dimanche 30 juin 2013

Jura. Dammartin : un mort et des blessés dans une collision entre une moto et une voiture

L'accident est survenu, vers 15 heures ce dimanche, à un carrefour au lieu-dit Le Bémontot à Dammartin-Marpain. La passagère d'une moto est décédée alors que le pilote de la grosse cylindrée a été évacué par hélicoptère.

La collision a eu lieu à l'intersection entre la RD112 (reliant Pesmes à Auxonne) et la RD459 (reliant Dijon à Besançon). Il était environ 15 heures lorsqu'une moto grosse cylindrée et une Peugeot 207 se sont percutées.
L'accident a fait un mort, la passagère de la moto. Son pilote a été héliporté aux urgences par le service de la sécurité civile de Besançon.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/06/30/dammartin-un-mort-et-des-blesses-dans-une-collision-entre-une-moto-et-une-voiture

Accident mortel en marge du Show Bike de Montalivet (33)

C’est sur le chemin conduisant à la manifestation que le drame s’est produit, hier vers 18 heures. La RD 102 était particulièrement encombrée, non seulement par les bikers qui allaient ou revenaient du Show Bike de Montalivet qui avait débuté vendredi, à environ trois kilomètres de là, mais aussi par l’habituelle circulation du week-end. Selon les premiers éléments de l’enquête de gendarmerie, c’est une voiture qui, en tournant à gauche, aurait ralenti la file, déclenchant, bien involontairement, l’accident. La moto, pilotée par un homme de 61 ans, aurait alors été déstabilisée et aurait dans un premier temps touché un scooter devant elle. Puis, perdant le contrôle de sa machine, le motard se serait alors déporté sur l’autre file et aurait percuté de plein fouet une seconde moto qui arrivait en face. Malgré l’intervention rapide des secours, le premier motard, Éric Crepaux, résidant à Boynes (Haute-Loire) n’a pas pu être ranimé par les pompiers et le médecin du Samu. Le second motard a été grièvement touché. Il a été conduit par l’hélicoptère de la Sécurité civile à l’hôpital Pellegrin de Bordeaux. Hier soir, les gendarmes poursuivaient les investigations pour déterminer les circonstances exactes du drame qui a endeuillé la fête où se rendait le motard de la Haute-Loire. La fête devrait se poursuivre Celle-ci tient toutes ses promesses. Odeurs de carburant, pétarades, blousons de cuirs et rock’n’roll attitude, le Show Bike Aquitaine, l’un des plus gros rassemblements de bikers de France, organisé par le MC Outcasts de Bordeaux, tient depuis vendredi sa 19e édition, à Montalivet. Près de 10 000 motards ont sillonné les routes de France et d’Europe jusqu’à la station balnéaire médocaine. Tous animés par la même passion : enfourcher leurs grosses cylindrées et les faire vrombir sur l’asphalte. Au milieu de tous ces gros bras tatoués, l’ambiance était à la fête. Pour beaucoup, le Show Bike est l’occasion de retrouver des compagnons de route. Accoudés à la buvette, Fred, Jeff et Pascal trinquent ensemble. Le premier est de Cognac, en Charente, le deuxième de Paris et le troisième de Bourges, dans le Cher. « On appartient au Wind and Fire, un club qui réunit des pompiers répartis dans tout le pays. Pour nous, le Show Bike est surtout un moment de retrouvailles », expliquaient-ils hier. Le rassemblement, ouvert à tous, est aussi l’occasion pour les bikers de faire tomber les clichés et les idées reçues. « Nous ne sommes pas responsables de l’image qu’ont les gens de nous mais de celle que nous donnons », affirme Moustic, membre du MC Outcasts. La fête se poursuivra-t-elle aujourd’hui, avec la balade prévue entre Montalivet et Soulac en fin de matinée et des animations l’après-midi, dont l’incontournable concours de tee-shirt mouillé ? Hier soir, les organisateurs semblaient vouloir maintenir animations et manifestations, estimant que l’accident est intervenu en dehors du Show Bike proprement dit.

http://www.sudouest.fr/2013/06/30/accident-mortel-a-montalivet-1101285-882.php

Var: un pilote se tue en course

Un pilote italien s'est tué aujourd'hui lors d'une course GT du Lamborghini Blancpain Super Trofeo sur le circuit Paul-Ricard au Castellet (Var), dans un carambolage ayant impliqué cinq voitures, ont annoncé dans un communiqué les organisateurs de cette série automobile.

Andrea Mamé, 41 ans, a été grièvement blessé lors du choc et est décédé malgré les soins d'urgence prodigués au centre médical du circuit. Un autre pilote victime de ce carambolage a été évacué sur l'hôpital de Toulon, a-t-on appris auprès des pompiers du Var.
Les gendarmes ont immédiatement été dépêchés sur place pour enquêter sur les causes de l'accident.
 

Kerfot. Un motard tué dans une collision

Une collision d’une violence sans nom entre une voiture et une moto de grosse cylindrée a fait un mort ce samedi soir, sur la RD7, peu avant La Petite-Tournée, et en plein virage, sur la commune de Kerfot (22).

Il était environ 20 h quand le motard, un homme de 39 ans, domicilié à Plourivo, qui circulait dans le sens Paimpol-Lanvollon, a perdu le contrôle de son engin et est entré en collision avec une Citroën C4 venant en sens inverse. À son bord, une maman et ses deux enfants.
Dans le choc, la moto s’est totalement disloquée. Elle a été récupérée en plusieurs morceaux sur la chaussée. Quant à son conducteur, il a fait un vol plané l’emmenant à plusieurs mètres de l’impact de l’accident. Ce sont des automobilistes suiveurs de la C4 qui, juste avant l’arrivée des secours, ont réussi à le localiser et ont même prodigué les premiers massages cardiaques. Mais les pompiers et le Smur, sur place, n’ont pas réussi à le réanimer.
Les trois occupants de la C4, malgré la violence du choc et la partie avant droit du véhicule complètement enfoncée, s’en sont sortis avec des blessures légères. Ils ont été transportés au centre hospitalier de Paimpol.
L’enquête, confiée à la brigade de gendarmerie de Paimpol, permettra de déterminer les circonstances exactes de cet accident.
Une déviation a été mise en place une petite heure, le temps de déblayer la chaussée.

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/cotesarmor/kerfot-un-motard-tue-dans-une-collision-29-06-2013-2154862.php

Deux morts dans un accident à Portel-des-Corbières

Deux jeunes gens âgés de 20 et 22 ans ont trouvé la mort, en milieu de soirée vendredi sur la RD 3, entre Sigean et Portel-des-Corbières. Selon les premières constatations réalisées par les gendarmes, la puissante berline dans laquelle les deux hommes avaient pris place a heurté un platane dans une longue ligne droite. Des témoins ont indiqué que la voiture, avant de se fracasser sur l’arbre, roulait à très vive allure. Les deux jeunes gens qui ne portaient pas de ceinture de sécurité au moment du drame n’avaient aucune chance de réchapper au terrible choc.
À l’arrivée des secours, le passager de la Mercedes était déjà décédé. Le conducteur, dans un état grave, a été médicalisé durant de longues minutes par les médecins du Smur de Narbonne, qui ont décidé de l’évacuer par la suite vers le CHU de Montpellier. Malheureusement, il était déjà trop tard pour sauver le jeune homme de 22 ans. Il est décédé vers une heure du matin sans avoir repris connaissance. Les enquêteurs attendent désormais les résultats des divers examens toxicologiques

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/30/1661817-deux-morts-dans-un-accident-a-portel-des-corbieres.html

Guadeloupe: au moins 6 personnes d'une famille même tuées, un homme recherché

Au moins six personnes appartenant à une même famille ont été tuées, samedi soir à Petit-Bourg (à 12 km de Pointe-à-Pitre), par un homme qui a pris la fuite, a-t-on appris de source proche des enquêteurs.
Le suspect est activement recherché par les forces de l'ordre aidées, dans les environs, d'un hélicoptère utilisant un puissant projecteur, selon la même source.
Selon les premiers éléments recueillis par les enquêteurs, l'auteur présumé des faits est un quadragénaire, champion de tir et dirigeant d'une société de gardiennage.
Il aurait abattu son épouse ou compagne ainsi que ses deux enfants, un de ses oncles et deux de ses cousins.
Les enquêteurs ont relevé quatre scènes de crime sur le domaine familial où la drame s'est déroulé, ainsi que des éléments qui les conduisent à conclure que l'auteur présumé a utilisé deux armes à feu, de calibres 12 et 22 long rifle.
Selon des témoignages recueillis par l'AFP, et non confirmés officiellement, des postes de contrôle routier ont été établis sur la route de Petit-Bourg à Saint-Claude (à 70 hm de Pointe-à-Pitre), dont l'auteur présumé des faits serait originaire et où il pourrait tenter de se réfugier.

http://www.lepoint.fr/societe/guadeloupe-au-moins-6-personnes-d-une-famille-meme-tuees-un-homme-recherche-30-06-2013-1687389_23.php

samedi 29 juin 2013

Un enfant de 5 ans trouve la mort sur son vélo à Veneux-les-Sablons

Un dramatique accident s’est produit ce jeudi soir, à 18 h 20, à proximité du Loing, à Veneux-les-Sablons. Un enfant de 5 ans a trouvé la alors qu’il faisait du vélo au niveau du Chemin du Passeur. Il serait tombé au moment où passait un fourgon. Le père du petit garçon, qui roulait devant, n’aurait pas vu la scène.
Pour le moment, rien ne permet d’établir que l’enfant a été touché par le véhicule. Le conducteur, choqué, a été conduit à l’hôpital pour y subir les contrôles d’usage. Il n’a pas encore été entendu par les policiers de Moret-sur-Loing chargés de l’enquête.

http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77

Bois-Colombes : une jeune femme meurt électrocutée sur le toit d'un train

Une femme de 27 ans est morte électrocutée dans la nuit de vendredi à samedi alors qu'elle se trouvait sur le toit d'un train immobilisé en gare de Bois-Colombes, dans les Hauts-de- Seine. La scène s'est déroulée aux alentours d'1h30 dans la nuit de vendredi à sameid alors que le dernier train de banlieue de la nuit reliant Paris à Ermont-Eaubonne, dans le Val-d'Oise, était bloqué à quai, ses portes ne s'ouvrant pas, a indiqué Transilien à l'AFP. Le conducteur a alors fait une annonce pour expliquer le problème à la quarantaine de passagers qui n'auraient pas manifesté de signes d'impatience, toujours selon Transilien. Puis il a appliqué les consignes de dépannage pour tenter d'ouvrir les portes. D'après les premiers éléments de l'enquête, la jeune femme de 27 ans aurait ouvert la fenêtre, puis se serait agrippée au rebord de celle-ci pour monter sur le toit. Il ne s'agirait pas d'un suicide. L'enquête devra permettre de déterminer les circonstances précises du drame.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/bois-colombes-une-jeune-femme-meurt-electrocutee-sur-le-toit-8072944.html

Lougres (25) : l’accident reste un mystère

Il est 21 h 30, jeudi. Juste avant l’entrée de Lougres, sur la départementale 663, les automobilistes sont invités à ralentir. La circulation est régulée par les gendarmes. Les forces de l’ordre ont mis en place un dispositif (voiture et fourgon) à ce niveau de la route où une vingtaine de personnes est visible. Fait plutôt exceptionnel, il s’agit de la reconstitution d’un accident mortel remontant à quatre ans et qui a donné lieu à l’ouverture d’une information judiciaire pour homicide involontaire aggravé.
Le 25 octobre 2009, très tôt (apparemment entre 5 h 30 et 6 h), une conductrice perd le contrôle de son véhicule. Elle percute alors son mari, Alexandre, 35 ans, qui marche le long de la départementale. La voiture termine dans le bas-côté. Une autre conductrice, qui arrive au même moment, alerte les pompiers. Malheureusement, à leur arrivée, le jeune homme est décédé : « Ils l’ont gardé quatre jours en autopsie », témoigne, d’une voix triste, sa mère, qui observe la scène de loin avec la meilleure amie de la victime. Des zones d’ombres entourent cet accident, ce qui explique, sans doute, cette longue instruction. Que faisait le Doubien, sur la route, à ce moment-là de la journée ? La même question se pose pour son épouse, 32 ans à l’époque, qui était ivre. Enfin, pourquoi les jeunes gens n’étaient-ils pas ensemble ?
Au lendemain du drame, l’enquête démontre que le couple a passé la soirée dans une discothèque, le Palace, à Bavans. Ensuite, les gendarmes se font très discrets sur leurs investigations. Lors de sa garde à vue, la femme déclare n’avoir pas vu son époux marcher au bord de la chaussée, en raison de la pénombre.
Ce jeudi soir, la magistrate en charge de l’instruction attend que la nuit soit pleinement tombée pour vérifier ses dires. La voiture de la Doubienne, une Opel verte, est chargée sur une dépanneuse en attendant d’être utilisée pour reconfigurer les circonstances de la collision. Il est vrai que la départementale, à cet endroit, n’est pas éclairée. Le premier lampadaire se situe à plusieurs centaines de mètres du point d’impact. « Cette reconstitution a été souhaitée par la conductrice. Mais, comme, sur place, elle était incapable de répondre aux questions qu’on lui posait, la reconstitution s’est arrêtée peu avant minuit », souligne le vice-procureur Lionel Pascal qui n’en dira pas plus afin de préserver le secret de l’instruction. De leur côté, la mère de la victime et la meilleure amie sont persuadées que la Doubienne a intentionnellement percuté son mari : « Le couple ne fonctionnait pas. Elle s’est remariée quinze mois après l’accident », explique la maman. Et cette amie d’Alexandre d’enchaîner : « J’en suis persuadée dès le départ. Il n’était pas heureux ».
Des accusations graves qui ne sont étayées par aucun élément (connu en tout cas) du dossier même si, selon une source proche de l’enquête, « leurs questions sont légitimes ». Le ressenti, aussi, de la mère de famille à jamais meurtrie : « C’est normal de perdre un fils de 35 ans ? Je ne sais plus quoi dire… », demande celle qui n’a pas plus que ses yeux pour pleurer.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/29/l-accident-reste-un-mystere

Montauban. La voiture «explose» contre le magasin : un mort

Il est environ 2 h 58 hier matin, juste après le rond-point du Petit Versailles, au début de l’avenue de Nègrepelisse un grand bruit et le déclenchement d’une alarme de commerce réveillent les riverains. La patrouille de nuit rapidement sur les lieux se rend compte que parmi les débris de vitrine à l’intérieur du magasin se trouve un véhicule (une Renault -Twingo), disloqué sur une bonne partie et occupé par des personnes prisonnières des tôles côté gauche. Pompiers, SAMU 82 arrivent sur place pour extraire deux jeunes. Un Montalbanais de 20 ans grièvement blessé se trouvant à l’arrière.
Le conducteur lui malgré des tentatives de la ranimer décédera rapidement. C’est aussi un jeune habitant de la ville Lionel Guyamard-Cavalier, 22ans, domicilié rue de la Résistance. Les deux autres occupants de la Twingo le passager avant-droit et son collègue assis derrière lui sont sortis indemnes de l’accident. Vitesse excessive, malaise, défaillance mécanique. Les enquêteurs du commissariat vont déterminer les circonstances de cet accident. La voiture a heurté un trottoir et s’est mise en crabe pour que le côté gauche (donc du conducteur) vienne pulvériser une vitrine et heurter un mur sur sa droite.
Avec ce nouveau mort sur la route le bilan départemental des six premiers mois 2 013 s’établit à 11 morts (contre 16 en 2012). Coïncidence cruelle, en 2002 ce local était occupé par le restaurant du «Petit-Marayeur» et un avion du Tour de France aérien s’était écrasé dans la terrasse située derrière et dans l’axe de la piste de l’aérodrome causant la mort de deux personnes.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/29/1661294-montauban-la-voiture-explose-contre-le-magasin-un-mort.html
L’appel de la famille d’Adrien Vuillemin, 20 ans, tué d’une balle dans la tête sur un parking d’un terrain de sport à Décines, le 21 mai 2009, a été entendu. La chambre de l’instruction de la cour d’appel de Lyon a décidé vendredi que le principal suspect serait renvoyé devant les assises.
Le principal suspect, locataire d’un appartement situé à proximité du parking où le jeune Décinois a trouvé la mort, avait été mis en examen pour homicide volontaire mais la justice avait estimé, dans un premier temps, que les charges retenues contre lui ne pesaient pas suffisamment lourd pour le conduire devant une cour d’assises.
Il avait été remis en liberté le 19 février 2010 après neuf mois de détention provisoire et placé sous contrôle judiciaire.

La famille d’Adrien Vuillemin avait fait appel de cette décision « Nous voulons un procès» clamait-elle. La justice leur a donné raison vendredi.


http://www.leprogres.fr/rhone/2013/06/28/meurtre-d-adrien-vuillemin-a-decines-le-suspect-sera-juge-aux-assises

vendredi 28 juin 2013

Un motard se tue sur la RN2

Un motard de 25 ans est décédé ce matin vers 8 heures sur la RN2, à hauteur de Villeneuve Saint-Germain, à côté de Soissons.
Les pompiers de Soissons, qui sont intervenus aussitôt, n'ont rien pu faire pour le sauver. 
Il semble qu'il était en train d'effectuer un dépassement quand il a perdu le contrôle de son deux roues.

http://www.aisnenouvelle.fr/info-en-direct

Cavignac (33) : Un quadragénaire tué dans un accident

Un automobiliste de 42 ans est mort lors d'un accident  jeudi vers 19 h 30, sur la RD 249 au lieu-dit Prolongeau-de-Cavignac, sur la commune de Cavignac, près de Blaye.
Il semble avoir perdu le contrôle de son véhicule après avoir effectué un dépassement. La voiture a glissé avant de heurter une buse d'évacuation d'eau et de finir sa course contre un arbre.

La victime, Christophe Dourneau, roulait en direction de Cézac où elle demeurait, lorsque l'accident est survenu. 

http://www.sudouest.fr/2013/06/28/cavignac-33-un-quadragenaire-tue-dans-un-accident-1099902-2825.php

Mystère autour d'un homme gravement brûlé

Un gros point d'interrogation plane sur la petite commune de Rollot (Somme). Lundi matin, dans ce village situé près de Montdidier, à la frontière de l'Oise, un homme âgé de 36 ans a été victime de graves brûlures ; il est depuis hospitalisé à Lille où il a été placé en coma artificiel.

Les faits se sont déroulés près des WC publics situés à proximité du terrain de football et du terrain de jeu de paume. Le beau-père de la victime raconte : « Ça s'est passé entre 8 h 15 et 8 h 30. Il venait de déposer ses deux filles à l'école et il semble qu'il ait eu besoin de se rendre aux toilettes, après on ne sait pas ce qu'il s'est passé... » L'homme a t-il été victime d'une agression ? Les circonstances restent à déterminer mais son corps a été aspergé d'un liquide inflammable. Michel Choisy, maire de Rollot, s'est rapidement rendu au domicile familial. « Je ne connais pas ce monsieur personnellement mais on ne m'a jamais rapporté de problèmes à son sujet. Demain (ndlr : aujourd'hui), je dois me rendre à Montdidier pour être interrogé par les gendarmes. Ils ont déjà auditionné un certain nombre de personnes. » C'est le cas de ce papa venu chercher son fils à l'école : « Ils sont venus chez moi lundi après-midi et m'ont demandé si j'avais vu quelqu'un de suspect »

L'isolement des lieux du drame risque de compliquer la tâche pour les enquêteurs. « Un règlement de comptes à cet endroit, je trouve ça bizarre », indique un habitant. « Rollot, ce n'est pas Chicago ou Los Angeles ! », poursuit-il. Hier, les proches de la victime devaient se rendre une nouvelle fois à son chevet. « On ne peut le voir qu'à travers un sas. Les médecins ne savent pas s'il est brûlé au 2 e ou 3 e degré, ils nous disent que son corps continue à chauffer », conclut le beau-père.


http://www.courrier-picard.fr/region/mystere-autour-d-un-homme-gravement-brule-ia0b0n121392

La Salvetat-Peyralès. Une fillette meurt, heurtée par un engin agricole

Dramatique
accident
ce mercredi soir dans une ferme de La Salvetat-Peyralès : une fillette de 7 ans est décédée après avoir été heurtée par une remorque agricole.

Le grand-père de la petite fille l’aurait percutée alors qu’il effectuait une marche arrière. Les pompiers de La Salevetat-Peyralès et de Villefranche-de-Rouergue, ainsi qu’un hélicoptère du Samu, sont intervenus sur le lieu du drame mais n’ont pu ranimer la petite victime.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659932-salvetat-peyrales-fillette-meurt-heurtee-engin-agricole.html

jeudi 27 juin 2013

Espagne : trois Britanniques retrouvés morts près de Malaga

Trois Britanniques, un homme et deux femmes, ont été retrouvés morts mercredi, tués par balles dans une maison de Mijas, près de Malaga, dans le sud-ouest de l'Espagne.
La Garde civile privilégie l'hypothèse d'un drame familial. "Nous envisageons comme première hypothèse qu'il s'agisse d'une famille dont le mari aurait tué sa femme et sa fille, puis se serait suicidé", indique une source proche de l'enquête, ajoutant que ce scénario ne pourrait être confirmé qu'une fois l'enquête achevée.

Selon des sources citées par plusieurs médias espagnols, la mère était handicapée et sa fille atteinte de trisomie 21. Une information non confirmée par les autorités.
La police espagnole a mis sous scellés la villa, de couleur jaune, et son jardin avec palmiers et piscine, situés dans le quartier de Torrenueva. La famille louait cette villa depuis plusieurs années, selon des voisins et des autorités cités par la presse espagnole.

http://www.sudouest.fr/2013/06/27/espagne-trois-britanniques-retrouves-morts-pres-de-malaga-1098750-7.php

Collision avec un poids lourd à Fons : une jeune mère de famille de Rueyres tuée

Un terrible accident de la circulation s’est produit hier à 9 heures sur route départementale 840, commune de Fons, dans le canton de Lacapelle-Marival. Une collision entre une voiture et un poids lourd a fait un mort, une jeune femme de 25 ans, Aurore Caloin, résidant à Rueyres. Le véhicule circulait dans le sens Gramat-Figeac. Les sapeurs-pompiers de Lacapelle, Gramat ainsi que le Samu devront désincarcérer la victime. Ils ne pourront hélas que constater son décès. L’unité de gendarmerie de Livernon, Lacapelle, et Figeac se trouvaient également sur place. Que s’est-il passé ? Selon les premiers éléments de l’enquête, la jeune femme aurait perdu le contrôle de son véhicule et aurait percuté le poids lourd qui circulait en sens inverse. Le chauffeur du poids lourd, un homme âgé de 46 ans, résidant dans l’Aveyron, blessé a été transporté au centre hospitalier de Figeac. Une déviation a été mise en place durant près de trois heures. Aurore Caloin, native de Lille, résidait à Rueyres et travaillait dans un magasin de produits bio à Figeac. «C’est un drame terrible. Je ne la connaissais pas beaucoup. Elle était locataire à Cambou, un hameau de Rueyres, depuis deux ou trois mois» indique le maire Jean-Pierre Delmas. Aurore Caloin était maman d’une petite fille de 4 ans. Ce nouveau drame de la route porte à 10 le nombre de tués sur les routes du Lot depuis le mois de janvier en zone de gendarmerie. En tout, 8
accidents
ont fait 10 morts. Le nombre d’accidents corporels par rapport à 2012 est en baisse de 30 %, le nombre de blessés de - 35 %. À mi-2013, il y a donc eu moins d’accidents, moins de blessés, mais plus de morts.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/27/1659681-fons-une-mere-de-famille-de-rueyres-se-tue.html

Les Rousses: un quinquagénaire grièvement blessé par la chute d'un arbre

L'homme, qui effectuait des travaux de bûcheronnage, ce mercredi en fin de journée, s'est retrouvé coincé sous un arbre de plus d'une tonne.
Il était un peu plus de 18h30, ce mercredi soir, quand les pompiers de Morez ont été prévenus d'un
accident
de bûcheronnage survenu à La Doye, à proximité de la pisciculture.

Un quinquagénaire a été blessé par la chute d'un arbre de plus d'une tonne qu'il venait d'attaquer à la hache. "L'arbre a dû éclater et tourner", constatait son frère présent sur place.
La victime, qui portait un casque, a été extraite de sous le tronc vers 20 heures et prise en charge par un hélicoptère venu de Suisse. Dans la soirée, son pronostic vital restait réservé.

http://www.leprogres.fr/jura/2013/06/26/les-rousses-un-quinquagenaire-grievement-blesse-par-la-chute-d-un-arbre

mercredi 26 juin 2013

Accident mortel : une femme de 36 ans décède près de Rouen

Il était 7h30, mercredi 26 juin 2013 lorsque les sapeurs-pompiers de Seine-Maritime ont été alertés. Un
accident
venait de se produire sur la route départementale 95, à l’intersection avec la route départementale 13, en direction de Rouen, à hauteur de la commune de Quévreville-la-Poterie, près d’Ymare.

Circulation coupée dans les deux sens

Deux véhicules légers sont impliqués dans l’accident, dont on ne connaît pas encore les circonstances exactes. Au volant de l’une des voitures, une femme de 36 ans, malheureusement décédée avant l’arrivée des secours. La circulation a été coupée dans les deux sens sur la D95, le temps de l’intervention des secours. Les pompiers ont quitté les lieux avant 9h tandis que les services de gendarmerie étaient toujours sur place pour effectuer les constatations.

27 morts sur les routes de Seine-Maritime depuis le mois de janvier

Il s’agit du 27e mort sur les routes de Seine-Maritime depuis le mois de janvier. Dans la nuit du 20 au 21 juin 2013, un cycliste avait été mortellement percuté par une voiture sur la D6015 au niveau de la commune de Saint-Aubin-Routot en direction de Saint-Romain de Colbosc, près du Havre. Dimanche 9 juin dernier, c’est un nonagénaire qui trouvait la mort après un malaise au volant de sa voiture, à Neufchâtel-en-Bray
 

Val-d'Oise: le quatrième enfant est mort

Le bilan de la noyade samedi dans un étang de Saint-Ouen-l'Aumône (Val-d'Oise) s'est alourdi aujourd'hui avec le décès d'une quatrième victime, un petit garçon de cinq ans, a-t-on appris aujourd'hui de source proche du dossier.

Les cinq enfants, une petite fille âgée de 5 ans, deux garçons de 3 et 5 ans et deux autres de 8 ans, ont été retrouvés samedi dernier en fin d'après-midi dans un étang situé à quelques dizaines de mètres de l'hôtel bon marché où ils logeaient. "L'un d'eux est tombé à l'eau. Les autres ont voulu lui porter secours et sont tombés à leur tour", a expliqué le procureur de la République de Pontoise, Yves Jannier. "Il n'y avait pas d'adulte présent au moment du drame, il n'y a pas de témoin direct de la chute des enfants dans l'eau."


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/26/97001-20130626FILWWW00561-val-d-oise-le-quatrieme-enfant-est-mort.php

Royan : "Quentin avait toute sa vie devant lui"

Ce 21 juin 2013 aura dû être un jour de joie et de fête pour les Desaegher. Patrick aurait fêté ses 50 ans, avec trois jours de retard, mais le jour même des 18 ans de son fils Quentin. Ce 21 juin 2013, en réalité, a été un jour de peine. Anne-Valérie et Patrick Desaegher, leur fils aîné, âgé de 21 ans, leurs deux filles de 6 et 10 ans, se sont rendus sur le lieu même où Quentin a trouvé la mort le soir du 19 août 2012. Renversé par un véhicule dont le conducteur a poursuivi sa route, laissant Quentin à terre et son ami Christopher sous le choc.
Vendredi dernier, les Desaegher ne se sont pas rendus seuls le long de la RN 150, en face de Leclerc. Avec eux, 150 personnes, amis proches de Quentin, amis de la famille ou simples anonymes révoltés par ce drame odieux se sont rassemblées, en silence, dignement, mais animés par le même sentiment d’injustice qui tient debout Anne-Valérie Desaegher.

« Quentin était menacé »
Anne-Valérie Desaegher n’est pas simplement une mère éplorée et inconsolable, qui a simplement retiré les draps du lit du plus jeune de ses fils, mais sans oser les laver, qui n’entre plus dans cette chambre si pleine de souvenirs heureux, mais continue à la considérer comme « la chambre de Quentin ». Anne-Valérie Desaegher est une mère en colère, aussi. En tout cas une mère qui se demande si la police et la justice explorent une autre piste que celle du banal mais dramatique accident. Car l’attitude de Quentin les mois qui ont précédé sa disparition et certaines confidences des amis de son fils lui ont apporté la conviction que « Quentin était menacé et avait peur ».
« Peur » d’un autre jeune homme, dont la petite amie avait eu un faible pour Quentin. « En novembre 2011, il a reçu des menaces. Selon l’un de ses amis, en juin 2012, il continuait d’en recevoir. D’ailleurs, mi-avril, en se rendant à son travail, à Saujon, où il était en contrat d’apprentissage, une camionnette blanche lui a fait une queue-de-poisson. Il s’est retrouvé dans le fossé, avec sa moto. »
Sans explication
À partir de cet épisode d’avril 2012, Anne-Valérie a vu « Quentin changer d’attitude », montrer des signes « d’agressivité, lui qui était un garçon plein de vie, très joyeux, facile à vivre ». Sa mère ne s’explique toujours pas pourquoi son fils « a abandonné son contrat d’apprentissage du jour au lendemain, alors que la mécanique moto était sa passion ».
Sans explication sur le bouleversement qui a changé son fils les mois précédant sa mort, Anne-Valérie et Patrick Desaegher le sont tout autant sur les circonstances exactes du drame qui s’est joué en une fraction de seconde, le 19 août dernier, peu après 23 heures. Christopher a distingué un véhicule « blanc », sans pouvoir préciser s’il s’agissait d’un utilitaire ou d’un fourgon. Un véhicule dont il a juste vu les feux se rallumer juste après le choc.
« Il y a ce manque… »
« Ma plus grande peur aujourd’hui, c’est qu’on referme le dossier sans qu’on ne trouve jamais le responsable. » Lorsqu’elle exprime ses craintes, la douleur qui se dispute à l’absence éternelle du plus jeune de ses deux fils, Anne-Valérie Desaegher résiste, tente de ne pas se laisser submerger, mais sa voix finit par se briser, s’éteindre quelques instants. Un voile de larmes couvre ses yeux rougis.
« Le plus dur, c’est de continuer à vivre. J’aime tous mes enfants de la même manière, mais il y a ce manque et ça, ça ne passera jamais. Si je devais ranger dans un carton ses affaires, il faudrait carrément qu’on déménage. Parce que sa chambre reste sa chambre. » Mais Quentin est là, tout près de la maison familiale de Saint-Georges-de-Didonne. Inhumé dans le cimetière de la commune. « On ne devrait pas avoir à aller là-bas. Quentin avait toute sa vie devant lui. J’aurais tout donné pour être à sa place. »

http://www.sudouest.fr/2013/06/26/quentin-avait-toute-sa-vie-devant-lui-1096700-1510.php

Bezannes / Tentative de suicide Une dépressive évacuée des rails par la police

Lundi après-midi, les services de police ont été informés de la disparition inquiétante d'une pensionnaire de la clinique médico-psychologique rémoise Henry-Ey, derrière le CHU. Agée d'une quarantaine d'années, la dame est connue pour plusieurs tentatives de suicide mais fut chaque fois retrouvée à temps, à proximité de points d'eau ou d'emprises ferroviaires. Alors que plusieurs patrouilles du commissariat entamaient les recherches, l'alerte était également répercutée au PC de la SNCF. Peu de temps après, le conducteur d'un TGV a justement signalé la présence de la dépressive à proximité de la gare de Bezannes. Elle avait réussi à franchir le grillage pour s'aventurer sur les voies. Toutes les rames ont reçu l'ordre de circuler à très faible vitesse dans le secteur concerné, le temps pour les policiers de localiser la dame, d'intervenir et de la mettre en sécurité hors des rails. Les pompiers l'ont ensuite transportée au centre hospitalier.

http://www.lunion.presse.fr/article/marne/bezannes-tentative-de-suicide-une-depressive-evacuee-des-rails-par-la-police

Tuerie de Chevaline: la piste familiale au coeur de l’enquête

Pour quelles raisons Zaïd al-Hilli a-t-il été placé en garde à vue près de dix mois après le début de l’enquête?
«En France nous l’aurions placé en garde à vue depuis longtemps, mais dans le droit britannique il faut qu’il y ait suffisamment d’éléments vraisemblables et directement liés aux faits pour interroger quelqu’un sous la contrainte», a expliqué le procureur Éric Maillaud.
Le 5 septembre, Saad-al-Hilli, Britannique d’origine irakienne de 50 ans, sa femme Iqbal, 47 ans, et sa belle-mère Suhaila al-Allaf, 74 ans, de nationalité suédoise, avaient été trouvés morts, tués de plusieurs balles dans la tête, à Chevaline, près du lac d’Annecy où ils passaient leurs vacances.
Zaïd al-Hilli, 54 ans, soupçonné «d’avoir participé à un complot pour commettre un meurtre», a notamment été interrogé au cours de ses 36 heures de garde à vue sur ses relations avec son frère, Saad al-Hilli, et sur l’héritage laissé par le père décédé en 2011.

http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/06/26/tuerie-de-chevaline-la-piste-familiale-au-coeur-de-l-enquete
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La piste familiale reste-t-elle la seule piste?
La famille est la piste N°1 des enquêteurs qui ne s’intéressent pas uniquement à Zaïd, mais aussi aux autres membres de cette famille nombreuse et éclatée. «On doit se poser la question: à qui profite le crime?», a résumé M. Maillaud.
Les biens immobiliers du père, comprenant une maison à Claygate (Royaume-Uni), dans laquelle résidaient Saad et sa famille, un appartement en Andalousie et un autre dans la zone verte de Bagdad, pouvaient attirer la convoitise.
La piste irakienne est en «stand-by» a indiqué le procureur, en raison de l’instabilité du pays qui n’a pas permis aux enquêteurs d’aller sur place. Les investigations sur le métier de Saad al-Hilli, qui a travaillé pour une société leader mondial des micro-satellites, n’ont quant à elles pas révélé «d’éléments majeurs» pouvant accréditer davantage cette piste.


http://www.leprogres.fr/france-monde/2013/06/26/tuerie-de-chevaline-la-piste-familiale-au-coeur-de-l-enquete

Bertrand Cantat : le message de détresse de son ex-femme avant son suicide

Un livre à paraître ce mercredi aux Editions de l’Archipel retrace l’histoire d’amour tumultueuse entre Bertrand Cantat et Marie Trintignant, avant la mort de l’actrice. L’enquête menée par les journalistes Stéphane Bouchet et Frédéric Vézard dévoile également le dernier message de Kristina Rady, ex-femme du leader de Noir Désir, avant son suicide en 2010. Celle-ci aurait fait des confidences à ses parents sur l’enfer qu’elle vivait au quotidien auprès du chanteur. Le site de L’Express a publié ce mardi de longs extraits de ce message de détresse.
Dans « L’Amour à mort »,  Stéphane Bouchet et Frédéric Vézard reviennent sur les confidences de Kristina Rady, qui avait laissé un message vocal de 7 minutes sur le répondeur de ses parents, 6 mois avant de se donner la mort. Alors que l’ancienne épouse bafouée a toujours défendu la star, notamment au moment de son arrestation et de son procès pour le meurtre de Marie Trintignant, elle révèle enfin son mal-être et « ce cauchemar que Bertrand appelle l’amour ».

"J'ai failli y laisser une dent"

La jeune femme d’origine hongroise, mariée à Bertrand Cantat en 1997 et mère de ses deux enfants, explique à ses parents comment le chanteur s’est mis à la battre à son retour de prison. « Ici beaucoup de choses se sont passées et des pas bonnes », confie Kristina Rady sur le répondeur de ses parents. « Hélas, je n'ai pas grand-chose de bon à vous offrir, et pourtant il aurait semblé que quelque chose de très bon m'arrive, mais en l'espace de quelques secondes Bertrand l'a empêché et l'a transformé en un vrai cauchemar qu'il appelle amour. Et j'en suis maintenant au point - alors que j'avais du travail pour tout ce mois-ci, ce qu'il ne supporte pas - qu'hier j'ai failli y laisser une dent, tellement cette chose que je ne sais comment nommer ne va pas du tout [mot inaudible], mon téléphone, mes lunettes, il m'a jeté quelque chose, de telle façon que mon coude est complètement tuméfié et malheureusement un cartilage s'est même cassé, mais ça n'a pas d'importance tant que je pourrai encore en parler. »

"Je disparaîtrai simplement"

Kristina Rady évoque également son intention de prendre la fuite avec ses enfants : « Avec un peu de chance, si j'en ai la force et qu'il n'est pas trop tard, je déménagerai dans un autre pays et je disparaîtrai simplement, car je dois disparaître, et j'enverrai quelqu'un pour récupérer mes affaires et me les transporter avec mon autorisation ».
Elle compare aussi son expérience auprès de Bertrand Cantat au terrible drame de Vilnius en 2003 : « Mais je n'ai pas voulu vous parler de tout ça, naturellement vous pouviez deviner qu'une série d'événements encore plus regrettables que ceux de 2003 a eu lieu, car à l'époque cela ne m'était pas arrivé à moi, tandis que maintenant cela m'arrive, et déjà à plusieurs reprises j'ai échappé au pire, et puis c'est intenable, les enfants n'en peuvent plus ».

"Il fait des choses horribles avec moi devant sa famille"

« Bertrand est fou », soutient son ex-épouse. « Il croit que c'est là le plus grand amour de sa vie et que, mis à part quelques petits dérapages, tout va bien. Et tout le monde, bien sûr, dans la rue le considère comme une icône, comme un exemple, comme une star, et tout le monde désire que pour lui tout aille bien, et après il rentre à la maison et il fait des choses horribles avec moi devant sa famille. »
Enfin, Kristina Rady déclare que des amis du couple ont assisté au comportement violent du chanteur et qu’ils pourraient témoigner contre lui, avant de faire une dernière confidence qui sonne comme une prémonition : « même si un témoignage n'aurait aucun sens car tel que je connais Bertrand, il se suiciderait, et alors les enfants resteraient là, orphelins. J'aimerais tant l'éviter, seulement on ne peut s'en sortir saine et sauve, et cet état psychique n'est pas non plus propice pour bâtir une relation de couple ».
Kristina Rady se suicidera le 10 janvier 2010 en se pendant à son domicile bordelais, sans laisser d’autre explication, tandis que Bertrand Cantat dort paisiblement.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/26/1658889-bertrand-cantat-message-detresse-ex-femme-avant-suicide.html

Une salariée tente de se suicider

Une salariée de l’Office public de l’habitat de Haute-Garonne (OPDHLM 31) a tenté de mettre fin à ses jours, lundi, après avoir été révoquée de la fonction publique. Cette salariée âgée de 46 ans, souffre depuis 1999 de troubles dépressifs chroniques. Il lui était reproché d’avoir falsifié trois arrêts de maladie au cours de l’année 2012 afin de prolonger d’une dizaine de jours des arrêts de travail. Des faits qu’elle a d’ailleurs reconnus, et pour lesquels elle a remboursé les salaires indûment perçus à son employeur. L’avis de la commission de discipline préconisait une année de suspension d’emploi assortie du sursis. Mais l’employeur a décidé de la révoquer de l’OPDHLM et de la fonction publique. Décision confirmée lundi par la commission de recours. Hier en début d’après-midi, alors que les jours de la jeune femme n’étaient plus en danger, une vingtaine de salariés du conseil Général et de l’OPDHLM 31 ont manifesté à l’appel de la CGT contre ce qu’ils qualifient «d’acharnement». La direction de l’OPDHLM 31 n’a pas souhaité faire de commentaires.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/26/1658770-une-salariee-tente-de-se-suicider.html

mardi 25 juin 2013

Un homme entre la vie et la mort après avoir été battu à Noyon

Un homme de 34 ans, habitant Noyon, est hospitalisé à l'hôpital d'Amiens-Nord entre la vie et la mort.

Selon nos informations, lundi, vers 00 h 30, deux hommes se sont battus, avenue de la Gare à Noyon, pour l'amour d'une femme. L'ex-petit ami et l'actuel se frappent, quand l'un des deux se saisit d'une planche. L'agresseur assène de nombreux coups. Arrivés sur place, les pompiers retrouvent le jeune homme de 34 ans inconscient. Il est transporté immédiatement vers Amiens.

Une enquête a été ouverte par la gendarmerie. « À ce stade, il faut rester très prudent, indique la procureure de Compiègne Ulrika Delaunay-Weiss. Le contexte de cette agression est d'ordre familial. » L'auteur présumé des faits est en fuite.

Dans le quartier, les riverains ne semblent pas étonnés. « Il y a souvent des fumeurs et des buveurs qui viennent s'installer dans le square du colonel Granthomme (Ndlr : à proximité de l'avenue de la gare), raconte une famille du quartier de la gare. Ça chauffe très souvent entre eux. »


 http://www.courrier-picard.fr/region/un-homme-entre-la-vie-et-la-mort-apres-avoir-ete-battu-ia190b0n118546

Fréhel. Tombé à la mer, un pêcheur décède

Ce lundi, peu après 20 h 30, le Centre opérationnel départemental d'incendie et de secours (Codis) des Côtes-d'Armor a été avisé par un pêcheur à la ligne qu'un de ses amis, pêcheur également, venait de tomber à la mer au niveau de la Carrière de Fréhel (22). Le Codis a alerté le Cross Corsen afin que des moyens maritimes soient engagés. La SNS 201 d'Erquy, une vedette de la gendarmerie et une équipe des sauveteurs côtiers des pompiers ont été dépêchées sur zone. Emporté par le courant, le pêcheur, âgé de 37 ans, a dérivé avant d'être récupéré vers 21 h par la vedette de la SNSM. Il a été transporté au port d'Erquy où il a été pris en charge par le Smur alors qu'il était en arrêt cardio-respiratoire. Il est décédé peu après. Choqués, deux témoins et la mère de la victime ont été pris en charge par les secours.

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/cotesarmor/frehel-tombe-a-la-mer-un-pecheur-decede-25-06-2013-2148557.php

Drame familial dans la Drôme : une mère et ses trois enfants tués

Les trois enfants d'une femme tuée lundi dans la Drôme ont été retrouvés morts mardi matin, et leur père est toujours porté disparu, a indiqué le parquet de Valence.

En instance de séparation, la mère avait été découverte lundi après-midi dans une mare de sang au domicile de sa mère à Saint-Paul-Trois-Châteaux, tuée à l'arme blanche. Ses trois enfants, ainsi que leur père était depuis recherchés.
Mardi, ce sont les trois enfants de cette femme qui ont été retrouvés morts, a indiqué le parquet, confirmant une information de France Bleu Drôme-Ardèche. Aucune précision n'a été donnée sur le lieu et l'heure de la découverte des corps, ni sur l'arme utilisée. Le père des trois petits victimes est quant à lui toujours porté disparu, a annoncé le parquet de Valence, confirmant une information de France Bleu Drôme-Ardèche. Les trois enfants étaient âgés de 2, 8 et 9 ans.

Selon les premières informations fournies par le parquet dès lundi, le couple était en instance de séparation et la femme "était partie vivre chez sa mère". C'est là qu'elle a été retrouvée lundi après-midi dans une mare de sang, frappée "à l'arme blanche". Le père âgé d'une quarantaine d'années était resté au domicile conjugal situé dans la même ville. L'enquête ouverte lundi soir pour homicide volontaire a été confiée aux gendarmes de la section de recherches de Grenoble et au groupement de la
Drôme.
 

Besançon : crise de couple : elle est gravement blessée

Une femme de 36 ans a été grièvement blessée à la cuisse, d’un coup de couteau, dans la nuit de samedi à dimanche, dans le quartier de Planoise.
Elle s’était elle-même présentée, ivre et armée d’un couteau, vers 1 heure du matin, au domicile de l’ami qui hébergeait son compagnon qui avait visiblement fui le domicile du couple.
Menaçante, cherchant à frapper les deux hommes, elle a fini par déclencher l’ire de son ex qui a lui-même empoigné un couteau et l’en a frappé, touchant l’artère fémorale. Secourue par l’ami qui a su effectuer les bons gestes dans l’attente des secours, la victime a été hospitalisée. Ses jours ne sont pas en danger.
Quant à l’auteur du coup de couteau, sa garde à vue a été levée dans l’attente de nouvelles investigations et en particulier de l’audition de la victime qui a elle-même agressé son agresseur, en intervenant armée et de manière particulièrement véhémente à son domicile.

http://www.estrepublicain.fr/doubs/2013/06/25/crise-de-couple-et-coup-de-couteau

lundi 24 juin 2013

Accident mortel de pêche à bord du « Battant »

Durant la nuit de samedi à dimanche, le chalutier « Le Battant », construit en 1987, est rentré à son port d’attache de la Cotinière, un retour endeuillé. C’est à bord de ce pêche arrière de 20,80 mètres que Stéphane Samoël, 44 ans, un des quatre membres d’équipage, a trouvé la mort samedi.
Vers midi, alors que « Le Battant » était en opération de pêche à la lotte et à la raie à environ 150 kilomètres à l’ouest de La Rochelle, le marin pêcheur a été frappé en plein thorax par un rocher qui se trouvait au cul du chalut. L’homme s’était écroulé, inconscient. « Il y a eu un coup de roulis alors qu’il voulait couper le cul du chalut, pour enlever le gros caillou, expliquait samedi après-midi Éric Redon, le patron pêcheur et propriétaire du « Battant ».

Éric Redon était alors à terre. Les circonstances de l’accident lui ont été rapportées par le patron en second, Yohan Vernet. Tout de suite après le violent choc subi par Stéphane Samoël, Yohan Vernet avait appelé le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross) d’Etel. Après une conférence téléphonique avec le centre de consultation médicale maritime (CCMM) de Toulouse, l’évacuation médicale avait été décidée.
Le Cross Etel avait alors dépêché l’hélicoptère de service public Dauphin de la Marine nationale, basé à La Rochelle, avec à son bord une équipe médicale (un médecin et un infirmier) du Samu 17 de l’hôpital de La Rochelle. L’hélicoptère était arrivé sur zone vers 14 heures. L’équipe médicale et le plongeur de bord avaient rapidement été déposés à bord du chalutier. Peu après, malgré les efforts de réanimation, le médecin avait constaté le décès du marin pêcheur. Le corps a été ramené à terre par l’hélicoptère.
« Stéphane Samoël était un marin expérimenté. Il travaillait à bord du ‘‘Battant’’ depuis huit mois. Il habitait à Lorient et faisait les allers-retours. Il était marié et père de deux adolescents, une fille et un garçon », a indiqué Éric Redon, sous le choc après le décès du marin pêcheur.
La gendarmerie maritime est en charge de l’enquête. Le parquet des Sables-d’Olonne est saisi de ce dossier compte tenu de la localisation de l’accident.
http://www.sudouest.fr/

Aude : il tente d'échapper aux douaniers et provoque un accident mortel

Un automobiliste a été tué lundi sur l'autoroute A9 à Narbonne lorsque son véhicule a été percuté par un go-fast, puissante voiture servant à convoyer de la drogue, a-t-on appris de source proche de l'enquête.
Le trafiquant présumé, qui roulait à 240 km/h, cherchait à échapper à une équipe des douanes qui l'avaient pris en chasse sur l'autoroute A9 dans le sens Perpignan/Béziers.
Il est entré en collision avec un 4x4 dont le conducteur a été éjecté sous la violence du choc et est décédé.


Le suspect, un habitant de l'Hérault, a été interpellé et se trouvait en garde à vue lundi après-midi.
L'accident a provoqué un bouchon de plusieurs kilomètres, sur l'A9 mais aussi sur l'A61, en direction de Béziers.  

http://www.sudouest.fr/2013/06/24/aude-il-tente-d-echapper-aux-douaniers-et-provoque-un-accident-mortel-1095356-7.php

L'ex-patron de la Sûreté de Monaco meurt happé par un bateau

André Muhlberger, ex-directeur de la Sûreté publique de Monaco, est décédé ce dimanche au large de Cap d'Ail. Tandis qu'il nageait entre les bateaux, il a été happé par l'un d'eux.
Les pompiers de Monaco étaient intervenus rapidement et ont été embarqués vers le lieu du drame.
La Police maritime de Monaco a aussi été déclenchée, tout comme l'hélicoptère de la sécurité civile, Dragon 06, qui a héliporté des secours sur un yacht où se trouvait déjà un médecin du Centre Hospitalier Princesse Grace.
Mais André Muhlberger, sévèrement touché, devait décéder quelques instants plus tard.
De septembre 2006 en octobre 2012, il avait dirigé la Sûreté publique monégasque.

http://www.nicematin.com/cap-dail/lex-patron-de-la-surete-de-monaco-meurt-happe-par-un-bateau.1314741.html

Belley : marche silencieuse en mémoire du pompier décédé

Des proches du pompier dont le meurtrier a été acquitté organisent une marche silencieuse lundi à 18h30 à Belley.
« Ni banderole, ni slogan, ni exclamation, juste le silence ». Les proches d’Eric Virot se mobilisent pour organiser une marche silencieuse lundi à 18h30 à Belley. Ils entendent protester contre l’acquittement, prononcé jeudi, par la cour d’assises de l’Ain, à l’encontre du nonagénaire qui a tué ce pompier en 2009, croyant avoir affaire à un cambrioleur.

http://www.leprogres.fr/ain/2013/06/23/belley

dimanche 23 juin 2013

Bergerac : un éboueur tué par une voiture

Hier, un peu avant 9 heures, un rippeur de 50 ans, domicilié à Bergerac, a été renversé par une voiture. Grièvement touché, il est décédé des suites de ses blessures.
L’accident s’est produit sur la route de Saint-Nexans, dans le hameau de La Conne.

La victime, régulièrement employée par la Communauté d’agglomération de Bergerac sous le statut d’intérimaire, a ramassé deux poubelles à côté du camion avant de traverser la route pour en chercher une autre.
C’est alors qu’un automobiliste l’a fauché, au moment où il sortait de l’arrière du camion.
Il semblerait que l’automobiliste ait été surpris de voir surgir une personne à ce moment-là, sur cette portion de route limitée à 70 km/h.
Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances de cet accident.
Une cellule psychologique sera mise en place dès aujourd’hui pour les deux collègues de la victime, celui qui l’accompagnait à l’arrière et le chauffeur du camion, très choqués.
Collision au Fleix : 5 blessés
Par ailleurs, hier toujours, vers 17 heures, une collision est survenue au lieu-dit Le Maine, sur la route en direction de Saint-Méard-de-Gurçon, entre deux véhicules.
Cinq personnes ont été blessées dont une que les pompiers ont dû désincarcérer.
Les blessés ont été évacués vers les hôpitaux de Sainte-Foy-la-Grande et Bergerac.

http://www.sudouest.fr/2013/06/23/un-eboueur-mortellement-fauche-1094005-1733.php

Il se suicide et met en cause un homme qui l'aurait escroqué

Samedi, le gérant du bar-tabac Le Cristal, à Lesdins, commune proche de Saint-Quentin, dans l'Aisne, a mis fin à ses jours. Il a expliqué son geste dans une lettre destinée à son épouse. Selon lui, il aurait été escroqué par Noël Sedeaud, 61 ans. Une enquête aurait été ouverte par la brigade de gendarmerie.

Cette lettre met le sexagénaire dans une situation difficile car il a déjà été impliqué dans une affaire d'escroquerie. Il avait été condamné pour « escroquerie à l'État » après avoir détourné, avec un notaire, un milliard et demi de francs (soit trois millions d'euros).

Une affaire qui remonte à 1992 et pour laquelle il a été condamné à six ans de prison ferme. Passionné de football - et alors qu'il portait encore un bracelet électronique - Noël Sedeaud s'est retrouvé entraîneur adjoint de l'AS Fresnoy, un club de football qui évoluait en division d'honneur et qui avait pour président Francis Lalanne.

Noël Sedeaud était un habitué du bar-tabac. « Je suis stupéfait et anéanti », déclare-t-il. La veille encore, il s'était rendu dans l'établissement. « C'est très dur à entendre et à supporter », admet-il.

Quant à la lettre laissée, le sexagénaire tombe des nues. « Vous vous rendez compte du poids qui repose sur moi maintenant ? »

Noël Sedeaud ne comprend pas comment son nom a pu apparaître. Ni pourquoi. « Quand vous escroquez quelqu'un, vous changez de numéro et d'adresse. Là, ce n'est pas le cas. Je suis toujours là et je passais tous les jours au café, argumente-t-il. Si vous escroquez quelqu'un, vous n'êtes pas reçu chez cette personne non plus. » Il admet quelques « affaires » mais rien qui s'apparente, selon lui, à de l'escroquerie.

Noël Sedeaud ne feint pas son bouleversement. « Je suis même plus que bouleversé, sous le choc », insiste-t-il.
 
http://www.courrier-picard.fr/region/il-se-suicide-et-met-en-cause-un-homme-qui-l-aurait-escroque-ia0b0n116732

Paulinet. Le boxeur Mourad El Bahri se tue dans un horrible accident de moto

Un terrible accident de la route a coûté la vie à un motard, Mourad El Bahri, hier soir, à Paulinet. Le drame s’est noué peu après 19 heures, route de Réalmont (départementale 86). Le pilote arrivait de Graulhet et circulait en direction de l’Aveyron, lorsqu’il a perdu le contrôle de sa Kawazaki 750, dans un virage à droite. La moto s’est couchée et a glissé sur la chaussée, se déportant à gauche, jusqu’à l’autre sens de circulation. Hélas, à cet instant fatal, une voiture arrivait en sens inverse. La voiture a percuté la moto, lui montant dessus et a écrasé le motard, qui a trouvé la mort dans le choc.
Comble d’horreur, les deux véhicules ont pris feu. Le réservoir de la moto s’est vraisemblablement crevé, et, au contact de la chaleur des moteurs, l’essence s’est enflammée. «C’est une supposition. C’est un des éléments que l’enquête devra déterminer, et d’abord la raison de l’embardée», indique le capitaine Yannick Ultréras, adjoint du commandant de la compagnie de gendarmerie d’Albi, qui s’est rendu sur place.
Coïncidence, tant le motard que les deux occupants de la voiture en face, âgés d’une cinquantaine d’années, sont de Graulhet, alors que l’accident s’est produit assez loin de la cité du cuir. Un des premiers arrivés sur place est justement un ami du motard décédé, qui a fait la triste découverte de l’épave et des deux personnes dans la voiture percutée, complètement affolées. «Elles ne sont en rien en cause. Le motard était déjà renversé, quand la voiture l’a heurté», précise le capitaine Ultréras, ajoutant «que les pompiers sont arrivés très vite», ainsi que le Smur d’Albi. Les pompiers ont transporté à l’hôpital les deux occupants de la voiture, légèrement blessés. Ils ont procédé à l’extinction. La moto est entièrement détruite, au point qu’il est difficile d’en reconnaître le modèle et la voiture en partie brûlée à l’avant.

«Virage extrêmement dangereux»

Employé à la mairie de Graulhet, le motard se rendait dans une boîte de nuit de Saint-Affrique (Aveyron), où il faisait un extra, travaillant comme portier.
La route était sèche, pour une fois. «Mais ce virage est extrêmement dangereux, selon deux motards de l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR) venus en renfort. La courbe commence tranquille et s’achève très sec. Il faut le prendre en deux temps à moto, ce qui peut surprendre ceux qui ne connaissent pas. Or la victime n’avait le permis moto que depuis cinq mois», ajoute le capitaine. «Il m’en parlait. C’était nouveau pour lui. Mourad El Bahri était très fier de sa moto», témoigne Mathieu Bless, directeur général des services de la mairie de Graulhet.
La dépouille a été transportée au funérarium d’Albi.
La communauté de brigades de Villefranche-d’Albigeois est intervenue, et en particulier la brigade d’Alban. La route a été bloquée pendant une heure. Le procureur a été avisé, ainsi que Claude Fita, le maire de Graulhet, qui s’est rendu hier soir dans la famille éplorée pour la réconforter. Cent cinquante personnes étaient déjà réunies hier soir près de son domicile, avenue du Général-de-Gaulle à Graulhet. C’est dire l’émotion suscitée par ce drame.

Mourad El Bahri était champion de boxe

«Outre être un très bon employé des espaces verts de la ville, Mourad El Bahri était une figure locale», informe le maire de Graulhet. Ce sportif a été sacré champion de France en classe B de kick-boxing et également vice-champion du monde de boxe française. «Mourad El Bahri, qui n’avait pas 40 ans, venait de raccrocher les gants. Il était très investi auprès des jeunes et au sein de l’école de boxe», poursuit Mathieu Bless, qui le décrit «comme un garçon qui avait le cœur sur la main, très accessible, resté humble à force de prendre des coups. C’est ce qu’apprend la boxe.»
Mourad El Bahri était père d’une grande fille et d’un garçonnet très jeune. Des coups durs, sa famille en avait déjà connu, avec le décès du père et du grand frère de Mourad, à qui il restait un petit frère. Mourad sera inhumé en Tunisie, d’où il est originaire. C’est depuis la Tunisie, où elle se trouve actuellement, que la mère de Mourad a appris l’affreuse nouvelle.
«Nous allons essayer d’accompagner ce deuil, dit le maire. Nous avons ainsi acheminé des chaises pour ceux qui sont venus se recueillir en mémoire de Mourad.»

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/23/1656442-paulinet-motard-renverse-voiture-roule-dessus.html

Un corps retrouvé dans le Rhône

Un corps en décomposition a été retrouvé samedi après-midi au barrage de Génissiat sur le Rhône, en Haute-Savoie, mais il n'avait pu être sorti de l'eau en début de soirée. Le corps, pris dans des branchages, "semble être en état de décomposition avancé", selon la gendarmerie. Il a été aperçu par des promeneurs peu avant 15 heures samedi. Flottant sur le ventre à la surface, il n'avait pu être sorti de l'eau en début de soirée, en raison de difficultés techniques liées au barrage.

Le barrage usine de Génissiat, ouvrage hydroélectrique du Rhône, a été mis en service en 1948. D'une centaine de mètres de hauteur, il est exploité par la compagnie nationale de Rhône (CNR), filiale du groupe GDF Suez.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/06/22/97001-20130622FILWWW00409-un-corps-retrouve-dans-le-rhone.php

samedi 22 juin 2013

Trois enfants, tombés dans une mare, entre la vie et la mort

Samedi, cinq enfants âgés de 4 à 10 ans sont tombés à l'eau dans une mare d'une zone industrielle de Saint-Ouen-l'Aumône. Trois d'entre eux se trouvent entre la vie et la mort. Le pronostic vital des deux autres n'est pas engagé, selon les pompiers.
Selon les premiers éléments de l'enquête, un enfant serait d'abord tombé dans cette mare avant que les autres, se portant probablement à son secours, n'y plongent également, en fin d'après-midi. Une source policière a indiqué qu'ils étaient logés dans un hôtel social de la zone industrielle Béthunes, où se trouve également la mare, et qu'ils ont échappé à la vigilance de leurs parents
 

En plein match de football, un joueur de 23 ans meurt

Un joueur croate de 23 ans est décédé sur un terrain de football, des suites de problèmes cardiaques, rapporte samedi le journal croate Vecernji List. En 2010, Alan Pamic avait déjà été victime d'un arrêt cardiaque au cours d'un match.

Alen Pamic n'avait que 23 ans. Cet ancien joueur croate du Standard de Liège (Belgique) qui évoluait désormais au club croate NK Istra 1961, est décédé sur un terrain de football, des suites d'un problème cardiaque, rapporte samedi le journal croate Vecernji List (article en langue croate).
Le joueur n'avait jamais voulu arrêter le football malgré trois sérieuses alertes, rappelle Le Parisien. En novembre 2010 lorsqu'il jouait au Standard de Liège, il avait été victime d'un premier arrêt cardiaque  juste avant un match. Le père d'un de ses coéquipiers de l'époque, lui avait alors porté les premiers soins sur le terrain et avait réussi à la réanimer. Quelques mois plus tard, son contrat avec le club belge avait été rompu.
Des précédents
Samedi, à l'annonce de la mort d'Alen Pamic, le Standard a réagi à travers un message publié sur son site internet. "C'est avec une grande tristesse que notre club a appris aujourd'hui le décès d'un de nos anciens joueurs, Alen Pamic" peut-on lire dans le communiqué du club qui "présente ses plus sincères condoléances à la famille et aux proches du défunt."
Ce décès d'un sportif professionnell n'est pas le premier. En 2003, l'ancien milieu de terrain camerounais Marc-Vivien Foé s'était effondré subitement lors d'un match avec son équipe nationale face à la Colombie, à Lyon. L'an dernier, Piermario Morosini, joueur de Livourne, est mort à 25 ans d'un arrêt cardiaque survenu sur le terrain lors d'un match à Pescara. 
 

Drame de Sérignan : 12 ans de réclusion criminelle pour le meurtrier de Thomas Laché

Le verdict est tombé pour Jean Didier le meurtrier de Thomas Laché en 2010 à Sérignan. La cour d'assises de Montpellier, où le procès se tenait à huis clos, a été condamné à 12 ans de réclusion criminelle et cinq ans de suivi socio-judiciaire.
Le jeune Jean-Didier, qui comparaissait devant la cour d’assises des mineurs de l’Hérault, a été condamné vendredi soir à douze ans de réclusion criminelle. Il était accusé d’avoir tué de sept coups de couteau dans l’abdomen Thomas Laché, 17 ans, lors de la feria de Sérignan, dans l’Hérault, le 17 juillet 2010. La peine est assortie de cinq ans de suivi socio-judiciaire.

A l’issue des deux jours d’audience qui se sont déroulés à huis clos, le défenseur de la famille de la victime, Me Abratkiewicz, a exprimé sa satisfaction : « La famille de Thomas sort apaisée de ce procès où les débats ont été d’une haute qualité judiciaire. »
C’est un litige à propos d’une adolescente qui avait opposé, lors de la tragique soirée, Thomas à Jean-Didier. Ce dernier, venu de Portiragnes (Hérault), allait bientôt fêter ses 18 ans.

http://www.midilibre.fr/2013/06/21/drame-de-serignan-12-ans-de-reclusion-criminelle-pour-le-meurtrier-de-thomas-lache,720836.php

vendredi 21 juin 2013

Un Indrien tue son ancienne compagne et se suicide

La nouvelle s'est répandue, hier soir, comme une traînée de poudre dans toute la région d'Argenton-sur-Creuse. Un agriculteur-éleveur ayant son exploitation aux « Narrons » avait, quelques heures auparavant, commis l'irréparable !
Les faits ? Ils se sont déroulés, en début de matinée, à Cosne-sur-Loire (Nièvre), dans un salon de coiffure tenu par Roselyne Gravelet. L'Argentonnais, ancien compagnon de la commerçante, se présentait, vers 9 h, à la porte du magasin avec un bouquet de fleurs. Son souhait était manifestement de renouer avec celle qu'il sollicitait depuis quelques mois. Essuyant un nouveau refus, l'homme quittait précipitamment le salon et se dirigeait droit vers sa voiture. Il y prenait un fusil de chasse et revenait, cette fois-ci, avec de tout autres intentions !

Percevant sans doute le danger, son ex-compagne sortait à son tour dans la rue et c'est là que le drame allait se nouer. L'homme tirait sur la malheureuse qui s'effondrait, mortellement touchée. Le meurtrier se réfugiait aussitôt dans le salon de coiffure où, quelques instants plus tard, il mettait fin à ses jours.
Apprécié dans le milieu agricole
Les pompiers et le Samu étaient rapidement sur place, mais ne pouvaient que constater le double décès des deux quinquagénaires. La police scientifique s'est également rendue sur les lieux, afin d'établir les constats d'usage. La vice-procureur de Nevers, Emmanuelle Fredon, et le maire de Cosne-sur-Loire, se sont également déplacés.
A noter que l'auteur des faits, père de famille, était particulièrement connu et apprécié dans tout le milieu agricole de la région d'Argenton-sur-Creuse. Il avait été, par ailleurs, conseiller municipal aux côtés d'André Advenier, maire. Nul ne pouvait s'attendre au pire


http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre/Actualite/Faits-divers-justice

Le bébé est mort de déshydratation

L'enquête se poursuit...
Le bébé retrouvé mort à Guise, mardi matin, est décédé de déshydratation, a-t-on appris hier par le parquet de Saint-Quentin, qui a ainsi révélé les tout premiers résultats de l'autopsie pratiquée sur l'enfant.
L'alerte avait été donnée vers 10 heures, ce matin-là. Malgré l'arrivée rapide des secours, il n'y avait déjà plus rien à tenter pour ramener à la vie ce bébé. (l'union 19 juin)
Le parquet a aussi ajouté que l'enquête se poursuivait afin de faire toute la lumière sur les circonstances entourant le décès de cet enfant âgé de 2 mois.



http://www.lunion.presse.fr/article/aisne/le-bebe-est-mort-de-deshydratation

Un homme de 30 ans se tue en voiture

Un automobiliste de 30 ans a perdu la vie ce matin vers 4h30 sur la RN100 à Saze (Gard) pour des raisons qui restent à préciser par les enquêteurs. A leur arrivée sur place, les sapeurs pompiers de Villeneuve n'ont pu que constater le décès de la victime.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2412801/un-homme-de-30-ans-se-tue-en-voiture.html

Un trentenaire se noie dans une rivière

Un vacancier, âgé d'une trentaine d'années, s'est noyé dans une rivière située à quelques kilomètres de Ghisoni, en Corse. Ce sont ses camarades qui, ne le voyant pas revenir, ont donné l'alerte à 17 heures.
Après deux heures de recherche le corps du jeune homme a été localisé peu avant 20 heures, rapporte le site de Corse-Matin.

Par ailleurs, un vacancier de 81 ans a péri ce jeudi à 19 heures sur la plage de la Liscia à Tiuccia. Il a été victime d'un malaise en nageant.


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2412857/un-trentenaire-se-noie-dans-une-riviere.html

Albi. Attention au carrefour de la mort, route de Cordes

L’accident qui a coûté la vie au notaire Me Eric Aubry, le 7 juin, relance la polémique sur le carrefour de la route de Cordes et du chemin de Gaillaguès. Des aménagements sont-ils possibles ?
Chaque accident de la circulation a son propre scénario, ses causes particulières, parfois ses circonstances aggravantes. Si celui qui a coûté la vie, le 7 juin, à Eric Aubry, notaire albigeois enlevé brutalement à l’affection des siens à l’âge de 41 ans, marque autant les esprits, c’est qu’il s’est produit au carrefour de «Fonvialane». Cette portion de la route de Cordes, en sortie d’agglomération a déjà été le théâtre de nombreux
accidents
. C’est précisément l’intersection entre la RD 600 et le chemin de Gaillaguès qui pose problème. Hubert Mayran, un riverain, y recense «au moins un accrochage par mois». Et avant Me Aubry, d’autres personnes ont perdu la vie à cet endroit. «5 ou 6 en 20 ans», affirme Hubert Mayran qui avait lui-même été témoin de la mort d’un motard, au milieu des années 2000.

Qu’est-ce qui pose problème à ce carrefour ? Essentiellement le tourne à gauche pour ceux qui, arrivant de la côte de Mascrabières (sens Cordes/Albi), veulent s’engager sur le chemin de Gaillaguès. «On allégerait le problème s’ils faisaient une voie de stockage», ne cesse de dire Hubert Mayran. Il n’est pas le seul riverain à plaider pour cet aménagement, forcément moins coûteux qu’un giratoire. Mais est-il techniquement réalisable ? Nous avons posé la question au conseil général et à la mairie d’Albi. «On sait très bien que tous les tourne-à-gauche sont accidentogènes. On en a supprimé un certain nombre en ville», indique Louis Barret. L’adjoint au maire délégué à la voirie et à la circulation se garde bien cependant de faire des propositions au sujet de «Fonvialane». «Ce carrefour se situe hors agglomération et sur une voie départementale (la RD 600), c’est donc le conseil général qui est décisionnaire.» Roland Foissac reconnaît qu’«il y a sans doute des mesures à prendre pour mieux sécuriser ce carrefour mais il faut déjà que les gens soient attentifs et respectent la limitation à 50 km/h». L’élu du canton nord-ouest d’Albi va «alerter à nouveau le service des routes du conseil général pour réaliser une étude approfondie». Au service concerné, on attend les conclusions de la cellule de veille activée par la préfecture à chaque accident mortel. «Cette réunion n’a pas encore eu lieu s’agissant de l’accident du 7 juin mais on ne peut pas dire définitivement : on ne va rien faire.» Pas sûr que les riverains se contentent de cette réponse alambiquée.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/21/1654748-albi-fonvialane-attention-ce-carrefour-est-dangereux.html

jeudi 20 juin 2013

Un employé de La Poste décède à son guichet

Un drame inhabituel et traumatisant pour les personnes présentes, employés et clients, s’est joué hier matin peu avant 9 h 30 au bureau de Poste de l’avenue de Fronton, à Toulouse. Un homme de 51 ans, qui accueillait les clients au guichet a été victime d’un malaise. Un de ses collègues l’a placé en position de sécurité le temps que les secours, pompiers et Smur 31, arrivent sur place.
Ces spécialistes ont poursuivi les actes de réanimation mais malgré leurs efforts, l’employé n’a pas pu être sauvé. L’origine cardiaque du malaise serait probable. Le bureau de Poste a été fermé hier toute la journée. Hier soir la direction ne connaissait pas la date de réouverture. «Une cellule de soutien et d’accompagnement a été mise en place pour aider le personnel très choqué», explique la direction. Aujourd’hui jeudi se tiendra une réunion en urgence du comité hygiène sécurité et condition de travail (CHSCT) de La Poste. En attendant la réouverture du bureau, les usagers peuvent se diriger vers les bureaux de Poste d’Aucamville, des Isards ou des Minimes.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/06/20/1654252-un-employe-de-la-poste-decede-a-son-guichet.html

Orages et crues sèment le chaos, une troisième victime dans le Sud

Jeudi matin, une troisième victime des crues a été retrouvée noyée dans les Landes. La veille, entre mini-tornade en Côte-d'Or, orages impressionnants en Ile-de-France et crues dévastatrices dans le Sud-Ouest, la journée a été marquée par un déchaînement des éléments sur l'hexagone.

Alors que Météo France a maintenu pour la journée de jeudi pas moins de 23 départements en vigilance orange dans le Nord-Est et dans le Sud-Ouest, les régions touchées par les crues et les orages mercredi peinent encore à évaluer l'ampleur des dégâts. Mais certains redoutent le pire. Notamment, le président de la FNSEA, Xavier Beulin, qui a estimé jeudi à plus de 500 millions d'euros les dégâts agricoles causés par les intempéries qui secouent actuellement une bonne partie de la France.

Pour l'heure, dans le Sud-Ouest, on sort à peine du cauchemar. Les Pyrénées-Atlantique, les
Hautes-Pyrénées, un temps placés en vigilance rouge, mais aussi la Haute-Garonne et les Landes, ont été lourdement touchés par les crues dévastatrices qui ont fait trois victimes. Deux septuagénaires ont été retrouvés noyés mercredi, victimes de la crue exceptionnelle du gave de Pau, dont les flots torrentiels ont provoqué la suspension des pèlerinages à Lourdes et l'évacuation de quelque 2500 personnes. Et, jeudi matin, une femme a été retrouvée morte noyée dans sa voiture près de Peyrehorade, dans les Landes, où coule justement le Gave de Pau. L'automobiliste, dont l'âge n'a pas été précisé, a apparemment été emportée par l'eau vers un champ inondé bordant une route interdite à la circulation près du village de Cauneille, au sud de Dax. Les recherches nocturnes, employant un hélicoptère, ont été vaines et sa voiture a été retrouvée jeudi peu après 7 heures
 

Un homme de 23 ans tué par balles à Marseille

Un homme de 23 ans a été tué de plusieurs balles dans la nuit de mercredi à jeudi à Marseille lors d'un probable nouveau règlement de comptes.

Les faits se sont produits dans une rue du 15e arrondissement dans les  quartiers nord de la cité phocéenne. Après minuit dans la nuit de mercredi à jeudi, plusieurs individus cagoulés ont fait feu sur le jeune homme qui rentrait chez lui, a indiqué une source proche de l'enquête. Selon une source judiciaire, l'arme utilisée est a priori de calibre 9 mm. "On est sur un mode opératoire qui est celui des règlements de comptes, avec plusieurs individus qui font usage d'une arme de gros calibre et une préméditation qui paraît avérée", a déclaré cette source depuis les lieux. Le motif de l'homicide reste cependant à éclaircir, a-t-elle ajouté. La victime n'était pas connue des services de police selon la source proche de l'enquête, ce que n'a pas confirmé la source judiciaire.
L'enquête a été confiée à la brigade criminelle de la direction interrégionale de la police judiciaire deMarseille, déjà en charge de nombreux dossiers de règlements de comptes dans la région. La victime est la neuvième personne tuée par arme à feu depuis le début de l'année dans la ville et ses alentours, le dernier homicide de ce type remontant à deux semaines. L'année 2012 avait déjà été sanglante avec 24 personnes tuées par balles à Marseille et dans le département des Bouches-du-Rhône. Ces homicides à répétition, intervenant souvent sur fond de trafic de stupéfiants, ont conduit le gouvernement à mettre en place un vaste plan d'actions dans la deuxième ville de France, où deux zones de sécurité prioritaires (ZSP) ont notamment été créées.

Fin mai àMarseille, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a estimé que "la stratégie de reconquête" commençait à porter ses fruits dans les quartiers où se concentrent les cités difficiles et l'intervention de l'Etat.
 

mercredi 19 juin 2013

Accident en Charente-Maritime : quatre blessés dans un état grave

Une collision frontale a eu lieu ce mercredi, vers 8 heures sur la petite route départementale 152, sur la commune d’Expiremont, en contrebas du village, dans le canton de Montendre
Se sont percutées, de plein fouet, une Polo Volkswagen et une Twingo Renault. Quatre personnes, toutes grièvement blessées, ont dû être désincarcérées par les sapeurs pompiers de Montendre et de Jonzac.

L’une demeure à  Souméras, Gladys Coindeau, 19 ans qui était seule à bord de sa voiture; les trois autres blessés, un père de famille Aurélien Berger et ses deux enfants de 7 et 10ans, Titouan et Valentin, demeurent à Baignes (Charente).
Sur place, les secours étaient mobilisés en nombre, dont le Smur de Jonzac qui a procédé à la médicalisation immédiate des quatre blessés en attendant l’hélicoptère de la Sécurité civile, Dragon17. Ceci pour le transport des trois représentants de la famille Berger vers le Centre hospitalier universitaire de Bordeaux.
La jeune Gladys a, pour sa part, été acheminée vers l’hôpital de Jonzac, elle est désormais hors de danger. 
Les gendarmes de Jonzac et Montendre, sous le commandement du Lieutenant-colonel Guittard, commandant de Compagnie, ont assuré les constatations d’usage et procédé à la fermeture de la voie le temps du dégagement de la chaussée.

http://www.sudouest.fr/2013/06/19/accident-en-charente-maritime-quatre-blesses-dans-un-etat-grave-1090247-3.php

Un homme meurt noyé dans la Moselle

Christophe Lavergne, demeurant à Thaon-les-Vosges, était présent sur les berges de la Moselle hier, depuis 10 h, non loin de la gravière de Chavelot, en compagnie de trois amis. Ils sont venus pêcher au cours de cette journée ensoleillée.
Aux alentours de 12 h 15, Christophe Lavergne aurait alors décidé de se rafraîchir en trempant ses pieds dans la Moselle. C’est à ce moment-là que la sortie entre amis s’est transformée en tragédie. « La victime aurait visiblement glissé », explique le commandant des sapeurs pompiers Fabrice Crussière. Ces amis ont alors tenté de lui venir en aide, mais sans succès. Sur plus d’une centaine de mètres, le jeune homme se serait démené pour tenter de retrouver une certaine stabilité dans l’eau. Après avoir lutté sur environ 150 mètres, la victime a disparu et les trois amis ont donné l’alerte. Au total, huit plongeurs sapeurs-pompiers ont mené des recherches en ratissant, à deux reprises, le cours d’eau. Trois autres plongeurs de la gendarmerie de Strasbourg sont venus leur prêter main-forte, avant l’arrivée de l’hélicoptère de la gendarmerie de Colmar et des militaires de la brigade de Thaon, d’Épinal et du PSIG.
C’est au cours de la 3e recherche menée par les plongeurs, vers 14 h 50, que le corps du jeune homme a été retrouvé sur l’extrémité gauche du cours d’eau, à environ 300 mètres du pont de la RN 57.
Malgré un massage cardiaque de plus de trois quarts d’heure, le médecin du SMUR d’Épinal n’a pu que constater le décès de la victime. Une autopsie sera effectuée afin de connaître les circonstances exactes de ce drame.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2013/06/19/un-homme-meurt-noye-dans-la-moselle