dimanche 31 mars 2013

Un homme de 60 ans décède dans un accident de bûcheronnage

Parti dès 8 heures pour sa propriété forestière du lieu-dit Toirat à Champagnac-le-Vieux, un homme de 60 ans a perdu la vie, samedi, alors qu’il coupait du bois.
Inquiète de ne pas le voir revenir pour déjeuner, sa famille décide de partir à sa recherche en début d’après-midi. Sur place, ses proches trouveront l’homme coincé sous un arbre. Alertés vers 15 heures pour une personne inconsciente, les pompiers sont immédiatement intervenus. Ils constateront le décès. Le maire de Champagnac s’est rendu sur les lieux.
C’est le deuxième accident mortel de bûcheronnage en quinze jours. Un habitant de Saint-Fond, en Ardèche, âgé de 33 ans, ayant perdu la vie dans des circonstances similaires à Boffres, près de Vernoux.


http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/03/31/un-homme-de-60-ans-decede-dans-un-accident-de-bucheronnage

Landes : un piéton de 45 ans meurt fauché par une ambulance

Ce dimanche matin, à Saint-Paul-lès-Dax, un Dacquois de 45 ans, a trouvé la mort sur la route des Barthes
Selon les premiers éléments de l'enquête de police, cet homme marchait au milieu de la chaussée et une ambulance privée qui transportait une patiente depuis Capbreton, pour la conduire à l'hôpital de Dax, n'aurait pu l'éviter.
Le piéton n'a pas survécu à ses blessures. L'enquête confiée au commissariat de Dax déterminera les circonstances exactes de l'accident.

Les tests d'alcoolémie et le dépistage aux produits stupéfiants chez le conducteur de l'ambulance se ont montrés négatifs.

http://www.sudouest.fr/2013/03/31/landes-un-pieton-de-45-ans-meurt-fauche-par-une-ambulance-1010901-3.php

Chute mortelle dans le port de Menton

Que s'est-il passé hier à Menton? Il était environ 17h45, lorsqu'un automobiliste âgé de 90 ans, a perdu la vie en tombant dans le vieux port de la cité au volant de sa Citroën blanche.

Cette chute est-elle due, ainsi que l'affirment des témoins, à une faute de conduite? Ou était-ce un acte désespéré, comme le prétendent d'autres personnes présentes sur les lieux ?

Toujours est-il que les plaisanciers et touristes ont été surpris de voir cette voiture flotter quelques secondes avant de disparaître par le fond. "Je pêchais tranquillement en face, lorsque j'ai assisté à la scène, expliquait Philippe Bouchet, tout grelottant dans l'ambulance. Personne n'a réagi. Alors, j'ai plongé. La vitre était ouverte, mais la victime ne bougeait pas. J'ai tenté 25 fois au moins d'y retourner. Mais on n'y voyait plus rien".

Sur le toit par cinq mètres de fond

Il faut dire que la berline était couchée sur le toit, par 5 mètres de fond, comme le confirmait le sergent-chef Joël Zahra, le premier sapeur arrivé sur place: "Je me suis positionné à l'aplomb du véhicule et effectué une dizaine d'apnées. L'eau était glacée et la visibilité nulle. J'ai tout essayé… Mais j'ai dû attendre les plongeurs".

Ces derniers parvenaient rapidement sur les lieux à bord d'un Zodiac, tandis que des moyens terrestres étaient également dépêchés.

En tout, une vingtaine d'hommes dirigés par le capitaine Pierre Chevrier et le lieutenant Christian Vissio.

Les sauveteurs ont finalement réussi à sortir le malheureux de sa voiture et à le hisser sur le quai. Ces derniers et les médecins du Samu ont alors tout tenté afin de réanimer le nonagénaire. Malheureusement, plusieurs minutes plus tard, ils n'avaient d'autre choix que de déclarer le décès.

Une enquête a été ouverte par les policiers mentonnais afin de déterminer les causes exactes du drame.

Les opérations de renflouage de la voiture sont, elles, prévues pour mardi matin. En attendant, la zone a été balisée à l'aide d'une bouée.

Mais, au regard de la profondeur, l'épave ne représente aucun risque pour les bateaux entrants dans le port.

http://www.nicematin.com/menton/chute-mortelle-dans-le-port-de-menton.1196721.html

Cinq enfants meurent dans l'incendie d'une maison dans l'Aisne

Cinq enfants âgés de 2 à 10 ans sont décédés dans l'incendie d'une maison à Saint-Quentin, dans l'Aisne. La préfecture l'annonce ce dimanche matin.
Séparé, le père recevait ses enfants pour le week-end. Cinq enfants âgés de 2 à 10 ans sont décédés dans la nuit de samedi à dimanche dans l'incendie "vraisemblablement accidentel" d'une maison à Saint-Quentin, dans l'Aisne. Le père de famille, également présent dans la maison au moment de l'incendie, a été légèrement brûlé.
Le drame a eu lieu vers 22h30. Lorsqu'il s'est aperçu que la maison était en feu, envahie par la fumée, le père de famille a sauté du premier étage du bâtiment. Il a été pris en charge par les secours après que les voisins ont donné l'alerte. Emmené à l'hôpital, l'homme a alors expliqué que ses enfants se trouvaient encore dans la maison.
Sur place, les pompiers ont eu du mal à accéder aux lieux devant l'abondance de fumée, même équipés d'appareils respiratoires. Le plancher de la maison menaçait par ailleurs de s'effondrer. Les secours ont finalement découvert les cinq corps des enfants "morts par asphyxie", a indiqué la préfecture. On ne connait pas pour le moment les raisons de cet incendie.

Trois morts dans l'incendie d'un immeuble à Aubervilliers

Un incendie, probablement d'origine criminelle, s'est déclaré samedi soir dans un immeuble d'habitation d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, faisant trois morts et 13 blessés.
Un lourd bilan. Trois personnes ont été tuées et 13 blessées, samedi soir dans l'incendie d'un immeuble d'Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, dont des résidents affirment qu'il était squatté et insalubre.

"L'incendie est probablement d'origine criminelle, il s'agirait d'un règlement de comptes", a expliqué Michaël Dahan, directeur de cabinet du maire. Des témoignages d'habitants ont fait état de disputes dans l'appartement où s'est déclenché l'incendie, qui était occupé selon eux par des Egyptiens. "Certains témoins disent qu'un cocktail Molotov a été jeté, d'autres un bidon d'essence, dans tous les cas il s'agit d'un acte malveillant", poursuit le représentant de la mairie. La brigade criminelle est chargée de l'enquête.

La ministre du Logement, Cécile Duflot, venue sur les lieux de l'incendie, a qualifié l'immeuble "d'ancien", datant des années 1920 mais ne "présentant pas de caractère d'alerte particulier". Mais pour Evelyne Yonnet, première adjointe au maire chargée de l'habitat, il s'agit d'"une copropriété très mal gérée, avec des problèmes de squat". "Il y avait déjà eu des plaintes de résidents", a-t-elle déclaré à la presse, précisant que les services de la mairie y étaient "intervenus à plusieurs reprises", notamment pour des opérations de dératisation et désinsectisation.

Cet immeuble comprend sept niveaux. L'incendie a éclaté à 22h10 au troisième étage et s'est propagé vers le 4ème, selon le préfet de Seine-Saint-Denis, Christian Lambert. Le feu a été maîtrisé vers 23h45. Une soixantaine de personnes se trouvaient dans le bâtiment samedi soir. Au moins une des personnes décédées est morte brûlée au 3ème étage, une autre s'est tuée en se défenestrant pour tenter d'échapper aux flammes. Près de deux cents pompiers ont été engagés pour lutter contre le feu et évacuer les résidents.

"Il y avait de la fumée partout". "J'étais chez moi, j'avais pris une douche, quand j'ai entendu un copain qui m'a dit 'sors, sors'!", a raconté à l'AFP un résident, Ali Belmadi. "Mais je ne pouvais pas descendre, il y avait de la fumée partout. Je suis revenu dans l'appartement et j'ai crié, comme tout le monde". "J'ai vu des gens qui sautaient par la fenêtre. Ce sont les pompiers qui m'ont évacué", a ajouté le jeune homme.

"Des rats, pas de normes de sécurité". Selon lui, l'immeuble était devenu "inhabitable". Il y avait "trop de problèmes" depuis que des "squatteurs" y avaient élu domicile. "La situation s'était dégradée depuis cinq ans. Il y avait des rats, des cafards, pas de normes de sécurité", a également affirmé une habitante, en faisant elle aussi état de la présence de "squatteurs".

En janvier,
l'incendie d'un appartement de Gennevilliers (Hauts-de-Seine) avait fait cinq morts, dont trois enfants, et 18 blessés légers. http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/trois-morts-dans-l-incendie-d-un-immeuble-a-aubervilliers-7910258.html

Décès sur Koh Lanta : aucune anomalie cardiaque, Denis Brogniart pointé du doigt

Les premiers résultats d’autopsie du corps de Gérald Babin, décédé au premier jour de tournage de Koh Lanta 2013, ne révèleraient aucune anomalie cardiaque ou vasculaire selon les informations de RTL. Le jeune homme de 25 ans ne présentait selon la radio aucune pathologie susceptible d’avoir causé sa mort.
Mais ces résultats ne sont que pour l’instant partiels et donc à prendre avec prudence. D’autres analyses pourraient être effectuées dans le cadre de l’enquête ouverte pour homicide involontaire.

"Il ne juge pas une intervention nécessaire"

Contrairement à la version officielle, le témoignage d’un membre supposé de la société de production du jeu mettait en cause son propre employeur et le médecin de Koh Lanta. Ce vendredi, un second récit est venu corroborer les déclarations du premier témoin. Recueillies par RMC, les confidences de cette seconde personne ont semé le doute et le trouble.
Selon le deuxième témoin, joint par téléphone par une journaliste de RMC, Denis Brogniart aurait tardé à réagir et aurait minimisé l’état de santé de Gérald Babin. Alors que celui-ci s’effondre durant le premier jeu dit de la corde, l’animateur ne scille pas : « Le médecin qui suit l’épreuve sur un écran veut intervenir tout de suite, le présentateur Denis Brogniart interroge le candidat qui dit avoir des crampes et, selon notre témoin, il ne juge pas une intervention nécessaire. Le réalisateur non plus. L’épreuve n’est donc pas interrompue », explique la radio.

D'autres drames évités ?

Toujours selon cette source, le médecin de l’émission aurait mis presque dix minutes à intervenir sur la plage et l’évacuation du candidat ne se serait déroulée que 90 minutes plus tard.
Le témoin confie également que Koh Lanta a plusieurs fois « frôlé le drame ». « C’est un jeu. Il faut toujours pousser les limites un peu plus loin… et donc reculer l’intervention du médecin ».


http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/30/1595129-deces-koh-lanta-aucune-anomalie-cardiaque-denis-brogniart-pointe-doigt.html

samedi 30 mars 2013

Suicide d'un détenu à Nantes

Un détenu de 44 ans s'est suicidé par pendaison la nuit dernière dans sa cellule de la nouvelle prison ultra moderne de Nantes, un peu plus d'une semaine après le suicide d'un premier détenu, a-t-on appris de sources concordantes.

L'homme a été retrouvé ce matin par les surveillants, lors d'une ronde. Il était incarcéré depuis août 2012 et son dossier était toujours en cours d'instruction, a indiqué le parquet de Nantes.

Une autopsie a confirmé le suicide de cet homme, qui a laissé des lettres expliquant son geste, et dans lesquelles n'apparaît pas de reproche concernant ses conditions de détention, selon le parquet.

Un détenu de 25 ans avait été retrouvé pendu vendredi dernier, premier suicide dans cet établissement inauguré il y a moins d'un an, début juin 2012.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/30/97001-20130330FILWWW00373-suicide-d-un-detenu-a-nantes.php

Dordogne : un homme de 30 ans se tue dans un accident à Issigeac

L'accident s'est produit vers 6 heures du matin, ce samedi, à la sortie d'Issigeac, sur la route d'Eymet, au lieu-dit de l'ancienne gare. Pour une raison indéterminée, le conducteur a perdu le contrôle de son véhicule, sur une ligne droite et a traversé la route. La voiture a foncé dans un arbre en bord de route. Le conducteur est mort sur le coup.
Selon les premiers éléments de l'enquête de gendarmerie, il s'agirait d'un homme né en 1983, d'origine fidjienne et domicilié dans le village de Conne de Labarde, à quelques kilomètres d'Issigeac.

http://www.sudouest.fr/2013/03/30/dordogne-un-homme-de-30-ans-se-tue-dans-un-accident-a-issigeac-1010585-7.php

Grave accident à Calais : la victime est décédée

Ce vendredi, il était environ 21heures lorsqu’un grave accident de la circulation est survenu boulevard Curie, à Calais, entre un véhicule et une femme roulant à bicyclette.

La victime, âgée d’une cinquantaine d’années, était, vers 21 h 10, en train d’être réanimée par les sapeurs-pompiers de Calais. Vers 21 h 30, malgré les efforts déployés par les services de secours, l’équipe médicale n’a pu que constater le décès de la quinquagénaire.
On ne connaît pas encore les circonstances exactes de cet accident, survenu sur cet axe fréquenté de la ville et à l’intersection de la rue Gaillard.

http://www.lavoixdunord.fr/region/grave-accident-a-calais-la-victime-est-decedee-ia33b0n1136371

Castelsarrasin. Un enfant de 7 ans grièvement blessé dans un accident de la route

Hier vers 15 heures, un automobiliste qui circulait en direction de Castelsarrasin vers Lavilledieu-du-Temple sur la RD 958, a percuté par l'arrière un autre automobiliste. Sur place, les hommes du capitaine Bernard Chauderon portaient les premiers secours à un enfant de 7 ans et son père de 43 ans. Le garçonnet grièvement blessé aux membres inférieurs souffrait d'une paralysie. il a été immédiatement transféré au centre hospitalier de Purpan et son père à celui de Moissac.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/30/1595058-castelsarrasin-enfant-7-ans-grievement-blesse-accident-route.html

Douelle. Le corps d’un homme a été repêché dans le Lot

La gendarmerie a retrouvé le corps d’un homme sans vie dans le Lot, hier soir, près de Luzech. Même si la prudence reste de mise, les éléments laissent à penser qu’il s’agirait de l’artisan de Fontanes, disparu le 15 février dernier près des berges du Lot, selon La Dépêche Premium.

De nombreuses recherches ont été engagées par les sapeurs-pompiers de Cahors et de Luzech aidés de la brigade nautique de la gendarmerie d’Arcachon pour retrouver l’artisan. Mais en vain. L’homme est porté disparu depuis.
http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/29/1594387-douelle-corps-homme-ete-repeche-lot.html

vendredi 29 mars 2013

Collision mortelle à Saint -Etienne

Un homme de 32 ans a trouvé la mort dans la montée de Planfoy, à la sortie de Saint-Etienne, ce vendredi après-midi. Sa voiture est entrée en collision avec une camionnette qui descendait. Le chauffeur de celle-ci a été très choqué.
Deux autres voitures ont été impliquées sans que leurs occupants ne soient blessés. On ignore encore les circonstances de l’accident.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/03/29/collision-mortelle-a-saint-etienne

Nancy-Tomblaine : perte de contrôle mortelle

Un dramatique accident s’est produit, ce vendredi, vers 2 h du matin, boulevard Jean Jaures à Tomblaine. Pour une raison indéterminée, un jeune conducteur de 19 ans a perdu le contrôle de sa voiture. Son véhicule a percuté un poteau puis un mur en béton. Avant de s’immobiliser sur le toit.
Lorsque les pompiers sont arrivés, le jeune automobiliste, domicilié à Maxéville, était sans connaissance et en arrêt cardiaque. Malgré les efforts des secours, il n’a pas pu être réanimé. Il est décédé. Présente sur les lieux, la police a procédé aux constatations et ouvert une enquête.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2013/03/29/perte-de-controle-mortelle

Un homme tue son ex-compagne et se suicide dans son salon de coiffure

Dans la Nièvre, un homme s'est rendu au salon de coiffure de son ex-compagne. Econduit, il l'a tué d'un coup de fusil avant de se suicider.
Scène mortelle vendredi matin dans un salon de coiffure de Cosne-sur-Loire, dans la Nièvre. Un homme a tué son ex-compagne par arme à feu. Il s'est ensuite suicidé, selon la gendarmerie et le parquet.
Vers 9h, l'homme, dont l'identité n'a pas été précisée, s'est présenté dans un salon de coiffure de la ville où se trouvait son ex-compagne. Cette dernière l'ayant reconduit, il est allé chercher un fusil dans sa voiture et a fait feu sur la femme qui, entre-temps, avait quitté le salon de coiffure et se trouvait dans la rue.
L'homme s'est ensuite retranché dans le salon de coiffure avant de retourner l'arme sur lui et de se donner la mort. Les enquêteurs se trouvaient toujours sur les lieux en fin de matinée pour procéder aux constatations.
 

Albi. Le corps d'une femme de 61 ans repêché dans le Tarn

Découverte macabre hier en début d'après-midi sur les berges du Tarn, à Albi. Des élèves du lycée Lapérouse, qui se promenaient entre midi et deux le long de l'Échappée verte, sur la rive gauche, ont aperçu un corps flottant en bordure de la rivière, à environ 50 mètres en aval du pont Neuf. La police et les pompiers ont aussitôt été alertés. Le commissariat a dépêché sur les lieux un enquêteur de la brigade de sûreté urbaine, avec l'Identité judiciaire et une patrouille du roulement de jour. Une embarcation des pompiers plongeurs du SDIS, qui avait descendu la rivière depuis la base de loisirs de Cantepau, a repêché le corps vers 14 h 30. Il s'agit d'une femme. Elle était vêtue d'un pull rouge, d'une jupe noire et d'une veste grise. Elle avait encore son sac à main. Ces derniers jours, aucune disparition n'avait été signalée dans l'Albigeois.
La femme décédée habitait Albi et était âgée de 61 ans. Hier soir, les policiers de la brigade de sûreté urbaine chargés de l'enquête s'efforçaient de contacter la famille pour essayer de comprendre ce qui a pu se passer. Le corps de la sexagénaire a été déposé au funérarium d'Albi où un médecin a été requis pour l'examiner. Le praticien ayant posé un obstacle médico-légal, le parquet d'Albi a ordonné une autopsie qui sera réalisée dès que possible à l'institut médico-légal de Rangueil afin de déterminer les causes de la mort.

Geste désespéré ?

À ce stade de l'enquête, toutes les hypothèses restent ouvertes, même si la piste du suicide semble la plus plausible. La malheureuse a-t-elle sauté dans le Tarn depuis le Pont Neuf ? Ce ne serait pas la première fois hélas qu'un tel scénario se produit. Ces dernières semaines, au moins trois personnes suicidaires avaient été sauvées in extremis sur ce même pont, alors qu'elles avaient enjambé le parapet.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/29/1593918-albi-corps-femme-61-ans-repeche-tarn.html

Vaissac. Mort asphyxié dans sa voiture qui lui servait de domicile

Samedi dans la journée pompiers, SAMU 82 et gendarmes de la COB de Nègrepelisse découvrait le corps sans vie d'un homme de 48 ans à l'intérieur d'une voiture dont la partie avant-droite était dégradée par le feu. Le corps avait été transporté à l'institut médico-légal de Toulouse-Rangueil où les experts ont conclu à une mort par asphyxie. Celle-ci venant à la suite d'une combustion lente et nocive de la partie incendiée par le désespéré. Il était domicilié à Montauban, mais vivait semble-il la quasi-totalité du temps dans son véhicule et de façon très précaire car démuni d'emploi.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/28/1593485-vaissac-mort-asphyxie-voiture-servait-domicile.html

jeudi 28 mars 2013

Le corps d'un homme repêché dans la Meuse

Mercredi matin, vers 6 h 15, sapeurs-pompiers et gendarmes étaient alertés à la suite de la découverte d'un corps sans vie dans la Meuse, à Mouzon.
Il s'agit de Michel Gorguet, un homme de 51 ans, qui serait tombé la veille au soir après 22 heures, après avoir passé une partie de la soirée entre amis.
Les gendarmes ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de ce décès. Les premières constatations et l'examen médical pratiqué par le médecin ne révélant aucun acte de violence, on s'orienterait vers la piste soit de l'accident, soit d'un suicide. En tout cas, les enquêteurs travaillent sur la base d'une mort par hydrocution et l'enquête progresse.

http://www.lunion.presse.fr/article/faits-divers/le-corps-dun-homme-repeche-dans-la-meuse

Un bûcheron écrasé par un arbre

Un bûcheron a été découvert mort, en fin de matinée, en forêt de Saint-Gobain. Cet homme, âgé de 42 ans, travaillant pour une entreprise d'élagage de la région parisienne, se trouvait avec un collègue sur une parcelle de la forêt de Saint-Gobain, sur les hauteurs de Prémontré, ce mercredi matin.
Une double enquête
Les deux bûcherons avaient pour mission de tronçonner quelques arbres. La victime a coupé un arbre à sa base. Malheureusement, en tombant celui-ci s'est accroché aux branches d'un autre arbre et le tronc a pivoté. L'arbre est ainsi tombé directement sur le bûcheron. Aucun témoin n'a vu le drame.
Son collègue bûcheron, qui se trouvait plus loin occupé à couper des branchages, s'est inquiété, n'entendant plus la tronçonneuse de son collègue depuis un petit bout de temps.
N'arrivant pas à le joindre sur son téléphone portable, il est donc parti à sa recherche et l'a ainsi découvert gisant sous l'arbre coupé. Il est un peu plus de 11 heures lorsqu'il appelle les secours. Les sapeurs-pompiers n'ont pu que constater le décès.
Une double enquête a été ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de l'accident : judiciaire d'abord, elle est menée par les gendarmes de la compagnie de Laon et administrative ensuite, gérée par l'inspection du travail. Militaires et inspecteurs se sont rendus sur place

http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/un-bucheron-ecrase-par-un-arbre

Dole: il se jette dans le Doubs du Pont de la Corniche

Un jeune Dolois de 18 ans s’est jeté du pont de la Corniche mercredi soir, peu après 22h15. Il s’agirait d’un suicide. Plusieurs minutes auparavant, il avait appelé les policiers pour les prévenir de son geste.
A la suite de son saut, le jeune home a coulé dans le Doubs. Quatre plongeurs, des brigades de pompiers de Dole et Orchamps, ont fouillé la zone où il a sauté. Ils l’ont retrouvé vers 23h40. Le médecin a constaté le décès peu après minuit.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/03/28/dole-il-se-jette-dans-le-doubs-du-pont-de-la-corniche

Deux personnes tuées par balles à Bastia

Un homme et une femme ont été découverts tués par balles jeudi à leur domicile à Bastia, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Un homme et une femme ont été découverts tués par balles jeudi à leur domicile à Bastia, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Les voisins ont entendu des coups de feu, précédés d'éclats de voix, en début de matinée dans l'appartement de ce couple situé dans un immeuble du centre de Bastia, en Haute-Corse.
Les services de secours ont découvert ensuite les corps des deux personnes, toutes deux tuées par balles. Les services de l'identification judiciaire se sont rendus sur place et diverses hypothèses comme une dispute conjugale sont avancées par les enquêteurs.
 

Villepinte. Une femme abattue de deux coups de feu à son domicile

Raymonde Cheboun, une aide-ménagère, d'une quarantaine d'années, a été tuée hier de deux coups de fusil, à son domicile de Villepinte. Le meurtrier présumé, son ex-mari, a été interpellé et placé en garde à vue.
Deux coups de fusil qui claquent. Puis le silence. Dans le petit couloir d'entrée desservant une maison de village, Raymonde Cheboun s'effondre. Tuée sur le coup. Le drame qui s'est joué hier vers 16 heures dans une petite maison du centre de Villepinte ne devrait pas mobiliser très longtemps les limiers de la gendarmerie. Les faits sont simples. Mais peut-être aussi prévisibles. Le tireur présumé, Ahmed Jeffali, l'ex-mari de la victime, vivait, aux dires de très nombreux voisins, très mal le divorce avec la mère de ses deux enfants, âgés de 16 et 20 ans. «Ils étaient séparés depuis au moins trois ans, raconte une amie de Raymonde. Mais il revenait sans cesse. Il la harcelait».

«J'ai vu Ahmed avec son fusil»

Hier, Ahmed Jeffali s'est saisi d'un fusil et n'a laissé aucune chance à son ex-épouse âgée de 44 ans. «J'ai entendu deux coups de feu très rapprochés l'un de l'autre», relate une toute jeune femme, protégeant dans ses bras un nourrisson. «Puis j'ai vu Ahmed, dehors, avec le fusil…» L'homme aurait alors appelé lui-même les gendarmes avant de se rendre, sans opposer la moindre résistance.
Native de Villepinte, la victime travaillait pour le compte de la communauté de communes comme aide -ménagère. Quelques minutes avant le drame, elle avait même répondu à un appel téléphonique d'une de ses collègues de travail. «Je voulais savoir comment elle allait se rendre demain (aujourd'hui, ndlr) à Vinassan. Elle se réjouissait d'aller car nous devions participer à un stage», témoigne-t-elle.
Mais pour tous ceux qui la connaissaient, cette disparition tragique semblait comme inéluctable. «Il y a plusieurs scènes entre eux, relate encore une de ses amies. Elle en avait peur, il était violent. Aujourd'hui, c'est sûr, il avait décidé de l'abattre».
Dans la petite rue de la Liberté, personne ne semblait ignorer les excès de violence qui s'emparait parfois du tueur présumé, qui partageait son temps entre Toulouse, où il avait refait sa vie, et Villepinte. À maintes reprises, selon les proches de la victime, les gendarmes étaient intervenus. «Je sais qu'elle avait déposé une plainte un jour contre lui, se souvient une amie. Mais elle en avait peur, alors elle l'avait retirée». Mais à force d'insister ses proches avaient fini par la convaincre de ne rien céder. «Elle a déposé une autre plainte…» rajoute une de ses voisines sous le choc, tandis que dans la rue éclatent des cris de douleur. L'une des filles de la victime vient d'apprendre la nouvelle. Hier, le tireur présumé a été placé en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie de Bram où sa première audition a été consignée par les enquêteurs. Dans les prochaines heures, le parquet ouvrira une information judiciaire

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/27/1592577-villepinte-un-femme-abattue-de-deux-coups-de-feu-a-son-domicile.html

mercredi 27 mars 2013

Côte-d'Or: décès d'un pilote d'ULM dans la chute de son appareil

Un pilote d'ULM de 71 ans est décédé mercredi après-midi dans la chute de son appareil sur l'aérodrome de Pouilly-Maconge.

Vers 16h30, le pilote effectuait une manoeuvre quand il a perdu le contrôle de son ULM, qui s'est écrasé sur l'aérodrome.

Le septuagénaire, qui se trouvait seul à bord de l'appareil, a été tué sur le coup, a-t-on précisé.


http://www.bfmtv.com/societe/faits-divers/accident/

Tarbes. Un homme tué par un train voulait mettre fin à ses jours

Un accident a emporté un homme tôt ce matin (6h37) tout près du passage à niveau Marquès à Tarbes. Agé entre 70 et 80 ans, l’homme s’est volontairement jeté sous un train pour mettre fin à ses jours. La police n’a retrouvé aucun papier d’identité et appelle toute personne témoin de la scène à se manifester au plus vite.
La circulation a été interrompue momentanément et une déviation a été organisée à hauteur du passage à niveau selon La Dépêche Premium.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/27/1592699-tarbes-un-homme-tue-par-un-train-voulait-mettre-fin-a-ses-jours.html

Une femme morte sous les coups, son mari arrêté

Un cadavre, celui d’une quinquagénaire beaunoise. Un obstacle médico-légal, parce que la mort est jugée suspecte. Une autopsie. Peu d’éléments, mais tous les ingrédients d’une affaire criminelle…
L’affaire a débuté lundi, en fin de matinée, lorsqu’une collègue de travail d’Isabelle M., employée comme agent d’entretien à la communauté de communes de Beaune, s’est inquiétée de son absence, et s’est rendue à son domicile, une maison située à Beaune.
Isabelle M. était allongée sur le sol de son logement, sans vie. Les secours ont été alertés, puis la police. Les premiers ont émis un « obstacle médico-légal » à la délivrance immédiate d’un certificat de décès, ce qui signifie que l’origine de la mort était jugée suspecte. Les seconds ont sur-le-champ ouvert une enquête criminelle.

Des coups très violents à la tête

Les policiers de la direction interrégionale de police judiciaire de Dijon ont été co-saisis du dossier avec leurs collègues de la sécurité publique de Beaune, et une équipe de spécialistes des scènes de crime de l’identité judiciaire a été dépêchée de Dijon. La quinquagénaire était selon les premières constatations décédée des suites de coups très violents reçus notamment à la tête. Sa mort pouvait être survenue entre samedi soir et lundi matin.
Rien n’avait été volé chez elle. Personne n’avait rien vu ni entendu dans la rue.

Quelques mois de mariage

Elle avait épousé en 2012 un habitant de Corpeau, près de Beaune, âgé de 39 ans. Le mariage n’avait tenu que quelques mois, avant que la quinquagénaire ne quitte Corpeau, où elle s’était installée avec lui, pour rejoindre Beaune. La séparation était semble-t-il difficile, et le couple n’était pas divorcé. Le mari de la victime, qui travaillait dans les vignes ou comme manœuvre, était déjà connu de la police et de la justice pour divers délits.
Pas suffisant sans doute pour en faire immédiatement un suspect. Les enquêteurs ont-ils disposé de témoignages ? Sont-ils parvenus à reconstituer l’emploi du temps du mari, et à y trouver des failles ? Ont-ils découvert des traces laissant à penser qu’il était le dernier à avoir vu la quinquagénaire en vie ?
Toujours est-il que lundi soir, il était décidé de l’interpeller le lendemain au petit matin, avec une équipe du groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) de Lyon : les policiers savaient que l’homme avait des armes à son domicile, et craignaient une réaction violente.
À 6 heures du matin, hier, le mari était interpellé sans heurts par le GIPN dans sa maison familiale, et placé en garde à vue. On ignorait hier soir s’il s’était expliqué durant son audition, mais (seule information confirmée par les enquêteurs) on a appris auprès de la direction interrégionale de police judiciaire de Dijon que la garde à vue avait été prolongée de 24 heures. Autres apports à l’enquête, sur lesquels comptent certainement beaucoup les policiers, les résultats des analyses des prélèvements effectués par les spécialistes de l’identité judiciaire, qui ont passé de longues heures sur la scène de crime. Mais aussi les résultats de l’autopsie du corps de la victime, pratiquée hier à l’institut médico-légal de Dijon. Hier soir, à la PJJ comme auprès des enquêteurs beaunois, on demeurait extrêmement discret sur l’état des investigations.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/03/27/une-femme-morte-sous-les-coups-son-mari-arrete

Saint-Josse: un couple d’octogénaires retrouvé noyé au pied d’une hutte de chasse

Deux corps ont été découverts mardi matin dans un plan d’eau sur la commune de Saint-Josse (près d’Étaples). Ce couple de personnes âgées serait mort accidentellement.
Ce mardi, vers 10 heures, deux personnes âgées ont été retrouvées noyées dans le hameau de Villiers, à Saint-Josse. Leurs corps ont été découverts dans un plan d’eau isolé dans la campagne, au pied d’une hutte de chasse. Il s’agit d’un couple de Touquettois âgés de 81 ans. Leur voiture était stationnée à proximité. Selon les premières constatations, les deux victimes seraient décédées d’une mort accidentelle, peut-être suite à une chute. Une enquête a été ouverte par la compagnie de gendarmerie de Montreuil-sur-Mer.

http://www.lavoixdunord.fr/region/saint-josse-un-couple-d-octogenaires-retrouve-noye-au-ia0b0n1128514

Paris. Un homme retrouvé carbonisé accroché à une caténaire

C’est une découverte macabre qu’a faite un agent de la SNCF, dans la nuit de mardi à mercredi, sur une voie de fret, dans le XVIIIe arrondissement de Paris. Un homme a été retrouvé carbonisé, accroché à une caténaire.
Le corps était accroché en hauteur, à une caténaire, ensemble de câbles qui permet d’alimenter les trains électriques du réseau de chemins de fer. Carbonisé, l’individu n’a pas encore pu être identifié. La police n’écarte pour l’instant aucune piste concernant le décès de cet homme.
Les enquêteurs restent « fortement intrigués » par cette découverte car il n’y a pas de pont aux alentours permettant d’accéder à cet endroit qualifié d’insolite.
Le trafic n’a pas été perturbé par cette découverte macabre.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/27/1592662-paris-un-homme-retrouve-carbonise-accroche-a-une-catenaire.html

Le Puy-en-Velay : une femme de 61 ans chute de sa fenêtre et se tue

Il était aux environs de 17 h 45, mardi après-midi au 26 de la rue Vibert en centre-ville du Puy-en-Velay quand le drame s’est produit. Juste au-dessus du bar Sueno Latino, une riveraine âgée de 61 ans serait tombée de la fenêtre du quatrième étage de l’immeuble dans des circonstances indéterminées

Elle serait tombée d’une petite fenêtre genre lucarne de combles. Après une chute d’une bonne douzaine de mètres, la victime a été pratiquement tuée sur le coup au contact du sol. Très vite, les sapeurs-pompiers du centre de secours principal du Puy-en-Velay placés sous les ordres de Philippe Lafont sont arrivés en intervention sur place, épaulés par une équipe médicale du SAMU43. Les tentatives de réanimation, notamment le massage cardiaque, ont été prodiguées aussitôt, mais les gestes d’urgence n’ont pas permis de sauver cette sexagénaire du quartier. Vers 18 h 30, la victime était décédée. Sur place les services de Police du commissariat ponot ont ouvert une enquête pour tenter de faire toute la lumière sur cette chute mortelle et de préciser les circonstances exactes du drame . Sur le théâtre de cette chute fatale, les investigations menées par les policiers allaient bon train . Mais ce soir , les enquêteurs de la Police n’ont pas souhaité avancer d’hypothèse privilégiée pour expliquer les faits.

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2013/03/26/le-puy-en-velay-une-femme-de-61-ans-chute-de-sa-fenetre-et-se-tue

Albi. Mystère autour de la mort d'un étudiant fan de body-building

Le parquet d'Albi a ouvert une enquête décès suite à la découverte, vendredi soir du corps sans vie d'un étudiant. Le jeune homme, âgé de 21 ans, louait un studio sur l'avenue Maréchal-Foch, à proximité du campus universitaire. Sa mère, inquiète de ne pas avoir de ses nouvelles, a alerté le commissariat vendredi en fin d'après-midi. Les fonctionnaires du service de commandement de nuit (SCN), avec le concours des sapeurs-pompiers, se rendront à l'adresse indiquée. Mais personne ne répondra à leurs appels. En pénétrant dans le studio, ils trouveront le corps de l'étudiant, mort, on ne sait depuis combien de temps. Rien de suspect dans ce décès. Si l'hypothèse criminelle a été écartée d'emblée, de nombreuses questions restent en suspens. Elles tournent, principalement, autour de «produits bizarres» retrouvés dans ce studio. Le jeune homme était adepte du body-building. De fait, il était de corpulence athlétique. A-t-il succombé à une surdose de médicaments? Ou une interaction entre plusieurs substances lui aurait-elle été fatale? C'est pour vérifier ces hypothèses que la justice a ordonné une autopsie. Cet examen sera pratiqué mercredi après-midi, à l'institut médico-légal de l'hôpital Rangueil, à Toulouse.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/26/1591070-albi-mystere-sur-la-mort-d-un-etudiant-fan-de-body-building.html

mardi 26 mars 2013

Saint-Etienne : un piéton tué par un camion benne

Un sexagénaire a trouvé la mort ce mardi après-midi, renversé par un camion qui manoeuvrait

Mardi, en début d’après midi, un piéton a trouvé la mort en plein centre ville, à Saint-Etienne.
Selon les premières informations, il a été renversé par un camion benne qui reculait.
La place Dorian est actuellement en cours de réfection. La victime est âgée de 62 ans.

http://www.leprogres.fr/loire/2013/03/26/saint-etienne-un-pieton-tue-par-un-camion-benne

Décès d'un skieur en Haute-Savoie

Un amateur de ski extrême a fait une chute mortelle dans le massif des Aravis (Haute-Savoie) cet après-midi, a annoncé la gendarmerie. Vers 13 heures, la victime descendait avec un ami les Tours d'Areu, un secteur réservé aux très bons skieurs, lorsqu'il a chuté et dévalé la pente sur 150 à 200 mètres.

Les mauvaises conditions météo rendant impossible tout secours par hélicoptère, les sapeurs pompiers et les gendarmes du peloton de gendarmerie et haute montagne (PGHM) d'Annecy ont monté une expédition terrestre pour récupérer son corps. L'autre skieur est resté auprès de son compagnon en  attendant les secours. La victime serait originaire de la région de Sallanches.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/26/97001-20130326FILWWW00568-deces-d-un-skieur-en-haute-savoie.php

Une octogénaire meurt écrasée par un bus à Marseille

Cette femme, née en 1925, qui essayait de rattraper un bus qui venait de quitter un arrêt dans le VIIe arrondissement de Marseille, a trébuché, passant sous l’essieu arrière du bus de la ligne 81, a précisé la la Régie des transports de Marseille (RTM).
La police et les marins-pompiers, alertés par le dispositif de détresse du chauffeur, sont arrivés très vite sur les lieux de l’accident mais ils n’ont pu que constater la mort de la vieille dame.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l’accident, a souligné la RTM.

http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2013/03/26/une-octogenaire-meurt-ecrasee-par-un-bus-a-marseille

Le piéton fauché à Nice dans un état très grave

Le pronostic vital est engagé pour l'homme de 74 ans qui a été transporté dans un état très grave ce dimanche soir à Nice après avoir été fauché sur la Moyenne Corniche par une voiture de sport.

Le piéton fauché par une voiture de sport dimanche soir à Nice, sur la Moyenne Corniche, est dans un état très grave, à tel point que son pronostic vital est engagé. Cet homme de 74 ans, qui a été projeté sur près de 30 mètres par une Aston Martin, souffre de multiples fractures et traumatismes.

L'enquête a démarré hier au sein de la brigade des accidents et des délits routiers, afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident qui a suscité beaucoup d'émotion, mais aussi de la colère parmi les riverains du 27, corniche André-de-Joly, qui déplorent la dangerosité de la route.

Si des témoins évoquent une vive allure, l'enquête devra dire si le restaurateur monégasque au volant du bolide roulait effectivement trop vite. En tout cas, il a fauché la victime sur un passage protégé que celle-ci traversait avec son épouse. Le dépistage d'alcoolémie s'est révélé négatif ; les résultats concernant les stupéfiants ne sont pas connus.

http://www.nicematin.com/nice/le-pieton-fauche-a-nice-dans-un-etat-tres-grave.1189276.html

Anne Alassane, ex-gagnante de Masterchef, raconte son drame dans un livre

Anne Alassane, gagnante de Masterchef 2010,s'est confiée hier à Sept à Huit, sur TF1. Un an après la mort tragique de ses deux benjamines, la chef Montalbanaise publie un ouvrage biographique, «Pour l'amour des miens».
La jeune femme faisait face à la caméra, son bébé d'un mois dans les bras. Margaux est le septième enfant d'Anne Alassane. La chef montalbanaise a accouché le 11 février dernier, un an après l'incendie de son auberge La Pays'Anne, au cours duquel ont péri ses deux plus jeunes filles, Louise (4 ans) et Rose (2 ans). En un an, Anne Alassane a fait du chemin, elle a pris le temps de la catharcice. Rapidement, la chef s'est remise au travail, combinant cuisine et écriture. Sa biographie va paraître jeudi aux éditions Michel Lafon sous le titre «Pour l'amour des miens».

«J'ai fait le choix de vivre»

Cette femme est une battante, une femme vivante. «Je ne suis pas morte», a-t-elle expliqué hier aux caméras de TF1. Anne Alassane raconte l'après incendie, qu'elle voulait «ranger la maison. J'ai tourné en rond pendant une semaine, je ne dormais plus. Donc on a décidé de rouvrir le restaurant 10 jours après.» Le travail est un moment salvateur. «J'ai passé trois heures derrière les fourneaux», après, les larmes ont coulé, les souvenirs ont resurgi. «La cuisine était hors du temps».
Mais l'oubli est impossible ; le pardon est impensable. «La culpabilité sera toujours là. Parce que je n'étais pas présente», confie la jeune maman à propos de l'accident.
Dans son livre, Anne raconte son histoire, depuis son enfance passée en Centrafrique et au Burkina Faso. Mariée, quatre enfants, elle rachète en 2005 la ferme-auberge de sa grand-mère et la restaure. En 2010, Masterchef lui offre la reconnaissance après des années de travail. «Parfois, je suis fâchée contre la vie. De voir à quel point j'ai travaillé toutes ces années et ce qui m'est arrivé…».

La culpabilité à fleur de peau

Aujourd'hui en procédure de divorce avec son ex-mari, Anne Alassane avoue que «la vie n'était pas facile pendant Masterchef». Elle se souvient que «Rose avait 7 mois quand j'ai commencé Masterchef. La laisser était un arrachement pour elle comme pour moi».
Anne a retrouvé le bonheur auprès de Mike, le père de Margaux. Devant la caméra, elle porte sa fille endormie contre son sein. «Elle m'aide, mais il manque deux enfants qui ne seront pas remplacés». A l'évocation de Rose et Louise, Anne ne peut s'empêcher de pleurer. «Les enfants arrivent à se souvenir de leurs sœurs sans pleurer. J'essaie de prendre exemple sur eux», conclut la maman dans un sourire.
«Pour l'amour des miens», éditions Michel Lafon, 28 mars.
«Parfois, je suis fâchée contre la vie. De voir à quel point j'ai travaillé toutes ces années et ce qui m'est arrivé…»
Anne Alassane, gagnante de Masterchef 2010 et chef de la ferme-auberge «La Pays'Anne» à Montauban.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/25/1590678-anne-alassane-ex-gagnante-de-masterchef-raconte-son-histoire-et-son-drame.html

lundi 25 mars 2013

Un collégien meurt percuté par un train

Un collégien est mort ce matin après avoir été percuté par un train à Vichy dans l'Allier, a-t-on appris auprès des pompiers, confirmant une information du quotidien La Montagne.

Le drame s'est produit peu avant 9 heures alors que le collégien se trouvait sur un pont, pour une raison indéterminée, à l'arrivée du TER Lyon-Clermont-Ferrand.

Momentanément interrompue, la circulation des trains sur cette ligne a été rétablie vers 11h20, selon la SNCF. L'âge de la victime et les circonstances de l'accident n'étaient pas connues des pompiers lundi après-midi.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/03/25/97001-20130325FILWWW00531-un-collegien-meurt-percute-par-un-train.php

Ladoix-Serrigny: une femme se jette sous un TGV

Les secours sont intervenus ce lundi vers 5h30 à Ladoix-Serrigny après qu'une habitante de la commune, âgée d'une cinquantaine d'années, se soit jetée sous un TGV. On ignore encore la cause exacte de ce drame, mais la thèse du suicide semble la plus probable. A noter enfin que cet accident a provoqué une gêne importante de la circulation ferroviaire, puisque les deux voies ont été neutralisées le temps de laisser les secours procéder aux opérations de nettoyage. A 7h30, le trafic était redevenu normal.

http://www.bienpublic.com/edition-de-beaune/2013/03/25/ladoix-serrigny-une-femme-se-jette-sous-un-tgv

Il meurt asphyxié à 73 ans

Il est 14 h 20 ce dimanche après-midi lorsque les pompiers de Montbéliard reçoivent l’appel d’urgence d’un résidant du foyer AMAT, 47 rue de l’Hôtel-de-Ville à Sochaux. L’homme est le voisin de chambre, au premier étage, d’un septuagénaire qui s’est enfermé dans sa « bulle » depuis midi.
Ce sont les épaisses fumées qui ont alerté le locataire. Arrivés en moins de dix minutes sur les lieux, les vingt pompiers, sous les ordres du lieutenant Enderlin, maîtrisent rapidement le début d’incendie. Un fourgon-pompe tonne et la grande échelle sont nécessaires pour circonscrire les flammes. Deux ambulances de Montbéliard et Bethoncourt ont été appelées pour examiner les locataires incommodés.
Les policiers, après avoir procédé à l’évacuation du bâtiment, ont défoncé la porte de la chambre détruite par le sinistre. Ils ont fait une macabre découverte. L’occupant du logis, 73 ans, est retrouvé assis sur son lit, dos au mur, le corps légèrement incliné sur le côté. Le SMUR n’a pas réussi à réanimer le malheureux. « Il semble, d’après les traces de suie sur ses voies respiratoires, qu’il était encore en vie peu de temps auparavant », indique l’officier de police de permanence, le capitaine Péroni.
L’homme ne porte aucune trace de coups. En revanche, les enquêteurs ont remarqué que le défunt était fumeur. Après l’examen de la chambre et les traces retrouvées sur le lit, il semble qu’il se soit endormi avec sa cigarette incandescente à la main. Cette dernière a mis le feu à la literie et à l’armoire attenante. L’enquête s’est terminée à 17 h, avec cette certitude.
Françoise Grosjean, l’adjointe municipale de permanence, et Jean-René Vacheresse, le directeur de la résidence, assurent que les deux ou trois voisins immédiats de la victime vont être relogés.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/03/25/il-meurt-asphyxie-a-73-ans

Un jeune homme de 22 ans meurt dans un accident

C'est aux alentours de 23 heures, ce dimanche soir, qu'un jeune homme a perdu la vie au volant de son véhicule dans le hameau de Caporalinu, à Omessa en Haute-Corse.
Gabriel Cortes, 22 ans, se trouvait seul à bord quand il aurait perdu le contrôle de sa voiture. Il aurait été éjecté dans l'accident. À leur arrivée, les services de secours n'ont pu que constater le décès, rapporte le site de Corse-Matin.
Si l'origine exacte de cet accident reste inconnue, on sait en revanche que les conditions météorologiques étaient exécrables. En effet de fortes pluies se sont abattues sur la région.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2279350/un-jeune-homme-de-22-ans-meurt-dans-un-accident.html

Isère : un enfant de 9 ans retrouvé pendu

Un enfant de 9 ans a été hospitalisé dans un état grave après avoir été retrouvé pendu dans une grange dans laquelle il jouait dimanche après-midi à Pontcharra, dans l'Isère, a-t-on appris lundi auprès de la gendarmerie. "La thèse accidentelle est privilégiée mais on ne sait pas trop ce qu'il s'est passé", a déclaré le capitaine Guy Mivière, de la compagnie de gendarmerie de Meylan.
Dimanche vers 16h30, le jeune garçon jouait au premier étage d'une grange située en face de la maison familiale lorsqu'il a appelé son grand frère pour l'inviter à jouer avec lui. Ce dernier, âgé de 15 ans, l'ayant rejoint un peu plus tard, s'aperçoit alors que son petit frère est dans une position anormale. Il appelle immédiatement son père qui découvre son fils pendu à une vieille corde, munie d'une boucle avec un noeud fixe.
Une voisine infirmière est parvenue à réanimer le jeune garçon en lui faisant un massage cardiaque. Il a ensuite été transporté dans un "état très sérieux" aux urgences pédiatriques du CHU de La Tronche, près de Grenoble. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Isere-un-enfant-de-9-ans-retrouve-pendu-598269

Moissac. Sylvain Delluc est décédé, un an après son arrêt cardiaque

C'est avec une profonde et sincère émotion que les Moissagais ont appris le décès de Sylvain Delluc, survenu dans la nuit de vendredi à hier, à l'âge de 49 ans. Un décès prématuré et brutal, alors qu'une mobilisation incroyable entourait sa situation, pour le moins délicate.

Ses amis avaient créé une association à son nom

En février 2012, l'employé municipal de la cité uvale était victime d'un arrêt cardiaque. Il sera hospitalisé au centre de rééducation fonctionnelle de Verdaich (Haute-Garonne) où il restera de longs mois. Anne, sa femme, et leurs trois enfants, Nicolas, Pierre et Lucie, respectivement âgés de 18, 15 et 13 ans, n'avaient alors qu'un seul souhait : faire revenir Sylvain à la maison. Pour cela, en raison de son handicap, il fallait faire d'importants travaux dans la maison familiale, d'où l'idée de créer une structure ayant pour but de recouvrer des fonds.

Un homme aimé de tous

C'est ce qu'on fait Jean-Philippe Arbia et Andrew Douglass, tous deux coprésidents de l'association Les Amis de Sylvain, bien entourés par une vingtaine de bénévoles actifs. Et la mobilisation a été générale et extraordinaire, au-delà des espérances de chacun, preuve, s'il en fallait une, que Sylvain Delluc était une personnalité aimée de tous les Moissagais, principalement à la mairie et dans le monde du rugby, dans lequel il baigné toute sa vie.
«On a commencé le rugby ensemble, à l'âge de six ou sept ans, à l'Avenir Moissagais», se souvient Jean-Philippe Arbia, son collègue à la mairie et surtout ami d'enfance. Sylvain traversera à l'AM toutes les catégories d'âge jusqu'à devenir co-entraîneur de l'équipe première avec Philippe Cousin mais aussi… Jean-Philippe Arbia. «On ne s'est jamais quitté», souffle-t-il. Quelques années plus tard, Sylvain ira entraîner les juniors puis les espoirs de l'USM. Il restera dans le club montalbanais jusqu'à son arrêt cardiaque en février 2012 et y laissera, là aussi, d'excellents souvenirs à tout le monde.
Les obsèques de Sylvain Delluc se dérouleront mardi prochain à 11 heures, en l'abbatiale Saint-Pierre de Moissac.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/24/1589888-moissac-sylvain-delluc-est-decede-un-an-apres-son-arret-cardiaque.html

dimanche 24 mars 2013

Mantes-la-Jolie : une femme se tue en tombant du 15ème étage

Une femme de 61 ans est décédée cet après-midi vers 16 heures à Mantes-la-Jolie (Yvelines) en tombant d’une tour du quartier du Val-Fourré. Elle aurait chuté du 15ème étage d’un immeuble de la rue Maryse-Bastié (à gauche sur la photo). De nombreux secouristes sont sur place mais il n’ont pu que constater le décès de la sexagénaire.
Les policiers dépêchés sur place pour tenter de déterminer les circonstances précises de ce décès privilégiaient la thèse du
. http://www.leparisien.fr/yvelines-78/mantes-la-jolie-une-femme-se-tue-en-tombant-du-15eme-etage-24-03-2013-2666599.php

Hérault: un automobiliste noyé dans sa voiture emportée par un ruisseau en crue

Un automobiliste d’une cinquantaine d’années est mort dimanche après-midi, noyé dans sa voiture emportée par un ruisseau en crue près de Béziers (Hérault)
Selon les premiers éléments, la voiture a été emportée par un ruisseau en crue à Portiragnes, au sud de Béziers, alors que la victime voulait franchir un passage à gué, près du camping de la Dragonnière.
En voulant passer le petit pont aménagé au dessus du lit de ce ruisseau généralement à sec, mais dont les eaux avaient été gonflées par les fortes chutes de pluie survenues ces dernières 24 heures, il a été emporté.
Le conducteur n’a pas pu quitter son véhicule et a été retrouvé mort, à l’intérieur, par les plongeurs des pompiers, a-t-on précisé de mêmes sources.

http://www.dna.fr/actualite/2013/03/24/herault-un-automobiliste-noye-dans-sa-voiture-emportee-par-un-ruisseau-en-crue

CLERMONT (60) Un homme se tue en tombant du 2e étage

Suicide ou accident? Un homme de 48 ans est tombé par la fenêtre de son appartement, situé au deuxième étage d'un immeuble de la rue de la République, ce matin vers 8 h 30. Il a été tué sur le coup.

http://www.courrier-picard.fr/region/clermont-60-un-homme-se-tue-en-tombant-du-2e-etage-ia201b0n31536

Marseille : la cité Félix-Pyat marche en silence pour Yassin

Plus de 300 personnes ont défilé silencieusement à la mémoire de Yassin Aibeche, 19 ans, tué d'une balle dans la soirée du 14 février dernier devant une supérette de l'avenue Roger-Salengro (15e). Le coup de feu mortel avait été tiré par un policier en état d'ébriété avec son arme de service alors qu'il ne travaillait pas ce soir-là. Mis en examen pour "homicide volontaire", le fonctionnaire a été écroué.
Derrière une banderole réclamant "Justice pour Yassin", la famille du jeune homme, ses amis, ses proches et de nombreux habitants de la cité Félix-Pyat se sont rassemblés hier en début d'après-midi sur le terrain de sports de la cité, avant de se rendre en cortège devant les lieux du drame, puis de revenir vers la cité.
Submergée par l'émotion, Fatiha Aibeche, la mère de Yassin, a remercié toutes les personnes venues soutenir sa famille dans l'épreuve, mais n'a pas pu s'exprimer plus longuement, la voix étranglée par les sanglots. Le rassemblement a pris fin dans le calme et le recueillement vers 15h30.

http://www.laprovence.com/article/actualites/2277526/marseille-la-cite-felix-pyat-marche-en-silence-pour-yassin.html

Accident mortel à Vieille-Église, rue du Vinfil: un jeune homme de 24 ans décède

Un accident mortel s’est produit dans la nuit de samedi à dimanche, vers 2 heures, rue du Vinfil, à Vieille-Église, dans le Calaisis. À la suite d’une perte de contrôle, une voiture avec deux occupants a percuté un pylône électrique avant de verser au fossé. Le passager du véhicule, un jeune homme de 24 ans, domicilié à Saint-Folquin, a été tué.

Au volant du véhicule, son cousin, du même âge, demeurant à Sainte-Marie-Kerque, a été blessé et transporté par les secours au centre hospitalier de Calais.
Selon le maire de Saint-Folquin, Yves Engrand, venu sur les lieux de l’accident, la victime est Jonathan Coppey, fils d’un employé de son entreprise de transports, domicilié rue Louis-Lengagne. Jonathan Coppey était employé à la mairie dans le cadre d’un contrat aidé.

http://www.lavoixdunord.fr/region/accident-mortel-a-vieille-eglise-rue-du-vinfil-un-jeune-ia33b0n1121817

Guingamp (Côtes-d’Armor). Un homme retrouvé mort après être tombé dans le Trieux

Un homme de 35 ans a trouvé la mort cet après-midi à Guingamp (Côtes-d’Armor) après avoir chuté dans le Trieux. Son corps a été retrouvé après près de deux heures de recherche.
Aux alentours de 14 h et pour une raison encore indéterminée, un homme de 35 ans est tombé dans le Trieux, cette rivière qui traverse Guingamp (Côtes-d’Armor). Une amie qui se trouvait à ses côtés s’est aussitôt jetée à l’eau. Mais n’a pu récupérer l'homme emporté par de forts courants.
Cette femme a ensuite regagné les berges. En état de choc, elle a été prise en charge par les pompiers puis conduite au centre hospitalier de Guingamp.
D’importants secours
D’importants secours (20 pompiers et 15 gendarmes) ont aussitôt été déployés. Des gendarmes ont exploré les berges en vtt. Des plongeurs des centres de secours de Guingamp et Lézardrieux les aident et sondent les fonds de la rivière. Et c’est vers 15 h 45 que le corps sans vie du trentenaire a été retrouvé à 500 m de l’endroit où il avait chuté.
 

Naufrage. Décès d'un plaisancier finistérien à Guidel (Morbihan)

L’homme qui se trouvait dans un état critique à la suite du naufrage d’un bateau ce midi à Guidel (Morbihan), est décédé.
Une déferlante
L’accident est survenu peu avant midi. Le bateau sur lequel se trouvaient deux hommes originaires du Finistère a été couché par une déferlante, au niveau de la barre de Guidel (Morbihan), à environ 30 mètres de la côte. Le voilier a été projeté sur un banc de sable. Les deux plaisanciers sont tombés à l’eau.
En arrêt cardiaque
Dragon 56 a récupéré l’un d’entre eux, à proximité du voilier. L’homme, en arrêt cardiaque, a été transporté à l’hôpital Bodélio à Lorient. Il n’a pas pu être réanimé et est décédé.
Le second plaisancier, âgé lui aussi de 45 ans, a pu être secouru par un pêcheur, qui se trouvait sur zone. Souffrant d’hypothermie, le Finistérien a été dirigé par les secours sur le nouvel hôpital du Scorff, toujours à Lorient. La gendarmerie maritime est chargée de l’enquête.
 

Saint-Georges. Un homme périt dans l'incendie du garage d'une maison isolée

Les 246 habitants de la petite commune de Saint-Georges sont en proie à une vive consternation. Après la mort de Claude Milagre, survenue jeudi dans un accident de la route à Monteils, hier, un autre terrible drame s'est produit dans le village. Alain Le Borgne, 61ans, a péri dans l'incendie d'une dépendance de sa maison, isolée de tout, au bord du chemin de la Magdelaine. Alertés à 13 h 30 par des voisins qui auraient entendu trois explosions, les sapeurs-pompiers de Septfonds et Caussade ont été mobilisés. Dans l'opération, les flammes ont été rapidement maîtrisées. Mais dans le garage d'où le feu était parti, les pompiers ont découvert le corps carbonisé du sexagénaire. Appelée sur place, la sœur de la victime, domiciliée à Puylaroque, a été légèrement brûlée au visage en voulant intervenir dans ce bâtiment d'une soixantaine de mètres carrés. Elle a été évacuée vers le centre hospitalier de Montauban.
Aussitôt, les gendarmes de Caussade, de la brigade de recherches de Montauban et de l'identification criminelle se sont rendus sur les lieux pour effectuer leurs premières analyses et lancer l'enquête. La procureur de la République s'est également déplacée. Pour l'heure, même s'il y a une forte présomption que le corps carbonisé soit celui d'Alain Le Borgne, les enquêteurs n'avaient pas établi hier soir, de façon encore formelle, l'identité du défunt.
L'incendie serait probablement accidentel, une thèse demandant à être vérifiée maintenant par l'enquête. Hier soir, au stade des premières investigations, les gendarmes ne semblaient pas en mesure de déterminer précisément les circonstances exactes de l'incendie. Des proches ont raconté qu'Alain s'endormait souvent avec sa cigarette et qu'il aurait pu ainsi déclencher le feu. Les voisins ont décrit un homme «gentil et cultivé, un peu marginal. Il aimait s'enfermer dans ce cabanon pour peindre et écouter de la musique.» Depuis novembre dernier et la disparition de sa mère, il vivait souvent seul dans cette maison. Une propriété qui, selon nos informations, était sur le point d'être vendue. Le maire de Saint-Georges venait d'ailleurs de trouver un nouveau logement à Alain Le Borgne et s'était même rendu la veille du drame chez lui pour lui faire signer le bail.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/23/1589660-saint-georges-un-homme-perit-dans-l-incendie-du-garage-d-une-maison-isolee.html

samedi 23 mars 2013

Un jeune homme trouve la mort

Titulaire du permis de conduire depuis peu, le conducteur, apprenti-boulanger, n'a pas survécu à un terrible choc contre un arbre.
L'état du véhicule ne laisse pas de doute, le choc a été terrible. Un jeune homme, 18 ans à peine, titulaire du permis depuis quelques semaines, rentrait chez lui vers 13 heures lorsqu'il a perdu le contrôle de sa voiture, et percuté de plein fouet un arbre, sur le CD 946 entre Rozoy-sur-Serre à Montcornet.
Originaire de Chaourse, il venait de quitter son lieu de travail, une boulangerie où il exerçait en tant qu'apprenti. Il avait débuté la journée vers 4 heures ce samedi, et regagnait donc son domicile, "sans avoir l'air plus fatigué que cela", selon son patron joint par téléphone.
Les circonstances précises de l'accident ne sont pour l'instant pas connues.
Il s'agit du huitième accident mortel dans le département, depuis le début de l'année.

http://www.lunion.presse.fr/node/1422984

Roubaix : un mort et deux blessés dans un accident

Dans la nuit de vendredi à samedi, peu avant minuit, un grave accident s'est produit à l'angle des rues Jules Guesde et de Bavay, dans le quartier de la Potennerie. Une 306 avec à son bord trois personnes a percuté une Opel Corsa avec une seule personne à bord.
L'un des occupants de la 306, en arrêt cardio- respiratoire à l'arrivée des secours, n'a pu être ranimée. Les deux autres ont été transférés au CHR dans un état grave mais leur pronostic vital ne serait pas engagé. Le conducteur de l'Opel a, quant à lui, été légèrement blessé.
De nombreux jeunes du secteur se sont rapidement réunis aux abords de l'accident et des membres de la famille, habitant le quartier, ont laissé éclater leur douleur. Le corps du jeune homme a été transporté à l'Institut médico-légal.
Plusieurs jeunes du quartier évoquaient hier une vitesse excessive, voire de l'alcool à l'origine du drame. L'enquête est en cours.


http://www.lavoixdunord.fr/region/roubaix-un-mort-et-deux-blesses-dans-un-accident-ia24b0n1118707

Cadalen. Un jeune homme de 27 ans se tue contre un arbre

Le choc, terrible, ne lui a pas laissé la moindre chance de survie. Un jeune homme de 27 ans, résidant à Gaillac mais originaire des Deux-Sèvres, s'est tué sur la route jeudi soir, sur la départementale n.4 à Cadalen. il était 21h20 environ. Une Renault Mégane vient de quitter l'agglomération de Cadalen et circule en direction de Brens. Au lieu-dit «Malpel», la voiture a quitté sa trajectoire dans un léger virage à gauche, traversant les deux voies avant de percuter un platane, sur l'accotement. L'impact a été si violent que le moteur de la Mégane s'est arraché du capot pour s'envoler dans les branches, à deux mètres de hauteur. Des projections d'huile du moteur noirciront deux autres platanes voisins. Un riverain, réveillé par le terrible fracas, comprend qu'un drame vient de se dérouler. Il prévient les secours.
Le conducteur, seul à bord, est mort sur le coup. Les sapeurs-pompiers de Gaillac et le Smur d'Albi tenteront l'impossible pour le ranimer. En vain. Un médecin urgentiste constatera le décès du jeune homme, sur les lieux, en présence du capitaine Arnaud Ricq, commandant en second de la compagnie de gendarmerie d'Albi et de Mme , maire de Cadalen. Le corps de la victime a été transporté par les pompes funèbres Derro jusqu'à la chambre funéraire que cette entreprise possède à Gaillac.
Pendant les opérations de secours, les gendarmes ont dû couper la circulation sur la RD 4. Une déviation sera mise en place pendant 2 heures, le temps pour les agents du service des routes du conseil général de nettoyer la chaussée, et pour le garage Pierre Molinier de Gaillac de remorquer le véhicule accidenté. Sur place, les gendarmes de la communauté de brigades de Gaillac-Cadalen effectuaient les premières constatations. Pas de traces de freinage sur le goudron. Un compteur bloqué au-delà de 130 km/h... mais cela ne signifie pas forcément que le jeune homme roulait à cette vitesse-là. Une expertise du véhicule en dira plus.
Les enquêteurs espèrent aussi recueillir des témoignages. A cette heure-là, peu de véhicules circulent sur la RD 4.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/23/1589355-cadalen-a-27-ans-tue-contre-un-arbre.html

Carcassonne : le suicide d'un élève de 14 ans sème le trouble au lycée Stanislas

Alexandre Tranchand, âgé de 14 ans, s’est pendu dans sa chambre le 23 février dernier. La famille envisage de déposer une plainte contre le lycée.

Que se passe-t-il derrière les murs épais du lycée polyvalent privé Saint-Stanislas, depuis que les classes de troisième du collège Jeanne-d’Arc ont été intégrées à l’établissement ? Depuis la disparition brutale de leur fils de 14 ans, Alexandre, retrouvé pendu dans sa chambre le 23 février, Gaëlle et Gilles Tranchand sont déterminés à comprendre les raisons qui ont poussé leur enfant à commettre cet acte désespéré.
L'enfant "était le souffre-douleur de la classe"

Pour cela, ils ont contacté Me Myriam Maynadier, du barreau de Carcassonne, avec qui ils ont rendez-vous lundi, en vue de la constitution d’un dépôt de plainte contre le lycée Saint-Stanislas. Où il semblerait que le climat ambiant ne soit pas celui "d’un établissement privé, soucieux du mal-être et de la sécurité de ses élèves." Ancienne représentante des parents d’élèves de la 3e B, classe où étaient scolarisés Alexandre Tranchand et son fils, avant qu’il ne soit contraint de quitter le lycée Stanislas (lire ci-dessous), Marie Priczep poursuit en dénonçant "les brimades que le jeune Alexandre subissait de la part de certains élèves." Selon elle, Alexandre Tranchand "était le souffre-douleur de la classe."
"Embêté par un élève" selon sa maman
Gaëlle Tranchand, la maman d’Alexandre avoue n’avoir rien vu venir : "A la maison, il n’avait pas changé. Mais on savait que depuis septembre dernier il était embêté par un certain Julien. A ce sujet, j’ai rencontré Nicole Vaissière, la directrice adjointe du collège Jeanne-d’Arc, à deux reprises. Mais rien n’a changé... Alexandre venait de se faire voler son livre d’histoire, mais c’est lui qui se sentait responsable. On lui avait fait comprendre que c’est lui qui devrait le payer en fin d’année. Ça lui portait souci."
Fabienne Reydellet, directrice : "Pas de communication supplémentaire"
Jointe par téléphone vendredi, la directrice du lycée Saint-Stanislas Fabienne Reydellet, s’est réfugiée derrière l’enquête de police, "qui n’a pas montré de harcèlement. Il faut que cette situation s’arrête. Et je n’ai pas de communication supplémentaire à faire". Sur le fait que des classes de 3e aient été intégrées au sein de son établissement depuis le début de cette année scolaire, la directrice de “Stan” n’a pas été beaucoup plus explicite : "Je n’ai pas à répondre à cette question qui relève de notre organisation interne."
Pour que chacun ouvre les yeux
Aujourd’hui, la mère d’Alexandre Tranchand ne cherche pas un coupable : "Je souhaite simplement que les gens ouvrent les yeux, que l’école ouvre les yeux, que les gamins et leurs parents ouvrent les yeux... car les histoires se répètent et s’amplifient !"
http://www.midilibre.fr/2013/03/22/existe-t-il-un-mal-etre-collegien-au-lycee-stanislas,664627.php

Monteils. Un conducteur se tue dans un accident

Un accident a coûté la vie, hier matin, à un habitant de Saint-Georges, circulant sur la route des Causses (D 926), dans le sens Septfonds-Caussade, à Monteils. Le terrible drame s'est produit vers 9 h 20. Selon des témoins, le conducteur a fait une embardée, s'est retrouvé dans le fossé et a effectué un tonneau pour exploser la clôture grillagée des établissements Rouquette. La voiture a fini par s'immobiliser sur le toit, dans le parking de la station fruitière. La violence du choc a été telle que le moteur a été projeté à trois mètres de la carrosserie du monospace Renault, entièrement détruite. Seul dans l'habitacle, Claude Milagre, 49 ans était resté prisonnier de l'amas de ferraille, souffrant de multiples fractures et traumatismes.
Laurent Rouquette et son père Robert ont aussitôt alerté les secours. Les sapeurs-pompiers de Caussade sont arrivés rapidement sur les lieux, avec un Vsab (véhicule de secours aux asphyxiés et aux blessés) et un Vsr (véhicule de secours routier). Ils ont été rejoints sur place par une équipe du SAMU 82, ainsi que par l'hélicoptère du SAMU 31 appelé en renfort pour préparer un transfert vers un centre hospitalier toulousain. Malheureusement, toutes ces opérations de secours resteront vaines. Malgré tous les efforts déployés pendant près deux heures, Claude Milagre ne pourra être sauvé. Il décédera sur les lieux de l'accident peu après 11 heures.
Le maire de Saint-Georges, Yves Pagès s'est rendu hier matin à Monteils. Visiblement, très éprouvé : «Claude était connu et estimé dans la commune. C'était un homme très bien. Cette disparition brutale va bouleverser tous les villageois. C'est un véritable drame pour notre commune. Je pense aussi à sa famille qui habite à Castelsarrasin.» Claudine Cazalès, adjointe au maire de Monteils était également sur place.
Dans leur enquête, les gendarmes de Caussade et de la compagnie de gendarmerie de Montauban ont cherché à comprendre les raisons de cet accident. Pour l'heure, elles restent extrêmement floues. Parmi tous les éléments recueillis, des témoins ont vu trois chiens sortir du véhicule après le choc. Ces derniers ont-ils alors créé un désordre dans le véhicule et, du même coup, occasionné la perte de contrôle, en gênant le conducteur ? Deux chiens, de race cocker ont d'ailleurs été récupérés par les gérants des établissements Rouquette. Le troisième se serait enfui après le choc.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/22/1588649-monteils-un-conducteur-s-est-tue-dans-un-accident.html

vendredi 22 mars 2013

Un candidat de Koh-Lanta meurt sur le tournage de la prochaine saison

TELEVISION - TF1 vient d'annuler la treizième saison du jeu d'aventure suite à ce drame...

La nouvelle saison de Koh-Lanta commence par une tragédie. D’après LePoint.fr, un candidat de 25 ans est mort des suites d’une crise cardiaque sur le tournage de la prochaine édition du jeu d’aventure, produit par ALP pour TF1. Le jeune homme avait pourtant passé avec succès tous les examens médicaux, précise le site de l'hebdomadaire.
Le drame s'est produit au cours de la première journée de tournage au Cambodge ce vendredi. Dimanche dernier, Denis Brogniart, le présentateur du programme, avait commencé à publier des tweets depuis le bout du monde à destination des fans du jeu.
Le tournage est annulé
Une réunion de crise a eu lieu à Boulogne au siège de la chaîne privée ce vendredi après-midi. La treizième saison de Koh Lanta, divertissement phare de TF1, vient d'être annulée par la chaîne. Chaque année, 7 millions de téléspectateurs en moyenne suivent les aventures des naufragés volontaires.
ALP et TF1 confirment l'information dans un communiqué commun. «Toutes les équipes d'ALP, de TF1 et Denis Brogniart, sont effondrés et s'associent à la profonde tristesse de la famille [du candidat]. Toutes leurs pensées vont vers ses parents, sa soeur, sa compagne et ses proches», écrivent la production et la chaîne, qui précisent dans la foulée: «Il a été aussitôt décidé d'arrêter le tournage et de rapatrier dès que possible toutes les équipes à Paris.»

http://www.20minutes.fr/television/1123827-20130322-candidat-koh-lanta-meurt-tournage-prochaine-saison

Avalanche mortelle dans les Hautes-Alpes

Un skieur de randonnée âgé de 69 ans est mort vendredi en début d'après-midi, emporté par une avalanche dans la vallée du Queyras, a-t-on appris auprès de la préfecture des Hautes-Alpes. La victime, originaire des Hauts-de-Seine, faisait partie d'un groupe d'une dizaine de personnes, qui évoluait en ski de randonnée. La coulée de neige a également emporté une seconde personne qui a pu être secourue et qui est indemne. "La personne qui est décédée était en arrêt cardio-ventilatoire à l'arrivée des secours, qui n'ont pas réussi à la réanimer", a précisé la préfecture.
L'alerte a été donnée vers 13 heures. L'avalanche s'est produite au col du Tronchet, sur la commune de Ceillac. Le risque avalanche dans les Hautes-Alpes était "marqué", de niveau 3 sur 5, pour la journée de vendredi, selon Météo France. Il s'agit de la 26e personne à trouver la mort dans en France dans une avalanche depuis le début de l'hiver.
 

Suicide sur les voies SNCF à Charenton

Vers 11 heures, une dame se serait jetée du pont Liberté à Charenton (Val-de-Marne), un pont enjambant des lignes banlieue et grandes lignes. Immédiatement avisés, les secours, SAMU et sapeurs-pompiers se sont précipités à ses côtés tandis que la police établissait un périmètre de sécurité mais la hauteur du pont n’avait laissé aucune chance à la malheureuse. Ce drame n’a entraîné aucune perturbation dans la circulation des trains.

http://www.leparisien.fr/faits-divers/actualites-informations-videos-faits-divers.php

Deux morts dans des incendies à Nice et Grasse

La Côte d'Azur a été le théâtre de plusieurs incendies, dont certains à l'issue tragique, dans la nuit de jeudi à vendredi.

Un mort et trois blessés à Nice

A Nice-Est, au 75, route de Turin, un homme âgé d'une trentaine d'années a été découvert mort dans un incendie qui s'est déclaré au premier étage d'un immeuble qui en compte deux. Le drame s'est déroulé dans un duplex de 150m2 qui était squatté selon les premières constatations;

Trois autres presonnes ont été évacuées vers l'hôpital Saint-Roch, lègerement blessées. Une quarantaine de sapeurs-pompiers sont intervenus de 1h à 6h du matin, afin de porter secours aux riverains et de maitriser le sinistre.

Un mort dans le Vieux-Grasse

Une autre personne a été retrouvée décédée dans le Vieux-Grasse, où un feu de cave s'est déclaré au 22, rue de la Fontette. L'alerte a été donnée à 3h40 du matin. Une trentaine de sapeurs-pompiers étaient toujours mobilisés à 7h.

Voiture et bateau en feu à Cannes

Autre sinistre, aux conséquences seulement materielles cette-fois, avenue du Roi-Robert à Cannes : vers 5 heures du matin, le feu a détruit une voiture, une remorque et un bateau.

Dans chacune de ces interventions, la police a procédé aux constatations sur place

http://www.nicematin.com/cannes/deux-morts-dans-des-incendies-a-nice-et-grasse.1183741.html

En s'effuyant, un voleur se fait percuter par un train

Un homme de 21 ans a été tué jeudi soir après avoir été percuté par un train à Villars dans la Loire. Il s'enfuyait avec le butin d'un hôtel qu'il venait de voler.
Une jeune de 21 ans a été tué jeudi soir après avoir braqué un hôtel à Villars dans la Loire. Le jeune homme avait provoqué un début d'incendie à l'hôtel Première Classe de Villars, et avait aspergé d'un solvant inflammable le directeur adjoint de l'établissement, avant de lui voler sa caisse, a raconté la police à l'AFP.
Il s'était enfui avec le butin de son vol, quelques centaines d'euros dans un sac-à-dos, lorsqu'il a été percuté par le TER Roanne Saint-Etienne. Le jeune homme n'avait pas de papiers d'identité sur lui, mais la police a pu l'identifier grâce à un relevé d'empreintes digitales. Il s'agit d'un habitant de la région stéphanoise, déjà connu des services de police.
Le conducteur du train, très choqué, a été hospitalisé en état de dépression, peu avant 20h30. La ligne de TER Saint-Etienne Roanne a été coupée de 20 heures à 23h30 à la suite de cet accident mortel, a indiqué la SNCF.
 

Un retraité, écrasé par un camion de livraison, décède à Villejuif

Un septuagénaire a été écrasé, ce jeudi peu avant midi, à Villejuif dans le Val-de-Marne révèle le site du Parisien.fr. Alors qu’il se trouvait sur le parking d’un grand magasin de la commune, le retraité a été écrasé par un camion de livraison qui reculait sur le parking. Malgré la rapidité d’intervention des secours, il n'a pu être réanimé. Il est décédé sur place.

http://www.midilibre.fr/2013/03/21/un-retraite-ecrase-par-un-camion-de-livraison-decede-a-villejuif,663865.php

Drame à Carcassonne : «Mon fils de 14 ans s'est suicidé»

Le 23 février, le fils de Gilles et Gaëlle Tranchand s'est pendu dans sa chambre. Alexandre, 14 ans, n'a laissé aucune explication. Ses parents aujourd'hui désemparés, témoignent et cherchent à comprendre.
À la douleur a succédé le désarroi. À l'incompréhension la culpabilité. Celle de n'avoir rien vu, rien pressenti. Depuis ce 23 février, Gaëlle et Gilles ont perdu pied. Des yeux bleus de Gaëlle, plus une larme ne semble vouloir perler sur ses joues. Pour le clan Tranchand, la vie s'est arrêtée brutalement, le premier jour des vacances de février. «À 14 heures, se souvient Gaëlle, je suis entrée dans la chambre d'Alexandre… Il était pendu à son lit». Durant cinquante minutes, pompiers et médecins batailleront contre la mort. Trop tard pour le jeune garçon de 14 ans, scolarisé en 3e au collège Jeanne d'Arc. «La matinée s'était passée tranquillement, se souvient sa maman. Nous étions passés par le magasin King Jouets. Après déjeuner, je lui ai demandé d'aller ranger sa chambre…».
Gaëlle marque une longue pause et triture machinalement l'une de ses bagues. Gilles, debout et adossé à un buffet, reste silencieux avant de se saisir d'une cigarette qu'il va griller en quelques secondes, sur la terrasse du petit pavillon de ses beaux-parents. «Aujourd'hui, je me sens impuissante car on ne peut plus rien faire…» reprend la maman d'Alexandre. Et puis il y a cette culpabilité. Insidieuse. À fleur de peau. «Je suis coupable de ne pas avoir vu ce qui se passait, j'aurais dû être à son écoute». Michèle, la grand-mère d'Alexandre sèche ses larmes, ressassant à l'infini une question unique. Pourquoi ?

«Il n'y a que lui qui a la réponse»

Pourquoi un gosse de 14 ans met-il fin à ses jours sans laisser une seule explication ? «Il n'y a que lui qui à la réponse», reprend sa mère. Depuis la famille fait bloc. Et ressasse. Gilles (57 ans) et Gaëlle (40 ans) ont quitté leur maison pour trouver refuge chez Michel et Michèle, les grands-parents d'Alexandre. Une sorte de cocon sécuritaire. Tous les quatre, réunis dans le petit pavillon de Montredon, coquet et bien entretenu, ils cherchent. Mais toutes leurs questions restent sans réponse. Alexandre était un enfant comme les autres, passionné de sciences.
«Mais aussi un peu immature, note sa mère. Il collectionnait les peluches de Panpan, le petit lapin de Bambi. «Il en avait 106» précise Gaëlle. La mort ? Il n'en parlait jamais selon sa famille. «Il n'y pensait pas», assure Gilles, son père. Dépeint comme «affectueux, cultivé, généreux, serviable, attentionné», par l'un de ses anciens professeurs, Alexandre avait achevé son stage de 3e au laboratoire vétérinaire départemental, la veille du drame. Il en était revenu «enthousiaste» se souvient Gaëlle. Un mois après le drame, sa mère ne cesse de tourner et retourner cette phrase qu'Alexandre lui aurait dite, le vendredi 22 février : «Je ne veux pas retourner à l'école !». Alexandre aurait-il pu souffrir en silence dans sa classe ? «Ces notes ont chuté après les vacances de la Toussaint», explique Gaëlle, mais il n'y avait encore rien d'inquiétant. Alors la famille d'Alexandre se raccroche à cette hypothèse : Alexandre était malheureux au collège. Certes, le jeune garçon aurait eu, selon sa mère, quelques démêlés en début d'année avec un élève. «Un des élèves l'avait traité de gros, qu'il n'avait jamais couché avec une fille» souligne sa mère. Mais de rien bien grave au final.

«Timide et réservé»

Aujourd'hui, la famille reste convaincue que le suicide d'Alexandre puise ses racines, derrière les murs du collège. Un réflexe d'auto-protection. Compréhensible et salvateur. Mais là encore, le fil est ténu (voir ci-dessous). Son grand -père Michel qui venait de temps à autre jusqu'au collège pour ramener son petit-fils dit n'avoir «jamais rien vu» à la sortie de l'établissement. Alors…
Si Alexandre était un garçon «timide et réservé» il avait toutefois obtenu l'adhésion de tous ses camarades pour devenir délégué de classe suppléant. A la maison, il dévorait Sciences et vie junior et sa «marraine de cœur», dit encore sa mère l'avait abonné pour Noël à Sciences et vie, tout court, en guise de cadeau de Noël.
Alexandre était même enthousiaste à l'idée de partir aux États-Unis, à l'occasion des vacances de Pâques. «On avait tout réservé pour partir sur la côte ouest, on en parlait, on était tous très impatients», relate encore Gaëlle.
Michèle, la grand-mère, s'en veut elle aussi de n'avoir rien découvert. «J'étais si proche de lui et pourtant… Qu'est ce qui a pu déclencher ça ?» Le 23 février, Alexandre a emporté avec lui son secret.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/03/21/1587872-drame-a-carcassonne-mon-fils-de-14-ans-s-est-suicide.html