mercredi 30 novembre 2011

Nice. Un enfant de 2 ans meurt étranglé à la crèche

Un enfant de deux ans est décédé des suites de ses blessures, quelques jours après s'être coincé la tête entre les barreaux d'un lit ou d'un parc dans une crèche associative de Nice.
Retrouvé inanimé par le personnel le 23 novembre dernier, le petit Emiliano a été transporté dans le coma à l'hôpital Lenval et il était déjà trop tard. Le jeune garçon a succombé à ses graves blessures trois jours plus tard, selon Nice Matin.
Une enquête de flagrance a été ouverte lundi dernier et confiée à la brigade des mineurs de la Sûreté départementale. Les auditions des membres du personnel ont commencé. L'objectif est de déterminer si des négligences ont été commises.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/30/1228325-nice-un-enfant-de-2-ans-meurt-etrangle-a-la-creche.html

Terrible accident du travail à Saint-Etienne

Un ouvrier de 34 ans s'est retrouvé la tête coincée par la ligne automatique de production lundi à 9 heures.
L'accident s'est produit au sein de l'entreprise Prebet et fils, située 14 rue Pierre-Coppel dans le quartier de La Rivière. Pour une raison que l’enquête devra déterminer, l'homme de 34 ans, résidant à Saint-Etienne, s'est retrouvé lundi matin la tête coincée entre un pont roulant et un bac.
Inconsciente à l'arrivée des secours, la victime souffrirait d’un traumatisme crânien et facial et son état était jugé très grave lundi soir.
La police et l’Inspection du travail ont ouvert une enquête

http://www.leprogres.fr/loire/2011/11/28/saint-etienne

mardi 29 novembre 2011

Un adolescent se suicide, vraisemblablement après avoir vu son père mourir

Un adolescent de 17 ans s'est donné la par pendaison, vraisemblablement après avoir vu son père de 49 ans succomber à un malaise cardiaque lundi après-midi dans la commune viticole d'Oger (Marne), a-t-on appris mardi auprès du parquet de Châlons-en-Champagne.
"Les autopsies ont révélé que l'homme était mort subitement en raison d'un coeur et d'un foie défaillants sans qu'il y ait aucune trace de lutte ni de violences particulières et le garçon est décédé par pendaison", a expliqué à l'AFP Christian de Rocquigny, le procureur de Châlons-en-Champagne.
"L'hypothèse la plus probable est que le garçon s'est donné la mort juste après le décès de son père", a-t-il poursuivi.
Selon lui, le corps de l'homme qui gisait dans son lit a été découvert lundi après-midi par son ex-compagne, qui était également la mère de l'adolescent. Ce sont les secours alertés par la femme qui ont retrouvé le jeune homme pendu dans un bâtiment jouxtant la demeure principale.
Sous le choc, la mère a dû être hospitalisée.
L'
, qui avait été confiée à la gendarmerie d'Avize, est close et les permis d'inhumés ont été délivrés, a-t-on précisé au parquet.http://www.leparisien.fr/reims-51100/un-adolescent-se-suicide-vraisemblablement-apres-avoir-vu-son-pere-mourir-29-11-2011-1744600.php

Direct 8 revient sur l’affaire du Chambon-sur-Lignon

Hier, une équipe de tournage de la société Upside production était dans nos locaux, à Yssingeaux. Après une journée et demie passée au Chambon-sur-Lignon, afin de recueillir des témoignages sur le meurtre de la jeune Agnès, la journaliste Angélique Boilet a interviewé notre confrère Rémi Barbe au sujet de ce drame.
Le reportage est programmé pour l’émission Présumé innocent, animée par Jean-Marc Morandini. Il sera diffusé vendredi 9 décembre à 20 h 45, sur la chaîne Direct 8.
Présumé innocent, vendredi 9 décembre, Direct 8, canal 8 sur la TNT et canal 38 sur Canalsat.

Une fillette de 5 ans a le doigt sectionné dans une porte à l’école maternelle

Un tragique accident est survenu lundi matin, à l'école maternelle de Saint-Cyr-les-Vignes, lors duquel le doigt d'une petite fille a été sectionné.
Selon les éléments transmis par l'inspection académique, l'incident s'est produit aux alentours de 10 heures, au moment de la sortie en récréation. Dans des circonstances encore inconnues, le doigt de la petite fille aurait été violemment coincé par une porte. L'institutrice et le directeur d'établissement ont immédiatement appelé le SAMU et prévenu les parents. Les pompiers de Montrond-les-Bains sont rapidement intervenus pour prendre en charge l'enfant.
Le doigt a été conditionné et la petite fille a été transportée dans un établissement de soins spécialisé à Clermont-Ferrand.
Le directeur de l'école n'a pas souhaité s'exprimer sur l'incident.

http://www.leprogres.fr/loire/2011/11/29/une-fillette-de-5-ans-a-le-doigt-sectionne-dans-une-porte-a-l-ecole-maternelle

Mort de Bastien : le père ne voulait pas de cet enfant

«Un coup de folie. » Voilà comment Anne-Marie, la mère de Christophe Champenois, explique le geste de son fils unique. Cet homme blond de 33 ans inquiétait les mamans devant l’école du village. Elles le voyaient « boire et rouler vite, avec des enfants pas attachés ».

La semaine dernière, Christophe avait consulté son chirurgien pour une tumeur au cerveau dont il avait été opéré. « Mardi, le médecin lui a dit que la tumeur avait repoussé, que ce n’était pas opérable. Mon fils voulait avoir l’avis d’un autre spécialiste. »

Le couple et les deux enfants vivaient sous les toits, dans un deux-pièces exigu. La veille du drame, Anne-Marie a eu son fils au téléphone. Il lui a parlé de son déménagement à Meaux, un quatre-pièces en HLM. Le bail devait être signé hier. « Il était content de changer d’appartement. Il m’a dit que Bastien était turbulent à l’école, je lui ai répondu : Il va grandir, s’assagir. » Christophe ne voulait pas de cet enfant. « Il estimait ne pas avoir les moyens pour l’élever. Il a mal accepté sa naissance, c’est vrai. Il était distant avec lui, alors que sa fille était le bon Dieu, l’amour de sa vie », souligne Anne-Marie. Il a fini par reconnaître le bébé. Fils unique, Christophe a perdu son père à l’âge de 7 ans et a grandi dans les Yvelines. Il a rencontré Charlène quand il avait 25 ans et elle 17. Ils se sont rapidement installés ensemble. Au fil des ans, son amour s’est tari. Selon son entourage, il lui préférait sa voiture. Un jour, sa voisine lui a fait remarquer que Charlène n’avait rien à se mettre. Honteux, il est allé acheter un jean. Par ailleurs, en juin 2010, le tribunal de Meaux l’a condamné à deux mois de prison avec sursis pour des violences sur Charlène.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/mort-de-bastien-le-pere-ne-voulait-pas-de-cet-enfant-29-11-2011-1744198.php
Un chasseur de 59 ans a succombé, dimanche en fin d'après midi, à un coup de feu tiré par son propre fusil de chasse. L'accident s'est produit au cours d'une battue organisée dans les bois entre Levier et Villers-sous-Chalamont dans le haut Doubs, tout proche du Jura.
Vers 15h30, ce dimanche, alors qu'un chasseur se trouvait seul un coup de fusil était tiré depuis son poste. Ses compagnons le découvraient peu après sans vie et la tête ensanglantée.
D'après les premières constatations ce chasseur de 59 ans originaire de Vermondans dans le Doubs aurait été victime de sa propre arme. Dans la soirée, parmi les hypothèses évoquées celle d'un tir accidentel. La victime aurait pu trébucher sur une souche et déclencher le tir qui l'a frappé en pleine tête en tentant de se rattraper.
Le parquet de Besançon a ordonné une autopsie pour vérifier si cette thèse est plausible.

http://www.leprogres.fr/actualite/2011/11/27/doubs-tue-par-son-fusil-de-chasse

lundi 28 novembre 2011

Un homme meurt happé par le train Paris-Port Bou

Argelès traumatisée. Cinq jours après l'accident mortel dont a été vicitme un adolescent de 16 ans, percuté par un train, en traversant une voie à hauteur du viaduc de la Massane, hier à 8 heures du matin, c'est un adulte qui a été foudroyé par le Paris-Port Bou, à pleine vitesse.
L'incident s'est produit à un kilomètre à peine de la gare d'Argelès-sur-Mer, à hauteur du pont qui conduit les automobilistes vers Saint-André.
Il s'agirait d'un suicide
Cette fois, il ne s'agirait pas d'un accident mais d'un suicide comme nous le confirmait hier le commandement de la gendarmerie d'Argelès, le capitaine Jean-François Cardona.
"Les premiers indices et témoignages laissent à penser à un suicide. On n'a pas pu identifier la victime tant le choc a été brutal. Sa mort a été instantanée. Le trafic a été très perturbé".
Il fallait compter près de deux heures d'attente pour les nombreux passagers du Paris-Port Bou qui devait s'arrêter en gare d'Argelès dans la mesure où la procédure menée par le parquet et la gendarmerie de Céret nécessite une longue intervention.
Contrairement à une rumeur, il n'y aurait aucun rapport entre ces deux accidents.
http://www.midilibre.fr/2011/11/28/un-homme-meurt-happe-par-le-train-paris-port-bou,422630.php

Un jockey entre la vie et la mort après une chute en course à Argentan

Un jockey de 21 ans est dans un état désespéré après une chute collective en course dans une épreuve de plat, samedi après-midi sur l’hippodrome d’Argentan (Orne).
Peu après le départ du prix de Longchamps (6e course de la réunion), quatre chevaux ont chuté dans le premier virage. Si trois des jockeys ont été légèrement touchés, le quatrième, Benjamin Boutin, a été transporté aux urgences de l’hôpital d’Argentan dans un état très grave. En état de mort cérébrale, il a ensuite été transporté dans un autre établissement hospitalier.

dimanche 27 novembre 2011

Un supporter de l'Usap décède au cours du match contre Paris

Stupeur vendredi soir au stade Aimé-Giral, un supporter de l'USAP, Jean Saint Martino, de Saint-Estève, âgé de 77 ans, adhérent du club des supporters des Arrels depuis cette saison mais abonné depuis très longtemps, devait décéder, peu avant la mi-temps, lors du match USAP-Stade Français, d'un malaise cardiaque.
Contrairement à bien des rumeurs qui ont circulé à Aimé-Giral, ce n'est pas le nouveau camouflet de l'USAP qui entraîna son décès puisque ce drame est intervenu en cours de match. En revanche, il avait connu une alerte, selon certains témoins, quand il a pris sa place en tribune Vaquer, au-dessus du tunnel que les joueurs empruntent, et avait déjà subi une intervention chirurgicale, au niveau coeur, il y a 20 ans.

45 minutes de massage cardiaque restées vaines
Les pompiers et le SAMU sont vite intervenus vendredi. 45 minutes de massage en haut de la tribune ont été vaines. De nombreux supporters du club des Arrels que dirige François Payré et des Barretines ont été les témoins de cette émouvante scène, entraînant un sacré mouvement de foule. C'est la première fois à Aimé-Giral, depuis les travaux de rénovation entamés en 1998 qu'un tel drame intervint lors d'un match de rugby.
Jean Saint-Martino, fidèle et inconditionnel de l'USAP bien connu dans le milieu, devait être dimanche du déplacement à Lyon. Nous adressons à sa famille de Saint-Estève et à ses proches de Saint-Nazaire, nos sincères condoléances.
http://www.midilibre.fr/2011/11/27/un-supporter-de-l-usap-decede-au-cours-du-match-contre-paris,422478.php

Un handicapé en fauteuil tué dans une collision

Un dramatique accident s'est produit hier en fin de matinée allée de Bellefontaine à Toulouse. Vers 10 h 45, le conducteur d'une Peugeot 405 a heurté un homme qui se déplaçait sur un fauteuil roulant électrique. La voiture a percuté le fauteuil au moment où, semble-t-il, le handicapé essayait de remonter sur un trottoir. Lors du choc, cet homme, Roger Mialhe, 77 ans, a été éjecté. Les pompiers et une équipe du SMUR 31 sont intervenus pour lui porter les premiers soins mais l'équipe d'urgentistes n'a pas pu sauver la victime. Le conducteur de la Peugeot a été entendu par les enquêteurs de la compagnie de lutte contre l'insécurité routière. Cet homme était en règle et n'avait pas consommé d'alcool. Un témoin de l'accident a également été auditionné par les policiers.

Appel à témoin

Pour compléter leur enquête, les policiers recherchent d'autres témoins de l'accident. Ces personnes sont priées de prendre contact avec le commissariat central, boulevard de l'Embouchure, en appelant aujourd'hui dimanche le 05 61 12 80 68 ou le 05 61 12 74 68.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/27/1225822-un-handicape-en-fauteuil-tue-dans-une-collision.html

A 20 ans, il meurt en moto après avoir heurté une chaîne tendue sur un chemin

La série noire se poursuit sur les routes du département de l'Aude. Un nouvel accident mortel a émaillé la journée, hier.
Il était aux alentours de 16 h 15 lorsqu'un jeune d'une vingtaine d'années a perdu le contrôle de sa moto "enduro", à Bizanet, sur un chemin privé, visiblement accidenté, avant de percuter un obstacle et de terminer sa course sur le sol.

Le jeune homme a, semble-t-il, heurté une chaîne tendue sur la route. Les sapeurs-pompiers du centre de secours de Narbonne ainsi qu'une équipe du Smur sont rapidement intervenus sur les lieux du drame. Les secouristes ont tenté de ranimer la victime de longues minutes durant… En vain. Le garçon a succombé à ses blessures.
Les gendarmes de la brigade territoriale de Coursan ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de cette tragédie.
Série noire
C'est la 47e personne au volant d'une voiture ou au guidon d'un deux-roues à périr depuis le début de l'année dans l'Aude. Il s'agit de la 8e victime depuis début septembre.
Le 3 novembre, un chauffeur livreur narbonnais s'était tué sur la départementale 6113 entre Cruscades et Canet-d'Aude, le 26 octobre, un Alzonnais de 20 ans mourait sur la rocade à Carcassonne, une semaine plus tard, c'est un Cuxacois qui perdait la vie à hauteur de Montréal sur la D119.
Bizanet a déjà été endeuillé cet été, le 19 août au soir, avec la mort d'un homme d'une trentaine d'années sur la route de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse.
Rappelons que sur l'ensemble de l'année 2010, 36 personnes avaient péri sur les routes audoises. Cette année, le bilan s'annonce, déjà, extrêmement sombre.
http://www.midilibre.fr/2011/11/26/a-20-ans-il-meurt-en-moto-apres-avoir-heurte-une-chaine-tendue-sur-un-chemin,422229.php

samedi 26 novembre 2011

Quatre corps découverts dans un gîte rural des Ardennes

Les corps sans vie d'un homme, d'une femme et de deux enfants, appartenant vraisemblablement à une même famille, ont été découverts samedi matin dans un gîte rural de Lalobbe (Ardennes), a-t-on appris auprès du parquet de Reims.
"Pour l'instant, l'enquête privilégie l'hypothèse d'un drame familial", indique le parquet.
La macabre découverte a été faite par le propriétaire du gîte samedi matin, date à laquelle la location de ce dernier prenait fin.
Les corps retrouvés sont "ceux d'un homme, d'une femme et de deux enfants en bas âge. Ils appartiendraient vraisemblablement à une même famille", indique le parquet de Reims, sans donner plus de détails.
Selon L'Union, les deux enfants seraient âgés de un et trois ans. Le père aurait été découvert pendu au rez-de-chaussée du gîte.
La famille séjournait dans ce gîte, situé dans la petite commune rurale de Lalobbe, près de Charleville-Mezières, depuis une semaine. Elle aurait été aperçue pour la dernière fois par des riverains dimanche dernier lors d'une promenade en famille.
http://www.google.fr/url?url=http://www.lexpress.fr/actualites/1/societe/quatre-corps-decouverts-dans-un-gite-rural-des-ardennes_1055401.html&rct=j&sa=X&ei=wCfRTv3uJortOaTsxIYP&ved=0CCwQ-AsoATAA&q=Ardennes+:+quatre+cadavres+d%C3%A9couverts+dans+un+g%C3%AEte&usg=AFQjCNGv-Fs7xG-2cC5S1v9DVzYkVBTdTg

La piétonne renversée boulevard Maréchal-Lannes n'a pas survécu

Elle était plongée dans le coma depuis mercredi : Josiane Maurel, 69 ans, est décédée jeudi soir à l'hôpital d'Albi, 24 heures après le terrible accident dont elle avait été victime sur le boulevard Maréchal-Lannes. La retraitée albigeoise traversait le boulevard, à hauteur de la boulangerie « Lou Tarnou », lorsqu'une Renault Kangoo l'a fauchée, sur le passage piétons. Prise en charge par les secours, Josiane Maurel se trouvait dans un état très grave. Le pronostic vital était engagé. Hélas, les craintes des médecins qui l'ont examinée étaient fondées.
Son décès donne bien sûr une autre dimension à l'enquête diligentée par le commissariat. On sait que le conducteur de la voiture a fait l'objet d'un dépistage d'alcoolémie positif. Ce délit, ajouté au refus de priorité et au défaut de maîtrise, lui a d'ailleurs valu d'être placé 24 heures en garde à vue.
Laissé libre jeudi soir, cet homme de 63 ans devait être reconvoqué hier.
« Il sera poursuivi pour homicide involontaire sous l'empire d'un état alcoolique », annonçait hier Claude Dérens, procureur de la République d'Albi. L'automobiliste sera jugé le 7 février 2012 devant le tribunal correctionnel d'Albi. Mais aujourd'hui, c'est d'abord à la famille de la victime qu'il faut penser.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/26/1225259-la-pietonne-n-a-pas-survecu.html

Une voiture chute dans un canal:1 mort

Un homme de 36 ans est décédé dans la nuit de jeudi à vendredi et un autre, âgé de 32 ans, a été grièvement blessé, après la chute de leur véhicule dans le canal de Bourgogne, à Dijon, pour une raison encore inconnue.

Un troisième passager, un homme dont l'âge n'a pas été précisé, a réussi à sortir par ses propres moyens du véhicule et était indemne lors de l'intervention des secours.

L'accident s'est produit vers 1 heure. Quand les secours sont arrivés, deux des passagers se trouvaient en arrêt cardiaque. L'un a pu être ranimé et a été transporté à l'hôpital. Le second est décédé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/25/97001-20111125FILWWW00496-une-voiture-chute-dans-un-canal1-mort.php

vendredi 25 novembre 2011

Une femme de 45 ans happée par un TER hier soir

Une femme âgée de 45 ans est décédée hier, vers 18 heures, après avoir été happée sur les voies ferrées par un TER au niveau de la commune de Loos. La circulation des trains a été perturbée une bonne partie de la soirée.


 Que faisait cette dame de 45 ans sur les voies ferrées hier, en début de soirée ? La victime a été percutée par un TER reliant Lille à Bully-Grenay, à hauteur de la fourrière municipale de Lille, rue Frédéric-Combemale. Le conducteur venait de quitter la gare de Lille-Sud et se dirigeait alors vers Béthune.
Avec le choc, la dame est morte sur le coup. Les secours pensent qu'elle aurait pu emprunter un raccourci pour rejoindre son domicile loosois situé à deux pas. Mais c'est une piste parmi tant d'autres et aucune n'est pour l'heure écartée. Ce drame a perturbé le trafic SNCF. Le TER en question a été immobilisé avec à son bord 142 voyageurs. Personne n'a été évacué. Le train a pu reprendre sa route à 19 h 20. Mais ce n'est pas pour autant que la circulation a pu reprendre sur les voies. Il a fallu attendre l'arrivée des pompes funèbres.
Du coup, une cinquantaine de TER ont été perturbés. Des déviations ont été mises en place via La Madeleine-Don, occasionnant de légers retards allant de 15 à 20 minutes. La SNCF a aussi prévu des bus navettes entre Lille et Haubourdin. Et seuls trois trains ont été supprimés. Tout devait rentrer dans l'ordre au cours de la soirée
http://www.nordeclair.fr/Actualite/2011/11/25/une-femme-de-45-ans-happee-par-un-ter-hi.shtml

Le corps repêché dans la Deûle près de Lille est bien celui d'Hervé Rybarczyk, le parquet privilégie la thèse du suicide

Le corps repêché mercredi après-midi dans la Deûle à Loos, à la limite du port fluvial de Lille, est bien celui d'Hervé Rybarczyk, un Ronchinois de 42 ans. Des rapprochements avec un porte-monnaie, des vêtements, notamment un t-shirt, et une cicatrice ne laissent aucun doute. Une autopsie sera pratiquée ce matin afin de déterminer la cause du décès du guitariste du groupe de rock lillois Ashtones, disparu depuis la nuit du 11 au 12 novembre après un concert boulevard Montebello à Lille. ...


D'ores et déjà, un examen externe n'a pas révélé la présence de lésions : « On ne travaille pas du tout sur une hypothèse criminelle », souligne Frédéric Fèvre, procureur de Lille. La piste d'un suicide est privilégiée : « Bien sûr, il faut attendre les résultats de l'autopsie, mais tout laisse penser à un geste désespéré, même si on ne peut pas exclure définitivement un accident. Il était dépressif et suivait un traitement médicamenteux. Il avait déjà fait état d'idées suicidaires et, dans un passé récent, a perdu deux êtres proches. Ses dernières paroles en quittant ses amis étaient : "J'ai tout perdu", avant de disparaître. » Le procureur entend aussi couper court aux très nombreux commentaires reliant ce drame aux autres noyés depuis un an à Lille.
Il a d'ailleurs saisi la Sûreté urbaine lilloise et non la PJ, en charge des quatre noyades pour lesquelles la thèse criminelle est également exclue.
Frédéric Fèvre balaie l'idée d'un « serial pousseur » : « On ne travaille pas sur des rumeurs mais sur des faits avérés . » Chez les proches d'Hervé Rybarczyk, c'est évidemment la tristesse. Dorothée, sa compagne, est anéantie par l'annonce de son décès. Mais elle tient à remercier tous ceux qui l'ont aidée pour les recherches. « Énormément de personnes se sont mobilisées, ça fait du bien de se sentir entourée.
Mais en tout cas, je ne crois pas du tout à l'hypothèse d'un accident ou d'un suicide. Il n'avait rien à faire au port fluvial. Ce n'est pas une idée à laquelle je veux me raccrocher, c'est une analyse qu'on a faite tous ensembles », confie-t-elle. Sur le « j'ai tout perdu » qu'aurait prononcé Hervé Rybarczyk à l'issue du concert à La Chimère, sa compagne croit qu'il s'agissait de la perte de ses affaires, et non pas d'un message.

« En pleine forme »

Frédéric Loridant, ami du musicien et photographe qui anime le site Photorock, a assisté au dernier concert. « Hervé était très content de la prestation du groupe. Il était en pleine forme. Quand il est parti, il était un peu éméché, mais tout fier de son concert. » Lui non plus ne veut pas croire à un suicide. Il indique qu'Hervé Rybarczyk avait été très affecté par la mort de deux de ses proches, en particulier Francis Collet, le guitariste du groupe disparu tragiquement au début de cette année  pour qui un concert hommage sera organisé le 17 décembre à Wattrelos. Mais selon lui, il avait remonté la pente. « Tout sera fait pour comprendre ce qui s'est passé, explique le procureur. Je comprends la douleur de la famille et des proches et je souhaite répondre à l'ensemble de leurs questions légitimes. »
 http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/11/25/article_le-corps-repeche-dans-la-deule-pres-de-l.shtml

Marseille : un homme meurt après avoir été blessé par balle dans une cité

Un homme de 24 ans et connu des services de police est décédé jeudi matin à l'hôpital Nord de Marseille, après avoir été blessé par balle dans une cité de la ville, en proie au trafic de drogue, a-t-on appris de source proche de l'.

Selon les premières investigations, confiées par le parquet à la brigade criminelle de la PJ, l'individu a été blessé par balle alors qu'il se trouvait dans la cité La Savine (15e arrondissement), considérée comme un point chaud du trafic de drogue dans les
, selon la même source. Ce sont des proches qui ont conduit au centre hospitalier la victime, touchée au ventre par une balle de petit calibre, dans la nuit de mercredi à jeudi. L'homme, qui est sans avoir repris connaissance, avait déjà été condamné notamment pour vols, cambriolages et infraction à la législation sur les stupéfiants.

La brigade criminelle est déjà en charge de plusieurs tentatives d'homicides commises ces dernières semaines dans les quartiers Nord, sur fond de trafic de drogue, avec notamment blessures par balles dans les membres inférieurs pouvant ressembler à des «avertissements».

http://www.leparisien.fr/marseille-13000/marseille-un-homme-meurt-apres-avoir-ete-blesse-par-balle-dans-une-cite-24-11-2011-1736606.php

jeudi 24 novembre 2011

Dramatique accident d'ascenseur à Paris

Aujourd'hui, vers 15h05, quatre ouvriers qui travaillaient dans un immeuble de l'Armée du salut au 15, rue Crespin du Gast (XIe) ont été gravement blessés par la chute d'une cabine d'ascenseur, dans des circonstances encore indéterminées", a annoncé à l'AFP Ian Brossat, conseiller PCF de Paris. Le bilan provisoire serait d'un mort et de trois blessés graves, a précisé l'élu à l'afp, confirmant des informations obtenues quelques instants plus tôt par LCI. Néanmoins, les pompiers parlaient d'un "bilan provisoire peu avant 17 heures de quatre blessés graves". Les secours étaient toujours en train d'intervenir en fin d'après-midi pour tenter de les dégager de la fosse d'ascenseur dans laquelle ils travaillaient avant que la cabine ne se décroche et leur tombe dessus.
Ian Brossat, qui a été à l'origne d'une mission d'étude à la mairie de Paris sur la sécurité des ascenseurs, rappelle que "cet accident grave intervient moins d'un mois après le drame survenu dans le même arrondissement qui avait grièvement blessé une femme et ses deux enfants du fait du dysfonctionnement d'un ascenseur". "Cette succession d'événements tragiques doit nous conduire, une fois de plus, à exercer une vigilance sans faille pour que la sécurité des usagers et des techniciens ascensoristes soit assurée" a-t-il ajouté dans un communiqué

Var: un Anglais s'immole par le feu

Le corps d'un Anglais de 60 ans, immolé par le feu, a été retrouvé hier matin tout près de son véhicule carbonisé, sur une piste forestière, à Bauduen (Var), à moins de 4 kilomètres de son domicile. La découverte a eu lieu vers 10 heures.

Les premiers éléments recueillis sur place par les gendarmes et les techniciens en investigations criminelles laissent penser à un suicide de la victime, un retraité installé dans la région, avec son épouse qui a été entendue.

Un représentant du parquet de Draguignan, qui s'est déplacé sur les lieux accompagné d'un expert spécialiste des cadavres calcinés, a ordonné une autopsie "pour fermer toutes les portes", a déclaré à l'AFP un magistrat. La brigade de recherches de la gendarmerie de Draguignan a été saisie de l'enquête.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/24/97001-20111124FILWWW00524-var-un-anglais-s-immole-par-le-feu.php

Agnès sera inhumée samedi à Paris

Les obsèques d'Agnès auront lieu à samedi 26 novembre, le jour où l'adolescente, tuée la semaine dernière en Haute-Loire par un lycéen de son internat, aurait fêté son 14e anniversaire, a-t-on appris auprès de la famille.La famille, qui demande à la presse la plus grande retenue, n'a pas souhaité communiquer le lieu de la cérémonie. «L'esprit de la cérémonie est privé», a précisé un membre de la famille, précisant que seront accueillis autour de la famille «les ami(e)s d'Agnès, des parents et des professeurs et ceux et celles qui souhaitent se recueillir autour de nous».

«La famille ne veut pas de caméra ou photographe à l'intérieur de l'église», a-t-on précisé de même source.
La mère d'Agnès avait insisté mardi auprès de l'AFP sur le caractère strictement privé des obsèques de sa fille. «Les copines de ma fille sont les bienvenues. Mais pas les journalistes», avait-elle ajouté.

La jeune Agnès, qui était interne dans un collège-lycée du Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire), a été tuée et violée la semaine dernière par un lycéen de 17 ans,
déjà poursuivi pour un viol en 2010.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/agnes-sera-inhumee-samedi-a-paris-24-11-2011-1736707.php

Un fils tue sa mère malade

Un homme de 45 ans a tué à Gasny, près de Vernon (Eure), sa mère âgée de 74 ans qui souffrait d'une pathologie lourde afin d'abréger ses souffrances, avant de se donner la mort, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Le drame a été découvert mardi matin, vers 10H00, par l'auxiliaire de vie qui s'occupait de la vieille dame, immobilisée depuis plusieurs années sur un lit médicalisé. Le fils, qui était au chômage, aurait laissé sur la porte de la maison et à l'intérieur des écrits expliquant son geste.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la mère aurait été étranglée, dans les heures précédant la découverte, par le fils qui se serait ensuite pendu. L'enquête a été confiée à la compagnie de gendarmerie des Andelys (Eure).

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/23/97001-20111123FILWWW00483-un-fils-tue-sa-mere-malade.php

mercredi 23 novembre 2011

Une femme tuée dans le Rhône

Une femme a été tuée à l'arme blanche hier soir à Neuville-sur-Saône, dans le Rhône, et un adolescent blessé, par un homme qui serait un ancien concubin de la victime, a-t-on appris auprès des pompiers.

L'adolescent de 17 ans a été transporté à l'hôpital de Bron, dans la banlieue de Lyon, et ses jours n'étaient pas en danger, ont précisé les pompiers. La gendarmerie a confirmé cet homicide, mais s'est refusée à toute précision, les enquêteurs étant toujours sur place peu après 23 heures.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/23/97001-20111123FILWWW00352-une-femme-tuee-dans-le-rhone.php

Le cadavre d'un homme découvert dans le Rhône

Hier matin, vers 10 heures, le cavadre d'un homme a été découvert flottant dans le Rhône. C'est un passant, qui, marchant sur les quais du fleuve sur la commune de Tounon-sur-Rhône a alerté les gendarmes. Le corps a été ramené sur la berge par les sapeurs-pompiers ardéchois. Les investigations se multiplient sur les lieux de la macabre découverte. Pour l'heure, aucune piste n'est privilégiée par les enquêteurs ardéchois...

http://www.ledauphine.com/ardeche/2011/11/22/le-cadavre-d-un-homme-decouvert-dans-la-rhone

mardi 22 novembre 2011

Mort d'une fillette dans un foyer: «rien ne laissait présager une issue tragique»

L'établissement public départemental de soins, d'adaptation et d'éducation (EPDSAE), a tenu une conférence de presse ce matin, après la mort subite d'une fillette de 4 ans hier à Hem, pour rappeler que toutes les procédures ont été appliquées.

L'état de la victime, placée dans ce foyer depuis le mois de février, s'est rapidement dégradé dans l'après-midi de lundi alors qu'on lui avait diagnostiqué une gastro entérite dimanche soir. « SOS Médecin a été appelé, un traitement lui a été administré et le lendemain, la fillette n'a pas été scolarisé », a indiqué Philippe Fournier, le directeur général de l'EPDSAE.

Elle présentait alors une forte fièvre. Mais aux environs de 14 h lundi, elle aurait souffert de ce qui ressemble à une crise de convulsion. « Le personnel a immédiatement alerté les pompiers. Malgré leur intervention, la fillette n'a pas pu être réanimée », selon Philippe Fournier. Une autopsie est en cours, et les résultats devraient être connus en fin de semaine. Le directeur général a rappelé que toutes les procédures ont été appliquées.
« Rien ne pouvait laisser présager une issue aussi tragique et rapide », selon lui. Il n'y avait aucun antécédent dans le dossier de la victime. Un dispositif d'écoute et de soutien des autres enfants accueillis dans le foyer, ainsi que les équipes du foyer de Hem, a été mis en place. « C'est difficile d'expliquer aux enfants qu'ils ne reverront jamais leur camarade, elle était un rayon de soleil dans cette maison », ajoute Philippe Fournier.
En attendant, le personnel a été doublé au sein du foyer

http://www.nordeclair.fr/Actualite/Depeches/2011/11/22/nef-1490399.shtml

Meurtre d'Agnès: un éducateur du Gard a vu le directeur du lycée en mars

Un éducateur de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) du Gard a rencontré en mars le directeur du collège-lycée de Haute-Loire où était scolarisé le meurtrier présumé d'Agnès, a-t-on appris mardi auprès du procureur de la République de Nîmes, Robert Gelli.
Interrogé par l'AFP sur la connaissance qu'avait l'établissement du passé judiciaire de l'élève, source de polémique, le magistrat a souligné que "la loi ne permet pas aux juges ou aux éducateurs de communiquer officiellement les éléments sur les mises en examen en raison de la présomption d'innocence".
"Moi, je ne sais pas ce qui a été dit entre les parents et le directeur. En revanche, je sais que l'éducateur de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) qui s'occupait de ce jeune a rencontré le principal de l'établissement en mars 2011", a ajouté M. Gelli.
Le procureur a également déploré que l'établissement n'ait pas communiqué d'éléments à la justice sur les procédures disciplinaires engagées à l'encontre de l'adolescent et qui s'étaient traduites par deux exclusions d'une semaine. "J'entends dire que ces procédures sont secrètes. C'est paradoxal", a dit M. Gelli.
Dimanche, l'établissement du Chambon-sur-Lignon (Haute-Loire) avait admis avoir su que l'élève avait fait quatre mois de prison avant d'intégrer le lycée, mais sans en connaître le motif. Auparavant, son directeur, Philip Bauwens, avait lancé la polémique en déclarant: "Nous avions des éléments de sa scolarité, mais pas connaissance de son passé judiciaire. On savait qu'il avait eu des ennuis avec la justice, mais on n'en connaissait pas la nature. Et nous n'avions aucun contact avec les services de justice".
Interrogée mardi sur cette visite d'un éducateur de la PJJ du Gard en mars, un administrateur du Collège Cévenol a répondu: "Nous, il (Bauwens, ndlr) nous a dit que non". M. Bauwens lui-même n'a pu être joint par l'AFP dans l'immédiat.
L'adolescent avait intégré cet établissement, trouvé par son père, après les vacances de la Toussaint 2010. Il venait de passer quatre mois en détention provisoire après le viol d'une jeune fille dans le Gard, bénéficiant ensuite d'une remise en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction de séjour dans ce département.
http://www.lepoint.fr/societe/meurtre-d-agnes-un-educateur-du-gard-a-vu-le-directeur-du-lycee-en-mars-22-11-2011-1399027_23.php

Un Mentonnais se tue à scooter

Il est 7 h , hier matin. Les sapeurs-pompiers sont appelés en urgence avenue de Verdun, sur la commune de Roquebrune -Cap-Martin.

Un homme est au sol. Son scooter est couché quelques mètres plus loin. La fourche du deux-roues est enfoncée, et le véhicule porte les marques de la violence du choc.

Le conducteur, un Mentonnais de 31 ans, aurait perdu le contrôle de son engin au moment où il entamait la descente vers le quartier centre-ville de Carnolès. Sonny Thammavong, malgré les tentatives désespérées du médecin du Samu, n'a pu être réanimé. Les enquêteurs s'attachent maintenant à déterminer les circonstances exactes de l'accident.

Le jeune homme travaillait dans la restauration à Monaco. Et c'est d'ailleurs de la Principauté qu'il arrivait hier matin, au moment où il a glissé au guidon de son scooter 125 cm3 MBK. Le travail des policiers risque cependant de souffrir du manque de témoignages dû à l'heure matinale de l'accident
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/un-mentonnais-se-tue-a-scooter

lundi 21 novembre 2011

"On a remis un monstre en liberté", dénonce la famille d'une première victime

"Comment a-t-on pu remettre ce monstre en liberté ?", a dénoncé lundi Alain Diaz au nom de la famille d'une adolescente victime dans le Gard, en août 2010, du violeur et tueur présumé d'Agnès, lors d'un entretien téléphonique avec l'AFP.
"Ma cousine a vécu le même drame qu'Agnès. Il avait préparé la même chose. Elle a été violée avec des objets, attachée, bâillonnée. Et elle aurait été tuée si sa mère ne l'avait pas appelée au téléphone", a expliqué M. Diaz, qualifiant "d'indécente" la décision du juge d'instruction d'avoir remis en liberté le suspect.
"La justice ne fait rien pour les victimes"
"Elle a eu la vie sauve parce qu'il avait souvent mangé chez elle", a estimé M. Diaz. "La justice ne fait rien pour les victimes. Pourtant, on savait qu'il allait recommencer s'il sortait. Elle laisse une bête dans les rues", a-t-il poursuivi, regrettant sa décision de se taire lors de la remise en liberté du violeur présumé "parce qu'il voulait garantir un peu de sérénité à sa cousine".
"Il n'avait plus le droit de séjourner dans le Gard mais il y est revenu. A chaque période de vacances, il était là. Ses parents avaient déménagé d'une dizaine de kilomètres. Quand ma cousine le croisait, c'est elle qui était malade. La gendarmerie n'a rien fait", a-t-il déploré. "Maintenant quand je vois la famille d'Agnès détruite, je m'en veux de ne pas avoir parlé car ça aurait peut-être permis d'empêcher ça", a-t-il conclu
Retrouvez cet article complet avec "L’avocate de la jeune fille violée en 2010 parle pour la 1re fois" en cliquant sur ce lien......
http://www.midilibre.fr/2011/11/21/l-avocate-de-la-jeune-fille-violee-en-2010-parle-pour-la-1re-fois,420649.php

Une fillette de 5 ans dans un état grave

Que s’est-il passé hier après-midi sur la zone artisanale ? Peu avant 16 heures, un terrible accident impliquant trois véhicules est survenu à hauteur du magasin Intermarché.
À leur arrivée, les gendarmes d’Heyrieux ont découvert un véhicule Scénic touché à l’avant, à cheval sur un terre-plein en direction du centre-ville, une Volvo arrêtée au stop et une Peugeot 307 route de Lyon, conduite par une mère de famille de Grenay transportant ses deux enfants. Ce dernier véhicule a été touché sur sa droite côté passager.
Au moment de la collision, il faisait jour et la chaussée n’était pas glissante. Dans quelle circonstance s’est produit le choc ? Vers où se dirigeait la 307 ? Comment le Scénic s’est retrouvé au milieu du terre-plein ?

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2011/11/20/une-fillette-de-5-ans-dans-un-etat-grave

L’adieu à Charlotte, morte dans le Mont-Blanc

«Même si c’est une très grande tristesse, Charlotte est morte de sa passion pour la montagne. Ce qui lui plaisait, ce n’était pas la performance sportive, mais la beauté de la nature. Elle avait une grande expérience des courses difficiles dans le massif du Mont-Blanc et des Dolomites, en Italie. Là, je crois qu’elle et son guide ont été surpris par le mauvais temps, qui est arrivé plus tôt que prévu. » Depuis le drame qui a coûté la vie à son épouse, Melchior de Metz tente de faire face. Samedi, près de deux cents personnes se sont rendues à l’église Saint-Louis de Fontainebleau, afin de rendre un vibrant hommage à Charlotte, 44 ans, retrouvée morte le 9 novembre avec son guide, près du sommet des Grandes Jorasses, côté italien, à 4000 m d’altitude.
Encadrante bénévole au club d’escalade
« Tu es partie trop tôt, trop vite. Tu nous manques beaucoup. » Les témoignages émouvants se sont succédé : « Tout le monde a été sous le choc en apprenant, par le biais de la télévision, ta mort et celle de ton guide, Olivier. Tu te ressourçais auprès des glaciers pour nous transmettre ta vitalité, soulignent notamment ses amies. Alpiniste chevronnée, musicienne, mère de famille épouse exemplaire, tu menais tes différentes vies avec la même passion. Ta maison et ton cœur étaient toujours ouverts. Authentique, tu l’étais et jusqu’au bout tu l’es restée. » Beaucoup de larmes ont été versées au cours de cette cérémonie tant par ses proches que par les membres du club alpin dont la gerbe de fleurs ornait l’autel de l’église.

La passion de Charlotte pour la haute montagne date de l’adolescence. « Elle avait fait son premier stage à 13 ans », confie Melchior de Metz. Le couple avait choisi d’habiter Fontainebleau, La Mecque de l’escalade sur bloc, en 2000. « Nous étions parisiens. Mais elle connaissait déjà la forêt de Fontainebleau. On aimait tous les deux ce cadre naturel, le château, les rochers, les chevaux, poursuit-il. Je connaissais aussi Paul Dubrule, l’ancien maire. »

A Fontainebleau, Charlotte de Metz avait adhéré à la section escalade du Club alpin français (CAF). « Je la connaissais un peu. Elle avait accepté de devenir encadrante bénévole, notamment le dimanche, pour des sorties varappe dans les sites rocheux de la forêt. Elle était discrète et dévouée. Nous sommes vraiment tristes de sa disparition », déplore Christian Chapirot, président du CAF.

Charlotte de Metz avait aussi une autre passion : la musique. « Elle était flûtiste et enseignante à l’école de musique de Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire), où elle se rendait deux fois par semaine, ajoute son époux. Plus jeune, elle s’était produite dans des orchestres prestigieux. » Une délégation de l’école de musique est d’ailleurs venue assister à la messe. Jeudi, près de 1000 personnes étaient présentes aux obsèques de Charlotte.
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/l-adieu-a-charlotte-morte-dans-le-mont-blanc-21-11-2011-1730894.php

Finhan. Il meurt à la sortie de l'entraînement

Le drame s'est produit un peu avant 23 heures, vendredi, dans la salle de réception de l'US Finhanaise rugby. Joseph François, 30 ans, qui venait de participer à la séance d'entraînement du club s'est soudain effondré au beau milieu des autres joueurs qui ont donné l'alerte médicale immédiatement. Le Samu 82 et les sapeurs-pompiers montéchois ont tout tenté dans les minutes qui ont suivi ce malaise pour ramener en vie le jeune homme victime d'un arrêt cardio-vasculaire. En vain. Joseph François demeurait à La Ville-Dieu-du-Temple et n'était pas licencié à l'US Finhan. C'est, semble-t-il, la deuxième fois qu'il venait s'entraîner à la pratique de l'ovale sur les bords de la Garonne afin de « tester l'ambiance du club ». Père de quatre enfants, Joseph François avait indiqué lors de sa prise de contact avec les dirigeants du club « qu'il avait pratiqué le rugby dans la région de Perpignan voici quelques années ». Il travaillait au sein d'une petite entreprise familiale située dans le secteur de La-Ville-Dieu-du-Temple. Les gendarmes de la COB de Montech se sont rendus sur place pour les besoins de l'enquête. On notait également la présence au stade de Jean-François Fernandez, maire de Finhan, venu réconforter les gens de l'USF bouleversés par ce drame subit.
Hier après-midi un médecin spécialisé dans le domaine du sport mettait, une nouvelle fois, en avant «les risques qui consistent à s'adonner à une pratique sportive de niveau assez élevé sans avoir parfois l'entraînement adéquat. Souvent les gens pensent qu'ils ne sont pas loin d'avoir le niveau, mais ce n'est pas le cas et les accidents qui se produisent découlent très souvent de ce phénomène.»
http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/20/1220072-il-meurt-a-la-sortie-de-l-entrainement.html

dimanche 20 novembre 2011

Mort d'Agnès: le collège assure n'avoir pas été informé du casier de violeur du lycéen

Le collège-lycée du Chambon-sur-Lignon où était scolarisée Agnès, la collégienne de 13 ans qu'un lycéen du même établissement a avoué avoir tuée et violée, n'avait pas été informé du casier de violeur de l'adolescent, selon le directeur de l'institution. "Nous avions des éléments de sa scolarité, mais pas connaissance de son passé judiciaire. On savait qu'il avait eu des ennuis avec la justice, mais on n'en connaissait pas la nature. Et nous n'avions aucun contact avec les services de justice", a déclaré dimanche devant quelques journalistes Philip Bauwens, directeur du Collège-lycée cévenol, en marge de la marche blanche organisée en hommage à Agnès. "Il était suivi par un thérapeute dans l'établissement, mais ce n'est pas un personnel du lycée", a ajouté M. Bauwens.

Mort d’Agnès : les effroyables aveux de son «copain» lycéen

Le Chambon-sur-Lignon. Il aurait tout prémédité. Hier, le lycéen de 17 ans qui a conduit les gendarmes jusqu’au corps d’Agnès, vendredi soir, est passé aux aveux et a décrit l’épouvantable mort de la jeune fille. Il a été mis en examen pour viol et assassinat et écroué.
Jusqu’au bout de l’horreur. Hier, le jeune lycéen de 17 ans gardé à vue dans l’enquête sur la mort d’Agnès, disparue depuis mercredi après-midi et dont le corps a été découvert carbonisé vendredi soir au Chambon-sur-Lignon, est passé aux aveux. Des aveux cruels, lâchés sur un ton « très froid et sans émotion », d’après les indications de Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République de Clermont-Ferrand, qui s’est désormais saisi de l’affaire. L’adolescent a été mis en examen pour viol et assassinat, et incarcéré. Il encourt la perpétuité.

Aucune explication

De ce qu’il s’est passé mercredi après-midi, dans les Bois de « Peybroussou », situés juste derrière le « Cévenol » où il était scolarisé en classe de première STG, le principal suspect a donné « une vérité évolutive », selon le procureur. « Il a reconnu en partie les faits sans s’expliquer sur ses motivations pour l’instant. […] Il a fait de très longues déclarations depuis sa dénégation totale, mais pas d’explications cohérentes sur les faits », a rapporté le procureur.

« Tuée, violée et brûlée »

« Il reconnaît qu’il l’a tuée, violée et brûlée », a ajouté le procureur, décrivant une mort « extrêmement violente et brutale ». Une information judiciaire a été ouverte. Les enquêteurs retiennent la préméditation. Le lycéen se serait effectivement muni d’« objets », selon le parquet. Néanmoins, aucune précision n’a été donnée, « pour respecter l’immense douleur de la famille ». Reste que les enquêteurs bénéficient d’indices relevés sur la scène du crime où ils ont découvert une clef et un bouton, ainsi que sur le corps d’Agnès, dont l’autopsie doit être pratiquée à l’institut médico-légal de Saint-Étienne.

Une immense tristesse

Pourquoi ? C’est la question que tout le monde se pose au Chambon-sur-Lignon, après que la colère, l’incompréhension et l’immense tristesse aient succédé à l’espoir de retrouver la jeune fille vivante.
Vendredi soir, c’est le suspect lui-même qui a conduit les enquêteurs dans les bois de « Peybroussou » où il a, dans un premier temps, dit s’être promené mercredi après-midi avec Agnès, et d’où il a été vu en ressortir seul en fin de journée. Le lendemain, l’adolescent portait d’ailleurs des traces de griffures sur le visage. Toujours vendredi soir, durant son audition dans les locaux de la brigade territoriale de Tence, le jeune homme a d’abord confié avoir « bousculé » Agnès, selon les propos rapportés par le procureur du Puy-en-Velay, René Pagis.

Une enfant sans histoire

L’enquête, confiée à la section de recherche de Clermont-Ferrand, devra désormais faire la lumière sur les dernières zones d’ombres de ce sinistre mercredi après-midi. Notamment pour savoir quelle était la nature de la relation entre le suspect et la jeune victime. Agnès, qui allait fêter ses 14 ans cette semaine, était scolarisée au collège du Cévenol. Elle semblait néanmoins connaître son assassin présumé avec lequel elle se serait rendue volontairement dans les bois pour cueillir des champignons. Elle avait d’ailleurs annoncé cette sortie à ses amies, profitant ainsi du quartier libre accordé aux internes les mercredis après-midi. C’est probablement dans cet internat que les deux élèves se sont connus.
Agnès était scolarisée au Cévenol depuis un an et demi. Elle avait été placée là « parce que l’état d’esprit de l’établissement, protestant et avec des élèves de toutes nationalités, nous plaisait », avait expliqué Frédéric Marin, le père d’Agnès, vendredi après-midi, en lançant devant les médias l’appel à témoins de la dernière chance. Un appel à témoins dont on sait aujourd’hui qu’il était vain. Les enquêteurs n’ont effectivement plus de doute quant à la date du décès de l’adolescente. Agnès a été « exécutée » mercredi.
http://www.leprogres.fr/haute-loire/2011/11/20/mort-d-agnes-les-effroyables-aveux-de-son-copain-lyceen

Mort contre un arbre à 130 km/h

vendredi peu après 18 heures, un automobiliste s’est tué au volant de son véhicule, avenue Winston-Churchill, à la sortie de Beauvais en direction d’Allonne. Les policiers n’avaient pas encore d’éléments pour expliquer les circonstances de l’accident. Pour une raison encore indéterminée, le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule dans une légère courbe et a percuté très violemment un arbre. 
 priori, il roulait sur cette portion limitée à 70 km/h, au minimum à 130 km/h : les policiers ont retrouvé le compteur du véhicule bloqué à cette vitesse. La voiture a fait un tonneau avant de s’immobiliser au milieu de la chaussée. La victime, âgée de 51 ans et vraisemblablement originaire de l’Oise, a dû être désincarcérée. Les secours n’ont rien pu faire et l’homme est mort sur les lieux de l’accident.

http://www.leparisien.fr/oise-60/mort-contre-un-arbre-a-130-km-h-19-11-2011-1728635.php

samedi 19 novembre 2011

Provins : Disparue depuis mercredi soir, Michelle a été retrouvée morte

Les importantes recherches menées depuis mercredi soir ont finalement permis de retrouver, hier soir,
le corps sans vie de Michelle Ferreira, une retraitée de 61 ans, portée disparue. Découverte au fond d'un fossé dans le parc fermé d'une résidence à Provins, elle aurait chuté pour des raisons encore inconnues près de là où elle avait été vue pour la dernière fois. Cette Provinoise avait disparu il y a plus de trois jours après un rendez-vous médical, où elle s’était rendue à pied. Le soir même, la batterie de son téléphone mobile lui avait juste permis d’appeler sa fille au secours : « Je suis tombée. Je suis coincée. » Atteinte de troubles de la mémoire et du comportement,elle rencontrait des difficultés pour s'orienter et se serait trouvée enfermée dans le parc d'une résidence. Depuis, sa famille,sans nouvelles, avait participé activement aux recherches.
Son corps ne portant pas de traces de coups, l'hypothèse de l'accident est privilégiée. Une autopsie devrait être pratiquée en début de semaine afin de déterminer les causes exactes de cette mort.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/provins-disparue-depuis-mercredi-soir-michelle-a-ete-retrouvee-morte-18-11-2011-1726724.php

Le cadavre d’une femme découvert dans l’Isère

De nombreuses interrogations demeurent après la macabre découverte d’un corps flottant dans l’Isère hier matin. C’est un agent EDF travaillant sur le barrage de La Vanelle situé sur la commune de Châteauneuf-sur-Isère qui, peu avant 10 heures, découvrait à la surface de l’eau un cadavre flottant sur le ventre.
Alertés, quelques minutes plus tard, les gendarmes de la compagnie de Romans-sur-Isère en charge de l’enquête, ainsi que Benoît Bernard, procureur, se rendaient sur les lieux.

Une enquête ouverte pour recherche des causes de la mort

Les enquêteurs de la gendarmerie faisaient également appel à une équipe de plongée subaquatique des sapeurs-pompiers drômois afin de prendre en charge le corps dans l’Isère.
Des techniciens en identification criminelle ont aussi effectué différentes constatations sur les lieux.
Le cadavre découvert hier matin dans l’Isère, qui aurait séjourné plusieurs jours dans l’eau, est celui d’une femme qui serait âgée de plus de 40 ans.
Selon nos informations, le corps ne présente pas de trace apparente de violence.
Homicide, accident, suicide ? Aucune piste n’est écartée par les gendarmes. Une autopsie a été ordonnée hier par le parquet de Valence. Elle sera pratiquée mardi 22 novembre à Grenoble. Elle devrait permettre de répondre à certaines interrogations
http://www.ledauphine.com/faits-divers/2011/11/18/le-cadavre-d-une-femme-decouvert-dans-l-isere

Haute-Loire : le corps d'Agnès a été retrouvé

D'après le procureur de la République du Puy-en-Velay, René Pagis, c'est bien le corps d'Agnès qui a été retrouvé, calciné, à 3 km du collège dont elle avait disparu mercredi dernier. La dépouille été découverte dans le périmètre où les enquêteurs et des bénévoles recherchaient l'adolescente. On ignore pour l'instant si elle a subi des violences sexuelles.
Les recherches s'étaient concentrées en début de soirée dans la forêt située près du collège où était scolarisée la jeune Agnès, sur les indications du lycéen de 17 ans, placé en garde à vue dans cette affaire.Selon le procureur, le jeune homme qui aurait un passé judiciaire, aurait reconnu s'être promenée avec Agnès et l'avoir "bousculée". Ce denier est un camarade de la collégienne au Collège Cévenol de Chambon-sur-Lignon. Il présente des griffures au visage, qui constituent "un des éléments" ayant conduit à le placer en garde à vue selon la gendarmerie.

Depuis mercredi en début d'après-midi, la jeune fille s'est "évaporée dans la nature" après avoir quitté le Collège où elle est interne, avec un sac à main mais sans son manteau. D'importants moyens avaient été déployés dès vendredi autour de la petite commune du Chambon-sur-Lignon pour la retrouver.
http://www.midilibre.fr/2011/11/18/haute-loire-disparition-d-agnes-un-corps-retrouve-vendredi-soir,419210.php

Une dame âgée tuée lors d’un cambriolage

La maison est isolée. Depuis le 11 novembre elle est vide. Dans ce secteur, sur les hauteurs de Chambéry, en pleine campagne, à Jacob-Bellecombette les habitants savent qu’il s’est passé “quelque chose de grave” mais n’en disent pas plus. Pourtant, une source proche de l’enquête évoque un “crime”. Il s’est déroulé dans le plus grand des silences.
Lors d’un cambriolage, le 11 novembre, au petit matin, une dame de 77 ans, seule dans son pavillon, est étranglée dans son sommeil puis frappée à mort. Le meurtrier présumé aurait volé la voiture de sa victime. Le lendemain matin, la voiture est retrouvée accidentée au nord de Lyon, à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or (Rhône). Le conducteur, un Chambérien de 34 ans est arrêté. La police fait le rapprochement avec l’affaire de la veille en Savoie.

Hospitalisé d’office à l’hôpital psychiatrique

L’enquête aurait permis de retrouver des éléments matériels reliant le jeune homme au crime. Après avoir été placé en garde à vue, il a été hospitalisé d’office à la demande d’un psychiatre.
Le juge chambérien a ouvert une instruction. Il a demandé une expertise psychiatrique. Les résultats seront déterminants pour savoir si oui ou non le jeune -homme peut-être jugé devant une cour d’assises.
http://www.ledauphine.com/savoie/2011/11/17/une-vieille-dame-tuee-lors-d-un-cambriolage

vendredi 18 novembre 2011

En pleine randonnée, il se jette d’une falaise sous les yeux de ses amis

Hier, en fin de journée, un homme a mis fin à ses jours en se jetant de la falaise du mont Veyrier. Âgé de 45 ans, l’homme habitant le bassin annécien était parti randonner en compagnie d’amis lorsqu’il a soudain quitté le groupe.?
Un témoin l’aurait vu se jeter depuis le haut de la falaise. Jeudi soir vers 20h, l’hélicoptère de la sécurité civile d’Annecy survolait toujours les lieux de l’accident pour tenter de retrouver le corps de la victime.

http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/11/18/en-pleine-randonnee-il-se-jette-d-une-falaise-sous-les-yeux-de-ses-amis

Elle tue son compagnon au cours d'une dispute

Une femme âgée de 41 ans a été placée en garde à vue vendredi après avoir mortellement blessé son compagnon jeudi soir lors d'une dispute à l'extérieur d'un restaurant de Fontainebleau, en Seine-et-Marne, a-t-on appris de source judiciaire. Cette femme, connue des services de police pour conduite en état d'alcoolémie, a été interpellée à son domicile vendredi matin et placée en garde à vue, a-t-on précisé de source judiciaire.
Jeudi soir, elle dînait avec son compagnon et des amis dans un restaurant du centre-ville de Fontainebleau lorsqu'une dispute a éclaté entre le couple, selon cette source. En sortant du restaurant pour s'expliquer avec son concubin, cette femme a pris un couteau sur la table du restaurant et une fois à l'extérieur de l'établissement, lui a donné un coup de couteau au niveau de l'abdomen, a poursuivi cette source. L'homme, transporté à l'hopital, est mort dans la nuit.

Une Antiboise de 85 ans meurt dans un incendie chez elle

Visages fermés. Regards tristes. Les habitants du Vieil-Antibes n'avaient ni le goût ni l'envie de sourire, mercredi matin.

Ils ont perdu l'une des leurs. Une femme de 85 ans. Entre 5 et 6 heures, un court-circuit survenu sur une prise électrique a déclenché un feu dans le salon de la retraitée antiboise.

L'appartement situé rue Brûlée, n'étant pas bien aéré, cet incendie n'a jamais vraiment pris. Mais il ne s'est pas non plus éteint.

Découverte par son infirmier

Lentement, les flammes ont consumé le mobilier. Une épaisse fumée noire a enveloppé la pièce. Puis elle s'est engouffrée dans la chambre de la vieille dame. Cette dernière ne s'est probablement rendu compte de rien. Elle est partie dans son sommeil, vers 6 heures. Asphyxiée par le monoxyde de carbone. Ce drame a été découvert deux heures plus tard par son infirmier.

Alors qu'il venait, comme chaque matin, l'aider à lutter contre sa maladie d'Alzheimer, il a vu de la fumée s'échapper de la porte d'entrée.

Il a aussitôt appelé les secours. Malgré le peu de flammes, l'intervention n'a pas été aisée pour les pompiers. Dans l'impossibilité de stationner leurs véhicules dans la rue Brûlée, large de 2 m seulement, ils ont dû dérouler plusieurs mètres de tuyaux.

En entrant dans l'appartement, ils n'ont pu que constater le décès de l'octogénaire. Une douloureuse réalité pour plusieurs voisins. « J'ai senti une odeur de plastique brûlé vers 6 h mais j'ai cru que c'était des gamins qui faisaient les cons,se désole l'un d'eux.Quand j'ai vu les uniformes et les gyrophares, j'ai compris. C'est triste. »
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/une-antiboise-de-85-ans-meurt-dans-un-incendie-chez-elle

jeudi 17 novembre 2011

Accident dans les Hautes-Alpes: 4 morts

Quatre personnes ont trouvé la mort cette après-midi dans un accident de la route dans les Hautes-Alpes et une cinquième personne a été grièvement blessée, a-t-on appris auprès des pompiers. Pour une raison indéterminée, deux véhicules sont entrés en collision frontale dans une ligne droite sur la D994, au niveau de la commune de la Roche-des-Arnauds, à 14 kilomètres à l'ouest de Gap.

Les quatre personnes décédées, deux femmes et deux hommes de la même famille, étaient âgées de 20 à 66 ans. D'origine roumaine, elles étaient installées en France depuis plusieurs années et domiciliées à Embrun (Hautes-Alpes).

La personne blessée, qui était à bord du second véhicule, est âgée de 64 ans et originaire de Saint-Julien-en-Beauchêne (Hautes-Alpes). Elle a été transportée par hélicoptère au centre hospitalier des Alpes du Sud à Gap. Son pronostic vital n'était pas engagé jeudi soir.
L'enquête a été confiée à la communauté de brigades de gendarmerie de Veynes.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/17/97001-20111117FILWWW00666-accident-dans-les-hautes-alpes-4-morts.php

Un enfant grièvement blessé à Velaine-en-Haye

Il est 9 h 30 hier matin route de Nancy. Un enfant de 13 ans quitte son domicile. Apercevant le car scolaire qu’il doit emprunter pour se rendre à son collège de Nancy-Beauregard, il traverse précipitamment la route. A ce moment arrive un automobiliste, âgé de 41 ans et domicilié à Laxou.
Le conducteur roule à allure modérée selon les témoins de la scène et ne peut éviter le jeune garçon qui vient heurter le véhicule avant d’être projeté au sol à quelques mètres du point d’impact.
Secouru rapidement par les sapeurs-pompiers, rejoints par le médecin du Samu, il est médicalisé sur place avant d’être transporté inconscient aux urgences de l’hôpital d’enfants de Brabois. Transféré hier dans la journée dans le service de neurochirurgie pédiatrique de l’hôpital Central, l’adolescent souffre de graves blessures mais son état est stable et son pronostic vital ne serait pas engagé.
Sur place, les gendarmes de la brigade de Liverdun ont procédé aux constatations d’usage

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2011/11/17/un-enfant-grievement-blesse-a-velaine-en-haye

Gard : un quinquagénaire tue sa sœur

Un quinquagénaire a tué sa soeur hier à Tresques, près de Bagnols-sur-Cèze (Gard), car selon lui elle l'empêchait de dormir,selon la gendarmerie.

La victime, âgée de 55 ans, a été tuée d'un coup de couteau dans le coeur et a également eu la gorge tranchée. Son frère, âgé de 50 ans, a été retrouvé prostré au pied du lit de sa victime par leur deuxième soeur.

Il a expliqué son geste par le fait que sa soeur l'empêchait de dormir, sans donner plus de précisions. L'homme a été placé en garde à vue par la gendarmerie.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/11/17/97001-20111117FILWWW00494-gard-un-quinquagenaire-tue-sa-sur.php

Collision mortelle à Caden (56) : une femme décédée, un bébé de 18 mois dans un état grave

Un accident mortel s’est produit hier matin sur la D21, dans la commune de Caden (Morbihan), à quelques kilomètres de Malansac, au lieu-dit la Caunais.
Selon les premiers éléments, une voiture est entrée violemment en collision avec une camionnette. Dans le choc, la conductrice du véhicule, une femme de 38 ans, a été tuée.
À l’intérieur de la voiture, un bébé de 18 mois est actuellement dans un état grave. Il vient d’être transporté au CHU de Rennes. Le conducteur de la camionnette, un homme de 40 ans, est légèrement blessé. Il a été transporté à Redon. Une jeune fille de 17 ans a également été prise en charge, mais au centre hospitalier de Vannes.
Une déviation a été mise en place pour permettre aux nombreux secours d’intervenir.

mercredi 16 novembre 2011

A 18 ans, il se tue en se jetant du pont du Diable

C'est un drame effroyable. Un acte de désespoir d'autant plus intolérable encore qu'il a coûté la vie à un jeune de 18 ans.

La victime, originaire de la région parisienne, était actuellement chez un membre de sa famille à Banyuls-sur-Mer. Selon les premiers éléments, dimanche vers 23 h, il avait donné rendez- vous à quatre autres jeunes connaissances au pont du Diable à Céret. D'après les premiers témoignages, il aurait souhaité s'entretenir avec eux de soucis amoureux et ils s'étaient tous retrouvés au premier niveau de l'édifice.
Que s'est-il passé ensuite ?
Est-ce que ce sont ces ennuis sentimentaux qui ont fait basculer l'entrevue dans l'irréparable ? Toujours est-il que le jeune homme sous les yeux des autres s'est soudain jeté dans le vide, chutant de plusieurs mètres en contrebas.

L'alerte a été immédiatement donnée auprès des secours par les jeunes présents, extrêmement choqués, mais aussi par les habitants des environs du pont.

Les pompiers ont redoublé d'efforts pendant plus d'une heure sur les lieux pour tenter de le sauver. Malheureusement, au cours de son transfert, il a succombé à ses blessures.

Les gendarmes se sont également rendus sur place et ont ouvert une enquête pour déterminer les causes et circonstances exactes de la mort. Dans l'attente des résultats des prélèvements sanguins qui ont été effectués et de l'examen médico-légal du corps qui sera pratiqué

http://www.midilibre.fr/2011/11/16/a-18-ans-il-se-tue-en-se-jetant-du-pont-du-diable,418111.php

Un responsable de la Fédération fait une chute mortelle

La journée de mardi devait être un temps fort dans le chantier du nouveau refuge du Goûter. Cette visite des responsables de la Fédération française des clubs alpins de montagne (FFCAM) marquait l’arrêt des travaux et la fermeture du refuge, aujourd’hui mercredi, en raison de la période hivernale. Une journée où chacun montrait une satisfaction générale. Jusque-là, ce chantier hors norme à 3830 mètres d’altitude – rappelons qu’il s’agit du plus haut bâtiment de France gardé – s’était bien déroulé. À l’exception tout de même de la chute d’un ouvrier, à ce jour toujours dans le coma.

Il bascule dans le vide

Des ouvriers qui ont relevé un vrai défi, finir dans les délais malgré la météo, les aléas de la haute montagne. Ce devait être un jour heureux… Et il a suffi d’un faux pas malheureux, d’une perte d’équilibre fâcheuse pour que cet après-midi de mardi tourne à la tragédie. Patrick Dumas, le responsable du patrimoine bâti à la FFCAM, en passant d’un échafaudage à un autre, ceux qui sont placés à l’extérieur du refuge, aurait basculé dans le vide, la tête la première. Une chute fatale de près de 30 mètres.
Les ouvriers et responsables du chantier présents, impuissants, n’ont pu que constater le décès de leur collègue. Ce sont les hommes du PGHM de Chamonix qui se sont chargés du secours et de rapatrier le corps dans la vallée. À eux aussi, la lourde tâche de comprendre ce qui s’est produit hier après-midi à 16 heures. Une enquête a été ouverte.
http://www.ledauphine.com/haute-savoie/2011/11/15/un-responsable-de-la-ffcam-fait-une-chute-mortelle

Drame en Gironde : il incendie le cinéma et poignarde sa voisine

Dimanche, vers 18 heures, Nadine Diaz, 63 ans, a été retrouvée morte dans son appartement situé dans la résidence HLM Les Alizés, commune de Lesparre. Selon un témoin, elle gisait dans son sang. Son corps aurait été frappé de nombreux coups de couteau. C'est un particulier qui a fait la macabre découverte et qui a ensuite prévenu les gendarmes de la compagnie de Lesparre-Médoc. Le drame se serait déroulé dans la nuit de samedi à dimanche.
Toujours selon nos informations, cette sexagénaire, qui vivait seule, aurait surpris un cambrioleur tentant de s'introduire chez elle. En essayant de faire face avec un couteau, Nadine Diaz aurait immédiatement reconnu son voisin, Kevin Roubeaud, âgé de 18 ans. Avant de prendre la fuite, il l'aurait bousculée et se serait acharné sur elle avec l'arme blanche. Les très nombreuses plaies sur le corps de la victime témoigneraient d'une scène d'une extrême violence.

http://www.sudouest.fr/2011/11/15/drame-samedi-soir-aux-alizes-553772-2964.php

mardi 15 novembre 2011

Un retraité se jette sous un train

Un homme âgé d'une soixantaine d'années, à la retraite, a mis fin à ses jours hier matin, vers 7 h 30, à Salles-sur-Garonne, entre Cazères et Carbonne, au sud de Muret. Cet homme, qui vivait dans l'agglomération toulousaine, a garé sa voiture près d'un passage à niveau de la voie Bayonne-Toulouse et a, semble-t-il, attendu le passage d'un train avant de se jeter…
Le machiniste n'a pas eu le temps d'arrêter le TER qui se dirigeait vers Toulouse. Les pompiers ont été alertés mais une fois sur place, les secours n'ont rien pu entreprendre pour sauver la victime.
Les 150 personnes qui se trouvaient à bord du train n'ont pas été blessées lors du freinage d'urgence. La SNCF a mis en place des autocars pour prendre en charge les voyageurs et leur permettre de poursuivre leur route le temps que les gendarmes de Carbonne réalisent les constatations pour l'enquête même si le suicide ne fait pas de doute. Le trafic ferroviaire a été interrompu pendant 2 heures et a repris vers 9 h 15. Huit trains ont été bloqués par cet incident.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/15/1215892-salles-sur-garonne-un-retraite-se-jette-sous-un-train.html

Une fillette de Pollieu perd la vie dans une collision en chaîne

Jade Viville, 5 ans, est décédée dans la nuit de dimanche à lundi à l’hôpital pour enfants de Lyon où elle avait été évacuée après le carambolage qui s’est produit dimanche vers 18 heures sur la RCEA, à la hauteur de Prissé, près de Mâcon (71). La fillette était originaire de Pollieu dans l’Ain. La famille s’était installée récemment dans ce village de 130 habitants, à une dizaine de kilomètres de Belley. Les parents de la fillette -enfant unique- ont été légèrement blessés dans cette collision en chaîne, à l’instar de quatre autres personnes. Tous sont sortis de l’hôpital hier dans la journée. Le chauffeur du camion impliqué dans cet accident était hier soir toujours en garde à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Mâcon. Dans la journée, sa garde à vue a été prolongée de 24 heures. Il sera présenté au parquet aujourd’hui. Une information judiciaire devrait être ouverte pour homicide involontaire. L’homme explique avoir eu un moment d’inattention et n’être pas parvenu à éviter le véhicule qui roulait à vitesse réduite devant lui. Un ralentissement s’était en effet formé sur cette portion de route, à quelques centaines de mètres de l’endroit où la deux fois deux-voies passe à une seule voie. C’est ce choc qui a entraîné un carambolage impliquant quatre véhicules de particuliers. La gendarmerie attend par ailleurs toujours les résultats des tests de détection de produits stupéfiants. Les contrôles d’alcoolémie étaient négatifs sur tous les conducteurs. Le chauffeur du poids lourd était autorisé à rouler un dimanche car il transportait des produits frais
http://www.leprogres.fr/ain/2011/11/15/une-fillette-de-pollieu-perd-la-vie-dans-une-collision-en-chaine

Collision mortelle sur l'A4

Hier vers 14h55, un automobiliste s'est engagé à contresens sur la contournante, au niveau de Taissy. Le conducteur a percuté une voiture venant en face, immatriculée dans l'Aube, aun niveau de la Trois-Puits. Il est mort sur le coup. Avant cette collision, le chauffard a eu le temps de heurter une autre voiture. Un troisième véhicule a également dû se garer dans un fossé pour éviter le chauffard.
Des blessés légers ont été signalés.
Le temps de l'intervention des secours, les voitures doivent emprunter la bande d'arrêt urgence. Avis aux automobilistes, soyez prudent si vous circulez dans les parages

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/collision-mortelle-sur-la4

lundi 14 novembre 2011

Nouveau décès tragique dans la famille Michelin

C’est un nouveau coup dur pour la célèbre dynastie Michelin. Cécile Michelin, 44 ans, est décédée prématurément dimanche 13 novembre, à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme), des suites d’un cancer qui l’a emportée en quelques semaines seulement. L’épouse d’Edouard Michelin, lui-même disparu accidentellement en mai 2006 lors d’une partie de pêche au large des côtes bretonnes, laisse derrière elle six enfants, âgés de 9 à 18 ans, aujourd’hui orphelins.

Extrêmement discrète, toujours restée dans l’ombre de son mari, Cécile Michelin n’avait pas de responsabilités directes au sein de la manufacture, même si elle occupait le poste symbolique d’administratrice de la Société auxiliaire de gestion (Sages), au côté de patron commandité du numéro un mondial du pneumatique. Dès l’annonce de son décès, le groupe Michelin a exprimé ‘l’émotion de ses salariés et fait part de sa profonde sympathie à ses enfants, à M. François Michelin (NDLR : le père d’Edouard) et à l’ensemble de sa famille».
Cécile Michelin, née Ravier, s’était mariée à Edouard en 1992, en la cathédrale de Chartes. Fille de sous-marinier, elle appartenait à une famille très catholique, et était elle-même très croyante, l’une des particularités de la célèbre dynastie auvergnate. Lors d’une intervention télévisée sur la chaîne locale Clermont 1ère en décembre dernier - l’une des rares fois où elle ait pris la parole publiquement - Cécile Michelin avait même déclaré à sujet de sa foi : «c’est elle qui m’a permis de tenir».
Soucieuse de rester toujours en retrait, elle avait souhaité protéger sa vie privée, et celle de ses enfants, assumant totalement sa destinée et n’apparaissant que très peu en public. A l’exception peut-être de quelques passages dans les tribunes du stade Marcel-Michelin, pour voir évoluer l’équipe de rugby de l’ASM, l’une de ses passions. Devenue veuve à l’âge de 39 ans de l’un des patrons les plus précoces de sa génération, Cécile Michelin s’était exilée quelques mois aux Etats-Unis, juste après le décès de son mari. Elle vivait depuis à Clermont-Ferrand, dans le berceau de la manufacture. Passionnée de pédagogie - elle avait été institutrice quelques années avant son mariage avec Edouard - elle murissait un projet de fondation qui aurait porté le nom de son mari.
Cécile Michelin n’aura pas eu le temps de mener son projet à terme. Ses obsèques auront lieu mercredi à 14 heures en la cathédrale de Clermont-Ferrand, là où furent célébrés il y a seulement cinq ans, les funérailles de son jeune époux.
http://www.leparisien.fr/clermont-ferrand-63000/nouveau-deces-tragique-dans-la-famille-michelin-14-11-2011-1719498.php

Paris : meurtre mystérieux d'un SDF

Les pompiers sont intervenus, samedi, dans la journée, pour secourir un sans-domicile-fixe qui venait de perdre connaissance dans une rue du Xe arrondissement de Paris. Mais les soldats du feu ont rapidement constaté que la victime présentait une importante blessure au niveau du crâne.
Malgré l’intervention d’une équipe de médecins du Samu, l’homme, dont l’âge n’a pas été précisé, est décédé.

Selon les premières investigations menées par les policiers du 2e district de police judiciaire, le SDF aurait été frappé au niveau de la tête avec un objet qui n’a pas été retrouvé. 

 http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-75010/paris-meurtre-mysterieux-d-un-sdf-13-11-2011-1716443.php

dimanche 13 novembre 2011

Infanticide : un enfant toujours entre la vie et la mort

Plougastel-Daoulas était toujours sous le choc hier : dans cette commune de l'agglomération brestoise (Finistère) un enfant de 9 ans était toujours entre la vie et la mort hier soir après avoir reçu plusieurs coups de couteaux. C'est sa mère, une femme âgée de 36 ans qui est soupçonnée de l'avoir poignardé avant de s'attaquer à son plus jeune fils qui n'a pas survécu. Immédiatement admise dans un établissement psychiatrique, la jeune femme n'a pas pu être entendue par la police.
Selon le témoignage du mari et les premiers éléments de l'enquête, il était 2 heures du matin vendredi quand la maman s'est réveillée brutalement, « dans un état de grande agitation » a indiqué Bertrand Leclerc, le procureur de la République de Brest. « Elle s'en est pris à son mari, tenant des propos incohérents et renversant des objets » a-t-il précisé. L'homme, âgé de 43 ans, aurait tenté de la maîtriser. En vain. Débordé par la situation il se serait alors absenté une trentaine de minutes pour aller chercher de l'aide auprès de ses parents, résidant à moins d'un kilomètre de chez lui.
C'est alors que la jeune femme s'en est pris à ses trois enfants. Après avoir menacé son fils aîné, âgé de 11 ans, elle aurait blessé son cadet, 9 ans, de sept coups de couteaux avant de poignarder mortellement le plus jeune, âgé de 6 ans et demi. « Très excitée », la jeune femme a été rapidement interpellée par les gendarmes. « On ne lui connaissait pas d'antécédents psychiatriques », a confié le procureur, qui a ordonné des expertises et des prélèvements sanguins afin de déterminer si elle était sous l'empire de médicaments ou d'une quelconque substance.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/11/13/1214497-bretagne-infanticide-un-enfant-toujours-entre-la-vie-et-la-mort.html

Un enfant de 4 ans plongé dans le coma

Un drame de la route est survenu, hier en début d'après-midi, à Neuville-sur-Ailette, peu avant 14 heures. Un automobiliste, habitant Sainte-Croix, traversait le village en direction de Chermizy-Ailles lorsqu'il a heurté un jeune enfant de 4 ans, habitant la commune. L'enfant descendait la rue du lac à vélo et n'aurait pas stoppé au moment où il atteignait la rue de la vallée, la route qui traverse ce village en bordure du lac de l'Ailette. L'automobiliste, surpris, n'a pu éviter le choc. L'enfant, très sérieusement blessé, a été conduit directement au centre hospitalier de Reims.
Selon les premières informations, l'état de santé de l'enfant, gravement touché au poumon, a nécessité qu'il soit plongé dans le coma artificiel. Ce jeune garçon de 4 ans, membre d'une famille (5 enfants), était arrivé récemment dans ce village où lui et ses parents vivent depuis un peu plus d'un an.
Les gendarmes présents sur l'accident ont effectué les contrôles d'alcoolémie et de stupéfiants sur le conducteur de l'auto, des examens qui se sont avérés négatifs.
Plusieurs habitants de la commune ont indiqué que cette route qui descend, celle du lac, et va croiser celle de la vallée, est un terrain de jeux habituel de ce jeune bambin et de ses frères.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-enfant-de-4-ans-plonge-dans-le-coma

samedi 12 novembre 2011

Incendie mortel à Villeneuve-La-Garenne

Le feu a pris hier  matin dans un immeuble de Villeneuve-La-Garenne, faisant une victime. Il était 4h30 quand les pompiers ont été appelés pour intervenir sur un incendie au troisième étage de l'immeuble situé au 120 de la voie Promenade, à quelques dizaines de mètres du commissariat de police. A l'arrivée des secours, une jeune femme avait déjà péri dans l'incendie, la fille de la famille habitant les lieux, âgée de 21 ans.
Sa mère, gravement brûlée a été transportée à l'hôpital militaire Percy de Clamart. Quant au père, également présent dans l'appartement, il a été blessé et intoxiqué par les fumées. Une vingtaine de personnes occupant l'immeuble ont été évacuées dans la nuit. La thèse de l'accident semble privilégiée

http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/incendie-mortel-a-villeneuve-la-garenne-11-11-2011-1714080.php

Sedan : le barbe-bleue des Ardennes

La résidence Sainte-Claire, sur les hauteurs de Sedan, est un endroit tranquille et cossu. Jardins verdoyants, immeubles proprets. Dans le bâtiment D, au 2e étage, on remarque à peine le Scotch rouge "scellé judiciaire" sur la porte de l'appartement de Robert Etienne et Brigitte Oudry. Une enseigne indique : "Bienvenue chez nous". Le couloir est cosy : deux fauteuils. Un buffet. Un meuble à chaussures. Des parapluies. Une canne. Une petite commode avec des bibelots, grenouilles, chats en porcelaine et des cartes de voeux. C'est là que le lundi 26 septembre 2011, Robert Etienne, 66 ans, a mortellement lardé sa compagne Brigitte Oudry de 66 coups de couteau. Puis, les mains ensanglantées, il est descendu chez son voisin du premier, Daniel, qui a cru rêver. Neuf ans auparavant, une scène identique s'était produite sur son palier. "Il avait le même air abattu. Il a dit :"J'ai tué ma femme. J'ai appelé les policiers." La première fois, la victime s'appelait Marie Odile. Il l'avait épousée quatre mois plus tôt. Elle est morte lacérée de 73 coups de couteau. Robert Etienne est sorti de prison en 2009 après six ans de détention. Retraité, il est revenu résidence Sainte-Claire. Il avait refait sa vie avec Brigitte. "Quand on m'a dit qu'il y avait eu un homicide à Sainte-Claire, j'ai eu l'impression de revivre l'affaire de 2002. D'habitude, on n'a jamais d'appels venant de là, jamais de tapage nocturne ou de nuisance" , dit le commissaire. Robert Etienne s'est laissé emmener, docile. "Me dites pas que c'est vous, monsieur Etienne... - Si, monsieur le commissaire, c'est moi." Le dialogue fut bref.
Un "nounours" un peu "mou"
"Il était si gentil", disent ceux qui l'ont côtoyé. Il faut se méfier des gens gentils. Rien ne destinait le respectable M. Etienne à devenir le Barbe-Bleue des Ardennes. Ici, à Sedan, tout le monde le connaissait. Sa première femme Evelyne, avec qui il avait été marié trente-deux ans, tenait la droguerie la Palette d'Or, rue du Mesnil, dans le centre-ville aux rues pavées. Lui avait été directeur dans une usine du coin. Un couple solide, une fille unique, commerçante. L'homme était réservé, pas très causant. Un peu comme son père, effacé devant une mère omnipotente. Chez les Etienne, c'est Evelyne qui "menait la baraque", note un copain du couple. Robert, c'était le "nounours" un peu "mou", qu'on avait parfois "envie de secouer". Evelyne tombe malade. Un cancer long, généralisé. Elle décède en août 2000. Robert Etienne supporte mal son deuil. Il se rend au cimetière tous les jours pour se recueillir sur sa tombe. Les experts psychologiques évoquent un "deuil pathologique". Il se rapproche d'une amie, Marie-Odile, sa cadette de dix ans. "Une association de détresse. Ces deux-là étaient très fragiles", se souvient Claude Février, un ami de la victime. C'est une quadra, gaie, jolie, fofolle. Et maniaco-dépressive. Ils font une tentative de suicide en commun en janvier 2001. Leur convalescence à l'hôpital les lie dans un pacte d'amour étrange. Ils se marient en juillet 2002. Marie-Odile répète à ses amis à quel point son nouvel époux est "gentil", comment il la "couvre de cadeaux", la "fait fondre".
Marie-Odile, la "femme dangereuse"
Mais Robert Etienne est jaloux. Sa femme, dépensière, aime sortir. Elle le traîne au Château d'Aphrodite, une boîte échangiste. "Elle me bourrait de Viagra, je n'arrivais plus à suivre. Elle était fougueuse, avait beaucoup de besoins. J'aurais préféré qu'on ait une sexualité plus normale, moins fréquente", confessera-t-il aux policiers, qui ont retrouvé des godemichés dans l'appartement. Ils se disputent, souvent. Ils sont si différents. "Monsieur Etienne présente les traits habituels d'une personnalité obsessionnelle, à savoir l'entêtement, le respect peut-être excessif de l'autorité, le goût de l'ordre et de l'économie" , décrit le rapport psychiatrique. L'économie, la bonne gestion... C'est tout le monde de Robert Etienne. Les découverts permanents de Marie-Odile le rendent fou. Il se sent atteint dans sa virilité. Il l'aime, mais la voit comme une "femme dangereuse". Un jour, il tente de l'étrangler dans son sommeil. Marie-Odile veut déménager, s'installer dans une maisonnette, près d'un étang, pour voir des canards. Robert Etienne ne veut pas quitter la confortable résidence Sainte-Claire, mais il cède. Redevient le gentil nounours. Le jour du crime, l'époux attentionné a préparé un bain de pieds pour son aimée. Il a mis un poulet dans le micro-ondes pour le déjeuner. Et puis ils se sont disputés. Il s'énerve sur le déménagement. Marie-Odile veut partir en vacances. Encore des dépenses. Il monte d'un cran. Elle l'insulte, lui dit qu'il est "Vieille France", un "mauvais coup". Là, il pète les plombs. Sort un couteau de cuisine. Puis un Laguiole. "Mon client n'a pas supporté que sa compagne ne soit pas à l'image de sa première épouse", plaidera son avocat au procès. Les jurés estiment que le prévenu ne "présente pas de risque de récidive et ne constitue pas un danger pour la société". Ils le condamnent à douze ans de réclusion. Quand en 2009, Robert Etienne est libéré, il refait sa vie à Sedan. "Il est revenu faire le tour des commerçants, dire bonjour, de façon très naturelle", dit une Sedannaise. Il devient volontaire dans la Communauté Emmaüs, chargé de la bibliothèque. C'est là qu'il rencontre Brigitte Oudry, la factrice, une femme aimable et souriante, plutôt ronde, pas coquette pour un sou. Rien à voir avec l'exubérante Marie-Odile. Brigitte Oudry sort d'un deuil. Entre eux, tout va aller très vite. Ils se mettent en ménage au début de l'année 2011.

Angoisse de la castration
L'union apparaît plutôt paisible. "Avec sa précédente femme, on entendait de temps en temps des éclats de voix. Là, rien. Ils étaient très discrets", note le voisinage. Le couple fait le marché, main dans la main. Brigitte, elle aussi, trouve Robert "si gentil". "Elle me racontait qu'elle n'avait jamais été aussi heureuse", se souvient Suzanne Furlani, une amie. "Elle connaissait son passé. Mais pour elle, c'était un accident."
Comment expliquer qu'il se soit ainsi acharné sur Brigitte, en particulier sur la poitrine et le bas-ventre ? Le docteur Delcourt, expert psychiatre, s'interroge : "Il avait un rapport compliqué aux femmes. Une angoisse de la castration, liée certainement à sa mère. Il les idéalisait et en même temps, dès qu'elles échappaient à son autorité, elles lui semblaient dangereuses. Par deux fois, il s'est raccroché très vite à une figure de femme consolatrice." Le cliché de la scène du crime semble étrangement similaire au premier. Que s'est-il passé exactement ? Lors de son audition devant le juge des libertés, Robert Etienne a été succinct. "La querelle a commencé la veille au soir, précise son avocat Francis Pierroux. Le matin, mon client a été réveillé par sa compagne, et la dispute a continué." Pour des broutilles. Les deux chats adorés de Brigitte, qui "l'empêchaient de dormir", et qui grimpaient sur le lit conjugal. Un projet de vacances qu'il jugeait onéreux. Brigitte aurait laissé échapper qu'elle "s'emmerdait" avec lui. C'était peut-être le mot de trop. Robert Etienne ne supportait pas qu'on "s'emmerde" avec lui. Il a attrapé un couteau de cuisine. Et il s'est acharné.

Article paru dans l'hebdomadaire Le Nouvel Observateur du 10 novembre 2011

http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/20111109.OBS4199/sedan-le-barbe-bleue-des-ardennes.html