dimanche 30 septembre 2012

Jonhatan n'a pas survécu à sa chute

Jonathan Malingre, ce jeune homme de 23 ans, qui avait fait une chute de douze mètres jeudi soir à Cuffies à côté de Soissons est décédé hier matin des suites de ses blessures. Ce Chaunois, licencié au club de volley de la ville, avait voulu monter sur le toit d'une résidence où s'organisait une soirée étudiante et avait glissé.

http://www.aisnenouvelle.fr/info-en-direct

Alsace: un footballeur dans le coma

Selon les informations d'Europe 1, une violente bagarre a éclaté ce dimanche après-midi à Strasbourg, à l'issue d'un tournoi de football organisé par la mairie.
Toujours selon Europe 1, deux adolescents se sont affrontés. L'un d'eux, âgé de 13 ans, a été transporté à l'hôpital où il se trouve dans un état grave, son pronostic vital serait engagé. Son agresseur présumé a été interpellé et serait actuellement interrogé par la police.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/30/97001-20120930FILWWW00153-alsace-un-footballeur-de-13a-dans-le-coma.php

Sortie de route fatale à Moyeuvre

Moyeuvre-Grande s’est réveillée, hier matin, le moral en berne. Un enfant de la commune, est mort quelques heures plus tôt au volant de son véhicule. Une sortie de route a été fatale à Martial Spatari.
Le jeune homme de 31 ans circulait sur l’avenue du Conroy, en direction du centre de Moyeuvre-Grande. A l’intersection de la rue Jean-Burger, son amie, qui le suivait dans un autre véhicule, a vu sa Peugeot 206 se déporter sur la voie de gauche et percuter de plein fouet un candélabre. La voiture s’est échouée dans un talus en contrebas de la route.
Il est 2h30. Éjecté de l’habitacle, Martial Spatari, mécanicien de profession, est mort sur le coup.
Une enquête de police a débuté pour expliquer cette sortie de route brutale. Les agents du commissariat local ont réalisé des prélèvements sanguins, qui doivent désormais être analysés à l’hôpital Bel-Air.

http://www.republicain-lorrain.fr/moselle/2012/09/30/sortie-de-route-fatale-a-moyeuvre

Grenoble : les parents des victimes du double meurtre "anéantis"

Deux jours après le double meurtre de Grenoble, la mère d'une des victimes laisse éclater sa colère sur RTL. "Je suis anéantie, effondrée, désemparée, disloquée, ça me fait trop mal. Pas une mort gratuite comme ça. Ces scènes de la vie quotidienne deviennent banalisées. On ne peut pas se faire à l'idée que son fils meurt comme ça. Ce n'était pas un délinquant, il n'a jamais fait de trafic, c'est un garçon carré".
Son fils, Kévin, l'une des deux victimes de l'expédition punitive, était étudiant et venait juste de terminer une licence de management à Aix-en-Provence. Il s'était rendu à Grenoble pour passer le concours d'une école. "J'ai fait une lettre au ministre de l'Intérieur Manuel Valls, Je demande qu'il donne des moyens supplémentaires à la police ici, il faut que Grenoble soit inscrite dans les zones sensibles, avec des moyens supplémentaires. Il faut faire quelque chose, on ne peut pas continuer à laisser notre jeunesse se massacrer comme ça", poursuit la mère de Kévin, pédiatre dans la région de Grenoble. avant ce témoignage poignant, le ministre de l'Intérieur avait demandé au préfet et au directeur départemental de la sécurité publique "de mettre tous les moyens nécessaires à la disposition de l'enquête conduite sous l'autorité du procureur de la République, afin que les auteurs de ces actes barbares soient rapidement arrêtés". Le dispositif policier de présence sur le terrain est également "immédiatement renforcé pour les prochains jours".
"Les langues vont se délier"
Tout aurait débuté par une première dispute vendredi entre le petit frère de 16 ans d'une des victimes et un camarade, à la sortie du lycée. Un "mauvais regard" aurait provoqué une altercation entre les deux jeunes, à laquelle le grand frère de l'un d'eux se serait mêlé. Puis, vers 20H00, de manière" fortuite", deux groupes d'une quinzaine de personnes, composés des frères des adolescents qui s'étaient disputés précédemment, se seraient affrontés dans la rue, mais les policiers sur place n'avaient constaté aucune victime. Le camarade aurait alors dû présenter ses excuses au petit frère de la victime, ce qui aurait conduit à une troisième rixe, une "expédition punitive destinée à laver cet affront".
Vers 21H00, les deux victimes, âgées de 21 ans, étaient dans un parc de la Villeneuve, à Echirolles, lorsqu'un groupe d'une quinzaine de personnes, à pied et à scooter, muni de couteau, manches de pioche, marteau et batte de base-ball, s'est abattu sur eux, a expliqué le procureur de la République de Grenoble. "On n'est pas du tout dans le contexte qu'on voit parfois de règlement de comptes, de gangs", a-t-il insisté. Il s'agit, selon lui, d'"une bagarre d'une grande banalité qui a tourné de façon tragique, avec ces deux victimes, dans un déchaînement de violences difficilement explicable". La première victime est décédée après avoir reçu plusieurs coups de couteau, dont l'un mortel au thorax. Le second jeune homme, est décédé quelques heures plus tard. Des douilles d'une arme à feu non létale, provenant d'un pistolet à grenaille ont également été retrouvées dans le parc, entouré d'immeubles.
Une personne, considérée comme un témoin privilégié, a été entendue samedi à l'hôtel de police de Grenoble avant d'être relâchée. Aucune autre interpellation n'a eu lieu. "Les langues vont se délier. Nous allons entendre des témoins, ce qui devrait nous permettre d'en savoir plus sur ce qui s'est passé", a ajouté unresponsable de la police. Une marche blanche en hommage aux deux jeunestués aura lieu mardi soir.
 

SAINT-QUENTIN Dernier hommage à Renée Bertrand

Près de 350 personnes se sont réunies, hier, dans les rues de Saint-Quentin, lors de la marche blanche en hommage à Renée Bertrand-Baudry, tuée dimanche.

« C'était une femme incroyable.» L'émotion était à peine contenue, hier après-midi, dans le cortège de la marche blanche en hommage à Renée Bertrand, alias «Jackie» pour les intimes.

La sexagénaire a été froidement abattue, dimanche dernier, en début d'après-midi alors qu'elle était stationnée devant une pizzeria du boulevard Henri-Martin de Saint-Quentin. C'est de là que le cortège est parti, hier. Ils étaient plus de 350 à participer à cet hommage.

La marche blanche s'est déplacée jusqu'au palais de Fervaques, le siège du tribunal. Les yeux rougis, ils étaient nombreux à se souvenir de la défunte dans des termes élogieux. « C'était quelqu'un qui allait au-devant des problèmes des gens. Toujours prête à aider.» L'incompréhension règne parmi les proches de la victime.

Jackie réunissait tout le monde. Il n'y a qu'à voir son enterrement.» Les funérailles de la victime ont eu lieu le matin même dans la basilique. Près de 400 personnes étaient présentes. «Toutes les communautés, toutes les classes sociales étaient là. De l'élu au "petit truand".» Un détenu a bénéficié d'une autorisation de sortie. « C'était normal, c'était Jackie.»
Dans le silence, les participants de la marche blanche ont déposé des fleurs devant les grilles du tribunal. Un acte symbolique. Les proches de Jackie attendent désormais que les auteurs du drame soient identifiés. L'enquête est en cours.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Actualites/Info-regionale/Dernier-hommage-a-Renee-Bertrand

Meurtre de Juan-les-Pins: la victime asphyxiée et frappée

Maria-Christina Prieto, la retraitée de 82 ans assassinée vendredi dernier à Juan- les- Pins dans sa résidence secondaire de la rue Dulys, est morte asphyxiée et a été très violemment frappée à la tête, ainsi qu'au niveau de l'abdomen.

C'est ce qu'a révélé l'autopsie pratiquée à l'institut médico-légal de Nice par le Pr Quatrehomme et le Dr Alunni.

Ces examens confirment l'extrême violence de cette agression dont le caractère crapuleux semble être privilégié par les enquêteurs de la brigade criminelle de la PJ de Nice qui n'excluent aucune piste. Ils ont lancé des investigations tous azimuts et poursuivent l'enquête de voisinage.

La veuve, qui demeure à Salon-de-Provence, a été molestée et bâillonnée avec du ruban adhésif et un vêtement torsadé, alors qu'elle était seule avec son amie Yvette, 75 ans.

Cette dernière, handicapée physique, a, elle aussi, été battue et bâillonnée avant d'être dépouillée de ses bijoux. Toujours hospitalisée, elle ne se souvient de rien, sauf s'être vue mourir.

Elle a confié à des proches qu'elle a ressenti un tel effroi, qu'elle se demande comment son cœur n'a pas lâché.

Une information judiciaire pour vol avec violences ayant entraîné la mort a été ouverte

http://www.nicematin.com/antibes/meurtre-de-juan-les-pins-la-victime-asphyxiee-et-frappee.1004764.html

Accident mortel du Fraysse : le père de Julie amer après le non-lieu de la cour d'appel

Le 2 novembre 2008, deux étudiants de l'école des Mines d'Albi étaient tués sur la RD 999. L'état glissant de la chaussée posait question. Mais la cour d'appel de Toulouse a rendu un non-lieu après 4 ans d'instruction contre X pour homicides involontaires.
Il attendait de la justice qu'elle lui dise pourquoi sa fille Julie avait perdu le contrôle de sa voiture, ce dimanche soir funeste du 2 novembre 2008, à la sortie du village du Fraysse, sur la RD 999. Avec Edgar Zénian, un copain de sa promo IFI 2009, Julie Moutou rentrait à l'école des Mines d'Albi, à la fin des vacances de la Toussaint. Après 4 ans d'études, ils devaient passer leur diplôme d'ingénieur à la fin de l'année. Un brillant destin qui s'est brisé dans le long virage de «Frayssinet», quand la Renault Clio conduite par Julie est partie en crabe avant de percuter une Citroën ZX break qui arrivait en sens inverse. Les deux étudiants seront tués sur le coup.
«Tous les témoins ont déclaré que la route était une vraie patinoire, certains ont dit qu'ils avaient du mal à conserver leur équilibre», rappelle Roland Moutou. Le papa de Julie, qui vit près de Montpellier, a reçu il y a quelques jours un courrier de la cour d'appel de Toulouse. Quatre ans après l'ouverture d'une information judiciaire contre X pour «homicides et blessures involontaires» (1), le dossier se referme sur un non-lieu.
Le jeudi précédent le drame, quatre accidents matériels s'étaient produits dans ce virage. La faute à un camion qui aurait perdu de l'huile, entre Saint-Sernin-sur-Rance et Albi.
«L'expertise demandée par le juge d'instruction a affirmé que l'huile répandue par le camion ne pouvait plus être présente sur la route à cause des pluies qui sont intervenues dans l'intervalle. Mais les prélèvements sur la chaussée et sur le véhicule effectués deux jours après l'accident n'ont été analysés qu'un an plus tard», regrette Roland Moutou. Il émet donc «un sérieux doute sur la validité de ces analyses».

Mauvais temps ou mauvais revêtement?

Cet après-midi du 2 novembre 2008, il n'avait cessé de pleuvoir sur le secteur d'Alban et un épais brouillard commençait à tomber.
Les conditions étaient donc très difficiles sur la route de Millau. Carrément piégeuses dans ce virage de «Frayssinet» ? C'était tout l'enjeu de ce dossier. Roland Moutou a relevé que, «deux jours après l'accident, les gendarmes revenus sur les lieux signalent aux services du procureur que l'état glissant de la route constitue un réel danger. Il est alors ordonné d'installer une signalisation de danger, ce qui n'avait pas été fait depuis le jeudi, malgré les accidents constatés.»
Le complément d'expertise a aussi indiqué «la présence d'une grande flaque d'eau de 10 m dans le virage», notant qu'avec une meilleure drainabilité de la chaussée, «il est tout à fait possible que la perte de contrôle n'aurait pas eu lieu ou aurait pu être rattrapée».
Ce même document s'intéressait à l'état du revêtement, se demandant «pourquoi il avait été refait 8 mois après l'accident mortel» et notant que l'étude rendue par un laboratoire de Bordeaux sur l'adhérence «présentait des erreurs manifestes». «Tous ces éléments, présents dans le dossier, ne figurent plus dans les attendus de la décision de non-lieu rendue par le procureur et suivie par la cour d'appel de Toulouse qui n'en fait pas non plus état», s'étonne Roland Moutou. Et cet «ex-père», très amer, de conclure : «Les instances judiciaires font mention d'un malheureux concours de circonstances. Je ne connais pas les organisateurs de ce concours, je n'en connais que les perdants».
(1) Le conducteur de la Citroën, un habitant de Curvalle, avait été grièvement blessé.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/29/1452105-le-pere-de-julie-amer-apres-le-non-lieu-de-la-cour-d-appel.html

samedi 29 septembre 2012

Retrouvé pendu à l'hôpital

Louis Carpentier, 91 ans, a mis fin à ses jours, samedi vers 20 heures, dans sa chambre d'hôpital en se pendant de son lit avec ses vêtements. Il était le dernier des Forces françaises libres (FFI).
Louis Carpentier avait trois enfants (deux garçons et une fille) qui vivaient dans la région. Il avait travaillé comme contremaître à l'usine de textile de la commune, puis à la sucrerie de Marle. Suite au décès de son épouse, il y a trois ans, il vivait seul dans sa petite maison.
Jeudi dernier, une chute l'a mené au centre hospitalier de Guise et devait en sortir sous peu. Il devait aller chez sa fille, en attendant son rétablissement.
Mais depuis plusieurs jours, selon un proche, « il n'avait pas le moral et surtout il ne voulait pas dépendre des autres. »
Jeudi, il a reçu la visite de son meilleur ami, Michel Delange, responsable de l'association Rhin Danube, dont il faisait partie et rien ne laissait envisager cette fin tragique.


http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/retrouve-pendu-a-lhopital

CLAIROIX (60) Un motard se tue en percutant un mur

Un accident de la route a fait un mort, ce samedi 29 septembre aux alentours de 0h30, rue de la République à Clairoix.
Un homme de 31 ans, habitant le secteur et circulant à moto en direction de Noyon, aurait perdu le contrôle de son engin, une Suzuki de 750 cm3 et percuté un mur.


Dépêchés sur place, les pompiers de Noyon ont procédé à de nombreuses tentatives de réanimation. L'homme est finalement décédé au centre hospitalier de Compiègne.

Des analyses sont en cours pour déterminer les circonstances du drame. On ne sait pas encore si la vitesse est à l'origine de l'accident. Aucun autre véhicule ne serait impliqué. La brigade de Choisy-au-Bac est chargée de l'enquête.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-motard-se-tue-en-percutant-un-mur

Un motard anglais décédé, son épouse polytraumatisée

Un homme de 55 ans, venu d'outre-Manche pour une randonnée à moto entre amis, est mort après avoir perdu, pour une raison inconnue, le contrôle de son deux-roues.
Hier après-midi, vers 16 h 30, à l'entrée du hameau de Saint-Nicolas, un groupe d'une douzaine de motards anglais roulait sur la RD1. Pour une raison encore inconnue, l'un d'entre eux a perdu le contrôle de sa Honda et lourdement chuté sur le bitume.
Malgré l'intervention rapide des premiers secours, l'homme, âgé de 55 ans, natif de Rochester (Kent), est très rapidement décédé. Passagère de la moto accidentée, l'épouse de la victime a été grièvement blessée sans que ses jours soient en danger. Évacuée vers le centre hospitalier de Manchester où elle devait être opérée dès hier soir, elle semblait, d'après les premiers examens, souffrir de plusieurs fractures.
Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Revin pour tenter d'expliquer les causes de ce drame de la route. D'après les premières constatations, la vitesse ne semble pas en cause. Les témoins ont par ailleurs affirmé qu'aucun véhicule n'arrivait sur l'autre voie en sens inverse.
« Randonnée paisible »
L'accident s'est produit dans un virage en phase légèrement descendante, bordé par un rail de sécurité. Sur ce même tournant s'était cependant déjà produit, voici deux semaines, un accident de moto ; le pilote avait alors été touché à l'épaule. À quelques mètres s'élève l'usine EDF de Saint-Nicolas-les-Mazures, dont quelques employés ont tenté de prodiguer des premiers soins à la victime.
Encore sous le choc, les motards anglais, compagnons de route de longue date de la victime, ont confié aux enquêteurs l'itinéraire de leur périple : débarquée hier à Calais, la petite troupe avait prévu de rejoindre la Belgique. Le seul objectif de ces touristes d'un âge respectable semblait de profiter des paysages et de sillonner les routes pour le plaisir. « Cela ressemble à une randonnée paisible entre amis. Leurs motos étaient plus dans la catégorie des gros tracteurs que des bolides », résumait un enquêteur. Après avoir été entendus, les motards sont repartis pour la Belgique, où ils avaient réservé un gîte pour la nuit. Le groupe endeuillé se rendra aujourd'hui au chevet de leur amie.
Devant quelques badauds, les gendarmes, avant de rétablir la circulation, ont également pris soin de disperser sur la route un produit destiné à absorber l'huile répandue sur le bitume. La moto accidentée, quasiment intacte, était évacuée vers un garage revinois, tandis qu'à côté du corps de la victime recouverte d'un drap blanc, se trouvait son casque, là encore quasiment sans trace de choc. « Ni son casque ni sa moto ne l'ont protégé dans sa chute », regrettait encore un militaire sur place.
En début de soirée, les autorités préfectorales ardennaises ont contacté le consulat britannique pour le prévenir de la mort d'un de leurs ressortissants. Celui-ci est la quatorzième victime recensée cette année sur les routes ardennaises.

http://www.lunion.presse.fr/article/ardennes/un-motard-anglais-decede-son-epouse-polytraumatisee

Un mort dans un incendie à Paris

Un homme est mort dans la nuit de vendredi à samedi dans l'incendie d'origine inconnue d'un immeuble à Paris, a annoncé la Régie immobilière de la ville de Paris (RIVP) dans un communiqué diffusé samedi.
"Un incendie mortel a eu lieu durant la nuit du 28 au 29 septembre sur un immeuble de la RIVP. Le feu s'est déclaré dans un logement du rez-de-chaussée de l'immeuble, situé 19 cité Beauharnais", dans le XIe arrondissement, selon la RIVP. "Un homme est décédé, sa femme et ses deux enfants ont été conduits à l'hôpital pour observation", indique la même source sans donner de détails sur les circonstances du drame.
Au total, cinq familles ont été évacuées de l'immeuble pendant l'incendie. Une fois celui-ci éteint par les pompiers, quatre ont pu regagner leur logement dans la nuit, la cinquième étant hébergée par des connaissances, précise la RIVP.
 

Marssac-sur-Tarn. Il promenait son chien : le piéton tué sur l'avenue d'Albi

Drame de la route hier soir à Marssac. Vers 17h15, un piéton s'est fait renverser par une voiture sur l'avenue d'Albi, à l'intersection de la rue Jean-Fraisse. Il devait décéder quelques minutes plus tard. Selon les premières constatations, ce vieux monsieur, qui promenait son chien, aurait traversé l'avenue à hauteur de la zone pavillonnaire. Le conducteur d'une Seat qui sortait du village en direction de la rocade d'Albi n'a pu éviter le choc. Il ne semblait pas rouler vite sur cette portion de la RD 988 où la vitesse est limitée à 50 km/h. Les pompiers et une équipe médicale du Samu d'Albi ont tenté en vain de ranimer le piéton, en arrêt cardio-respiratoire.
Hier soir, les gendarmes d'Albi avaient la plus grande difficulté à identifier la victime. Cet homme, âgé d'environ 75 ans, n'avait ni papiers ni clés sur lui. La maire de Marssac Anne-Marie Rosé, qui s'est rendue sur place avec ses deux premiers adjoints, ne le connaissait pas. Les riverains de ce quartier résidentiel non plus. Les enquêteurs ont même fait appel à un vétérinaire, dans l'espoir que l'identification du chien permette de mettre un nom sur le visage de son maître. Renversé lui aussi par la voiture, ce petit chien de couleur beige clair, avec des oreilles tombantes, est sorti indemne. Tandis que le corps de la victime était transporté à la morgue de l'hôpital d'Albi, les gendarmes attendaient encore hier soir qu'un membre de sa famille, inquiet de ne pas le voir rentrer, se manifeste et permette ainsi d'identifier formellement cet homme.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/29/1451804-marssac-sur-tarn-il-promenait-son-chien-le-pieton-tue-sur-l-avenue-d-albi.html

Cuffies (02) : la soirée des étudiants finit mal

Jeudi soir, un ancien étudiant en sport est tombé du 3e étage d'une résidence du campus Soissons-Cuffies (02).
Les faits se sont déroulés vers 1h30 dans la nuit de jeudi à vendredi au cours d'une soirée estudiantine.

Jonathan a fait une chute de 10 mètres du troisième étage de la résidence Paul-Claudel, après avoir vraisemblablement tenté de grimper sur le toit du bâtiment. Hospitalisé à Soissons, ce jeune homme de 23 ans est en état de mort cérébrale.

L'enquête de gendarmerie devra établir le rôle joué par l'alcool et potentiellement les stupéfiants dans ce drame.

Jonathan n'était plus étudiant. Il avait quitté la faculté des sciences et techniques des activités physiques et sportives en juin dernier. Jeudi soir, il avait été invité par des amis encore étudiants à Soissons.

http://www.google.com/url?sa=X&q=http://picardie.france3.fr/info/cuffies-02--la-soiree-des-etudiants-finit-mal-75569890.html&ct=ga&cad=CAEQAhgAIAAoATABOAFA8u6XgwVIAVAAWABiBWZyLUZS&cd=Cd2ebP2M_wk&usg=AFQjCNES4-cuuhvpyxat2uTxXwuBAAS7dg

La mamie fauchée par le facteur est décédée

Placée en soins intensifs, après avoir été renversée accidentellement par un facteur en scooter (Midi Libre des 27 et 28 septembre), Yvonne Barrabès est décédée des suites de ses blessures, hier soir, à l’hôpital toulousain de Purpan.
L’accident dont a été victime la vieille dame s’est déroulé, lundi, à 9 30, sur l’avenue Jules-Verne, dans le quartier du Viguier. L’octogénaire se rendait alors à la boulangerie. Rapidement alertés, les pompiers et les urgentistes du Samu 11 avaient dû médicaliser la victime, inconsciente, sur place, avant de la transporter aux urgences de l’hôpital Antoine-Gayraud, dans un état jugé très critique.

Âgée de 82 ans, l’octogénaire était la grand-mère de Pierre et Edouard Barrabès, qui tiennent le bar basque “le Makhila”. Résidant avec son époux, Michel, non loin de la clinique Montréal, elle était l’une des adhérentes du foyer de l’Age d’or, au Viguier.
Durant près de 35 ans, elle avait tenu un magasin d’électroménager, avec son mari, en haut du boulevard Barbès. Retraitée depuis, Yvonne Barrabès avait eu une fille, Francine, et un garçon, Gérard, trop tôt disparu le 27 août 2009. Elle était également arrière-arrière grand-mère.
En ces circonstances douloureuses, la rédaction de Midi Libre s’associe à la peine de la famille, et présente ses plus sincères condoléances.

http://www.midilibre.fr/2012/09/28/carcassonne,569612.php

Saïx et Roquecourbe, deux villages dans la peine après la mort d'un jeune couple

À la suite du terrible accident survenu mercredi soir au Bez et qui a coûté la vie à un couple de jeunes gens, deux villages sont dans la peine : Saïx et Roquecourbe.
Un couple de très jeunes gens a perdu la vie dans un accident de la circulation survenu mercredi soir, vers 19 heures, sur la RD622. Leur voiture, qui circulait dans le sens Brassac-Castres, est partie en crabe dans un tournant sur la gauche au moment où survenait le bus Maury effectuant la ligne Castres-Murat. Le choc ne leur a laissé aucune chance.
Mélanie Viegas n'avait que 19 ans, et son compagnon Brayan Lacourt, 21 ans. Un couple qui s'était formé presque dans l'adolescence, voilà près de quatre ans maintenant. Elle était la fille cadette d'une famille de Roquecourbe, et lui, le fils aîné d'une famille de Saïx.
Comme toujours en pareil cas, et plus encore aujourd'hui en raison de la présence des réseaux sociaux internet, la terrible nouvelle a circulé comme une traînée de poudre.

Elle coiffeuse et lui carrossier

Deux villages ont été plongés dans l'effroi puis la peine. La famille de Brayan est installée à Saïx depuis une dizaine d'années. Mélanie était la «petite» dernière de la famille, son frère (gendarme sur la Côte d'Azur) et sa sœur l'ayant précédée de plusieurs années. Brayan a un frère de 12 ans, collégien à Castres. Le jeune homme avait choisi de devenir carrossier.
Mélanie, passionnée d'équitation, avait achevé récemment sa formation de coiffeuse au lycée Notre-Dame et travaillait dans la galerie marchande du Siala à Castres.
Son papa, Georges, ancien granitier à Lacrouzette, a durant de longues années prêté main-forte à l'Aviron castrais.
«Depuis que je suis élu, c'est la première fois que je me trouve dans une telle situation. C'est terrible, confie le maire de Roquecourbe Pierre Moderan. Aller annoncer ça à une famille en pleine soirée… Huit jours seulement après mon élection, il s'était produit un accident à la sortie de Roquecourbe. Je m'étais rendu sur place. C'était déjà insupportable. Mais, la victime n'habitant pas sur la commune, je n'avais pa eu la difficile charge de me rendre dans la famille. C'est vraiment très difficile à gérer.»

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/28/1451252-deux-villages-dans-la-peine.html

vendredi 28 septembre 2012

Cahors: un bébé décède d'une méningite

Un bébé de 13 mois est décédé des suites d'une méningite à méningocoque de type B, trois heures après son admission au services des urgences de l'hôpital de Cahors, a-t-on appris auprès de l'Agence régionale de santé (ARS) de Midi-Pyrénées. Le garçonnet a été conduit aux urgences par son père jeudi.

La crèche venait d'alerter cet habitant de l'Hospitalet, un village proche de Cahors, que l'enfant présentait des symptômes de ce qui ressemblait alors à une gastro-entérite. Malgré les efforts des médecins, l'enfant est décédé trois heures après son arrivée aux urgences d'une méningite due au méningocoque de type B, pour laquelle il n'existe aucun vaccin.
Aussitôt, des mesures ont été prises pour éviter la propagation de la maladie qui se transmet par sécrétions pharyngées. La trentaine de personnes en contact direct avec l'enfant décédé, les membres de sa famille, le personnel de la crèche et les enfants présents, ont été traités aux antibiotiques. La crèche, fermée vendredi, rouvrira ses portes lundi.
En France, plus de 500 cas déclarés de méningite à méningocoque de type B et C, ont été enregistré en 2011, parmi lesquels entre 15 et 20 en Midi-Pyrénées, selon les estimations de l'ARS. Sur ces cas, 10% de décès sont à déplorer.
 

Lagnieu : un jeune homme de 19 ans perd la vie dans un choc frontal

Brouillard ou manœuvre dangereuse ? Les causes du choc restent à déterminer. Toujours est-il que la Citroën C2 s’est déportée à gauche et est venue heurter de plein fouet un poids lourd circulant en face. Le jeune conducteur du véhicule, âgé de 19 ans, est mort sur le coup.
La circulation a été perturbée près de deux heures, le temps de procéder à l’enlèvement des véhicules accidentés. Les gendarmes de Lagnieu devront établir les causes de ce nouvel accident mortel sur les routes de l’Ain.
http://www.leprogres.fr/ain/2012/09/28/lagnieu-un-jeune-homme-de-19-ans-perd-la-vie-dans-un-choc-frontal

Loire. Il se tue en chutant d'un mur d'escalade

Un jeune homme de 24 ans est décédé jeudi soir en chutant d'un mur d'escalade à Saint-Priest-en-Jarez, dans la Loire.
La victime, qui est tombée d'une hauteur de 7 à 10 mètres, avait été transportée inconsciente dans la soirée à l'hôpital, où elle est décédée dans la nuit. Des scellés ont été apposés aux entrées du gymnase où a eu lieu l'accident, dans l'attente de la possible venue d'un expert. Le jeune homme pratiquait ce sport dans le cadre d'un club, dont des membres doivent être entendus par les enquêteurs.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/28/1451541-loire-il-se-tue-en-chutant-d-un-mur-d-escalade.html

Lors d'une séance de photo, il chute de 12 mètres et se tue à la Daurade

Un jeune homme de 28 ans est mort, mercredi soir, après une chute accidentelle de 12 mètres entre le quai de la Daurade et la place Saint-Pierre. Il a été déséquilibré en s'asseyant lors d'une séance photo.
Un jeune homme de 28 ans, Bruno Maçon, domicilié à Toulouse, a été victime d'une chute fatale, mercredi soir, entre le quai de la Daurade et la place Saint-Pierre à Toulouse.
Il se promenait, vers 21 h 30, sur le trottoir du quai Lombard, au bord de la Garonne, avec trois amis dont sa compagne. Le groupe a voulu prendre une photo depuis ce point de vue très prisé. En voulant s'asseoir, dos à la Garonne, sur le parapet en pierre qui surplombe la promenade Henri-Martin, le jeune homme a mal calculé son élan.
Il a perdu l'équilibre et n'a pas pu reprendre prise. En une fraction de seconde, il est tombé en arrière dans le vide sans que les personnes qui l'accompagnaient n'aient la possibilité de lui prêter assistance.
Il a lourdement chuté d'une hauteur de 12 mètres, sur le sol en pierre de la promenade Henri-Martin. Les sapeurs-pompiers et la police, alertés par les témoins, sont arrivés rapidement sur place mais le jeune homme n'a pu être ranimé. Il est décédé sur les lieux.

Ses amis pris en charge par les pompiers

Très choqués, ses trois amis qui ont assisté à toute la scène ont dû être pris en charge par les pompiers. Comme le veut la procédure, une enquête de police a été ouverte mais la thèse de la chute accidentelle ne fait pas de doute. Des analyses ont été ordonnées afin de déterminer si la victime avait consommé de l'alcool.
Il ne s'agit pas de la première chute mortelle sur ces bords de Garonne très prisés des noctambules toulousains, à deux pas de la place Saint-Pierre.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/28/1451123-toulouse-il-chute-de-12-metres-et-se-tue-a-la-daurade.html

Heurté par un chauffard qui a pris la fuite, un piéton entre la vie et la mort

Un homme de 47 ans se trouve actuellement entre la vie et la mort après avoir été percuté par un chauffard dans la nuit de jeudi à vendredi dans le quartier des Chalets.
L'homme qui conduisait le véhicule a pris la fuite et une enquête a été ouverte pour le retrouver.
La victime se trouvait au bord d'un passage piéton vers 1h40 du matin et tenait son vélo à la main en discutant avec une amie.
Une voiture est alors arrivée à vive allure et a heurté l'homme de plein fouet avant de prendre la fuite.
La victime a été transportée à l'hôpital dans un état très grave et son pronostic vital est engagé.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/28/1451534-un-pieton-entre-la-vie-et-la-mort-heurte-par-un-chauffard-qui-a-pris-la-fuite.html

Béarn : l'étudiant qui s'est jeté d'un pylône de télévision est décédé

Le jeune garçon de 18 ans qui s'est jeté, mercredi soir, d'une plate-forme d'un relais de télévision, à Assat, est décédé dans la nuit, à l'hôpital de Pau. Deux vététistes qui passaient à proximité du pylône perdu au milieu des champs de maïs, ont aperçu le jeune garçon perché à plus de 20 mères du sol et donné l'alerte vers 17h30.
Une trentaine de pompiers, gendarmes et secouristes du Samu ont été envoyés sur les lieux. Pendant plus deux heures, un pompier, relayé par deux psychologues du Samu puis un négociateur de la gendarmerie ont tout essayé pour ramener le jeune garçon à la raison. En vain. La victime a sauté dans le vide sous leurs yeux.

Une enquête a été ouverte pour comprendre les raisons d'un tel geste désespéré. D'après les premières investigations, le jeune homme originaire d'Ousse et étudiant en prépa-ingénieur à Pau n'aurait pas supporté la pression scolaire et une déception amoureuse.

http://www.sudouest.fr/2012/09/27/bearn-l-etudiant-qui-s-est-jete-d-un-pylone-de-television-est-decede-833473-4749.php

Anne Alassane de MasterChef revient sur la mort de ses enfants : «Ce drame m’a atteinte à jamais»

Près de neuf mois après le terrible incendie qui a causé la mort de deux de ses enfants à Montauban, Anne Alassane, MasterChef 2010, fait son grand retour aux commandes d’une émission culinaire sur France 3 Limousin et Poitou-Charentes, chaque dimanche. L’occasion pour celle qui tient une ferme-auberge dans le Tarn-et-Garonne de présenter ce nouveau projet et de revenir sur le drame qui a bouleversé à jamais sa vie, dans une interview accordée à TéléLoisirs.
Anne Alassane explique que c’est France 3 qui l’a sollicitée pour participer à l’émission « Péché Gourmand » : la chaîne « cherchait quelqu’un d’un peu connu pour lancer un nouveau format d’émission, même si le titre existait déjà, et qui soit cuisinière tout en étant appréciée et proche des gens. C’est vrai que je correspondais à cette image ». La gagnante de MasterChef a été séduite par le côté « échange et partage » de cette expérience.

"J'ai un lien particulier avec les gens"

Depuis 2010 et sa victoire dans le concours organisé par TF1, Anne Alassane s’était faite plutôt discrète, se concentrant sur sa ferme-auberge « la Pays’Anne » à Montauban. Dans son entretien avec TéléLoisirs, elle avoue d’ailleurs que la première chaîne ne lui a jamais rien proposé en termes de projets télévisuels.
Mais pas question pour elle de comparer ce come-back sur France 3 à une sorte de thérapie pour oublier la mort de deux de ses enfants en début d’année : « C'est sûr qu'on me l'aurait proposé l'année dernière, je n'aurais peut-être pas accepté mais simplement, du fait de ce qui s'est passé, j'ai un lien particulier avec les gens. »

"La vie continue"

Anne Alassane justifie enfin son passage dans l’émission « Sept à Huit » sur TF1 où elle était revenue sur son drame familial : « Je n'ai rien médiatisé du tout. Il s'est avéré que ça a été très médiatisé, et j'en ai subi les conséquences. Donc à un moment donné, quand j'ai été approchée par notamment Sept à Huit et d'autres émissions pour témoigner, c'était aussi l'occasion de montrer que je ne suis pas ce drame. Ça fait complétement partie de ma vie et ça m'a atteinte à jamais, mais je suis autre chose. Donc à un moment donné, je me suis dit que puisque c'était tant médiatisé, et à mon insu, autant utiliser les médias pour montrer que la vie continue, que j'ai d'autres enfants et que j'avance. »

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/27/1450556-anne-alassane-de-masterchef-revient-sur-la-mort-de-ses-enfants-ce-drame-m-a-atteinte-a-jamais.html

jeudi 27 septembre 2012

Bilan alourdi dans la collision sur la RN 31

L'homme grièvement blessé à la suite de l'accident survenu mardi soir, sur la RN 31, est décédé. Une Soissonnaise est morte sur le coup dans cette collision.
L'accident de la route, survenu mardi soir, à 18h30, sur la RN 31, à Ressons-le-Long, a coûté la vie à une seconde personne. L'homme de 39 ans, transporté dans un état critique au centre hospitalier de Soissons, est décédé quelques heures plus tard, à 23h55.
II avait percuté la Ford Focus break de Karine Guery (née Alexandre), qui rentrait des vendanges. Cette femme de 38 ans, mariée et mère de trois enfants de 17, 15 et 12 ans, est morte sur le coup.
Elle demeurait depuis quelque temps à Autrêches, dans l'Oise, mais elle est née à Soissons où elle a fait toute sa scolarité. Elle a, notamment, fréquenté le collège de Belleu et le lycée professionnel Camille-Claudel. Elle avait gardé ses attaches familiales à Soissons. Elle a fait partie de la Pétanque soissonnaise pendant plusieurs années, ainsi que de Villeneuve's dance, où sa fille dansait. Elle était passionnée d'animaux et, en particulier, de dressage de chiens.
Cariste en intérim, elle avait pris ce travail de saisonnière pour améliorer le quotidien. Une proche évoque « une personne très droite et courageuse ». Ses obsèques auront lieu, lundi, en l'église du quartier de Presles, à Soissons.
Il semblerait que la vitesse soit en cause dans cette collision particulièrement violente, en témoigne l'état des véhicules. Le moteur de l'Audi a même été éjecté.
Compteur bloqué à 140 km/h
Les gendarmes ont constaté que son compteur était bloqué à 140 km/h. D'après les différents témoignages recueillis, le conducteur de l'A3, qui roulait en direction de Soissons, se serait soudainement déporté sur la voie de gauche, où circulait dans l'autre sens Mme Guery. Une troisième voiture, une Renault Espace, a été accrochée mais son occupant n'a été que légèrement blessé.
Sébastien Chimot, âgé de 39 ans, né à Saint-Quentin dans l'Aisne, demeurait à Raray, dans l'Oise. Il était célibataire et exerçait la profession de chef de culture dans une exploitation agricole.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/bilan-alourdi-dans-la-collision-sur-la-rn-31

Hommage ce jeudi au policier tué par un chauffard à Cannes

Manuel Valls, ministre de l'Intérieur, sera présent à Nice, ce jeudi, pour rendre hommage à Amaury Marcel, le policier tué dans un tragique accident samedi à Cannes.
La cérémonie se déroulera à partir de 14 h 30 à la caserne Auvare en présence de nombreuses autorités.

À cette occasion, le gardien de la paix sera promu au troisième échelon du grade de lieutenant de police à titre posthume.
Amaury Marcel, décédé à l'âge de 27 ans, avait également été gendarme adjoint au sein du PSIG de Cannes et était médaillé de la Défense nationale, avant d'exercer à la Police aux frontières.

http://www.nicematin.com/nice/hommage-ce-jeudi-au-policier-tue-par-un-chauffard-a-cannes.1001891.html

Trop endetté, un couple de retraités se suicide

Un couple de sexagénaires a été retrouvé sans vie ce week-end à son domicile d'Ance, dans les Pyrénées-Atlantiques. Selon le parquet de Pau, les deux retraités se seraient donné la mort avec une arme à feu en raison de difficultés financières.
"Un de leurs fils les a retrouvés lundi morts à leur domicile. Ils étaient enlacés sur le divan de leur salon", a précisé Sébastien Ellul, vice-procureur de la République de Pau. L'homme, un ancien ingénieur, était âgé de 66 ans. Son épouse, retraitée de l’Éducation nationale, avait 65 ans. Le couple a été tué d'une seule balle. "La piste du double suicide avec une seule arme semble se dessiner", a estimé le magistrat. "Le couple a laissé un écrit expliquant les raisons de son geste lié à d'importants problèmes" financiers "dus à des placements en bourse infructueux", a-t-il précisé. "Il n'y a pas d'éléments d'effraction ou autres qui pourraient diriger les enquêteurs vers une autre hypothèse", a-t-il encore indiqué. "Nous sommes dans un cadre de décès peu courant", a toutefois signalé Sébastien Ellul. Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie de Bedous. Une autopsie doit être pratiquée par l'Institut médico-légal de Toulouse.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/27/1450568-juge-trop-risque-le-vaccin-contre-la-grippe-ne-fait-pas-recette.html

Le Bez. Collision contre un bus : deux jeunes Tarnais décèdent

Un nouveau drame de la route s'est produit hier soir, coûtant la vie à deux jeunes Sud-tarnais. Tous les témoins visuels sont unanimes : tout le monde roulait doucement. Mais la pluie fine avait rendu la chaussée glissante. Vers 19 h, une voiture qui circulait sur la RD622 dans le sens Brassac - Castres est partie en crabe dans un tournant vers la gauche légèrement incurvé. Malheureusement, pile à ce moment-là, survenait un autocar effectuant la ligne Castres-Murat sur Vèbre. Malgré les efforts du chauffeur, le choc latéral fut inévitable. La petite Volkswagen grise du jeune conducteur fut heurtée côté droit. La passagère a été tuée sur le coup. Le conducteur s'est rapidement retrouvé en arrêt cardio-respiratoire.

Ils avaient 19 et 21 ans

Malgré la réanimation tentée par les secours, il devait décéder quelques instants plus tard. Mélanie Viegas, de Roquecourbe n'avait que 19 ans. Brian Lacourt de Saïx, 21 ans. Tous deux s'en revenaient d'une ferme brassagaise… pour acquérir une voiture !
Le chauffeur de bus et l'un des deux passagers, un homme et une femme, ont été commotionnés et transportés au centre hospitalier. Le conducteur du transport collectif de la société Maury de Brassac, William Ledoare, avait quitté la gare routière de Castres à 18 h 20. Il devait rejoindre Murat à 19 h 40… Mais, 22 km plus loin, à 2 km de Brassac, le drame : vers 19 heures, arrivé au niveau du carrefour D622/ St Agnan, lieu-dit Amiguet situé sur la commune de Le Bez, juste devant la station-service et garage Renault, il voit une voiture glisser sur la chaussée. Il se déporte autant que possible sur sa droite, évitant de peu de basculer dans le fossé. Le choc… puis, une glissante d'une trentaine de mètres sur sa gauche. Le car s'immobilisant dans l'herbe.

D'importants moyens

Les passagers des véhicules qui suivaient le bus, bien que sous le choc, tentent de porter secours aux victimes. Les secours sont alertés. A l'évocation de la présence d'un bus, d'importants premiers moyens sont mis en branle : 4 ambulances, 2 véhicules de désincarcération, un véhicule feu, le Smur de Castres, et même l'hélicoptère 31. Le tout sous les ordres du capitaine Nicolas Morlans du Groupement sud, des capitaines Patrick Cante et Christian Mercier, du lieutenant Jean-Michel Satgé, et du médecin-colonel Jean-Pierre Lauthier. Nombreux également sur le site et placés sous les ordres du capitaine Blanc, les gendarmes mettent en place un dispositif routier et de sécurisation. À noter également sur place la présence du maire de Brassac.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/27/1450344-collision-contre-un-bus-deux-morts.html

PICQUIGNY Un mort à l’écluse

Ce mercredi, vers 7h45, un habitant de Picquigny, âgé de 90 ans, a été retrouvé mort, dans le canal, à hauteur de l’écluse locale.

Son corps a été sorti par les pompiers d’Amiens, alerté par un passant. La brigade de gendarmerie de Picquigny s’est également rendue sur les lieux.

Cet habitant de Picquigny de pure souche, ancien employé municipal et frère de l'ancien maire, Jean-Jacques Rousseau, aurait mis fin à ses jours.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-mort-a-l-ecluse

AMIENS (80) Une femme se pend en se jetant du 8e étage

Une femme s'est donnée la mort mardi après-midi rue de Condorcet à Amiens. Elle s'est pendue en se jetant du son balcon.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Une-femme-se-pend-en-se-jetant-du-8e-etage

mercredi 26 septembre 2012

Sortie de route mortelle à Foulayronnes (47)

Un homme de 40 ans est décédé ce matin, mercredi, dans un accident de voiture, à Foulayronnes (47) vers 9 h 45. Sa mère était au volant. Elle a perdu le contrôle du véhicule, au lieu-dit Lac de Talives, sur une route sinueuse. Elle conduisait en direction d'Agen, sens où la route est en pente descendante.
Son fils, Fabrice Lacombe, avait pris place sur le siège de passager, à l'avant. Il était décédé à l'arrivée des secours. La conductrice, légèrement blessée, a été transportée au centre hospitalier d'Agen.

Une enquête est en cours, qui tentera de déterminer avec plus de précision les causes de cet accident mortel.

http://www.sudouest.fr/2012/09/26/sortie-de-route-mortelle-a-foulayronnes-47-832367-7.php

Une femme tuée, un homme entre la vie et la mort

Un accident d'une rare violence a coûté la vie à une mère de famille de 38 ans, hier en soirée, sur la RN 31, entre Vic-sur-Aisne et Soissons.
IL était 18 h 40, hier, lorsque la collision s'est produite. Un automobiliste en provenance de l'Oise, roulant en direction de Soissons, a perdu le contrôle de son Audi A 3, sur la RN 31, à Ressons-le-Long, entre Vic et Soissons, et a percuté de plein fouet la portière côté conducteur d'une Ford Focus break circulant en sens inverse. A l'intérieur, une femme de 38 ans est morte sur le coup. Un véhicule Espace a aussi été accroché mais son occupant s'en est sorti avec des blessures légères. Il n'aurait pas souhaité être transporté à l'hôpital.
Le choc a été si violent que l'on retrouvera le moteur de l'Audi à 100 mètres du véhicule, dont l'avant était pulvérisé. Son conducteur, un homme de 39 ans, résidant à Compiègne, dans l'Oise, était en arrêt cardiaque lorsque les pompiers et le Smur sont arrivés. Il a pu être ranimé. Il a fallu le désincarcérer avant de le transporter dans un état critique au centre hospitalier de Soissons. Son pronostic vital était engagé hier soir.
La femme ayant perdu la vie était mère de famille. Elle résidait à Autreche, dans l'Oise, et rentrait chez elle lorsque l'accident est survenu.

Comportement « anormal »

Les gendarmes des brigades de Soissons, Vic et Villers-Cotterêts, le chef d'escadron Olivier Lefèbvre et son adjoint le capitaine Patrice Beaujoin, ainsi que la brigade motorisée de Soissons, se sont rendus sur place. Pendant que les uns s'employaient à dévier la circulation sur des axes périphériques, les autres cherchaient à comprendre les circonstances du drame. D'après des témoins, le conducteur de l'Audi, à l'origine de l'accident, aurait eu, sur la route, un comportement « anormal ». Sans que l'on sache encore les causes exactes qui ont conduit cet homme à dévier sa trajectoire.
Cet accident d'une rare violence, d'après l'état des véhicules impliqués, a nécessité un déploiement de secours important, venant des centres de secours de Vic et Soissons, sous le commandement de l'adjudant-chef Arnaud Vassal.
Le maire de la commune, Nicolas Reberot, ainsi que son adjointe, Patricia Lucot, se sont rendus sur lieux. Le vice-procureur, Eric De Valroger, également.
La circulation a été totalement interrompue sur cette portion de route pendant au moins une heure et demie


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/une-femme-tuee-un-homme-entre-la-vie-et-la-mort

Mort d'un sapeur dans le feu des Milles : "Un homme gentil et un équipier expérimenté"

Depuis hier après-midi, la grande famille des soldats du feu est sous le choc. Yvan Vignaroli, sous-officier, a été tué par l’effondrement d’une poutre maîtresse lors du spectaculaire incendie dans la zone des Milles à Aix-en-Provence, alors qu’il posait une lance sur le sol, juste à l’entrée d’un entrepôt en proie aux flammes. "Pas plus tard que ce midi, il était encore à la caserne, il est venu faire cuire les steaks pour les jeunes pompiers en stage", soupire un pompier. Yvan Vignaroli, ancien mineur à Gardanne, était sapeur-pompier volontaire depuis une trentaine d'années. "Un passionné, Yvan, qui devait prendre sa retraite très bientôt. Mais il restait très actif, très dynamique, investi chez les sapeurs-pompiers. C'était sa passion", confie un de ses collègues.
Père de famille
Yvan Vignaroli, âgé de 60 ans et père de deux filles de 26 et 30 ans, avait été longtemps le président de l'amicale des sapeurs-pompiers du centre de secours de Gardanne. "C'était quelqu'un de particulièrement gentil et disponible. Nous sommes tous sous le choc", ajoute un collègue de la victime, très ému. Hier soir, une grande partie des effectifs gardannais était en caserne, entourant les proches d'Yvan Vignaroli.
Les autorités présentes sur place ont présenté leurs condoléances à la famille et aux camarades d'Yvan Vignaroli. "Un homme victime de son devoir", a commenté Dominique Moyal, le procureur de la République d’Aix. Sur tous les visages, c’est la consternation. Et le chagrin. "Perdre un homme, c’est ce qu’il y a de pire", lançait avec beaucoup de pudeur, et d’émotion, un officier des sapeurs-pompiers. Le préfet de région Hugues Parant a rappelé pour sa part que "cet événement tragique rappelle le caractère dangereux des missions de secours que les pompiers accomplissent quotidiennement sur l'ensemble du territoire, au service de leurs concitoyens, et souvent au péril de leur vie".

http://www.laprovence.com/article/actualites/mort-dun-sapeur-dans-le-feu-des-milles-un-homme-gentil-et-un-equipier-experimente

Il périt dans sa voiture en feu près du tunnel

À quelques kilomètres du tunnel d'Aragnouet et de l'Espagne, un conducteur d'une voiture immatriculée en Haute-Garonne a perdu la vie pour une raison indéterminée.
Il faisait beau, la route était sèche, hier, à Aragnouet, vers 13 h 30, quand, pour une raison indéterminée, un véhicule immatriculé en Haute-Garonne, venant d'Espagne, a fait une embardée et s'est embrasé sur la route d'accès au tunnel d'Aragnouet-Bielsa, au-dessus de la douane, côté français.
La voiture a fini sa course sur la chaussée, ce qui a provoqué une interruption de la circulation jusqu'à 17 h 30 sur l'axe provenant et menant à l'Espagne.
Le conducteur a été retrouvé carbonisé et les gendarmes de l'identification criminelle de Tarbes ont été dépêchés sur place pour mettre un nom sur ce qui restait du corps de la victime.
Un peu plus tard dans la soirée, on apprenait que la dépouille avait été transportée vers l'institut médico-légal de Toulouse.
Les chauffeurs des poids lourds et les touristes de passage, devant emprunter le tunnel, ont été tenus à l'écart et ont patienté pendant de longues heures, sans vraiment savoir ce qui se passait.
Ainsi, ces Espagnols manifestant leur impatience en bord de route et cherchant désespérément des informations.
Certains chauffeurs des poids lourds en profitaient pour se reposer dans leur cabine avant de reprendre la route, mais sans connaître la durée de leur immobilisation.
Heureusement que le trafic était relativement réduit à cette heure de la journée, qui plus est en semaine, sinon la perturbation aurait été conséquente.
12 pompiers de Saint-Lary, placés sous le commandement de Michel Brousse, ont été mobilisés sur cet accident, de même que les gendarmes de Vignec, la brigade motorisée et un médecin du Samu.
Si pour l'heure, on ne sait si cet accident est dû à une vitesse excessive ou à un problème technique, voire à une autre cause, il faut rappeler que cette descente menant à la vallée d'Aure est sinueuse et dangereuse.
La prudence est donc recommandée sur ces routes de montagne où le moindre écart peut être fatal
http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/26/1449031-aragnouet-un-accident-mortel-pres-du-tunnel.html

Accident fatal d’un Guénangeois

Il était environ 0h40, dans la nuit de dimanche à lundi, lorsqu’un dramatique accident s’est produit sur l’A31, dans le sens Metz-Thionville, à la hauteur de la bretelle de sortie de Mondelange. Pour une raison encore inconnue, un automobiliste guénangeois, âgé de 28 ans, a brutalement perdu le contrôle de sa BMW 325.
La voiture a percuté, dans un premier temps, le muret central séparatif des chaussées avant de finir sa course en travers des voies de circulation. Quelques minutes plus tard à peine, une seconde voiture est arrivée sur les lieux qui ne sont pas éclairés. Surpris par la présence de la BMW en travers des voies de circulation, le conducteur de cette Ford C-Max n’est pas parvenu à l’éviter. Ces deux habitants d’Haucourt-Moulaine, âgés de 49 et 50 ans, ont été blessés. Pris en charge par le SMUR ainsi que les sapeurs-pompiers de Yutz, Hagondange et Moyeuvre-Grande, les deux victimes ont été transportées à l’hôpital Bel-Air de Thionville où elles se trouvaient toujours hier matin.
À l’arrivée des secours, le conducteur de la BMW, qui était coincé dans l’habitacle de son véhicule, était décédé. Sur place, les CRS du peloton autoroutier de Moulins-lès-Metz ont procédé aux constatations d’usage en vue de l’enquête qui devra, notamment, déterminer la raison pour laquelle ce Guénangeois a subitement perdu le contrôle de sa berline. Divers prélèvements toxicologiques et d’alcoolémie ont été réalisés mais les résultats ne devraient pas être connus avant plusieurs jours.
Quant à la circulation, elle a été légèrement perturbée sur ce tronçon qui avait été coupé. Une déviation a été mise en place par la bretelle de sortie de Mondelange entre 1h20 jusqu’à 3h pour permettre aux secours d’intervenir en toute sécurité.

http://www.republicain-lorrain.fr/faits-divers

HONDAINVILLE (60) Un éboueur meurt fauché par une voiture

Un rippeur a été victime d'un accident de la circulation au cours de la nuit de mardi, à 4 h 30, sur la D12 à Hondainville, commune de l'Oise située entre Beauvais et Creil.

Une voiture a fauché l'éboueur qui est décédé malgré l'intervention des secours.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Un-eboueur-meurt-fauche-par-une-voiture

mardi 25 septembre 2012

PACA: un pompier décède sur un incendie

Un sapeur-pompier a été tué aujourd'hui lors d'une intervention sur un feu d'entrepôt dans la zone industrielle des Milles, près d'Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône), a-t-on appris auprès des secours.

La victime est décédée lors de son transport par hélicoptère sur l'hôpital Nord de Marseille, a-t-on précisé de même source. Ce pompier volontaire du centre des sapeurs-pompiers de Gardanne a été touché par la chute d'une poutre en intervenant sur le feu d'une entrepôt de matériel électro-ménager de 4.500 m2.

Une centaine de pompiers et 25 engins de lutte contre l'incendie restaient mobilisés en fin d'après-midi sur le sinistre qui s'est déclaré vers 13h30 pour une raison encore inconnue.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/25/97001-20120925FILWWW00571-paca-un-pompier-decede-sur-un-incendie.php

Belfort : dramatique perte de contrôle

Géraldès, a perdu la vie dans un accident de la circulation à l’entrée de Grandvillars, dimanche soir. Selon les premiers éléments recueillis sur place, une Renault Mégane circulait en direction de Delle, rue du Lieutenant-Rusconi (RD 19). Pour une raison indéterminée, vers 23 h, à l’entrée de la commune de Grandvillars, la voiture qui roulait à vive allure, s’est déportée sur le côté droit de la chaussée. Elle a heurté le panneau d’entrée d’agglomération.
« Regardez », indiquait un infirmier du Samu, « la voiture a descellé le panneau et a arraché un plot en béton. Et une roue de la voiture est arrachée »
Le véhicule a poursuivi sa course folle en heurtant le Stop de la piste cyclable, puis a glissé dans le fossé. Elle s’est immobilisée, sur le toit, devant le bâtiment commercial des Bâches Laily après un tonneau.
À leur arrivée sur place, une douzaine de pompiers de Bourogne, Grandvillars et Delle, commandés par le lieutenant Philippe Gérard, et les médecins du Samu 90 ont porté secours à un quadragénaire très choqué. Il a été orienté vers le centre hospitalier de Belfort. Le second occupant, M. Géraldès était en arrêt cardio-ventilatoire. Les secours ont procédé à un dégagement d’urgence pour le ranimer. Leurs efforts ont été inutiles.
L’enquête devra déterminer qui conduisait, les deux occupants n’ayant pas attaché leur ceinture de sécurité. Les gendarmes attendaient aussi les résultats d’un prélèvement sanguins effectué sur le défunt.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2012/09/25/dramatique-perte-de-controle

Un retraité périt dans les flammes

Selon l'hypothèse privilégiée par les gendarmes, un octogénaire s'est immolé par le feu, hier, à l'orée d'un sous-bois situé à La Chute des eaux, un lotissement de chalets situé à l'écart de Prouilly.
RAYMOND RUDLOFF « bricolait tout le temps ». Souvent, on le voyait aussi faire du feu à la limite du sous-bois situé à quelques pas de la grille ouvrant sur la cossue propriété cernée de cyprès qu'il habitait avec sa seconde épouse, une commerçante rémoise de plusieurs décennies sa cadette. C'est là, à une trentaine de mètres des courts de tennis de La Chute des eaux, un lotissement de chalets sis à l'écart de la commune de Prouilly, que cet ancien vigneron et promoteur immobilier a perdu la vie dans des conditions insoutenables, hier après-midi, à l'âge de 84 ans.
Le corps de l'octogénaire était en proie aux flammes lorsque l'alerte a été donnée. Il l'était encore à l'arrivée des sapeurs-pompiers, aux alentours de 14h45. « Je suis rentré chez moi vers 12h20 », relate un résident du lotissement. « Ça fumait, comme d'habitude. Puis, ma copine est rentrée à 14h55. Les pompiers et les gendarmes étaient là. J'ai cru alors que quelqu'un avait eu un malaise. »
Les événements étaient malheureusement beaucoup plus tragiques. Selon toute vraisemblance, l'homme se serait en effet immolé. C'est en tout cas l'hypothèse retenue par les gendarmes de Fismes et de la brigade de recherches de Reims chargés de l'enquête sur les causes de sa mort, même si toutes les hypothèses restent ouvertes. « Rien ne permet pour le moment de pencher pour un homicide », a cependant indiqué le lieutenant-colonel Husson, commandant de la compagnie de gendarmerie de Reims.
Les lieux ont rapidement été gelés, empêchant tout au long de l'après-midi les riverains d'approcher. Sur place, le fils de la victime, Eric Rudloff -son successeur depuis de nombreuses années à la tête de l'entreprise viticole de Prouilly -, ainsi que la maire, Catherine Malaisé, ont longuement échangé avec les gendarmes, tandis que les techniciens de l'identification criminelle procédaient aux prélèvements d'usage.
Néanmoins, les circonstances exactes dans lesquelles la victime aurait mis fin à ses jours restaient suspendues, hier soir, aux auditions des personnes qui se trouvaient sur les lieux, ou à proximité, au moment des faits. Une autopsie doit par ailleurs avoir lieu demain à l'institut médico-légal de Reims. L'analyse d'un certain nombre d'objets calcinés, retrouvés près du corps, devrait également éclairer les enquêteurs sur la façon dont Raymond Rudloff serait passé à l'acte. De même que la reconstitution de son emploi du temps avant les faits devrait permettre de rassembler de nouvelles pièces du puzzle.
On ignore d'ailleurs si le retraité a couché ses intentions sur une lettre. Les gendarmes se sont refusés à tout commentaire à ce sujet. Mais on sait que Raymond Rudloff ne vivait pas que de beaux jours à La Chute des eaux. « Il s'était mis beaucoup de gens à dos », raconte un riverain, propriétaire d'un chalet. « Il ne payait plus ses charges. » Ce que confirme un autre habitant. « Et puis, il y avait des problèmes avec l'électricité », confie ce dernier. Sans compter d'autres déboires liés à la construction du lotissement dont il est à l'origine.
L'octogénaire a-t-il ainsi voulu mettre un terme à ses tourments juridiques et financiers en même temps qu'à ses jours ? Rien ne permet de le dire pour le moment. Peut-être était-il malade. « Je l'avais trouvé changé ces derniers temps », indique une habitante. « Il avait maigri. » À moins que le mobile soit d'ordre sentimental. Autant d'incertitudes parmi lesquelles la plus importante : Raymond Rudloff s'est-il bien suicidé ?
http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-retraite-perit-dans-les-flammes

CONCHY-LES-POTS (60) Jugé pour l’accident mortel

Le tribunal correctionnel de Compiègne juge ce mardi matin un jeune homme pour homicide involontaire, usage de stupéfiants et pour conduite à une vitesse excessive. En avril l’affaire avait été renvoyée.


Ce matin d’hiver, à l’aube, les cinq amis occupants du véhicule rentraient de Compiègne où ils avaient passé la soirée en discothèque après avoir dîné au restaurant. Fatigués, les passagers arrière dormaient, le conducteur luttait contre le sommeil. Il avait stoppé le véhicule, puis décidé de reprendre la route pour finalement perdre le contrôle du véhicule.

Après l’accident, la procureure de Compiègne, Ulrika Delaunay-Weiss, avait déclaré : « Depuis que je suis arrivée à Compiègne, c’est l’accident le plus grave qui se soit produit sur le ressort. »

Le 28 janvier, une marche blanche était organisée à Roye, d’où étaient originaires les victimes. L’émotion était alors très vive, elle le sera encore évidemment ce mardi

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Juge-pour-l-accident-mortel

Accident de chasse : "Le fusil aurait dû être déchargé"

Deux jours après le dramatique accident de chasse à Vendres, qui a coûté la vie à un enfant de 9 ans samedi, Max Alliès, vice-président de la fédération départementale de chasse, revient sur les circonstances du drame.
Samedi, un chasseur a accidentellement tiré sur son fils de 9 ans aux abords de l'étang de Vendres. Si les faits exacts restent à déterminer, il a été établi avec certitude que le coup est parti seul, alors que le père de la victime était en train de saisir son fusil. Mais comment faut-il se déplacer avec un fusil de chasse ?

Pour Max Alliès, vice-président de la fédération départementale de chasse, la règle est claire : "Dès que l’on doit franchir un obstacle une barrière, un ruisseau, un fossé, une route, dès que l’on passe à proximité d’une habitation, de piétons, ou dès que l’on doit poser le fusil pour une raison quelconque il faut décharger le fusil, enlever les munitions", dit-il.
"À la maison non plus, on ne laisse jamais une arme chargée"
"Le fait d’ouvrir le canon ne suffit pas, précise-t-il encore. Le fusil peut se refermer en tombant ou par un faux mouvement et cela peut être fatal. À partir du moment où une arme a des munitions, elle est dangereuse. À la maison non plus, on ne laisse jamais une arme chargée. Et on ne laisse même pas les munitions à proximité de l’arme". La fédération mène régulièrement des formations rappelant les règles de sécurité

http://www.midilibre.fr/2012/09/24/accident-de-chasse-le-fusil-aurait-du-etre-decharge,567590.php

Un motard de 48 ans meurt coupé en deux à Labège

Un drame aux conséquences effroyables s'est joué samedi soir vers 21 h 40, sur la départementale 16 qui permet de rejoindre Labège depuis la sortie Montaudran, sur le périphérique de Toulouse. À la sortie d'une légère courbe à gauche, un motard de 48 ans a perdu la maîtrise de son engin, une Honda Hornet 600 cm3. Le motard a été éjecté et a heurté de plein fouet un lampadaire, sur le côté droit de la route. Le choc a été d'une violence extrême et le corps du conducteur s'est coupé en deux lors de l'impact. Les pompiers ont été alertés mais n'ont rien pu faire, la victime, Didier Raimbaud, qui vivait à Toulouse, a été tuée sur le coup. La moto a poursuivi sa route en glissant sur le bitume. Les gendarmes l'ont retrouvée environ 80 mètres plus loin…
«On connaît le danger du mobilier urbain pour les conducteurs de deux- roues. Les supports des glissières de sécurité sont par exemple très dangereux en cas de chute», souligne un officier de l'escadron départemental de la sécurité routière de la gendarmerie. Le lampadaire heurté par le motard est tout en rondeur, sans arrête tranchante. «Il est malheureusement probable que le motard roulait très vite, trop vite», estime un gendarme.
Motard expérimenté, Didier Raimbaud, père d'une petite fille, se trouvait avec d'autres amis motards quand il a été victime de la sortie de route samedi soir. Les gendarmes ont ouvert une enquête pour comprendre cet accident.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/24/1447141-un-motard-de-48-ans-se-tue-a-labege.html

lundi 24 septembre 2012

3 morts dans un accident à la Réunion

Trois ouvriers qui travaillaient le long d'une route à quatre voies à la Réunion ont été tués lundi par une voiture dont le conducteur a perdu le contrôle et qui a été grièvement blessé, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

Les trois victimes, âgés de 27, 37 et 49 ans, faisaient partie d'un groupe de six ouvriers travaillant pour une société d'entretien sur la voie rapide de Sainte-Marie (nord de l'île).
Ils ont été fauchés en début d'après-midi alors qu'ils effectuaient des travaux d'élagage sur le bord de la route, à proximité de l'aéroport de Gillot.

Selon plusieurs témoins, le véhicule en cause, qui roulait à vive allure, a fait une sortie de route et est allé heurter de plein fouet le groupe d'ouvriers, avant de finir sa course sur le toit.

Deux ouvriers ont été tués sur le coup, le troisième est décédé des suites de ses blessure. Le chauffeur de la voiture a été grièvement blessé dans l'accident. Le parquet a ouvert une enquête.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/09/24/97001-20120924FILWWW00693-3-morts-dans-un-accident-a-la-reunion.php

Un jeune homme de 21 ans décède dans un accident sur la RD 904

Lundi matin, un peu avant 9 heures, au lieu-dit les carrones le long de la RD 904, entre Savigneux et Ambérieu en Dombes, une collision frontale a eu lieu entre un véhicule léger et un véhicule utilitaire.
Le choc a été extrêmement violent. Arrivés sur place, les secours n’ont pu que constater le décès du conducteur de l’automobile, un jeune homme de 21 ans. Selon les premiers éléments, il semblerait qu'il était en cours de dépassement lorsque la collision s’est produite.


http://www.leprogres.fr/faits-divers/2012/09/24/un-jeune-homme-de-21-ans-decede-dans-un-accident-sur-la-rd-904

Grandvillars: un homme meurt après une perte de contrôle

Un quadragénaire a perdu la vie dans un accident de la circulation à l'entrée de Grandvillars, dimanche soir. Selon les premiers éléments recueillis sur place, une Renault Mégane circulait en direction de Delle rue du lieutenant Rusconi (RD 19). Pour une raison qui n'a pas encore été déterminée, peu après 23 h à l'entrée de la commune de Grandvillars, l'automobiliste qui selon toute vraisemblance roulait à vive allure, a fait une brutale embardée sur le côté droit de la chaussée. A-t-il été gêné par un animal, un autre automobiliste ? A-t-il été distrait par quelque chose ou quelqu'un ? C'est ce que déterminera l'enquête. Toujours est-il que la voiture a heurté le panneau d'entrée d'agglomération.

"Regardez", précisait un infirmier du Samu, " la voiture a descellé le panneau et a arraché un plot en béton »
Le véhicule a poursuivi sa course folle en heurtant le stop de la piste cyclable. Il a ensuite glissé dans le fossé avant de s'immobiliser, sur le toit, devant le bâtiment commercial des Bâches Laily après des tonneaux.
A leur arrivée sur place, une douzaine de pompiers de Bourogne, Grandvillars et Delle commandés par le lieutenant Philippe Gérard et les médecins du Samu 90 ont porté secours à un quadragénaire très choqué. Il a été orienté vers le centre hospitalier de Belfort. Hier soir, il était dans l'incapacité d'expliquer les circonstances de l'accident. Quant au second occupant de la voiture, dont l'identité n'avait pas encore été déterminée cette nuit, il était en arrêt cardio-ventilatoire. Les secours ont procédé à son dégagement d'urgence pour tenter une réanimation. La victime a finalement été déclaré décédée
Pendant les opérations de secours et les constatations des gendarmes, la circulation a été réduite à une seule voie.
 

GRANDFESNOY (60) Choc mortel pour le motard

Un motard a glissé sur un trottoir et heurté un poteau, à Grandfresnoy, à côté de Compiègne, ce dimanche 23 septembre, vers 21 h 30.

Il n'a pas survécu à l'accident qui s'est produit route de Sacy

Les circonstances exactes restent à déterminer.

http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Choc-mortel-pour-le-motard

Un jeune de 21 ans tué dans un terrible accident de voiture

Pierre Boy, un jeune Lézatois de 21 ans, bien connu dans les milieux du basket, a trouvé la mort dans un terrible accident qui s'est produit au cours de la nuit de samedi à dimanche, à quelques centaines de mètres à peine du domicile de ses parents.
Dans la nuit de samedi à dimanche, aux alentours de 2 heures du matin et pour une raison encore indéterminée, un jeune homme originaire de Lézat sur Lèze, Pierre Boy, âgé de 21 ans a perdu dans la vie dans un accident de voiture. En pleine ligne droite, ce dernier a perdu le contrôle de son véhicule sur la RD626 route de Carbonne à 2 kilomètres de Lézat. Son véhicule après a quitté sa voie, a traversé la route et est venu percuter un peuplier, puis a terminé sa course en contre bas, s'immobilisant sur le toit. À cette heure avancée de la nuit, sur la zone du lieu-dit Lacaze non éclairée, personne n'a remarqué le véhicule complètement démantibulé dans le petit fossé.

À quelques centaines de mètres de chez lui

L'alerte a finalement été donnée après 8 heures par un automobiliste de passage, qui a distingué la voiture dans le fossé, s'est arrêté, et a prévenu les secours. Les gendarmes de Lézat et secours sont arrivés sur place. Les pompiers de Lézat et le lieutenant Paul de la caserne de Pamiers rendus sur place ont procédé à une désincarcération. Malheureusement le jeune homme était décédé sur place. Un accident terrible qui s'est produit à une centaine de mètres seulement du domicile de ses parents chez qui Pierre Boy vivait, le mas Mounery situé sur les hauteurs d'une petite colline.
Ce nouvel accident dans le secteur de Lézat plonge une famille dans le deuil mais aussi toute la commune de Lézat où Pierre Boy était connu, tout particulièrement dans les milieux du basket. Jusqu'à récemment, le jeune homme était licencié au Coquelicot Lézatois, où il évoluait en équipe seniors, en réserve.
Basketteur depuis l'enfance Il avait gardé, au sein de ce club qu'il fréquentait depuis l'enfance, de nombreux amis. Samedi soir, il aurait passé la soirée avec des joueurs de l'équipe 2, qu'il avait rejoints à Saint-Ybars, où l'un d'eux fêtait son anniversaire. C'est sur le chemin du retour que le dramatique accident s'est produit. La tragédie de ce week-end plonge la petite commune de Lézat dans une vive douleur, dont ont témoigné hier le maire du village, Jean-Claude Courneil, qui a été appelé sur les lieux de l'accident, et de nombreux membres du club de basket de Lézat. Pierre Boy était le fils de Véronique et Germain Boy, entrepreneur bien connu de la commune, qui dirige une entreprise spécialisée dans les espaces verts.
Reste que la vallée de la Lèze connaît une forme de série noire. En effet, cette tragédie s'est produite une semaine tout juste après la terrible collision frontale survenue dimanche dernier, au petit matin, sur la commune d'Artigat. À la suite d'une violente collision, trois personnes ont été blessées dont une grièvement, et évacuée sur le CHU de Purpan à Toulouse par hélicoptère.
La rédaction de «La Dépêche du Midi», en cette très pénible circonstance, présente ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches de Pierre Boy, et tout particulièrement à ses parents et à sa sœur aînée, ainsi qu'à tous ceux que ce deuil afflige.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/24/1446963-lezat-sur-leze-tue-dans-un-terrible-accident-de-voiture.html

Un homme se jette sous un train sur la ligne de TER Lyon-Grenoble

Hier vers 14 h 30, un homme s’est jeté sous un TER qui circulait dans le sens Grenoble-Lyon.
Le train express régional venait de quitter la gare de Bourgoin-Jallieu et n’était qu’à un kilomètre de celle de L’Isle d’Abeau.
À la sortie d’une légère courbe, à la hauteur du nouveau collège de Champoulant, un homme a soudain surgi des buissons pour plonger littéralement sous la motrice du train.
Surpris, le conducteur n’a rien pu faire pour empêcher le drame, sinon stopper le TER, à hauteur de la gare de L’Isle-d’Abeau, afin de donner l’alerte.
Les gendarmes de la compagnie de L’Isle-d’Abeau, les pompiers de Bourgoin-Jallieu et de Saint-Quentin-Fallavier, ainsi qu’une équipe de la Sncf, sont rapidement arrivés sur place pour établir un terrible constat. Sur les rails, gisait le cadavre déchiqueté d’un homme, dont l’identité était encore inconnue hier soir, aucun papier n’ayant été retrouvé sur lui.

Le trafic perturbé durant plusieurs heures

Le train en cause est resté en gare, le temps qu’un conducteur d’astreinte puisse être conduit sur place pour remplacer son collègue, comme le prévoit le règlement de la Sncf.
Le trafic ferroviaire a été interrompu sur les deux voies jusqu’à 17 heures. Selon la Sncf, quatre TER et un TGV ont été bloqués à cause du drame, avec des retards allant jusqu’à deux heures. En début de soirée, le trafic était revenu à la normale sur la ligne.

http://www.leprogres.fr/rhone/2012/09/24/un-homme-se-jette-sous-un-train-sur-la-ligne-de-ter-lyon-grenoble

Un homme de 26 ans, s’est tué au volant de sa voiture hier matin

« Tout ressemble à un assoupissement », commente l’adjudant-chef Grégory Vuillaume de la communauté de brigades de Cuisery.
Dimanche matin, Stéphane Lyet, un jeune homme de 26 ans, habitant Saint-Trivier-de-Courtes dans l’Ain, a perdu le contrôle de son véhicule sur la départementale 975, à hauteur de Brienne (Sâone-et-Loire).
Il circulait seul à bord de sa Renaud Laguna en direction de Romenay, quand il a légèrement mordu l’accotement à droite, avant d’être déporté sur la voie de gauche et de terminer sa course dans le mur d’une maison dont les propriétaires étaient absents.
Le choc a été extrêmement violent.
L’avant de la voiture était entièrement enfoncé et le pare-brise en miettes.
Les pompiers de Romenay et de Tournus ont été alertés à 9 h 17.
Sur place, ils ont procédé à la désincarcération du corps.
Contacté, le Samu de Mâcon n’a pu que constater le décès à son arrivée.
Le conducteur est décédé sur le coup.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Cuisery étaient sur place, sous les ordres du capitaine Monneret de la compagnie de Louhans. Ils ont effectué une enquête de voisinage pour collecter des habitants.
Si les secours ont bien été prévenus à 9 h 17, ils suspectent que l’accident ne soit arrivé plus tôt.
« Il avait pas mal d’amis dans le coin. Il devait rentrer chez lui », confie l’adjudant-chef Vuillaume.
Le jeune homme, originaire de Vernoux (01), une commune située entre Saint-Trivier-de-Courtes et Romenay, était carrossier.
Il venait d’avoir une petite fille avec sa compagne, en juin dernier.

http://www.leprogres.fr/ain/2012/09/24/un-homme-de-26-ans-s-est-tue-au-volant-de-sa-voiture-hier-matin

Un chasseur tué lors d'une battue

Un homme de 83 ans a été mortellement touché par un tir lors d'une battue vers 13h00 à Saint-Martin-de-Brômes (Alpes de Haute-Provence). L'octogénaire, qui chassait seul, a été touché par le tir d'un chasseur participant à une battue au sanglier, a précisé la même source.

Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet de Digne-les-Bains et l'auteur du tir a été entendu par les gendarmes de la Brigade de recherche de la gendarmerie de Digne-les-Bains. Contacté par l'AFP, le procureur de Dignes-les-Bains, Pierre-Jean Gaury, n'a pas souhaité confirmer cette information.
Dans l'Hérault, près de Béziers, un enfant de 9 ans a été tué accidentellement samedi soir sous les yeux de son père, par le fusil de ce dernier coincé dans des barbelés. Dans le Gers, un sexagénaire est mort dimanche en fin de matinée, atteint en pleine tête par une décharge de son fusil alors qu'il glissait dans un fossé.
 

La Marne (44). Un homme meurt fauché par un poids lourd

C'est une information de "Presse Océan".  Samedi, peu après 6 h 50, sur la RD117, dans le sens La Marne-Machecoul (44), un homme, qui marchait le long de la voie express, a été percuté par un poids lourd. Et il n'y a pas survécu. Et nos confrères d'ajouter : "Quelques minutes plus tôt, des automobilistes (...) avaient contacté la gendarmerie pour signaler la présence de ce piéton le long de la route".

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/nantes/la-marne-44-un-homme-meurt-fauche-par-un-poids-lourd-22-09-2012-1847456.php

dimanche 23 septembre 2012

Gers : un chasseur tué par son arme après avoir glissé dans un fossé

Ce nouveau drame endeuille la grande famille des chasseurs français. Un homme, âgé de 64 ans, qui prenait part à une chasse au faisan avec un de ses amis, non loin de la commune d'Eauze, à l'ouest du Gers, est mort foudroyé par une décharge de plomb en pleine tête après avoir glissé avec son arme.
Le fusil était chargé et le coup est parti lorsque cet homme a glissé dans un fossé. La décharge de petits plombs l'a atteint dans la tête, indiquent les gendarmes. C'est l'ami de la victime, situé à une centaine de mètres, qui a prévenu les gendarmes. Les secours n'ont rien pu faire pour le sexagénaire, qui est mort sur le coup.

Samedi soir, un autre drame a frappé la communauté de la chasse.
Un garçon de neuf ans est mort dans l'Hérault à la suite d'une mauvaise manipulation d'un fusil de chasse.

Boutenac-Touvent (17) : écrasée par sa propre voiture

Samedi vers 18 h45, le corps de Louisette Renouleau a été découvert devant son domicile au lieu dit « Chez-Vinet » sur la commune de Boutenac-Touvent en Charente-Maritime. Selon les gendarmes, il semblerait que la malheureuse âgée de 67 ans, ait été renversée par son véhicule dont le frein à main ait été mal serré, la rue étant légèrement en pente. La voiture a poursuivi sa course sur quelques mètres avant de s'immobiliser contre un tas de bois. Il est probable que l'accident soit intervenu une heure environ avant la découverte du corps.

http://www.sudouest.fr/2012/09/23/boutenac-touvent-17-ecrasee-par-sa-propre-voiture-829260-7.php

Une jeune fille se blesse grièvement après une chute de quatre étages

Une jeune fille de 16 ans s'est gravement blessée, dans la nuit de vendredi à samedi, au 13 rue de la Mine à Quiévrechain. Peu avant deux heures du matin, l'adolescente aurait voulu quitter l'appartement de sa fenêtre, au quatrième étage de l'immeuble. Selon les premières sources, elle aurait tenté de fuguer suite à un différend avec ses parents, sans doute pour un refus de permission de sortie.
La jeune fille aurait alors attaché plusieurs draps les uns aux autres (trois draps étaient visibles du quatrième étage jusqu'à quelques mètres du perron) afin de regagner le sol.
Mais elle n'a pu éviter la chute. Il est encore trop tôt pour savoir si le pronostic vital de la jeune fille est engagé, mais selon nos informations, ses blessures ne sont pas visibles. La prudence est toutefois de mise, car dans ce genre de chute, les douleurs sont plus internes.

http://www.lobservateurduvalenciennois.fr/Faits-divers,6550.media

Tragique accident de chasse : un enfant meurt sous les yeux de son père

Un enfant de 9 ans a été tué accidentellement d'un coup de fusil de chasse sous les yeux de son père samedi soir à Vendres, à vingt kilomètres au sud de Béziers, dans l'Hérault.
Le père, un chasseur de 43 ans et son fils, qui voulaient passer sous des fils barbelés, le long d'un chemin de terre pour rejoindre une parcelle, avaient posé le fusil contre la clôture, mais sans retirer les cartouches, ni actionner le système de sécurité, selon les gendarmes de l'Hérault.
Le coup est parti lorsque le père a repris le fusil, la gâchette s'étant prise dans les barbelés. Touché à une épaule, le jeune garçon est mort avant l'arrivée des secours. Selon le parquet de Béziers qui a confié l'enquête aux gendarmes, l'accident ne fait pas de doute.
 

Albi. Ecrasée par le train

Le drame s'est noué en une seconde. Il était 15 h 35 hier selon le chauffeur, lorsque le train 870011 Rodez-Toulouse a percuté une piétonne, une trentaine de mètres en amont du passage à niveau 126 à l'entrée d'Albi. La malheureuse est morte sous le choc, extrêmement violent, la rendant méconnaissable. Du fait de la vitesse accumulée, l'autorail n'a pu s'arrêter que 200 mètres après, de l'autre côté du chemin de Gaillaguès.
«Pompiers, police et SNCF ont très rapidement agi et ont très bien géré. Les 25 passagers plus un bébé ont été transférés en gare d'Albi-Madeleine. Ils n'ont strictement rien vu», dit Xavier Dégrange, qui s'est rendu sur les lieux au nord d'Albi après «ce triste événement. La dame, grisonnante, marchait au bord des voies. Était-ce avec une intention? Il faut rester prudent.»

Elle marchait sur le ballast

Pour le commandant Dominique Frayssinet, de permanence à la direction départementale de la sécurité publique, «les premières constatations laissent penser à un suicide. L'accident n'est pas survenu à l'intersection. La victime marchait sur le ballast, à un endroit interdit, où il faut aller exprès. Quand le train est arrivé à sa hauteur, elle se serait jetée dessous. Côté SNCF, tout est en règle. Le conducteur roulait à vitesse autorisée. Il a respecté le protocole, avec des appels à distance. Le passage à niveau a fonctionné.» Hier soir, les enquêteurs du commissariat ont fait le tour du quartier, pour voir s'il y a une dame âgée qui a disparu.
Le chauffeur âgé de 35 ans environ a bénéficié d'une prise en charge psychologique et a été relevé. «On nous prévient lors de la formation que ces accidents peuvent se produire. Il y a des agents à qui ça n'arrive jamais. Moi, j'ai connu ça trois fois en dix ans. Le conducteur est choqué, forcément. Il a quand même eu la force d'attendre la fin de la procédure et de rapatrier lui-même sa rame à Albi-Ville où il y a une voie de garage, pour rendre service», salue le contrôleur. «J'étais à l'arrière. J'ai senti un choc. On a freiné. Je me suis rapproché du conducteur pour venir aux nouvelles. Nous avons prévenu le plateau d'assistance, puis je suis allé rassurer les passagers et expliquer. Et, le conducteur et moi, nous avons couvert la dépouille d'un drap.»

http://www.ladepeche.fr/article/2012/09/23/1446799-albi-ecrasee-par-le-train.html