samedi 31 décembre 2011

Seine-et-Marne : tué par une voiture le jour de ses vingt ans

Drame épouvantable, samedi vers 17 h 30, sur la RD 216, à hauteur de Mortcerf (Seine-et-Marne). Un jeune homme est décédé et une jeune fille a été grièvement blessée dans un accident de la circulation. Le vélo sur lequel ils avaient pris place a été heurté par une voiture, qui roulait dans le même sens qu'eux.

Le garçon fêtait ses vingt ans aujourd’hui même. Son amie, âgée de seize ans, a été héliportée vers l’hôpital Henri-Mondor, à Créteil (Val-de-Marne), dans un état critique. Selon les premières constatation, il pleuvait et le vélo n’était pas éclairé. Les deux amis ne portaient pas de gilets fluorescents. Le conducteur, qui a priori n’avait ni bu, ni consommé de stupéfiants, inconnu des services de police, a été placé en garde à vue. Sa passagère était très choquée


http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/seine-et-marne-tue-par-une-voiture-le-jour-de-ses-vingt-ans-31-12-2011-1791144.php

Mort de Younes au Bizet belge : le père est renvoyé devant les assises de Mons pour meurtre, la mère est blanchie

Hier, nouvel épisode judiciaire dans l'affaire Younes : la chambre des mises en accusation de Mons (B) a rendu son arrêt. ...

Elle renvoie le père, Mohamed Jratlou, 69 ans, devant la cour d'assises de Mons pour le meurtre de son fils, Younes (en médaillon), âgé de quatre ans lors des faits. La mère, Naïma Jratlou, 44 ans, bénéficie d'un non-lieu et se voit entièrement blanchie alors qu'elle était toujours inculpée pour non-assistance à personne en danger. Cette décision confirme celle qui avait été prise le 25 octobre 2011 par la chambre du conseil de Tournai mais dont la procureure du roi avait fait appel dès le lendemain.
Pour rappel, dans la nuit du 24 au 25 octobre 2009, Younes disparaissait mystérieusement du domicile familial au Bizet belge, près d'Armentières. Ses parents n'avaient signalé sa disparition que le matin, assurant l'avoir cherché toute la nuit. Ils expliquaient que suite à une dispute conjugale, la mère avait quitté la maison, laissant une porte ouverte. L'enfant se serait alors enfui. Seize jours plus tard, il était retrouvé mort dans la Lys à Comines, en Belgique.

« La vérité »

Durant un an, les Jratlou n'avaient pas vraiment été inquiétés par la justice jusqu'à leur interpellation en octobre 2010. De nouveaux éléments indiquaient, entre autres, que l'enfant était mort par asphyxie à un moment très proche de sa disparition. Des fragments de tissu retrouvés sur le corps étaient également identifiés comme provenant des vêtements des parents. Des traces de sang avaient aussi été relevées dans la maison. Si Mohamed Jratlou est toujours détenu, sa femme avait été libérée quinze jours plus tard, tout en restant inculpée, et avait rejoint le domicile avec son fils aîné, Wazir, âgé de dix ans.
Hier, l'un de ses avocats, Me Parret, la disait « soulagée » en apprenant la nouvelle par téléphone : « C'est la fin pour elle de deux années de calvaire judiciaire. »
Une mère meurtrie que nous avons une nouvelle fois rencontrée chez elle, hier en fin d'après-midi, auprès de son fils. À aucun moment, elle ne condamne son mari. Elle répète qu'elle veut connaître la vérité. Ses avocats devraient pourtant se porter partie civile en son nom contre son mari. « Elle n'est pas persuadée de sa culpabilité mais nous espérons que les débats apporteront un éclairage. C'est notre seul moyen de participer au procès. »
Mohamed Jratlou, qui continue de clamer son innocence de sa cellule, encourt trente ans de prison. Me Magnée, son conseil, a décidé de se pourvoir en cassation : « Ce dossier résulte d'un ensemble d'indices mais d'aucune charge contre mon client. (...) Les fibres textiles retrouvées sur le corps pouvaient aussi se retrouver deux jours avant la disparition parce que l'enfant avait été gentiment pris dans les bras de son père. »
Le procès devrait avoir lieu courant 2012
http://www.lavoixdunord.fr/Region/actualite/Secteur_Region/2011/12/30/article_mort-de-younes-au-bizet-belge-le-pere-es.shtml

vendredi 30 décembre 2011

Belfort : une femme desespérée saute d'un pont sur l'A 36

Hier soir, vers 19h, une femme d’environ 50 ans se serait jetée du haut du pont de Bermont qui enjambe l’A36 au passage d’un camion dans le sens Mulhouse-Montbéliard.
La victime a brisé le pare-brise et s’est retrouvée dans l’habitacle du poids-lourd. Son conducteur est parvenu à conserver la maîtrise du véhicule pour s’arrêter quelques centaines de mètres plus loin.
Les secours n’ont pu sauver la malheureuse.
Le chauffeur de nationalité allemande a été pris en charge en état de choc.
L’accident a causé une gêne mineure au trafic routier.

Un homme tué par un train, son corps projeté en blesse un autre

Un jeune homme a été mortellement fauché par un train, jeudi en traversant les voies de la gare de Cestas-Gazinet (Gironde), son corps projeté blessant grièvement un autre homme debout sur le quai, a-t-on appris auprès des gendarmes. Alors qu'un TER assurant la liaison entre Bordeaux et Arcachon venait de déposer des passagers à l'arrêt de Cestas-Gazinet, le jeune homme, âgé de 19 ans, a traversé les voies. Il a été violemment percuté par un train qui assurait la liaison inverse sans arrêt en gare. Projeté par le choc, le corps du jeune homme a heurté celui d'un autre homme, âgé de 41 ans, qui attendait sur le quai. Sérieusement blessé, il a été transporté au CHU de Bordeaux. Le chauffeur du train, choqué, a été entendu par les gendarmes qui ont également recueilli les témoignages de passagers présents sur le quai. "Il n'y a pas d'autre suspicion que l'accident", ont dit les gendarmes à l'AFP. Une enquête pour accident ferroviaire a été ouverte. Les deux trains assurant la liaison entre Bordeaux et Arcachon, qui ne marquent pas les mêmes arrêts, "se croisent en gare de Cestas-Gazinet à cette heure", a-t-on précisé de même source.

Eure : Enzo, 9 ans, meurt après être tombé dans un bac d'eau pluviale

Un enfant de neuf ans, qui avait été découvert mercredi soir, dans un bac de décantation d'eau pluviale où il serait tombé par accident, dans l'Eure, a finalement succombé à ses blessures dans la soirée.

Les faits se sont déroulés au Fresne, près de Conches-en-Ouche, relate
Paris-Normandie. Enzo, qui appartenait à la communauté des gens du voyage, a disparu mercredi vers 16 heures du campement d'un cirque à l'enseigne Zavatta, qui s'était installé quelques jours auparavant sur un terrain vague de la commune. Son signalement a immédiatement été diffusé aux automobilistes empruntant le qui jouxte le terrain vague.

Rapidement, d'importants moyens de secours ont été déployés, notamment des pompiers du Groupe de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux (Grimp) et des chiens de la brigade canine de la gendarmerie.
Peu après 18 heures, l'enfant a été découvert dans un bac de décantation d'eau pluviale d'une profondeur de 2,50 m où il était tombé accidentellement, selon les premiers éléments de l'
, confiée aux gendarmes.

Pris en charge sur place par le Samu, l'enfant a été transféré dans un état grave à l'hôpital d'Evreux. Il est décédé dans la soirée des suites de ses blessures


http://www.leparisien.fr/faits-divers/eure-enzo-9-ans-meurt-apres-etre-tombe-dans-un-bac-d-eau-pluviale-29-12-2011-1788058.php

jeudi 29 décembre 2011

Haut-Doubs : un skieur terrassé par une crise cardiaque devant son petit-fils

Un skieur de fond est décédé hier vers 17 h 30 à Arc-sous-Cicon, dans le Haut-Doubs, après une sortie sur le très beau site du Crêt Monniot. Les pompiers du village et leurs collègues de Gilley ont tenté, en vain, de le ranimer sur le parking où le malaise cardiaque l’a emporté.
La victime, M. Jean Guyon, 67 ans, était un sportif actif et connaissait bien le Crêt Monniot où il venait régulièrement.
Au sein de l’association sportive et culturelle de Miserey-Salines, son village du nord de Besançon, il organisait également des randonnées pédestres et en raquettes. Hier, accompagné de son petit-fils, il avait effectué sa première sortie à ski de la saison.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/12/29/skieur-de-fond-terrasse-par-une-crise-cardiaque

Une femme de 60 ans meurt dans l'incendie de sa maison

Il était 4 h 15, ce matin, quand les pompiers sont intervenus sur l'incendie d'un pavillon situé dans le bourg de Languenan (22). A l'intérieur de la maison en feu, a été retrouvé le corps sans vie d'une femme de 60 ans, la propriétaire des lieux. Une autopsie a été demandée par le parquet de Saint-Malo - Dinan pour vérifier les circonstances de la mort. L'incendie, qui a fait des dégâts importants au rez-de-chaussée de l'habitation, a été maîtrisé par une quinzaine de pompiers. 

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/dinan/plancoet/languenan/languenan-22-une-femme-de-60-ans-meurt-dans-l-incendie-de-sa-maison-29-12-2011-1551447.php

Le corps repêché est bien celui du jeune basketteur disparu

Des analyses ADN ont révélé que le corps retrouvé en fin de semaine dernière, dans la Saône, près de Lyon, était bien celui du basketteur de 21 ans disparu depuis le 17 novembre dans l'Ain, a-t-on appris de source judiciaire.

Lire également
>
Ain. "Disparition inquiétante" d'un jeune homme depuis une semaine
"Ces analyses ADN montrent qu'il s'agit bien du corps d'Alexis Mentrel", a indiqué cette source judiciaire. Pratiquée lundi, à l'Institut médico-légal de Lyon, une autopsie n'avait pas permis d'identifier formellement le corps après un long séjour dans l'eau. Cependant, des éléments, tels que la taille et les vêtements, laissaient penser, avec de fortes probabilités, qu'il s'agissait du jeune basketteur qui avait quitté, mi-novembre, le domicile de ses parents situé à Frans, à l'est de Villefranche-sur-Saône, au volant du véhicule professionnel de son père.
Un décès par noyade
Lundi, une source judiciaire avait souligné que l'autopsie n'avait mis en évidence "aucun élément faisant penser à une mort violente". L'examen du corps avait conclu à un décès par noyade, la piste criminelle étant écartée.
Basketteur à l'Ouest Lyonnais Basket (Nationale 2), Alexis Mentrel était scolarisé en BTS à Villefranche-sur-Saône


http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/saone-le-corps-repeche-est-bien-celui-du-jeune-basketteur-disparu-28-12-2011-1550672.php

mercredi 28 décembre 2011

Haut Forez : prisonnier toute une nuit de sa voiture accidentée

Il était environ 2h30, lorsqu’un automobiliste de 41 ans a perdu le contrôle de son véhicule, dans un virage, alors qu’il circulait sur la RD14 entre Saint-Bonnet-le-Château et son domicile de la Chapelle-en-Lafaye.
Dans le brouillard et le froid, la voiture s’est retrouvée plusieurs mètres en contrebas de la route. Sa famille inquiète de ne pas le voir rentrer ont alerté les gendarmes, qui ne sont pas parvenu à géolocaliser son téléphone portable.
C’est finalement vers 8 heures du matin que la famille de l’automobiliste a localisé le véhicule à un peu plus de 400 mètres du village. A l’arrivée des secours l’homme était conscient mais souffrait de divers traumatismes aux jambe. Il a du être hélitreuillé jusqu’à la route avant d’être évacué vers l’hôpital Nord de Saint-Etienne.

http://www.leprogres.fr/loire/2011/12/26/haut-forez-prisonnier-toute-une-nuit-de-sa-voiture-accidentee

mardi 27 décembre 2011

Ecrasé par des dalles de béton

Un drame s’est produit peu après 14 h 30, hier après-midi à Frébécourt. Domicilié rue Sous l’Eglise, Christophe Roy avait fait l’acquisition d’un local situé en face de chez lui. Ayant décidé d’en faire un garage pour sa voiture, le jeune homme, maçon de profession, était hier après-midi en plein travail accompagné de son fils adolescent. Le drame s’est produit lorsque des plaques de béton qu’il avait fait poser contre un mur, ont glissé. Le malheureux a été littéralement écrasé au mur par ces dalles, pesant environ 100 kilos chacune, se trouvant coincé entre le mur et les plaques. Pour donner l’alerte le garçon s’est précipité chez des voisins dont le chef de famille, ancien sapeur-pompier, et sa fille, sapeur-pompier en activité, se sont immédiatement portés auprès du blessé pour le dégager avant de pratiquer un massage cardiaque.
Placés sous les ordres du lieutenant Bernard Régnier chef de groupe, les sapeurs-pompiers de Neufchâteau et de Liffol-le-Grand, comprenant une équipe de soutien psychologique, sont intervenus rapidement avec les médecins du SAMU de Neufchâteau. Malgré leurs efforts, les sauveteurs n’ont pas pu sauver Christophe Roy, papa de deux enfants de 14 et 9 ans, âgé de 38 ans.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/12/27/ecrase-par-des-dalles-de-beton

Vosges : chute mortelle d'un skieur

Un skieur de 19 ans s'est tué hier soir lors d'une chute sur une piste de la station de La Bresse (Vosges), lors d'une session en nocturne. "Il a chuté après une perte de contrôle. Peut-être n'a-t-il pas vu le relief en raison de la nuit. Il n'a heurté aucun obstacle, ni personne", a indiqué un porte-parole de la gendarmerie des Vosges.

L'accident a eu lieu vers 21h30. Le jeune homme, originaire du Bas-Rhin, n'a pu être ranimé par les secouristes sur place. Selon le patron de la station de La Bresse, Jean-Yves Remy, interrogé par la radio régionale France Bleu Alsace, l'accident a eu lieu sur une piste "en bon état, dégagée, avec peu de monde". La victime était venue skier avec deux amis et avançait en tête du petit groupe. La chute pourrait être due à une vitesse excessive.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/27/97001-20111227FILWWW00236-vosges-chute-mortelle-d-un-skieur.php

Incendie meurtrier: pouvait-on éviter le drame? (Marseille)

Isère: une chute mortelle de 7 étages

Un homme de 68 ans est mort hier après avoir chuté du balcon d'un appartement situé au 7e étage d'un immeuble dans la banlieue de Grenoble, selon la gendarmerie.

La piste accidentelle est privilégiée, mais une autopsie devait être réalisée dans la matinée pour connaître les causes de la mort, a indiqué la gendarmerie qui a ouvert une enquête.

L'homme, qui fêtait Noël chez sa soeur à Pont-de-Claix, avec son beau-frère et sa femme, est "allé chercher quelque chose sur le balcon" à la fin du déjeuner et aurait chuté en l'absence de témoin, selon la même source.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/26/97001-20111226FILWWW00155-isere-une-chute-mortelle-de-7-etages.php

lundi 26 décembre 2011

Un homme déguisé en Père Noël décime sa famille et se suicide aux Etats-Unis

Un homme déguisé en Père Noël a ouvert le feu sur des membres de sa famille dimanche, tué six personnes, puis a retourné l'arme contre lui et s'est suicidé, dans une petite ville du Texas (sud des Etats-Unis), a-t-on appris auprès de la police lundi.
"C'était une fête de Noël tout à fait ordinaire, avec un sapin de Noël, et les cadeaux venaient juste d'être ouverts lorsque l'incident a eu lieu", a expliqué à l'AFP le sergent Robert Eberling de la police de Grapevine.
Quelqu'un a appelé la police dimanche à la mi-journée depuis le lieu du drame, mais lorsque l'agent a décroché, personne n'a répondu. C'est à ce moment que décision a été prise de se rendre sur les lieux.
Selon le sergent Eberling, deux armes de poing ont été retrouvées à côté des sept corps sans vie des victimes, âgées de 15 à 58 ans. Les corps ont tous été retrouvés dans le salon de l'appartement. Il n'y a aucun survivant.
"Cela ne s'était jamais produit" à Grapevine, a souligné le sergent Eberling.
http://www.lepoint.fr/monde/un-homme-deguise-en-pere-noel-decime-sa-famille-et-se-suicide-aux-etats-unis-26-12-2011-1412669_24.php

Condamnations et enquête après les attentats de Noël au Nigeria

Les autorités nigérianes enquêtaient lundi sur des attaques attribuées à des islamistes qui ont fait au moins 40 morts, dont un kamikaze, le jour de Noël quand des églises ont été visées par des attentats à la bombe à la sortie de la messe de la nativité. Ces violences ont été condamnées par le Vatican, la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne et les Etats-Unis notamment.
Le pape Benoît XVI a ainsi fait part lundi de sa "profonde tristesse" après ces attaques, en soulignant lors de l'Angelus au Vatican, que la violence mène "seulement à la douleur, à la destruction et à la mort". Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a appelé à la fin des violences au Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique avec 160 millions d'habitants également répartis entre musulmans, majoritaires dans le nord, et chrétiens, plus nombreux dans le sud.


Chaos

Le gouvernement a attribué la responsabilité de trois des attaques à la secte islamiste Boko Haram : deux visant des églises et un attentat suicide contre une antenne des services secrets dans le nord-est. Une troisième église a été visée samedi soir dans le nord-est mais aucun mort n'a été rapporté. Des habitants ont en outre indiqué lundi qu'une explosion avait eu lieu tard dimanche près d'une église de Maiduguri (nord-est), une information démentie par un porte-parole de l'armée.

L'assaut le plus meurtrier, contre l'église
catholique Ste Theresa à Madalla, près de la capitale Abuja, a fait 35 morts selon le dernier bilan communiqué par une source ecclésiastique, et a été revendiqué par Boko Haram. Alors que les fidèles sortaient de l'édifice après la messe, l'explosion a fait d'énormes ravages. Certains ont brûlé dans leurs voitures tandis que d'autres, parfois mortellement blessés, se sont précipités vers un prêtre pour demander l'extrême onction. Les attaques de Noël sont survenues après deux jours d'affrontements, jeudi et vendredi, entre des membres de Boko Haram et les forces de l'ordre dans le nord-est, qui auraient fait près de cent morts.

En lien avec al-Qaïda ?

Le président Goodluck Jonathan a dénoncé la violence et promis que tout serait fait pour que les coupables soient jugés. Mais les autorités ont jusqu'à présent échoué à empêcher la secte de multiplier ses attaques de plus en plus fréquentes et meurtrières. Bien que les autorités aient accusé Boko Haram, un porte-parole de la police a indiqué lundi que l'enquête sur l'attentat de Madalla n'excluait pas d'autres pistes.

Lundi, des centaines d'habitants aperçus aux arrêts de bus ou attendant des taxis cherchaient à fuir cette ville. Damaturu a été en fin de semaine le théâtre d'attaques revendiquées par Boko Haram suivies de violents affrontements avec les forces de l'ordre. Des observateurs craignent que Boko Haram, dont les actions sont de plus en plus sophistiquées, n'ait développé des liens avec la branche maghrébine d'Al-Qaïda.
http://lci.tf1.fr/monde/afrique/condamnations-et-enquete-apres-les-attentats-de-noel-au-nigeria-6895756.html

Grippe A : Une veuve attaque les médecins de son mari !

dimanche 25 décembre 2011

Noyade d'Enzo : l'hypothèse accidentelle privilégiée après l'autopsie

L'hypothèse accidentelle était privilégiée dimanche par les enquêteurs après l'autopsie du corps du petit Enzo, disparu jeudi à Harréville-les-Chanteurs (Haute-Marne) et retrouvé samedi dans la Meuse, a indiqué le procureur de Chaumont.
«L'autopsie du corps a été effectuée ce (dimanche) matin. Elle n'a révélé aucune trace de violence, ni de choc extérieur, avec un véhicule par exemple. Aucun signe d'agression sexuelle et aucune marque d'empoignement, qui aurait pu indiquer que l'enfant aurait pu être poussé, n'ont été détectés», a déclaré François Prélot, le procureur de Chaumont. «L"hypothèse privilégiée est donc celle d'un décès accidentel consécutif à une chute dans la rivière», a ajouté M. Prélot, qui a assisté à l'autopsie pratiquée à l'institut médico-légal de Dijon. Le procureur a toutefois indiqué que l' se poursuivait.

Soutien psychologique pour la famille

Le petit Enzo, âgé de deux ans, avait été porté disparu jeudi en fin d'après-midi. Il avait échappé à la vigilance de sa mère, gérante d'un dépôt-vente à Harréville-les-Chanteurs, village de 300 habitants. Il avait l'habitude de circuler entre le magasin de sa mère et le garage de son grand-père, situé juste à côté. Une enquête pour disparition inquiétante avait alors été ouverte.
Vendredi, trois chiens renifleurs avaient remonté la piste du petit garçon jusqu'à un pont enjambant la Meuse à quelques centaines de mètres du magasin. Le corps du garçonnet, qui portait encore son anorak bleu orné d'un motif du dessin animé «Cars», avait finalement été retrouvé samedi à 400 mètres en aval de ce pont, après plus de 36 heures de recherches qui avaient mobilisé jusqu'à 150 gendarmes, ainsi que pompiers et habitants du village. La famille d'Enzo a été prise en charge par une cellule de psychologique.http://www.leparisien.fr/faits-divers/noyade-d-enzo-l-hypothese-accidentelle-privilegiee-apres-l-autopsie-25-12-2011-1783367.php

Un homme fait une chute mortelle en voiture dans l'Estéron

Un homme âgé d'environ 70 ans est mort ce samedi matin après une chute mortelle en voiture dans l'Estéron.
L'accident s'est produit sur la route escarpée de la Clavé située sur la commune du Broc. Le septuagénaire, un habitant de La Gilette, aurait perdu le contrôle de son véhicule après avoir rippé sur le côté droit de la route.
Le véhicule a alors fait une chute de plus de huit mètres pour tomber plus bas dans l'Estéron. La voiture a chuté dans un des rares zones profondes de cet affluent du Var.
Des sapeurs-pompiers, des plongeurs et des hommes du Grimp (Groupement de reconnaissance et d'intervention en milieu périlleux) ont ramené le corps du conducteur sur la berge mais n'ont pas pu le réanimer.
Selon les premières constatations médicales, le septuagénaire serait mort de noyade. Aucune autre personne ne se trouvait à bord du véhicule

http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/un-homme-fait-une-chute-mortelle-en-voiture-dans-lesteron.722369.html

Les proches de Sicilia veulent une réponse ! (Romilly)

samedi 24 décembre 2011

Un homme se tue en tombant d'un train

Véritable drame à la veille de Noël : un homme de 31 ans a fait une chute mortelle à la sortie de la gare de Tournus (Saône-et-Loire) hier soir vers 20h30. La victime est tombée d'un TER qui effectuait la liaison entre Lyon et Dijon.
Selon des témoignages recueillis sur place, ce passager et son épouse, domiciliés à Lausanne en Suisse, devaient descendre à Tournus pour passer les fêtes de Noël en famille dans la région. Mais alors que sa femme était déjà descendue sur le quai, l'homme se trouvait encore dans le train alors que celui-ci redémarrait. Il aurait alors tenté de sauter en marche, chutant lourdement dans un ballast et se blessant grièvement à la tête.
Les efforts des secours sur place pour tenter de réanimer la victime n'ont pas suffi. Son décès a été constaté aux alentours de 22 heures.
Les circonstances de ce drame ne sont pas claires pour les gendarmes qui ont décidé de lancer un appel à témoins à destination des passagers du Corail. Ceux qui ont vu l'homme en train de peut-être manipuler la porte du wagon ou de chercher à descendre sont appelés à contacter la brigade de gendarmerie de Tournus. Les personnes qui se trouvaient sur le quai de la gare et ont été témoins de la scène sont priées de faire de même. Car les cherchent à savoir si la porte était bien refermée lorsque le train s'est ébranlé, ou si éventuellement la victime ne l'avait pas bloquée avec une valise afin de descendre, même après le départ.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/24/1247234-tournus-un-homme-se-tue-en-tombant-d-un-train.html

Une intervention chirurgicale tourne au drame (Romilly)

vendredi 23 décembre 2011

Bébé congelé: autopsie prévue vendredi

« L'autopsie n'a pas encore été pratiquée, car il y avait des examens complémentaires à réaliser. Je pense qu'elle le sera demain [aujourd'hui, ndlr]. »

Selon le procureur de la République de Cusset, Dominique de Bouclans, contacté jeudi, le corps du bébé retrouvé congelé à Vichy sera donc examiné ce vendredi, à l'Institut médical de Lyon. Il faudra sans doute attendre le début de semaine prochaine pour en connaître les résultats.

Interpellée dimanche soir, à Saint-Laurent-du-Var, par la police judiciaire de Nice, en relais de Clermont-Ferrand, la mère du nourrisson est mise en examen pour « homicide volontaire sur mineur de 15 ans » et écrouée.

Cette femme de 34 ans affirme avoir donné naissance à un garçon en 2008, dans sa baignoire, sans avoir réalisé qu'elle était enceinte. Version qui colle mal avec la taille du nourrisson : 62 cm. Mais le procureur auvergnat reste, à ce stade, « extrêmement prudent ». À l'instar du juge d'instruction, il attend l'avis médico-légal pour y voir plus clair, dans cette sordide affaire qui a rebondi sur la Côte d'Azur.

« L'âge ne va pas être très dur à déterminer. Les causes de la mort, c'est autre chose. Il est important de savoir s'il est né vivant ou viable, si c'est un nouveau-né ou un nourrisson… C'est une question criminologique. Ce n'est pas la même chose si elle commet un infanticide à la naissance ou après deux ou trois mois. Par ailleurs, imaginons qu'il soit mort-né ? » L'enquête s'orienterait alors vers un « recel de cadavre ». Pour l'heure, la suspecte encourt la réclusion à perpétuité.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/bebe-congele-autopsie-prevue-vendredi.721324.html

Deux sœurs se noient dans une rivière

Deux sœurs âgées de 9 et 12 ans ont été retrouvées mortes noyées lundi soir dans la crique (rivière) aux Pères de la commune de Macouria en Guyane. Les deux fillettes se trouvaient au bord de cet affluent du fleuve Kourou, un lieu de baignade réputé mais non surveillé. Les deux fillettes, habitantes de Kourou, étaient accompagnées de leur soeur aînée âgée de 15 ans et sous la surveillance d'une adulte, amie de leur mère.

Entraînées par le courant puissant

"Les deux enfants jouaient les pieds dans l'eau quand la plus jeune s'est avancée un peu plus dans la rivière pour rejoindre une pile du pont très proche de la rive, presque à bout de bras", a expliqué le lieutenant-colonel Yves Le Goff, commandant de la gendarmerie de Kourou. L'enfant a été immédiatement entraînée par le courant puissant et "sa soeur l'a attrapée par le pied avant d'être emportée à son tour selon le témoignage de leur aînée qui n'a rien pu faire", a précisé Yves Le Goff.

Les pompiers, équipés de moyens nautiques, sont intervenus rapidement, renforcés par un hélicoptère de la gendarmerie ainsi que des baigneurs alertés par les cris. Après plusieurs heures de recherches, deux plongeurs de la gendarmerie et des Forces armées de Guyane sont venus sonder le lit de la rivière. Ils ont retrouvé les deux corps au fond de la rivière dans une zone obstruée par des branches

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/22/97001-20111222FILWWW00289-deux-surs-se-noient-dans-une-riviere.php

jeudi 22 décembre 2011

Meuse : un jeune de 25 ans mort sur la RD 997

Hier, à 11 h 45 les sapeurs-pompiers ont été alertés d’un accident de la circulation survenu sur la route départementale 997 reliant Stainville à Lavincourt. Sur place, les sapeurs-pompiers de Cousances-les-Forges, Bar-le-Duc, Ancerville et le SMUR de Saint-Dizier ont du procédé à la désincarcération de la conductrice, Isabelle Peiffer, 54 ans, maîtresse de maison dans un centre spécialisé. Grièvement blessée, elle a dû être transférée dans l’après-midi au centre hospitalier de Reims.
Son fils de 25 ans, Jannick, handicapé, était venu passer les fêtes de Noël en famille. La mère a apparemment perdu le contrôle de son véhicule à hauteur d’une ferme isolée, juste avant Lavincourt.

Choc violent contre le mur d’une ferme

D’après les premières constatations, l’automobile aurait effectué un tête-à-queue avant de s’immobiliser. Les secours ont retrouvé la voiture à l’envers par rapport au sens de circulation. Le véhicule a stoppé net sa course en percutant violemment le mur d’un bâtiment de ferme.
C’est le côté droit, côté passager, et qui percuté le plus fort l’obstacle. Sous la violence du choc la voiture s’est déchirée au contact du mur. Malgré leurs efforts pour réanimer le jeune homme, les secours n’ont pu le maintenir en vie. La conductrice a dans un premier temps été conduite au service des Urgences de l’hôpital de Saint-Dizier dans un état très critique. Avant d’être finalement envoyée à Reims.
Sur place, les gendarmes d’Ancerville et de Ligny-en-Barrois sous le commandement de l’officier de permanence de la compagnie de Commercy ont lancé une enquête afin de connaître les circonstances exactes de l’accident.

Pas de vitesse excessive à première vue

La vitesse ne semblerait pas être la raison de la perte de contrôle de l’automobile et bien que la pluie ne soit pas à négliger, la chaussée n’était pas réellement glissante d’après les premières constatations de gendarmerie. Il n’en demeure pas moins que par le passé cette zone a déjà été le théâtre d’accidents.
Les gendarmes ont vainement interrogé les habitants afin de recueillir des témoignages.
Un autre véhicule suivait la voiture mais de trop loin pour avoir un témoignage direct. Des techniciens spécialisés de la gendarmerie vont expertiser le véhicule avant d’en rendre compte au Parquet.
http://www.estrepublicain.fr/meuse/2011/12/22/un-mort-sur-la-rd-997

Deux morts et sept blessés sur l'A39

Un tragique accident s'est produit mercredi soir vers 23h15 sur l'A39. Lors d'un dépassement, une Mercedes et un minibus qui circulaient dans le sens Lons-Dole, sont entrés en collision à hauteur de Ruffey-sur-Seille, au kilomètre 82.
Selon les premiers éléments de l'enquête, le minibus aurait tenté de doubler un véhicule sans avoir vu qu'une Mercedes était en train de le dépasser. Le minibus qui transportait des ressortissants polonais, a tapé le parapet bordant l'autoroute, est passé par dessus et a fini sa course dans un trou d'évacuation d'eau entre la clôture et la bande d'herbe qui longe les voies derrière le mur. Sous le choc, deux personnes sont décédées. Sept autres sont blessées, quatre légérement et trois gravement. Ils ont été transportés dans les hôpitaux de Dole, Lons et Besançon. Les deux Polonais décédées étaient âgées de 28 et 48 ans. Le pronostic vital de l’un des blessés est engagé. De son côté, le conducteur de la Mercedes est ressorti indemne de l'accident.
Une trentaine de pompiers de Lons, Montmorot, Bletterans, Sellières, Savigny et Louhans ont été dépêchés sur place ainsi que les gendarmes de l'EDSR.
Le dépistage d’alcoolémie sur les deux conducteurs s’est révélé négatif. Travaillant dans la région de Montpellier dans le secteur du bâtiment et des travaux publics, les passagers du minibus rentraient en Pologne pour retrouver leur famille à l’occasion des fêtes de fin d’année.
Deux autres minibus faisaient partie du convoi. N'apercevant plus le troisième véhicule, ils ont fait demi-tour et sont tombés sur l'accident. Douze personnes, dont des enfants circulaient à bord. Ils ont été pris en charge par une cellule d'urgence médico-psychologique du centre hospitalier de Lons.
http://www.leprogres.fr/jura/2011/12/22/deux-morts-et-sept-blesses-sur-l-a39

Retrouvé mort dans la cour de sa ferme

René Paulin, âgé de 88 ans a été découvert sans vie dimanche matin. Son corps gisait dans la cour de sa ferme située au lieu-dit : « Bel air ». Deux cyclotouristes randonnant dans le secteur ont aperçu le corps du malheureux et aussitôt prévenu les gendarmes et les sapeurs-pompiers de Cordes-sur-Ciel. A leur arrivée sur les lieux, les secouristes ont rapidement constaté le décès de l'homme qui vivait seul dans la ferme depuis l'hospitalisation de son épouse voici quelques mois. Dirigés par la lieutenant Marianne Richard, les gendarmes ont alors commencé leur enquête et découvert des indices méritant des investigations poussées : porte d'entrée de la maison fermée, fenêtre du premier étage (chambre) ouverte, tablette de nuit et chaise de la chambre renversées, traces de sang sur un pied, sur les murs de la chambre, sur une vasque de fleurs dans la cour, sur la porte d'entrée, plaie au bras de la victime. Par ailleurs la maison était normalement en ordre, n'ayant visiblement pas été fouillée.

Ni suicide, ni tiers

Deux équipes du TIC (Techniciens en identification criminelle) ont effectué de nombreux prélèvements et analyses pour en arriver à la conclusion que le décès de René Paulin était accidentel : multitraumatismes à la tête suivis d'un arrêt cardiaque. Le suicide et l'intervention d'un tiers sont écartés. Ces investigations ont également permis comprendre comment René Paulin était décédé. Selon l'enquête le vieil homme se serait levé dans la nuit alors qu'il saignait du nez (il était sujet à de fortes poussées de tension artérielle), dans l'obscurité il aurait alors renversé la tablette et la chaise en voulant aller ouvrir la fenêtre. Là, il aurait basculé dans le vide, l'un de ses bras accrochant un arrêt de volet. En tombant dans la cour sa tête aurait heurté une vasque de fleurs. René Paulin se serait alors relevé pour rejoindre la porte d'entrée située à quelques mètres, mais qui était fermée. C'est là que les deux cyclistes ont aperçu son corps dimanche matin.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/22/1245413-retrouve-mort-dans-la-cour-de-sa-ferme.html
Une collision frontale entre deux fourgons s'est produite hier, vers 22 h 20, sur la D2, non loin du carrefour de La Rougerais, à Pleslin-Trigavou (22). Après le choc dû à des circonstances indéterminées, les deux véhicules ont terminé leur course dans le fossé. La conductrice d'un des fourgons, une Dinardaise âgée de 25 ans, a été éjectée de son véhicule et grièvement blessée. Son passager et le conducteur de l'autre fourgon ont, eux, été légèrement blessés. Tous ont été conduits au centre hospitalier de Dinan par les pompiers et le Samu.

http://www.letelegramme.com/local/cotes-d-armor/dinan/ploubalay/pleslin-trigavou/pleslin-trigavou-22-choc-frontal-une-femme-de-25-ans-grievement-blessee-21-12-2011-1544776.php

mercredi 21 décembre 2011

Indre : un adolescent s'immole par le feu

Un adolescent de 17 ans s'est suicidé la semaine dernière en s'immolant par le feu dans un sous-bois de l'Indre, a-t-on appris aujourd'hui auprès du parquet de Châteauroux.

Le corps carbonisé a été retrouvé dimanche par des chasseurs dans un bosquet du Blanc, entre Châteauroux et Poitiers, a indiqué un magistrat, confirmant
une information du quotidien régional La Nouvelle République.

L'enquête a "écarté tout acte criminel" et établi avec "quasi certitude" qu'il s'agit du corps d'"un jeune en détresse psychologique" de la localité qui avait fugué le 12 décembre, selon cette source.

Le suicide remonterait au 13 ou au 14 décembre et des prélèvements ADN doivent encore confirmer formellement l'identité du mort, a-t-on précisé. Selon le quotidien, l'adolescent était en décrochage scolaire et avait récemment confié à un ami qu'il allait "partir très loin et pour très longtemps".
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/21/97001-20111221FILWWW00415-indre-un-adolescent-s-immole-par-le-feu.php

Une automobiliste meurt broyée sous un camion dans le Var

Une automobiliste a trouvé la mort dans un horrible accident ce mercredi matin dans le Var. Un 19 tonnes transportant de la terre s'est renversé sur sa voiture, broyant l'habitacle.
L'accident s'est produit vers 9h30 sur la RD14 entre les villages de Collobrières et Pierrefeu. L'automobiliste, vivant à Collobrières et âgée d'une quarantaine d'années, a été tuée sur le coup.
L'accès au village de Collbobrières était toujours coupé ce midi, pour permettre de dégager la route recouverte de terre.

http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/une-automobiliste-meurt-broyee-sous-un-camion-dans-le-var.719889.html

Elle se tue en partant travailler à Tignes

Nadia Arpin n’est jamais arrivée à Tignes, hier matin. Elle avait quitté Saint-Foy-Tarentaise dans laquelle elle habitait pour rejoindre la station où elle travaillait aux caisses des remontées mécaniques de la STGM.
Mais vers 7 heures, sur la RD902, avant le hameau de la Thuile, sa petite voiture s’est encastrée à l’arrière gauche d’un camion de livraison qui descendait vers Bourg-Saint-Maurice.

L’accident s’est produit au niveau des anciens tunnels, un secteur connu pour sa dangerosité

La conductrice est décédée sur le coup, victime sans doute d’une route enneigée, d’une mauvaise visibilité et d’un virage très serré. L’accident s’est en effet produit au niveau des anciens tunnels, un secteur connu par les automobilistes de Haute-Tarentaise pour sa dangerosité.
La disparition de Nadia Arpin, à l’âge de 52 ans, a plongé son village dans la stupéfaction et la tristesse. Ce drame a rappelé à beaucoup celui traversé par cette maman et sa fille il y a trente ans. Gilles Arpin, le mari de Nadia, lui aussi un enfant de Sainte-Foy, avait perdu la vie sur cette même route quelques kilomètres plus haut.
Hier matin, c’est avec ce tragique destin familial en tête que le maire de Sainte-Foy-Tarentaise, Raymond Bimet, a rejoint gendarmes et pompiers sur les lieux de l’accident.
http://www.ledauphine.com/savoie/2011/12/20/une-habitante-de-sainte-foy-tarentaise-se-tue-en-partant-travailler-a-tignes

Saint-Marcel-de-Félines: la jeune fille grièvement blessée est décédée

L'automobiliste de 22 ans, grièvement blessé dimanche matin, après avoir perdu le contrôle de son véhicule sur la RN82 à hauteur de Saint-Marcel-de-Félines, est décédée dans la nuit de lundi à mardi.
Anaïs Bigay, 22 ans, la jeune fille originaire de Changy grièvement blessée dans un face-à-face dimanche matin à Saint-Marcel-de-Félines est décédée dans la nuit de lundi à mardi ont confirmé les gendarmes ce mardi matin.
Alors qu'elle circulait sur la RN82 dans le sens Roanne/Balbigny elle avait perdu le contrôle de son véhicule sur la chaussée humide avant de percuter une voiture arrivant en sens inverse.

http://www.leprogres.fr/loire/2011/12/20/saint-marcel-de-felines-la-jeune-fille-grievement-blessee-est-decedee

mardi 20 décembre 2011

Le corps d’un bébé découvert dans un congélateur à Vichy

Un nourrisson a été retrouvé congelé ce week-end à Vichy (Allier) dans une maison non loin du quartier de la gare. C'est le témoignage d'une proche de la famille qui a permis de faire cette macabre découverte. L'enfant dont le sexe est inconnu aurait été placé dans le congélateur familial, il y a au moins deux ans, selon les premiers éléments de l'.

Quant à l'âge de l'enfant, il reste indéterminé pour l'instant. Une femme a été placée en garde à vue.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/le-corps-d-un-bebe-decouvert-dans-un-congelateur-a-vichy-20-12-2011-1777095.php

Un mort dans un incendie à Besançon

Le pronostic vital de la maman du jeune homme décédé ce matin est engagé, a-t-on appris de source judiciaire.
Les deux victimes ont vraisemblablement été intoxiquées par les fumées de l’incendie qui s’est déclaré vers 10H30, a indiqué Arnaud Grécourt, substitut du procureur de Besançon.
Le jeune homme était dans sa chambre et sa mère, âgée de 57 ans, se trouvait dans une autre pièce de l’appartement situé au 7e et dernier étage d’un immeuble de Besançon, a-t-il précisé.
Un incendie survenu ce matin vers 10 h 30 dans un appartement a coûté la vie à un homme d'une petite trentaine d'années. L'homme était professeur d'anglais dans un lycée de la ville. Le feu a pris dans l'entrée de l'appartement situé au 7e étage d'un immeuble au n°21 de la rue Schlumberger dans le quartier de Saint-Ferjeux. Deux ouvriers travaillant au ravalement d'un immeuble voisin ont aperçu la fumée et donné l'alerte avant de se précipiter pour porter secours. L'un d'eux, pompier volontaire, a fait évacuer les voisins. A leur arrivée, les pompiers, après avoir rapidement maîtrisé les flammes, ont trouvé le professeur en arrêt cardio-respiratoire. Malgré les secours prodigués par les urgences, ce dernier est décédé. Par ailleurs, la mère de la victime, a été évacuée par la grande échelle et transportée au CHU. Elle avait été fortement intoxiquée par les fumées. L'origine de l'incendie est encore indéterminée. La victime partageait l'appartement avec sa maman, handicapée à la suite d'un accident cardiovasculaire.

Un artisan meurt écrasé par une voiture

Un accident tragique s'est déroulé à Audierne, dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3h du matin. Michel Baillot, âgé de 58 ans, est décédé après avoir été écrasé par une voiture conduite par un proche.
Alors qu'il effectuait une manoeuvre dans la propriété de la victime, le conducteur n'aurait pas vu son ami, a priori baissé pour récupérer son chien qui s'était niché sous la voiture. Les circonstances exactes de l'accident ne sont toutefois pas encore connues. L'enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie d'Audierne. Le conducteur, originaire du Sud-Ouest et venu passer quelques jours chez son ami, est «effondré», selon les mots du procureur de Quimper. L'homme a été placé en garde à vue. Michel Baillot habitait Audierne «depuis une trentaine d'années», d'après Henri Le Borgne, premier adjoint au maire, présent sur les lieux peu de temps après le drame. Artisan, il était marié et père de deux enfants.

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/finistere/audierne-un-artisan-meurt-ecrase-par-une-voiture-19-12-2011-1539895.php

lundi 19 décembre 2011

Elle tue son enfant de 3 ans et demi puis tente de se suicider

Une femme de 44 ans a tué son enfant de 3 ans et demi avant de tenter de se suicider lundi matin dans son appartement de Suresnes (Hauts-de-Seine), a-t-on appris de sources policières.

La mère de famille a expliqué aux enquêteurs avoir étouffé son petit garçon avant de se taillader les veines et la gorge. Elle a été transportée à l'hôpital mais son état de santé ne permettait pas pour l'instant aux enquêteurs de l'auditionner.

La police judiciaire des Hauts-de-Seine a été chargée de l'enquête.

Ils se souviennent de Larbi

C'était le 19 décembre 2001. Près d'une benne à ordures en lisière du quartier des Aubiers, un cri a déchiré la cité. Sous des planches, des jeunes viennent de retrouver le corps du jeune Larbi Fanousse, 10 ans, disparu depuis le 4 décembre. « La nouvelle s'est répandue en quelques minutes. Tout le quartier a accouru. Certains pleuraient, d'autres restaient silencieux. Dans ces moments-là, chacun fait ce qu'il peut avec sa peine », se souvient Hocine, un habitant du quartier (1).
Si les langues ne sont pas promptes à se délier, personne ici n'a oublié ce mardi de Ramadan du 4 décembre 2001. Larbi vendait des tickets de tombola pour son école. Il n'est jamais revenu.

Pendant quelques jours, le parquet de Bordeaux privilégie l'éventualité d'une fugue. Des témoignages indiquant avoir aperçu le garçon accréditeront cette thèse. Mais dans le quartier, peu d'habitants y croient. « Le petit, tout le monde le connaissait. Il était toujours avec son ballon de foot. Mais ce n'était vraiment pas le genre à traîner dehors ou à fuguer », poursuit Hocine. « Je sentais qu'il était près de moi. Il ne pouvait pas avoir fugué », dit aujourd'hui sa mère, Fatima.
Six jours plus tard, une information judiciaire est ouverte pour enlèvement et séquestration. « L'ouverture d'information a vraiment tardé. On pouvait avoir le sentiment que si cela avait été un enfant de la bourgeoisie bordelaise, les choses auraient été plus vite. Mais à la lecture du dossier, cela n'aurait hélas rien changé, puisqu'il est sans doute mort le jour de sa disparition », explique Me Sylvie Reulet, avocate des parties civiles.
« Un quartier maudit »
Très rapidement, le quartier se mobilise. « Dans une exceptionnelle dignité », soulignait il y a encore quelques semaines un élu bordelais. « Tout le monde cherchait Larbi, même des gamins de 12 ans. Puis une fois que le corps a été retrouvé, il fallait soutenir la famille. Certains donnaient de l'argent, de la nourriture, ou simplement des encouragements », raconte un habitant.
« Ce quartier est comme une famille. Si vous avez une joie ou un malheur, tout le monde est auprès de vous », ajoute Nadia, l'une des organisatrices des rassemblements de soutien à l'époque.
« Il faut dire que nous avions vécu une période marquée par de nombreuses morts violentes. On disait que le quartier était maudit. Certains en voulaient aux autorités, un commissariat avait même été brûlé. Il y avait beaucoup de colère, mais là, c'était trop. Personne n'aurait assumé que cela déborde », poursuit Hocine.
« Il semblait au spectacle »
Début janvier 2002, les investigations de la PJ de Bordeaux conduiront les enquêteurs à un dénommé Alain Diaz, 42 ans, résidant dans le quartier. Dans son appartement, les policiers découvrent des vêtements et du sang de l'enfant. Le sperme de Diaz sera également retrouvé sur la combinaison de chantier qui entourait la tête du petit.
Au cours de ses premières auditions, l'homme qui avait déjà un passé de délinquant sexuel reconnaît partiellement être l'auteur, avant de se rétracter.
Accusé de meurtre et d'agression sexuelle, il sera condamné une première fois à perpétuité par la cour d'assises de Bordeaux. La cour d'appel d'Angoulême confirmera le verdict en décembre 2004. Pendant les audiences, Diaz n'aura de cesse de nier.
« Il a livré cinq ou six versions différentes. Il semblait parfois au spectacle. Pour la famille, ça a été très dur », raconte Me Reulet.
« La justice est passée, je n'ai aucune colère contre elle. Mais j'aurais voulu savoir ce qui était arrivé à mon fils. Aujourd'hui, j'ai quitté les Aubiers, c'était trop dur de vivre là-bas. Je fais encore des nuits blanches et je me réveille en pleurant », lâche Fatima Fanousse.
Après l'autopsie, une cérémonie religieuse a été donnée aux Aubiers. « Je me croyais forte, jusque-là, nous avions tenu pour la famille. Mais quand j'ai vu Fatima découper une galette sur le cercueil de Larbi, selon la tradition marocaine, je me suis effondrée en sanglots », se souvient Nadia. Le corps de Larbi Fanousse a été rapatrié au Maroc. Il repose à Tiflet.
(1) Le prénom a été changé.
http://www.sudouest.fr/2011/12/19/ils-se-souviennent-de-larbi-585307-2780.php

Un Bénédictin de 84 ans retrouvé noyé à la Roucarié

Le barrage de la Roucarié a été le théâtre d'un drame hier matin. Vers 9 h 55, des pêcheurs qui s'adonnaient à leur loisir préféré ont aperçu un homme sauter dans l'eau depuis la digue, sur la commune de Trévien. Ils ont aussitôt alerté les secours. En attendant les sapeurs-pompiers, arrivés une vingtaine de minutes plus tard, ces pêcheurs ont essayé de porter secours à cette personne. Hélas, il était trop tard. C'est un corps sans vie, flottant à la surface du lac, que les sapeurs-pompiers d'Albi et de Carmaux ont repêché. Un médecin du Samu d'Albi a constaté le décès de cet homme de 84 ans. La victime, domiciliée à Saint-Benoît-de-Carmaux, avait laissé un mot dans sa voiture pour expliquer son geste. Le capitaine Jean-Claude Marangon, commandant en second de la compagnie d'Albi était sur place, avec les gendarmes de la communauté de brigades de Cagnac-les-Mines chargés des constatations habituelles. Triste loi des séries, jeudi après-midi, un Carmausin de 62 ans avait mis fin à ses jours au même endroit.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/18/1242787-un-benedictin-de-84-ans-retrouve-noye-a-la-roucarie.html

dimanche 18 décembre 2011

L'émouvant hommage à Christophe Dhainaut

Les gendarmes, les élus, les pompiers, la police municipale et la famille de Christophe Dhainaut étaient venus nombreux pour lui rendre hommage. Gendarme auxiliaire, il a perdu la vie à l'âge de vingt ans dans un accident de la circulation le 15 décembre 1988 sur la route de Villaudric.
Une stèle est érigée en son honneur en face du lycée Pierre-Bourdieu, lieu de l'accident. Le commandant de compagnie de Toulouse Saint-Michel Bardy, le chef de brigade et les gendarmes de Fronton ainsi que l'ancien chef de brigade de l'époque, Emilien Bombail, et le gendarme Josse présent ce jour-là aujourd'hui à la retraite étaient venus assister à la cérémonie.
Deux gerbes sont alors déposées, la première par la municipalité et la seconde par la gendarmerie. Le major Jean-Luc Consil, les sapeurs pompiers, Marie-Hélène Champagnac, maire de Fronton, les élus de la commune et les proches de Christophe Dhainaut, assistaient à cette émouvante cérémonie.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/18/1242609-fronton-l-emouvant-hommage-a-christophe-dhainaut.html

Drame au large de l'Indonésie. 200 Afghans et Iraniens noyés

Un vieux chalutier transportant quelque 250 Afghans et Iraniens a sombré au large de l'île indonésienne de Java, causant certainement la mort de la plupart de ces immigrants qui rêvaient d'atteindre l'Australie.
Cette nouvelle tragédie --un an après le chavirage d'un autre bateau d'immigrants en partance pour l'Australie-- a suscité une vague d'indignation chez les associations australiennes d'aide aux réfugiés, qui contestent la politique d'immigration de leur pays.
Dimanche, au lendemain du naufrage, les secours avaient récupéré 33 passagers --30 hommes, une femme et deux enfants-- malgré de forts courants et des vagues hautes de cinq mètres, a indiqué à l'AFP Kelik Purwanto, un membre des opérations de sauvetage du district de Trenggalek.
Quant aux autres, "il est très probable qu'ils soient tous noyés", a déclaré le porte-parole de l'Agence nationale des secours, Gagah Prakoso. "Nous avons envoyé quatre bateaux et deux hélicoptères, mais nous n'avons aperçu personne".
Déjà, en décembre 2010 le naufrage d'une cinquantaine d'immigrants
En décembre 2010, une cinquantaine d'immigrants irakiens et iraniens avaient péri dans le naufrage de leur embarcation, partie des côtes indonésiennes pour l'île Christmas.
Ce petit territoire abrite le principal centre de rétention d'Australie, où sont placés les demandeurs d'asile arrivant par bateau, pendant l'examen de leur dossier.
Malgré leur faible nombre (6.800 en 2010, bien moins en 2011), les immigrés arrivant en bateau sont devenus un sujet épineux, sucitant des débats houleux au sein de la population et de la classe politique australiennes.
Les arrivants sont en grande majorité des Afghans, Iraniens, Irakiens ou Kurdes.

Carambolage entre quatre voitures: un homme meurt carbonisé

Drame de la route, hier, à 20h20. Un grave accident impliquant quatre voitures a eu lieu sur la route de Nyons, la D941, à Valréas. Neuf personnes ont été impliquées dans cette collision tragique. L’une a perdu la vie, carbonisée dans sa voiture, immatriculée en Savoie.
Cet homme en effectuant un dépassement a accroché la voiture venant en face. A bord de celle-ci, une mère et quatre enfants en bas âges. La conductrice sera conduite sur Orange, les petits s’en sortiront indemnes. L’homme percute ensuite de face la voiture qui suit celle la mère de famille. Cette seconde collision lui a été fatale. Sa voiture, sous le choc, a pris feu.
Les gendarmes de Valréas, le PSIG d’Orange, les pompiers de Valréas et de Bollène ainsi que le service départemental des routes se sont aussitôt rendus sur place. Mais ils ont trouvé le véhicule de la victime complément calciné et n’ont pu faire pour sauver le conducteur. La circulation a été bloquée plus de trois heures.


http://www.ledauphine.com/vaucluse/2011/12/18/carombolage-entre-quatre-voitures-un-homme-meurt-carbonise

La Turbie : un octogénaire sauvé du suicide

Un octogénaire niçois a été empêché de se suicider par des gendarmes hier matin à La Turbie sur l'aire d'autoroute de la Scoperta.
Les militaires du peloton autoroute de Nice étaient en patrouille de surveillance générale vers 1 h 00 lorsqu'ils ont vu cet homme dans sa voiture avec un sac en plastique sur la tête pour l'empêcher de respirer.
En s'approchant de plus près, ils ont constaté la présence dans le véhicule d'une bouteille de gaz ouverte. Encore quelques minutes et le malheureux aurait été retrouvé mort.
Ils ont fermé le gaz, ôté le sac plastique et appelé les sapeurs-pompiers.
Par chance, il était encore assez tôt pour le sauver et l'octogénaire a repris ses esprits à l'hôpital Saint-Roch où il a été conduit.

http://www.nicematin.com/article/la-turbie/la-turbie-un-octogenaire-sauve-du-suicide.716336.html

samedi 17 décembre 2011

Un lycéen sarthois tué par un train

Le drame s'est produit en gare d'Écommoy, vendredi. Une petite gare où il faut traverser les voies pour rejoindre la sortie.
L'accident mortel qui est arrivé vendredi, à 15 h 15, en gare d'Écommoy (Sarthe), va rappeler de tristes souvenirs aux habitants de la commune. Un lycéen de 17 ans a été tué par un train de marchandises alors qu'il sortait du TER Tours-Caen.
Comment un tel accident a pu arriver ? À son terminus, le jeune garçon est sorti sur le quai de la voie 1. Puis il a traversé les voies pour sortir de la gare. Un passage obligé dans cette petite gare sarthoise. C'est à ce moment-là qu'il a été heurté par le train de fret Le Mans - Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire).
Déjà, en avril 1997, un autre lycéen de seconde avait perdu la vie de la même manière. Après ce drame, des travaux d'aménagement avaient été réclamés par la municipalité et avaient été réalisés. Des « signaux piétons lumineux » avaient été mis en place, afin d'autoriser ou d'interdire la traversée des voies en fonction du trafic des trains.
Hier, le jeune lycéen a-t-il vu les signaux lumineux lorsque le train de marchandises est arrivé ? Les lumières ont-elles fonctionné normalement ? À ces questions, l'enquête de gendarmerie devrait apporter des réponses dans les jours qui viennent.
Domicilié à Saint-Gervais-en-Belin, l'élève du lycée professionnel de Château-du-Loir a été tué sur le coup. Choqué, son père, qui l'attendait dans sa voiture, sur le parking, a dû être pris en charge par les pompiers.

Chute mortelle dans une chapelle de Nice

La confrérie très soudée des pénitents rouges de Nice est sous le choc. L'un de ses membres, un homme de 39 ans, a en effet trouvé la mort dans la chapelle du Saint-Suaire, à Nice, qui appartient à la confrérie.
Le malheureux était en train de procéder à une inspection dans les combles dans le cadre de travaux lorsqu'il a chuté d'une dizaine de mètres de hauteur. Il s'est écrasé sur des bancs dans la nef et a été tué sur le coup.
L'accident est survenu en fin d'après- midi mercredi soir, mais le drame n'a été découvert que dans la soirée de mercredi par un autre membre de la confrérie venu prier.
La confrérie des pénitents rouge est une association caritative datant du 16 ème siècle et dont le but est de faire "oeuvre de miséricorde". Elle compte environ 80 membres

http://www.nicematin.com/article/derniere-minute/chute-mortelle-dans-une-chapelle-de-nice.715114.html

vendredi 16 décembre 2011

Chute du 7e étage : fillette tuée à Vandoeuvre

Une fillette de 4 ans est morte en début d'après-midi à Vandoeuvre-lès-Nancy. Selon un témoin, la fillette aurait fait une chute depuis le 7e étage d'un immeuble situé rue d'Amsterdam. Selon les premiers éléments, la chute aurait eu lieu alors que la fillette était sous la garde de sa tante, laquelle est entendue dans les locaux de la Sureté départementale, à l'Hôtel de Police de Nancy. Les circonstances précises du drame reste pour l'instant totalement inconnues.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2011/12/16/chute-du-7e-etage-fillette-tuee-a-vandoeuvre

Frappé à mort dans un bus à Marseille, sous les yeux des passagers

Terrible fait divers que rapporte aujourd’hui La Provence. Lundi à Marseille, un homme de 70 ans est mort roué de coups dans un bus par une femme d’une trentaine d’années. Sous les yeux des passagers qui, après un moment de stupéfaction devant un tel déchaînement de violence, ont fini par intervenir.
Une histoire de place dans le bus ?

La victime a été prise à parti par la trentenaire vers 17 h 30 pour une raison encore floue. Peut-être une histoire de place. Après avoir empoigné le vieil homme souffrant de troubles respiratoires à l’intérieur de l’autobus, la jeune femme s’est acharnée sur lui sur le trottoir.
Le septuagénaire est décédé à l’hôpital. La suspecte a été interpellée et placée en garde à vue. Selon nos confrères, elle avait déjà été arrêtée, notamment pour avoir frappé sa voisine avec un extincteur.
http://www.midilibre.fr/2011/12/16/frappe-a-mort-dans-un-bus-a-marseille,431319.php

Un reportage télé sur le drame

Le dramatique accident creillois sera bientôt sur le petit écran. Une maison de production d’une chaîne de télévision a effectivement entrepris de réaliser un reportage sur l’accident. « Ils m’ont contacté vendredi dernier, relate Jean-François Dray, le fils de la victime. La chaîne de télévision cherche à faire un reportage général sur la violence routière et l’installation de radars en .
Ici, ils ont pu voir les conséquences d’un tel drame. »

A la sortie de l’audience, dans la salle des pas perdus, les caméras se sont donc braquées sur les deux parties dans une atmosphère tendue. Une reconstitution de l’accident avait été effectuée le matin même dans le centre-ville de Creil.


Polémique après l'accident mortel d'Alexis Maraval

Encore une jeune vie fauchée sur une route du Tarn. Celle d'Alexis Maraval, 19 ans, auquel un dernier hommage a été rendu hier matin, dans son village de Cunac. Le dramatique accident survenu samedi soir à Lescure-d'Albigeois, rappelle de bien mauvais souvenirs aux riverains et aux usagers de cette départementale 97 qui relie Arthès au hameau du Pélencas, sur la commune de Lescure. Lucie, une écolière de 10 ans, y avait été mortellement fauchée par une voiture en descendant du bus, le 6 décembre 2007. Depuis, l'abribus a été déplacé et sécurisé.
Insuffisant pour certains. « À quand un aménagement de cette route qui a déjà fait 2 morts ? C'est un tronçon de route départementale qui se trouve « en agglomération » (75 maisons environ), il y a beaucoup de trafic, la vitesse est limitée à 70 km/h avec autorisation de doubler alors que les gens qui descendent du bus la traversent toujours. Il y a 4 ans, il avait été promis par les autorités de la commune que cette portion-là serait aménagée comme sur Arthès avec limitation à 50, mais toujours rien », regrettent Laurent et Marie sur ladepeche.fr. Claude Julien, le maire de Lescure, juge cette « polémique inutile ». « C'est une route départementale hors agglomération, qui n'est donc pas de la compétence communale. Il n'est pas possible de créer une zone 30 ni même de limiter la vitesse à 50 puisqu'on n'est pas en agglomération. Il y a 2,5 km limités à 70 : à cette vitesse on peut très bien faire attention ». Pour le maire, « l'accident de samedi soir n'a rien à voir avec celui de 2007 : ce n'était pas au même endroit et le stop du chemin des Gourgues est éclairé. Si on respecte la vitesse, il n'y a pas de problème. » Alors que certains témoins évoquent la présence d'une 2e moto, l'enquête du commissariat d'Albi devra établir les responsabilités, notamment celle du chauffeur du bus de la C2A qui redémarrait du stop et que la moto n'a pu éviter. Avec les conséquences irréparables que l'on sait.
http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/14/1239109-polemique-apres-l-accident-mortel.html

jeudi 15 décembre 2011

Un agent EDF décède d’un malaise

Le PGHM est intervenu, hier, vers 10 h 30, sous la gare d’arrivée du téléphérique de La Meije. Un agent d’EDF Grenoble a été victime d’un malaise alors qu’il effectuait des relevés nivologiques, vers 2 900 mètres d’altitude. Il était accompagné de plusieurs autres agents, qui ont tenté une réanimation. Là-haut, les conditions météorologiques étaient difficiles, avec du vent et de la neige. Cinq secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne de Briançon et un médecin du Smur sont donc partis à La Grave, en voiture. Ils ont ensuite pris en téléphérique pour accéder sur place, mais n’ont pu que constater le décès de cet homme, âgé de 45 ans. Les secouristes ont redescendu la victime par le téléphérique. Sur place également, les patrouilleurs et des gendarmes de la brigade de La Grave.

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2011/12/14/sortie-de-route-a-cause-du-verglas

Liège: Le bilan de la tuerie s'alourdit à cinq morts

Cette cinquième victime, sans compter le tueur qui s'est suicidé, était âgée de 75 ans, et était dans un état critique depuis mardi...
Le bilan de la tuerie de Liège, en Belgique, s'est alourdi avec le décès d'une cinquième personne. La cinquième victime est une femme de 75 ans, qui était dans un état critique depuis mardi, rapporte le journal La Meuse.
Cette femme, très grièvement blessée lorsque Nordine Amrani a lancé trois grenades et tiré sur la foule mardi à la mi-journée sur la principale place de la ville, est décédée dans la nuit de mercredi à ce jeudi à l'hôpital de la Citadelle, précise le quotidien.

Une trentaine de personnes toujours hospitalisées

Ce décès vient s'ajouter à ceux de deux adolescents de 15 et 17 ans, d'un bébé de 17 mois et d'une femme de 45 ans, dont le corps a été retrouvé après une perquisition chez le tireur. Ce dernier s'est suicidé mardi, en se tirant une balle dans la tête, après avoir lancé les grenades.
Sur plus de 120 personnes blessées mardi, une trentaine serait toujours soignée ce jeudi matin dans des hôpitaux de la région liégeoise, selon l'agence Belga
http://www.20minutes.fr/monde/843168-tuerie-liege-bilan-alourdit-5-morts

Suicide d'un détenu à Orléans

Un détenu de 56 ans s'est suicidé par pendaison dans la nuit de mercredi à jeudi à la maison d'arrêt d'Orléans, a-t-on appris auprès de la direction. L'homme, qui avait été placé en détention provisoire en début d'année dans une affaire de viol, a été retrouvé pendu avec des lacets à 07H00, dans la cellule qu'il occupait seul, selon cette source. Le détenu a laissé une lettre expliquant qu'il ne supportait plus son enfermement. Le précédent suicide dans cet établissement de quelque 200 détenus remontait à 2005, selon la direction.

Incendie: un pensionnaire responsable?

L'incendie d'une maison de retraite, qui a fait six morts cette nuit à Marseille, a été provoqué accidentellement par un pensionnaire de 75 ans qui tentait d'ouvrir un paquet de bonbons avec un briquet, a annoncé le parquet. Selon les premiers éléments, "l'occupant de la chambre où l'incendie s'est déclaré a indiqué qu'il avait essayé d'ouvrir un sachet de friandises fermé par un ruban avec son briquet. Le sachet et son lit se sont enflammés", a expliqué lors d'une conférence de presse le procureur adjoint de la République de Marseille, Christophe Barret.

Cet homme "est en cours d'audition dans la mesure où son état de santé le permet", a-t-il dit, précisant qu'il ne disposait pas de toutes ses facultés mentales. Selon le procureur adjoint, les conclusions de la dernière commission de sécurité, qui avait visité l'établissement le 5 janvier 2011, "ne faisaient pas ressortir d'éléments inquiétants". "Les systèmes d'alarme et de sécurité semblent avoir bien fonctionné", a-t-il ajouté. L'enquête, confiée à la police judiciaire, devra également déterminer si la réglementation était respectée en terme de personnel. "Il y avait quatre personnes pour 183 pensionnaires. A priori c'était l'effectif normal pour une nuit", a souligné le procureur adjoint.

L'incendie s'est déclaré vers 2h30 au 3e étage de cet établissement privé baptisé "Les Anémones", dans le quartier de Saint-Julien (12e arrondissement). Six pensionnaires - des femmes âgées de 51 à 93 ans - sont mortes intoxiquées dans le sinistre, qui a fait également 13 blessés dont trois graves, une femme de 91 ans et deux hommes de 77 et 85 ans. Selon l'Assistance publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM), jointe par l'AFP, une de ces victimes se trouvait en réanimation à l'hôpital de la Conception avec un pronostic vital engagé.

Une autre a été conduite aux urgences de l'Hôpital Nord où son état n'inspirait plus d'inquétude et une 3eme a été admise dans un établissement ne relevant pas de l'AP-HM, a précisé cette dernière. Selon Christophe Barret, ces trois pensionnaires ne se trouvaient pas dans les chambres les plus proches du départ du sinistre.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/12/14/97001-20111214FILWWW00354-incendie-un-pensionnaire-responsable.php

mercredi 14 décembre 2011

Lyon : écrasé contre un arbre en voulant arrêter son fourgon

Un chauffeur livreur est décédé, ce mardi matin, des suites de ses blessures après avoir été écrasé entre un platane et l’arrière de son fourgon frigorifique, stationné sur un parking légèrement en pente.
Le drame s’est produit ce mardi matin vers 8h30, rue Joliot-Curie, dans le 5e arrondissement de Lyon. Un chauffeur-livreur de 35 ans a perdu la vie alors qu’il s’apprêtait à décharger des denrées alimentaires.
L’homme, de nationalité moldave, avait stationné son camion frigorifique sur un parking légèrement en pente. En se dirigeant vers l’arrière du fourgon, il réalise que celui-ci commence à reculer. Il tente alors de le stopper mais celui-ci prend de la vitesse.
En s’agrippant à son véhicule, le malheureux livreur se retrouve coincé contre un platane où l’arrière du fourgon vient l’écraser. Grièvement blessé au thorax et à la tête, la victime est décédée des suites de ses blessures.

http://www.leprogres.fr/rhone/2011/12/13/lyon-ecrase-contre-un-arbre-en-voulant-arreter-son-fourgon

Marseille : incendie dans une maison de retraite, mort de 6 pensionnaires

Le sinistre s'est déclenché dans la nuit de mardi à mercredi. Un incendie a ravagé la maison de retraite Les Anémones, à Marseille, causant la mort de six pensionnaires par intoxication, selon la préfecture. Les six personnes décédées sont des femmes, a indiqué Caroline Pozmentier, adjointe au maire de Marseille chargé de la sécurité et de la prévention de la délinquance. "Le personnel est en véritable état de choc", a-t-elle ajouté. Pour l'heure, les pompiers ont pris en charge 15 personnes intoxiquées dont trois plus gravement qui ont été transportées à l'hôpital, selon la préfecture.

L'incendie a débuté dans une chambre du troisième étage et non du quatrième étage comme indiqué par erreur dans un premier temps. Ces deux étages ont été évacués, selon la préfecture. Le "feu extrêmement violent", selon le procureur adjoint de la République de Marseille, Christophe Barret, qui s'est rendu sur place, s'est rapidement propagé au couloir attenant. C'est dans cette partie de l'immeuble que six résidentes, des personnes à capacité réduite qui "ne pouvaient pas se mouvoir", selon M. Barret, ont trouvé la mort, intoxiquées par les fumées de l'incendie. "Le feu semble avoir pris dans une chambre qui a été entièrement ravagée par les flammes", a-t-il dit. Au total, 180 personnes sont hébergées dans cette maison de retraite et seule une partie d'entre elles a dû être évacuée.
Bachelot sur place
Le feu a été maîtrisé par les marins-pompiers qui ont déployé sur place 80 hommes et 28 véhicules. Selon M. Barret, "le bilan aurait pu être encore plus lourd", sans l'alerte  et l'intervention rapides des marins-pompiers de Marseille qui sont arrivés sur les lieux seulement 8 minutes après avoir été appelés. Ils ont pris en charge les blessés, précise encore la préfecture, ajoutant que le préfet délégué pour la sécurité, Alain Gardère s'est rendu sur place.

Une enquête a été ouverte et confiée à la police judiciaire pour déterminer les causes de l'incendie. Parmi celles-ci, le maire des 11e et 12e arrondissements de Marseille, Robert Assante, a évoqué mercredi matin l'éventualité que le pensionnaire de la chambre d'où est parti l'incendie se soit "servi d'un briquet pour ouvrir un sac". "La question que je me pose c'est comment les gaz toxiques ont pu se développer aussi rapidement. Il faudra éventuellement changer les règles" de sécurité, a ajouté le maire de secteur. Selon LCI, c'est une cigarette mal éteinte qui serait à l'origine du drame.

Cette maison de retraite est un établissement privé, médicalisé, agréé et conventionné par l'aide sociale, "installé dans un cadre calme, tranquille au pied du village de Saint-Julien", qui accueille des personnes valides, semi-valides et dépendantes dans des unités spécifiques, selon le descriptif de son site internet. La ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, doit se rendre sur place en début d'après-midi, a annoncé son cabinet

Une sexagénaire violée dans sa cuisine par son voisin

C’est une personne en qui elle avait confiance. Une connaissance de voisinage plus qu’un ami. De temps à autre, ils prenaient un café ensemble dans cet immeuble du quartier des Etats-Unis. Rien de plus. Cette Lyonnaise âgée de 60 ans ne s’est jamais méfiée de ce quinquagénaire. Et lundi, quand elle entend frapper à sa porte peu avant 8 heures du matin, elle ouvre sans crainte. Elle se rend dans sa cuisine pour mettre sa cafetière en route. Son voisin a une autre idée en tête. Soudain, il lui saute dessus. « Il est devenu comme fou », confiera-t-elle aux policiers.

« Mon fils a perdu la tête » dira la mère de l’agresseur

Il la gifle violemment sur plusieurs parties du corps, la menace, la terrorise puis lui impose une fellation. Mais il n’en a pas fini avec sa victime et a d’autres projets. Il veut récupérer dans son appartement, une vidéo pornographique.
Pour pouvoir agir sans être inquiété, il lui attache les mains avec deux collants trouvés sur place puis lui met une pièce de tissu dans la bouche pour l’empêcher de crier. Il trouve ensuite un fil de téléphone et s’en sert également comme lien. Il détale ensuite en laissant sa voisine effondrée sur le sol de la cuisine. Dès qu’il a le dos tourné, elle se tortille et parvient à se libérer. Elle se précipite sur la porte, se verrouille et appelle les secours. Elle tente également un autre appel. Cet homme a une mère qu’elle connaît. Elle la contacte et lui raconte ce que son fils lui a fait subir. Justement, le quinquagénaire s’est réfugié au domicile maternel. « Mon fils a perdu la tête », dira-t-elle. Elle le convainc de retourner chez lui.
C’est là que les policiers de la brigade départementale de protection de la famille viendront l’arrêter. L’homme a reconnu les faits tout en tenant des propos confus ; il a été présenté au parquet hier. L’expert qui a observé le mis en cause n’a pas constaté de problèmes psychiatriques.

Un couple de personnes âgées séquestré à Houilles

Un couple de personnes âgées a été séquestré dans la nuit de lundi à mardi à Houilles (Yvelines). Cette nuit, vers 3 h 30 du matin quatre malfaiteurs encagoulés et ont fait irruption dans un pavillon situé à la limite de Sartrouville. Les voleurs ont menacé le couple avec des armes de poing avant de les ligoter avec des liens en plastique. 

Les malfaiteurs sont restés près de deux heures sur les lieux et se sont emparés de cartes bancaires avant d’en extorquer les codes. Ils ont aussi pris les chéquiers et de l’argent liquide. Le préjudice n’a pas encore été évalué mais s’élève sans doute à plusieurs milliers d’euros. L’équipe a pris la fuite après avoir vu une voiture avec gyrophare passer dans la rue. Les enquêteurs de la DRPJ de Versailles sont chargés de l’enquête

http://www.leparisien.fr/faits-divers/un-couple-de-personnes-agees-sequestre-a-houilles-13-12-2011-1766477.php

mardi 13 décembre 2011

Fauchée par une voiture, Paulette Monteil est décédée

La victime avait été transportée dans un état grave à l'hôpital de Figeac. Quelques instants après son admission, dimanche, Paulette Monteil est décédée. Dimanche matin, elle a été fauchée par un automobiliste, devant chez elle, avenue Jean-Jaurès, alors qu'elle sortait de son véhicule. Le conducteur qui avait pris la fuite, a finalement été interpellé par le plan Épervier déclenché par la gendarmerie.
Joviale et dynamique, cette retraitée figeacoise âgée de 80 ans, avait passé une sympathique soirée, samedi, avec des amis à Lacapelle. Ce dimanche midi, tous l'attendaient au repas de Noël des aînés, à l'espace Mitterrand. Ancienne secrétaire de direction à EDF, Paulette Monteil, née Granouillac, était appréciée, notamment au club du 3e âge de Figeac où elle participait aux animations et aux quines. « C'était une femme élégante, raffinée », disent d'elle ses amis.

http://www.ladepeche.fr/article/2011/12/13/1238409-fauchee-par-une-voiture-paulette-monteil-est-decedee.html

Lorette : un homme de 50 ans se jette sous un train

Ce lundi, peu avant 19 heures, un homme de 50 ans s'est suicidé en se jetant sous un train sur la ligne de TER Part-Dieu Saint-Etienne à hauteur de Lorette. Le trafic a été interrompu dans les deux sens en attendant la levée du corps.
Le train 886 741, qui devait arriver en gare de Châteaucreux à 19h10, s'est arrêté 200 mètres plus loin.
Les 250 voyageurs ont été pris en charge par la SNCF au moyen de 7 cars, 4 affrétés au départ de Saint-Etienne et 3 au départ de Rive-de-Gier.
Le conducteur a été relevé pour la soirée et pourra avoir recours à un suivi psychologique si besoin.


http://www.leprogres.fr/loire/2011/12/12/lorette-un-homme-de-50-ans-se-jette-sous-un-train

Le drame du Breuil était un accident

Les premiers résultats de l'enquête sur ce drame qui a coûté la vie à 4 personnes à un passage à niveau réfutent la thèse du suicide.
Selon Le Progrès, la thèse de l'accident est donc retenue par les enquêteurs. Le procureur de la République de Villefranche a par ailleurs indiqué que les tests d'alcoolémie sont négatifs sur le chauffeur du TER et sur l'automobiliste. Le 4 décembre, la voiture de la famille Gutty avait été fauchée par un TER sur un passage à niveau non protégé. Le père de famille et ses 3 enfants sont morts sur le coup, la mère est toujours hospitalisée à Villefranche.


http://www.google.fr/url?sa=t&rct=j&q=drame&source=newssearch&cd=1&ved=0CDAQqQIwAA&url=http%3A%2F%2Fwww.lyonmag.com%2Farticle%2F32536%2Fle-drame-du-breuil-etait-un-accident&ei=bmDmTr3dKoizhAeR4YzSAQ&usg=AFQjCNGlGv3deVzCXqww3mNyqUe-Kz-D7Q&sig2=wj6wo9j15KqO96P_AIv1zg