qui effectuait une cure dans le département, a été blessée à la jambe et transportée par les pompiers de Samadet vers le centre hospitalier de Mont-de-Marsan.

Les premières constatations et analyses d'usage ont été effectuées par les gendarmes de l'Escadron départemental de sécurité routière (Edsr) avec le concours des militaires de la compagnie de Mont-de-Marsan. L'enquête est confiée à la Brigade motorisée de Saint-Sever.
La première étape consistera à vérifier si l'auteure de la sortie de route conduisait ou non sous l'emprise d'alcool ou de stupéfiants.

http://www.sudouest.fr/2013/09/30/pecorade-une-femme-de-69-ans-decedee-sur-la-route-1184893-3452.php

La Rochelle : un enfant de trois ans chute du 3e étage

Quarante-huit heures d’observation et d’angoisse pour les parents avant que les médecins ne se prononcent sur le pronostic vital de Mathieu, 3 ans.
Hier, vers 10 h 30, Jean-Philippe Desbois et Malika Zéari terminent leur petit-déjeuner dans leur appartement (sans balcon) de La Rochelle, dans le quartier de Port-Neuf. Pendant ce temps-là, leurs deux garçons - de 9 et 3 ans - jouent dans leur chambre.

« On a entendu un cri et notre fils aîné est venu nous chercher en nous disant que Mathieu était tombé. On a d’abord pensé à une banale chute, puis on a vu notre fils par terre, en bas, en regardant par la fenêtre. »
Le très jeune enfant est tombé plus de 10 mètres plus bas, par la fenêtre de la chambre selon les premières observations.
« On a eu très peur », poursuit le papa, rencontré hier après-midi au pied de l’immeuble. « Il pleurait tout doucement et ne bougeait pas », raconte, les larmes aux yeux, Jean-Philippe Desbois, toujours sous le choc.
De multiples fractures
D’abord transporté à l’hôpital de La Rochelle, le petit Mathieu a été finalement transféré à Tours, dans le service de neurologie pédiatrique de l’hôpital Gatien-de-Clocheville, dans la journée.
Un transfert justifié par l’état de Mathieu, « jugé critique ».
L’enfant souffrirait d’une « fracture au niveau de la tête. Son coude est cassé et il a reçu un coup dans les côtes », selon son père.
Pronostic réservé
Toujours selon ce témoignage, les médecins ne s’étaient toujours pas prononcés - hier en soirée - sur le pronostic vital de l’enfant. Ils préfèrent le garder en observation pendant quarante-huit heures afin de surveiller l’évolution de son traumatisme crânien. Cette chute serait a priori accidentelle, même si le frère aîné de Mathieu n’a pas pu donner d’explications très claires sur les circonstances du drame. L’enfant aurait pu monter sur une petite cuisinière (jouet) présente près de la fenêtre.
Chargés de l’enquête, les policiers du commissariat de La Rochelle confiaient privilégier, hier soir, cette thèse de l’accident.

http://www.sudouest.fr/2013/09/30/j-ai-entendu-un-cri-mon-fils-etait-a-terre-1184291-1391.php

Deux sexagénaires meurent dans un accident sur la N31

VASSENY (02). Ce matin, un peu après 10 heures, un accident s'est produit sur la N31 à hauteur de la commune de Vasseny.
 
Une moto, sur laquelle circulaient deux personnes, a semble-t-il percuté l'arrière d'une voiture qui roulait en direction de Soissons et entamait un virage vers la route de Vasseny. 
 
Ce véhicule a traversé la route et s'est retrouvé projeté sur un camion qui arrivait en sens inverse. La moto, quant à elle, a fait un soleil avant de retomber sur la chaussée.
 
Le bilan de ces collisions en série est lourd : les deux occupants de la moto, un homme et une femme d'une soixantaine d'années, sont décédés. La conductrice de la voiture est également blessée et a été transportée à l'hôpital de Soissons par les pompiers.
 
La route est coupée dans les deux sens afin de permettre l'intervention des pompiers et des gendarmes. Des déviations sont mises en place vers la RD 1251 de Ciry Salsogne à Couvrelles.
 
Attention, dans le sens Reims/Soissons, cette déviation  autorise uniquement le passage des voitures, pas des poids lourds de plus de 7,5 tonnes.
 

Ausson. Tuée par un chauffard en état d'ivresse

Une femme de 60 ans a perdu la vie, hier matin, au volant de sa voiture. Un autre véhicule, conduit par un jeune homme alcoolisé, l’a percutée. Une enquête est ouverte.
Un nouveau drame s’est noué hier matin sur les routes de la Haute-Garonne. Une femme âgée de 60 ans a perdu la vie au volant de sa voiture. Il était aux environs de 6 h 50 lorsque l’alerte a été donnée aux services de secours.
Les faits se sont produits sur la route départementale 81, à la limite des communes d’Ausson et Montréjeau, au lieu-dit Capdeville. Le conducteur d’une Seat Leone noire aurait, alors qu’il roulait à vive allure, heurté l’arrière d’une Renault 5 blanche qui circulait dans le même sens que lui.
Le choc a été si violent que la Renault 5 a été projetée contre une clôture métallique et qu’elle a traversé un fossé avant de s’immobiliser sur la chaussée. L’autre voiture a terminé sa course dans un fossé, à une centaine de mètres des lieux de l’accident.
Les sapeurs-pompiers sont arrivés rapidement sur place. Ils ont prodigué les premiers soins à la victime, une femme de 60 ans qui conduisait la Renault 5. Elle a été évacuée au moyen de l’hélicoptère du Samu à l’hôpital de Saint-Gaudens mais n’a pas survécu à ses blessures.

1,54 gr dans le sang

Dans l’autre voiture, le conducteur âgé de 38 ans est sorti indemne de l’accident. Les gendarmes ont procédé au dépistage de son alcoolémie. Il conduisait malgré un taux de 1,54 gr d’alcool par litre de sang. Il a été placé en garde à vue. Maçon de profession, il est domicilié à Clarac. Il sortait d’une soirée entre amis.
La victime, Marie-Elisabeth Imaho, une auxiliaire de vie, se rendait à son travail, à quelques kilomètres de là. Elle était domiciliée à Gourdan-Polignan.
Cet accident porte à 29 le nombre de tués sur les routes de Haute-Garonne depuis le début de l’année. Le groupement de gendarmerie du département entend poursuivre ses efforts en matière de lutte contre l’alcool au volant. Il continuera, sous la houlette du colonel Tavart, ses contrôles coordonnés.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/30/1720235-tuee-par-un-chauffard-en-etat-d-ivresse.html

Retour de Cantat à la chanson, les Français n'ont pas oublié le drame de Vilnius

Plus de trois Français sur quatre qui connaissent Bertrand Cantat en ont une mauvaise opinion, mais ils sont quand même près de six sur 10 à trouver normal qu'il puisse reprendre sa carrière après avoir purgé sa peine, selon un sondage BVA Le Parisien Aujourd'hui en France.

Dix ans après le drame de Vilnius, Bertrand Cantat fait lundi un retour très attendu sur la scène musicale. Les Français n'ont pas oublié le drame de Vilnius, comme le montre un sondage BVA Le Parisien Aujourd'hui en France. Cette enquête est publiée dimanche alors que le chanteur, condamné à huit ans de prison pour le meurtre de Marie Trintignant et libéré en 2007, fait son retour lundi avec la publication de son premier single, "Droit dans le soleil", extrait d'un album qui sortira le 18 novembre.

Au total, 63% des Français ont une mauvaise opinion de Bertrand Cantat, contre seulement 17% en ayant une bonne opinion, tandis que 17% ne le connaissent pas. Plus des trois quarts des Français le connaissant (76%) en ont une mauvaise opinion. Parmi ceux qui le connaissent, 67% lui reconnaissent du talent, un taux qui monte à 81% chez les 18-34 ans. 59% des Français connaissant Bertrand Cantat trouvent normal qu'il puisse reprendre sa carrière "car il a maintenant accompli sa peine". Ils ne sont que 37% à dire ne pas trouver ça normal, "car après sa condamnation, ce n'est pas décent".

Ceux ayant une bonne opinion de Bertrand Cantat sont fort logiquement très nombreux à trouver ça normal (93%), mais c'est aussi l'avis de la moitié de ceux ayant une mauvaise opinion de lui (50%). Les sympathisants de gauche sont beaucoup plus nombreux que ceux de droite (70%, contre 50%) à trouver normal que le chanteur puisse faire son retour artistique.
 

dimanche 29 septembre 2013

Deux morts dans une collision entre une moto et une voiture

Deux personnes sont décédées dans un accident de la circulation cet après-midi, à Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes), vers 17h20.
Les deux victimes sont un motard et de sa passagère, âgés d’une cinquantaine d’années et originaires du département  de l'Isère. La moto qui circulait sur la RD 1075 a percuté une voiture avec, à son bord, cinq personnes. Seul le conducteur a été légèrement blessé.

http://www.ledauphine.com/france-monde/2013/09/29/deux-morts-dans-une-collision-entre-une-moto-et-une-voiture

Une femme de 44 ans brûlée à 70 %

IL est 16 h 40, hier, quand l'alerte est donnée. Les sapeurs-pompiers de Rethel prennent la direction d'Amagne, où une personne est brûlée sur l'ensemble du corps. Au numéro 4 de la rue de la Fontaine. Ils pénètrent dans la maison qu'habite Anne Brignon. Une épaisse fumée s'y propage, provenant d'un matelas en feu. Brûlée à 70 %, l'unique occupante des lieux bénéficie immédiatement de soins. Prise en charge pas un médecin urgentiste, elle est évacuée par ambulance en direction du centre hospitalier de Rethel. Le véhicule de secours est cependant dérouté au vu de l'état de la blessée. Il est convenu qu'un hélicoptère du Samu 51 se pose sur l'aérodrome de Sault-lès-Rethel, de sorte à transporter d'urgence la quadragénaire vers un centre de traitement des brûlés. Pendant ce temps-là, les gendarmes s'activent. Ils procèdent aux constatations d'usage dans le but de déterminer les circonstances exactes du sinistre. D'après les premiers éléments de l'enquête, ce dernier serait d'origine accidentelle

http://www.lunion.presse.fr/region/une-femme-de-44-ans-brulee-a-70-jna18b0n216580

Haute-Saône : un homme a trouvé la mort, samedi soir, dans un accident de tracteur

Un homme de 53 ans a trouvé la mort, samedi soir, au lieu-dit Les Rivets (commune de La Voivre), en Haute-Saône. Les faits se sont produits après 18 h. Le quinquagénaire, un employé d'usine, travaillait sur l'une de ses parcelles de terrain lorsque son tracteur s'est retourné.

La parcelle, située en contrebas de son domicile, à environ 400 mètres, était en pente et accidentée. Une des roues avant du tracteur, sur lequel le quinquagénaire travaillait, a heurté une grosse pierre, retournant l'engin qui a alors fait un tonneau. Le conducteur s'est retrouvé coincé sous l'engin. Le choc lui a causé de graves fractures, et il n'a pas survécu.
Les secours n'ont été prévenus que tôt dimanche matin. L'homme, célibataire, vivait avec son frère aîné. Ce dernier n'est rentré que vers 21h30 samedi soir et pensait son cadet couché. Ce n'est qu'au réveil dimanche matin qu'il a aperçu l'engin, comprenant immédiatement ce qui s'était passé.
Les secours, sur place vers 7h30, n'ont pu que constater le décès.
 

Marche en mémoire de Fiona dimanche à Clermont-Ferrand

Alors que les fouilles pour retrouver le corps de la fillette ont été arrêtées ce week-end, une marche est organisée en mémoire de la fillette dimanche après-midi à Cermont-Ferrand. Le père biologique de Fiona pourrait y participer.

Alors qu'aucune fouille n'est prévue ce week-end, un rassemblement était prévu dimanche à partir de 15h30 devant l'ancien domicile de la mère de Fiona et de son compagnon à Clermont-Ferrand . Le père biologique de Fiona, Nicolas Chafoulais, partie civile dans ce dossier, pourrait y participer.
Depuis les aveux de la mère, le corps de la fillette reste introuvable. Selon Cécile Bourgeon, le corps de la fillette aurait été enterré près de Clermont-Ferrand. Vendredi après-midi, le concubin de la mère de Fiona, Berkane Makhlouf, avait été extrait de sa cellule pour "apporter son concours" aux recherches, mais sans résultat. Pendant près de deux heures, les enquêteurs de la police judiciaire, accompagnés notamment du procureur et des deux juges d'instruction, ont inspectés plusieurs sites. D'abord les bois en bordure du lac sur la commune d'Aydat, à une vingtaine de kilomètres de Clermont, où le couple, mis en examen et écroué jeudi soir, dit avoir enterré nue la fillette de cinq ans.
La découverte du corps de Fiona est capitale pour la suite de l'enquête, car l'autopsie permettrait de déterminer les circonstances exactes de la mort de la fillette, alors que les versions de sa mère et de son concubin divergent. Ce dernier affirme qu'il s'agit d'un accident domestique - la fillette se serait étouffée dans son vomi - tandis que Cécile Bourgeon accuse son compagnon de lui avoir porté un coup fatal, le soir du 11 mai. Berkane Makhlouf a été mis en examen pour "coups mortels", Cécile Bourgeon pour "non-assistance à personne en danger", "recel de cadavre", "dénonciation mensongère d'un crime" et "modification d'une scène de crime".
 

Une octogénaire tuée dans un accident de la route

Lons-le-Saunier. Un grave accident de la circulation s’est produit vendredi soir à Saint-Lupicin, dans le Jura. Une voiture a violemment percuté le mur d’une habitation. Un choc mortel pour la passagère avant du véhicule, Paulette Alfano, 81 ans, de Lavans-lès-Saint-Claude. L’octogénaire avait été transportée aux urgences de Saint-Claude par les pompiers. Elle est décédée dans la nuit de vendredi à samedi à l’hôpital.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte. Les occupants du véhicule seront auditionnés dans les prochains jours.
La voiture était conduite par une femme de 65 ans. Deux hommes âgés de 91 et 66 ans étaient installés à l’arrière. L’accident s’est produit à la sortie de la commune, en direction de Ravilloles. Pour une raison indéterminée, la conductrice a perdu le contrôle de sa voiture.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/29/une-octogenaire-tuee-dans-un-accident-de-la-route

Carcassonne : un SDF de 52 ans retrouvé mort dans le canal du Midi

Les pompiers carcassonnais ont extrait le corps d'un homme sans vie des eaux du canal du Midi en début d'après-midi, entre le port de plaisance et le pont de la voie ferrée.
Alertés en début d'après-midi, les sapeurs-pompiers carcassonnais sont intervenus dans le canal du Midi pour repêcher le corps sans vie d'un homme. C'est entre le port du canal du Midi et le pont de la voie ferrée qu'un corps flottant à la surface avait été signalé à la police municipale, qui avait à son tour alerté les secours et la police nationale.
Un examen par le médecin légiste pour déterminer les causes de la mort
Sur les lieux peu après 15 h, les pompiers ont dû faire appel à leur équipe de plongeur pour ramener à la surface le cadavre. Si la police est intervenue pour procéder à l'enlèvement du corps, avec l'arrivée des services funéraires, aucune information pour l'heure sur les circonstances qui ont valu à la victime de se retrouver dans le canal.
Identifiée, la victime était âgée de 52 ans et vivait à Carcassonne, mais sans domicile fixe. L'examen qui devait être pratiqué par le médecin légiste dans la soirée devait permettre d'avoir plus de certitudes sur les causes de la mort du quinquagénaire.

http://www.midilibre.fr/2013/09/28/carcassonne-un-cadavre-retrouve-dans-le-canal-du-midi,763066.php

samedi 28 septembre 2013

Mort de Karine Moliné, Nanny des chiens de M6 : Un suicide par balles...

Le 7 septembre, le corps de Karine Molinié, nounou des toutous sur M6, était retrouvé dans la commune de Grimaud dans le Var. L'autopsie a révélé que la consultante de M6 s'est suicidée, comme le relatent nos confrères de Closer, en kiosques le 28 septembre. Son compagnon Gérald s'est livré, totalement déboussolé.
Elle a été retrouvée morte le 7 septembre sur une route de la commune de Grimaud, où elle habitait. Devenue populaire en présentant Au secours mon chien fait la loi sur M6, Karine Molinié se serait en réalité suicidée d'une balle dans la tête. Gérald, son compagnon depuis trois ans, ne s'en remet pas : "Elle traversait une période difficile, mais elle avait toujours le sourire. Je ne comprends pas." Au sujet de l'arme, il explique : "Cette arme, elle l'avait achetée pour se défendre. Elle avait eu des problèmes avec son ex-compagnon, qui l'avait ruinée. Il a fini en prison."

Depuis leur coup de foudre lors de leur rencontre au Groupement européen de comportementalistes canins, Gérald Porcu et Karine Molinié ne se quittaient plus. Il décrit leur relation comme fusionnelle et assure qu'ils étaient heureux.

Deux heures avant le drame, le couple s'était disputé. Il raconte : "Pour une broutille. D'ailleurs, quand je l'ai vue partir, je me suis dit qu'elle avait juste besoin de prendre l'air. Jamais je n'aurais pensé qu'elle puisse se tuer."

Karine avait vécu de terribles drames dans sa vie : son frère de 34 ans avait été emporté par un cancer foudroyant, sa mère de 65 ans vivait chez elle suite à un AVC, enfin sa chienne Egas, s'était noyée. Si Karine Molinié semblait forte, comme la décrit son compagnon, elle a malgré tout vécu de terribles chocs. Gérald voulait lui offrir une bague de fiançailles, il n'en a pas eu le temps


http://www.purepeople.com/

Essonne : la fillette enfermée dans une boîte est décédée

Elle n’a pas survécu à ses blessures.La petite fille de trois ans retrouvée jeudi inconsciente enfermée dans une boîte de rangement en plastique au domicile de ses parents est décédée hier soir, vendredi, à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne).
C’est en intervenant chez un père violent à Montgeron (Essonne), dans le quartier de la Prairie-de-l’Oly, que les policiers avaient découvert l’enfant enfermé dans une boîte, elle même dissimulée sous une couette.

Son père lui aurait assené avant cela plusieurs coups. Agé de 33 ans, il a été jeudi et était encore hier soir interné en hôpital psychiatrique.
La petite fille avait été plongée hier dans le coma avant de décéder quelques heures plus tard.

http://www.leparisien.fr/montgeron-91230/essonne-la-fillette-enfermee-dans-une-boite-est-decedee-28-09-2013-3178285.php

Charente-Maritime : un mort dans un accident sur l’île de Ré

Au volant d’un petit utilitaire le conducteur a quitté la route (sur la départementale 735) et a fini sa course dans le fossé.

Le passager, un habitant de Saint-Clément (17), a été tué sur le coup. Le conducteur, propriétaire d’une résidence secondaire sur la commune était dans un état grave à l’arrivée des pompiers.

Au point de faire appel à l’hélicoptère Dragon 17 pour faire transporter ce blessé vers l’hôpital de La Rochelle par les airs.

Sur place les raisons de cet accident mortel restaient pour l’heure inconnues.  Un malaise du conducteur ? Ou les conséquences des mauvaises conditions météorologiques déplorées aujourd’hui en Charente Maritime ?  Des pluies aussi soudaines que brutales sont observées depuis ce samedi matin.

http://www.sudouest.fr/2013/09/28/charente-maritime-un-mort-dans-un-accident-sur-l-ile-de-re-1183198-1520.php

Choc frontal mortel samedi matin à Mions

Un jeune homme de 23 ans est mort samedi matin après avoir violemment percuté un camion qui venait sur l'autre voie. L'accident a eu lieu vers 7 heures sur la D318 (route d'Heyrieux) à Mions. Les gendarmes lancent un appel à témoins pour recueillir toutes les informations concernant les circonstances de cet accident.
Le conducteur de la voiture, habitant dans le Nord-Isère, était en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des pompiers. Les secours n’ont rien pu faire pour le réanimer. Selon nos premières informations, l'automobiliste, qui roulait en direction de Saint-Pierre-de-Chandieu, se serait déporté sur la voie venant à contresens pour une raison encore indéterminée.

Le camion a terminé sa course en percutant le mur d'une maison. Le chauffeur, âgé de 46 ans est de la région grenobloise. Il a été transporté à l’hôpital.  Une  déviation a été mise en place à hauteur de l'accident. La circulation a été totalement rétablie vers 11h40.

Les gendarmes recherchent toute personne ayant été témoin de l’accident pour leur apporter des informations complémentaires. Vous pouvez prendre contact avec la gendarmerie de Mions au 04.72.90.17.70
Il y a un an, un accident mortel avait déjà eu lieu au même endroit.

http://www.leprogres.fr/actualite/2013/09/28/accident-grave-sur-la-route-d-heyrieux

Vitesse excessive : trois jeunes se tuent dans les Bouches-du-Rhône

Deux jeunes filles de 19 et 22 ans et un homme de 21 ans sont morts dans la nuit de vendredi à samedi après la sortie de route de leur véhicule à hauteur de Martigues.

L' accident de la route s'est produit vendredi soir à 23h54 à la sortie de l'autoroute A55 à hauteur de Martigues, à environ 30 km de Marseille . Selon les premiers éléments des investigations, confiées à l'unité CRS autoroutière, la voiture effectuait un dépassement sur le talus à une vitesse excessive.

Les opérations de désincarcération ont duré plus de deux heures, a précisé le centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis), qui a dépêché sur place une trentaine d'hommes.

Outre les victimes, un quatrième occupant, âgé de 24 ans, a été grièvement blessé et transporté à l'hôpital Nord de Marseille. Son pronostic vital n'est cependant pas engagé.
 

L’accident était un infanticide

Benoit, 39 ans et un physique passe-partout, a les yeux cernés et l’air aux abois. Il tend toutefois docilement les mains aux policiers qui l’escortent. Ces derniers lui passent les menottes. Direction le centre pénitentiaire de Nancy-Maxéville.
Le trentenaire vient d’être placé en détention, ce vendredi soir, par le juge des libertés de Nancy, Michel Le Guennec. Un peu plus tôt, en fin d’après-midi, il avait été mis en examen par une juge d’instruction pour « meurtre sur mineur de moins de 15 ans par ascendant ». Une qualification juridique qui lui fait encourir la réclusion criminelle à perpétuité et qui se traduit par un mot aussi simple qu’effrayant : infanticide.
Le trentenaire est soupçonné d’avoir tué son fils de 2 mois. Les faits remontent à dimanche matin. Les pompiers sont intervenus un peu après 8 h, dans l’appartement qu’il partage avec sa compagne de 26 ans, au n°1 de l’allée de Marken à Vandœuvre.
Les parents avaient appelé les secours parce que leur fils de 2 mois, Noa, était blessé. Suite à une chute accidentelle, selon les premières explications qu’ils ont fournies. Sur place, les pompiers ne sont pas parvenus à réanimer le petit garçon qui est décédé.
La mère de l’enfant a été interrogée par les policiers. Mais aussi et surtout le père. Celui-ci a raconté qu’il avait l’enfant dans les bras, qu’il a trébuché et qu’il est tombé avec lui. C’est ce qui aurait causé la blessure à laquelle il a succombé.
Les constations sur place n’ont pas permis dans un premier temps de mettre en doute cette version. Les parents ont donc été laissés libre. Mais, coup de théâtre, l’autopsie du corps du petit garçon a révélé mercredi qu’il avait subi des violences. Ses parents ont donc été placés en garde à vue à l’hôtel de police de Nancy jeudi matin.

Père écroué et mère laissée libre

Interrogé par les enquêteurs, le père a reconnu avoir frappé à plusieurs reprises l’enfant. « Il ne supportait pas ses pleurs », indique le vice-procureur Amaury Lacote. Quant au déroulement des faits, il y a pour l’instant des « incertitudes sur la nature et la fréquence des coups », a expliqué le juge des libertés. Avant d’ajouter qu’il y a « des contradictions » entre ce que montre l’autopsie, les aveux du père de Vandœuvre et ce que raconte son épouse.
Le juge des libertés a d’ailleurs en partie justifié sa décision de placement en détention du trentenaire pour « éviter une concertation frauduleuse » avec sa compagne. « Elle est effondrée. Elle n’a assisté à aucune violence. Elle dormait et a cru ce que son compagnon lui a dit sur la chute accidentelle avec l’enfant », affirme l’avocate de la mère, Me Dominique Tallarico. Sa cliente a toutefois été mise en examen pour « non dénonciation de mauvais traitements ».
Elle a été ensuite laissée en liberté sous contrôle judiciaire. Choquée, elle a dû être prise en charge par une équipe d’éducateurs. Elle devrait être confrontée à son mari dans les semaines à venir. Tous deux étaient totalement inconnus de la justice et de la police. Selon une source proche de l’enquête, ce drame s’inscrirait toutefois dans un contexte de toxicomanie.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/09/27/l-accident-etait-un-infanticide

vendredi 27 septembre 2013

Explosion sur un chantier à Paris : au moins trois morts

L'explosion, probablement accidentelle, s'est produite vendredi en milieu d'après-midi sur un chantier dans le sous-sol d'un immeuble dans le centre de la capitale. Le bilan fait état de trois morts et une personne grièvement blessées.

Trois personnes ont été tuées, une gravement blessée et une portée disparue dans une explosion , vraisemblablement accidentelle, qui s'est produite vendredi sur un chantier dans le sous-sol d'un immeuble du centre de Paris , ont annoncé les pompiers à l'AFP. 
Les ouvriers travaillaient à la réfection d'une cuve de fioul quand une déflagration, d'origine pour l'instant indéterminée, s'est produite vers 15h45 au premier sous-sol de cet immeuble de trois étages, 21 rue d'Enghien à Paris (Xe), qui abrite un ancien garage en cours de réfection au rez-de-chaussée. Trois morts ont été trouvés et un blessé grave a été évacué. Une autre personne était portée disparue peu après 18h, a-t-on précisé de même source. 
Une partie du sol du rez-de-chaussée
Selon les premières constatations, des vapeurs de fioul, accumulées dans la cuve sur laquelle les ouvriers travaillaient dans le sous-sol, se seraient enflammées en présence d'une flamme. Un poste médical avancé a été installé aux abords du 21 de la rue d'Enghien. Les sauveteurs s'apprêtaient peu avant 18h à rechercher avec des chiens spécialisés un autre ouvrier, sans doute bloqué sous les décombres.
L'explosion a fait s'effondrer une partie du sol du rez-de-chaussée. Le ministre de l'Intérieur Manuel Valls est arrivé sur place peu après 17h, a constaté un journaliste de l'AFP mais s'est refusé à toute déclaration. Le préfet de police de Paris Bernard Boucault s'est rendu sur place, ainsi que le laboratoire de la préfecture de police.
Le parquet de Paris, dont deux magistrats se sont rendus sur place, a ouvert une enquête pour "homicides involontaires", a dit à l'AFP une source judiciaire La brigade de sapeurs-pompiers de Paris a déployé sur place 143 hommes et 51 véhicules.
 

Trouvé mort dans les toilettes d'un hôpital

Un patient âgé de 70 ans a été retrouvé mort jeudi en fin d'après-midi dans les toilettes de l'hôpital de Dieppe, dix jours après sa disparition.

Selon les premières constatations, la porte était fermée de l'intérieur, "ce qui exclut toute intervention extérieure", a indiqué une source judiciaire. Un examen clinique n'a révélé rien de suspect, si ce n'est que le corps "commençait à se dégrader".

Gravement malade, le retraité "était en fin de vie. Il se savait condamné, il s'est sans doute laissé mourir", a déclaré Valérie Cadignan, procureur de Dieppe. Des investigations complémentaires ont été ordonnées par le parquet "pour essayer de comprendre" la disparition de ce patient et "les modalités qui ont été mise en oeuvre pour le rechercher", a-t-elle ajouté.


L'Agence régionale de santé de Haute-Normandie a ouvert de son côté une enquête administrative
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/27/97001-20130927FILWWW00421-trouve-mort-dans-les-toilettes-d-un-hopital.php

 .

Ciré-d'Aunis (17) : un retraité meurt dans une collision

Un retraité âgé de 71 ans a perdu la vie, hier vers 15 h 30, dans la collision frontale survenue entre la Peugeot 306 qu’il conduisait et un camion école dans lequel avaient pris place un instructeur et deux élèves. Ces derniers sont sortis indemnes du choc qui s’est produit sur la Départementale 5, entre Ciré-d’Aunis et Aigrefeuille-d’Aunis.
Malgré l’intervention du Smur, des pompiers et de l’hélicoptère Dragon 17 de la Sécurité civile, Serge Dubois est décédé. Il était domicilié à Nieul-sur-Mer, au nord de La Rochelle. Les gendarmes, dont une vingtaine se sont rendus sur les lieux, vont devoir déterminer pour quelle raison la voiture du retraité, qui circulait dans le sens Nord-Sud s’est déportée sur la voie de gauche. Un automobiliste qui précédait le poids lourd a déclaré aux gendarmes qu’il avait déjà évité la Peugeot 306 qui roulait déjà à gauche.

Une route dangereuse
Une déviation a été mise en place sur cette portion de route droite sur plusieurs kilomètres de long et construite sur l’emprise de l’ancienne voie de chemin de fer Rochefort-Aigrefeuille. Cet accident ne va pas freiner la réputation de route accidentogène de la Départementale 5.
En avril dernier, une mère et son fils étaient décédés au Thou tandis que durant le même mois, le pilote d’un scooter avait été percuté mortellement par une voiture à hauteur de Breuil-Magné.

http://www.sudouest.fr/2013/09/27/un-retraite-meurt-dans-une-collision-1181216-1306.php

Un Lorrain tué par un TGV ICE

Jeudi, vers 21h25, un TGV ICE allemand en provenance de Paris et se dirigeant vers Francfort a percuté un Forbachois de 43 ans à Cocheren, près de Freyming-Merlebach. Il était sur la voie qui longe Rosbruck, pour une raison que déterminera l’enquête, et il est décédé sur le coup.
La conductrice du train, choquée, a été vue sur place par les secours.
Les gendarmes de deux brigades et de la BR de Forbach, ainsi que la cellule d’identification criminelle de Metz ont effectué les premiers constats. Les enquêteurs se dirigeaient vers la thèse du suicide.
Le train, qui transportait environ 300 voyageurs, a pu reprendre sa route avec une heure de retard, et un nouveau conducteur.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2013/09/26/pieton-tue-par-un-tgv

Narbonne. Il perd le contrôle de sa moto, tuant son passager âgé de 16 ans

Hier en fin de matinée un terrible et dramatique accident a eu lieu rue de la Monnaie, dans le prolongement de la place des Quatre-Fontaines, accident qui a coûté la vie à un jeune homme du quartier de 16 ans.
Encore un accident mortel dans les rues de Narbonne, en 2008 la ville avait été le théâtre d’une terrible série noire, avec quatre accidents mortels en l’espace de quelques mois. Cette fois-ci et selon les premiers témoignages et éléments de l’enquête menée par le commissariat de police, il semblerait qu’une moto de cylindrée assez importante, une Kawasaki 750, serait arrivée de la rue Cabirol (prolongement de la place des Quatre-Fontaines, dans le quartier de la Parerie) avec une vitesse assez importante et aurait manqué le virage à gauche dans la rue de la Monnaie. Sur la moto, le conducteur, majeur, était équipé d’un casque de sécurité, en revanche son passager, un mineur âgé tout juste de 16 ans, ne portait pas de casque. En raison de la vitesse importante, la chute du deux-roues est inévitable, le conducteur perd le contrôle de la moto, cette dernière va glisser vers le trottoir et le heurter, les voisins entendent un choc assourdissant, le conducteur est blessé légèrement, en revanche le passager, qui aurait visiblement heurté une borne métallique (placée sur le trottoir) avec la tête, gît par terre et est inconscient. Les pompiers ne tardent pas à arriver et prodiguent les premiers soins au jeune homme qui a chuté, dont la blessure à la tête est très grave. Immédiatement il est conduit aux urgences, mais il décédera pendant le transport. L’enquête pour déterminer plus précisément les circonstances est en cours. Des vérifications concernant le permis de conduire de cette grosse cylindrée et une alcoolémie du conducteur (obligatoire en cas d’accident corporel) font partie des contrôles opérés par les enquêteurs de police.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/27/1718419-jeune-16-ans-tue-autre-blesse-moto.html

Gard : les invités du Spiripontain critiquent sa cuisine, il se pend

L'hôte était mort par strangulation après avoir tenté de se pendre vexé par les critiques de ses convives. Ces derniers n'avaient pas réalisé de la gravité de la situation. Ils comparaîtront ce vendredi 27 septembre devant le tribunal correctionnel de Nîmes pour non-assistance à personne en danger.
À Pont-Saint-Esprit, Christophe, 45 ans, avait préparé un repas bien arrosé. Après avoir beaucoup bu, ses convives ont finalement critiqué ses pâtes trop épicées. C’était le 28 décembre 2010.
Il n'a pas supporté les critiques


Visiblement, le cuisinier, ivre, n’a pas supporté les critiques. Il est allé chercher une corde, l’a jetée par-dessus la poutre de la cuisine et a passé la tête avant de se mettre à genoux. La corde s’est tendue, Christophe est devenu tout rouge. Dans cette ambiance particulièrement alcoolisée, les convives ont, malgré tout, compris que la situation dérapait et ont coupé le nœud coulant. Christophe, la corde toujours autour du cou, se serait alors relevé et allé se coucher. Personne n’a pensé à lui enlever la corde autour du cou.
Mort par strangulation
La fête s’est poursuivie sans lui. Le lendemain, les fêtards remis de leur soirée étaient de retour dans l’appartement. Ils ont tenté de réveiller le cuisinier. Christophe était décédé. Le médecin légiste Mounir Benslima a conclu à une mort par strangulation.
Non-assistance à personne en danger
Les invités de la victime comparaîtront ce vendredi 27 septembre devant le tribunal correctionnel. Ces quatre hommes sont âgés aujourd’hui de 44 ans, 52 ans 41 ans et 34 ans. Ils sont poursuivis pour non-assistance à personne en danger. On leur reproche, alors qu’ils étaient ivres, d’avoir fait preuve d’un manque de discernement et de prudence en n’aidant pas leur camarade Christophe et en n’appelant pas les secours.
"C’est un drame de la misère humaine. Ils n’avaient pas conscience du péril pour leur ami", assure Me Jean-François Corral qui défendra demain l’un des quatre hommes mis en cause.

http://www.midilibre.fr/2013/09/26/ils-critiquent-sa-cuisine-il-se-pend-les-convives-poursuivis,762249.php

jeudi 26 septembre 2013

Un adolescent s'immole par le feu

Le corps en partie calciné d'un adolescent de 17 ans, qui s'est semble-t-il immolé par le feu, a été découvert, jeudi, sur le parvis d'une église de Montluçon. Le corps de l'adolescent a été retrouvé en fin de matinée sur le parvis de l'église de Fontbouillant.
Selon le procureur, la mère de la petite amie de la victime est en possession d'une "lettre faisant état de la volonté du jeune homme de mettre fin à ses jours à la suite d'une rupture sentimentale".
 

Accident mortel dans les Landes : la victime avait 22 ans

Le choc frontal terrible déploré ce mercredi, vers 13 h 20, sur la départementale 402 qui relie Solférino à Labouheyre a coûté la vie à un jeune homme de 22 ans originaire de Luë. Pour des raisons que les enquêteurs tenteront de déterminer, sa Peugeot 406 est allée percuter en pleine ligne droite un camion de la Poste qui arrivait de Labouheyre.
Le chauffeur du 19 tonnes, un employé de 50 ans, n'a été que légèrement blessé. Pris en charge par les pompiers, il a été transporté vers le centre hospitalier de Mont-de-Marsan pour des radios de contrôle.

D'après les premiers éléments relevés par les gendarmes landais de l'Escadron départemental de sécurité routière (EDSR), la voie était parfaitement dégagée et cette portion du chemin départemental 402 n'avait jamais été endeuillée. Un témoin indirect avait été dépassé par la victime environ 1 kilomètre avant la collision mais ce chauffeur de poids lourd n'a pas vu la scène fatale.
Il convient de noter qu'un chien était également dans la voiture de la victime. Mais il est bien sûr encore trop tôt pour savoir si l'animal, qui  n'a pas survécu, pourrait être à l'origine de l'accident. 

http://www.sudouest.fr/2013/09/25/landes-grave-accident-sur-la-bretelle-de-l-a64-1179963-3472.php

Collision mortelle à Grandvillars

Belfort. L’accident s’est produit, hier après-midi vers 16 h, rue de Thiancourt, à Grandvillars. D’après les premières constatations et le récit d’un témoin, la vitesse excessive en serait la cause.
Le conducteur de la Peugeot 106, qui circulait en direction de Thiancourt à la sortie de Grandvillars sur cette petite route de campagne limitée à 70 km/h, s’est déporté dans une courbe et est venu heurter de plein fouet une Ford Fiesta qui venait en sens inverse. Le choc a été d’une violence extrême, comme en témoigne la photo. La petite 106 a reculé de plusieurs mètres pour se retrouver en travers dans le champ et les avants des deux voitures ont été réduits en bouillie. Les sapeurs-pompiers ont dû désincarcérer les deux conducteurs. Celui de la 106, un Dellois d’une soixantaine d’années, est mort sur le coup. Le conducteur de la Ford, un jeune de Joncherey de 23 ans, sérieusement blessé aux jambes, a été transporté aux urgences.
Le maire de Grandvillars, Christian Rayot, s’est rendu sur place et la route a été coupée pendant plus d’une heure. La gendarmerie a établi le constat. Des prises de sang ont été pratiquées sur les deux conducteurs pour savoir si l’alcool serait également en cause.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/26/collision-mortelle-a-grandvillars

Un mort dans une rixe alcoolisée

Un homme de 43 ans a été tué d'une décharge de fusil de chasse mercredi soir à Chevanceaux, en Charente-Maritime, après une dispute avec un ami, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.
Les faits se sont produits vers 22h30 dans cette commune d'un millier d'habitants du sud du département, ont précisé les pompiers, en ajoutant qu'ils n'avaient pu que constater le décès de la victime à leur arrivée.

Selon un élu municipal, "la victime est arrivée chez son ami très alcoolisée et a commencé à tout casser." L'occupant des lieux "a sorti son fusil de chasse et tiré". Les deux hommes, "sans activité et marginaux" se connaissaient bien et partageaient souvent "des soirées alcoolisées qui se terminaient par des bagarres", a encore précisé la source municipale, en ajoutant qu'une autre querelle violente les avait déjà opposés la semaine précédant le drame. L'auteur présumé des coups de fusil, âgé d'une cinquantaine d'années, a été arrêté par les gendarmes et placé en garde à vue.
 

Savignac-les-Ormeaux. Un mort et trois blessés graves dans un terrible accident de la route

La terrible collision s’est produite dans une légère courbe non loin de la zone artisanale de Savignac-les-Ormeaux. Neuf personnes ont été secourues par les pompiers.
Un terrible accident de la route s’est produit hier en début d’après-midi sur la RN20, aux environs de 13 h 50. Il s’agit d’une collision entre trois voitures, qui s’est déroulée à la hauteur du carrefour de la route de Perles et Castelet, non loin de la zone artisanale de Savignac-les-Ormeaux. L’accident a impliqué neuf personnes. L’une est décédée sur le coup, il s’agit de Mme Andrée Mauro, née Bavy, âgée de 84 ans et domiciliée à Toulouse. Cinq autres personnes ont été blessées. Il a d’ailleurs fallu en évacuer deux de toute urgence vers les hôpitaux toulousains de Purpan et Rangueil.
L’hélicoptère du Samu 31 et celui de la gendarmerie, généralement utilisé pour le secours en montagne, se sont chargés de cette tâche. Un dernier blessé, lui aussi sérieusement atteint, a été amené au centre hospitalier du Val d’Ariège. Les trois autres blessés ont été soigné sur place, leur état n’inspirait pas d’inquiétude.
Sur le terrain il y avait une trentaine de pompiers venus d’Ax-les-Thermes, Vèbre, Tarascon, Foix, Varilhes et Lavelanet, sous les ordres du capitaine Antoniutti. La sous-préfète de Pamiers, Hélène Caplat, s’est déplacée sur les lieux de l’accident.
La circulation a été coupée presque immédiatement sur la RN 20 pour permettre aux hélicoptères de se poser sur la route, ce qui a engendré un bouchon de plusieurs kilomètres. Elle a été rétablie aux environs de 16 h 40, une longue coupure de près de trois heures. Sur les circonstances de l’accident, on sait que la voiture où se trouvait Mme Mauro se dirigeait vers Ax-les-Thermes. En face arrivait une voiture rouge qui devait la croiser, mais un autre véhicule a déboîté derrière cette voiture afin de doubler. Il n’y avait ni la place ni le temps : la voiture qui doublait a percuté de face la voiture de la personne décédée. Le véhicule percuté est parti en travers et s’est littéralement disloqué sous le choc d’une extrême violence. La voiture rouge a été prise dans l’accident.
La mort de l’octogénaire toulousaine est la 7e cette année sur les routes du département. Le bilan des accidents mortels, qui était meilleur que l’an dernier, s’allonge d’un mort de trop.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/26/1717597-un-mort-et-trois-blesses-graves-dans-un-accident.html

La mère de Fiona passe aux aveux : la fillette morte sous les coups

Cécile Bourgeon, qui assurait jusqu’alors que sa fille avait disparu dans un parc alors qu’elle-même, enceinte, sommeillait sur un banc, a craqué sous les questions pressantes de la police judiciaire, selon une source proche de l’enquête: Fiona a été tuée à la suite de coups portés par son compagnon lors d’une soirée bien arrosée avec des amis, la veille ou l’avant-veille du 12 mai, date supposée de la disparition de la petite fille.
La fillette a ensuite été enterrée près de Clermont-Ferrand, a dit l’avocat de la mère, Me Gilles-Jean Portejoie, devant les locaux de la police judiciaire à Perpignan. Il n’a apporté aucune précision de lieu.
Cécile Bourgeon, toujours entendue mercredi soir à Perpignan, avait suscité la compassion de la France entière en exprimant son désarroi et son désespoir dans les médias, reprochant aux enquêteurs de ne pas aller assez vite pour retrouver sa fille.
Mais sa version des faits, soutenue également par son compagnon Berkane Maklouf, n’a pas résisté à des semaines d’investigations scrupuleuses de la part des policiers et a volé en éclats mercredi.
Le couple avait été placé en garde à vue mardi soir à Perpignan, où il avait emménagé il y a quelque temps.
Trois autres personnes sont gardées à vue dans cette affaire à Clermont-Ferrand. Comme la mère et son compagnon, elles sont soupçonnées d’avoir été présentes lors de la soirée fatale.
Cécile Bourgeon soutenait jusqu’à présent que la fillette de cinq ans avait disparu le 12 mai vers 17heures alors qu’elle jouait avec sa petite soeur au parc de Montjuzet, sur les hauteurs de la capitale auvergnate, et qu’elle-même, alors enceinte de six mois d’un enfant dont elle a accouché durant l’été, s’était assoupie.
Le procureur de Clermont-Ferrand, Pierre Sennès, disait initialement qu’il «n’y avait pas de raison de mettre en cause la parole de la mère», plusieurs témoins ayant corroboré la présence de Fiona dans le parc le jour de sa disparition.
Le parquet avait ouvert le 14 mai une information judiciaire pour «enlèvement et séquestration».
«Toxicomane notoire»
Mardi soir, une perquisition a eu lieu dans l’appartement loué par le couple dans un quartier populaire du nord de Perpignan. Les enquêteurs y sont restés jusqu’à 23h30. La voiture du couple a été saisie.
Des jeunes du quartier ont décrit Berkane Maklouf comme un «toxicomane notoire». «Dès qu’il est arrivé, il cherchait de l’héroïne et demandait où on pouvait en trouver», a dit l’un d’eux.
Mercredi, une perquisition avait lieu à l’ancien domicile de Cécile Bourgeon à Clermont, dans un immeuble du centre-ville.
«Les enquêteurs n’ont pas mis la mère en garde à vue rapidement car elle était enceinte, mais ils auraient bien aimé. Elle a accouché en août, ils ont attendu un mois pour la mettre en garde à vue», selon une source proche de l’enquête.
Dans un premier temps, l’enquête s’était concentrée sur l’entourage de la mère, notamment un Algérien de 34 ans à l’encontre duquel elle avait porté plainte un an plus tôt pour «viol et séquestration». Cécile Bourgeon a été entendue début septembre dans ce dossier comme partie civile à Clermont. Le parquet avait alors présenté cette affaire comme «distincte».
Depuis quatre mois, les enquêteurs ont aussi épluché les centaines d’appels reçus sur le Numéro Vert nationalmis en place au lendemain de la disparition, et évoquant une présence de Fiona aux quatre coins du pays.
Parmi ces témoignages, en juin, une femme assurait avoir aperçu la fillette sur une plage de Perpignan, où vit sa grand-mère.
«J’espère revoir ma fille en entier», a déclaré à Clermont-Ferrand le père de Fiona et de sa soeur Eva, Nicolas Chafoulais, alors que les aveux de son ancienne compagne sur le décès de la fillette n’étaient pas encore connus.
Me Claude Savary, l’avocat de Nicolas Chafoulais, s’est dit attristé par la nouvelle. «En tant qu’homme, je suis extrêmement peiné d’apprendre cette nouvelle. C’était parti sur un enlèvement, beaucoup de moyens ont été mis en place jusqu’au dénouement de ce soir», a-t-il dit. Il a expliqué n’avoir pas pu encore contacter son client, dont les relations avec Cécile Bourgeon n’étaient «pas au beau fixe» et celles avec Berkane Maklouf, «carrément désagréable».

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/25/la-mere-de-fiona-passe-aux-aveux

mercredi 25 septembre 2013

Venus finaliser une procédure, les gendarmes découvrent un cadavre

Les gendarmes de Saint-Julien-Chapteuil ont découvert le corps sans vie d’un homme de 54 ans, mercredi matin, à son domicile de «La Paravent» à Saint-Pierre-Eynac. Ils venaient finaliser une procédure suite à un accident survenu lundi et au cours duquel le quinquagénaire avait été contrôlé positif au dépistage d’alcoolémie.
La macabre découverte a eu lieu à 10h15, dans le jardin, au pied de l’habitation. Les gendarmes sont restés longuement sur place, rejoints par un médecin, un technicien en identification criminelle, la brigade de recherches et le commandant de la compagnie de gendarmerie du Puy-en-Velay.
Vers 13 heures, au terme des relevés sur place, les militaires concluaient à une mort accidentelle. L’homme aurait chuté depuis la fenêtre du premier étage de son habitation et aurait succombé à ses blessures.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/09/25/venus-finaliser-une-procedure-les-gendarmes-decouvrent-un-cadavre

Solférino (40) : un mort et un blessé grave sur la D402

Un choc terrible a été déploré ce mercredi, vers 13 heures, sur la départementale 402 qui relie Solférino à Labouheyre. Pour des raisons indéterminées, un poids lourd et une voiture qui se croisaient se sont percutés en pleine ligne droite.
La collision n'a laissé aucune chance au conducteur de la berline, littéralement pulvérisée. Le chauffeur du poids lourd, grièvement blessé, a été pris en charge par les pompiers et évacué vers l'hôpital.

D'après nos informations, un chien était également dans la voiture. L'animal n'a pas survécu à l'accident.

http://www.sudouest.fr/2013/09/25/solferino-un-mort-et-un-blesse-grave-sur-la-d402-1179782-3557.php

Deux conducteurs tués dans une collision

Brouillard ? Chaussée humide ? Assoupissement d’un des conducteurs ? Toutes les hypothèses restent probables pour l’heure. Dans la nuit de lundi à mardi, vers 4 h 40 du matin, un accident tragique s’est produit sur la RD 603, reliant Gravelotte à Rozérieulles.
Selon les premiers éléments de l’enquête, diligentée par les gendarmes de la brigade territoriale d’Ars-sur-Mosellle, le conducteur d’une première voiture se serait subitement déporté sur la gauche de la chaussée.
Dans cette portion de ligne droite en côte, il aurait alors percuté de plein fouet le véhicule conduit par Christophe Point, un Ban-Saint-Martinois de 40 ans.
Le choc a été très violent comme en témoignent l’état des carrosseries et les nombreux débris jonchant la chaussée. À l’arrivée des secours, venus des centres de Montigny-lès-Metz, Val de Moselle et Metz, Pol-Hector Klos et Christophe Point étaient décédés.
Sur place, les gendarmes ont procédé aux constatations d’usage et mis en place une déviation en direction de Metz. Divers prélèvements ont été réalisés pour comprendre les raisons de ce drame qui a coûté la vie à deux automobilistes qui rentraient, chacun, de leur travail. Les premiers résultats ne seront pas connus avant plusieurs jours.
Âgé de 44 ans et demeurant à Doncourt-aux-Templiers (Meuse), Pol-Hector Klos était l’un des cinq enfants de Pierre-Frédéric Klos. Décédé en octobre 2004, le fondateur du caveau des Trinitaires à Metz devait être à l’honneur ce soir. La Ville de Metz et l’association Metz en Scènes lui rendent hommage en apposant une plaque au Petit Théâtre des Trinitaires.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/25/deux-conducteurs-tues-dans-une-collision

Crash d’un avion d'affaires à Bron : les quatre victimes étaient des employés d’une entreprise de Belleville

Aucun des quatre passagers du bi moteur qui s’est écrasé mardi matin en bout de piste de l’aérodrome de Lyon-Bron n’a survécu au crash. Les victimes travaillaient toutes pour la Société Electrique du Rhône basée à Belleville dans le Beaujolais. Il s’agit du dirigeant de l’entreprise, de son fils, ainsi que de deux cadres qui se rendaient à Aix-en-Provence pour un voyage d’affaires.
Le Cessna qui s’est crashé mardi matin à 10h40 sur l’aérodrome de Lyon-Bron était piloté par le responsable de la Société Electrique du Rhône basée à Belleville, âgé de 64 ans.

A ses côtés, son fils, co-pilote, âgé d’une vingtaine d’années et deux autres membres de l’entreprise tous décédés sur le coup alors que leur appareil quittaient le sol pour un vol prévu jusqu’à Aix-en-Provence.

L'appareil avait pris feu immédiatement après le crash. Dans un premier temps, les pompiers avaient fait état de trois morts et d'un disparu. La quatrième personne décédée a été éjectée. Son corps été retrouvé en fin de matinée.
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de l'accident.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/09/24/crash-d-un-avion-de-tourisme-a-bron-les-quatre-victimes-etaient-des-employes-d-une-entreprise-de-Belleville

Accident mortel à Montjean : la circulation fortement perturbée

La circulation est totalement bloquée, ce mardi en fin d’après-midi, sur la route de Saint-Berthevin, à Montjean, en Mayenne.
Une collision entre une voiture et une moto s’est produite à l’intersection des routes départementales 32 et 124, vers 17 h 25. Malgré les efforts des secouristes, le pilote de l’engin, un homme d’environ 45 ans, est décédé.
Depuis le début de l’année, cinq motards ont trouvé la mort sur les routes de la Mayenne. Au total, ce nouvel accident porte à 16 le nombre de personnes tuées sur les routes de Mayenne depuis janvier.
 

mardi 24 septembre 2013

Chute mortelle pour un parapentiste

Dans des circonstances qui restent à préciser, un parapentiste de 45 ans est décédé cet après-midi à la suite d'une chute intervenue alors qu'il volait au-dessus d'un secteur montagneux sur la commune de Lambruisse, près de Saint-André-les-Alpes d'où il avait d'ailleurs décollé depuis le site du Mont Chalvet, très fréquenté par les adeptes de ce sport.

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/2545862/chute-mortelle-pour-un-parapentiste.html

Gironde : un motard tué dans une collision

Une collision entre une voiture et une moto s'est produite ce mardi matin, vers 7h45, sur la commune de Saint-Sulpice-et-Cameyrac.
Le choc a été fatal au motard, âgé de 21 ans. Lorsque les secours sont arrivés sur les lieux, le pilote était, hélas, décédé.

Une enquête de gendarmerie est en cours pour déterminer les causes de l'accident.

http://www.sudouest.fr/2013/09/24/saint-sulpice-et-cameyrac-33-un-motard-tue-dans-une-collision-1178476-5410.php

Drame de la séparation : Il tente d’égorger sa femme en pleine rue de Saint-Fons

« Je veux tourner la page, oublier tout cela et penser à mes enfants ». Zina garde les pieds sur terre même si en cette fin de matinée du 25 juin 2011, elle a pensé perdre la vie entre deux voitures sous les yeux de ses « petits ».
La scène se passe en plein centre-ville de Saint-Fons avenue Aristide-Briand où cette Tunisienne, comptable et parlant un français impeccable, voit surgir son mari dont elle s’est séparée deux mois plus tôt. Elyes Ben Abouker, 43 ans, surgit, un couteau à la main. Ni une, ni deux, il poignarde en visant la gorge, à trois reprises, sous l’œil effaré des passants, et demeure sur place attendant l’arrivée des secours et de la police.
Le président Bréjoux a posé le problème d’entrée de jeu : « Quand on plante un couteau effilé avec une lame de 11 cm dans la gorge de quelqu’un, qu’est qu’on cherche ? ». Réponse embarrassée de l’intéressé : « A blesser mais pas à tuer ». L’ennui avec ce garçon est qu’il esquive les questions gênantes. Difficile pour lui d’évoquer sa jalousie obsessionnelle, les menaces antérieures, la peur de l’infidélité de sa femme. Alors, à son propre mal-être qui « [l]’empêche de dormir pendant près d’une semaine », il faut trouver d’autres coupables. La belle-famille par exemple « qui fait pression sur Zina et qui pose des problèmes ». La marge de remise en cause est hélas limitée chez ce fils de cariste de l’aéroport de Tunis et qui pourtant, comme l’ensemble de sa famille restée au pays, fait l’objet des meilleurs renseignements. Son épouse le reconnaît elle-même : « Il est gentil serviable et travailleur, mais… ». Un « mais » terrible annonciateur de cieux orageux pour un couple né pourtant sous les meilleurs auspices. « Ce n’était pas un mariage arrangé, précise la victime. En venant en France, nous voulions fonder un foyer ». Pari réussi, en 2005, en s’installant à Lyon. Avec deux jobs et des salaires confortables. De quoi voir l’avenir avec le sourire. Mais les vieux démons d’Elyes l’ont repris. Sans doute moins à l’aise en France que sa moitié et sans véritables amis, s’est-il senti poussé en touche sans grand secours. Un terreau propice à la rumination et aux mauvaises pensées. Lorsque le matin même, il a acheté dans une grande surface deux couteaux tranchants, était-ce, comme il tente avec maladresse de le faire croire, pour faire un barbecue à Miribel avec ses enfants ? « Haussement d’épaules d’un président d’assises soulignant simplement : « Vous n’aviez pas acheté de viande pour le pique-nique ».
Reprises des débats ce mardi et verdict dans la soirée

http://www.leprogres.fr/faits-divers/2013/09/24/drame-de-la-separation-il-tente-d-egorger-sa-femme-en-pleine-rue-de-saint-fons

lundi 23 septembre 2013

Drame conjugal en Haute-Loire: Deux morts et une femme grièvement blessée

Un homme de 55 ans a tué un homme qu'il croyait être l'amant de son épouse, avant de tirer dans les jambes de celle-ci et d'aller se suicider, lundi en Haute-Loire, a-t-on appris auprès des gendarmes…
Le forcené a fait irruption lundi à 9H00 au domicile de l'amant supposé de la femme, à Beauzac (Haute-Loire), pour le tuer avec une arme, avant de se rendre dans autre maison où sa femme faisait des ménages et de lui tirer dans les jambes.
Il s'est donné ensuite la mort dans le jardin de cette maison, a-t-on ajouté de même source, confirmant une information du quotidien L'Eveil.

http://www.20minutes.fr/societe/1226609-20130923-drame-conjugal-haute-loire-deux-morts-femme-grievement-blessee

Côte d'Or : une fillette de 10 ans retrouvée morte, son père activement recherché

Intervenant pour un problème de non présentation d'enfant, les gendarmes ont découvert lundi matin le corps sans vie d'une enfant de 10 ans au domicile de son père à Tréclun en Côte d'Or, a appris MYTF1News de source proche de l'enquête. Le père est activement recherché.

Il était aux environs de 10h30 lundi matin quand des gendarmes de la brigade d'Auxonne ont découvert le corps sans vie d'une fillette de 10 ans au domicile de son père à Tréclun, en Côte d'Or, a appris MYTF1News de source proche de l'enquête. Selon nos informations, la fillette présenterait un coup sur la tête. A la base, les gendarmes s'étaient rendus sur place pour un problème de non présentation d'enfant. A l'arrivée des forces de l'ordre, le père était absent et est actuellement activement recherché. Un hélicoptère, deux maîtres chiens et des patrouilles pédestres ont notamment été déployés sur la zone. Le procureur de la République devait tenir un point presse à 15 h.
 

La conductrice percute un poteau et décède

«J'ai entendu un bruit comme une explosion », il était 7 h 45, dimanche, rue Charles-Guérin, à Château-Thierry. lorsque Jocelyne, une habitante du quartier est sortie de sa maison. Elle découvre un véhicule encastré dans un poteau électrique, plié sous la violence du choc. Dans cette rue pavillonnaire, la circulation n'est pas dense, si tôt le matin. « Mais les gens roulent vite, ça circule beaucoup dans la journée. »
Le courant a été coupé
La conductrice, une femme âgée 58 ans, aurait vraisemblablement fait un malaise, au volant de son véhicule. Elle s'est déportée sur la gauche de la chaussée, avant de monter sur le trottoir. « À mon arrivée, elle était consciente. Elle m'a demandé son médicament pour l'asthme », raconte Jocelyne, encore émue. Une infirmière, qui se rendait au travail, s'arrête également et procède aux premiers secours.
En attendant l'arrivée des pompiers, les deux femmes discutent et tentent de rassurer la conductrice, apparemment originaire du quartier des Vaucrises. Une dizaine de minutes après l'accident, les sauveteurs et la police arrivent sur les lieux. Ils ont stabilisé la victime, puis ont pris la direction du centre hospitalier de la ville. Grièvement blessée, la conductrice n'a pas survécu. Elle est décédée peu de temps après son extraction du véhicule.
Aucune autre personne n'a été blessée dans l'accident. La rue a été coupée 30 minutes en amont et en aval du poteau. Jocelyne et son mari craignent qu'un nouvel accident se produise, au vu de la faiblesse de la signalisation.
Le courant a été coupé en matinée
Le poteau de distribution, qui alimente plusieurs habitations est actuellement stabilisé par un camion d'Erdf. Le courant a été coupé dans une bonne partie de la rue Charles-Guérin, jusqu'à la rue de la Madeleine, toute la matinée. Des techniciens spécialisés devraient intervenir aujourd'hui pour déterminer la marche à suivre, à savoir s'il faut le remplacer ou s'il est possible de le consolider.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/la-conductrice-percute-un-poteau-et-decede-jna0b0n211026

La mère tente de pendre sa fille de 4 ans avec une ceinture

Une maman de 24 ans a tenté de pendre sa fillette de 4 ans avec une ceinture, samedi à Clermont-Ferrand. La jeune femme était, selon nos confrères de La Montagne qui relate ce drame, sous l’emprise de l'alcool et de médicaments. La fillette doit la vie au compagnon de la mère qui est intervenu. L’état de santé de la fillette n'inspirerait plus d'inquiétude. L'enquête devrait établir le déroulement précis des faits. La mère de famille devrait être poursuivie pour tentative d'homicide.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/09/22/la-mere-tente-de-pendre-sa-fille-de-4-ans-avec-une-ceinture

Un mort dans un accident de chasse dans le Lot-et-Garonne

Un homme âgé de 29 ans a été tué lors d'une partie de chasse dans le Lot-et-Garonne. Son entourage a entendu deux détonations alors qu'il s'apprêtait à tirer sur un faisan.

L'accident mortel est survenu pendant la chasse. Selon les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme, qui chassait avec son père sur la commune de Galapian, à 25 km au nord-ouest d'Agen, a reçu une décharge au visage aux alentours de 16h, selon les gendarmes et les pompiers. L'homme, en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours, a succombé à ses blessures sur place.

Selon les gendarmes, le père a indiqué avoir entendu deux détonations alors que son fils était descendu de leur véhicule pour récupérer son fusil avec l'intention de tirer sur un faisan. L'enquête a été confiée à la communauté de brigades de gendarmerie d'Aiguillon.
 

dimanche 22 septembre 2013

Sainte-Marie la mer : une femme de 58 ans retrouvée noyée dans sa piscine

Samedi en fin de journée, une dame de 58 ans a été retrouvée au fond de sa piscine à Sainte-Marie-la-Mer.
Malgré l'intervention rapide des sapeurs-pompiers, la victime, en arrêt cardio-respiratoire à leur arrivée, n'a pu être sauvée.

Une enquête, qui semble s'orienter vers la thèse accidentelle, a été ouverte par la gendarmerie de Canet-en-Roussillon.

http://www.lindependant.fr/2013/09/22/sainte-marie-la-mer-une-femme-de-58-ans-retrouvee-noyee-dans-sa-piscine,1792317.php

Un corps découvert sur la voie ferrée à La Roche-sur-Foron

Ce matin, aux alentours de 9 h, le corps d’un homme de 57 ans a été retrouvé sur la voie ferrée, proche de l’avenue Pasteur. Selon les premiers éléments de l’enquête, il semblerait que celui-ci ait été percuté par un train, reliant La Roche à Saint-Gervais, samedi soir. Les investigations ont permis de retrouver son véhicule et de comprendre qu’il s’agissait d’un suicide. Le trafic ferroviaire, au départ de la gare rochoise, sur cette voie-là, a été interrompu pendant près de deux heures.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2013/09/22/un-corps-decouvert-sur-la-voie-ferree-a-la-roche-sur-foron

Wimille : un vigile de la Continentale Nutrition perd la vie accidentellement

Un accident mortel s’est produit dans la nuit de vendredi à samedi à Wimille sur le site de la plateforme logistique de la Continentale Nutrition, société spécialisée dans la nourriture pour chiens et chats.
Un vigile âgé de 53 ans, Jean-Marc Pruvost, demeurant vraisemblablement à Marquise, a perdu la vie écrasé par le lourd portail d’entrée long de 20 mètres et faisant deux mètres de hauteur.
Qu’a-t-il bien pu se passer ? Quand les sapeurs-pompiers de Boulogne-sur-Mer sont arrivés sur les lieux vers 6 h 15, la victime était coincée sous la barrière laquelle était sortie de son rail. Ils ont alors utilisé des coussins d’air pour la soulever et extraire l’agent de sécurité. Malheureusement, ils ont dû constater le décès du gardien, employé par la société de gardiennage GSE implantée à Marquise.
L’enquête de police permettra d’élucider les circonstances du drame, notamment s’il est dû à un dysfonctionnement de la barrière. La victime aurait eu un contact téléphonique avec son patron vers 5 h 55, juste avant de quitter son poste à 6 h. Était-ce pour parler des difficultés à fermer le portail ? L’agent a-t-il essayé de le décoincer à la force des bras ? Autant de questions qui seront au cœur de l’enquête.


http://www.lavoixdunord.fr/region/wimille-un-vigile-de-la-continentale-nutrition-perd-la-ia31b49062n1559704

Le procès du drame de Guémar s'ouvre lundi devant la cour d'assises du Haut-Rhin

Joseph Muller, 63 ans, est jugé aux assises de Colmar à partir de lundi et pendant 3 jours pour meurtre et tentative de meurtre. Dans la nuit du 11 au 12 juin 2009, excédé par le bruit en bas de chez lui, il avait ouvert le feu, tuant un piéton et blessant grièvement un automobiliste.
Pendant les quatre années d'instruction, l'avocat de la défense, Thierry Moser, a suivi la même ligne : son client n'avait pas l'intention de tuer. Ce point sera largement débattu lors des trois jours du procès.
Joseph Muller a passé environ onze mois en détention provisoire, après quoi il a été placé sous contrôle judiciaire, avec l'interdiction de résider à Guémar.



http://alsace.france3.fr/2013/09/22/le-proces-du-drame-de-guemar-s-ouvre-lundi-devant-la-cour-d-assises-du-haut-rhin-323215.html

Maisons-Alfort : à 83 ans, le mari jaloux étrangle sa femme

Elle lui a avoué qu’elle le trompait alors il l’a tué. Un homme de 83 ans a étranglé sa femme de 80 ans, ce samedi après-midi à Maisons-Alfort (Val-de-Marne), alors qu’elle venait de lui annoncer qu’elle avait un amant.

L’homme aurait commencé par la frapper à la
. Selon les aveux de l’octogénaire, devant tant de violence et prise de remords, la retraitée aurait attrapé une cordelette et menacé son époux de se suicider.
Finalement, emporté par la colère, c’est le mari qui s’est emparé de ce lien et a étranglé celle qui partageait sa vie depuis de très longues années.

Il a été placé en garde à vue. L’enquête a été confiée au commissariat de Maisons-Alfort.


http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/maisons-alfort-a-83-ans-le-mari-jaloux-etrangle-sa-femme-21-09-2013-3157313.php

Deux morts carbonisés dans un accident

Cette nuit, un peu avant quatre heures du matin, un véhicule qui roulait manifestement à une vitesse très élevée a percuté un arbre à l'entrée de Rognonas après avoir franchi le pont en venant du Vaucluse. Coupée en deux sous l'effet du choc, la BMW aurait immédiatement pris feu, ne laissant aucune chance a ses deux occupants qui n'ont toujours pas pu être identifiés.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2541941/deux-morts-carbonises-dans-un-accident.html

Meuse : un mort dans un crash d’ULM

Verdun. Ils sont arrivés trop tard. Les membres de l’aéro-club de Marville ont vu un ULM se crasher sur une des pistes de l’aérodrome. Et s’enflammer… Ils ont vite saisi des extincteurs et s’y sont précipités. Mais le pilote de ce monoplace coqué était déjà mort.
L’accident s’est déroulé peu avant 18 h ce samedi soir. Le pilote, Jacobs Toon, un Belge de 70 ans, venait tous les week-ends se faire une balade en planeur.
Il avait plus d’un millier d’heures de vol derrière lui et était venu essayer un ULM de sa fabrication, le 7e au moins, qui était stationné sur l’aérodrome de Marville.
D’après les premiers éléments de l’enquête diligentée en premier lieu par la brigade de gendarmerie de Stenay, le pilote aurait pris un virage un peu trop serré. Le planeur, en touchant le sol, s’est enflammé après avoir rebondi à plusieurs reprises sur la piste d’atterrissage.
Une dizaine de pompiers des centres de Verdun, Marville et Stenay se sont rendus sur place afin de sécuriser les lieux.
Une équipe du SAMU de Verdun s’est également déplacée : elle a vite fait demi-tour, impuissante face à la situation.

Enquête de la brigade des transports aériens

Comme dans tous les accidents mortels de ce type, la brigade de gendarmerie des transports aériens de Metz s’est rendue sur les lieux : c’est elle qui prendra le relais de l’enquête des militaires locaux. Une équipe de la cellule d’investigation criminelle de Bar-le-Duc est chargée de recueillir les indices sur place. La dépouille de Jacobs Toon a été transportée à l’hôpital de Verdun où un médecin légiste pratiquera un examen de corps.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/09/21/meuse-un-mort-dans-un-crash-d-ulm

samedi 21 septembre 2013

Pyrénées : un vététiste se tue

Un homme de 45 ans, qui pratiquait le VTT sur les pentes de la station des Angles dans les Pyrénées-Orientales, s'est brisé les vertèbres cervicales dans une chute en début d'après-midi et est décédé, a-t-on appris auprès des secours.

Les pompiers et le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) ont été alertés vers 14h00 par les secouristes de la station, qui surveillent l'été les pistes de ski réaménagées en pistes de VTT, peu après la chute de cet homme.

L'accident s'est produit à mi-hauteur des pentes de la station vers 2.000 mètres d'altitude. Ce vététiste confirmé a décollé sur l'une des bosses du parcours et a fait "un soleil", passant par dessus son vélo avant de tomber sur la tête, a expliqué un membre du PGHM.


 La victime, originaire du département voisin de l'Aude, était venue avec quelques amis pratiquer le VTT aux Angles. Elle n'a pu être ranimée malgré l'intervention rapide de médecins du Samu venus à bord d'un hélicoptère de la Sécurité civile, et assistés par trois gendarmes du PGHM qui les ont rejoints par voie terrestre.

Le quadragénaire est décédé sur place, les vertèbres cervicales brisées malgré le casque qu'il portait avec les autres protections liées à son sport (genouillères et coudières).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/09/21/97001-20130921FILWWW00433-pyrenees-un-vetetiste-se-tue.php

Chute mortelle d'un alpiniste au Mont-Blanc

Un alpiniste britannique, âgé d'une trentaine d'années, a chuté mortellement samedi dans le couloir du Goûter situé sur la voie normale d'accès au Mont-Blanc, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
La victime, "sans doute déséquilibrée", est tombée alors qu'elle se trouvait avec quatre amis dans un secteur particulièrement dangereux, surnommé le "couloir de la mort" en raison des chutes de pierres continues, a précisé la même source. Le 7 septembre dernier, dans ce même couloir, un alpiniste brésilien de 80 ans avait succombé à une chute provoquée par un malaise.
 

Porté disparu depuis vendredi, un septuagénaire est retrouvé sans vie près de Rosières

Un homme de 71 ans a été retrouvé mort, ce samedi à 10h10, à une cinquantaine de mètres de son domicile de « Lachaud-de-Rougeac » près de Rosières. Parti se promener vendredi après-midi, l’homme était resté introuvable en dépit de recherches entreprises durant la nuit par les gendarmes
L’homme avait quitté son domicile vers 15h45 pour sa promenade quotidienne. En fin d’après-midi, sa famille entreprenait les premières recherches avant d’aviser la gendarmerie à 20h30.
Une douzaine de gendarmes a sillonné la campagne rosiéroise jusqu’à 4 heures du matin. Les recherches ont repris ce samedi à 9 heures et devaient recevoir le renfort d’un hélicoptère.
Un renfort inutile puisque le corps sans vie du septuagénaire a été retrouvé à une cinquantaine de mètres de son domicile peu après. Une enquête est ouverte et privilégie l’hypothèse d’une mort naturelle ou accidentelle.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/09/21/porte-disparu-depuis-vendredi-un-septuagenaire-est-retrouve-sans-vie

Malause. Il abat son cousin sur le perron de sa maison pour une rivalité amoureuse

Abattu par cinq à six coups de pistolet et de fusil, un homme de 40 ans est mort, dans la nuit de jeudi à vendredi, devant le pavillon d’un couple et ses deux enfants, situé sur les coteaux de Malause.
Il était près de 22 heures lorsque le centre opérationnel de la gendarmerie (COG) de Montauban reçoit l’appel d’un riverain affolé résidant chemin de Las Molles, juste au-dessus des grandes serres du pépiniériste Lannes. «J’ai entendu six à sept détonations chez mes voisins» témoigne-t-il aux gendarmes. Des coups de feu entendus jusqu’au cœur du village. «Tout le monde a entendu, jeudi soir, les multiples détonations» assurait un Malausain croisé hier matin près de l’école. Devant les risques encourus par les secours, personne ne sachant à ce moment-là s’il s’agissait d’un forcené retranché dans sa maison, le colonel Christophe Daniel, le patron du groupement de gendarmerie de Tarn-et-Garonne, décidait de mobiliser des effectifs avant d’intervenir. Près de 35 gendarmes du secteur directement supervisés par les colonels Daniel et Gautheur rendus sur place, bouclaient le secteur. Un quartier où les militaires découvraient un important regroupement de familles appartenant à la communauté des gens du voyage du village et de Boudou. Une quarantaine de personnes informée du drame qui venaient de se produire entre deux membres de la même famille - deux cousins portant le même nom - étant arrivé sur les lieux du crime. La zone sécurisée, les gendarmes laissaient intervenir les pompiers valenciens et l’équipe du Samu. En vain. La victime, un Malausain de 40 ans, baignant dans une flaque de sang était déjà décédé des suites des tirs dont il avait été la cible.

Les armes du tueur présumé retrouvées

Des douilles d’un pistolet 7,65 mm et d’un fusil de chasse calibre 12 étaient retrouvés dans l’herbe humide du perron du pavillon par les enquêteurs de la brigade de recherche (BR) de Castelsarrasin chargés des investigations. Rejoints par deux techniciens en identification criminelle (TIC), les enquêteurs ont ainsi collecté de nombreux indices durant toute la nuit et jusqu’à hier après-midi. Aux prélèvements ADN, les experts de la police scientifique pouvaient compter sur l’analyse des armes à feu retrouvées sur la scène de crime. Manifestement résigné, le présumé meurtrier âgé de 39 ans et cousin de la victime, n’aurait semble-t-il, pas fait de résistance à son arrestation. Ce Malausain, né à Montauban, locataire du pavillon où s’est situé l’homicide aurait avoué son crime dès les premières heures de sa garde à vue à la brigade de Moissac.
Des auditions durant lesquelles le présumé tueur aurait donné le mobile de son geste macabre. Selon nos informations, son couple aurait connu aux printemps derniers des difficultés. Sa compagne ayant quitté le domicile conjugal avant d’y revenir. Une période durant laquelle elle aurait entretenu une relation avec l’un des cousins de son compagnon. Ce dernier ne supportant pas la séparation avec sa maîtresse, aurait débarqué jeudi soir au domicile du couple. Une violente dispute aurait alors éclaté entre les deux cousins, se concluant par le décès de Maurice A. Son corps a été autopsié dans l’après-midi à l’institut médico-légale de Rangueil. Hier soir, les auditions du mis en cause se poursuivaient. Ces dernières devraient s’achever, cet après-midi, avec le probable déferrement du meurtrier présumé devant le procureur de la République et un juge d’instruction. Des magistrats qui devraient être aussi attentifs au lourd passé judiciaire du mis en cause
http://www.ladepeche.fr/article/2013/09/21/1714150-malause-abat-cousin-perron-maison-rivalite-amoureuse.html