vendredi 28 février 2014

Nouveau suicide à la prison de Luynes

Un détenu de 37 ans, condamné pour vols, a été retrouvé pendu aujourd'hui dans sa cellule de la maison d'arrêt de Luynes, près d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), selon le parquet.

"Il a été découvert aux environs de 14H dans sa cellule qu'il occupait seul et n'a pu être sauvé. Il a laissé un petit mot qui confirme la thèse très probable du suicide", a déclaré le procureur de la République d'Aix-en-Provence, Dominique Moyal. "Suivi sur le plan psychiatrique", ce "multirécidiviste" se trouvait "en détention pour une peine de six mois et était libérable en mai", a-t-elle précisé.

Une information judiciaire pour recherche des causes de la mort a été ouverte et une autopsie est prévue en début de semaine prochaine, selon la magistrate.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/28/97001-20140228FILWWW00329-nouveau-suicide-a-la-prison-de-luynes.php

Dordogne : il se tue contre le mur du cimetière

Ce jeudi, vers 16 heures, un homme qui pilotait un quad Yamaha sur la départementale 710, dans le sens Saint-Meard-de-Drônne - Riberac a, pour une raison indéterminée, à la sortie du bourg, quitté son axe de circulation et est allé heurter sur le coté opposé l'entrée du cimetière.
Sans doute déséquilibrée par le choc sa tète a heurté l'angle du mur, faisant voler en éclats son casque protecteur. L'homme est mort sur le coup. Le véhicule a continué sa route, en longeant le mur, pour s'arrêter une cinquantaine de mètres plus loin à l'extrémité d'une petite aire de stationnement.
L'accident s'est déroulé sans témoins, c'est un automobiliste de passage qui a découvert la victime, âgée de 59 ans, habitant Antonne-et-Trigonant. Les pompiers du centre de secours de Ribérac rapidement sur les lieux n'ont pu que constater son décès.

http://www.sudouest.fr/culture/musique/

Accident mortel entre Tourves et Brignoles

La Sécurité civile de Brignoles est en deuil. Un de ses hommes a perdu la vie ce matin alors qu'il se rendait sur le lieu de son travail. A 6h40, pour des raisons qui restent à déterminer, la victime a perdu le contrôle de son véhicule entre Tourves et Brignoles. Son passager grièvement blessé a été héliporté vers le centre hospitalier interarmées de Sainte-anne à Toulon.
Que s'est-il passé sur la RDn7 entre Tourves et Brignoles à la hauteur du lieu-dit "La Blanque", ce vendredi matin ? L'enquête diligentée par les gendarmes de la brigade de Brignoles devra déterminer les causes de l'accident qui a coûté à la vie à un jeune sapeur du Camp Couderc. Quoi qu'il en soit, le conducteur de la Fiat Punto a perdu le contrôle de son véhicule avant d'aller percuter un platane. Un choc violent auquel il n'a pas survécu comme ont pu le constater les sapeurs-pompiers de Brignoles lors de leur arrivée sur place. Le passager du véhicule, grièvement blessé, a été hélipporté vers l'hôpital Sainte-Anne à Toulon.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/accident-mortel-entre-tourves-et-brignoles.1639089.html

Paris : une mère tue ses deux enfants et se suicide

Une mère de famille a été découverte morte ainsi que ses deux enfants, ce vendredi 28 février, vers minuit à son domicile, situé rue du Rendez-vous, à deux pas de la place de la Nation, dans le XIIe arrondissement à . C’est le père de famille qui a fait la macabre découverte.
Selon les premières constatations, la mère, âgée de 35 ans aurait tué ses deux enfants, âgés de 1 et 4 ans, en les étouffant avant de mettre fin à ses jours en se pendant.
 
Plusieurs équipes médicales du Samu ont été dépêchées sur place pour porter secours aux victimes. En vain.

Pour l’heure, les raisons de ce geste n’ont pas été déterminées. Les enquêteurs de la brigade de protection des mineurs (BPM) de la police judiciaire parisienne ont été chargés des investigations.


http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-une-mere-tue-ses-deux-enfants-et-se-suicide-28-02-2014-3630963.php

jeudi 27 février 2014

Rueil-Malmaison: un élu met fin à ses jours

Un conseiller municipal aurait mis fin à ses jours cet après-midi à Rueil-Malmaison, dans les locaux de l'hôtel de ville, rapporte le Parisien. Patrick Ollier, député-maire UMP de la commune, serait actuellement auprès de l'épouse de l'élu. Le drame se serait déroulé vers 17h30.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/27/97001-20140227FILWWW00340-rueil-malmaison-un-elu-met-fin-a-ses-jours.php

Une enquête complémentaire après le décès d’un enfant

THIERACHE (02). Dimanche matin, des parents ont découvert, à leur réveil, le corps inanimé de leur enfant, âgé de 4 ans. Les gendarmes ont immédiatement été avisés et ont décidé d’ouvrir une enquête. L’enfant était soigné pour une rhinopharyngite. Il avait ce week-end une forte fièvre. L’enfant ayant déjà été victime de convulsions à plusieurs reprises, les parents étaient inquiets pour son état de santé.
Les secours ont alors été appelés une première fois durant l’après-midi du samedi. le médecin de garde avait d’ailleurs vu l’enfant à ce moment-là. Ne voyant pas son état s’améliorer, les parents ont rappelé les secours dans la soirée. Aucune mesure d’hospitalisation n’avait alors été décidée. Resté au domicile, l’enfant est décédé dans la nuit.

Absence de traces suspectes

Saisi, le parquet de Laon a ordonné une autopsie. Elle a eu lieu mardi matin. Les résultats ont été connus mercredi. L’examen n’a révélé aucun élément suspect, ni aucune trace de lésion. Le rapport conclut a un décès par inhalation.
Afin de déterminer la cause médicale précise de la mort, des analyses toxicologiques, bactériologiques et anatomopathologiques ont été demandées. Les bandes sonores relatant les conversations des parents avec les secours ont également été saisies afin de connaître la teneur des échanges et de savoir s’il y a eu un problème concernant la prise en charge.
Cette enquête complémentaire diligentée par le parquet de Laon n’a toutefois pas empêché la délivrance du permis d’inhumer. Les parents pourront donc procéder aux obsèques de leur enfant.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/une-enquete-complementaire-apres-le-deces-d-un-enfant-ia0b0n307347

Accident. Collision à Montigné-lès-Rairies : un adolescent tué

Une collision est survenue ce jeudi 27 février, sur une route départementale, à Montigné-les-Rairies, au nord-est du Maine-et-Loire.

L'accident s'est produit sur une route départementale en direction de Baugé, à Montigné-lès-Rairies, à 40 km au nord-est d'Angers, près des limites de la Sarthe. Peu avant 8 h, ce jeudi matin, une violente collision a impliqué une automobiliste seule à bord de sa voiture et un cyclomotoriste. Dans le choc, ce dernier, âgé de 16 ans, n'a pas survécu à ses blessures. La conductrice de 52 ans a été conduite au CHu d'Angers.
Les circonstances de cet accident restent à déterminer : la gendarmerie est chargée de l'enquête.

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/maine-et-loire/montigne-les-rairies-49430#from-breadcrumb

AMIENS (80) : un mort dans l’accident sur la rocade

Un automobiliste a perdu le contrôle de sa voiture, une Dodge Avenger, alors qu’il circulait sur la rocade d’Amiens, entre Amiens nord et Longueau, mercredi soir, à 19 h 40.

La voiture a percuté le rail de sécurité avant de s’immobiliser dans le bas-côté. Le conducteur âgé d’une cinquantaine d’années est décédé.

http://www.courrier-picard.fr/region/amiens-80-un-mort-dans-l-accident-sur-la-rocade-ia201b0n324127

Castelginest. Un mort dans la violente explosion d'une maison

Un homme âgé d’une quarantaine d’années a été retrouvé mort dans les décombres d’une maison soufflée par une violente explosion, hier, en fin de journée à Castelginest, dans le Nord-Est toulousain. Le souffle a secoué tout ce quartier de la route de Villemur, à la sortie de la commune, en direction de Gratentour. Plusieurs débris de verre et des morceaux d’acier ont été projetés à cinquante mètres de la maison. Celle-ci a été en grande partie détruite. L’explosion a sans doute été provoquée par le gaz. «L’odeur y ressemble», a lâché un témoin. C’est seulement vers 20 heures que les sapeurs-pompiers ont pu extraire le corps de la victime qui n’était toujours pas identifiable à ce moment. Une enquête a également été ouverte pour lever le voile sur cette tragédie dont on ignorait, hier soir encore, les véritables raisons.
Seuls quelques mauvais souvenirs remontaient au fil des heures… Sur place rapidement, le maire la ville, Grégoire Carneiro, a confié qu’«il y a quelques années, dans la même maison, une explosion, moins violente mais spectaculaire, avait fait un blessé». L’hypothèse que ce soit la même personne qui vivait toujours là n’était pas écartée.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/27/1828331-castelginest-un-mort-dans-la-violente-explosion-d-une-maison.html

Pradons : accident mortel sur la D579

Le Sud-Ardèche a été le théâtre d’un nouveau drame de la route hier, sur la départementale 579, à la sortie sud de Pradons.
Il était 8 heures lorsqu’une Citroën C3, se dirigeant vers Ruoms, est venue heurter, pour une raison indéterminée, une semi-remorque Renault chargée de palettes de bois et circulant en sens inverse, en direction d’Aubenas. Après ce premier choc, sa direction ne répondant plus, le conducteur du poids lourd, immatriculé dans le Gard, a perdu le contrôle de son véhicule, qui est venu percuter une Dacia Logan.

Trois blessés dans le second véhicule percuté

Au volant de la Citroën, une dame âgée de 83 ans, originaire de Balazuc. Désincarcérée par les secours, elle succombera malheureusement à ses blessures.
La Logan, immatriculée en Ardèche, a quant à elle été projetée en contrebas de la chaussée, et s’est retrouvée coincée par le camion. Ses trois occupants ont, eux aussi, dû être désincarcérés par les pompiers. Ils ont été évacués vers le centre hospitalier d’Aubenas. Le chauffeur serait plus sérieusement blessé que ses deux passagers.
Quant au conducteur du camion, il est indemne.
Une troisième voiture, circulant entre les deux accidentées, n’a pas été touchée.
Sur les lieux, d’importants moyens ont été déployés : 19 sapeurs-pompiers de Ruoms, Vallon-Pont-d’Arc, Largentière et Aubenas, une infirmière du Teil, le chef de groupe d’Aubenas et le commandant Alain Laratta sont intervenus. Tout comme une dizaine de gendarmes de la communauté de brigades Vallon-Pont-d’Arc/Ruoms, le Psig de Ruoms, la brigade motorisée d’Aubenas et le commandant Streissel de la compagnie de Largentière, le Smur d’Aubenas et le Dr Romain Mexis de Ruoms.
Une circulation alternée a été mise en place jusqu’à la mi-journée, jusqu’à ce que la semi-remorque soit enlevée par une entreprise d’Alès et la chaussée dégagée

http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/02/27/une-octogenaire-decede-dans-un-accident-nhxm

mercredi 26 février 2014

Tentative de meurtre. Un homme écroué pour avoir immolé sa compagne

Âgé de 38 ans, il avait aspergé sa victime d'alcool et allumé un briquet. La femme n'a dénoncé les faits que trois ans et demi plus tard.

Un homme de 38 ans a été mis en examen pour tentative de meurtre aggravé, par un juge d'instruction, cet après-midi à Rennes. Un juge des libertés l'a ensuite placé en détention provisoire. En garde à vue, il aurait reconnu avoir aspergé sa femme d'alcool à brûler avant de mettre le feu à ses vêtements, le 2 juillet 2010 dans leur appartement rennais.
La victime avait juré à son compagnon de ne pas le dénoncer. Aux policiers et aux pompiers, elle avait déclaré qu'elle s'était brûlée toute seule, en voulant mettre le feu à des vieilles photos. Cette femme avait passé 19 jours dans le coma, en juillet 2010 au service des grands brûlés du CHU de Nantes.
Ce n'est que plus de trois ans et demi plus tard qu'elle a dénoncé les faits. Son agresseur a été interpellé lundi dernier

http://www.ouest-france.fr/tentative-de-meurtre-un-homme-ecroue-pour-avoir-immole-sa-compagne-1961274

Aubervilliers : un employé du ministère du Travail se suicide

Un employé administratif, qui travaillait dans un service régional du ministère du Travail à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), s'est donné la mardi sur son lieu de travail. Il s'agit d'un adjoint administratif d'une trentaine d'années, qui s'occupait du «Fonds social européen» à la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la , du travail et de l') d'Ile-de-France, selon le ministère.
 Une enquête de police est en cours même si tout porte à penser qu'il s'agit d'un suicide 

http://www.leparisien.fr/faits-divers/actualites-informations-videos-faits-divers.php

Dordogne : un homme de 78 ans meurt dans un accident de la route

Ce mercredi, vers 10h30, un homme de 78 ans est mort dans un accident de la route sur la D675, sur le territoire de la commune de Saint-Martial-de-Valette, près de Nontron, en Périgord.
D'après les premières constatations sur place, la victime aurait perdu le contrôle de sa voiture, une Peugeot 307, et serait allée heurter le camion benne qui arrivait en face.
Quand les pompiers sont arrivés sur les lieux de l'accident, l'homme de 78 ans était déjà en arrêt cardiaque. Le conducteur du camion n'a, lui, aucune blessure. 

http://www.sudouest.fr/2014/02/26/dordogne-un-homme-de-78-ans-meurt-dans-un-accident-de-la-route-1474064-1980.php

Incendie à Trignac. Une femme périt dans le feu de sa maison

Des voisins ont alerté les secours dans la nuit de mardi à mercredi. Les pompiers n'ont pu ranimer l'habitante de la maison.

L'incendie s'est déclaré peu avant 2 heures cette nuit dans une habitation de la rue Pierre-Brossolette à Trignac. Les voisins ont signalé que des flammes sortaient par une fenêtre.

Les causes de l'incendie à déterminer

La reconnaissance a été menée par les pompiers au rez-de-chaussée, mais l'ampleur de l'incendie ne leur a pas permis de monter à l'étage où se trouvait l'occupante. Les causes de l'incendie restent à déterminer.

http://www.ouest-france.fr/incendie-trignac-une-femme-perit-dans-le-feu-de-sa-maison-1960974

Réalmont. Une piétonne de 81 ans tuée par un camion

Jacqueline Croisier, habitante de Réalmont âgée de 81 ans, a été renversée par un poids-lourd hier matin alors qu’elle traversait le passage piéton sur la D612, en face de la Poste. Elle a été tuée sur le coup.
Jacqueline Croisier a été renversée à 200 mètres à peine de son domicile. Hier matin, un peu après 9 heures, cette habitante de Réalmont âgée de 81 ans, a été fauchée par un poids lourd alors qu’elle empruntait un passage piéton. L’accident s’est produit juste en face de la Poste, avenue de Gaulle, sur la D612. Selon les premiers éléments de l’enquête, le camion qui roulait en direction de Castres s’est d’abord arrêté au passage pour laisser passer un premier piéton qui venait par la gauche. Il a redémarré doucement sans voir la personne âgée qui s’était engagée sur la route depuis le trottoir de droite. La victime a été tuée sur le coup.
Très choqués, le témoin, le premier piéton, et le conducteur du poids lourd ont été évacués vers le centre hospitalier d’Albi. Les tests d’alcoolémie pratiqués sur le conducteur se sont révélés négatifs. Pendant une heure et demie, une déviation a été mise en place dans la commune par les gendarmes. Une quinzaine de pompiers sont intervenus sur place.

Proche des gérants de la minoterie Batigne

Jacqueline Croisier vivait seule. Elle était la belle-mère de Christian Batigne, responsable de la minoterie du même nom. Installée à Réalmont, cette entreprise créée en 1 620 fournit plusieurs centaines de boulangers français. L’accident s’est produit sur une portion très fréquentée de la départementale 612. 10 000 à 12 000 véhicules par jour transitent par cette route dont plus d’un millier de poids lourds.
Depuis de nombreuses années, la commune demande une déviation de la départementale. «ça fait un demi-siècle qu’on la réclame, a expliqué hier le maire de Réalmont, Hubert Bernard. Si jamais, un poids lourd se renverse sur la chaussée, cela pourrait avoir des conséquences encore plus dramatiques, les camions peuvent tomber sur le trottoir et sur un certain nombre de personnes. Parfois, ils transportent des produits polluants et toxiques. On craignait qu’un accident arrive un jour et malheureusement ça s’est produit.»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/26/1826727-realmont-une-femme-de-81-ans-tuee-au-passage-pieton.html

Hérault : un garçon de 11 ans tué dans une collision entre une voiture et un bus

L'accident s'est produit, ce mardi, en début de soirée sur la RD32, au nord de Montpellier, entre Saint-Martin-de-Londres et Viols-le-Fort. Un garçon âgé de 11 ans, qui habitait à Saint-Martin-de-Londres, a perdu la vie. 
Un terrible accident s'est déroulé peu avant 19 h dans l'Hérault, entre les communes de Saint-Martin-de-Londres et Viols-le-Fort. La conductrice d'un véhicule aurait perdu le contrôle dans une descente et a percuté un bus d'Hérault Transport.
Un garçon de onze ans, habitant à Saint-Martin-de-Londres, qui se trouvait dans la voiture a été tué. Les occupants du bus, indemnes mais choqués, ont été transférés. La RD32 a été interdite à la circulation pendant plusieurs heures.

http://www.midilibre.fr/2014/02/25/herault-un-enfant-de-11-ans-tue-dans-une-collision-entre-une-voiture-et-un-bus,827166.php

mardi 25 février 2014

Une femme retrouvée noyée dans la Marne à Lagny

Après la découverte du corps d’un homme noyé dans la Marne, hier lundi à Noisiel, non loin de la chocolaterie Menier, un autre a été découvert ce mardi à Lagny-sur-Marne. Il s’agit d’une femme, dont l’identité et l’âge n’ont pas pu être précisés. C’est un passant qui a aperçu le corps flottant dans la rivière, aux alentours de la gare . Les pompiers sont ensuite intervenus pour repêcher le cadavre, avant que celui-ci ne soit transporté à l’institut médico-légal de .
Au vu du niveau avancé de décomposition, il semble que ce corps ait séjourné plusieurs semaines dans l’eau.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/une-femme-retrouvee-noyee-dans-la-marne-a-lagny-25-02-2014-3623713.php

Lendemain douloureux à Isola après l'éboulement

Après l’éboulement qui a coûté la vie à deux enfants de 7 et 11ans, la poursuite de l’enquête est suspendue à la décision du parquet. Tout comme la purge de la paroi rocheuse fragilisée
Anthony Masseglia, 7 ans, devait commencer son stage de foot hier au sein du club de Saint-Jean-Beaulieu. Mais à Isola, la montagne en a décidé autrement. Emporté dans son sommeil dans la nuit de samedi à dimanche. Tout comme Théo Jaffray, 11 ans
Les deux petits garçons, respectivement de Contes et de Nice, et leur famille s'étaient installés en ce premier week-end des vacances scolaires dans la bergerie des Masseglia, transformée en pied à terre.
Mais dimanche, vers 4 heures du matin, un rocher de plusieurs tonnes s'est décroché d'une paroi et a littéralement éventré la bâtisse située au bord de la RM2205.
Les ancêtres avaient construit la bergerie sous un bloc rocheux, se sentant ainsi protégés des éléments. Les enfants y venaient peu.
Ce soir-là, ils s'était couchés à 3 h 30 du matin. Trente minutes avant le drame.
« On est abasourdi. Anthony était inscrit au stage de football qui commençait hier… Je suis… Je n'ai pas de mot. On pense aux familles, on les soutient», indique Stéphane Salomon, directeur du club JSSJB (Jeunesse sportive Saint-Jean-Beaulieu). Anthony Masseglia en était membre depuis deux ans, section débutants.
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« Des petits qui sont la fierté du club, précise le directeur qui ajoute : Anthony venait tous les mercredis…»
Le week-end dernier, avant les matchs de DHR et PHA, une minute de silence a été observée en mémoire du petit garçon de 7 ans.
Quant aux cinq survivants, deux femmes, deux hommes et une adolescente, tous très choqués, ils sont sortis de l'hôpital hier.
Une déviation pour l'accès aux stations
Après les constatations, effectuées dimanche par la gendarmerie, l'enquête, confiée à la compagnie de Puget-Théniers, est pour l'heure figée.
Suspendue à la décision du procureur de la république de Nice. Restituer les corps aux familles ou ordonner une autopsie ?
Idem pour la purge de la paroi rocheuse fragilisée. Opération délicate qui induit l'emploi d'explosifs, mais « nécessaire pour éviter tout accident. Hier encore, quelques cailloux sont tombés. Des cailloux de 30 cm sur 30 », rapporte le capitaine Fabrice Holsenburger, commandant en second de la compagnie.
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À Isola village, la vie, doucement, reprend son cours.
« L'éboulement qui a endeuillé le village n'impacte pas l'accès aux stations. Une déviation a été mise en place », précise le maire Jean-Marie Bogini.

http://www.nicematin.com/faits-divers/lendemain-douloureux-a-isola-apres-leboulement.1635939.html

Drame de Courthézon : le conducteur a été condamné à trois ans de prison

Le 13 décembre 2013, ce jeune homme s’était rendu coupable d’un dépassement dangereux couplé d’un excès de vitesse : trois lycéens sont décédés
Thibaut, 19 ans, vient d'être condamné à 5 ans de prison dont 3 ferme par la cour d'appel de Nîmes. Le 13 décembre 2013, ce jeune homme s’était rendu coupable d’un dépassement dangereux couplé d’un excès de vitesse aux conséquences dramatiques.
Ce jour-là, vers 8h30, cinq élèves du lycée viticole d’Orange, tous âgés de 17 à 18 ans, décident d’aller boire un café au centre commercial Les Vignes. Il pleut. Thibaut est au volant, ni ivre ni sous l’emprise de stupéfiants. Mais il roule à une vitesse excessive.

Devant lui, un véhicule utilitaire double une autre voiture du même type qui s’est décalée sur la bande d’arrêt d’urgence pour le laisser passer. Thibaut entreprend alors de doubler les deux voitures en même temps.

Un premier véhicule arrivant en face réussit à éviter la voiture des lycéens. Thibaut braque vers la droite pour en éviter un second mais part en tête-à-queue. C’est alors que sa voiture est percutée de plein fouet et s’envole jusque dans les vignes, 15 mètres plus loin, sans toucher le sol. Trois des occupants sont éjectés et décèdent, un autre passager est grièvement blessé.

En première instance, Thibaut avait écopé d'une peine aménageable de 5 and de prison dont 6 mois ferme. Mais ce matin, le mandat de dépôt décerné par la cour d'appel l'envoie directement en détention.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2767901/drame-de-courthezon-le-conducteur-a-ete-condamne-a-trois-ans-de-prison.html

Il y a vingt ans, Yann Piat était assassinée à Hyères

Ce jour-là, l’élue de la troisième circonscription du Var était abattue dans sa voiture en regagnant son domicile par deux tueurs à moto. Vingt après, certaines zones d’ombre demeurent
Si la première détonation résonne encore aujourd'hui dans l'esprit de Jo Arnaud, l'assassinat de Yann Piat commis sur la commune d'Hyères il y a vingt ans aujourd'hui, a provoqué une énorme déflagration dans le paysage politique de l'époque.
Après une journée ordinaire, ce 25 février 1994, Yann Piat quitte sa permanence située avenue des Îles d'or, en centre-ville, à Hyères. Son chauffeur, la ramène, à 19 h 50, à son domicile, situé au Mont des Oiseaux, sur les hauteurs de la ville.
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Dans la dernière épingle à cheveux avant le sommet, à 900 mètres du Mas bleu, sa villa, Yann Piat interroge son chauffeur « Qu'est-ce que c'est que cette moto ? » Puis elle hurle :« On nous flingue, Jo, on nous flingue ! » Le chauffeur distingue maintenant une Yamaha Frazer rouge qui dépasse la voiture.
« J'ai vu le gars nous mettre en joue »
Là, tout s e passe très vite. Deux premiers coups de feu déchirent la nuit. La lunette arrière vole en éclat. Tandis que la moto dépasse la Clio, une seconde balle touche la députée à l'épaule puis va se ficher dans son omoplate droite.
« Je n'ai pas eu le temps d'avoir peur,se souvient son chauffeur, vingt ans après.Dans l'action, la moto des tueurs est tombée. Et j'ai vu un gars s'avancer vers la voiture et nous mettre en joue. Je me suis dit qu'il voulait certainement finir le boulot. Il fallait nous échapper. Je réussis à passer la marche arrière malgré ma jambe gauche complètement engourdie(il a reçu une balle durant la fusillade, Ndlr)et je descends la voiture jusque dans l'axe du virage. Elle se trouve pile face à la descente. Et je file.»
En dépit de la douleur, Jo Arnaud, qui entend gémir sa passagère mais ne connaît pas encore la gravité des blessures, a la présence d'esprit de dévaler la route en direction de la caserne des sapeurs-pompiers.
Six balles de calibre 38
Il ne lui faudra pas plus de sept minutes pour rejoindre la caserne, située à un peu moins de quatre kilomètres des lieux de l'attentat.
« Je suis descendu en trombe jusque là-bas. Je me suis arrêté devant la guitoune et j'ai hurlé que Yann Piat était blessée. Ils se sont précipités et ont fait tout ce qu'ils pouvaient. »
Il est 20 h 12. Après une tentative de réanimation désespérée à l'intérieur d'une ambulance, l'élue de la République va rendre son dernier soupir, sans avoir repris connaissance. Un médecin du SMUR de l'hôpital d'Hyères constate le décès de la jeune femme peu avant 20 h 30.
Six balles de calibre 38 ont mis fin, en cette nuit claire, à l'ascension politique d'une mère de famille de 45 ans.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/il-y-a-vingt-ans-yann-piat-etait-assassinee-a-hyeres.1635936.html

Méningite: trois morts en deux jours à Nice

Deux frères Niçois âgés de 20 à 30 ans, et un troisième homme, seraient décédés à Nice, emportés par une méningite à méningocoque.

Selon
Nice-Matin, un adolescent serait en réanimation pour des symptômes pouvant prévenir une méningite (maux de tête, fièvre, nuque raide,  difficulté à supporter la lumière...).

L'Agence régionale de santé a soigné de manière préventive les proches des victimes, rappelant que le germe de la méningite est "fragile" et ne "survit pas longtemps dans le milieu extérieur


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/25/97001-20140225FILWWW00033-meningite-trois-morts-en-deux-jours-a-nice.php

lundi 24 février 2014

Annecy : un homme découvert mort... à cause d'une bougie parfumée

Samedi, un homme a été retrouve mort dans une chambre d'un foyer annécien. D'après les premières constatations effectuées par les policiers, l'homme se serait assoupi après avoir consommé de l'alcool, avec une bougie parfumée allumée sur sa chauffeuse.
La bougie aurait brûlé entièrement, la chaleur se transmettant progressivement au petit meuble qui s'est consumé sans s'enflammer. Le dégagement de fumées toxiques a été important, les gaz se concentrant progressivement dans la petite chambre. 
L'homme serait mort intoxiqué dans son sommeil

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/02/24/un-homme-decouvert-mort-dans-un-foyer-a-annecy

Dordogne : un restaurateur de Marsac décède dans un accident

Jean-François Fargeot, le propriétaire du restaurant L'Olivier, situé sur la route de l'Evêque à Marsac-sur-l'Isle, est décédé suite à un accident de la route survenu à Razac-sur-l'Isle.
Dimanche, le Marsacois se trouvait au volant de son véhicule et roulait sur l'ex RN89 dans le sens Périgueux-Bordeaux. Il aurait perdu le contrôle de son véhicule à la sortie d'un virage. La voiture a violemment heurté le mur d'une maison.
Les pompiers ont dû procéder à la désincarcération de la victime qui n'a pas survécu à ses blessures.

http://www.sudouest.fr/2014/02/24/dordogne-un-restaurateur-de-marsac-decede-dans-un-accident-1471937-1980.php

Enfant écrasé par un bus à Wattrelos: appel à témoins

Suite au dramatique accident survenu vendredi en fin de matinée, la brigade accident du commissariat de police de Roubaix lance un appel à témoins. L’enfant âgé de 8 ans a été amputé du pied gauche.
Vendredi, vers 11h50, un enfant originaire de Roubaix et âgé de 8 ans a été gravement blessé au pied par un bus de la Liane 3 (Transpole). Les faits se sont produits à l’arrêt « Wattrelos Place », face au 14 de la place Jean-Delvainquière. L’enfant a eu le pied gauche en partie arraché alors qu’il tentait de monter dans le bus en phase de redémarrage. Transportée d’urgence au CHR de Lille, la petite victime a dû être amputée du pied gauche.
Dans le cadre de leur enquête, et dans un souci de recueillir un maximum de renseignements, la brigade accident du commissariat de police de Roubaix lance un appel à témoins. Si vous avez été témoins de cet accident, veuillez contacter les enquêteurs au 03.20.81.35.58 ou 03.20.81.35.49

http://www.lavoixdunord.fr/region/enfant-ecrase-par-un-bus-a-wattrelos-appel-a-temoins-ia24b0n1942121

Centrafrique : un soldat français meurt accidentellement

Un soldat français de 26 ans engagé dans l'opération Sangaris en Centrafrique a été mortellement blessé dimanche dans un accident de la circulation lors d'"une mission de reconnaissance des axes routiers" dans l'ouest du pays, a annoncé la Défense dans un communiqué.
Le 3e militaire français tué en Centrafrique. Le caporal Damien Dolet appartenait au régiment d'infanterie chars de marine (RICM) de Poitiers (Vienne), qu'il avait rejoint en 2011, précise le communiqué. Il s'agit du 3e militaire français mort en Centrafrique depuis le début de l'opération en décembre. Dimanche en début d'après-midi, le caporal était en mission avec deux autres soldats français autour de la commune de Bouar et "manoeuvrait à bord d'un véhicule blindé léger" quand celui-ci a eu un accident.
"Malgré les soins immédiatement prodigués par ses camarades puis par un médecin de l'équipe sanitaire, le caporal Damien Dolet est rapidement décédé des suites de ses blessures. Blessés dans l'accident, les deux camarades du caporal sont ce (dimanche) soir hors de danger", ajoute-t-on de même source. Damien Dolet avait servi pendant trois mois dans l'opération Serval au Mali et participait en Centrafrique à sa seconde opération extérieure, est-il souligné. "Il aura servi la France durant quatre ans et quatre mois".
Cité dans le communiqué, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian annonce qu'un hommage lui sera rendu "prochainement" et présente "ses plus sincères condoléances à sa famille et à ses proches". Deux mille militaires français interviennent en République centrafricaine en soutien des forces africaines, mandatés par le Conseil de sécurité des Nations Unies le 5 décembre 2013.
 

dimanche 23 février 2014

Un homme mis en examen après avoir agressé son ex-compagne à l'arme blanche

Un homme a été mis en examen et placé en détention provisoire samedi en Seine-Saint-Denis, après avoir poignardé son ex-compagne, qui se trouve toujours dans un état grave, a-t-on appris dimanche de source judiciaire.
"A priori, il n'aurait pas supporté qu'elle refasse sa vie avec quelqu'un d'autre après leur rupture récente en fin d'année", a déclaré cette source à l'AFP, confirmant une information du parisien.fr et précisant que l'homme a été mis en examen pour tentative d'homicide volontaire.
La victime a été poignardée à neuf reprises par son ex-compagnon jeudi vers 10H00, au cours d'une dispute au domicile de fortune de ce dernier à Epinay-sur-Seine, en région parisienne.
Grièvement blessée, elle a été transportée à l'hôpital et se trouve, d'après cette source, dans un état jugé "critique mais stable" samedi soir.
Son ex-compagnon avait été interpellé puis placé en garde à vue jeudi, après avoir lui-même contacté la police.
Les faits se sont déroulés dans un garage où l'homme, qui avait demandé à son ex-compagne de le rejoindre, "vivait depuis leur rupture" n'ayant apparemment pas "réussi à retrouver de domicile", selon cette source.
La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargée de l'affaire

http://www.lepoint.fr/societe/un-homme-mis-en-examen-apres-avoir-poignarde-a-neuf-reprises-son-ex-compagne-23-02-2014-1795096_23.php

Tragique accident de moto: le conducteur se tue, sa passagère gravement blessée

Ce dimanche après-midi, vers 16 heures, à Saint-Léger du Ventoux, une moto a violemment percuté un poteau métallique. Le conducteur, âgé d’une cinquantaine d’années, est mort sur le coup. Sa passagère, très gravement blessée, doit être héliportée.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/02/23/tragique-accident-de-moto-le-conducteur-se-tue-sa-passagere-gravement-blessee

Harcelé, l’ado tente de se suicider

Thomas, 14 ans, a tenté de mettre fin à ses jours suite aux brimades d’élèves de son collège. Hospitalisé à Creil, il a été placé en foyer d’accueil, pour être suivi.
Un accident sans gravité». Au collège George-Sand de Beauvais (Oise), Thomas, jeune garçon de 14 ans, se fait régulièrement frapper. Il est 17 heures, vendredi24janvier, quand Nathalie, sa maman, vient le chercher pour rentrer à Nogent-sur-Oise, à quarante kilomètres de là. Thomas monte en voiture, mais reste silencieux. Dans son dos, deux élèves lancent, ironiques: «À demain Thomas!».
Quelques heures plus tôt, ils ont essayé de l’étrangler, dans la cour de l’école.Thomas ne dira rien jusqu’au dimanche.
Alors que ses parents sont dans la salle à manger, silencieusement, il noue un drap autour de la rembarde de l’escalier, passe le nœud autour de son cou, et s’apprête à sauter. Instinct maternel ou pressentiment, sa mère, grimpant les marches de l’escalier quatre à quatre, parviendra à temps à l’en empêcher. Thomas est immédiatement conduit à l’hôpital de Creil.
Ce n’est pas la première fois que le garçon subit des violences: «Tout a commencé en CP. Thomas se faisait maltraiter dans les toilettes, et se faisait promettre que cela ne recommencerait plus s’il ne disait rien». Au fil des années, Thomas change d’école, mais subit toujours la violence des autres élèves. Avant d’arriver au collège George-Sand, loin de chez lui: « Il est intégré, indique Pascal, le père de Thomas. Il a des amis à l’école et à l’extérieur, il se plaisait à George-Sand». Suivent d’autres brimades, l’inscription «PD» sur son manteau. Jusqu’à l’agression de trop, le 24janvier, puis l’hospitalisation.

Thomas avait un couteau
dans sa chambre

Problème, à Creil, expliquent les parents, Thomas ne voit le psychologue que deux fois. «Un jour on nous dit qu’il a besoin d’un suivi, le lendemain qu’il n’est pas suicidaire, et que l’hôpital n’a pas assez d’effectifs pour mettre en place une thérapie. Sans suivi , Thomas risque de récidiver. «Il avait un couteau dans sa chambre. L’hôpital ne nous a rien dit, pour ne pas nous inquiéter».
L’hôpital a demandé, mercredi 19 février, son placement en foyer, demande confirmée par le procureur de Senlis, Amélie Cladière, sans en préciser les raisons. «C’est toujours de la faute des parents. Tout ce qu’on voulait, c’était des soins», déplore la mère. À l’hôpital, on assure que des mesures, pour assurer la protection de l’enfant, sont en cours  Thomas a été placé le lendemain. À ce jour, les parents ignorent toujours où il se trouve

http://www.courrier-picard.fr/region/harcele-l-ado-tente-de-se-suicider-ia0b0n321673

Un accident mortel près de Saint-Lô samedi soir

Une voiture et un scooter sont entrés en collision à Couvains près de Saint-Lô samedi soir. Le conducteur du deux roues est mort sur place

Un accident mortel a eu lileu samedi soir dans la Manche. Pour une raison inconnue, une voiture et un scooter sont entrés en collision sur la Nationale 6 à Couvins près de Saint-Lô. Il était 20h30. Le conducteur du deux roues, âgé de 50 ans, est décédé sur place malgré l'intervention des pompiers.


http://www.francebleu.fr/personnes/france-bleu-cotentin-152919

Il fait une chute de 600 mètres !

Dans la nuit de mardi à mercredi, un alpiniste polonais âgé d’une trentaine d’années – dont on ne connaît pas encore l’identité – arrivait en compagnie de deux autres amis à 4 061 mètres d’altitude, au sommet du Grand-Paradis, en Italie.
Selon les premières déclarations des témoins, l’homme aurait glissé sur plus de 600 mètres. Une chute fatale pour le malheureux.
Les hommes de la Garde des finances, en charge de l’enquête, devaient encore entendre les deux autres alpinistes polonais qui l’accompagnaient pour en savoir plus sur les circonstances exactes de cet accident.
Mais comme les deux hommes ont décliné l’invitation à redescendre en hélicoptère, préférant le faire par leurs propres moyens avec une halte au refuge Chabod pour passer la nuit, les enquêteurs ont dû patienter…
Selon les policiers, la victime n’avait pas de documents sur elle. « Ils devaient très probablement être dans son sac à dos que nous n’avons pas encore retrouvé », expliquent-ils.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2014/02/22/il-fait-une-chute-de-600-metres

samedi 22 février 2014

Accident à Lorgies : un adolescent de 14 ans tué

Un adolescent de 14 ans, qui marchait dans la rue Beau-Rietz, avec un ami, a été fauché à Lorgies (62) vendredi soir peu avant 19 heures. Le chauffeur présumé, en fuite, a finalement été interpellé.
 
Hier vendredi, à 18h55, deux adolescents marchaient sur une route, sans trottoir, menant de Lorgies à Neuve-Chapelle où ils voulaient aller à la friterie, quand un véhicule a fauché l'un des deux jeunes. Sur le chemin en ligne droite mal éclairé, le véhicule a violemment percuté la victime originaire de Lorgies et légèrement blessé l'autre. Quand les secours sont arrivés, le jeune homme était déjà en arrêt cardio-respiratoire. Il est décédé sur les lieux du drame. En état de choc, l'autre adolescent présent a dû être hospitalisé.

Le chauffeur était en fuite, mais notamment grâce à un appel à témoins dans
La Voix du Nord, ce dernier a pu être identifié. Victime d'un malaise ce samedi matin, le conducteur originaire de Vendin-les-Béthune,  est actuellement entendu par la brigade de gendarmerie de Laventie, aidée par la brigade de recherche de Béthune. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances du drame. 
 

Hérault : grave accident sur l'A9 vers 12 h 30 à hauteur de Saint-Aunès, un mort, un blessé léger

Un semi-remorque allemand circulant vers l'Espagne sur l'autoroute A9 à hauteur de Saint-Aunès (Hérault) a percuté une voiture poussée par sa conductrice sur la bande d'arrêt d'urgence.Coincée entre le poids-lourd et son véhicule, elle est décédée sur le coup.
Un terrible accident est arrivé peu après 12 h 30 à hauteur de l'aire de repos de Saint-Aunès, dans le sens Nîmes - Montpellier,  près de Vendargues (Hérault).
Sa voiture en panne l'automobiliste s'est placée à l'arrière de son véhicule et l'a poussé sur la bande d'arrêt d'urgence. Le camion l'a percuté avec une extrême violence et l'a littéralement broyé, tuant sa conductrice sur le coup.


Le conducteur du semi remorque ayant perdu le contrôle a ensuite continué sa course folle et fini sa trajectoire dans une vigne en contrebas de l'autoroute. Par miracle le routier en état de choc est sorti légèrement blessé de sa cabine complètement disloquée.
L'accident a provoqué trois kilomètres de bouchon. La circulation se fait sur les voies de droite et médiane uniquement. Les gendarmes du peloton autoroutier de Grand-Gallargues (Gard) sont chargés de l'enquête. Pour l'heure l'identité de la conductrice n'est pas connue.

http://www.midilibre.fr/2014/02/22/herault-grave-accident-sur-l-a9-vers-12-h-30-a-hauteur-de-saint-aunes-un-mort-un-blesse-leger,825729.php

Un mort dans un accident de bûcheronnage

Un homme âgé d'une cinquantaine d'années est décédé ce matin en forêt d'Oberhausbergen (Bas-Rhin). Il aurait été victime d'un accident de bûcheronnage. L'homme a été découvert par un promeneur. En arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours, il n'a pas pu être réanimé.

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/02/22/un

Dénat. Emportée par une crise cardiaque après l'incendie d'un cabanon

Le feu a pris ce vendredi matin tôt dans le cabanon de la maison d’une retraitée à Dénat. Choquée par le sinistre survenu chez elle, Andrée Pujol, 94 ans, a été emportée dans les minutes qui ont suivi par une crise cardiaque.
Un drame survenu hier matin, vers 7h30, au lieu dit Lamazarié a endeuillé une famille de souche dénatoise. Andrée Pujol, 94 ans, veuve, vivait avec son fils Bernard, non-voyant, dans le corps de la ferme située à quelques centaines de mètres du bourg de Dénat.
Un peu après sept heures du matin, comme cela arrivait quelquefois les vendredis, pour leur consommation personnelle, Bernard voulait ébouillanter quelques poulets dans une petit réduit, attenant au corps de la ferme. L’eau de la lessiveuse chauffait sur un trépied raccordé à une bouteille de gaz.
Pour une raison encore inconnue, du trépied, le feu s’est propagé à la pièce. La cécité de Bernard n’a pas dû faciliter les choses.
Inquiète de ce qui arrivait, la mère, Andrée Pujol, venait rapidement sur place pour se rendre compte de ce qui arrivait. Incommodée par la fumée ou bien choquée de ce sinistre survenant chez elle, elle a fait un malaise. Malgré l’arrivée rapide des pompiers et du Samu vers 7 h 45 et leur intervention pour la réanimer, la victime décédait cependant.
«C’était une femme assez robuste» expliquait le maire de Dénat Michel Andral, «mais elle avait été hospitalisée il n’y a pas longtemps, est-ce le choc émotionnel ou la fumée qui sont à l’origine du décès ? On ne sait pas…»
«La dame n’est pas décédée dans l’incendie. Sous l’effet de la peur, ou un peu paniquée, elle aurait eu une crise cardiaque», répond le chef d’escadron Thierry Damerval, commandant de la compagnie de gendarmerie d’Albi. Les techniciens d’identification criminelle (Tic) de la gendarmerie d’Albi se sont rendus sur les lieux, mais l’origine accidentelle ne fait aucun doute. «Ils agissaient dans le cadre de l’enquête habituelle menée par la communauté de brigades de Réalmont avec audition des témoins, afin de bien établir les faits», indique le commandant. Le corps de la malheureuse retraitée a été rendu à la famille.

Le fils de 67 ans intoxiqué par les fumées

Le maire ajoute de son côté que «Bernard n’y voyait pas, mais il avait l’habitude de s’occuper, notamment des poulets. Il a continué. Il est devenu non-voyant à la suite de problèmes aux yeux, il a eu des opérations, c’est bien triste…»
Le feu qui avait embrasé le cabanon a rapidement été maîtrisé par les soldats du feu.
Bernard, 67 ans, légèrement intoxiqué par les émanations de fumées, était conduit à l’hôpital d’Albi pour surveillance. Son état semblait rassurant.
Des voisins étaient spontanément venus pour apporter leur soutien et leur aide à cette famille. Un grand nombre de Dénatois apprenaient hier, avec beaucoup de tristesse, la disparition de Madame Pujol.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/22/1824097-denat-elle-perd-la-vie-la-vie-apres-l-incendie.html

Côte-d’Or : l’enquête sur le bébé découvert dans une déchetterie piétine

Le 14 janvier, des employés de la déchetterie du Grand Dijon découvraient au cours d’une opération de tri le cadavre d’un bébé enfermé dans un sac-poubelle. Une femme de 33 ans, déjà mère de deux enfants âgés de 5 et 9 ans, domiciliée dans la région de Venarey-les-Laumes, avait été interpellée. Plusieurs éléments avaient mené les enquêteurs jusqu’à elle : d’abord, les policiers de la sécurité publique avaient signalé qu’elle était venue au commissariat central quelques jours avant la macabre découverte, en tenant des propos totalement incohérents au sujet d’enfants menacés. Les policiers avaient alors demandé l’intervention d’un médecin.
Ensuite, elle résidait dans la région de Venarey-les-Laumes. Un détail qui avait son importance : les enquêteurs avaient établi que la benne à ordures qui avait servi à transporter le cadavre de l’enfant provenait de ce secteur.
La femme avait été placée en garde à vue au CHU de Dijon, son état psychologique étant incompatible avec une audition dans les locaux du commissariat central, puis mise en examen du chef d’homicide volontaire, et était restée hospitalisée. Une information avait été ouverte au cabinet d’un juge d’instruction dijonnais. Magistrats et enquêteurs comptaient beaucoup sur la partie scientifique des investigations : si l’autopsie avait permis de déterminer que l’enfant, un petit garçon, était né viable, elle n’avait pas apporté d’éléments sur les causes de sa mort. Et les prélèvements destinés à déterminer un ADN qui aurait pu être comparé à celui de la femme mise en examen n’avaient pas suffi
De nouveaux prélèvements avaient donc été effectués. Et depuis, plus rien… L’état du petit cadavre rend extrêmement difficile la recherche de l’ADN de l’enfant, et les nouveaux prélèvements se trouvent toujours au laboratoire de police scientifique en charge du dossier.
Lorsque les résultats seront connus, lorsque la comparaison aura pu être effectuée avec l’ADN de la femme interpellée et mise en examen, magistrats et policiers sauront si elle est bien la mère de la victime. Si les comparaisons sont négatives, l’enquête devra repartir de zéro. Et là, les éléments dont disposent les enquêteurs pour poursuivre semblent très, très minces

http://www.leprogres.fr/jura/2014/02/21/cote-d-or-l-enquete-sur-le-bebe-decouvert-dans-une-dechetterie-pietine

vendredi 21 février 2014

Toulon : le jeune homme blessé par balle est décédé

Un homme d'une vingtaine d'années, blessé par balle à la tête jeudi soir dans une cité de Toulon, est vendredi. Une autopsie sera pratiquée samedi.

Le jeune homme avait été retrouvé au troisième étage d'un immeuble du quartier La Beaucaire, gisant devant la porte d'un appartement. Connu des services de police pour différents délits, il avait été condamné, en mars 2013, à quatre mois de prison pour détention et transport de stupéfiants, a indiqué le parquet de Toulon.

C'est un voisin qui avait alerté les secours après avoir entendu un coup de feu, jeudi soir vers 22 h 40. La victime avait été évacuée vers l'hôpital Sainte-Anne dans un état jugé grave. L'
a été confiée à l'antenne toulonnaise de la police judiciaire, qui ne privilégie «aucune thèse à ce stade».


http://www.leparisien.fr/faits-divers/toulon-le-jeune-homme-blesse-par-balle-est-decede-21-02-2014-3612899.php

Le corps d'un motard découvert sur le pont de l'île de Ré : l'accident pour l'heure inexpliqué

Jeudi soir, vers 23 h 40, les sapeurs-pompiers de La Rochelle et Sainte-Marie-de-Ré ont été appelés par des automobilistes circulant entre l'île de Ré et La Rochelle. Les secours ont d'abord localisé le corps d'un motard, âgé d'une trentaine d'années sur le pont de l'île de Ré. Un médecin a constaté le décès de la victime. 
Entre 4 à 5 kilomètres plus loin, sur l'itinéraire sud de l'île, les pompiers rétais ont retrouvé la moto sur le territoire de Sainte-Marie-de-Ré. Reste maintenant à comprendre comment le corps de la victime s'est retrouvé aussi éloigné du deux-roues. 
Deux interventions concomitantes ont été réalisées après les découvertes du corps et de la moto. La Cellule d'investigation criminelle de la gendarmerie a recherché des indices, entre minuit et 5 heures du matin, sur cette zone étendue de plusieurs kilomètres.  
Cet accident pour l'instant inexpliqué fait l'objet d'une enquête en cours de la gendarmerie.
Les gendarmes exploitent actuellement les images de la vidéosurveillance du pont.

http://www.sudouest.fr/2014/02/21/pont-de-l-ile-de-re-un-motard-retrouve-decede-1468958-1391.php

Allonnes. Accident mortel du 12 juin : la moto roulait-elle trop vite

Un rapport d’expertise sème le trouble sur l’accident d’Allonnes de juin 2013. Le drame avait scandalisé. Le 12 juin 2013 à 10 heures du matin, un accident de la circulation avait eu lieu au carrefour du Gué-de-Louet, dans le Saumurois.
Un automobiliste avait « grillé » un stop, au moment même où arrivait une moto, pilotée par un jeune de 21 ans domicilié à la Breille-les-Pins.
Kévin Marteau était mort sur le coup. Voyant l’étendue du drame, les deux occupants de la voiture avaient fui.

http://www.courrierdelouest.fr/

Une personne se jette sous les rames d'un métro, la ligne 2 en partie fermée

A Marseille, à hauteur de la station Noailles sur la ligne 2, une personne s'est jetée sous une rame. Pour le moment, aucun métro ne circule entre les stations Castellane et Bougainville.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2762364/une-personne-se-jette-sous-les-rames-dun-metro-ligne-2-en-partie-fermee.html

Paris : deux soeurs poignardées, le tueur présumé se jette du sixième étage

Deux jeunes femmes ont été retrouvées dans une mare de sang jeudi soir par le concierge de leur immeuble du XIVe arrondissement de Paris. Au même moment, un jeune homme soupçonné d'être l'auteur de ce double homicide s'est jeté par la fenêtre de l'appartement, au 6e étage.

C'est le concierge de l'immeuble qui a découvert les corps vers 20h dans une mare de sang. Deux soeurs ont été trouvées mortes poignardées jeudi soir dans un appartement parisien du XIVe arrondissement. Le tueur présumé, un proche, s'est défenestré du logement au moment de la découverte des corps. Le jeune homme est soupçonné d'être l'auteur de ce double homicide.
Le meurtrier présumé dans un état grave. Selon les premiers éléments de l'enquête, "un différend d'ordre privé serait à l'origine du drame", a raconté une de ces sources. L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, est un proche des deux jeunes femmes tuées, âgées d'environ 20 et 25 ans, qui vivaient ensemble, ont précisé des sources proches de l'enquête. Grièvement blessé, l'homme a été transporté à l'hôpital du Kremlin-Bicêtre, au sud de Paris. Son pronostic vital était jeudi soir "très engagé", selon une source policière.

Il a sauté du sixième étage. Les corps des deux victimes ont été découverts vers 20h dans une mare de sang par le concierge de l'immeuble, alerté par une amie, inquiète de trouver porte close. Au moment où le concierge a ouvert la porte et découvert les corps, le jeune homme s'est jeté par la fenêtre de l'appartement, au 6e étage d'un immeuble situé boulevard Edgar Quinet, dans le XIVe arrondissement de Paris. Il est tombé sur une verrière d'une cour intérieure de l'immeuble. Lorsque les forces de police sont arrivées sur place, elles ont découvert l'homme, gravement blessé, mais toujours conscient.
De multiples traces de lacérations au niveau de la poitrine. Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux femmes sont jeunes,  mais leur âge précis n'a pas encore été déterminé. "Elles ont de nombreuses traces de lacération au niveau de la poitrine", indique Emmanuel Quemener, représentant du syndicat Alliance, interviewé par LCI. L'entrée de l'immeuble était bouclée par la police qui a mis en place un périmètre de sécurité jeudi soir. Les corps des victimes se trouvaient encore à l'intérieur. L'enquête a été confiée au 3e district de la police judiciaire. Le préfet de Paris Bernard Boucault et le directeur de la police judiciaire Bernard Petit se sont rendus sur les lieux du drame.
 

jeudi 20 février 2014

Maincy: l'ado a été droguée puis étouffée

L'adolescente de 17 ans retrouvée morte dans son lit lundi au domicile de sa mère à Maincy (Seine-et-Marne) a été droguée avec des somnifères avant d'être étouffée, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire. "Les résultats de l'analyse toxicologique montrent que la victime a été droguée", a expliqué cette source. "On a retrouvé des traces de somnifères à un dosage dix fois supérieur au dosage thérapeutique", a précisé cette source.

La jeune fille, qui devait fêter ses 18 ans en fin de semaine, a été retrouvée morte dans sa chambre par sa mère, lundi après-midi. D'après les résultats de l'autopsie, elle a été étouffée. La victime vivait avec sa mère au domicile familial, dans cette commune proche de Melun. Sa mère a expliqué lui avoir laissé l'appartement pour le week-end, étant elle-même partie chez son compagnon.

Cette dernière a été entendue à plusieurs reprises en audition libre par les enquêteurs, qui s'attachent à vérifier ses déclarations, en raison d'"inexactitudes" et d'"incohérences" dans son discours, selon la source judiciaire. D'après les dires de la mère, l'adolescente avait un petit ami, mais ce dernier n'a pas été identifié. La police judiciaire de Versailles a été chargée de l'enquête.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/20/97001-20140220FILWWW00342-maincy-l-ado-a-ete-droguee-puis-etouffee.php

Enfants seuls avec leur père mort : la mère retrouvée dans la fosse septique

L'histoire fait froid dans le dos. Mi-janvier, on apprenait que trois enfants âgés de 4, 9 et 11 ans étaient restés plusieurs jours aux côtés de leur père décédé. Ce dernier était mort d'une crise cardiaque. Comme si de rien n'était, les enfants avaient continué à aller à l'école.
Au moment des faits, seul l'aîné, avait été entendu par les gendarmes. Si les enfants n'avaient rien dit, c'est qu'ils avaient peur d'être séparés. Dans la foulée, ils avaient tous les trois étaient placés dans une famille d'accueil.

La mère a-t-elle été tuée ?

Les enfants vivaient seuls avec leur père. La mère s'était évaporée dans la nature. Selon les dires du père, elle avait quitté le domicile conjugal depuis le mois de juin 2013. Malgré d'importantes recherches, les forces de l'ordre n'ont trouvé aucune trace d'elle nulle part. Sa carte vitale n'a jamais été utilisée depuis sa disparition, tout comme sa carte bancaire.
Changement de cap avec l'importante découverte réalisée ce jeudi 20 février par les services de la gendarmerie. D'après une information divulguée par nos confrères de l'Est-Républicain, le corps d'une femme a été découvert dans la fosse septique. Les chiens de l'équipe cynophile avait auparavant flairé quelque chose dans le salon. Après examen avec un produit spécial, les gendarmes y ont découvert des traces de sang.

http://www.lunion.presse.fr/france-monde/enfants-seuls-avec-leur-pere-mort-la-mere-retrouvee-ia0b0n304014

Drame de la rue du 11-novembre : la SA HLM responsable ?

Mercredi 19 février 2014, 150 000 euros d'amende ont été requis à l'encontre de la SA HLM d'Elbeuf, suite au drame qui avait coûté la vie à un père de famille en juillet 2009.

Au cours de l’été 2009, la ville d’Elbeuf  avait été particulièrement touchée par les effondrements d’immeubles. Trois s’étaient produits en peu de temps. La série avait commencé par un cauchemar : dans la nuit du vendredi 17 au samedi 18 juillet, vers 0h15, la façade d’un bâtiment situé  rue du 11-Novembre s’était écroulée subitement, faisant un mort – David Quesnel – un père de famille de 37 ans – et trois blessés : sa compagne et ses deux nièces.

150 000 € d’amende réclamés

C’est cette affaire que le tribunal correctionnel de Rouen a commencé à juger, mercredi 19 février 2014.  Sur le banc des prévenus : la SA HLM de la région d’Elbeuf, qui doit répondre d’homicide et blessures involontaires. Au bout de trois heures et demi de débats, le ministère public a requis 150 000 € d’amende, sur les 225 000 € maximum encourus, établissant sa responsabilité dans ce drame. Le jugement a été mis en délibéré au 18 juin 2014.

Manque d’entretien ?

Le parquet et les avocats plaignants ont reproché à la société immobilière, poursuivie en tant que personne morale, un certain nombre de “manquements” et de “négligences”. Selon Me Frédéric Caulier, l’un des avocats de la partie civile, “la SA HLM est habituée à la gestion du patrimoine immobilier. Quand il y a un une zone dangereuse sur l’un de ses immeubles, elle doit le savoir”. Le parquet a mis également en évidence que cet immeuble datant du XIXe siècle ne faisait pas  l’objet de travaux de maintenance réguliers.
L’avocat de la défense, Me Benoît Vettes, a de son côté mis en avant les sommes consacrées chaque année par la société d’HLM à l’entretien de son parc immobiler, composé d’une centaine d’immeubles.

Des signes avant-coureurs

Plusieurs désordres avaient été constatés précédemment sur ce bâtiment, racheté en 1995 à une association en liquidation judiciaire, les derniers en date une dizaine de jours avant le drame. Le bailleur avait été alerté par des locataires suite à des craquements et à l’apparition de fissures, qui s’agrandissaient. Des travaux de consolidation avaient été réalisés et un bureau technique devait se rendre sur place le 21 juillet. Il n’en a pas eu le temps…

http://www.lejournaldelbeuf.fr/category/actualites/

Gond-Pontouvre (16) : à 17 ans, il se jette sous un TGV

L'accident s'est produit mercredi 19 février en milieu de matinée sur la ligne Bordeaux-Lille. La victime, un ado de 17 ans, est morte sur le coup
Mercredi matin, à 10 h 30, le TGV Bordeaux-Lille a heurté une personne à hauteur de Gond-Pontouvre, au nord d'Angoulême. La victime, un adolescent de 17 ans, est décédée, indique-t-on au Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis). Ce jeune homme était placé dans une famille d'accueil à la campagne.
L'accident s'est produit à proximité de l'avenue Charles-de-Gaulle, qui enjambe la voie ferrée. Le garçon après avoir cheminé le long de la voie, se serait jeté sous le TGV. Il est mort sur le coup. 
La circulation des trains a été interrompue sur les deux voies jusqu'à 11 h 30 avant d'être rétablie. Le TGV 5264 venait de marquer un arrêt en gare

http://www.sudouest.fr/2014/02/19/gond-pontouvre-16-une-personne-est-decedee-mercredi-heurtee-par-le-tgv-1466908-4620.php

Doubs : collision mortelle à Cléron

Ce matin, peu après 8 h, deux voitures se sont percutées sur la départementale 9, sur la commune de Cléron (Doubs), en direction de Fertans. Pour une raison que l’enquête de gendarmerie devra déterminer, l’homme qui se dirigeait vers Fertans s’est déporté sur la gauche. Il est malheureusement décédé dans le choc frontal. L’autre conducteur s’en est sorti avec de légères blessures et a été dirigé vers l’hôpital de Besançon.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/02/20/doubs-collision-mortelle-a-cleron

Carcassonne. Un joueur de l'ASC XIII victime d'une crise cardiaque

Younès Khattabi, trois quart centre de l’ASC XIII a été victime, lundi , d’une crise cardiaque, chez lui, en Avignon. Dimanche, il a joué avec l’ASC, justement contre Avignon.
C’est une artère bouchée qui a provoqué le malaise. Il a été opéré. Ses jours ne sont pas en danger

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/20/1822942-carcassonne-joueur-asc-xiii-victime-crise-cardiaque.html

mercredi 19 février 2014

Puy-de-Dôme: le père reconnaît le meurtre

Le père de l'enfant de trois ans découvert mort samedi à son domicile dans le Puy-de-Dôme, interpellé mardi à Grenoble après avoir pris la fuite, a reconnu avoir tué son fils, a indiqué aujourd'hui le parquet.

Lors de sa garde à vue, "il a indiqué qu'il avait tué son fils. Il l'a pris dans ses bras en le serrant très fort et en lui mettant la main sur le nez et la bouche", a déclaré aujourd'hui le procureur de la République de Clermont-Ferrand, Pierre Senès, confirmant une information du journal La Montagne.

Le magistrat a précisé que "les explications données" par le père lors de son interrogatoire restaient "confuses et nébuleuses".
Âgé de 40 ans, le père devait être dans l'après-midi présenté devant le juge d'instruction, qui doit ouvrir une information pour "homicide volontaire sur mineur de 15 ans, en récidive légale".

L'homme a été en effet condamné en 2002 à 6 ans de prison ferme devant la cour d'assises de Riom pour "coups mortels" lors d'une bagarre.

"Graves problèmes respiratoires"

Mardi matin, il avait été arrêté à bord d'une voiture volée à Grenoble, puis ramené à Clermont-Ferrand où il a été entendu.
L'autopsie du corps de l'enfant avait révélé lundi qu'il n'avait subi aucune violence, et ne portait aucune trace de fracture.

L'enfant souffrait en revanche de "graves problèmes respiratoires" et était suivi très régulièrement en milieu pédiatrique. Les causes exactes de son décès ne pourront être connues qu'après des examens complémentaires.

Séparée de son ex-compagnon, la mère avait découvert son enfant inanimé dans la maison en venant le chercher samedi après-midi, après avoir vu le père partir de chez lui à bicyclette. Son vélo a été retrouvé dimanche matin à quelques dizaines de mètres de berges de l'Allier.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/02/19/97001-20140219FILWWW00257-puy-de-dome-le-pere-reconnait-le-meurtre.php

Le TGV Bordeaux-Lille a heurté une personne à hauteur de Gond-Pontouvre, une personne est décédée

L'accident s'est produit mercredi 19 février en milieu de matinée. La victime, dont l'âge n'est pas connu, serait un homme
Ce mercredi matin, à 10 h 30, le TGV Bordeaux-Lille a heurté une personne à hauteur de Gond-Pontouvre, au nord d'Angoulême. La victime est décédée, indique-t-on au Centre opérationnel d'incendie et de secours (Codis). Il s'agirait d'un homme dont l'âge n'est pas connu.
L'accident s'est produit à proximité de l'avenue Charles-de-Gaulle, qui enjambe la voie ferrée. Impossible pour l'heure de dire s'il s'agit d'un suicide. La police scientifique a été appelée sur les lieux.
La circulation des trains a été interrompue sur les deux voies jusqu'à 11 h 30, précise-t-on à la SNCF, avant d'être rétablie sur une voie. Le TGV 5264, qui venait de marquer un arrêt en gare d'Angoulême, est reparti à 12 h 05.
Les autres trains concernés accusent un retard allant jusqu'à 45 minutes.

http://www.sudouest.fr/2014/02/19/gond-pontouvre-16-une-personne-est-decedee-mercredi-heurtee-par-le-tgv-1466908-4620.php

Bébé mort à Audierne. Les obsèques célébrées mercredi

Les obsèques du nourrisson découvert mort dans un jardin, mercredi, à Audierne, seront célébrées ce mercredi au cimetière de Kermabon, à 15 h.

Les obsèques du petit Alexis Félix Jacques, retrouvé mort dans un jardin privé à Audierne, auront lieu, ce mercredi, au cimetière de Kermabon, à 15 h. 
De nouveaux examens de prélèvements effectués sur le corps devraient avoir lieu dans les prochains jours, notamment pour déterminer les causes exactes de la mort.
La brigade de recherche de la gendarmerie de Quimper est chargée des investigations.

http://www.ouest-france.fr/bebe-mort-audierne-les-obseques-celebrees-mercredi-1940019

Saint-Sozy. Il meurt écrasé par son tracteur

Un tragique accident agricole s’est produit hier, peu avant 14 heures, au lieu-dit Touchy, commune de Saint-Sozy, à proximité du domicile de la victime. Un homme âgé de 76 ans, Claude Guinot, est décédé après avoir été écrasé par son tracteur (ci -contre notre photo DDM, Sylvie Branty). Selon les premiers éléments de l’enquête, c’est en faisant une manœuvre pour reculer que l’accident s’est produit. Le tracteur s’est renversé. L’engin n’avait ni cabine ni arceaux de protection. Les sapeurs-pompiers du centre de secours de Souillac et le Samu, rapidement dépêchés sur place, ont effectué les premiers secours. En vain. La gendarmerie de Martel se trouvait également sur place. Claude Guinot, agriculteur à la retraite, appartenait à une vieille famille de Saint-Sozy. «Il était unanimement apprécié. Toute sa vie, il avait travaillé dans le village. Il participait activement au club des aînés, où il s’était parfaitement intégré», confiait Philippe Castanet, premier adjoint au maire.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/02/19/1821527-saint-sozy-il-meurt-ecrase-par-son-tracteur.html

mardi 18 février 2014

Seine-et-Marne : une mère retrouve sa fille morte sur son lit

Elle devait fêter ses 18 ans cette semaine. Une jeune fille de Maincy (Seine-et-Marne) a été retrouvée morte sur son lit dimanche en début d'après-midi. C'est sa mère qui a fait la macabre découverte après lui avoir laissé la maison familiale. «Les premières constations laissent supposer qu'elle a été étouffée» et «l'hypothèse criminelle est privilégiée par les enquêteurs, a fait savoir une source judiciaire.
  Une a été ouverte.

«Elle ne semble pas être morte naturellement», a simplement commenté une autre source proche de l'enquête, même si la piste du
n'est pas exclue. Une autopsie doit être réalisée mardi après-midi et les résultats sont attendus pour demain.

D'ici là, les enquêteurs entendent encore la mère de la jeune femme. Ils s'attachent notamment à déterminer si elle était présente lorsque sa fille a été tué. C'est la police judiciaire de Versailles qui a été chargée de l'enquête.


http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/seine-et-marne-une-mere-retrouve-sa-fille-morte-sur-son-lit-18-02-2014-3602375.php

Le père, en fuite après la mort de son enfant de 3 ans, arrêté à Grenoble

Le père de l’enfant de trois ans découvert samedi sans vie à son domicile dans le Puy-de-Dôme alors qu’il en avait la garde, et qui avait pris la fuite à vélo, a été interpellé mardi matin à Grenoble et placé en garde à vue.
Le père de 40 ans a été arrêté à bord d’une voiture volée à Grenoble, a précisé une source judiciaire.
Des gendarmes, partis de Clermont-Ferrand pour le chercher, devaient le ramener dans la journée dans la capitale Auvergnate où il sera entendu, pour qu’il explique les circonstances du décès de son fils, et de sa fuite.
L’autopsie du corps de l’enfant avait révélé lundi qu’il n’avait subi aucune violence, et ne portait aucune trace de fracture.
L’enfant souffrait en revanche de «graves problèmes respiratoires» et était suivi très régulièrement en milieu pédiatrique. Les causes exactes de son décès ne pourront être connues qu’après des examens complémentaires.
Séparée de son ex-compagnon, la mère avait découvert son enfant inanimé dans la maison en venant le chercher samedi après-midi, après avoir vu le père partir de chez lui à bicyclette. Son vélo a été retrouvé dimanche matin à quelques dizaines de mètres de berges de l’Allier.

http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2014/02/18/le-pere-en-fuite-apres-la-mort-de-son-enfant-de-3-ans-arrete-a-Grenoble

Dentiste assassiné : le meurtrier présumé s'est suicidé

Le meurtrier présumé d'un chirurgien-dentiste, tué d'une balle dans la tête lundi après-midi à son cabinet au Blanc-Mesnil, en Seine-Saint-Denis, s'est donné la mort au nord de Nantes mardi matin. Le chirurgien-dentiste, qui était dans un état grave lundi soir, a succombé à ses blessures. Une information judiciaire avait été ouverte à Bobigny, pour permettre aux enquêteurs de la brigade criminelle de Paris de géolocaliser le tireur.
Lundi soir, le meurtrier présumé avait été placé sous surveillance après avoir révélé son acte à des proches, qui ont alerté les gendarmes. Il a été repéré alors qu'il revenait chez lui, au nord de Nantes, à bord de son véhicule et l'on pris en chasse. Vers 02H00 du matin l'homme s'est retrouvé acculé et est finalement sorti de sa voiture avant de retourner son arme vers lui et de se donner la mort devant les gendarmes, selon la source proche du dossier.
Âgé de 65 ans, le tireur présumé, dont l'épouse est dentiste dans la région nantaise, est décédé des suites de ses blessures dans la nuit. Il était soupçonné d'avoir pris pour cible le chirurgien dentiste alors qu'il se trouvait en consultation dans son cabinet médical, rue Marcel-Deboffe, dans le centre du Blanc-Mesnil.Après avoir entendu une détonation, des collègues du praticien l'ont découvert gisant, un impact de balle au niveau de la tempe.
Le tireur présumé a expliqué à ses proches avoir agi par jalousie, soupçonnant le chirurgien de région parisienne d'être l'amant de son ex-femme.
 

Pas de trace de violences sur le corps de l’enfant mort chez son père

L’enfant de trois ans trouvé mort samedi à Vic-le-Comte (Puy-de-Dôme) chez son père qui en avait la garde, ne porte aucune trace de violences ou de fracture, selon les résultats de l’autopsie pratiquée lundi
L’enfant souffrait en revanche de «graves problèmes respiratoires» et était suivi très régulièrement en milieu pédiatrique. Les causes exactes de son décès ne pourront être connues qu’après des examens complémentaires.
Séparée de son ex-compagnon, la mère avait découvert son enfant inanimé dans la maison en venant le chercher samedi après-midi, après avoir vu le père partir de chez lui à bicyclette.
Les gendarmes étaient toujours lundi à la recherche du père âgé de 40 ans. Son vélo a été retrouvé dimanche matin à quelques dizaines de mètres de berges de l’Allier.
Les enquêteurs vont commencer des fouilles dans la rivière.



http://www.leprogres.fr/france-monde/2014/02/17/pas-de-trace-de-violences-sur-le-corps-de-l-enfant-mort-chez-son-père

lundi 17 février 2014

Villeurbanne : il tente de se suicider en se jetant sous la rame du tramway

Un homme de 31 ans a tenté de se suicider lundi vers 14 heures en se jetant sous la rame du tramway de la ligne T1. L’accident s’est produit boulevard du 11 novembre à Villeurbanne à hauteur de l’arrêt Condorcet.
L’homme de 31 ans s’est jeté sous le tramway mais n’a été que légèrement blessé. Les pompiers ont dû relever la rame de tête pour secourir la victime qui a été transporté par le Samu à HEH.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/02/17/villeurbanne-un-pieton-renverse-par-le-tramway

Accident à Saint-Jean-de-Luz (64) : un mineur entre la vie et la mort

Un jeune de 14 ans a été transporté par le Samu, dimanche, en fin d’après-midi suite à un grave accident de scooter survenu derrière le stade Kechiloa (football) à Saint-Jean-de-Luz. 
 Les circonstances de l'accident sont encore floues, mais c'est un choc entre une voiture et le scooter qui est à l'origine des blessures.
Le pronostic vital de l'adolescent était très engagé dimanche soir. Il a été admis aux urgences de Bayonne avec un très gros traumatisme crânien.

http://www.sudouest.fr/2014/02/17/faits-divers-1464310-4584.php

Plus de 200 personnes rendent hommage à Diego à Six-Fours

Une minute de silence a été observée en la mémoire de ce jeune homme de 17 ans retrouvé sans vie à son domicile et portant des traces de coups à l'arme blanche, vendredi dernier.
Des ballons blancs ont été distribués lors de cet hommage et chacun a écrit un petit mot.
Un livre d'or circulait également dans le rassemblement et sera remis à la famille.
>> Une page Facebook d'hommage à l'adolescent tué à Six-Fours
Le cortège devait ensuite se rendre au stade de rugby voisin, où l'équipe de Six-Fours devait également respecter une minute de silence avant le coup d'envoi du match contre Berre, à 15h. Les joueurs six-fournais ont prévu d'arborer un brassard noir. 
Plus de 200 personnes rendent hommage à Diego à... par Var-matin

http://www.nicematin.com/derniere-minute/video-plus-de-200-personnes-rendent-hommage-a-diego-a-six-fours.1626060.html

La solitude tue chez les personnes âgées

Loin du cœur... Face au vieillissement de la population observable en Europe, la plupart des Etats compte sur les maisons de retraite pour accueillir nos aînés durant leurs vieux jours. Conséquence : l’étiolement, voire la rupture dans certains cas, du lien familial. Un lien primordial pourtant pour éviter le sentiment de solitude, à l’origine d’une surmortalité de 14% selon des chercheurs britanniques qui ont suivi pendant six ans un panel de 2000 personnes âgées de 50 ans et plus. Le site du journal de référence The Guardian rapporte ces chiffres et observe, pour mieux situer l’importance des liens sociaux, que la solitude tue deux fois plus que l’obésité.
Un phénomène inquiétant. En France, la réforme de la dépendance menée par la ministre déléguée aux personnes âgées Michèle Delaunay intègre un volet sur la lutte contre la solitude. Un récent rapport initié par le Fondation de France indique que plus de 5 millions de Français, tous âges confondus, vivent peu ou pas de relations sociales. Si les jeunes ne sont pas épargnés, la proportion de personnes âgées touchées par ce phénomène s’accroît d’année en année (24% des 75 ans et plus en 2013 contre 16% en 2010). Une prise de conscience nécessaire, puisque la solitude est désormais considérée comme un facteur de risque pour contracter la maladie d’Alzheimer.
 

Tué d'une balle dans la tête à Aubervilliers

Un homme âgé d'une vingtaine d'années a été tué d'une balle dans la tête dimanche soir dans une rue d'Aubervilliers, au nord de Paris, a-t-on appris auprès de la préfecture de Seine-Saint-Denis. "L'homme a été trouvé blessé d'une balle dans la tête sur la voie publique vers 22 heures. Il a est décédé quelques minutes plus tard, il n'a pas pu être réanimé", a déclaré à l'AFP une source préfectorale, confirmant une information du journal Le Parisien.
L'homme a été retrouvé à côté d'une voiture dont les portières étaient ouvertes. "Nous ignorons pour le moment s'il s'agissait de son véhicule", a précisé la préfecture, qui a expliqué ne pas connaître les circonstances du meurtre