jeudi 31 janvier 2013

Percuté à la sortie du collège

Le pronostic vital était engagé hier soir pour cet adolescent de 14 ans, percuté par un automobiliste, à Laxou. L’accident est survenu peu après 12 h, lors de la sortie du collège Victor-Prouvé.
D’après les premières constatations et les témoignages recueillis sur place, l’adolescent était engagé sur le passage piéton situé à une centaine de mètres de l’établissement. Un passage protégé, couplé à un îlot central et qui permet de traverser les quatre voies du bas de l’avenue du Bois-Gronée – boulevard des Aiguillettes (en aval du rond-point du CPN), offrant ainsi la possibilité d’accéder vers le groupe scolaire Victor-Hugo, dans la rue éponyme.
Un automobiliste au volant d’une berline immatriculée en Moselle et qui circulait en direction de Villers-lès-Nancy, heurtait l’adolescent qui, sous le choc, était éjecté à près de 5 m sur la chaussée. Grièvement blessée, inconsciente, la victime présentait notamment un important traumatisme crânien. Elle était longuement médicalisée sur place par les médecins du SMUR et les pompiers de Gentilly placés sous le commandement du lieutenant Husson avant d’être évacuée vers les urgences de l’hôpital d’enfants de Brabois avec un pronostic vital engagé. « C’est un endroit réputé très dangereux qu’il faut renforcer par la présence d’un policier municipal aux heures ouvrables », constatait une mère de famille. Les policiers de la brigade accidents ont ouvert une enquête pour préciser les circonstances du drame et ont procédé, hier, à une première audition du conducteur

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2013/01/31/percute-a-la-sortie-du-college

Valdoie (90) : Un couple percuté sur un passage piétons

À 11 h ce matin, un couple de septuagénaire qui se trouvait sur le passage piéton, rue Emile-Zola, à Valdoie, a été percuté par un poids lourd.
Le camion, un engin qui transportait des barres métalliques circulait rue Carnot et s’apprêtait à tourner rue Emile-Zola, lorsque l’accident s’est produit. Il est trop tôt pour connaître les circonstances de l’accident. Les piétons ont pu être masqués par l’angle mort.
Le monsieur a été très grièvement blessé aux jambes. Il souffre de fractures et a été médicalisé sur place, à même la chaussée par le Smur. Son épouse est plus légèrement touchée.
Le conducteur du camion, choqué, a également été pris en charge par les pompiers de Belfort Nord.
L’accident a occasionné une forte gêne à la circulation, créant d’importants ralentissements à l’entrée de Valdoie côté Belfort (par l’avenue Jean-Jaurès ou la Méchelle).

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/01/31/deux-pietons-renverses-sur-un-passage-a-valdoie-(90)

Obsèques de Yann Desjeux, ex-otage en Algérie

Quelque 400 personnes ont assisté jeudi matin aux obsèques de Yann Desjeux, ex-parachutiste de 53 ans tué lors de la prise d'otages sur un site gazier en Algérie, dont de nombreux compagnons d'armes. Le cercueil recouvert d'un drapeau bleu-blanc-rouge a été accueilli en haut des marches de la petite église Saint-André, dans le vieux Bayonne, par une haie d'honneur d'anciens du 1er Régiment de parachutistes d'infanterie de marine (RPIMa) tenant des drapeaux où l'on pouvait lire "anciens combattants".
Sa famille, dont ses deux fils portant des foulards bleu et blanc aux couleurs du club de rugby de l'Aviron Bayonnais (Top 14), l'attendait aussi dans l'église bondée, en présence notamment du préfet des Pyrénées-Atlantiques Lionel Beffre, du maire de Bayonne, Jean Grenet, et du maire d'Anglet, Jean Espilondo. Des personnes, venues de toute la France ainsi que du Sultanat d'Oman et de Tunisie, où il avait effectué des missions, avaient fait le déplacement pour lui rendre un dernier hommage.
 
Les corps des deux hommes de 23 et 27 ans ont été retrouvés jeudi matin, dans le massif du Taillefer. Ils étaient partis mercredi en montagne.
Deux jeunes alpinistes ont été retrouvés morts jeudi matin en Isère, emportés dans une avalanche, dans le massif du Taillefer.

Les corps des deux hommes de 23 et 27 ans ont été retrouvés près du col d'Ornon, sur le versant est du Grand Armet, selon les CRS de Grenoble.

Ils étaient partis mercredi en montagne et la petite amie de l'un d'eux avait donné l'alerte de leur disparition jeudi matin.

Prayssac. Un viticulteur retrouvé mort dans le Lot

Un drame s'est produit hier au lieu-dit Les Cambous à Prayssac. Le corps sans vie de Jean-Luc Bouloumié, 46 ans, a été retrouvé dans le Lot, près de la berge. Ce viticulteur avait quitté son domaine le château Les Rigalets, hier matin à 8 h 30, pour conduire ses enfants de 3 et 4 ans à l'école. À 12 h 30, sa famille s'est inquiétée de ne pas le voir revenir. Une disparition inquiétante a été signalée à la gendarmerie. Son corps a été retrouvé en début d'après-midi, à proximité de son domaine. Les gendarmes des brigades de Luzech et Prayssac se rendaient sur place ainsi que les sapeurs pompiers de Prayssac.
Jean-Luc Bouloumié, viticulteur, était un enfant du pays. Il avait été élevé au rang de chevalier de la confrérie des vins de Cahors lors du ban des vendanges de l'été 2001, et participait à des salons de promotion viticole. «C'était un homme charmant, sympathique, réservé, travailleur. Dans sa jeunesse, il a fait partie de l'école d'accordéon, indique le maire de Prayssac, Michel Lolmède. Il avait un beau domaine, il s'en occupait bien, comme de son chai. Il avait du reste de très bons produits avec un excellent rapport qualité-prix. Nous sommes très affectés par sa disparition.» Une enquête est en cours pour déterminer la cause de son décès. La piste criminelle semble écartée.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/30/1547948-un-viticulteur-retrouve-mort.html

mercredi 30 janvier 2013

Un couteau dans le thorax, elle sonne chez une voisine avant de mourir

Une femme a sonné mercredi matin chez une voisine à quelques centaines de mètres de son domicile dans le Finistère. Elle a enlevé le couteau enfoncé dans son thorax et prononcé quelques mots avant de décéder. Son mari a été retrouvé mort dans leur maison. Trois pistes sont possibles.
Une enquête a été ouverte après la mort d'un couple tué à coups de couteau mercredi matin à Ploneour-Lanvern (Finistère), a indiqué le parquet de Quimper. "Vers 10h30, la femme a sonné chez une voisine à quelques centaines de mètres de son domicile. Elle avait un couteau enfoncé dans le thorax. Elle a enlevé l'arme et elle est morte dans les secondes qui ont suivi", a expliqué à l'AFP Eric Tuffery, procureur de la République à Quimper. Alertés, les gendarmes ont retrouvé au domicile de la victime le corps de son mari qui "portait manifestement des plaies à l'arme blanche".

"La femme a eu le temps de prononcer quelques mots", a précisé le procureur, qui n'a pas souhaité en révéler la teneur. Les enquêteurs n'excluent aucune hypothèse quant à l'origine de la mort de ce couple, âgé d'une cinquantaine d'années. "Il y a trois pistes: l'intervention d'un tiers qui a tué les deux, ou un drame conjugal, le mari qui se suicide après avoir poignardé sa femme qui sort alerter les secours, ou la femme qui tue son mari et qui va informer le voisinage avant de décéder", a indiqué M. Tuffery. Une autopsie doit être pratiquée jeudi. Le procureur s'exprimera en fin de journée lors d'une conférence de presse.

Lavancia : une femme tuée dans un accident de la route

Un dramatique accident s’est produit sur la route d’Oyonnax entre Vaux-les-Saint-Claude et Lavancia-Epercy, sur le territoire de cette dernière commune, mercredi vers 13 heures
Trois véhicules étaient en cause et cinq personnes impliquées. Trois d’entre elles ont été blessées et une quatrième, une femme, a été tuée. La circulation a dû être coupée momentanément pendant l’intervention des secours.

http://www.leprogres.fr/actualite/2013/01/30/lavancia-une-femme-tuee-dans-un-accident-de-la-route

Accident mortel à Wolfgantzen : un conducteur tué

Un choc frontal entre deux véhicules a causé la mort de l'un des deux conducteurs, ce matin, peu avant 8h15, à hauteur de Wolfgantzen.
L'accident s'est produit sur la RN415, en pleine ligne droite. La personne décédée est un homme né en 1949. Il était seul à bord. L'autre conducteur est un habitant de Neuf-Brisach.Il est grièvement blessé.
La route a été fermée à la circulation. Une vingtaine de pompiers a été dépêchée sur place. Ils ont dû désincarcérer les deux victimes.

http://www.dna.fr/actualite/2013/01/30/accident-mortel-a-wolfgantzen

 

Nancy : un ado fauché sur un passage-piétons

Un adolescent a été gravement blessé ce mercredi versmidi à Laxou, en périphérie de Nancy, alors qu'il traversait la chaussée sur un passage protégé. L'accident s'est produit à hauteur du collège Victor Prouvé. Le jeune garçon a été fauché par une voiture qui venait de l'avenue du Bois Grosnée . La victime a été projeté sur la chaussée à près de cinq mètres. A l'arrivée des secours il était inconscient. Dans un état grave, il a été médicalisé sur place avant d'être transporté vers l'hôpital des enfants de Nancy-Brabois.
Le secteur de l'accident est marqué par un fort trafic, notamment sur l'axe voisin Grosnée - Aiguillettes. Il est considéré comme un anneau de desserte autour du centre de Nancy.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/01/30/nancy-un-ado-fauche-sur-un-passge-pietons

Elle se tue en se jetant du cinquième étage

Hier matin, peu après 10 heures, une jeune femme de 28 ans, s'est défenestrée en se jetant de la fenêtre de sa chambre située au cinquième étage d'une des barres HLM de l'avenue Buffon au cœur du quartier Europe, à Saint-Quentin.
Malgré l'intervention rapide des sapeurs-pompiers et d'une équipe médicalisée du Smur, elle n'a pas survécu à sa chute. Selon les tous premiers élements de l'enquête menée par les policiers du commissariat de Saint-Quentin, il semble que la jeune femme se soit délibérément jetée dans le vide.
Elle était très faible psychologiquement ces derniers temps. Ses parents d'ailleurs étaient venus la voir dans son appartement et ils se trouvaient dans le salon lorsqu'elle s'est defenestrée.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/elle-se-tue-en-se-jetant-du-cinquieme-etage

Une saisonnière britannique morte noyée

Une saisonnière de 19 ans, de nationalité britannique, est morte noyée cette nuit dans une piscine extérieure à l'Alpe d'Huez, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.

La jeune femme, commis de cuisine dans la station, a été retrouvée morte sous la bâche qui protégeait la piscine par ses amis qui ne "la voyaient pas revenir à la surface", confirmant une information de France bleu Isère. La thèse accidentelle est privilégiée. Une autopsie doit être réalisée.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/30/97001-20130130FILWWW00350-une-saisonniere-britannique-morte-noyee.php

Carcassonne. La remorque se détache, terrible accident sur la Romaine

Un grave accident de la circulation s'est produit hier matin sur la Romaine, entre le carrefour de Caux-et-Sauzens et Villesèquelande. Bilan : un blessé grave et deux blessés légers. La cause : une remorque qui s'est détachée...
Un blessé grave, un chauffeur de taxi âgé d'une cinquantaine d'années, deux blessés légers, dont un passager à mobilité réduite. Tel est le bilan de l'accident qui s'est produit hier matin sur le coup de 8 heures sur la départementale 33, entre le carrefour de Caux-et-Sauzens et Villesèquelande, sur cette route que nous appelons tous «La Romaine». La victime la plus grièvement atteinte est le chauffeur du taxi, de type monospace, qui a percuté de plein fouet une remorque et son chargement qui se sont détachés d'un gros utilitaire. Il s'agissait en fait d'une équipe de techniciens de la SNCF qui se rendait à Bram avec un élevateur destiné à être posé sur des rails de chemin de fer pour réparer les lignes électriques. Dans des circonstances indéterminées, la remorque s'est dételée et est allée tout droit vers le taxi qui arrivait en face, avec les conséquences que l'on connaît désormais.
D'importants moyens de secours ont été dépêchés sur place par les pompiers, à savoir deux ambulances, un fourgon de sécurité routière qui a permis la longue désincarcération du chauffeur de taxi, une équipe du Smur de Carcassonne, ainsi qu'un véhicule de commandement des pompiers. La gendarmerie était bien sûr sur place pour sécuriser les opérations de secours et mettre en place des déviations sur cet axe très fréquenté. Une enquête sur les causes de l'accident est ouverte, en particulier sur les raisons pour lesquelles la remorque s'est décrochée du fourgon. Ce n'est qu'après l'enlevement du véhicule accidenté par Marcel Dépannage de Castelnaudary que la circulation a pu être rétablie vers 10 heures. Enfin, les nouvelles étaient rassurrantes concernant la victime hier soir, dont les jours ne seraient pas en danger.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/30/1548323-carcassonne-terrible-accident-sur-la-romaine.html

Une Toulousaine entraînée dans une séduction mortelle

Leurs échanges étaient romanesques, fleur bleue, mais derrière les mots, les mensonges, se cachait une stratégie diabolique !». Pierre Toniol se tait quelques secondes. Cet homme de 63 ans, installé à Bouloc, a perdu sa fille aînée en décembre. «Muriel pensait retrouver son Prince charmant, son nouvel amour. Elle est partie sans se douter une seconde du piège»
Le 7 décembre, Muriel Sorel qui a grandi entre Toulouse, Saint-Alban et Aucamville, a quitté La Ciotat, une ville près de Marseille où elle s'était installée avec son mari au milieu des années 2000. Cette Toulousaine a pris le train pour Valence où elle devait, dans un hôtel, retrouver un Lyonnais. Personne ne l'a revue. Quatre jours plus tard, le père de ses deux enfants s'est inquiété.

Piégée sur internet

«Déjà, qu'elle n'appelle pas son fils et sa fille pendant plus de 48 heures semblait curieux. Son téléphone ne répondait plus, même pas la messagerie. Mon gendre est allé trouver la police», raconte Pierre Toniol.
Très vite, d'une disparition inquiétante, l'enquête a basculé sur des investigations pour «enlèvement et séquestration». Les enquêteurs de la police judiciaire de Marseille ont multiplié les auditions, entendu longuement l'ancien mari puis le dernier amant, un homme originaire de Côte-d'Ivoire. «Ma fille en a été très amoureuse pendant trois ans mais elle s'est aperçue petit à petit de ses nombreux mensonges. Et de sa violence. Elle l'a quitté. Il ne l'a pas supporté», estime le père de la femme disparue.
Placé en garde à vue Didier Ouattara a craqué. Il a reconnu avoir attiré Muriel à Valence «en lui tendant un véritable piège via internet», s'énerve Pierre Toniol. Cet ingénieur informaticien pensait que faux nom et fausse adresse IP, l'identité des ordinateurs, suffiraient à échapper aux enquêteurs. Mis en examen pour assassinat fin décembre, il s'est pendu deux jours plus tard dans sa cellule des Baumettes, la prison de Marseille. Le corps de Muriel Sorel reste introuvable. «Je tiens le coup pour mes petits enfants, Mayan et Shamane, 13 et 9 ans, explique le grand-père. Pour Muriel, ils étaient plus importants que tout. La police a fait un magnifique travail. En se suicidant, Ouattara s'est infligé la peine définitive que je souhaitais. Finalement, c'est peut-être mieux ainsi… Maintenant il faut retrouver le corps»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/29/1547531-une-toulousaine-entrainee-dans-une-seduction-mortelle.html

mardi 29 janvier 2013

La fin tragique de Michel Quenolle

Michel Quenolle, très connu dans le canton du Catelet, s’est donné la mort samedi matin dans le cimetière du hameau de la Terrière.
Né le 15 avril 1940, Michel Quenolle est venu mourir près de là où il est né sur le territoire de Vendhuile, près du caveau de ses parents et d'un frère. Parti depuis vendredi de Gauchy où il résidait dernièrement pour normalement aller chercher du pain, il n'est jamais revenu chez lui. Son amie avait alerté la gendarmerie en soirée pour signaler son inquiétante absence en indiquant qu'il avait des intentions suicidaires.
Le lendemain vers 11 heures, un proche a vu son véhicule garé près du cimetière du hameau de la Terrière. Lorsqu'il s'est avancé, il a fait la macabre découverte près d'un arbre. Il avait laissé une lettre sur le tableau de bord de sa voiture. Michel Quenolle a mis fin à ses jours avec une arme à feu sans doute à cause d'un problème de santé qui perdurait.
Le septuagénaire avait des raisons d'être connu dans le secteur puisque parallèlement à son activité de facteur à Bellicourt, il aidait son ancienne épouse à tenir le café-tabac sur la place de Gouy. C'était un homme populaire qui s'est toujours profondément investi dans le monde associatif. Il a d'ailleurs été président du football à Gouy et dirigeant au sein de l'entente Bellicourt-Hargicout-Villeret.
Lors de sa retraite, il était souvent de service au boulier des lotos bellicourtois. Il a aussi été un temps le président du foyer rural. Michel Quenolle, ancien d'Afrique du Nord, était membre de la section des anciens combattants de Bony - Vendhuile où il faisait fonction de porte-drapeau. Il fut également trésorier de l'association intercommunale.

Une figure incontournable
On le voyait aux nombreux rendez-vous patriotiques tels que le Mémorial Day à Bony en mai, à la commémoration de la bataille de Bellenglise en août. Il avait été médaillé de l'ordre du Mérite et était aussi titulaire de la médaille de la Jeunesse et des sports. Il aura vraiment marqué la vie associative du canton de Le Catelet de son empreinte. Il en aura été une figure incontournable.
Ses obsèques seront célébrées mercredi à l'église de Lempire à 10 h 30


http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/la-fin-tragique-de-michel-quenolle

Rhône : mort d'un salarié de Sanofi

Un salarié qui avait tenté de se suicider en avalant du cyanure sur un site de Sanofi dans le Rhône, est décédé aujourd'hui, a-t-on appris auprès du géant pharmaceutique. "C'est avec beaucoup de tristesse que nous avons appris son décès en début d'après-midi", a annoncé à l'AFP un porte-parole de Sanofi, évoquant une "émotion très forte sur le site" de Neuville-sur-Saône où travaillait ce technicien de laboratoire.

Le 10 janvier, ce quadragénaire avait été transporté dans un état critique à l'hôpital de la Croix-Rousse à Lyon, où il se trouvait en soins intensifs, après avoir avalé une cuillère de cyanure dans son laboratoire, à son retour de pause déjeuner. Le salarié avait prévenu ses collègues une fois son geste accompli, avant de s'affaisser.

Il vivait "une situation personnelle difficile" selon la direction. Si les raisons du geste ne sont pas encore connues, "le contexte social de l'entreprise fragilise les salariés", soulignent les syndicats. Le site Sanofi chimie de Neuville-sur-Saône est en effet en pleine reconversion, de la chimie vers le vaccin. L'activité chimie doit cesser le 31 décembre 2013. Le salarié décédé faisait partie de la cinquantaine de personnes restant à reclasser. L'enquête sur le drame a été confiée à la gendarmerie.


http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2013/01/29/97002-20130129FILWWW00575-rhone-mort-d-un-salarie-de-sanofi.php

Bergerac : mort écrasé sous un énorme tas de ferraille


Un employé de la société Métal Périgord a trouvé la mort ce lundi, vers 15 h 45, dans cette entreprise située rue Jean-Macé, dans la zone industrielle de Campréal. La victime, un Bergeracois âgé de 43 ans, se trouvait au bas d'un rail soutenant de la ferraille. La masse de ferraille de plusieurs tonnes est soudain tombée, écrasant le quadragénaire. Il a été très difficile aux secours, immédiatement appelés sur les lieux, de dégager l'homme du lourd amas de métal. L'employé n'a pas survécu à l'accident.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cet accident. Parmi la vingtaine d'employés de Métal Périgord, certains ont peut-être été témoins des faits et contribueront à établir les raisons de ce terrible événement. Hier, après l'accident qui a coûté la vie à l'un des leurs, tous étaient sous le choc.

L'entreprise a fermé plus tôt hier soir et restera fermée jusqu'à nouvel ordre. L'inspection du travail viendra sur place aujourd'hui.

http://www.sudouest.fr/2013/01/29/mort-ecrase-sous-un-enorme-tas-de-ferraille-949407-1733.php

Un cyclomotoriste tué sur le CD67

Un habitant de Remaucourt, âgé de 54 ans, a trouvé la mort, dimanche en soirée, alors qu'il rentrait chez lui, mais on ne l'apprend que maintenant.
Sur le CD 67, entre Morcourt et Remaucourt, au guidon de son cyclomoteur, cet homme aurait subitement dévié de trajectoire alors qu'il croisait une Opel Corsa conduite par un jeune conducteur. C'est en tout cas ce que déclarent le conducteur de la voiture et des témoins de l'accident.
Un terrible face-à-face. Sous le choc, le cyclomotoriste a été éjecté avant de retomber lourdement sur la chaussée, tandis que le deux-roues était traîné sur quelques mètres par la voiture.
Les sapeurs-pompiers de Saint-Quentin, arrivés rapidement sur les lieux, n'ont rien pu faire pour ramener à la vie le quinquagénaire qui se trouvait déjà en arrêt cardiaque à leur arrivée. Les gendarmes de la compagnie de Saint-Quentin ont sécurisé les lieux de l'accident et ont procédé aux constatations d'usage dans le cadre de l'enquête ouverte.
Deuxième accident mortel
Malaise, verglas, alcool ? Aucune de ces pistes pour expliquer ce soudain changement de trajectoire n'est pour l'heure écartée par les enquêteurs. Le conducteur de l'Opel Corsa a été soumis à un dépistage d'alcoolémie et de produits stupéfiants qui s'est révélé négatif. Une prise de sang post-mortem a aussi été effectuée sur le cyclomotoriste.
C'est le deuxième accident mortel de l'année. En 2012, 38 personnes ont perdu la vie sur les routes du département.

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-cyclomotoriste-tue-sur-le-cd67

Livinhac-le-Haut. Un cadavre découvert dans la rivière

Il était près de 16 heures, hier, quand des techniciens de l'usine hydroélectrique de Marcenac, lors d'une opération de dégrillage (enlèvement des branches et objets encombrant les grilles de protection pour préserver le débit du Lot dans la centrale située entre Livinhac-le-Haut et Flagnac), ont fait une découverte morbide. Là, gisait un cadavre qui avait manifestement séjourné depuis longtemps dans l'eau. Les gendarmes se sont immédiatement rendus sur place pour ouvrir une enquête : le capitaine Viallefont, commandant de la compagnie de Villefranche-de-Rouergue, les gendarmes de la brigade de recherche de Villefranche, les gendarmes de la communauté des brigades Montbazens-Decazeveville et le technicien en investigations criminelles du groupement de gendarmerie à Rodez.
Le corps découvert correspondrait à celui de G. F., 74 ans, domicilié à Saint-Santin, disparu depuis le 2 janvier, à Saint-Parthem, quand des riverains avaient été intrigués par la présence d'un véhicule stationné depuis plusieurs jours au même endroit, près de la rivière. Les recherches à l'aide d'un chien spécialisé, avaient conduit les enquêteurs jusqu'au bord de l'eau. L'hypothèse de la noyade, volontaire ou accidentelle était privilégiée et les enquêteurs avaient peu d'espoir d'une issue différente de celle d'hier après-midi : que le Lot rende le corps.
Si tout laisse à penser qu'il s'agit du septuagénaire disparu, il faut attendre la confirmation de son identification, ainsi que les résultats des investigations scientifiques pour que le parquet décide des suites à donner : restitution du corps à la famille avec autopsie préalable ou non, et le classement du dossier si rien de suspect n'est mis au jour ; ou, dans le cas contraire, la possibilité d'ouverture d'une information judiciaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/29/1547117-livinhac-le-haut-un-corps-dans-la-riviere.html

Audomarois : un couple retrouvé mort dans sa maison de Nielles-lès-Bléquin

Dimanche après-midi, une femme de 72 ans a été retrouvée morte étranglée avec un foulard à son domicile. Elle portait également des coups de bâtons derrière la tête.
A l'étage, le mari de 75 ans a été découvert pendu. D'après les premières hypothèses du procureur de la république de Saint-Omer, Sébastien Piève, l'époux aurait étranglé sa femme, avant de se suicider. La vieille dame, très malade était hospitalisée au centre hospitalier de Montreuil-sur-Mer et souffrait d'une forte dépression. Ce week-end, elle était en permission et devait regagner l'hôpital hier soir

http://www.lavoixdunord.fr/region/audomarois-un-couple-retrouve-mort-dans-sa-maison-de-ia37b0n990302

Un cadavre découvert à Mesnay

Ce sont les chasseurs de Mesnay qui ont fait la macabre découverte dimanche après-midi au pied du belvédère de la Roche du Feu. Le cadavre gisait à l’aplomb de l’impressionnante falaise depuis plusieurs semaines et présentait un état de décomposition importante.
Le périmètre a été rapidement été bouclé pour permettre aux enquêteurs de travailler tout au long de la journée de lundi. L’intervention d’un hélicoptère en début d’après-midi a même été nécessaire.
Il pourrait s’agir d’un suicide.


http://www.leprogres.fr/jura/2013/01/28/un-cadavre-decouvert-a-mesnay

Un cadavre retrouvé dans une voiture en feu à Villeurbanne

Ce lundi matin, un corps a été découvert dans un véhicule en feu, avenue Monin, à l'entrée du parc de la Feyssine à Villeurbanne
C'est la police judiciaire de Lyon qui est en charge de l'affaire et une enquête est en cours pour intentifier le corps et déterminer les circonstances exactes du drame.
 

Un sexagénaire retrouvé mort à Montpellier

Un sexagénaire a été retrouvé mort dimanche soir, vers 23 heures, dans des toilettes situées à proximité de la place de la Comédie à Montpellier, selon une information du Midi Libre. La victime serait décédé des suites d'une blessure par arme blanche au niveau du coeur. L’hypothèse du suicide est privilégiée. C'est la femme du sexagénaire qui a appelé les secours en croyant son mari coincé dans les toilettes.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Un-sexagenaire-retrouve-mort-a-Montpellier-588447

lundi 28 janvier 2013

Auxey-Duresses : il se tue à 6 km de chez lui

Un homme âgé de 50 ans, M.Sachetat, domicilié sur la petite commune d'Epertully entre Chagny et Nolay, s'est tué au volant ce lundi matin, à 6 km de son lieu d'habitation. C'est en se rendant vraisemblablement sur son lieu de travail, à Ladoix-Serrigny qu'il a été victime d'une perte de contrôle.
Il était environ 7 h 15 ce lundi matin lorsqu'un accident de la circulation est survenu sur la D973 à la sortie du hameau de Melin à Auxey-Duresses. Un conducteur qui roulait dans le sens Nolay-Beaune a, sur une chaussée apparemment verglacée, perdu le contrôle de son véhicule et est venu percuter une Citroën Picasso qui arrivait en face. Le Saône-et-Loirien est décédé sur place. Le conducteur du Picasso a quant à lui été blessé et transporté à l'hôpital de Beaune pour des examens.

http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2013/01/28/auxey-duresses-un-homme-decede-dans-un-accident-de-la-route

Accident dans le Lot : le spéléologue est mort

La victime, qui faisait partie d'une équipe de spéléologues confirmés partis explorer une cavité à Cadrieu bien connue des spécialistes, a été aspirée lundi par une eau bouillonnante avant de se retrouver coincé.
Un spéléologue suédois est mort lundi des suites d'un accident survenu dans une cavité à Cadrieu, dans le Lot, ont indiqué les gendarmes. La victime, un médecin de Stockholm âgé de 30 ans, faisait partie d'une équipe de spéléologues confirmés partis explorer un gouffre bien connu des spécialistes, au lieu-dit Landenouse.
D'après les premiers éléments de l'enquête des gendarmes, l'homme a tenté de descendre dans une cavité, mais a été aspiré par une eau bouillonnante avant de se retrouver coincé. Le débit de l'eau est alors assez fort en raison des fortes pluies de ces derniers jours. Les pompiers ont pratiqué un massage cardiaque pendant une heure et demie sur la victime alors qu'elle était encore dans l'eau. Puis, le spéléologue a été transporté par les secours jusqu'à l'hôpital de Cahors, où il est décédé peu avant 18h.
 

Collision à Lexy : un mort et trois blessés

Il est un peu plus de minuit, samedi soir, lorsque les sapeurs-pompiers de Longwy et de Longuyon sont appelés pour un accident de la circulation entre Lexy et Rehon, près de Longwy.
A leur arrivée, deux véhicules, fortement endommagés, gisent sur la chaussée, à hauteur de l’entreprise Lorraine Tubes. Les débris qui jonchent le sol témoignent de la violence de la collision. D’un côté de la route, se trouve un 4X4 dans lequel avait pris place un homme d’une cinquantaine d’années, originaire de Mont-Saint-Martin. De l’autre, une petite citadine avec trois jeunes gens à l’intérieur.

Décédé sur le coup

Lorsque l’équipe du Smur de Mont-Saint-Martin prend en charge les victimes, elle ne peut que constater le décès du passager qui était assis à l’avant de la Nissan Pixo. Il s’agit de Gaétan Brandstatter, âgé de 25 ans et demeurant à Saulnes. La conductrice de la voiture, âgée de 24 ans, également originaire de Saulnes, est sévèrement blessée au niveau du bassin.
Un ami du couple, âgé de 22 ans, résidant lui aussi à Saulnes, avait pris place à l’arrière de la voiture. Il a été touché au niveau de l’épaule. Souffrant de multiples blessures, ils ont été conduits à l’hôpital de Mont-Saint-Martin.
Pendant plus de deux heures, les gendarmes de Longuyon, présents sur les lieux ont procédé aux constatations d’usage. D’après les premiers éléments de l’enquête, la conductrice de la Nissan aurait perdu le contrôle de son véhicule. Celui-ci serait « parti en crabe » pour se retrouver de l’autre côté de la chaussée. Le 4X4 arrivant en face n’a rien pu faire pour éviter le choc et a percuté la petite voiture sur le côté droit.
Des prélèvements toxicologiques et d’alcoolémie ont été réalisés mais les résultats n’étaient pas encore connus hier soir.
Une vive émotion s’est rapidement répandue dans le bassin après ce terrible drame qui a coûté la vie au jeune Saulnois. Un fait qui n’est pas sans rappeler un autre accident survenu au même endroit, en août 2010. Un motard avait perdu la vie sur cette ligne droite en percutant un poids lourd circulant en sens inverse

http://www.republicain-lorrain.fr/meurthe-et-moselle/2013/01/28/collision-a-lexy-un-mort-et-trois-blesses

Accident de spéléologie dans le Lot: Un Suédois entre la vie et la mort

Un spéléologue suédois se trouvait entre la vie et la mort lundi après un accident survenu dans une cavité à Cadrieu, dans le Lot, a-t-on appris auprès des pompiers et des gendarmes.
Selon France3 Midi-Pyrénées, l'homme a été «aspiré» dans un regard par le courant. «Les pompiers ont réussi une première fois à sortir l'homme de l'eau mais le courant était tellement fort que la victime a été emportée une seconde fois sous l'eau», précise le site de la chaîne locale.

http://www.20minutes.fr/ledirect/1088885/accident-speleologie-lot-suedois-entre-vie-mort

Une jeune femme de 20 ans décède dans un accident de la route

Ce matin, aux alentours de huit heures, les secours ont été appelés pour un accident de la circulation sur la route départementale 916, près de Saint-Just-en-Chaussée, au nord de Clermont.
Un véhicule, avec à son bord deux jeunes femmes, a pour une raison encore inconnue déviée de sa trajectoire, s'est déporté sur la voie de gauche et a été percuté par une voiture arrivant dans l'autre sens.
La conductrice de la voiture qui a dévié de sa voie, âgée de 20 ans, est décédée. Sa passagère est, elle, grièvement blessée.
Dans l'autre véhicule, qui transportait également deux personnes, il y a eu un blessé léger.
Une enquête de la gendarmerie est en cours afin de déterminer les causes exactes de l'accident.


http://www.courrier-picard.fr/courrier/Picardie-Express/Une-jeune-femme-de-20-ans-decede-dans-un-accident-de-la-route

Saint-Créac. Retrouvé mort, la tête dans le ruisseau

Terrible et macabre découverte, samedi à Saint-Créac, une petite localité du sud de Lourdes. Un homme a été découvert sans vie, la tête dans l'eau, au bord du Neez, cours d'eau qui jouxte sa propriété.
Une mort qui sème l'émoi, voire le trouble dans cette paisible campagne. Jean-Michel Duclos, le maire du village raconte qu'il a été retrouvé par son épouse aux environs de midi.
Ce retraité de 65 ans était parti vers 10 h 30, faire brûler des papiers au fond de son jardin, derrière une petite cabane. Geste on ne peut plus banal. Ne le voyant pas revenir, l'épouse part à sa recherche, et ne trouve que le sac vide. Elle décide de faire demi tour et revient derrière l'abri de jardin. «C'est alors qu'elle voit son mari étendu la tête dans l'eau» poursuit l'élu. Cette personne s'est précipitée chez ses voisins.
Francis Crabarie, adjoint au maire raconte : «Elle est arrivée dans la rue en demandant de l'aide. Elle croyait qu'il était vivant, qu'il se noyait.» C'est ainsi qu'aidé d'un autre voisin et du frère de celui-ci, ils ont pris la direction du Neez. «Mais il était trop tard.»

L'identification criminelle sur les lieux

Les pompiers de Lourdes et le SAMU n'ont pas pu réanimer le malheureux retrouvé juste à côté de l'endroit où les papiers avaient brûlé. Est-il tombé sur un caillou ? Ou bien s'agit-il d'une mort suspecte ?
Les gendarmes d'Argelès se sont rendus sur les lieux ainsi que le service de l'identification criminelle. Cependant, la thèse de la mort accidentelle semblerait privilégiée.
Cette tragique disparition a semé un vif émoi dans cette petite commune où le défunt était unanimement apprécié. Il avait travaillé dans une usine près de Pau. On le décrit comme «un homme en pleine forme, qui chassait, qui marchait.»
Le couple, qui a deux (grands) enfants, avait fait construire une villa dans les années 1984-1985. Ils étaient parfaitement intégrés à la vie du village.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/28/1546524-retrouve-mort-la-tete-dans-l-eau.html

Découvert mort, il pourrait s’être suicidé

Un corps, un impact de balle dans la tempe. Pas d’arme visible. C’est la scène sur laquelle arrivent les policiers de la sécurité publique, samedi soir peu après 20 heures, dans une friche sans lumière et à l’abri des regards du boulevard de la Liberté, à côté de la boulangerie-pâtisserie Maison Malaterre et à quelques mètres du bar du Pont de la Garde, que tient le fils de la victime (lire « Sud Ouest dimanche »). Elle a tout d’une scène de crime.
C’est sur cette hypothèse que démarre l’enquête, d’ailleurs immédiatement confiée par le procureur à l’antenne agenaise du service régional de police judiciaire de Toulouse. Et par conséquent au service d’identité judiciaire qui en dépend, dépêché de la Ville rose.
Une arme de poing
Et en matière de police scientifique, désormais, les enquêteurs ne prennent plus de libertés. Ils ont donc attendu leurs collègues, pendant plusieurs heures, avant de faire une quelconque manipulation du corps.
Ce n’est que lorsque ceux-ci sont arrivés de Toulouse, passé 23 heures, qu’ils ont pu examiner la scène et retourner le corps. Pour trouver une arme de poing sous la victime. D’homicide, l’enquête s’est alors élargie à l’hypothèse d’un suicide. « Les investigations continuent », précise-t-on au parquet, qui en attend l’issue pour confirmer une mort volontaire. Des examens sur l’arme et une autopsie du corps, en début de semaine, devraient clore les doutes pour l’instant subsistants.
Absence prolongée
La victime, âgée de 72 ans, avait passé l’après-midi et le début de soirée au bar de son fils aîné, où elle avait ses habitudes. Inquiet de l’absence prolongée de son père, son cadet, au bar également, est parti à sa recherche.
Ce dernier craignait surtout un malaise, compte tenu des antécédents médicaux de son père. Le septuagénaire connaissait semble-t-il également des problèmes personnels.
Lorsque le fils a découvert le corps dans la friche, il n’y avait plus aucun espoir de le réanimer.

http://www.sudouest.fr/unes/faits-divers/

Agen. Tué d'une balle dans la tête dans un terrain vague

Le corps d'un homme âgé de 72 ans a été retrouvé hier, soir de pleine lune, vers 20 heures dans la pénombre d'un terrain vague du boulevard de la liberté à Agen. Il présentait un impact à la tête à hauteur de la tempe et la nature de cette blessure laissait dès hier soir penser à une mort par arme à feu. Si l'identité de la victime n'a pas été dévoilée, le septuagénaire décédé serait le père d'un patron de bar du quartier. L'établissement n'est situé qu'à quelques dizaines de mètres du terrain désaffecté où a été retrouvé le cadavre.

Les proches donnent l'alerte

L'alerte aux pompiers a d'ailleurs été donnée par les proches de la victime eux-mêmes, qui s'inquiétant de l'absence de cet homme, semble-t-il méconnu des services de police, sont partis a sa recherche avant de découvrir le corps inanimé. Les services de police judiciaire ont procédé aux premières constatations avant l'arrivée de leurs collègues de Toulouse chargés de l'identification criminelle.
Le corps se trouvait en retrait du boulevard, à plus de cinquante mètres de cet axe de circulation fréquenté de la ville. Ce terrain vague est situé en face de la caserne Valence, le siège du groupement départemental de gendarmerie.
Mais les bâtiments aux alentours ne sont pas occupés. à cette heure de la soirée, le seul commerce du quartier, une boulangerie, était fermée. Un premier examen médico- légal devait avoir lieu sur place vers 22 heures. Sur place également, le procureur de la République d'Agen, Pascal Prache, qui n'a pas souhaité s'exprimer deux heures après la découverte de ce qui apparaissait être hier un homicide

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/27/1545846-retrouve-mort-dans-un-terrain-vague.html

dimanche 27 janvier 2013

Mortelle perte de contrôle à Tagolsheim : un automobiliste tué, une passagère blessée

L'accident s'est produit autour de 3h, dans la nuit de samedi à dimanche, sur la RD432, en commune de Tagolsheim.
Une voiture circulant dans le sens Altkirch-Mulhouse a fait une embardée et plusieurs tonneaux, à la hauteur d'un terre-plein central. Le véhicule s'est immobilisé sur le toit, de l'autre côté de la chaussée.
Le conducteur, un jeune homme d'une vingtaine d'années, de Mulhouse, est décédé sur place. Sa passagère, une jeune femme d'une vingtaine d'années également, de Mulhouse, a été hospitalisée. Elle a été transportée au centre hospitalier de Mulhouse

http://www.dna.fr/actualite/2013/01/27/mortelle-perte-de-controle-a-tagolsheim-un-automobiliste-tue-une-passagere-blessee

Mort à Agen : l'enquête s'oriente vers un suicide

La police judiciaire saisie samedi soir de l'enquête sur la mort de Bernard Chiarelli, 72 ans, à Agen, travaille désormais sur l'hypothèse d'un suicide.
Lorsque le corps du septuagénaire est retrouvé samedi soir, vers 20 heures, dans une friche d'Agen, boulevard de la Liberté, à quelques mètres du bar que tient son fils, police et justice envisagent le pire. Le corps du septuagénaire gît dans l'obscurité et présente un impact de balle au niveau de la tempe. Mais l'arme n'est pas en évidence. L'enquête est donc confiée à la police judiciaire, sur la base d'un homicide.

Pour examiner la scène du crime et toucher au corps, les enquêteurs attendent l'arrivée de leurs collègues de l'identification judiciaire. Ils viennent de Toulouse et n'arrivent que plusieurs heures plus tard, dans la nuit.
L'arme est alors découverte sous le corps du septuagénaire. L'enquête prend alors un tout autre tournant.

http://www.sudouest.fr/2013/01/27/mort-a-agen-l-enquete-s-oriente-vers-un-suicide-947905-3603.php

Saint-Cannat : il roule sur un homme en pleine nuit sans s'en rendre compte

Les faits se sont produits dans la nuit de vendredi à samedi, aux environs de 5 heures du matin. Mais leur déroulement demeure mystérieux. Si bien que les policiers d’Aix lancent dans nos colonnes un appel à témoins pour tenter d’en savoir davantage et ainsi, identifier la victime.
À 500 mètres du rond-point de Lignane sur la RD7N (côté Saint-Cannat), un homme a été percuté par une Renault type Megane de couleur blanche. Il faisait nuit noire.
Selon nos informations, l’automobiliste impliqué dans l’accident circulait dans le sens Saint-Cannat/Marseille. Ne réalisant vraisemblablement pas immédiatement ce qui s’était produit, le conducteur de la Megane a continué sa route avant de revenir sur ses pas pour vérifier qu’il ne s’était rien passé de grave. C’est là qu’il a découvert qu’il avait heurté le corps d’un homme. Il a alors immédiatement prévenu les secours. Les sapeurs-pompiers sont intervenus mais il était trop tard. L’homme trouvé sur la chaussée était décédé.

Appel à témoins pour identifier la victime
Les enquêteurs, pour l’heure, ne savent pas d’où il venait ni ce qu’il faisait là, en pleine nuit. Les policiers du commissariat cherchent notamment à identifier la victime. Il s’agirait d’un homme âgé de 25 à 30 ans. À l’heure du drame, il était vêtu d’un jean foncé et d’une veste d’hiver de couleur sombre. Il mesurait un mètre 75 environ, de corpulence normale, avait des cheveux noirs, la peau assez mate et une barbe naissante. Toute personne qui aurait assisté à l’accident, ou vu la victime se tenir près des voies, peut contacter la permanence du commissariat en appelant le 04 42 93 97 40. Toute personne qui pourrait aussi aider les policiers à identifier la victime peut contacter la police et apporter son témoignage

http://www.laprovence.com/article/actualites/saint-cannat-il-roule-sur-un-homme-en-pleine-nuit-sans-sen-rendre-compte

Il braque un McDo et meurt dans sa fuite

Un groupe de braqueurs, qui venait de commettre un vol à main armée dans un McDonald's de Condé-sur-Escaut (Nord), a été victime d'un accident de la route alors qu'ils prenaient la fuite vers la Belgique.

Leur voiture est violemment entrée en collision avec un autre véhicule au niveau de la frontière franco-belge,
rapporte la Voix du Nord.

L'un des braqueurs a été tué sur le coup et un autre gravement blessé. Le dernier complice a réussi à s'enfuir dans les bois. Les occupants de l'autre véhicule, un couple de sexagénaire, a été blessé.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/27/97001-20130127FILWWW00021-il-braque-un-mcdo-et-meurt-dans-sa-fuite.php

Villeneuve-sur-Bellot Accident mortel à deux pas de la mairie

Un automobiliste a percuté hier, vers 13 heures, un homme d’une cinquantaine d’années dans la rue du Moulin-à-Foulon, à Villeneuve-sur-Bellot. D’après les témoignages, la victime a été mortellement percutée en face de chez elle alors qu’elle sortait acheter du pain. Le conducteur de la Seat Ibiza, impliqué dans l’accident, est un jeune, également de Villeneuve-sur-Bellot.


http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77
                                      

Ambialet. Ils ont marché pour dire adieu à Victor, mort à 15 ans

Il faisait gris, puis soleil, au-dessus d'Ambialet, au moment où le cercueil blanc franchissait la porte du prieuré. Un ciel contrasté, à l'image de l'état d'esprit changeant des gens, alternant entre tristesse absolue, au moment de célébrer les obsèques d'un jeune si tôt disparu à 15 ans, trop tôt disparu, et le sourire qui revenait sur les visages, comme malgré eux, à l'évocation du souvenir de Victor Saysset. «C'était un brave garçon. Il souriait tout le temps, dit José Sanz, entraîneur du Saint-Juéry olympique, où ce passionné de foot était goal. C'est triste.» «Je ne l'ai jamais vu triste. Victor essayait tout le temps de mettre de l'ambiance, pour que les autres soient bien», témoigne un de ses camarades de classe en seconde 4 au lycée Lapérouse d'Albi. Cette heureuse nature explique la popularité du jeune homme. Footballeurs ou lycéens, des centaines d'adolescents, larmes aux yeux et rose blanche à la main, ont participé à la marche blanche, qui de la place d'Ambialet au prieuré, a précédé hier après-midi les obsèques. Il n'y avait pas que des jeunes, à marcher.

«Cette marche blanche, il la fallait»

«Cette marche blanche, il fallait la faire», félicite André Spada, de Villefranche-d'Albigeois, bon pied à 80 ans, s'attristant «qu'on puisse être emporté par un malaise fatal à n'importe quel âge. C'est encore plus terrible à 15 ans.» «Cette affluence montre combien Victor était aimé et aussi combien est coté l'hôtel du Pont d'Ambialet tenu par Jean-Pierre et Nadège Saysset, les parents de Victor», confirme l'Albigeois Claude Sicard, président départemental des Logis du Tarn et depuis trois jours président régional, venu présenter les condoléances de la corporation à la famille. «Voir s'en aller un enfant si jeune, ce n'est pas possible. C'est une catastrophe», dit Danielle Mbida, de Saint-Juéry, qui fait depuis cinq ans les saisons à l'hôtel du Pont. «Dans le milieu de la restauration, c'est particulier. On est comme une grande famille. M. et Mme Saysset sont plus que des patrons. Ce sont des gens ouverts, à l'écoute. Depuis deux saisons, Victor donnait la main. Le soir, il aidait son papa à la plonge», poursuit l'employée : «J'espère juste que, lorsque Victor s'est éteint dans son sommeil, il y a huit jours exactement, endormi pour toujours, il ne s'est rendu compte de rien.»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/26/1545118-ambialet-ils-ont-marche-pour-dire-adieu-a-victor.html

samedi 26 janvier 2013

Mort d'un parapentiste en Isère

Un parapentiste de 40 ans a fait une chute mortelle aujourd'hui, après son décollage du site de Saint-Hilaire-du-Touvet, en Isère, a-t-on appris auprès du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Grenoble.

Originaire de l'agglomération grenobloise, la victime pourtant "expérimentée", selon les secours, a "fait une erreur de sanglage" de son matériel, entraînant sa chute d'une centaine de mètres dans les arbres. Il était décédé à l'arrivée des secours.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/26/97001-20130126FILWWW00411-mort-d-un-parapentiste-en-isere.php

Accident de la route : un jeune automobiliste retrouvé mort par ses parents

Un jeune automobiliste de 19 ans, tué dans un accident de voiture, a été retrouvé mort par ses propres parents, sans doute plusieurs heures après le drame. L'accident s'est produit dans la Marne à Trépail, rapportent nos confrères de L'Union. Le conducteur a perdu le contrôle de sa voiture dans la nuit de jeudi à vendredi. Le véhicule a effectué plusieurs tonneaux avant de s'immobiliser dans les vignes. Ses parents inquiets de ne pas voir rentrer le jeune homme dans la soirée ont tenté vainement de le joindre. Au matin, ils sont partis à sa recherche en empruntant son itinéraire présumé. Ils ont découvert le véhicule accidenté et le corps de leur fils.

http://www.estrepublicain.fr/fil-info/2013/01/26/un-jeune-automobiliste-retrouve-mort-par-ses-parents

Un bus percute deux piétons à Lattes : un jeune entre la vie et la mort

Ce samedi au petit matin, un accident de la circulation a fait deux blessés dont un grave à Lattes, près de Montpellier. Vers 6 h 30, un bus de tourisme a percuté deux jeunes gens qui marchaient sur le bas-côté d’une route étroite.
Le conducteur, ébloui par les phares du véhicule qui arrivait en face, n’aurait pas vu les deux piétons, âgés de 22 et 26 ans. Il se serait rendu compte de l’accident en entendant le bruit du choc.

L’une des deux victimes souffre d’un traumatisme crânien et son pronostic vital est engagé. Le dépistage alcoolémique effecuté sur le chauffeur s'est révélé négatif.

http://www.midilibre.fr/2013/01/26/un-bus-percute-deux-pietons-a-lattes-un-jeune-entre-la-vie-et-la-mort,633363.php

Un jeune automobiliste retrouvé mort dans les vignes

Dans la nuit de jeudi à vendredi, un étudiant de Trépail s'est tué au volant à l'entrée du village. Ce sont ses parents, inquiets de ne pas le voir rentrer, qui l'ont retrouvé dans sa voiture accidentée au milieu des vignes.
Le village de Trépail est en deuil. Dans la nuit de jeudi à vendredi, l'un de ses enfants, Clément Comin, 19 ans, a péri dans un accident de la circulation survenu quelques dizaines de mètres seulement avant l'entrée de la commune, sur la route de Villers-Marmery.
Etudiant en viticulture à Bezannes, le jeune homme rentrait au domicile familial lorsqu'il a perdu le contrôle de sa Peugeot 206 à la sortie d'un virage. Peut-être a-t-il dérapé sur une plaque de verglas.
Traversant la route, la voiture a percuté un talus qui l'a propulsée dans les airs. Elle est retombée dans les vignes, une quarantaine de mètres plus loin, avant d'effectuer un ou deux tonneaux et de s'immobiliser sur ses roues, son conducteur à l'intérieur.

Aucun témoin
Le drame n'a eu aucun témoin. L'heure même de l'accident est inconnue. Décrit par la maire de Trépail comme « un bon gamin, un gentil garçon qui ne faisait pas parler de lui », Clément Comin avait passé la soirée de jeudi à Reims, avec des amis. Ils se sont quittés vers 22 h 30. Dans la nuit, inquiets de ne pas le voir rentrer, ses parents ont tenté de le joindre par téléphone, sans succès. Leurs SMS sont également restés sans réponse.
Vers 8 heures, n'y tenant plus, ils ont décidé de partir à sa recherche en empruntant le chemin qu'il aurait dû suivre à son retour. A peine avaient-ils quitté Trépail qu'ils ont repéré sa voiture accidentée dans les vignes. Ils sont allés voir. L'horrible découverte a suivi. En état de choc, ils ont été ramenés chez eux par les pompiers.
Avant les parents, personne n'avait signalé aux secours la présence du véhicule. « Il n'était pas évident de le voir de nuit », explique un officier de gendarmerie. « C'est un véhicule de couleur sombre qui se trouvait dans les vignes, à une trentaine de mètres de la chaussée, tous feux éteints car les phares ont été détruits lors du choc. En plus, il n'y avait aucune trace visible de l'accident sur la route, aucun débris. »

Tué sur le coup
Les gendarmes ont retrouvé deux personnes passées sur les lieux entre 7 h 15 et 8 heures, alors que le jour se levait. Elles aussi n'ont rien remarqué. « D'autres, peut-être, ont vu le véhicule mais si c'est le cas, elles ont dû penser qu'il s'agissait d'une simple embardée ou que les secours étaient déjà intervenus dans la nuit, en laissant la voiture sur place. »
Une intervention plus rapide n'aurait cependant pas permis de sauver le jeune homme. D'après les constatations, il est probablement mort sur le coup.


http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-jeune-automobiliste-retrouve-mort-dans-les-vignes

Clermont-Ferrand : chute mortelle d'un enfant de 11 ans dans son collège

L'adolescent, élève de 6ème au collège Blaise Pascal, était tombé dans le vide après avoir enjambé la rambarde d'un escalier dans l'intention de glisser sur la rampe.
Il voulait glisser sur la rampe d'un escalier. Un garçon de 11 ans est mort après avoir fait une chute de dix mètres mardi dans son collège de Clermont-Ferrand. Il est décédé vendredi des suites de ses blessures.
L'adolescent, élève de 6ème au collège Blaise Pascal, était tombé dans le vide après avoir enjambé la rambarde d'un escalier dans l'intention de glisser sur la rampe, selon la direction de l'établissement.
A leur arrivée sur les lieux de l'accident, les pompiers avaient trouvé l'adolescent en arrêt cardio-respiratoire mais avaient réussi à le réanimer. Le collégien, dont le pronostic vital restait engagé, avait été admis en réanimation pédiatrique au CHU de Clermont-Ferrand.

Selon le proviseur de l'établissement, le jeune garçon, "un élève gentil et sympathique" avait été victime d'un jeu. "Les enfants de sixième ne mesurent pas toujours les risques qu'ils prennent", avait-il déclaré lors d'un point de presse, soulignant que "ce genre d'événement ne s'est jamais produit dans l'établissement".
Une cellule d'écoute avait été mise en place dans le collège à la suite de l'accident.

Moissac. Un joggeur renversé et tué

Un accident mortel s'est produit hier soir, peu après 19 heures, sur la liaison Quercy-Gascogne, à la sortie de Moissac. Sur la route, une chaussure, du sang, des débris de verre... autant de preuves de la violence du choc. Pour des raisons que l'enquête déterminera, un joggeur a été percuté par une voiture. L'homme âgé d'une trentaine d'années a été projeté sur un deuxième véhicule qui arrivait dans l'autre sens, et qui l'a traîné sur plusieurs mètres. à l'arrivée des secours, la victime était décédée.
Pour l'instant l'identité du joggeur n'est pas connue, l'homme n'ayant pas de papier d'identité sur lui au moment des faits. Un VSAV (véhicule de secours pour les accidentés et les victimes) a été réquisitionné par le procureur de la République pour transporter le corps. Sous le choc, le conducteur du second véhicule a été pris en charge par les pompiers.
L'enquête suit son cours avec l'audition des témoins en brigade et les recherches sur le terrain des Techniciens d'identification criminelle (TIC).

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/26/1545509-moissac-un-joggeur-renverse-et-tue.html

Un Nantais s'immole par le feu

Un Nantais de 38 ans s’est immolé par le feu en pleine rue, ce matin à Vigneux-de-Bretagne, en Loire-Atlantique, rapporte Ouest France. Il était ce soir entre la vie et la mort. Fonctionnaire aux impôts, il souffre de troubles dépressifs, selon une source judiciaire, cité par le site du quotidien.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/25/97001-20130125FILWWW00724-un-nantais-s-immole-par-le-feu.php

Percutée par un bus, une cycliste dans un état critique

Un bus Tisseo et une cycliste sont entrés en collision, hier matin, entre le Pont Neuf et Esquirol. La victime, âgée de 69 ans, a été transportée dans un jugé très grave à l'hôpital Purpan. Elle souffre d'un traumatisme crânien. Son pronostic vital était engagé hier.
Une violente collision s'est produite, hier matin, dans le centre ville de Toulouse. Peu avant 8 h 30, une cycliste qui débouchait de la rue des Couteliers sur la rue de Metz n'a pas vu un bus de transport de voyageurs Tisseo qui arrivait du Pont Neuf en direction d'Esquirol. Elle est allée percuter violemment l'avant du bus dont le pare-brise a été étoilé.
Cette femme, en arrêt cardio-respiratoire, a rapidement été secourue par les sapeurs-pompiers puis par une équipe du SAMU qui a finalement réussi à faire repartir son cœur.
Elle a été transportée à l'hôpital Purpan dans un état jugé très sérieux. Elle souffre d'un traumatisme crânien important et son pronostic vital était très engagé hier soir.
Selon des témoins de l'accident, cette femme âgée de 69 ans et domiciliée à Toulouse ne s'est pas arrêtée à l'intersection de la rue des Couteliers et de la rue de Metz. Le bus, qui venait de démarrer, à un feu vert l'a donc percutée de plein fouet. Hier matin, les policiers de la brigade des accidents, chargés de l'enquête, ont procédé aux constatations sur place.

Pagaille chez les automobilistes

À cette heure-là, il pleuvait beaucoup. La cycliste, emmitouflée, n'avait peut-être pas la visibilité adaptée à son déplacement. Pressée, elle n'aura pas pris le temps de vérifier qu'elle risquait de couper la route d'un autre véhicule. Le chauffeur du bus a été très choqué par cette collision.
Cet accident a semé la pagaille chez les automobilistes, à l'heure de pointe, dans le secteur d'Esquirol et de Saint-Cyprien. De forts ralentissements se sont formés qui ne se sont dissipés qu'au bout d'un long moment.
Les deux-roues ont été impliqués dans dix des quatorze accidents mortels de l'agglomération toulousaine en 2012.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/25/1544730-percutee-par-un-bus-une-cycliste-dans-un-etat-critique.html

vendredi 25 janvier 2013

Saint-Etienne : un jeune homme se défenestre du 4e étage

Ce vendredi matin, vers 6 heures, un jeune homme de 25 ans s’est jeté d'une fenêtre, située au quatrième étage, dans le quartier stéphanois de Montreynaud. Il est actuellement entre la vie et la mort. C'est le cinquième suicide ou tentative, depuis le début de l'année, dans le département.
On compte cinq suicides ou tentatives depuis le début de l’année dans la Loire.
Le 13 janvier, un homme de 48 ans se tirait une balle dans la tête après s’être retranché, chez lui, à Firminy.
Lundi dernier, une jeune fille de 19 ans, trouvait la mort, à l’entrée d’un tunnel SNCF, à Saint-Chamond.
Mercredi, une jeune fille de 15 ans, après une dispute familiale, se défénestrait du troisième étage. Sa chute était heureusement freinée par des arbustes. Ses jours ne sont pas en danger.
Jeudi, un sexagénaire choisissait de se noyer dans un barrage à Saint-Galmier. Son corps, sans vie, a été découvert en fin de journée.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/01/25/saitn-etienne-un-jeune-homme-se-defenestre-du-4e-etage

Un marginal retrouvé mort dans sa cabane

Les habitants de Fismes ne verront plus sa grande silhouette barbue vagabonder dans les rues. Retiré depuis de nombreuses années dans une cabane qu'il s'était construite au milieu des bois, entre la ligne de chemin de fer et la route de Soissons, le pauvre homme y est décédé comme il a vécu : seul, en toute discrétion.
La macabre découverte a été effectuée hier en début d'après-midi. Habituée à lui rendre visite pour prendre de ses nouvelles, échanger quelques mots, lui apporter des victuailles données par la maison de retraite, la police municipale s'est inquiétée de ne pas l'avoir vu descendre à Fismes ces derniers jours. Aussi a-t-elle voulu vérifier si tout allait bien.
Arrivés devant la cabane (un grand abri fait de bâches et de branchages adossé à un mur de pierres, près d'une source), les policiers n'ont obtenu aucune réponse à leurs appels. Ils sont entrés. L'homme gisait dans sa couche, sans vie, comme si la mort avait attendu son sommeil pour venir le prendre. Aucune lésion suspecte n'a été remarquée par le médecin légiste, ce qui confirme l'hypothèse d'un décès d'origine naturelle. Le parquet de Reims a cependant ordonné une autopsie pour en déterminer la cause exacte. Elle aura lieu ce matin.
Ancien bûcheron réduit à l'inactivité depuis la mort de son employeur il y a plusieurs années, l'homme vivait dans cette cabane même du temps où il travaillait. Il a toujours refusé d'aller ailleurs. Toutes les propositions de relogement formulées par la ville de Fismes pour lui venir en aide ont été rejetées par l'ermite.
« C'est quelqu'un qui ne causait à personne, pas méchant pour deux sous, mais qui voulait qu'on le laisse tranquille », se souvient un habitant. « Le jour, on ne le voyait pas trop. Il préférait sortir la nuit. Il faisait les poubelles. »
Personne ne lui connaît de famille. Il n'avait que 58 ans.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/un-marginal-retrouve-mort-dans-sa-cabane

Une enfant de 6 ans martyrisée par sa mère à Nice

L’école de la fillette a donné l’alerte. La maman et son compagnon ont été placés en détention provisoire

C'est un directeur d'école de Nice-Est qui a donné l'alerte. D., une élève de 6 ans, présentait de terrifiants stigmates. De profondes zébrures sur tout le dos constatées par l'infirmière scolaire. Après avoir incriminé un compagnon de jeu dans la cour de récréation, l'enfant a admis avoir été battue.

La brigade des mineurs de la Sûreté départementale a aussitôt convoqué E., la mère, et son compagnon, C., deux Capverdiens de 26 ans, domiciliés boulevard Louis-Braille. Le couple a été placé en garde à vue. Lors d'une perquisition, les policiers ont saisi un flexible de douche et un câble électrique qui auraient servi à battre la petite.

Une punition

E., mère de trois enfants, a reconnu avoir puni D. Son compagnon a admis avoir assisté à certains châtiments corporels, sans toutefois y participer.

Au regard des sévices infligés, le couple a été renvoyé dès mercredi soir devant le tribunal correctionnel dans le cadre d'une comparution immédiate. Les avocats des deux prévenus ont demandé un délai pour préparer leur défense. Le procès a été fixé au 4 mars.

En attendant, le tribunal a décidé du maintien en détention du couple, et demandé une expertise médicale de l'enfant pour dater certaines blessures qui paraissent anciennes. Ce qui accréditerait la thèse d'une enfant battue régulièrement, plutôt que celui d'un coup de colère ponctuel.

Les trois enfants ont été placés par la justice. Actes Pelican, association de protection de l'enfance, s'est, d'ores et déjà, constituée partie civile.

http://www.nicematin.com/nice/une-enfant-de-6-ans-martyrisee-par-sa-mere-a-nice.1123834.html

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Mardi matin, un drame de la route s'est joué dans la traversée de Grisolles (notre édition de mercredi page 18). Avenue de la Paix, une route parallèle à la RD820 et qui longe la double voie ferrée Toulouse-Montauban permet de remonter rapidement sur Canals. C'est cette route qu'emprunte au volant d'une petite Volkswagen Anouar Khabti 20 ans qui habite d'ailleurs à Canals.
Il vient de porter jusqu'à la gare un de ses quatre autres frères et a déposé à l'école le plus petit.
Sur cette chaussée verglacée, soudain il perd le contrôle de son véhicule. Qui franchit les deux voies ferrées et va violemment s'immobiliser quarante mètres plus loin dans un pylône de caténaire. Il faut alors pour les secours (pompiers et SAMU 82) désincarcérer le conducteur dont le pronostic vital est engagé.

«Un excellent joueur plein d'avenir»

Il est héliporté sur le CH Purpan où il va décéder, le lendemain, dans la soirée de mercredi aux soins intensifs. Hier matin les dirigeants, joueurs et entraîneurs du FC Grenade-sur-Garonne où rejouait Anouar depuis un an, après avoir opéré aussi en U 19 sous le maillot de F.C Grisolles, ont appris avec stupeur la terrible nouvelle. Mourad Bouselha qui entraîne avec Christophe Baron l'équipe fanion de la bastide, qui évolue en championnat de district de Haute-Garonne, dans laquelle évoluait Anouar nous confiait : «C'était un super-gars aimé de tout le monde. Un excellent joueur, un latéral droit, qui avait de l'avenir. Il avait la main sur le cœur et prêt à tout donner à son prochain. C'était l'aîné d'une famille de cinq avec son frère jumeau Achraf. Et aussi bien à Grisolles, Saint-Jory, Castelnau ou Grenade où lui ou d'autres membres de sa famille ont joué ou jouent tout le monde appréciait ce garçon.» Qui avait certes le cœur sportif plus en jaune et noir mais qui débuta à Saint-Jory, porta aussi le maillot de l'entente d'alors entre Grisolles et Castelnau d'Estrétefonds et exprimait une belle potentialité footballistique doublée d'un état d'esprit hors pair. Cette unanimité sportive et humaine est d'ailleurs aussi partagée par François Vayssières le maire de Canals où toute la famille habite au 1 051 route de Fabas dans une maison construite de ses mains par le père, par ailleurs chauffeur au transports Jardel ,la maman travaillant dans une structure sociale dépendant du conseil général . Il était sous le coup de l'émotion hier en fin de matinée quand comme nombre de ses compatriotes il avait avisé de la funeste issue concernant ce jeune Canalais : «Il était vraiment sympa et serviable. Comme l'ensemble de sa famille aimée et respectée de tous les habitants de Canals où elle est arrivée il y a maintenant plus de 10 ans».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/25/1544470-le-jeune-joueur-de-football-est-decede.html

Ambialet. Une marche blanche pour Victor, disparu à 15 ans

Ce vendredi à 15 heures seront célébrées à Ambialet les obsèques de Victor Saysset précédées d'une marche blanche. Fils du chef de l'hôtel du Pont et footballeur à Saint-Juéry, ce lycéen albigeois s'est éteint dans son sommeil.
«Les larmes aux yeux, le choc, la tête en feu d'incompréhension, le cœur déchiré. Voilà ce que je ressens. Comment on va faire sans toi, nous ? Tu étais un des principaux piliers de la classe, on a perdu un camarade, un chef d'équipe, un ami.» Voilà ce qu'écrit Lison, une lycéenne, sur la page Facebook «Hommage à Victor Saysset», qui totalisait hier soir 1 268 mentions «j'aime». Ce groupe Facebook a été créé dès samedi 19 janvier, quelques heures après la disparition de cet adolescent de 15 ans, décédé dans son sommeil d'un malaise fatal. Cette mort subite survenue si jeune, dans la prime fleur de l'âge, a suscité une profonde émotion, dans toute la vallée du Tarn, d'Albi où Victor Saysset était en seconde 4 au lycée Lapérouse à Ambialet en passant par Saint-Juéry. Victor Saysset était l'aîné des deux fils de Jean-Pierre et Nadège Saysset, qui tiennent le réputé hôtel du Pont de Saint-Cirgue sur la rive droite en face d'Ambialet. Après avoir joué à l'ASPTT d'Albi, Victor Saysset était aussi un des gardiens de but de l'équipe des jeunes du Saint-Juéry olympique (SJO). «Le foot, c'était sa passion. Victor revenait de huit jours en vacances en famille au Sénégal, lorsqu'il s'est endormi à jamais. Les Saysset y étaient allés tous les quatre, pour être ensemble», dit Claude Izard, président des Cuisineries gourmandes des provinces françaises, qui se fait le porte-parole des parents éplorés.

Diaporama sur You Tube

Si cruellement frappé ainsi que son épouse, Jean-Pierre Saysset est membre de longue date des cuisineries. «Il a pris le relais à l'hôtel du Pont, dans la famille depuis cinq générations, après Georges Saysset aujourd'hui décédé et son épouse Pierrette, qui est toujours en vie.»
«Tu auras un putain d'hommage de la part de nous tous, je te le promets», écrit aussi la jeune Lison. Elle et ses camarades ont tenu parole. Mis en ligne sur You Tube, un diaporama fait le buzz. On y voit Victor Saysset sous ses différentes facettes, du goal aux photos de famille. Ses coéquipiers du Saint-Juéry olympique appellent de leur côté à une marche blanche. Ils viendront avec leur maillot, celui que portait aussi Victor. Le rendez-vous est fixé vendredi 24 janvier à 13 h 15 au départ de la place d'Ambialet. Les marcheurs iront jusqu'au prieuré d'Ambialet, où seront célébrées à 15 heures les obsèques de Victor. Les jeunes, de cette génération Facebook à laquelle appartenait Victor, ont, souligne Claude Izard «tout organisé sur Facebook, avec des textes faits par eux». Une autre lycéenne, Clara, a mis en ligne une photo. On y lit le prénom Victor, tracé dans la neige qui tombait en ce triste dimanche sur l'Albigeois, inscription éphémère accompagnée d'un cœur.
http://www.facebook.com/HommageAVictorSaysset?ref=ts & fref = ts

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/24/1543834-ambialet-une-marche-blanche-pour-victor-disparu-a-15-ans.html

jeudi 24 janvier 2013

Un étudiant de 23 ans se suicide au pôle commercial de Confluence

La victime est un étudiant de 23 ans de la faculté de Lyon originaire de l’agglomération. Il s’est jeté du haut du centre commercial de Confluence jeudi vers midi.
Il n’a pas survécu à ses blessures. Il aurait emprunté un escalier extérieur côté cours Charlemagne avant de commettre son geste.
Le cours Charlemagne a longuement été coupé à la circulation juste avant le centre commercial et tout est rentré dans l'ordre vers 14h30.

http://www.leprogres.fr/rhone/2013/01/24/un-etudiant-de-23-ans-se-suicide-au-pole-commercial-de-confluence

Blessé mortellement en coupant du bois

Un drame aussi rare que tragique s'est produit ce week-end. Plus exactement dimanche après-midi.
Vers 18 h 30, les pompiers de Ribemont ont été appelés au 11, rue de La Capelle pour un homme gravement blessé. A l'arrivée des pompiers, Christian Dupont, un célibataire de 50 ans, était en arrêt cardiaque. Malgré tous leurs efforts, les pompiers n'ont pas réussi à ramener le malheureux à la vie. L'homme s'était involontairement donné un coup de serpe à la jambe en fendant du bois.
Les gendarmes de la communauté de brigades de Ribemont, épaulés par les hommes de la brigade de recherche de Saint-Quentin et d'un technicien en identification criminelle, se sont rendus sur place pour établir les causes exactes du décès.
Les investigations ont démontré que la cause de la mort était accidentelle. Le quinquagénaire souffrait déjà de la jambe touchée par la serpe. Un élément qui a sans doute contribué à rapidement aggravé la blessure. Aucune autopsie n'a été ordonnée par le parquet


http://www.aisnenouvelle.fr/article/faits-divers-%E2%80%93-justice/blesse-mortellement-en-coupant-du-bois

Saugnacq-et-Muret (40) : décédé pour avoir évité un chevreuil

Un automobiliste landais de 80 ans qui circulait hier, vers 19 heures, sur la commune de Saugnacq-et-Muret, est décédé après avoir perdu le contrôle de son véhicule suite à une embardée censée permettre d'éviter un chevreuil qui traversait la chaussée. Sa Citroën Saxo s'était immobilisée quelques dizaines de mètres plus loin dans un fossé gorgé d'eau situé sur le côté gauche de la voie. Si le passager de 17 ans et seul témoin de la scène a pu ressortir indemne du véhicule, l'octogénaire natif de Moustey, qui était resté un temps prisonnier de sa voiture, n'a malheureusement pas pu être réanimé par les secours.

http://www.sudouest.fr/2013/01/24/saugnacq-et-muret-decede-pour-avoir-evite-un-chevreuil-944969-3550.php

COUCY-LÈS-EPPES Un retraité se jette sous un train

Hier, vers 11 h 45, un retraité, âgé de 65 ans, résidant dans la commune de Montaigu, s'est jeté au passage d'un train TER, de la ligne Reims/Laon, à la sortie de Coucy-lès-Eppes, sur le CD 52, non loin de l'intersection avec le CD 521, à hauteur du passage à niveau.
Les gendarmes de Sissonne, ainsi qu'un technicien en identification criminelle se sont rendus sur place dans le cadre de l'enquête ouverte. Les militaires privilégient la thèse de l'acte volontaire. Le retraité aurait laissé une lettre expliquant son intention d'en finir.
Les sapeurs-pompiers de Sissonne et de Laon ont été dépêchés sur les lieux mais il n'y avait déjà plus rien à tenter.
Dans le train se trouvaient onze voyageurs. Ils ont été pris en charge par la SNCF, qui a fait appel à une société de taxis.
La circulation des trains dans les deux sens a été totalement interrompue, le temps de l'intervention des gendarmes, de l'inspection de la rame et des infrastructures. Elle a été rétablie partiellement vers 15 h 51. La SNCF prévoyait de rétablir entièrement le trafic, en début de soirée.


http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/coucy-les-eppes-un-retraite-se-jette-sous-un-train

Doubs: un mort mutilé par son chien

Le corps sans vie d'un homme présentant d'importantes lésions au niveau du cou et du thorax a été découvert à son domicile dans le Doubs, les enquêteurs soupçonnant son chien de l'avoir mutilé, a-t-on appris aujourd'hui de source judiciaire. Le corps mutilé de l'homme de 41 ans, sans emploi, a été découvert allongé sur son lit par un proche, mardi en fin d'après-midi dans son appartement d'Hérimoncourt (Doubs). Son chien, de race boxer, se trouvait dans le logement, a indiqué à l'AFP le parquet de Montbéliard (Doubs).

L'autopsie doit encore confirmer officiellement l'origine des lésions et les causes du décès, a précisé le parquet. Le défunt a été vu pour la dernière fois mardi matin, comme endormi sur son lit, par son fils de 12 ans qui partait à l'école.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/01/24/97001-20130124FILWWW00515-doubs-un-mort-mutile-par-son-chien.php

Auch. Une jeune interne de l'hôpital retrouvée morte à son domicile

Amélie Cluzet, interne en médecine en poste à l'hôpital d'Auch, a été retrouvée morte dans son appartement de Toulouse. Agée de 25 ans, la jeune femme était en poste depuis le mois de novembre 2012 dans le service de gynécologie médicale de l'hôpital d'Auch. Lundi, ses collègues internes ne l'ayant pas vu au travail se sont inquiétés. Ses parents prévenus, son corps a été découvert dans la journée de lundi. Amélie Cluzet serait décédée dans le courant du week-end. Les premiers résultats de l'autopsie pratiquée mardi après-midi font état d'une mort naturelle, survenue dans le début du week-end, pendant son sommeil. Dans un mail adressé à la communauté médicale de l'hôpital d'Auch, le docteur Patrick de Chirée, président de la commission médicale d'établissement évoque une jeune femme «consciencieuse, douce et secrète, qui s'était parfaitement intégrée dans l'équipe médicale et paramédicale du service de gynécologie-obstétrique». «La communauté des internes de l'hôpital d'Auch est sous le choc. L'équipe de gynécologie-obstétrique est effondrée», ajoute le médecin qui, «en ce douloureux moment, tient à partager cette peine avec toutes celles et tous ceux qui l'ont connue et appréciée.» Les obsèques d'Amélie Cluzet sont célébrées aujourd'hui, à 10 heures dans le village de Gratens (Haute-Garonne) d'où sa famille est originaire.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/24/1543726-auch-une-interne-de-l-hopital-retrouvee-morte.html

Le Lédat. Une infirmière tuée après avoir porté secours à un cyclomotoriste

Une jeune infirmière de 30 ans a été victime d'un accident de la route, hier matin, entre Villeneuve et Casseneuil, alors qu'elle prêtait main-forte à un cyclomotoriste.
Au centre hospitalier Saint-Cyr, c'était la consternation hier matin. Une jeune infirmière de 30 ans venait d'être victime d'un accident de la route. La consternation se doubla d'une totale incompréhension quand les amis de la victime apprirent les détails de ce drame de la route. Hier, vers 8 heures, la jeune infirmière et un autre automobiliste roulaient en direction de Villeneuve sur la route de Casseneuil. Ils suivaient un cyclomoteur qui chuta lourdement sur la chaussée en traversant la zone artisanale du Lédat en bordure du Lot. La chaussée glissante sur cette zone connue pour présenter des surfaces verglacées en hiver entraîna la chute du cyclo. Aussitôt, la jeune infirmière, l'automobiliste qui suivait et un troisième usager de la route stationnèrent sur le bas-côté pour venir en aide au jeune adolescent. Ils constatèrent rapidement que le jeune conducteur ne présentait aucune blessure sérieuse et s'apprêtaient à déplacer le deux-roues vers le fossé quand une voiture arriva de Villeneuve en direction de Casseneuil. Et d'après les premières constatations, c'est encore le verglas, dans cette descente très piégeuse, ajouté à l'effet de surprise, qui provoqua la perte de contrôle et le drame qui s'ensuivit. Totalement incontrôlée, la voiture heurta violemment le groupe avant de terminer sa course dans le fossé. Rapidement, les secours s'organisèrent. Près de 12 gendarmes furent déployés sous les ordres du commandant Legendre pour sécuriser la zone et permettre aux sapeurs-pompiers de venir en aide aux blessés. Plusieurs ambulances venues du centre de secours principal de Villeneuve furent nécessaires pour évacuer sur le centre hospitalier les victimes de cet accident de la route. En état de choc, la conductrice du véhicule à l'origine du drame fut évacuée, elle aussi. Pour la jeune infirmière, malgré les soins des sapeurs-pompiers et du personnel du service des urgences, il était malheureusement trop tard, elle succomba à ses blessures au moment du choc. Deux autres blessés, un homme atteint de fracture aux jambes et une troisième personne, une femme, victime d'un traumatisme crânien furent également pris en charge par le service des urgences. Les deux blessés très grièvement atteints furent rapidement évacués sur le centre hospitalier régional à Bordeaux. On craignait hier en fin de journée un bilan plus lourd encore. Sur les lieux de l'accident, la circulation perturbée toute la matinée redevint normale. Les véhicules, dont beaucoup de poids lourds et de bus de transports scolaires, furent déviés par le lotissement voisin. Les témoins, eux, rendaient tous hommage à cette jeune infirmière, victime de son devoir, victime d'avoir voulu secourir son prochain.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/01/23/1542862-le-ledat-une-infirmiere-tuee-apres-avoir-porte-secours-a-un-cyclomotoriste.html