vendredi 31 août 2012

Haute-Vienne-avion : accident mortel

Deux personnes sont décédées vendredi après-midi dans l'accident d'un avion de tourisme sur la commune de Saint-Junien en Haute-Vienne, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Les victimes et l'appareil n'avaient toujours pas été identifiées vendredi en début de soirée, a ajouté le commandant François-Marie Bailly, du groupement de la gendarmerie de la Haute-Vienne.
 

Un cyclosportif meurt fauché par une voiture

Une très violente collision a coûté la vie, hier, à Jean-Claude Sant, 58 ans, une personnalité bien connue du monde sportif ardennais.
UN accident mortel s'est produit hier après-midi, peu avant 16 heures, sur la RD34 reliant Vrigne-Meuse et Nouvion-sur-Meuse.
En pleine ligne droite, une petite dizaine de cyclosportifs, licenciés dans un club carolomacérien, se dirigeaient vers cette dernière commune lorsqu'un membre de ce groupe a été percuté frontalement par une voiture roulant dans la direction opposée, vers Vrigne-Meuse.
Le choc a été si violent que le cycliste a été tué sur le coup après avoir rebondi sur le pare-brise. La conductrice de la Renault Clio, légèrement blessée, a été évacuée par le Smur vers le centre hospitalier de Manchester.
Elle sera auditionnée dans les prochaines heures sur les circonstances de l'accident. Hier soir, les cyclotouristes témoins du drame étaient tour à tour entendus par les gendarmes.

Nettes traces de freinage
D'après les premières constatations effectuées par les militaires, la collision se serait produite au moment où la victime, alors en queue de groupe, tentait de revenir à hauteur de quelques-uns de ses camarades de sortie. L'emplacement des traces de freinage, droites et nettes, laissées sur le bitume par la Clio permet de penser que le cycliste aurait fini par se déporter légèrement sur l'autre voie.
Rapidement, des membres de la famille de la victime se sont rendus sur place afin de l'identifier formellement : il s'agit de Jean-Claude Sant, un homme de 58 ans qui habitait à Saint-Marcel, à proximité de Charleville-Mézières. Retraité de la DDE, cet adepte du triathlon et de l'aviron était une personnalité reconnue dans le monde du sport ardennais.
Son fils avait ainsi été champion du monde junior d'aviron en 2001 et membre de l'équipe de France jusqu'en 2007.
Le week-end dernier, Jean-Claude Sant, qui partageait ses journées avec son épouse également retraitée, avait assisté au mariage d'une de ses deux filles.
À cette occasion, il avait évoqué différents projets, parmi lesquels sa participation au prochain Sedan-Charleville et son envie de goûter à nouveau aux joies du triathlon.
Un membre du club nautique de Charleville-Mézières le décrivait comme « une personne extrêmement gentille, qui n'avait jamais un mot plus haut que l'autre et qui était toujours partant pour rendre service ».
Ce nouveau drame de la route porte à douze le nombre de personnes décédées sur les routes ardennaises depuis le début de l'année.


http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-cyclosportif-meurt-fauche-par-une-voiture

Décès d'un plongeur dans le Var

Un plongeur de 42 ans est mort ce matin au large de Cavalaire, sur la côte varoise, annonce le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée (Cross-Med).

Dans un communiqué, le Cross-Med dit avoir été alerté à 09h15 par le support de plongée Maeva, alors situé au large de Cavalaire, qu'un homme qui venait de débuter une plongée était victime d'un malaise.

Un médecin à bord a alors pratiqué un massage cardiaque sur le plongeur inconscient. A terre, les tentatives de réanimation du Service mobile d'urgence (Smur) sont restées vaines et le décès a été constaté peu avant 11heures.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/31/97001-20120831FILWWW00483-deces-d-un-plongeur-dans-le-var.php

Loire : un homme tué par la foudre

Un homme d'une quarantaine d'années a été mortellement frappé aujourd'hui par la foudre à La Ricamarie (Loire), près de Saint-Etienne, selon les pompiers.

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme se trouvait apparemment seul dans un pré au moment où il a été foudroyé, selon la police qui n'a pas donné de plus amples précisions.

Le Samu est intervenu pour tenter, sans succès, de ranimer la victime qui est décédée peu avant 09 heures


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/31/97001-20120831FILWWW00458-loire-un-homme-tue-par-la-foudre.php

Renversée en Guadeloupe

La douleur de son papa, Dominique Perrey, est d’autant plus forte que Mélanie l’avait contacté pour lui dire sa joie d’être arrivée sur le sol de l’île papillon. « C’était la première fois qu’elle prenait l’avion ».
La jeune infirmière, qui devait fêter ses 24 ans le 5 septembre prochain, vivait à Faverney, un bourg situé au nord de Vesoul. Elle l’avait quitté pour se rendre en Guadeloupe en compagnie de son ami, Frédéric Deberton. Et était arrivé à l’aéroport de Pointe-à-Pitre le 18 août dernier.
Mauricienne par sa mère, la jeune femme était très heureuse de connaître pour la première fois les parfums d’une île. Mais les oiseaux de paradis l’ont trop vite emmenée avec eux. Deux jours après être arrivée en Guadeloupe, c’est le 20 août que la jeune femme est victime d’un accident. Dans une rue non éclairée, à 23 h, elle est percutée par un automobiliste qui ne l’avait pas vue. Transportée dans un état grave au centre hospitalier des Abymes, elle ne survivra pas à ses blessures qui l’emporteront le 21 août au matin. Hier, près de dix jours après son décès, sa dépouille était attendue par sa famille à Vesoul.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/08/30/renversee-en-guadeloupe

DOULLENS (80) L'accident qui avait fait deux morts jugé en octobre

la demande de l'avocat du prévenu, maintenu en détention, le procès de l'homicide involontaire qui avait endeuillé le Doullennais en décembre 2011 a été renvoyé.
Gaëtan Briois n'avait pas d'illusions quant à son maintien en détention, hier. Le procureur Éric Boussuge avait tué le débat dans l'œuf en résumant l'opinion générale: «La question de la détention ne se pose même pas». Commentaire de Briois, 34ans: «Je sais bien que mon casier est chargé...»

Il compte précisément onze mentions, réparties en un peu plus de dix ans, dont neuf concernent des délits routiers, conduite en état alcoolique et circulation sans permis ni assurance essentiellement.

En juin 2003, déjà, le Courrier picard consacrait un article à l'une de ses comparutions et notait: «Une succession de suspensions et d'annulations de permis émaille le parcours de ce conducteur de Lucheux. C'est même de notoriété publique ». À l'époque, déjà, Gaëtan Briois avait été condamné à de la prison ferme.

Le soir du 12décembre2011, il sort d'une soirée qu'on qualifiera d'inondée plutôt que d'arrosée. Les gendarmes le contrôleront en effet avec 3,04 grammes d'alcool dans le sang.

Sur la départementale 5, entre Doullens et Grouches, Briois conduit sans permis sa Peugeot 605 qui n'est pas assurée. Ses amis ont bien tenté de le dissuader en constatant son état déplorable mais il est passé outre.

Il roule vite, et se déporte fatalement vers la gauche pour percuter de plein fouet une Mercedes 190 dans laquelle ont pris place deux habitants de Grouches-Luchuel, un village à trois kilomètres de Doullens, Marie-Louise Degardin, 49ans, et Guy Avisse, 60 ans. Le couple est tué sur le coup.

Quand les secours interviennent, il est bien difficile de déterminer qui conduisait la 605, de Gaëtan Briois ou de son copain Lucien, 31ans, un habitant de Brévillers, lui aussi alcoolisé.

Les pieds de Briois sont sur les pédales mais sa tête côté passager; les jambes de Lucien sous la boîte à gant mais sa tête a roulé vers le volant.

Gaëtan Briois voit tout le parti qu'il peut tirer de la confusion: il accuse son ami d'être l'auteur de l'accident mortel. Il faudra des mois d'enquête et même le recours à une analyse ADN pour le confondre.

À présent, il est seul face à ses responsabilités. En prison, il travaille à l'atelier et voit un psychologue. La présidente Grévin l'interroge: «Il apparaît que vous avez une relation pathologique avec l'alcool. Êtes-vous suivi pour ça?» Réponse du prévenu : «Non, en maison d'arrêt, il y a une longue liste d'attente...»

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/L-accident-qui-avait-fait-deux-morts-juge-en-octobre

Un ado chute de 6 mètres en voulant aider un enfant

Samedi soir vers 21 heures, Younès Bounadja, un jeune garçon de 15 ans connu dans le quartier des Izards a été victime d'un grave accident. Il avait aperçu un enfant de 6 ans en train d'escalader les grilles d'une cour aux abords de la bibliothèque des Izards pour récupérer un ballon de football. Younès a interdit à l'enfant de monter aux grilles, jugeant ce geste dangereux. Devant l'insistance du petit garçon, il a décidé d'aller lui-même récupérer la balle. Arrivé au sommet de cette grille, Younès a perdu l'équilibre et fait une chute de six mètres environ, à quelques centimètres de deux bancs en acier. Les secours sont intervenus très vite pour porter assistance au jeune homme qui souffre de cinq fractures du visage, d'un enfoncement de la boîte crânienne et qui s'est brisé les deux poignets ainsi que les deux avant-bras. Après deux jours de coma, il est maintenant pris en charge à l'hôpital de Purpan ou selon les dires de sa famille, il est très bien soigné. Pour des habitants du quartier, cet accident pose le problème de ce grillage haut de plusieurs mètres qui entoure cette cour située derrière la bibliothèque des Izards. Pourquoi cette cour fermée et grillagée n'est-elle pas fermée à son sommet ? La mère de l'adolescent ne comprend pas et veille son fils jour et nuit depuis l'accident. Younès va être bientôt opéré mais il lui faudra beaucoup de temps pour retrouver la pleine possession de ses moyens… «Et heureusement qu'il a empêché de laisser monter le petit garçon» confie en pleurs sa mère.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/31/1429221-toulouse-un-ado-chute-de-haut-et-souffre-de-multiples-fractures.html

Loire-Atlantique. Un jeune de 22 ans décède dans un accident de la route

Mercredi, à 22 h 30, en Loire-Atlantique, à l’entrée de Saint-Géréon, au lieu-dit la Renardière sur la route départementale 164, deux jeunes hommes roulaient vers Ancenis, dans une Peugeot 207. Pour une raison encore inconnue, le conducteur, âgé de 19 ans et originaire du Maine-et-Loire, a perdu le contrôle de son véhicule.
La voiture a quitté la chaussée et terminé sa course dans le fossé opposé. La carrosserie s’est pliée sur l’aile droite du véhicule.
À bord, le passager est décédé. Âgé de 22 ans, Aurélien Berthelot résidait à Mésanger. Blessé, le conducteur a été conduit au CHU de Nantes.
 

Un étudiant de Biarritz retrouvé poignardé au Brésil

Un étudiant français de 20 ans a été tué dans une rue du centre de Curitiba (sud du Brésil) dans la nuit de samedi à dimanche au cours d'une "rixe" avec deux individus, a déclaré mercredi le commissaire chargé de l'enquête.
Le jeune homme présentait une blessure au couteau près du cœur, a précisé Rubens Recalcatti, chef du commissariat de Curitiba, la capitale de l’État du Parana.

"Les images d'une caméra de surveillance montrent le jeune homme en train de se battre avec deux individus encore non-identifiés puis tomber sur le sol. A l'arrivée des secours, il était déjà décédé", a souligné le policier.
D'après lui, l'étudiant avait passé la soirée dans un bar puis avait quitté les lieux seul, en direction de son domicile, situé à quelques rues de là.
Les médias brésiliens qui évoquent cette affaire permettent d'en savoir un peu plus.
Selon la "Gazeta do Povo", la victime serait bien originaire de Biarritz, elle vivait dans cette ville depuis quatre mois, en compagnie de son frère. Le drame se serait produit lors d'une soirée où l'étudiant s'est rendu à une présentation de groupes de rock avec des amis. Il a été retrouvé mort dans Curitiba à l'angle des rues du 13 mai et de Joau Manoel.
Toujours selon le même média, retrouvé sans papiers par les policiers, le corps aurait finalement été identifié grâce à un appel reçu sur le téléphone portable de la victime. Sa mère, elle aussi présente au Brésil, et qui demandait justement si son fils allait bien, rapporte le journal brésilien.
Selon "Parana Online", sa famille aurait confirmé aux enquêteurs que c'était "un garçon calme, qui ne consommait pas de drogue". Sa mère, déjà au Brésil pour des raisons familiales, attendrait l'arrivée du père pour ensuite rapatrier le corps en France.

http://www.sudouest.fr/2012/08/30/un-etudiant-de-biarritz-retrouve-poignarde-au-bresil-807570-4037.php

jeudi 30 août 2012

Creyssensac et Pissot (24) : un accident mortel hier soir sur la N21

Un conducteur âgé d'une vingtaine d'années a perdu vers 22h30, hier soir, le contrôle de sa voiture alors qu’il roulait sur la nationale 21 dans le sens Périgueux-Bergerac. La voiture a traversé la route avant de percuter un arbre à proximité de Creyssenssac et Pissot, dans le canton de Vergt.
Le conducteur est décédé lors de son transfert vers l'hôpital de Bordeaux.

Les gendarmes n'ont pas identifié la victime qui circulait sans ses papiers. Un appel à témoin a été lancé pour tenter de l’identifier.


http://www.sudouest.fr/2012/08/30/creyssensac-et-pissot-24-un-accident-mortel-hier-soir-sur-la-n21-807590-1815.php

Drame de Pomoy : 13 fois la dose de cannabis

De l’avis d’un motard de la brigade motorisée, c’est une dose incroyable. Les résultats des analyses de sang pratiquées sur la dépouille du conducteur âgé de 27 ans, qui a trouvé la mort avec ses deux passagers le 23 août dans un virage de la commune de Pomoy, ont été rendus publiques mercredi.
Alors que le seuil de détection salivaire de l’imprégnation canabinique réalisée sur les conducteurs réagit entre 0,5 et 0,6 nanogramme par millilitre de sang et déclenche des analyses de sang, ces dernières permettent d’établir si le seuil légal de 1 ng/ml de sang a été dépassé ou non. C’est à partir de ce seuil que les conducteurs sont poursuivis devant les tribunaux pour conduite sous l’empire de la drogue.

Conduite sous alcool en 2006 et 2011

N’en croyant pas leurs yeux, les autorités ont d’abord pensé que le taux relevé était de 1,33 ng/ml de sang. En réalité, il était de 13,3 ng/ml. Un seuil spectaculaire qui éclaire un peu plus les circonstances de cet accident ayant provoqué la mort de trois jeunes gens originaires de la région de Montbéliard.
Outre ce taux, qui atteste sans équivoque que la consommation de cannabis était très récente au moment du choc, le taux d’alcool dans le sang relevé sur le même homme était de 1,75 g/litre de sang. Un cocktail détonnant qui explique sans doute que le jeune homme a pris le volant alors qu’il n’était plus titulaire du permis de conduire pour avoir été contrôlé à deux reprises en état d’ivresse au volant en 2006 et en 2011. Un état second qui pourrait encore expliquer la vitesse excessive dans ce virage que la 306 n’a pu négocier. Et dont le compteur est resté bloqué à 75 km/h tandis que la boîte de vitesse était engagée sur le cinquième rapport.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/08/30/drame-de-pomoy-13-fois-la-dose-de-cannabis

Une jeune femme retrouvée morte dans une voiture volée immergée dans la Marne

Le corps d'une jeune femme de 20 ans a été découvert lundi à bord d'une voiture volée immergée dans la rivière Marne, à Brasles, dans l'Aisne. Le procureur du parquet de Laon a annoncé ce jeudi l'ouverture d'une information judiciaire pour meurtre.
L'autopsie de la jeune femme a révélé qu'elle n'était pas morte noyée, a précisé Olivier Hussenet, le procureur de la République de Laon, confirmant une information du journal L'Union. Elle avait été vue vivante pour la dernière fois vendredi aux alentours de 6 heures du matin, alors qu'elle sortait "d'une soirée qui avait complètement dégénéré, avec dégradations et violences", a-t-il ajouté. Le corps de la jeune femme a été retrouvé par des plongeurs lundi dans un véhicule immergé dans la Marne, repéré dimanche soir, selon le procureur. Le véhicule volé avait été poussé dans la rivière, a-t-il encore précisé.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/30/1428685-une-jeune-femme-retrouvee-morte-dans-une-voiture-volee-immergee-dans-la-marne.html

Marseille : tué dans sa voiture d'une rafale de Kalachnikov

Un homme de 25 ans a été tué d'une rafale de Kalachnikov mercredi soir dans les quartiers nord de Marseille. Il s'agit du 14e mort dans un règlement de comptes depuis le début de l'année dans la cité phocéenne et du 19e sur la région.
L'attaque a eu lieu mercredi soir peu après 23 heures au niveau du boulevard Casanova, dans le 14e arrondissement de Marseille. La cible des agresseurs : une Twingo noire dans laquelle circulait un couple - la femme étant au volant, l'homme assis dans le siège passager. Alors que le véhicule venait de s'arrêter à un feu rouge, les deux occupants d'une autre voiture ont ouvert le feu à courte distance sur le passager, le criblant de balles avec un fusil d'assaut de type Kalachnikov. Bilan : un mort.

L'homme, originaire des quartiers nord, était "connu des services de police pour différentes infractions", a indiqué le procureur de la République Jacques Dallest, qui s'est rendu sur les lieux en soirée. Selon une source proche de l'enquête, il s'agit de Walid Marzouki, notamment mis en cause dans des affaires liées au trafic de drogue. Quant à la conductrice, très choquée, elle "n'a été que très légèrement blessée par des éraflures. Il est miraculeux qu'elle ait survécu", a souligné Jacques Dallest. Une trentaine de douilles ont été retrouvées sur la scène du crime.

"La comptabilité macabre se poursuit"
Outre le procureur de la République de Marseille, le préfet de police Alain Gardère, le directeur interrégional de la police judiciaire Roland Gauze et le directeur départemental adjoint à la Sécurité publique, Jean-François Illy, se sont rendus sur les lieux. L'enquête a été confiée par le parquet de Marseille à la brigade criminelle de la police judiciaire, déjà en charge de plusieurs affaires du même type.

"La comptabilité macabre se poursuit", a déploré le procureur, rappelant qu'il s'agissait du 14e mort dans un règlement de comptes depuis le début de l'année dans la cité phocéenne et du 19e sur l'ensemble de la région. C'est le deuxième au mois d'août, après le décès samedi soir à l'hôpital d'un jeune homme âgé de 25 ans, Benamar Hamidi, grièvement blessé par balles dans les quartiers sud. Condamné à six ans de prison pour association de malfaiteurs et vols avec violence, il était sorti en juillet de la prison de Tarascon.
 

Haute-Saône/drame de Pomoy : le conducteur n’avait pas le permis et 1,17 g d'alcool

L’accident aussi spectaculaire que dramatique qui a secoué jeudi matin la quiétude de Pomoy, village situé à mi-chemin entre Lure et Vesoul, n’a pas terminé d’alimenter les conversations. Si la vitesse ne faisait aucun doute quant aux circonstances du choc entre une 306 et un poids lourd, les dernières analyses parvenues aux autorités judiciaires incriminent un peu plus le conducteur, un homme âgé de 27 ans accompagné de deux passagers, tous morts. Ce dernier, qui avait perdu son permis de conduire suite à une condamnation pour conduite sous l’empire de l’alcool était imprégné d’1,17 g d’alcool par litre de sang au moment de l’impact. Il a été par ailleurs déclaré positif au tétra hydro cannabinol (THC). Soit à la molécule active du cannabis. Cela ne change évidemment rien au bilan terrible de ce drame de la route qui porte à 13 le nombre de victimes de la route en Haute-Saône cette année. Mais cela éclaire sur le comportement de certains automobilistes

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2012/08/28/1-17-g-le-conducteur-du-drame-de-pomoy-n-avait-pas-le-permis

Labarthe-de-Rivière. Des retraités séquestrés, bâillonnés et battus par des voyous en pleine nuit

Un couple installé à Labarthe-de-Rivière a été agressé à son domicile hier dans la nuit, près de Saint-Gaudens. Les victimes ont été séquestrées, bâillonnées, attachées et battues…
Des heures de calvaire et la mémoire qui flanche. Hier matin, quand les gendarmes ont porté secours à un couple de nonagénaire aux premières heures du jour, ces derniers étaient choqués et un peu perdus. L'homme âgé de 91 ans a notamment reçu des coups et a passé plusieurs heures attaché sur son lit.
C'est dans la nuit, autour de 4 ou 5 heures selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs même s'il n'existe pas de certitude, que des individus ont surgi dans la maison occupée par le couple à l'entrée de Labarthe-de-Rivière, près de Saint-Gaudens. Ces individus, au moins deux, les visages dissimulés par des cagoules, ont sorti de leur sommeil les propriétaires. L'homme, notamment, qui ne répondant pas assez vite aux questions de ses agresseurs a reçu plusieurs coups au visage. Les agresseurs cherchaient «le coffre» qu'ils ont fini par découvrir dans le placard d'une chambre. Ils l'ont arraché et transporté jusqu'au rez-de-chaussée, pour l'embarquer dans un véhicule. À l'intérieur devait sans doute se trouver de l'argent liquide, peut-être des bijoux.
Les victimes, forcément très choquées, ne se souvenaient plus très bien hier matin. Au départ, le vieil homme affirmait même ne pas posséder de coffre. Mais les escaliers abîmés par le passage d'un objet très lourd ont convaincu les gendarmes, et notamment les techniciens en investigation criminelle, de la réalité de l'armoire forte et de son vol. La propriétaire, retrouvant peu à peu ses esprits, a confirmé l'hypothèse des enquêteurs.
Attaché sur son lit par les voleurs, le nonagénaire a réussi à se détacher pour donner l'alerte. Son épouse, malade, n'a pas subi de violence. Les gendarmes de la brigade des recherches de Saint-Gaudens, en présence de leurs collègues de la section recherches de Toulouse, ont réalisé constatations et premières auditions. Les techniciens en investigation criminelle ont réalisé de nombreux prélèvements à la recherche de trace exploitable. Les voleurs portaient des gants semble-t-il mais seul l'examen de scellés pourra le confirmer. Et hier peu d'éléments semblaient indiquer une piste à suivre pour les gendarmes.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/28/1426560-des-retraites-sortis-de-leur-sommeil-par-des-voyous.html

mercredi 29 août 2012

Chanteuges : un homme de 26 ans se noie dans la rivière Allier

Le drame s’est produit mercredi après-midi vers 17 heures sur la rivière Allier au lieu-dit Les-Gravières, sur la commune de Chanteuges. Un jeune homme de 26 ans, s'est noyé après avoir plongé dans la rivière, en proie à de violents courants.
Selon les premières informations, la victime originaire de Lozère aurait sauté dans un endroit interdit à la baignade. C’est un groupe de kayakistes, qui, en observant l’homme qui se débattait dans le flot de la rivière, a donné l’alerte.
Les équipes de plongeurs du Puy-en-Velay et de Brioude sont arrivées sur les lieux quelques instants plus tard et ont retrouvé le corps. Etaient également présents sur l’intervention les pompiers de Langeac et une équipe médicale du SAMU43.
Malgré les tentatives de réanimation, le jeune homme n'a pas survécu.
Les gendarmes de la brigade de Langeac ont ouvert une enquête afin d’établir les circonstances qui ont provoqué la noyade du jeune homme.


http://www.leprogres.fr/loire/2012/08/29/chanteuges-un-homme-de-26-ans-se-noie-dans-l-allier

Un enfant meurt étouffé par un volet roulant

Un enfant de trois ans est mort étouffé par un volant roulant électrique. Le drame s'est produit mardi, en fin d'après midi, dans l'habitation familiale, à L'Aiguillon-sur-Mer (Vendée).
Le garçonnet, qui avait été conduit dans sa chambre pour faire la sieste, se serait mis à « pianoter » sur l'interrupteur du volet roulant. Il s'est alors retrouvé coincé entre le store et le rebord de la fenêtre. Il est décédé peu de temps après, étouffé sous la pression du volet roulant.
Une enquête a été ouverte pour décortiquer le mécanisme du store et confirmer les circonstances de ce drame.
 

Un homme meurt percuté sur la rocade

Un technicien de la Direction interdépartementale des routes Atlantique (DIRA) est décédé aujourd'hui des suites d'un accident survenu vers 8h45 sur la rocade de Bordeaux. "Alors qu'il effectuait une intervention de maintenance, l'homme a été percuté par un poids lourd. Très gravement touché, il a été pris en charge par les services de secours et transporté d'urgence à l'hôpital Pellegrin à Bordeaux où il a succombé à ses blessures", indique la préfecture.

Le chauffeur du poids lourd a été placé en garde à vue et une enquête de la CRS autoroutière d'Aquitaine a été ouverte pour "homicide involontaire".


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/29/97001-20120829FILWWW00518-un-homme-meurt-percute-sur-la-rocade.php

Une psychiatre étranglée par un patient

Bordeaux : l'homme accidenté sur la rocade est décédé

L'homme accidenté ce mercredi matin est décédé, vers 14h30 à l’hôpital Pellegrin de Bordeaux.
L'agent de la Dira (Direction interrégionale des routes Atlantiques) effectuait un balisage ce matin sur la rocade à hauteur de Bouliac et venait de stationner son véhicule le long de la glissière de sécurité lorsque qu'il a été percuté par un camion et a été traîné sur une vingtaine de mètres.

L'homme avait eu le bras gauche sectionné dans le choc. Il souffrait également du bassin et de la tête.
Le chauffeur du poids-lourd est en garde à vue. Des analyses toxicologiques sont en cours.

http://www.sudouest.fr/2012/08/29/bordeaux-l-homme-accidente-sur-la-rocade-est-decede-806782-2780.php

Le boulanger du village percute un arbre et se tue

Dominique Fontaine, le boulanger d'Aubenton, s'est tué, lundi soir, sur la départementale 51, peu après 19 heures. Hier, les raisons de l'accident resteraient obscures.
UNE vingtaine d'heures après l'accident qui a coûté la vie à Dominique Fontaine, les véhicules s'arrêtent encore sur le bas-côté de la départementale 5. Et quand leurs chauffeurs ne marquent pas l'arrêt, ils ralentissent et montrent du doigt la route, puis l'arbre contre lequel une voiture est venue s'encastrer.
Dominique Fontaine, boulanger à Aubenton, avait une femme, des enfants, mais aussi de nombreux clients et amis. Lundi soir, il est décédé dans un accident de voiture sur la route qui relie Bellevue à Aubenton. Lundi matin encore, il parcourait les rues du centre-bourg. L'après-midi, il l'a passé à préparer son pain. Selon son épouse, c'était un jour comme un autre. Il commençait par assembler les matières premières, les travaillait, puis il partait. Il revenait ensuite en fin d'après-midi pour lui donner forme et fabriquer ses pâtisseries.

Vitesse ?

Lundi soir, l'heure du retour vient de sonner pour Dominique Fontaine, qui n'habite pas très loin d'Aubenton. Il est en réalité à quelques kilomètres du village, sur la D 5.
Il vient de quitter le hameau de Bellevue et s'apprête à passer le panneau du hameau de la Malabreuvée, à quelques mètres de la ferme Dhaussy.
C'est ici que l'accident s'est produit, dans une ligne droite qui descend, entre deux champs. Il est 19 heures. La voiture de Dominique Fontaine quitte alors brusquement la route. Les gendarmes de la communauté de brigades d'Hirson-Aubenton ne parviennent pas à en déterminer les raisons. Lorsqu'ils arrivent sur les lieux de l'accident, il est déjà trop tard. Ils découvrent alors une voiture ouverte en deux dans le sens de la longueur.
La voiture n'a ni fait de tonneaux, ni mordu sur la voie de gauche. Elle s'est simplement brisée contre un arbre, côté conducteur, en se fendant en deux.
Selon les gendarmes, la visibilité était bonne et il n'y avait pas d'autres véhicules qui passaient à ce moment-là. Entre la route et le bas-côté, il y a bien un rebord que les automobilistes d'Aubenton disent bien connaître pour certains.
Un rebord qui serait dangereux et qui aurait pu provoquer l'embardée de la voiture du boulanger. Mais, pour l'instant, les militaires n'expliquent rien. Une enquête est en cours.
http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-boulanger-du-village-percute-un-arbre-et-se-tue

Sa voiture percute un pont : le conducteur tué sur le coup

Un Magentais de 47 ans a été victime d'un accident mortel hier soir. Sa voiture est seule en cause.
Les pompiers d'Épernay ont été appelés hier soir à 18 h 42 à Dizy, près d'Épernay, sur un accident de la route.
Arrivés sous le pont de la RD 951 au rond-point en direction de Dizy, ils ont trouvé une Twingo qui avait percuté le coin du pont, ainsi que quelques arbustes à sa droite. À l'intérieur du véhicule, ils ont découvert le corps d'un homme, le conducteur, décédé sur le coup.
L'homme a dû être désincarcéré pour l'extirper de l'enchevêtrement de tôles. La voiture était seule sur la route au moment de l'accident. Ce sont des automobilistes passant ensuite sur les lieux de l'accident qui ont prévenu les secours. Mais l'homme était déjà mort à leur arrivée.

Un tout-droit ?

D'après ses papiers d'identité, la victime serait un Magentais de 47 ans. Son corps a été conduit aux pompes funèbres de Magenta. Les gendarmes de la communauté de brigades de Dizy-Aÿ-Épernay ont poursuivi leurs investigations sur place. Ils ont interdit la circulation des deux accès au pont, le temps que le véhicule soit emporté.
Le choc sans doute très violent, vu l'état du véhicule, semble indiquer que le conducteur roulait à vive allure. Comme si la voiture avait fait un tout-droit du haut de la rue de la Folie en venant d'Hautvillers. À première vue, la trajectoire, laisserait penser que le conducteur n'a pas tourné le volant au moment de négocier le virage sous le pont.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/sa-voiture-percute-un-pont-le-conducteur-tue-sur-le-coup

La Chaise-Dieu : retrouvé mort dans les toilettes du restaurant

Tout a débuté vers 16heures mardi au restaurant Le Monastère, situé dans la localité de La Chaise-Dieu. Un couple est entré dans les lieux pour se restaurer. Un peu plus tard, l’homme est descendu aux toilettes du restaurant pour les raisons qu’on imagine. Plusieurs longues minutes s’écoulent alors. L’inquiétude gagne du terrain pour son épouse qui ne voit pas remonter son mari. Le gérant du restaurant est alerté...
C’est alors en se rendant à leur tour aux toilettes, qu’ils découvrent l’homme inanimé. Très vite les sapeurs-pompiers du centre Casadéen sont alertés et interviennent en urgence, épaulés par une équipe médicale du SMUR.
Ils tentent alors de réanimer la victime, mais malgré les soins prodigués, elle décédera sur place dans les minutes qui ont suivi.
L’intervention durera près de deux heures. Les gendarmes territorialement compétents se sont également rendus sur les lieux du drame pour étayer leur enquête. Il a été finalement conclu à une mort naturelle, pour la victime qui souffrait déjà de problèmes de santé et avait été opéré du cœur.


http://www.leprogres.fr/haute-loire/2012/08/29/la-chaise-dieu-retrouve-mort-dans-les-toilettes-du-restaurant

Sochaux : le corps lacéré, il se défenestre

Il est 9 h 15, ce mardi. À Sochaux, une habitante marche rue Jules-Ferry quand elle aperçoit un homme étendu sur le ventre, au pied d’un immeuble. Celui-ci vient de se défenestrer. Son corps est maculé de sang. « Il respirait encore », indique le maire, Albert Matocq-Grabot. La femme, témoin de cette terrible scène, alerte les pompiers. À leur arrivée, le Sochalien, Ludovic, 32 ans, est en arrêt cardio-respiratoire. Les secours et une équipe du SAMU vont tenter de le réanimer en procédant à des massages cardiaques. Mais le décès est constaté quelques minutes plus tard devant des habitants et une partie de la famille du jeune homme (son père, sa mère, son frère), qui habitent à proximité.
D’emblée, le décès paraît suspect. Le corps de Ludovic est tailladé, les coups auraient été portés par arme blanche. « Il y avait des plaies au cœur et à la carotide », affirme le premier témoin. Un périmètre de sécurité est dressé sur la pelouse où gît la victime. Pendant plusieurs heures, de nombreux policiers vont s’affairer dehors et dans le logement de Ludovic, au troisième étage du bâtiment. Un appartement qui donne, d’un côté, sur la rue Jules-Ferry et, de l’autre, sur l’avenue Victor-Hugo. « Nous n’écartons aucune hypothèse, ni l’acte désespéré, ni la piste criminelle. Nous avons ordonné une autopsie », annonce le vice-procureur de Montbéliard, Lionel Pascal.
Que s’est-il passé ? La défenestration ne fait pas de doute. Des traces de sang sont visibles sous une fenêtre de l’appartement. Les enquêteurs (la Brigade de sûreté urbaine du commissariat et l’antenne bisontine de la police judiciaire) ont retrouvé deux couteaux de cuisine couverts de sang chez le jeune homme : « Les clefs étaient sur la porte d’entrée et celle-ci était verrouillée de l’intérieur », précise le parquet. Les voisins sont formels. Ils n’ont pas entendu de bruit pouvant s’apparenter à une rixe. Ainsi, il est possible, même si l’acte fait froid dans le dos, que le Sochalien se soit lui-même infligé des coups de couteau : « Son frère a raconté qu’il avait passé la journée, la veille, avec lui. Il n’a rien constaté d’anormal. En revanche, il a indiqué que son frère était dépressif ». Ludovic vivait dans cet appartement depuis un mois. Une enquête pour déterminer les causes de la mort a été diligentée : « Nous en saurons plus après l’autopsie. Nous verrons si le corps porte des traces de défense. Ce décès reste un mystère », conclut le procureur.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/08/29/defenestration-a-sochaux-iyzj

Accident sur l’A36 : un père de famille tué, ses deux filles blessées

Un père de famille domicilié à Montbéliard a trouvé la mort, ce mardi après-midi, dans un accident sur l'A36, à hauteur d'Auxange. Ses deux filles ont été blessées et évacuées vers le centre hospitalier de Besançon.
Le conducteur de la voiture qui roulait dans le sens Besançon Dole a perdu le contrôle au niveau de la commune d’Auxange. Son véhicule a violemment heurté la glissière de sécurité sur le bas côté droit de la chaussée. En l’absence de témoignages, les circonstances de l'accident demeurent inconnues.
D’après les constatations, ce sont près de 70 mètres de glissières qui ont été arrachés. Lorsque les secours sont arrivés sur les lieux, il n’y avait plus rien à faire pour le père de famille. Ses filles âgées respectivement d’une quinzaine d’années et de 18 ans pour la seconde étaient conscientes. Elles ont été transportées, l'une par ambulance et l’autre par hélicoptère, sur le centre hospitalier de Besançon.
L’autoroute a été coupée à la circulation pendant une trentaine de minutes.
 
 

Inde. Un homme décapité dans un train sous les yeux des passagers

Un homme de 37 ans a été attaqué hier par une bande de jeune armés de couteaux et qui l'ont décapité dans un train, près de la gare de Bazarshau, à 190 km de Calcutta.
"Les assaillants ont pris la fuite une fois que le conducteur a arrêté le train à mi-parcours en entendant les cris des passagers", a indiqué le commissaire de police du district, Humayun Kabir. "Selon les premiers éléments de l'enquête, il semble que le meurtre de M. Ghosh soit lié à des querelles dans son village", a-t-il ajouté, sans plus de précisions.
La victime, Khokon Ghosh, était vendeur de confiseries. La police indienne est toujours à la recherche de ses meurtriers.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/28/1427119-inde-un-homme-decapite-dans-un-train-sous-les-yeux-des-passagers.html

mardi 28 août 2012

Seine-Saint-Denis : trafic perturbé sur le RER B après un double suicide

Un double , survenu à 17h15 à hauteur de la gare de Drancy (Seine-Saint-Denis), perturbe le trafic sur les lignes du RER B et du TER reliant Laon (Picardie) à . D’après la , une cinquantaine de trains sont impactés par l’accident. Le trafic est perturbé dans les deux sens sur les axes Paris-Aéroport Charles de Gaulle 2-TGV, Paris-Mitry-Claye et sur la ligne Paris-Laon.
Les trains circulent lentement entre Aulnay-sous-Bois et Mitry-Claye et entre Aulnay-sous-Bois et l’aéroport Charles de Gaulle 2-TGV. Selon les premières constatations, un homme et une femme, peut-être un couple, se seraient jetés sur les voies au même moment.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/seine-saint-denis-trafic-perturbe-sur-le-rer-b-apres-un-double-suicide-28-08-2012-2140518.php

Perte de contrôle fatale à une mère de famille

C’est sur une petite route sinueuse, reliant Plesnois à Woippy, que Carole Perrin, maman de deux adolescents, a perdu la vie, hier matin, dans un accident de la circulation. Cette enseignante de 42 ans, installée avec sa famille à Lorry-lès-Metz, circulait sur la RD 50 dans le sens Plesnois-Woippy quand, pour une raison encore inconnue, elle a perdu le contrôle de son véhicule.
Dans la traversée du bois de Woippy, dit le bois des Biches, sa voiture est allée percuter un arbre en lisière de forêt avant de s’immobiliser sur le côté gauche, au milieu de la chaussée. À leur arrivée, les pompiers de Metz ont désincarcéré la victime, prisonnière de l’habitacle de sa voiture. Malheureusement, les secours n’ont pu que constater son décès. La conductrice est morte sur le coup.
Carole Perrin, originaire de Maizières-lès-Metz, était maman de deux garçons âgés de 15 et 17 ans.
Sur les lieux, la brigade accident de l’hôtel de police de Metz a procédé aux premières constatations. Le temps de l’intervention des secours, les deux voies de circulation ont été coupées, les automobilistes étaient invités à rebrousser chemin.

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/08/28/perte-de-controle-fatale-a-une-mere-de-famille

Villeneuve-d'Ascq : un motard tué dans la nuit de lundi à mardi

Il aurait perdu le contrôle de son deux roues, dans une rue résidentielle de Villeneuve-d'Ascq, dans le quartier de Flers.
Vers 23h20, un motard a semble-t-il percuté l'arrière d'un véhicule utilitaire en stationnement avant de s'abîmer sur un poteau électrique, rue Faidherbe. Sous le choc, son véhicule a été coupé en deux. Le conducteur, un homme de 34 ans originaire du Valenciennois, est décédé sur place, malgré l'intervention rapide du SAMU et des pompiers de Lille-Bouvines. La police est chargée de l'enquête sur les circonstances précises de l'accident.

http://www.lavoixdunord.fr/region/villeneuve-d-ascq-un-motard-tue-dans-la-nuit-de-lundi-a-mardi-ia28b0n653874

Limoux. Disparition tragique de l'ancien rugbyman Ludovic Signal

La Haute-Vallée de l'Aude et le monde du rugby à XV est en deuil. Ludovic Signal, ancien joueur du Rugby Club Espéraza-Couiza et associé-gérant de l'entreprise CSTP-Assainissement implantée à Couiza vient de nous quitter, il a mis fin à ses jours. Agé de 34 ans et père d'une petite fille, Ludovic était un garçon attachant, avenant, sympathique mais aussi impulsif et entier. Ancien joueur du Rugby Club Couiza-Espéraza, Ludovic Signal avait porté les couleurs «vert et bleu» du RC-COES Champion du Languedoc et Champion de France en 2009. Rugbyman, Ludo comme on l'appelait, avait également créé en association avec un autre ancien joueur, une entreprise de travaux-public et d'assainissement trés connue dans la région. Aujourd'hui sa disparition soudaine et brutale, laisse un vide immense parmi tous ceux qui l'ont connu. En ces douloureuses circonstances, nous adressons à ses parents, famille et amis nos plus sincères condoléances.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/28/1426568-limoux-disparition-tragique-de-ludovic-signal.html

Un motard de Vénissieux tué dans un accident à Lyon 8e

Un motard s’est tué hier matin alors qu’il circulait dans le 8e arrondissement à Lyon. Selon les premières constatations, la victime roulait rue Audibert-Lavirotte quand elle a été percutée par une voiture venant de la rue Pierre-Delore.
Le motard doublait entre un bus et une voiture ce qui expliquerait que le conducteur du véhicule en cause ne l’ait pas vu au moment de tourner à gauche. Les secours ont tenté de réanimer le malheureux mais il est décédé sur place. Habitant Vénissieux, il était âgé de 43 ans.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/08/27/un-motard-de-venissieux-tue-dans-un-accident-a-lyon-8e

Malaise fatal dans un avion à l'heure du décollage

Un incident très particulier s'est produit hier matin dans un avion de la compagnie d'EasyJet qui devait décoller de l'aéroport de Toulouse-Blagnac en direction de Bâle, en Suisse. Un passager a été victime d'un malaise. Et malgré les efforts de l'équipage puis des secours, l'homme n'a pas pu être réanimé.
Le décollage du vol EZY 1715 était prévu à 7 h 20 hier matin. L'embarquement des passagers s'est déroulé sans difficulté et l'avion a quitté sa zone de parking sur le tarmac pour rejoindre la piste de décollage. C'est lors de ces opérations de «roulement» que le passager, un homme âgé de 34 ans dont l'identité et la nationalité n'ont pas été révélées, a été victime d'un malaise, sans doute d'origine cardiaque. Les hôtesses et stewards présents à bord ont porté les premiers soins et rapidement le commandant de bord a décidé de revenir à son point de départ pour permettre l'intervention des secours. L'équipe des secouristes de l'aéroport, puis les pompiers et une équipe du SMUR 31 sont intervenus pour essayer de sauver ce voyageur. Mais malgré les efforts des secours, l'homme n'a pas pu être réanimé. Son décès a été constaté sur place par le médecin du SAMU.
L'avion a finalement pris la direction de l'aéroport de Mulhouse-Bâle en fin de matinée. Son décollage a eu lieu peu après 11h20.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/27/1425967-aeroport-malaise-fatal-a-l-heure-du-decollage.html

lundi 27 août 2012

BRISSY-HAMEGICOURT (02) Accident mortel sur l'A26 : la fille est décédée

Un accident mortel sur l'autoroute A26, à hauteur de Brissy-Hamégicourt dans l'Aisne, dans la nuit de samedi à dimanche a causé la mort d'une femme de 46 ans et de sa fille de 16 ans.

La jeune fille est décédée des suites de ses blessures cette nuit au CHU d'Amiens, a indiqué en fin de matinée le peloton de gendarmerie d'autoroute. Sa mère est décédée sur les lieux de l'accident.

Toutes deux étaient originaires d'Arras (Pas-de-Calais).

Les gendarmes ont lancé un appel à témoins. Les personnes circulant sur l'autoroute lors des faits sont invitées à contacter le 03 23 68 59 60.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Accident-mortel-sur-l-A26-la-fille-est-decedee

Un gendarme se suicide dans le Nord

Un gendarme de 50 ans a mis fin à ses jours samedi soir avec son arme de service dans les locaux de sa gendarmerie située à Hazebrouck (Nord), a-t-on appris aujourd'hui de source proche de l'enquête confirmant une information de la Voix du Nord.

"Son suicide n'est certainement pas dû à ses conditions de travail", a assuré une source proche, précisant que le gendarme avait souffert de "graves problèmes de santé" il y a quelques mois.

Une enquête a été ouverte pour "tenter de déterminer dans quelles circonstances ce gendarme a pu mettre fin à ses jours". Elle a été confiée à la brigade de recherche de Dunkerque et à la section de recherches de Lille.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00587-un-gendarme-se-suicide-dans-le-nord.php

Paris/incendie : un mort et 8 blessés

Un incendie, dont l'origine semble accidentelle, a fait au moins un mort et huit blessés à Paris dans la nuit d'hier à aujourd'hui, ont indiqué les pompiers de Paris.

Le feu a pris peu avant 02 heures du matin aux 4ème et 5ème étages d'un immeuble d'habitation de six étages de la rue Regnault (XIIIème arrondissement), et 83 pompiers et 26 engins ont été dépêchés sur place, qui se sont rendus maîtres du feu après une heure d'efforts, a précisé un porte-parole des pompiers. Leur intervention s'est achevée avant 07 heures.

Le corps d'un homme a été découvert dans les décombres. Huit personnes ont été blessées : quatre ont été traitées sur place et quatre hospitalisées. Dans un communiqué, le maire de Paris Bertrand Delanoë a exprimé aujourd'hui sa "vive émotion" et adressé ses "très sincères condoléances à la famille de la victime". "Il appartiendra à l'enquête judiciaire de déterminer l'origine de l'incendie qui, selon les éléments dont nous disposons à l'heure actuelle, serait d'origine accidentelle", précise la mairie.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00458-parisincendie-un-mort-et-8-blesses.php

Effroyable collision sur l'A 26

Au retour des vacances, une femme a trouvé la mort sur l'A 26 et sa fille est grièvement blessée. Un appel à témoins est lancé.
LES gendarmes sont perplexes quant aux raisons qui ont amené une Volkswagen Passat, avec une vitesse de croisière de 130 km/h, à percuter l'arrière d'une Peugeot 205, dans la nuit de samedi à dimanche, sur l'A 26, entre La Fère et Saint-Quentin, à hauteur de la commune de Brissy-Hamégicourt.
Il est alors 2 h 15 du matin. Dans la Volkswagen Passat, des vacanciers : les parents et leurs enfants de 12 et 15 ans.
Cette famille est originaire de Noyelles (Nord). Le père, qui conduit, roule sur la voie rapide lorsqu'il percute l'arrière d'une Peugeot 205 circulant a priori dans le même couloir de circulation. Sous la violence du choc, la Peugeot 205 se renverse et termine sur le toit.
À l'intérieur, une mère et sa fille, habitant Arras (Pas-de-Calais) et qui, elles aussi, étaient sur le chemin du retour des vacances.
La conductrice de 46 ans est morte sur le coup. Sa fille, âgée de 16 ans, est grièvement blessée. Elle a reçu sur place les premiers soins par l'équipe médicale du Smur de Saint-Quentin, secondée par les sapeurs-pompiers. Transportée au centre hospitalier de Saint-Quentin après avoir été désincarcérée, l'adolescente a été rapidement transférée sur le CHU d'Amiens.
Son pronostic vital est engagé. Hier soir, elle se trouvait toujours entre la vie et la mort au service pédiatrie.

Une des voitures prend feu
Quant à la famille du Nord, qui se trouvait à bord de la Volkswagen Passat, elle a eu beaucoup de chance. À la suite de l'impact, la Passat a effectué un violent tête-à-queue.
Sonnés, les parents et leurs deux enfants ont réussi à s'extirper in extremis de l'habitacle, qui commençait à prendre feu.
Les gendarmes du peloton d'autoroute de Saint-Quentin/Gauchy sont à la recherche de tout renseignement qui leur permettrait de comprendre avec précision les circonstances du drame.
Le dépistage d'alcoolémie sur le père de famille s'est révélé négatif. Il a été longuement entendu, hier, dans les locaux de la gendarmerie, tandis que les deux épaves, mais surtout la Peugeot 205, devraient passer prochainement dans les mains d'experts.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/effroyable-collision-sur-la-26

DUVY (60) Un jeune retrouvé mort par arme à feu sur un banc

Le corps d'un jeune de Duvy a été retrouvé sur un banc de ce village situé près de Crépy-en-Valois (Oise). Son décès est dû à une arme à feu.

«Je l'ai encore vu hier. Il jouait au ballon dans la rue. Vers 17heures, il a pris une grille pour aller faire un barbecue avec ses copains. Il a dit au revoir à sa grand-mère et on ne l'a plus revu.» Cette habitante de Duvy s'est rendue, hier après-midi, dans la rue du Transformateur à Duvy pour rendre hommage à son voisin, Cédric.

Dans cette rue calme, en hauteur par rapport à la route qui conduit à Senlis, le corps du jeune homme de 22 ans a été retrouvé au petit matin. Selon plusieurs témoignages, des jeunes filles qui rentraient de boîte de nuit auraient découvert Cédric, mort par balle, près d'un banc, en face d'un transformateur EDF. L'endroit est situé à proximité du domicile du jeune homme.

Le parquet de Senlis indiquait hier qu'il s'agissait d'un décès par arme à feu et ne voulait pas s'engager davantage.

Homicide? Suicide? Accident? Une autopsie et une enquête sont en cours afin de connaître les circonstances exactes du décès. Au vu des moyens déployés hier par la gendarmerie- maîtres-chiens, hélicoptère, etc.- il semble que la piste criminelle soit privilégiée par les enquêteurs.

«Il a grandi ici, auprès de sa grand-mère. Il avait beaucoup d'amis. C'était un jeune très apprécié. Il était très serviable, toujours aimable. Il avait un permis de chasse. Il travaillait en région parisienne mais disait toujours que c'était Duvy son pays. Je suis très émue et choquée par cette triste nouvelle», confiait une voisine. En hommage au jeune homme, elle est venue déposer une rose sur le banc où il a été découvert quelques heures plus tôt.

Pour le maire du village, Jean-Pierre Brévignon, c'est l'incompréhension: «Cet endroit n'est pas connu pour être dangereux ni mal famé. Et ce jeune homme, qui a de la famille dans notre village n'est pas non plus connu pour être un trouble-fête

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Un-jeune-retrouve-mort-par-arme-a-feu-sur-un-banc

Gironde: elle périt ensevelie dans le sable

Une jeune touriste italienne, âgée de 12 ans, est morte asphyxiée, hier soir sur une plage de Gironde, après s'être retrouvée ensevelie dans un trou qu'elle avait creusé dans le sable, a-t-on appris aujourd'hui auprès des secours.

Les pompiers sont intervenus vers 19H30 après avoir été alertés par des témoins, qui ont aperçu l'adolescente en partie ensevelie sur une plage de La Teste-de-Buch, près d'Arcachon, a-t-on précisé de source policière, confirmant une information du quotidien Sud-Ouest.

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'adolescente aurait pu basculer la tête la première et se retrouver piégée dans le trou, assez profond puisqu'elle le creusait apparemment depuis quelques heures, selon des témoins. Les secours ont dégagé le corps, mais leurs efforts pour réanimer la jeune touriste ont été vains.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/27/97001-20120827FILWWW00387-gironde-elle-perit-ensevelie-dans-le-sable.php

Deux conducteurs tués à Merville et Saint-Béat

Hier matin, deux conducteurs ont perdu la vie en Haute-Garonne. Un habitant de Grenade s'est tué contre un platane à Merville et un motard a perdu la vie lors d'une collision à Saint Béat.
Le mois d'août, déjà marqué par deux drames de la route dans le département (un adolescent a perdu la vie le 11 août à Verfeil et un chauffeur poids lourd a été tué dans le Comminges), a été le théâtre de deux accidents mortels hier matin à Merville et Saint-Béat.À Merville, les secours ont été alertés vers 6 h 45 pour une voiture qui avait violemment percuté un platane sur la route départementale 87. Une longue ligne droite où le conducteur d'une BMW série 1 a perdu la maîtrise de sa voiture, achetée voilà juste deux semaines. Quand les pompiers sont arrivés sur place, il était déjà trop tard pour sauver Mehdi Ghidaoui, 21 ans, qui vivait à Grenade avec sa compagne.
Les circonstances de l'accident font l'objet d'une enquête. Les gendarmes restent prudents. Le défaut de maîtrise s'est produit dans une longue ligne droite bordée d'arbres. Fatigue, inattention, les investigations devront essayer de déterminer l'origine du drame. Dans le cadre de l'enquête, des prélèvements ont été réalisés pour vérifier si le conducteur avait consommé de l'alcool ou des stupéfiants comme lors de chaque accident mortel.

Choc violent

À Saint Béat, l'accident s'est produit peu avant 10 heures, sur la route 124 qui permet de rejoindre l'Espagne. Au guidon d'une Ducati, un motard de 51 ans qui se dirigeait vers l'Espagne n'a pu éviter un monospace qui sortait d'une petite route, quartier de Méliande. Le choc a été violent et le motocycliste a été tué sur le coup. Les secours n'ont rien pu faire. Le conducteur et le passager de la voiture ont également été blessés. Les pompiers les ont transportés à l'hôpital de Saint-Gaudens. Cet accident a provoqué des ralentissements importants jusqu'en fin de matinée.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/27/1425984-deux-conducteurs-tues-a-merville-et-saint-beat.html

Le repas de famille tourne au drame

Gilles Gadeaud est décédé, hier après-midi. L'autopsie qui aura lieu ce matin devra déterminer s'il est mort ou non des suites des coups portés par son gendre.
La victime, âgée de 57 ans, qui réside dans un quartier résidentiel habituellement tranquille, situé au sud-est de Libourne, avait invité sa fille et son compagnon à un repas de famille.

Selon les premiers témoignages recueillis par les gendarmes de Libourne et ceux de la brigade de recherches placés sous le commandement du capitaine Pascal Cersot, une dispute aurait éclaté entre Gilles Gadeaud et son gendre au moment où le couple allait quitter la demeure du numéro 7 de l'impasse Barreau. Il était environ 16 heures.
À ce moment-là, le beau-père aurait déconseillé au conducteur de reprendre son véhicule invoquant un taux d'alcoolémie sans doute au-dessus de la norme. Refusant de l'écouter, son gendre l'aurait alors frappé au visage sous le coup de la colère, puis serait parti au volant de sa voiture.
Il refuse d'aller à l'hôpital
Alertés par le voisinage, les pompiers se présentent impasse Barreau. L'homme, conscient, refuse de les suivre à l'hôpital Robert-Boulin malgré les traces de coups qu'il porte au visage. Il est soigné sur place. Alors qu'il les raccompagne, Gilles Gadeaud s'écroule dans l'allée, victime d'un arrêt cardiaque. Malgré les soins prodigués par les pompiers, sous le commandement de l'officier de permanence le lieutenant Bureau, et les médecins du SMUR, Gilles Gadeaud ne reprend pas connaissance.
Entre-temps, les gendarmes prévenus par les pompiers joignent sur son téléphone le gendre qui habite Libourne et l'invitent à revenir impasse Barreau. Il s'y rend et, à son arrivée, il est aussitôt placé en garde à vue. L'autopsie, réclamée par le substitut du procureur de la République, Sandrine Balanger, devra donc déterminer la cause exacte de la mort de l'employé du Conseil général.

http://www.sudouest.fr/2012/08/26/libourne-le-repas-de-famille-tourne-au-drame-804412-2966.php

Técou. Intense émotion aux obsèques de Michel Mérancienne

Michel Merancienne, 54 ans, éducateur à l'école professionnelle Saint-Jean d'Albi et bénévole au SCA, a disparu tragiquement mercredi, écrasé par un arbre, chez lui à Técou. Les obsèques de ce père de famille réunionnais ont eu lieu hier.
S'il fallait mesurer l'estime dont bénéficiait Michel Mérancienne, tragiquement disparu mercredi, il suffisait d'observer la foule qui garnissait l'église et la place de Técou, et les larmes qui coulaient sur les visages. Tout un village, autour de son maire Jean-François Baulès et du conseil municipal, s'est retrouvé pour exprimer sa peine et sa sympathie à Isabelle et aux enfants, Guillaume, Raphaël, Alexandre et Andréa. La cérémonie religieuse, empreinte d'une grande simplicité et d'un profond recueillement dans la prière, a connu des moments poignants quand se sont élevés les chants de la Réunion où Michel avait grandi, puis quand Raphaël, Guillaume et Alexandre ont parlé de leur papa, promettant de conserver ses valeurs humaines et sa joie de vivre comme un héritage précieux.

Un grand éducateur

Dans la foule, les jeunes du SC Albi et de l'UAGR, leur maillot autour des épaules et le visage marqué par la douleur: Michel Mérancienne avait été leur éducateur et avait su leur transmettre ce code de bonne conduite qu'il faisait passer sans beaucoup de mots, avec sa force tranquille et rassurante.
à leur côté, des élèves de l'École professionnelle Saint Jean, dont plusieurs disaient s'être orientés vers la plomberie «parce que c'était Michel qui l'enseignait». Guy Metge, son alter ego depuis 13 ans, de l'école de rugby de Gaillac aux Crabos albigeois, ne trouvait pas ses mots. Jean-Louis Esteban, venu avec Lionel son fils, se souvenait des années passées dans l'entreprise Bessède Dupleix, où Michel Mérancienne avait su d'emblée se faire des amis dans l'atelier.
La place du village a mis longtemps à se vider. Restait à l'entrée de l'église une photo des jours heureux: tous les Mérancienne au grand sourire autour des parents. La famille: cette valeur sacrée pour Michel qu'Isabelle et les siens gardent comme le plus beau des cadeaux.
http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/26/1425776-tecou-intense-emotion-aux-obseques-de-michel-merancienne.html

dimanche 26 août 2012

Un nageur de 20 ans porté disparu en mer

Un nageur de 20 ans a été porté disparu dans une mer agitée, dimanche après-midi au large de la plage de Bidart dans les Pyrénées-Atlantiques.
Le jeune homme originaire du sud-est de la France a été pris dans de fortes vagues et emporté vers 16h45. Le groupe de nageurs avec lui a donné l'alerte, déclenchant une opération de recherches avec hélicoptère et jet-ski. Elles n'avaient rien donné en début de soirée.
C'est la deuxième noyade en deux jours sur le littoral aquitain, où les secours ont mis en garde ces jours-ci contre un océan agité aux rouleaux dangereux.
Samedi, un nageur de 19 ans a été emporté au large de la plage d'Hossegor, dans les Landes. Son corps n'avait pas été retrouvé dimanche en fin de journée a-t-on précisé auprès de la gendarmerie.
 
 

Crash/Doubs : les 4 corps retrouvés

Les restes des corps des quatre Suisses tués dans le crash d'un avion d'affaires vendredi dans le Doubs ont été retrouvés et vont faire l'objet de prélèvements ADN, a-t-on appris aujourd'hui auprès des enquêteurs.

Ces derniers ont commencé à ramasser les débris de l'appareil, un travail crucial pour déterminer les causes de l'accident au terme d'une enquête qui "sera de très longue haleine", a expliqué le lieutenant-colonel Dominique Fraysse, commandant adjoint du groupement de gendarmerie du Doubs. "L'ensemble des restes des corps ont été enlevés depuis midi, ils vont maintenant faire l'objet de prélèvements ADN", a indiqué Fraysse, soulignant que les enquêteurs français étaient épaulés par un service suisse, spécialisé dans l'identification des corps.

Le travail d'identification des corps, très dégradés, va probablement durer "plusieurs semaines", a-t-il précisé, ajoutant que des proches des victimes étaient arrivés sur les lieux de l'accident depuis samedi soir.

L'aéronef de type PC-12 s'est écrasé vendredi soir sur un plateau du territoire de Solemont, à une trentaine de kilomètres de Montbéliard. Quatre Suisses se trouvaient à bord selon le plan de vol: un pilote de 57 ans, une jeune femme de 20 ans, un homme de 36 ans et un autre de 51 ans.

L'avion d'une capacité d'une dizaine de personnes, qui avait décollé d'Anvers en Belgique, se dirigeait vers Gstaad, dans le canton de Berne en Suisse, dans le cadre d'un voyage d'affaires.

Les causes de l'accident sont encore inexpliquées même si "les conditions climatiques ont probablement joué un rôle", selon le procureur de la République de Belfort Alexandre Chevrier.

Les gendarmes ont lancé la collecte des débris de l'appareil. "On commence à les ramasser et ce sera vraisemblablement achevé lundi soir, mais l'enquête sera de très longue haleine", a affirmé Fraysse, soulignant qu'il fallait travailler "sur l'épave, mais aussi sur le plan de vol". Une trentaine de gendarmes se trouvaient encore sur les lieux de l'accident dimanche.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/26/97001-20120826FILWWW00135-crashdoubs-les-4-corps-retrouves.php

AUMALE (76) Accident mortel au passage à niveau

Un automobiliste est décédé ce dimanche après-midi après que son véhicule a été percuté par un train au passage à niveau à Aumale (Seine-maritime).

Selon nos confrères de Paris Normandie, la victime, âgée de 36 ans, serait un habitant de Haudricourt dans le pays de Bray.

Le trafic SNCF est interrompu entre Le Tréport - Abancourt - Beauvais - Paris dans les deux sens de circulation. Des substitutions par car sont mises en place, indique le site TER Picardie.
 
 
 

Chute mortelle d’un bébé au Wenheck

Un enfant âgé d’un an et demi a perdu la vie, hier, à Saint-Avold, entre 15 et 16h. Le petit garçon est tombé du quatrième étage d’un immeuble situé au numéro 8 de la rue du Maréchal-Lyautey, dans le quartier du Wenheck.
À leur arrivée sur place, les sapeurs-pompiers et le Samu de Saint-Avold ont pratiqué une réanimation cardio-pulmonaire sur le garçonnet, en vain. « Selon toute vraisemblance, l’enfant aurait déplacé une chaise devant la fenêtre ouverte avant de monter dessus et aurait basculé dans le vide, indique-t-on au parquet de Sarreguemines. La famille, composée des deux parents et de deux autres enfants plus âgés, est inconnue des services de police. Aucune autopsie ne sera pratiquée. » Les enquêteurs de Forbach entendront rapidement les témoins mais se dirigeraient, d’ores et déjà, vers l’hypothèse de l’accident. En fin de journée, parents et amis se sont retrouvés devant l’immeuble. Une vive émotion s’est emparée du quartier en deuil.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/08/26/chute-mortelle-d-un-bebe-au-wenheck

Sarrebruck : les parents s’en prennent aux pompiers

L’incendie d’un appartement, sous les combles d’une maison à deux étages, a coûté la vie à quatre frères et sœurs, vendredi à 4h30, à Burbach, quartier populaire de Sarrebruck. Les jumeaux Ricardo et Ronaldo avaient 3 ans. Les fillettes Pamela et Vanessa étaient âgées de 5 et 7 ans. Les parents, 28 et 27 ans, et leur bébé Antonella, 11 mois, ont pu être sauvés. Intoxiqués par la fumée, ils ont été transportés par les pompiers à l’hôpital Winterberg, à Sarrebruck. Et pris en charge par des médecins et psychologues.
Le drame, qui endeuille cette famille, plonge toute la Sarre dans un émoi bien légitime (lire RL d’hier). Annegret Kramp-Karrenbauer, chef du gouvernement de la Sarre, Monika Bachmann, ministre de l’Intérieur et Charlotte Britz, maire de Sarrebruck, s’informent régulièrement sur l’avancée de l’enquête. Nombreux sont les témoignages de sympathie des Sarrois envers cette famille frappée de plein fouet par la mort de quatre enfants. Hier, un voisin s’est manifesté pour ouvrir un compte bancaire, afin de soutenir les parents.

Quarante policiers enquêtent

« Dès vendredi, quarante policiers, placés sous la direction du service de lutte contre la criminalité, ont été chargés de mener des enquêtes pour déterminer l’origine de cet incendie. Où ? Comment ? Pourquoi ? Et à quelle heure le feu a-t-il pris ? », a rappelé, hier, Stephan Lassotta, porte-parole de la police de Sarrebruck. « Les corps des enfants ont été autopsiés vendredi après-midi, au service de médecine légale à l’hôpital universitaire de Homburg/Saar et à Sarrebruck. Plusieurs analyses ont été effectuées, dont certaines toxicologiques, vu que trois corps étaient calcinés. Il faudra attendre quelques jours pour connaître les résultats. Et savoir si les enfants ont été asphyxiés par la fumée, s’ils sont morts suite à de terribles brûlures ou toute autre cause et à quelle heure. »

Intervention contestée

Ces résultats seront d’une extrême importance pour l’enquête. « Vendredi après-midi, les parents endeuillés ont fait appel aux services d’un avocat. Ils reprochent aux pompiers de ne pas avoir agi en conséquence. L’avocat a signalé à la police que la maman, alors qu’elle était secourue au moyen de l’échelle pivotante, aurait demandé aux pompiers de sauver d’abord les enfants dans l’appartement », a annoncé Stephan Lassota. « Selon ses dires, les pompiers n’ont pas déployé la grande échelle pour le faire. Voilà de graves reproches. Il incombe maintenant à la police de vérifier si les hommes du feu ont fait ou non ce qu’il fallait pour sauver les enfants et s’ils peuvent être tenus en partie responsables de leurs morts. »

Reproches jugés choquants

Hier, Josef Schun, chef des pompiers professionnels de Sarrebruck, a déclaré en son nom et celui de ses collègues être profondément choqué par ces reproches. Il a assuré que « l’intervention s’est déroulée dans le respect des règles en vigueur lors d’incendies. Les pompiers ont fait leur devoir, ont même pris des risques. »
Selon lui, « c ette maman ignore certainement qu’au moment où elle était secourue au moyen de l’échelle, six pompiers avaient déjà emprunté l’escalier du couloir, l’aspergeant d’eau, pour arriver dans l’appartement détruit par le feu et très enfumé. Dans une chambre, ces hommes ont découvert le corps d’un enfant calciné. Dans une autre, se trouvaient trois autres membres de la fratrie. L’un d’eux a été évacué vers l’ambulance, où le médecin a constaté sa mort. Les deux autres enfants décédés ont été laissés dans cette chambre, pour les besoins de l’enquête. »
Le chef Schun a confié : « Vendredi après-midi à l’hôpital, j’ai voulu expliquer au père et au frère de cette maman le déroulement de notre intervention… Mais ils n’ont rien voulu savoir. » Concernant la rapidité de l’intervention, l’officier est formel. « On a eu l’appel à 4h39, on était sur place à 4h43, vu que le centre d’intervention et de secours est proche de l’immeuble. Reste à savoir quand le feu s’est déclaré. Quand les pompiers sont arrivés, les flammes étaient déjà très hautes. En général, elles n’atteignent pas une telle ampleur en quelques minutes. »
Une cellule psychologique a été mise en place pour les pompiers pour ce drame qui a coûté la vie à quatre bambins.
La maman, qui a pu quitter l’hôpital, a été recueillie par des membres de sa famille. Le papa et le bébé, davantage intoxiqués par la fumée, sont encore hospitalisés.
Ils seront entendus demain par la police.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/08/26/sarrebruck-les-parents-s-en-prennent-aux-pompiers

Lacanau (33) : deux jeunes meurent dans une sortie de route

Le drame est survenu vers 2 heures du matin, samedi, sur la départementale 6 au lieu-dit le Huga à Lacanau. Le conducteur de la voiture a vraisemblablement perdu le contrôle de son véhicule dans une courbe à gauche. La voiture avec 4 personnes à bord a traversé la chaussée avant de percuter un arbre au niveau de la portière arrière gauche.
Le choc a été d'une rare violence. Le conducteur et le passager avant ont été légèrement blessés et transportés à l'hôpital d'Ares. Mais à l'arrière Abdular Faiz, âgé de 22 ans, résident à Lormont et un jeune homme de 23 ans résidant à Nevers ont succombé à leurs blessures. Malgré les tentatives de réanimation des pompiers et du Samu qui ont dû les désincarcérer.

Hier, le chauffeur a été placé en garde à vue par les gendarmes dans le cadre d'une enquête homicide involontaire. Les premières analyses toxicologiques ont révélé qu'il avait consommé de l'alcool.. D'autres analyses étaient en cours hier soir afin de déterminer précisément le taux d'alcoolémie et de savoir si le jeune homme mis en cause était sous l'emprise de stupéfiants

http://www.sudouest.fr/2012/08/26/deux-jeunes-meurent-dans-une-sortie-de-route-804183-2921.php

Accident mortel sur l'autoroute A26

Cette nuit vers 2h30, une femme de 46 ans a perdu la vie sur l'autoroute A26 (Reims-Calais) à hauteur de Brissy-Hamégicourt, dans l'Aisne. Les gendarmes lancent un appel à témoins. Les personnes circulant sur l'autoroute lors des faits sont invitées à contacter le 03 23 68 59 60.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Accident-mortel-sur-l-autoroute-A26

Saint-Vincent-de-Paul (33) : un chasseur tué par balle durant une battue

Hier matin, vers 6 h 30, à Saint-Vincent-de-Paul, un chasseur a reçu une balle mortelle au cours d'une battue aux sangliers. Alain Sicaire, âgé de 68 ans et résidant à Bouliac a succombé après avoir reçu un projectile dans la jambe. Rapidement sur place, les pompiers et le Samu n'ont pas pu stopper l'hémorragie ni ranimer la victime.
Le tireur a été placé en garde à vue hier. Une reconstitution devrait se tenir aujourd'hui à la demande du parquet de Bordeaux afin de déterminer les circonstances exactes du drame et sans doute afin de s'assurer que les consignes de sécurité ont été respectées. L'enquête pourrait se poursuivre dans le cadre d'une information judiciaire.

http://www.sudouest.fr/2012/08/26/-804233-4583.php

Marseille : entre la vie et la mort après les coups du rival amoureux

Des pulsions irrépressibles. Celle d'un homme incapable d'accepter la rupture avec sa compagne et qui se prépare au pire. Le genre de situation qui n'a rien d'exceptionnel, mais qui le devient lorsque l'individu en question passe à l'acte pour basculer dans le crime. Mardi soir, sur le cours Joseph-Thierry (1er), l'ex-époux a suivi son ancienne femme et son compagnon, un garçon de 24 ans et l'a battu, presque à mort. Il se trouvait encore hier soir dans un état de mort clinique à l'hôpital de la Timone.
Le couple vit semble-t-il dans le quartier et le mari inconsolable, domicilié dans le 10e arrondissement, a manifestement programmé leur rencontre. Lui semble d'autant plus contrarié qu'un jugement se prépare. Après celui qui a prononcé le divorce, le tribunal s'apprête désormais à décider de la garde des enfants. Une perspective qui mine l'ex-époux, âgé de 42 ans.
À proximité de la station de métro Réformés, sans même que le jeune homme qui lui tourne le dos ne s'en rende compte, il prend son élan et se jette les pieds en avant vers lui. La victime chute lourdement au sol, sous les yeux effarés de sa compagne. La suite est plus confuse. Selon le suspect, l'agression s'arrête là. Mais d'après la jeune femme et au moins un témoin des faits, d'autres coups pleuvent sur le garçon. Avec ses pieds et ses poings, il cogne sur son visage. La police intervient peu après les faits pour appréhender le quadragénaire.
Mais les dégâts semblent déjà irréversibles. Le blessé est inconscient et souffre de graves blessures à la tête. Transporté en urgence absolue à l'hôpital, il se trouvait dans un état désespéré hier soir. L'ex-mari jaloux, lui, est immédiatement placé en garde à vue. Hier, il devait être présenté à un juge d'instruction, avant sa très probable mise en examen pour tentative d'homicide et son placement en détention. Il avait déjà fait parler de lui, en décembre dernier. Son épouse, déjà traumatisée, avait déposé une plainte après le tabassage en règle commis par son mari. Elle venait de lui annoncer son désir de divorce

http://www.laprovence.com/article/a-la-une/marseille-entre-la-vie-et-la-mort-apres-les-coups-du-rival-amoureux

Un Suédois se tue à vélo dans les gorges du Cians

Un cycliste suédois de 40 ans a été victime ce samedi matin d'une chute mortelle dans les Gorges du Cians alors qu'il participait à une course à vélo .
L'homme a fait une chute d'une dizaine de mètres dans un ravin, près de Beuil, avant le tunnel de "la Petite clue", au cours de la septième et dernière étape de la "Haute Route", une course cyclo-sportive entre Genève et Nice.

http://www.nicematin.com/derniere-minute/un-suedois-se-tue-a-velo-dans-les-gorges-du-cians.971642.html

Un baigneur de 19 ans porté disparu en mer

Un jeune homme de 19 ans a été porté disparu en mer, emporté par une forte vague puis le courant, samedi en fin de journée sur la plage d'Hossegor dans les Landes.
Le jeune homme originaire de Mont-de-Marsan se baignait vers 19h dans une mer avec de fortes vagues, en compagnie de trois amis qui ont donné l'alerte en ne le voyant pas réapparaître.
Les secours ont été déclenchés, impliquant un hélicoptère de gendarmerie, un autre de l'armée de l'air, un jet-ski et un canot de sauvetage en mer, dispositif qui a été levé sans résultat après la tombée de la nuit, a-t-on précisé auprès du secours maritime.
 

Un Montalbanais se noie à Valras-plage

C'était jeudi soir vers 20h30 près du poste de secours des Mouettes sur la plage de Valras. Michel, 52 ans, de Montauban (Tarn-et-Garonne) se baignait avec son fils de 13 ans malgré une forte houle de sud-est lorsqu'il a été pris d'un malaise. La dernière patrouille des pompiers plongeurs venait de passer au large. Les postes de secours avaient prolongé la surveillance une heure de plus à la demande de la préfecture, car les vagues blanches étaient de retour sur les plages du Languedoc. Michel a été secouru mais n'a pas pu être ranimé. Un peu plus tard, un autre homme, de 65 ans, très imprudent, est partie en zodiac depuis Port Embonne au Cap d'Agde, sans gilet de sauvetage et dans cette mer dangereuse. On a retrouvé son corps dans la nuit sur le sable de Marseillan. Hier matin à Marseillan, un baigneur de 70 ans a été ranimé par les MNS et transporté à l'hôpital. La veille c'est une baigneuse de 80 ans qui avait subi le même sort à Frontignan, sauvée de justesse

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/25/1425459-un-montalbanais-se-noie-a-valras-plage.html

samedi 25 août 2012

Col de la Tourette : un chauffeur de poids lourd se tue en percutant une falaise

Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu avant minuit, un homme de 29 ans a percuté une falaise sur la RN88, en Lozère. Le chauffeur, originaire de l'Isle-d'Abeau et père de trois enfants, conduisait un poids lourd appartenant à son employeur, la société de transport stéphanoise, Sogranlotrans.
Un excès de vitesse serait à l'origine de l'accident. Le conducteur qui avait l'habitude d'emprunter cette route se trouvait à la hauteur d'un virage particulièrement dangereux. Cette route a déjà coûté la vie à trois personnes depuis le début du mois d’août. 

http://www.leprogres.fr/france-monde/2012/08/25/col-de-la-tourette-un-chauffeur-de-poids-lourd-de-29-ans-se-tue-en-percutant-une-falaise

Quatre enfants de 3 à 7 ans périssent dans un incendie

Un drame effroyable a coûté la vie à quatre frères et sœurs, suite à un terrible incendie dans un appartement, à Sarrebruck. Les jumeaux avaient 3 ans, les deux fillettes 5 et 7 ans. Les parents et leur bébé sont hospitalisés.

Ricardo et Ronaldo, des jumeaux de 3 ans, leurs sœurs Pamela, 5 ans, et Vanessa, 7 ans. C’est un drame véritablement effroyable qui a emporté quatre vies, hier matin, dans l’incendie meurtrier d’un immeuble de Sarrebruck, à deux pas de la frontière française de Schoeneck.
Vers 4 h 40, à Burbach, quartier populaire de Sarrebruck, un incendie s’est déclaré sous les combles, au 2 e étage d’un immeuble d’habitation situé 51, Von der Heydt Strasse. Alerté par un passant, le centre de secours et d’intervention tout proche dépêche aussitôt soixante pompiers sur les lieux, avec deux grandes échelles pivotantes, fourgons pompe-tonne et ambulances. En arrivant sur place, quatre minutes après l’alerte, les sauveteurs découvrent une femme, assise sur le rebord de la fenêtre, tenant un bébé dans ses bras et hurlant « au secours ». Juste à côté, d’immenses flammes sortent d’une autrre fenêtre, laissant imaginer un intense brasier. Plus à droite encore, à une autre ouverture, un homme crie « à l’aide ! »
Deux grandes échelles pivotantes sont alors déployées, pour secourir les parents, âgés de 28 et 27 ans, et leur bébé, Antonella, 11 mois. Tous sont intoxiqués par la fumée, mais l’un des parents parvient à avertir les pompiers de la terrible réalité qui le tenaille :« Il y a encore nos quatre enfants à l’intérieur ! »
Tandis que les pompiers transportent les deux adultes et le bébé à l’hôpital Winterberg à Sarrebruck – le pronostic vital n’est pas engagé – les soldats du feu, portant des masques, aspergent d’eau le couloir de l’immeuble, très enfumé et dégageant une forte chaleur, pour tenter d’entrer dans l’appartement en flammes. Dans une première chambre, ils découvrent un enfant inanimé, bien vite évacué vers une ambulance. Malheureusement, le médecin ne peut que constater son décès.
Dans une seconde chambre, les pompiers font une autre découverte épouvantable : les cadavres de trois autres enfants. Les jumeaux de la famille, âgés de 3 ans, Ricardo et Ronaldo, et leurs sœurs aînées Pamela, 5 ans, et Vanessa, 7 ans, ont tous les quatre péri dans le brasier. Tous sont vraisemblablement morts asphyxiés.

Origine inconnue

Le feu a pu être maîtrisé après une demi-heure d’intervention, par des pompiers profondément choqués. Le rez-de-chaussée et le 1 er étage n’ont pas été touchés par le feu. Les locataires ont pu quitter les lieux indemnes. Mais une cellule psychologique a été mise en place.
La police de Sarrebruck a ouvert, dès hier, une enquête pour déterminer l’origine de l’incendie. Les corps des trois enfants sont restés sur place jusqu’à 11h, « pour les besoins de l’enquête », a confié Stephan Lassotta, porte-parole de la police. Des enquêteurs et un médecin légiste ont notamment traqué le moindre indice et examiné la position des corps des jeunes victimes.
En fin d’après-midi, la cause de l’incendie était toujours indéterminée. À 16h30, lors d’une conférence de presse, Josef Schun, chef des pompiers professionnels, et Josef Lassotta, porte-parole de la police de Sarrebruck, ont expliqué que « les corps des enfants ont été autopsiés. Plusieurs analyses, certaines toxicologiques, sont en cours, pour établir la cause exacte de leur mort. La police va aussi interroger les malheureux parents, pour savoir ce qui les a réveillés, hier matin : la fumée, le crépitement de feu, un bruit suspect ou des cris de gens dans la rue ? »
Un drame qui plonge tout Sarrebruck et la Sarre dans un émoi bien légitime.

http://www.republicain-lorrain.fr/actualite/2012/08/25/quatre-enfants-de-3-a-7-ans-perissent-dans-un-incendie

Un jeune de 23 ans se noie sous les yeux de ses amis

Un homme de 23 ans, originaire de Grabels, s'est noyé samedi sous les yeux de ses amis lors d'une baignade matinale au retour d'une fête votive, dans le fleuve Hérault sur la commune de Saint-Guilhem-le-Désert (Hérault), en dépit de 45 mn de réanimation vaine par les secours sur place. a-t-on appris samedi auprès des pompiers.
La victime a coulé à pic et n'a pas pu être ranimée, en dépit de l'alerte rapidement donnée, vers 07 h 20. Selon la gendarmerie, le groupe d'amis rentrait de la fête votive de Saint-Gély-du-Fesc, au nord de Montpellier, où ils avaient passé toute la nuit, quand il ont décidé de faire une halte matinale pour se baigner, dans cette commune située à une quarantaine de kilomètres à l'ouest de Montpellier.

L'enquête confiée aux gendarmes de la compagnie de Gignac va devoir déterminer si le jeune homme était ivre au moment du drame, ainsi que les causes du décès (choc thermique, arrêt cardiaque...). Les auditions des amis de la victime sont en cours à la brigade de gendarmerie de Gignac.

http://www.midilibre.fr/2012/08/25/dma-un-jeune-se-noie-dans-l-herault,552628.php

Il se noie dans le fleuve Hérault

Un homme de 23 ans s'est noyé samedi sous les yeux de ses amis lors d'une baignade matinale au retour d'une fête votive, dans le fleuve Hérault sur la commune de Saint-Guilhem-le-Désert (Hérault), a-t-on appris samedi auprès des pompiers.

La victime a coulé à pic et n'a pas pu être ranimée, en dépit de l'alerte rapidement donnée, vers 07H20.

Selon la gendarmerie, le groupe d'amis rentrait de la fête votive de Saint-Gély-du-Fesc, au nord de Montpellier, où ils avaient passé toute la nuit, quand il ont décidé de faire une halte matinale pour se baigner, dans cette commune située à une quarantaine de kilomètres à l'ouest de Montpellier.

L'enquête confiée aux gendarmes de la compagnie de Lodève va devoir déterminer si le jeune homme était ivre au moment du drame, ainsi que les causes du décès (choc thermique, arrêt cardiaque...).


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/08/25/97001-20120825FILWWW00239-il-se-noie-dans-le-fleuve-herault.php