jeudi 31 octobre 2013

Drame familial à Linselles: une femme entre la vie et la mort, son mari en fuite

C’est un véritable drame familial qui s’est joué ce jeudi matin dans un appartement de la résidence des Glycines, rue Raoul-Follereau à Linselles. Une femme de 38 ans a été blessée d’une dizaine de coups de couteau. Les faits auraient été perpétrés alors que les enfants de la victime se trouvaient dans l’appartement. Le mari, suspecté d’être l’auteur des coups, a pris la fuite. Il est activement recherché.
« J’en suis encore toute retournée, explique une voisine du couple. Je ne comprends pas ce qui a pu se passer. Je dormais. J’ai entendu des cris. Des cris stridents, des cris de peur. Je n’ai pas osé sortir de l’appartement. Et puis, j’ai entendu les enfants descendre l’escalier. L’un des deux hurlait : Au secours, il a un couteau ! Il y a du sang partout ! » Alertés vers 8 heures ce matin, par le voisinage paniqué, la police et les secours se sont rapidement rendus sur place. Ils y ont trouvé une femme grièvement blessée, atteinte d’une dizaine de coups de couteau. La victime a été médicalisée sur place avant d’être transportée sous escorte policière et médicale au CHR de Lille. Elle se trouve dans un état critique. Son mari qui a pris la fuite avant l’arrivée de la police, est activement recherché.
Et pour ceux qui connaissaient Peggy et Stéphane Tiesset, ce couple installé dans l’immeuble depuis quelques années, « rien ne pouvait laisser présager un tel drame. Elle est esthéticienne, elle venait régulièrement me faire des soins. Je ne comprends pas. Tout avait l’air d’aller bien dans leur couple. Ils s’étaient mariés et étaient sur le point d’acheter une maison. Je n’ai jamais assisté à une quelconque dispute qui pouvait laisser penser qu’ils avaient un problème de couple. Pas plus tard que le week-end dernier, ils ont fait la fête pour célébrer l’anniversaire de Peggy. »

Sur fond de séparation

Mais de source judiciaire, il semblerait que le couple était sur le point de se séparer. Une des raisons qui pourrait expliquer ce coup de folie, même si au parquet de Lille, on préfère rester prudent : « Nous n’avons aucun témoin direct des faits, hormis des enfants que nous souhaitons préserver. On ignore donc pour le moment ce qui pu engendrer ce drame », a indiqué Bruno Dieudonné, procureur de la République adjoint, en charge du dossier.
La jeune femme, âgée de 38 ans, se trouve actuellement dans un état critique au CHR de Lille. Ses enfants, nés d’une première union et âgés de 13 et 15 ans, ont été pris en charge par une cellule médico-psychologique. Quant au mari, suspecté d’être l’auteur des coups, il est activement recherché par la police.

http://www.lavoixdunord.fr/region/tourcoing-et-ses-environs/linselles

Accident de chasse au Pays basque : un septuagénaire se tue dans une palombiere

Ce jeudi vers 9 h 15 un habitant d'Anglet (Côte basque) s'est tué dans une palombière dans la commune d'Arbonne.
Au passage des oiseaux, le septuagénaire (né en 1938) a voulu se hisser rapidement au sommet de la palombiere. Pour ce faire, il a ôté le dispositif de sécurité de la nacelle et il a été percuté par le contrepoids qui redescendait alors qu'il était hissé vers le sommet par la palombière.

Grièvement blessé au crâne, l'homme est décédé des suites du choc violent environ une heure après l'accident et ce malgré l'intervention du Samu et des sapeurs

http://www.sudouest.fr/2013/10/31/pays-basque-un-septuagenaire-se-tue-dans-une-palombiere-1216428-3955.php

Bachas. Un mort dans un incendie de maisons

Un violent incendie s’est déclaré hier vers 17 heures dans le village de Bachas (59 habitants), détruisant trois maisons d’habitation et provoquant la mort de l’un des propriétaires. En plein milieu du village ce sinistre a nécessité un déploiement d’hommes et de matériel très important avec le renfort des centres de secours de Cazères, Le Fousseret, Saint-Martoy et Saint-Gaudens.
Vingt-neuf hommes, dirigés par le commandant Jean Louis Couzi, sont arrivés sur place devant les maison embrasées et ont promptement éteint l’incendie qui a semble-t-il démarré de l’habitation de Marie Noelle Fabre, avant de s’étendre aux deux maisons attenantes qui étaient inoccupées.

Un corps sans vie

L’inquiétude s’est vite focalisée sur le sort de la propriétaire et après un long travail de déblaiement, les secours n’ont pu que constater dans les décombres le corps sans vie de Marie Noelle Fabre, qui était âgée de 68 ans. Auparavant, sa mère, sous le choc, avait été transportée à l’hôpital de Saint-Gaudens.
Le capitaine Sagoï , adjoint au commandant de la compagnie de gendarmerie de Saint-Gaudens, ainsi que les brigades d’Aurignac et de Boulogne et la brigade de recherche, étaient aussi sur place pour recueillir les premiers éléments de l’enquête qui devra déterminer l’origine de ce sinistre, pour l’heure encore inconnu.
Hier soir, toute la population de Bachas était très affectée par ce drame.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/31/1743175-bachas-un-mort-dans-un-incendie-de-maisons.html

Lunel : électrocuté par un câble de 20 000 volts

Ce membre de la communauté des gens du voyage bricolait sur sa caravane.
Un membre de la communauté des gens du voyage installé sur un terrain de Lunel, chemin d'Ensuque, est décédé cet après-midi, électrifié.
Vers 15 h, cet homme de 29 ans est monté sur sa caravane pour bricoler lorsqu'il a touché une ligne à haute tension de 20 000 volts. Malgré les soins prodigués par les pompiers pour tenter de le réanimer, il n'a pas pu être ramené à la vie. 
http://www.midilibre.fr/2013/10/30/lunel-electrocute-par-un-cable-de-20-000-volts,776832.php

mercredi 30 octobre 2013

Une auto fauche des cyclistes : 1 mort

Un homme est mort et trois autres étaient très grièvement blessés après qu'une voiture a fauché de face un peloton de cyclistes à Montreuil-sur-Barse, dans l'Aube, a-t-on appris mercredi de sources concordantes. L'accident a eu lieu vers 15H30 sur une petite route départementale de la commune qui se trouve au sud-est de Troyes.
Un peloton d'une quinzaine de cyclistes a été surpris par une voiture dans un virage, qui arrivait en sens inverse mais sur la voie de circulation des cyclistes, a expliqué la gendarmerie, confirmant une information de France 3 Champagne-Ardenne. Un des blessés a été transporté par hélicoptère vers Reims et les deux autres ont été hospitalisés à Troyes, ont indiqué les secours. Leurs pronostics vitaux sont engagés. L'homme décédé avait 67 ans et était originaire de la région de Troyes, comme le reste du peloton.
Le conducteur de la voiture, habitant de Montreuil-sur-Barse, a dit qu'il avait été aveuglé par le soleil, ont rapporté les gendarmes. Même si, dans ce cas, les premières constatations indiquent que le véhicule arrivait sur la mauvaise voie de circulation, les gendarmes ont appelé à la prudence les cyclistes se déplaçant en peloton groupé.
 

Drame de Froidfond : l'épouse reconnaît les faits

La femme d’une quarantaine d’années qui a mortellement poignardé son mari à Froidfond dans la nuit de lundi à mardi (lire notre article) va être présentée à un juge d’instruction cet après-midi. Elle devrait être placée en détention provisoire.
Le parquet de La Roche sur Yon confirme :
“Elle a reconnu les faits et avoir porté six coups de couteau à la victime.”
La profondeur des coups  et le faits que les premiers d’entre eux aient été portés dans le dos excluraient la légitime défense. L’homicide volontaire par conjoint demeure la qualification retenue par le parquet.
Ce dernier confirme également la présence dans la maison qu’une troisième personne au moment du drame.
“Elle se trouvait à l’étage au moment des faits et n’a pas assisté à la scène.”
Cette troisième personne est donc mise hors de cause.

http://www.lecourriervendeen.fr/category/actualites/

Un motard anglais tué dans un choc frontal ce mercredi midi sur la RD 939 à Tincques


Un accident de la route a coûté la vie ce mercredi midi à un motard anglais, qui circulait sur la RD 939 dans le sens Arras – Saint-Pol, entre Tincques et Averdoingt. Selon les premiers témoignages et constatations, le pilote du deux-roues, âgé de 71 ans, s’est déporté sur la voie de gauche pour une raison indéterminée. Il a percuté un poids lourd arrivant en sens inverse, glissant avec sa moto sous l’ensemble routier.
Rapidement dépêchés sur les lieux, les sapeurs-pompiers d’Aubigny-en-Artois n’ont pu que constater le décès du septuagénaire. Le chauffeur du poids lourd, très choqué, a été pris en charge par les secours. La circulation a été totalement coupée sur la RD 939 dans les deux sens pour permettre l’enlèvement du poids lourd et dans l’attente des pompes funèbres. Une déviation a été mise en place par les villages de Penin, Maizières et Averdoingt.
Un autre accident mortel s’était produit il y a deux semaines et demie sur cette portion de la RD 939.

http://www.lavoixdunord.fr/region/un-motard-anglais-tue-dans-un-choc-frontal-ce-mercredi-ia653b16460n1658611

Port-Sainte-Marie. La terrible confession d'Adrien, sauvé in extremis du suicide

Il y a une semaine, sa mère et un riverain sont parvenus à le tirer loin des rails de la ligne Bordeaux-Agen sur lesquels il s’était allongé. à 21 ans, Adrien crie sa désespérance.
Le drame a été évité de justesse. Une fois de plus. Ce soir-là, Adrien, 21 ans, a voulu se coucher sur les rails de la ligne Bordeaux-Agen, du côté de Port-Sainte-Marie. «Je ne sais plus quoi faire, je n’ai pas d’avenir». Sa mère avait suivi. Et un riverain de la voie de chemin de fer donna un coup de main. Le train est passé, Adrien a eu la vie sauve. «Malheureusement, ce n’est pas la première fois», confesse sa mère, hier matin, dans la petite maison familiale près de la RN 113 à la sortie de Port-Sainte-Marie. «Il a déjà tenté de mettre fin à ses jours, plusieurs fois». Lui, Adrien, ne dit rien. Le regard s’enfuit vers l’horizon que barre une colline aux couleurs de l’automne. Et sa mère a peur qu’il recommence, bientôt, prochainement.

«J'ai pas l'argent»

«Malgré l’humanité des gens qu’il a côtoyés depuis ce soir-là.» Il le reconnaît, d’ailleurs. «Les gens se montrent plutôt humains, les gendarmes m’ont écouté». Et ont sans doute compris le désespoir, l’impression de n’avoir aucun avenir qui noie le quotidien d’un jeune homme qui frappe aux portes, «sans qu’une solution ne vienne. Aujourd’hui, j’ai encore un peu de revenu, mais dans un mois, je n’aurai plus rien. Avant, j’avais un logement à Agen, j’ai dû l’abandonner faute de moyens». Avant, il avait une vie sociale, «enfin oui, j’avais des copains et même une copine. Mais quand vous êtes dans la galère, tout le monde s’en va».
Originaire d’Angers, il a débarqué à Agen avec sa famille après avoir déjà galéré du côté de Digne-les-Bains. «Je ne suis pas fait pour suivre les cours de l’école, j’ai un niveau scolaire de 5e. J’avais suivi une formation en maçonnerie, mais j’ai tout abandonné en venant ici». Il a cherché, confirme sa mère, «les saisons dans les vergers et les champs, en frappant à la porte de la Mission locale, de Pôle Emploi, des supermarchés voisins, rien, rien… Et tout fout le camp. Il faudrait que je voie un dentiste, un ophtalmologiste, un médecin généraliste. J’ai pas l’argent».

«Redevenir indépendant»

Et son seul moyen de locomotion, un «scooter», refuse aujourd’hui de démarrer. «C’est de toute façon difficile d’aller à Agen en scooter». Malgré tout, il espère toujours que l’horizon finira par se dégager, que la vie sera un jour plus facile, «que je pourrai redevenir indépendant, trouver d’autres amis. Mais vous savez, même pour intégrer un foyer des jeunes travailleurs, il faut un contrat de travail».

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/30/1741945-port-sainte-marie-adrien-jusqu-au-bout-de-la-desesperance.html

mardi 29 octobre 2013

Haute Lande : un camion renversé a pris feu, un cadavre retrouvé dans la cabine

Vers 01 h 40 dans la nuit de lundi à mardi, un poids lourd transportant des fruits et légumes en provenance d'Agen s'est renversé et a pris feu sur la RD 43 au niveau de Sore, en Haute Lande, commune frontalière avec la Gironde. Le chauffeur travaillait pour la société TMF, basée à Estillac, en Lot-et-Garonne.
Les opérations de relevage ont été effectuées par les pompiers dans la matinée, notamment pour accéder à la cabine écrasée sous le camion. Les secours y ont découvert le corps d'une victime décédée.
La circulation qui était déviée depuis l'accident a été rétablie à 15 heures ce mardi.

http://www.sudouest.fr/2013/10/29/haute-lande-un-camion-renverse-a-pris-feu-la-rd-43-coupee-a-sore-1214073-3452.php

Un cycliste meurt écrasé sous les roues d'un camion

Un dramatique accident de la circulation a coûté la vie à un habitant de Courcelette, âgé d'une cinquantaine d'années qui circulait hier, lundi 28 octobre, sur la D929 en direction d'Albert, peu avant 18 heures.

Selon les premières constatations, le conducteur d'un Citroën Berlingo qui transportait un imposant meuble en kit et roulait lui aussi en direction d'Albert, aurait été surpris par la présence du cycliste sur la droite de la chaussée. Il aurait freiné avant de le renverser. Derrière la voiture, le chauffeur d'un poids lourd transportant vingt tonnes de soja percute, lui, l'arrière du Berlingo avant de se coucher. Le malheureux cycliste serait passé sous les roues du camion. L'état de son vélo, pulvérisé, témoigne de la violence du choc. La cargaison du transporteur agricole s'est déversée sur la chaussée rendue humide par une pluie fine.

Les pompiers d'Albert, Bray-sur-Somme et de Péronne, ainsi que le SAMU venu d'Amiens n'ont rien pu faire pour sauver le malheureux cycliste. L'enquête de gendarmerie a été confiée à la brigade d'Albert. Philippe Raux, commandant de la compagnie de gendarmerie de Péronne, et son adjoint, le capitaine Jean-Paul Laurent, se sont rendus sur les lieux, tout comme Line Wattraint, maire d'Ovillers-la-Boisselle, et son homologue de Courcelettes, Xavier Vandendriessche.

La D929 a été totalement coupée à la circulation jusque tard dans la soirée, le temps pour un agriculteur de La Boisselle de venir avec une benne et un tractopelle pour retirer le soja renversé sur la route. Un camion-grue a relevé le camion, plié par le poids de sa remorque couchée.

Une déviation a été mise en place par l'axe Albert - Péronne (D938) et par l'axe Bapaume - Péronne (D917 et D1017). C'est le premier accident mortel dans le canton d'Albert depuis plus de deux ans.


http://www.courrier-picard.fr/region/un-cycliste-meurt-ecrase-sous-les-roues-d-un-camion-ia0b0n225208

Froidfond (85). Elle tue son mari de plusieurs coups d'arme blanche

Un homme de 32 ans a été tué par sa femme de 43 ans, dans la nuit de lundi à mardi, à Froidfond, près de Challans en Vendée.
Entre 23 h et minuit, une dispute sur fond d’alcool a dégénéré au domicile du couple. La femme a porté plusieurs coups de couteau à son mari, qui est décédé suite à ses blessures. Un ami du couple se trouvait sur place au moment du drame.
Mariés depuis trois semaines
Une autopsie et des auditions sont en cours ce mardi. L’enquête devra notamment déterminer si la femme a porté les coups volontairement, ou s’il s’agit de légitime défense.
Le couple était connu des services de police pour des problèmes de violence conjugale. Les conjoints étaient mariés depuis seulement trois semaines.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Froidfond-85-.-Elle-tue-son-mari-de-plusieurs-coups-de-couteau_39382-2243966_actu.Htm

Aveyron : disparue depuis un an, Soeur Lydwine retrouvée morte dans la forêt

Il aura fallu près d’un an pour retrouver la dépouille de Soeur Lydwine, religieuse de l’abbaye de Bonneval, disparue le 8 novembre 2012, alors qu’elle était partie se promener avec un chien revenu sans elle à l'abbaye.
La macabre découverte du corps de la religieuse a été faite durant la matinée du mercredi 23 octobre par des chercheurs de champignons, qui arpentaient des bois pentus.
Les restes de son corps ont été retrouvés à deux kilomètres à vol d’oiseau de l’abbaye, sur un terrain accidenté. Les empreintes dentaires ainsi que des objets et vêtements ont permis de confirmer son identité, il s'agit bien de sœur Lydwine Roquette.
Disparue depuis un an
Au moment de sa disparition en novembre 2012, elle était âgée de 69 ans et souffrait de la maladie d'alzheimer. Elle était partie se promener dans les bois avec le petit chien qui était revenu tout seul à l'abbaye. Malgré les recherches et l'appel à témoins de la gendarmerie, soeur Lydwine Roquette n'avait pas été retrouvée.
Toute piste criminelle a été écartée par les services de la gendarmerie nationale.

http://www.midilibre.fr/2013/10/28/bonneval-la-depouille-de-la-religieuse-retrouvee-par-des-chercheurs-de-champignons-un-an-apres-sa-disparition,775535.php

lundi 28 octobre 2013

Tempête : un corps de femme retrouvé

 
"Le corps d'une femme emportée par une lame (lors de la tempête Christian) a été retrouvé " indique la préfecture maritime de Belle-Ile-en-mer.

Plus tôt dans la journée, la préfécture maritime avait annoncé la disparition d'une femme âgée d'une cinquantaine d'années, emportée par une lame ce matin dans le sud-ouest de Belle-Ile (Morbihan)
 
 
 
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Belle-Ile : une femme emportée par une lame

Une femme âgée d'une cinquantaine d'années à été emportée par une lame lundi matin dans le sud-ouest de Belle-Ile, dans le Morbihan, alors que des forts vents liés à la tempête Christian soufflaient sur l'île bretonne, a-t-on indiqué auprès de la préfecture maritime. Selon la même source, des témoins ont appelé le CROSS (centre de surveillance maritime) qui a déclenché les secours, mettant en oeuvre un zodiac des pompiers, un bateau de la SNSM (secours en mer) et un hélicoptère de la sécurité civile.

 http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Belle-Ile-une-femme-emportee-par-une-lame-636019

Gravelines: l’autopsie confirme la noyade de Renaud Dubois

Au lendemain de la marche blanche organisée dimanche au départ de la discothèque l’Inox, l’autopsie effectuée vendredi 25 octobre, à l’institut médico-légal de Lille, a confirmé la thèse de la noyade de Renaud Dubois.
Aucune trace d’intervention extérieure d’un tiers n’a été établie, a par ailleurs indiqué une source policière. Le jeune homme avait été retrouvé, mercredi 23 octobre, par un agent du port départemental. au niveau de l’écluse 63 bis quai Vauban. Il avait disparu dans la nuit du samedi 12 octobre, à la sortie de l’Inox.
L’enquête se poursuit afin de déterminer les circonstances exactes des faits. Une expertise toxicologique a par ailleurs été demandée.

http://www.lavoixdunord.fr/region/gravelines-l-autopsie-confirme-la-noyade-de-renaud-dubois-ia17b47595n1652953

Charente : un jeune homme se suicide, ses deux amis meurent sur la route

Cela aurait sans doute dû être une soirée de fête, elle s’est transformée en drame. Dans la nuit de samedi à dimanche, trois jeunes Charentais ont perdu la vie.
Tout serait, semble-t-il, parti d’une dispute dans une boîte de nuit. Un jeune homme de 26 ans, domicilié à Vouzan, a quitté les lieux en déclarant qu’il allait mettre fin à ses jours. Sans doute surpris puis inquiétés par ces paroles, deux autres jeunes, son cousin, âgé de 17 ans et domicilié à Sers, et un copain de 22 ans, originaire lui aussi de Vouzan, sont montés à bord d’une Renault Mégane avec l’intention de le rattraper et d’éviter ce geste fatal.
Les deux jeunes gens ne sont jamais arrivés à destination. Il était un peu plus de 5 heures quand, dans le village de Pontsec, dépendant de la commune de Saint-Germain-de-Montbron, le conducteur de 22 ans a perdu le contrôle de son véhicule à la sortie d’une courbe. La voiture est venue percuter un poteau électrique autour duquel elle s’est littéralement enroulée. Les deux occupants ont été tués dans le choc d’une extrême violence.
« Ils devaient tout de même aller très vite. On ne plie pas un poteau en béton comme cela. J’en ai vu, des accidents, mais des comme celui-ci… » confiait hier, encore choquée, Monique Frodeau, maire de Saint-Germain-de-Montbron, appelée sur place.
« Aujourd’hui, ce sont trois familles qui sont en deuil », se désolait encore l’élue. Car à l’heure de l’accident, à quelques kilomètres de là, le jeune homme qui avait annoncé son intention de mettre fin à ses jours mettait ses menaces à exécution. Il s’est suicidé avec un fusil de chasse en rentrant chez lui.

 http://www.sudouest.fr/2013/10/28/trois-jeunes-charentais-decedent-1212360-1125.php

Tempête en Grande-Bretagne : un garçon de 14 ans porté disparu

Le Royaume-Uni affrontait tôt lundi matin sa pire tempête depuis dix ans, avec des vents de plus de 130 km/h et de possibles inondations. Un jeune garçon était porté disparu dans le sud du pays.
C'est sa pire tempête depuis 10 ans. Le Royaume-Uni est touché par des vents de plus de 130 km/h et de possibles inondations. Cette tempête a déjà fait une victime : un jeune garçon de 14 ans porté disparu après avoir été emporté par les flots alors qu'il se trouvait sur une plage du Sussex, sur la côte sud de l'Angleterre.
L'organisme de prévisions météorologiques Met Office a prévenu que les vents violents risquaient d'entraîner des chutes d'arbres, des dégâts sur les bâtiments, des coupures d'électricité et des perturbations dans les transports. De fortes pluies (20-40 mm) avaient commencé à s'abattre dimanche soir sur le pays et devaient durer de six à neuf heures, risquant de causer des inondations localisées. Ces précipitations s'accompagneront lundi de rafales entre 100 et 130 km/h sur le sud de l'Angleterre et le Pays de Galles, voire plus en certains endroits.
Perturbations de l'Eurostar 
Le Met Office a émis une alerte orange (avant-dernier niveau) pour le sud du pays, appelant la population à reporter ses déplacements dans la matinée pour éviter le gros de la tourmente. Plusieurs compagnies de transports ferroviaires de Londres ont prévenu dimanche soir qu'elles suspendaient leurs services jusqu'à 9 heures locales et GMT. Les aéroports autour de la capitale ont annoncé des perturbations du trafic et celui de Londres-Heathrow a prévu une trentaine d'annulations de vols.
Le train Eurostar ne devait pas circuler sous la Manche dans la nuit de dimanche à lundi jusqu'aux environs de 7 heures, et de gros retards ont été enregistrés dans la journée de dimanche. Plusieurs compagnies de ferries ont, de leur côté, annulé plusieurs traversées sur la Manche et vers l'Irlande.
L'alerte météo a fait surgir des craintes d'assister à une répétition de la "Grande Tempête" d'octobre 1987, qui avait fait 18 morts côté britannique et quatre côté français. Le "Great Storm" de 1987, pire tempête qu'ait connu le Royaume-Uni depuis 1703, avait entraîné la chute de quelque 15 millions d'arbres et d'importants dégâts. "L'épisode prendra fin lundi en début de matinée sur la Bretagne et en milieu de journée sur le Nord-Pas-de-Calais", a précisé Météo-France. 

 http://lci.tf1.fr/monde/europe/tempete-eb-grande-bretagne-un-garcon-de-14-ans-porte-disparu-8299775.html

dimanche 27 octobre 2013

Biscarrosse (40) : Accident mortel sur la route de la plage

Une collision déplorée quelques minutes avant 17 heures, ce dimanche, à Biscarrosse, a entraîné la mort d'un jeune homme d'une vingtaine d'années. D'après les tous premiers éléments, selon des circonstances indéterminées son deux-roues a percuté une voiture sur la route de la Plage (D146), à proximité du centre de secours de pompiers.
Les pompiers sont arrivés très vite mais ils n'ont pas pu sauver la victime. Deux autres personnes ont été blessées.

http://www.sudouest.fr/2013/10/27/biscarrosse-40-accident-mortel-sur-la-route-de-la-plage-1212230-3307.php

Courbevoie : un enfant de 4 ans décède écrasé par un portail

Un enfant de 4 ans est décédé, ce samedi 26 octobre vers 22 heures, après avoir été admis, quelques instants plus tôt, à l’hôpital de Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine). Selon les premières déclarations des parents de la petite victime, cette dernière aurait tenté d’escalader le portail d’entrée de la maison familiale à Courbevoie.


«Le portail vétuste, selon les dires des parents, aurait alors chuté sur l’enfant, lui occasionnant de très graves blessures, révèle une source proche de l’affaire. Une a été ouverte par le parquet de Nanterre pour déterminer les circonstances précises de ce drame». 


 http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine-92/courbevoie-un-enfant-de-4-ans-decede-ecrase-par-un-portail-27-10-2013-3263269.php

Drame familial près de Dieppe : un homme retrouvé mort, sa femme dans un état critique

Gueures (Seine-maritime) - Un drame est survenu ce dimanche au petit matin, à Gueures, une commune de 526 âmes située dans le canton de Bacqueville-en-Caux, près de Dieppe. Un homme d’une cinquantaine d’années a été retrouvé pendu dans son garage ; son épouse, du même âge, a été évacuée en urgences vers le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen dans un état critique. Selon nos informations, il s’agit d’un drame familial. D’après les premiers éléments recueillis par les gendarmes, Jérôme Laiguillon aurait violemment frappé sa femme, Claudine, avant de se donner la mort.

Il poursuit sa femme dans le jardin

Les faits sont survenus en fin de nuit. « Pour une raison encore indéterminée, une dispute a éclaté au sein du couple. Monsieur aurait commencé à battre sa femme dans la maison. Elle s’est échappée à l’extérieur, mais il l’a poursuivie dans le jardin. Il l’aurait alors frappée avec un objet contondant sur la tête », confie une source judiciaire. L’une des deux filles du couple s’est précipitée chez un voisin pour le prévenir. Celui-ci serait alors intervenu pour séparer les deux époux. « Alors que le voisin s’occupait de la femme, grièvement blessée, le mari, lui, s’est enfui et s’est rendu dans le garage où il s’est pendu », précise cette même source. Lorsque les secours se sont présentés dans cette belle demeure normande entourée de 3 000 m2 de terrain, Jérôme Laiguillon était mort, sa femme Claudine gisait dans le sang. L’épouse a été prise en charge par les sapeurs-pompiers et une équipe médicale du Samu-Smur, et évacuée par voie terrestre vers le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen. La victime, employée dans un magasin d’outillage à Dieppe, est dans un état critique. Elle souffre de graves contusions à la tête et au visage. Les deux filles du couple, âgées de 15 et 21 ans, ont été transportées à l’hôpital de Dieppe. « Elles ont essuyé quelques coups et sont surtout très choquées par ce qui s’est passé », indique une source proche de l’enquête.


« Des voisins sans problème »

Dans le voisinage, la présence des gendarmes suscite beaucoup d’émoi et d’interrogations. « C’est terrible, je n’en reviens pas. M. et Mme Laiguillon sont des voisins sans problème. Très discrets, effacés même. Ils habitent ici depuis une vingtaine d’années et n’ont jamais fait parler d’eux », déclare l’un des riverains. Un autre voisin affirme que « depuis plusieurs mois M. Laiguillon semblait un peu déprimé. Il n’était plus comme avant, mais je ne sais pas pourquoi. Toutefois, rien ne laissait présager un tel drame ». Une autre habitante de la ruelle de l’usine précise que Jérôme Laiguillon, salarié dans une entreprise implantée au Marché d’intérêt national (MIN) de Rouen, ne travaillait plus depuis quelques mois. « Il était en arrêt suite à des problèmes de dépression et d’alcool, confie-t-elle. Je suis sous le choc. C’est quelqu’un qui n’était pas méchant. Les fois où je suis allée chez eux, il apparaissait très aimant avec ses filles et sa femme. Pour moi, c’est l’incompréhension. Il y a quelques jours, je l’ai encore vu sur son tracteur, il tondait sa pelouse… Aujourd’hui, cette famille vit un drame. »


La cellule d’indentification criminelle sur place

Un drame sur lequel les gendarmes enquêtent désormais depuis quelques heures. Les militaires de la compagnie de Dieppe et les experts de la cellule d’identification criminelle (CIC) de Rouen sont toujours sur les lieux. Ils procèdent actuellement à de nombreux prélèvements pour tenter de comprendre, et déterminer avec minutie le déroulement des faits. Un magistrat du parquet de Dieppe est aussi présent sur place pour contrôler les investigations.


 http://www.paris-normandie.fr/actualites/faits-divers

Entraigues : une femme grièvement blessée par un taureau

Antonia, 38 ans, a été admise hier matin, au centre hospitalier Henri-Duffaut d'Avignon, après avoir été grièvement blessée par un taureau.
Hier matin, chemin du Plan à Entraigues, dans un champ situé à proximité du Moto-Cross, cette dame qui s'apprêtait à distribuer du pain aux animaux a été chargée par un taureau destiné à la reproduction. "D'ordinaire, c'est son mari qui vient s'occuper du troupeau de vaches et de taureaux, explique un voisin. Mais ce matin -hier, Ndlr-, il ne pouvait pas venir alors c'est elle qui est venue".
Malheureusement, dans le courant de la nuit, la batterie qui servait à alimenter la clôture électrique de l'enclos a été dérobée et lorsqu'Antonia est arrivée, trois bêtes en étaient sorties.
C'est à cet instant vers 9 h 30 qu'elle s'est retrouvée nez à nez avec le taureau qui a foncé sur elle. Sonnée, elle n'a, fort heureusement, pas été encornée par l'animal ni piétinée. En revanche, la puissante charge de la bête l'a fait basculer au sol et lui a causé plusieurs blessures.
Consciente, elle a été médicalisée sur place par le médecin du Samu et les sapeurs-pompiers avant d'être hospitalisée.
Depuis plusieurs semaines, le troupeau de bêtes, composé essentiellement des vaches laitières, et appartenant à un éleveur de Montfavet, est parqué dans ce champ.

 http://www.laprovence.com/article/actualites/2596184/entraigues-une-femme-grievement-blessee-par-un-taureau.html

Bébé déshydraté dans un coffre : "Il allait s'étouffer quand je l'ai trouvé"

Le bébé a été retrouvé conscient mais déshydraté, sale, fiévreux et nécessitant des soins rapides. Les parents ont vu leur garde à vue prolongée samedi.
Une fillette d'un an, retrouvée déshydratée vendredi après-midi dans le coffre de la voiture de sa mère à Terrasson, enDordogne, a été hospitalisée et sa mère placée en garde à vue.
L'enfant a été découverte nue dans un couffin, dans le coffre du véhicule que sa mère avait laissé dans un garage, par les employés du garage qui ont ouvert le coffre après avoir entendu comme des gémissements. "J'ai senti que le bébémanquait d'air, qu'il allait s'étouffer", a racontré le garagiste qui l'a trouvé.
La fillette ne portait pas de trace de violences, était consciente mais déshydratée, sale, apparemment fiévreuse, et nécessitait des soins rapides, a-t-on précisé auprès au parquet de Périgueux, confirmant une information de France Bleu Périgord.
Il n'y aurait pas d'intention homicide
Les circonstances qui ont amené la mère à placer l'enfant dans le coffre n'ont pas été précisées, mais selon les premiers éléments, il n'y aurait pas d'intention homicide, et l'affaire relèverait de l'absence de soins, a-t-on précisé de même source.
L'enfant a été hospitalisée à Brive-la-Gaillarde en Corrèze, et son pronostic vital n'est pas engagé. La gendarmerie de Sarlat est chargée de l'enquête. Les parents ont été placés en garde à vue vendredi. Le père d'une quarantaine d'années avait été interpellé, fortement alcoolisé, vendredi soir à son domicile de Brignac-la-Plaine en Corrèze, à la frontière avec la Dordogne, et placé en garde à vue, quelques heures après la mère, a indiqué le parquet de Brive à l'AFP.
Les gardes à vue ont été prolongées samedi, dans une affaire relevant a priori d'une absence  chronique de soins avec possible dissimulation d'enfant, a-t-on appris samedi de source judiciaire.

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/un-bebe-retrouve-deshydrate-dans-un-coffre-de-voiture-en-dordogne-8299367.html


samedi 26 octobre 2013

Orne: trois morts dans une collision

Une collision entre deux voitures ce matin a fait trois morts et un blessé grave dans l'Orne, a-t-on appris auprès des sapeurs-pompiers.

Les deux véhicules sont entrés en collision sur la route départementale RD923 vers 5h40 à Mâle, dans l'Orne, au lieu-dit Le Gibet. Trois personnes sont mortes, une autre a été gravement blessée.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/26/97001-20131026FILWWW00281-orne-trois-morts-dans-une-collision.php

Positif aux stupéfiants, il tue deux femmes sur la route

Deux piétons sont morts samedi en début d'après-midi après avoir été renversés par une voiture à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), selon les sapeurs-pompiers.

Deux femmes sont mortes samedi en début d'après-midi après avoir été renversées vers 14 heures par une Clio sur une grande artère de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), a t-on appris auprès de sources concordantes.
L'accident s'est déroulé avenue de Stalingrad, une deux fois deux voies, a précisé le porte-parole de la brigade de sapeurs-pompiers de Paris (BSPP), le lieutenant-colonel Frédéric Grosjean. Selon la préfecture de Seine-Saint-Denis, le conducteur, âgé de 21 ans, "a perdu le contrôle de son véhicule, traversé le terre-plein central et percuté les deux victimes, deux femmes".
Le conducteur positif aux stupéfiants
Les victimes, âgées de 50 à 60 ans, qui traversaient sur une zone protégée, sont décédées sur place une trentaine de minutes plus tard, a-t-on précisé de source policière. "On ne sait pas si elles ont un lien de parenté", a ajouté cette source, précisant que leur identification était en cours.
Le conducteur de la Clio, dépisté positif aux stupéfiants et déjà connu des services de police pour des poblèmes de drogue, a été placé en garde à vue. Il n'a pas été blessé, a-t-on précisé de source policière.
 

Bagnères-de-Bigorre. Un enfant de 11 ans frôle la mort à la piscine

Jeudi soir, à 18 h 30, un enfant de 11 ans a été évacué par hélicoptère sur l’hôpital de Pau, depuis la piscine de Bagnères. Il avait été extrait du grand bassin inerte et en arrêt cardiaque.
Le drame absolu a été évité d’extrême justesse à la piscine de Bagnères. Jules, un enfant de 11 ans, a failli mourir dans le grand bassin. Avec ses petits camarades du club des Dauphins, Jules participait à une séance d’entraînement de natation, prévue de 14 à 16 heures. Après la séance, les enfants ont un temps de repos et quelques jeux. Ensuite, les parents viennent les récupérer. C’est pendant ce temps de repos que Jules a aperçu l’une de ses petites copines jouer dans le grand bassin. Il va demander la permission à la MNS (Maître-nageuse sauveteuse) d‘aller jouer lui aussi en compagnie de sa camarade. La MNS accorde sa permission et les deux enfants jouent ensemble, à divers jeux nautiques, dont de l’apnée, semble-t-il.

Enquête complète

Et c’est au cours d’un de ces jeux d’apnée que la petite fille se rend compte que son camarade reste trop longtemps sous l’eau. Elle alerte alors la MNS qui voit tout de suite que Jules ne bouge plus et qu’il est complètement inerte dans l’eau. Elle plonge aussitôt et ramène le petit garçon sur le bord du bassin. Il est alors en arrêt cardiaque.
Les pompiers et le Samu vont arriver très vite et les premiers soins de réanimation sont pratiqués : une piqûre d’adrénaline va permettre au cœur de Jules de repartir. L’enfant est alors évacué dans la foulée par hélicoptère sur le centre hospitalier de Pau, à 18 h 30, où il est actuellement en soins intensifs, mais toujours dans le coma : les médecins attendent trois jours avant de se prononcer.
Dès hier matin, le parquet de Tarbes a ouvert «une enquête complète, tant du côté de la gendarmerie que du côté médical, précisait le parquet. Il s’agit de savoir comment s’est déroulé précisément cet accident et comment il a pu survenir. Nous voulons savoir s’il y a eu négligence dans la surveillance ou si le petit garçon aurait pu être victime d’un malaise soudain. Nous ne négligerons rien.»
Au parquet, hier, on sentait une tension évidente face à ce qui aurait pu se terminer en cauchemar : «Quand un gamin de cet âge est dans l’eau, on ne le lâche pas des yeux une seconde. On ne va pas à la piscine à 8 ans, 9 ans ou 11 ans, pour y mourir…»
La petite phrase, entendue au détour d’un couloir au palais de justice, en dit long. L’enquête va prendre plusieurs jours et c’est au terme de cette enquête que le parquet décidera de la suite à donner.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/26/1739716-bagneres-bigorre-enfant-11-ans-frole-mort-piscine.html

Drame à Confolens : le pronostic vital de la femme toujours engagé

Opérée hier et toujours hospitalisée en soins intensifs à Poitiers, le pronostic vital de la jeune femme victime de son ancien compagnon, est toujours engagé.

Le patron d’un restaurant kebab à Confolens, "Le Diamante’K", a ouvert le feu hier midi sur sa compagne qui venait de lui annoncer qu’elle le quittait. Le drame s’est produit dans leur pavillon de Pressac, dans le Sud-Vienne. La victime a été hospitalisée dans un état grave. Quant à l’auteur, il s’est suicidé.
Ce drame de la rupture s’est noué à la mi-journée dans le quartier résidentiel des Grands-Chênes, dans une commune située à quelques kilomètres de la Charente, où vivait le couple.
Nazar Osman Youssef, 27 ans, d’origine irakienne, a tiré sur sa compagne, Coralie Fries, qui tentait de prendre la fuite dans la rue après lui avoir annoncé son intention de le quitter. La jeune femme, 27 ans également et originaire de Savigné dans le Civraisien, a été atteinte par six ou sept balles de revolver, notamment à l’abdomen.  Il a ensuite amis le feu à une voiture devant chez lui, les flammes se propageant à un autre véhicule.
 
Des problèmes de mésentente connus
 
Des voisins ont éloigné la jeune femme de l’incendie et l’ont maintenue consciente en attendant l’arrivée des secours. La victime, malgré son état, s’est inquiétée pour son petit chien qui s’était enfui mais qui a été retrouvé par la suite. Elle a été transportée par l’hélicoptère du Samu de Limoges au CHU de Poitiers dans un état grave, son pronostic vital étant engagé. Quant à l’auteur des coups de feu, il a retourné son arme contre lui, mettant fin à ses jours en se tirant une balle dans la gorge.
La jeune femme était employée à la Maison des mille et une couleurs, la résidence des handicapés mentaux vieillissants d’Abzac. Elle avait démissionné il y a une quinzaine de jours pour aller travailler à Civray. Un départ lié à la séparation programmée du couple, qui n’avait pas d’enfant.
À Pressac, où le couple habitait depuis trois ans, ces problèmes de mésentente étaient connus des voisins, même si personne ne pouvait imaginer le drame futur.
"On n’a jamais eu de problèmes relationnels avec eux", témoigne le maire, Roland Debiais.
À Confolens, c’est également la consternation. Le couple avait ouvert, il y a un an environ, un kebab au 8, rue du Maquis-Foch. Il s’était bien intégré dans le tissu local, même s’il ne résidait pas sur place. Le restaurant était très fréquenté et parfaitement tenu, selon des habitués. "C’était des gens très gentils. On tombe des nues", témoigne une voisine.

http://www.charentelibre.fr/faits-divers/

vendredi 25 octobre 2013

Un ouvrier meurt à la centrale de Chinon

Un ouvrier âgé de 46 ans est mort vendredi à la centrale nucléaire de Chinon, en Indre-et-Loire, lors d'un accident dans la partie non nucléaire de l'installation, a-t-on appris auprès d'EDF. L'homme, employé par Mediaco, un sous-traitant d'EDF, s'est retrouvé coincé contre le tambour d'enroulement d'un câble de grue, a expliqué un responsable de communication de la centrale, Bernard Bodier. L'accident s'est produit dans la tranche 3, actuellement en maintenance, de la centrale. La victime travaillait sur un ventilateur d'un aéroréfrigérant, ces cheminées géantes qui recrachent la vapeur produite par les centrales nucléaires. "L'accident n'a eu aucun impact sur le fonctionnement ni sur la sécurité de la centrale", a déclaré Bernard Bodier.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Un-ouvrier-meurt-a-la-centrale-de-Chinon-635598

Elle porte plainte contre un dermatologue après le suicide de son fils

Cette habitante de Lunéville a déposé plainte contre un dermatologue qui avait prescrit du Roaccutane, un traitement anti-acné, à son fils. Le médicament est soupçonné d'avoir entrainé d'autres suicides.

Son fils Jordan était "un jeune homme intelligent, très doué avec plein de projets d'avenir (...), souriant, aimant sortir avec sa bande d'amis". Mais l'été dernier,  son comportement a beaucoup changé: "Il ne dormait plus la nuit, s'enfermait des heures dans sa chambre, souffrait de douleurs musculaires très fortes dans le dos et de sécheresse des muqueuses" raconte la maman du jeune homme de 22 ans. 
Jordan a mis fin à ses jours en juillet. Il s'est pendu dans sa chambre. Depuis, sa mère est persuadée que la mort de son enfant résulte d'un traitement anti-acnéique : le Roaccutane. Pour connaitre la vérité et exiger réparation, cette habitante de Lunéville (Meurthe-et-Moselle) a porté plainte contre la dermatologue de son fils. 

"C'est une faute professionnelle grave ayant entraîné le décès de mon fils Jordan". La dermatologue "a fait un suivi uniquement par prise de sang, elle n'a pas jugé bon d'orienter mon fils vers un psychologue (...) et se contentait de lui prescrire un renouvellement du traitement", a déclaré à l'AFP cette mère de famille ayant tenu à garder l'anonymat. Cet étudiant en fac de lettres avait suivi de janvier à juin une cure sévère de Curacné, un générique du Roaccutane.
Ce médicament vaut déjà à son inventeur, le groupe pharmaceutique suisse Roche, ainsi qu'aux fabricants de ses génériques, les laboratoires Fabre et Expanscience, une série de plaintes après plusieurs suicides de patients. 
"Une soixantaine de suicides en France et en Suisse"
"Il a caché à tout le monde sa souffrance morale, jusqu'au geste fatal", selon sa mère. Elle est persuadée que "pour faire un geste pareil il ne faut plus être soi-même, c'est ce médicament qui a atteint le cerveau".  Elle s'est rapprochée de Daniel Voidey, président de l'association française des victimes du Roaccutane et génériques (AVRG), qui a engagé des actions en justice contre Roche, Fabre et Expanscience, après le suicide de son fils Alexandre dans des circonstances similaires en 2007.

"Nous avons comptabilisé une soixantaine de suicides en France et en Suisse liés à la prise de ces traitements et nous avons reçu environ 1.800 témoignages" sur leurs nombreux effets indésirables, a-t-il déclaré vendredi à l'AFP. Devant la polémique une étude avait été lancée en 2011 sur 1.000 patients pour analyser les effets collatéraux du Roaccutane et ses génériques. Les résultats sont attendus en fin d'année, a ajouté David Voydet.
 

Collision mortelle sur l'axe Châlons-Troyes

NUISEMENT-SUR-COOLE (51). Un accident de la circulation a fait un mort ce vendredi matin peu avant 7 heures à hauteur de Nuisement-sur-Coole sur la RD 977 (axe Châlons-en-Champagne/Troyes).
Selon les premiers éléments de l'enquête, une voiture aurait percuté un camion qui circulait devant elle. Le véhicule aurait été projeté sur la voie opposée et serait entré en collision avec un autre poids lourd. Le choc a été très violent.
La victime, âgée de 37 ans, est un militaire du 1er Rama de Châlons-en-Champagne.
De nombreux moyens ont été dépêchés sur place. Sur cette route très fréquentée, un bouchon de 1,3 km a été constaté vers 7 h 30. Une déviation a été mise en place pour les véhicules légers, mais les poids lourds sont restés bloqués.
La circulation, dans les deux sens, a repris normalement vers 10 heures.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/collision-mortelle-sur-l-axe-chalons-troyes-ia0b0n238024

Suicide d'un gardien de la paix: Son épouse évoque des «quotas de chiffres»

L'homme a mis fin à ses jours mercredi dans sa tenue et avec son arme de service...
L'épouse d'un gardien de la paix de la police aux frontières (PAF) de l'aéroport de Roissy, qui s'est suicidé mercredi, a évoqué vendredi un «quota de chiffres» qui était demandé au policier, ce qu'a proscrit l'Intérieur. Sur I-télé, l'épouse du policier a déclaré qu'il «y avait une pression» sur son mari et, dans sa brigade, «des réunions tous les mois par rapport à un quota de chiffres».
Enquête ouverte sur les causes du suicide
«La brigade (du gardien de la paix) avait été réprimandée fin août car l'objectif n'avait pas été atteint», a-t-elle ajouté. Dès son arrivée au ministère de l'Intérieur Manuel Valls avait déclaré vouloir mettre fin à la «politique du chiffre» insufflée dans la police et la gendarmerie, selon lui, sous les précédents gouvernements de droite. Il a réitéré cet engagement à plusieurs reprises depuis. La gardien de la paix a mis fin à ses jours mercredi chez lui dans le Val-d'Oise, à l'aide de son arme de service, a-t-on appris de sources concordantes jeudi. Une enquête sur les causes de ce suicide a été ouverte, selon une source policière.

En tenue et avec son arme de service

L'épouse du policier avait évoqué une «souffrance au travail», selon une source proche du dossier. «Seule l'enquête pourra déterminer les raisons de son geste», a précisé la source policière. Une autre source proche du dossier a évoqué jeudi une «fragilité» liée «à des problèmes personnels et d'ordre privé», sans fournir d'autres détails. Selon son épouse, le policier était en poste à la PAF de l'aéroport de Roissy depuis septembre 2010. Il s'est suicidé «dans sa tenue de policier» ce qui lui a paru, a-t-elle ajouté sur I-télé, «super symbolique».

http://www.20minutes.fr/societe/1241661-20131025-suicide-gardien-paix-epouse-evoque-quotas-chiffres

Affaire du bébé secoué en Charente: un drame né du manque

Elle est là, à la barre. Aux assises de la Charente hier. Le regard perdu et les lèvres retroussées. Comme si elle ne voulait rien dire, rien lâcher. Elle s’appelle Estelle, elle a 22 ans et se perd dans toute cette tragédie. En face d’elle, il y a Nicolas, 29 ans. Nicolas Berger, accusé par la justice d’avoir causé la mort, sans intention de la donner, de Pauline, leur fille de 6 mois, un soir de déprime et de désoeuvrement, la veille du réveillon de la Saint-Sylvestre 2010.
Il risque trente ans de prison, ce garçon d’Anville qui comparaît libre, plus de trois ans après avoir reconnu les faits. Ce drame, conséquence involontaire et malheureuse d’une dispute au sein d’un couple jugé "immature et insouciant" par les services sociaux.

30 décembre 2009. Dans leur logement cognaçais totalement désordonné où ils passent le plus clair de leur temps à consommer du shit, jouer à la console et "s’occuper des enfants" - Pauline, mais aussi son frère d’un an et demi -, Estelle et Nicolas Berger se déchirent. Ils sont en manque. Plus rien à fumer, "depuis quelques jours" précise l’accusé. Alors il remet en cause sa participation au réveillon à Saint-Cybardeaux, chez le frère de sa compagne. Elle lui laisse Pauline, "pour ne pas qu’il soit tout seul", dit-elle. Mais Nicolas est mal, très mal. Il a "une barrette de shit dans la tête, ne pense plus qu’à ça", comme il le redit à la cour. C’est sa priorité.
Il débarque chez son dealer, dans un squat cognaçais, avec la fillette. Le lendemain, l’enfant et lui sont assoupis sur le canapé au domicile familial, rue du Pont-Faumet. Soudain, elle tombe, elle pleure. Ça le réveille, il ne supporte pas. Il la secoue pour la faire taire, avoue plus tard aux enquêteurs qu’il la "gifle" aussi. "Je ne sais pas ce qui m’a pris, je n’ai pas senti ma force. J’étais sous l’emprise du cannabis."
Il appelle son dealer plutôt que les secours
Pauline a des convulsions, les yeux retournés. Il tarde à appeler les secours. Passe d’abord quatre nouveaux appels à son fournisseur. Le manque, toujours le manque. La santé de l’enfant commence tout de même à l’inquiéter. Il appelle sa compagne qui ne peut rentrer de suite. Sitôt arrivée, elle comprend et donne l’alerte. Il est déjà trop tard. Conduite à l’hôpital de Cognac puis de Poitiers, Pauline ne survit pas. Elle décède le 2 janvier. Syndrome du bébé secoué, concluent les médecins. La justice est saisie.
Nicolas Berger, c’est l’histoire d’un "enfant enjoué et serviable" qui a mal tourné à l’adolescence. Sa dépendance au cannabis ruine sa vie depuis qu’il a plongé, à l’âge de 15 ans, "pour faire comme les grands". Il plaque l’école à 16 ans, entame un apprentissage de maçon. Le parcours est chaotique, inconstant, parasité par son caractère devenu "nerveux et impulsif", mais il décroche son CAP au CFA de Chasseneuil.
Il intègre le 515e régiment du train en 2003. Insubordination et instabilité mettent fin prématurément à sa carrière. Il galère de petit boulot en petit boulot, a de mauvaises fréquentations et rencontre, en 2007, Estelle, 14 ans, qui "le trouve mignon". Et qui l’aime toujours. Elle ne veut pas croire qu’il "soit responsable" de la mort de leur enfant. "Il y avait eu un autre événement, à Noël. Son frère lui était tombé dessus pendant que je la changeais. Il y a eu un bruit bizarre, elle n’était pas bien le lendemain. Nous aurions dû l’emmener à l’hôpital, c’est peut-être là qu’il y a eu un problème", excuse-t-elle.
"Mais Nicolas, lui, n’a jamais contesté sa responsabilité, lui oppose la présidente, Katell Couhé. N’avez-vous pas l’impression de vous voiler la face?"
Les experts balaient la thèse désespérée de la jeune femme. "Délais trop longs", "argument classique dans des cas de bébé secoué", affirment-ils sans détour. Estelle doit faire avec cette réalité. Tout comme elle devra composer avec celles d’aujourd’hui, deuxième et dernier jour du procès d’un drame social

http://www.charentelibre.fr/charente/pays-de-cognac/

jeudi 24 octobre 2013

Il tire sur sa femme et se donne la mort

Un Irakien de 26 ans a tiré à plusieurs reprises jeudi à Pressac dans la Vienne sur sa compagne, une Française de 27 ans dont il vivait séparé depuis environ un mois, la blessant grièvement, avant de se donner la mort, a-t-on appris de source judiciaire. Le drame s'est noué dans cette petite commune du sud de la Vienne vers 13h15, devant l'ancien domicile du couple, en instance de séparation, où la jeune femme vivait seule depuis environ un mois, a indiqué cette même source, confirmant une information de Centre-Presse.
L'homme, qui vivait depuis dans la région de Limoges, s'est présenté avec un pistolet automatique de calibre 9 mm, a mis le feu à une voiture garée devant la maison, puis a tiré à plusieurs reprises sur la jeune femme qui tentait de prendre la fuite. Touchée à deux reprises au torse et trois fois au niveau du ventre, elle a été transportée à l'hôpital de Poitiers dans un état grave, a-t-on ajouté. Plusieurs impacts ont également été retrouvés sur la voiture de la jeune femme, stationnée dans la rue. Toujours devant la maison, l'homme a ensuite mis fin à ses jours en se tirant une balle dans la gorge, a-t-on précisé. Selon les premiers éléments, il ne disposait pas de permis de port d'arme. A priori, le couple, co-gérant d'une sandwicherie à Confolens (Charente), ne semblait pas avoir d'enfants, a-t-on indiqué.
 

Accident mortel près de Nanteuil-le-Haudouin

Une terrible collision s’est produite ce midi entre deux véhicules sur la D 922 entre Nanteuil-le-Haudouin et Betz. Une voiture qui venait de Boissy-Fresnoy a refusé la priorité à la voiture qui roulait sur la D 922 en direction de Nanteuil-le-Haudouin et a été percuté de plein fouet. Un homme est décédé, tandis que son passager a été grièvement blessé et transporté à l’hôpital Beaujon à .
 
La circulation a été perturbée durant l’intervention des secours. L’enquête a été confiée à la brigade de gendarmerie de Nanteuil-le-Haudouin.

http://www.leparisien.fr/oise-60

Drame de la solitude à Bordeaux : "Elle ne tenait pas à faire connaissance"

Qui était la dame du 90 de la rue de Marseille ? Pour beaucoup de riverains, une silhouette, à peine. Les habitants de la rue décrivent une femme qui se tenait toujours droite, sortait invariablement, chaque matin, peu après 8 heures, pour aller faire ses courses barrière Judaïque. Avec son cabas, ses lunettes noires, son chapeau. Son allure et son mystère. "Je l’ai croisée presque tous les matins depuis vingt-cinq ans. Un jour, j’ai essayé d’entamer la conversation en lui parlant de mon chien, que je promenais, elle n’a pas donné suite", explique Pascal Marchesson, qui travaille dans la rue.
Cette femme de 95 ans a été retrouvée morte mardi matin par les pompiers, à son domicile, une échoppe de la rue de Marseille. Le corps était dans un état de décomposition avancé, la mort remonte à plusieurs semaines (1). C’est son voisin immédiat, kinésithérapeute, qui a donné l’alerte. "Nous ne l’avions pas aperçue depuis longtemps, on s’inquiétait. Lundi soir, tard, j’ai vu qu’il n’y avait pas de lumière, que les volets étaient ouverts, j’ai sonné, il n’y a pas eu de réponse. Tôt mardi matin, nous avons appelé la police."

http://www.sudouest.fr/2013/10/24/mort-d-une-invisible-1208907-2780.php

Une fillette tuée par un camion

La promenade à vélo s’est terminée tragiquement, hier à 17 heures, pour une écolière de huit ans domiciliée à Pontfaverger, commune du nord rémois limitrophe des Ardennes. D’après les premiers éléments de l’enquête, la fillette descendait la rue de la République sur le trottoir, avec deux cousines, lorsqu’elle est tombée sur la chaussée au moment où un camion-benne arrivait face à elle.
La rue est très étroite, en sens interdit, sans possibilité de dégagement. Surpris par la chute de l’enfant, le chauffeur n’a pu l’éviter. Une parente se trouvait à proximité. Elle a prévenu les secours mais à l’arrivée des pompiers de Reims et Warmeriville, rejoints par une équipe du Samu, il n’y avait hélas plus rien à faire pour la petite victime.
En état de choc, ses parents ont été évacués au centre hospitalier, de même que le chauffeur de la benne, effondré. Salarié d’un transporteur rémois, il rentrait à vide, sa journée de travail terminée. Le dépistage d’alcoolémie s’est révélé négatif.

Une déviation jamais terminée

Chargés de l’enquête, les gendarmes de la communauté de brigades de Witry-lès-Reims ignorent pour quelle raison la fillette est tombée du trottoir. A-t-elle pris peur en voyant le camion ? Ses deux camarades seront interrogées aujourd’hui par une unité spécialisée dans l’audition des enfants.
La vitesse du camion reste à déterminer, mais l’étroitesse du passage ne permet pas une allure élevée. Malgré sa configuration, la rue de la République est pourtant très fréquentée par les poids lourds qui empruntent cette traversée du village pour rejoindre la route de Reims ou la RD20 en direction de l’A34 et du pôle agro-industriel de Bazancourt. La traversée principale passe plus haut, sauf que « les camions évitent de la prendre car ils doivent ensuite respecter un cédez-le passage  », constate le maire de Pontfaverger, Francis Rannou.
La commune est habituée à vivre avec ce trafic incessant, surtout pendant la campagne betteravière. Aucun projet de déviation n’est abouti. Les terrassements d’une contournante ont pourtant été réalisés, deux ponts construits. Il n’y avait plus que le bitume à poser mais c’était en 1939. La guerre a éclaté, la déviation n’a jamais été terminée. Elle sert aujourd’hui de desserte agricole.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/une-fillette-tuee-par-un-camion-ia0b0n237215

Suicide de Kristina Rady : la lettre qui accable Bertrand Cantat

Alors qu’il revient sur le devant de la scène dix ans après le drame de Vilnius, Bertrand Cantat est une nouvelle fois inquiété pour des violences qui auraient entrainé le suicide de son ex-épouse, Kristina Rady. François Saubadu, dernier compagnon de la jeune femme avant son suicide, a transmis à la justice plusieurs documents, dont une lettre écrite par Czilla Rady, la mère de la Kristina, et qui pointe du doigt les menaces et la violence de l’ex-leader de Noir Désir.
« François, il m’est difficile de commencer à écrire. J’ai l’habitude d’écrire, mais seulement de mes rêves, des sentiments qui me pèsent, qui viennent sans commande depuis que Bertrand a embêté Cini (surnom donné par ses proches à Kristina Rady) ». C’est ainsi que Czilla Rady début sa lettre (révélée ce jeudi par VSD) envoyée le 4 janvier 2011 au dernier compagnon de Kristina, qui s’est donné la mort un an plus tôt.

"Il menaçait de la tuer"

Cette mère désespérée joint à son envoi le fameux enregistrement téléphonique dans lequel Kristina Rady évoque des violences à la fois physiques et psychologiques de la part de Bertrand Cantat, devenu incontrôlable. Czilla Rady explique à François Saubadu : « Je t’envoie ça maintenant (…). Une menace de vie. Une plainte, c’était une demande de secours. (…) Il essayait de faire du chantage émotionnel et par les enfants ! Il la menaçait ! La menaçait de la tuer ! »
Les documents reçus par François Saubadu sont les éléments qui ont conduit le parquet de Bordeaux à rouvrir l’enquête sur le suicide de Kristina Rady, le 10 janvier 2010 à Bordeaux. Me Yael Mellul, qui a engagé une procédue au coté de l’ex-compagnon de la victime, estime que les confidences de Kristina Rady avant son suicide sont la preuve de « violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner », de la part de Bertrand Cantat.

http://www.ladepeche.fr/article/2013/10/24/1738390-suicide-de-kristina-rady-la-lettre-qui-accable-bertrand-cantat.html

Libournais : un apprenti agricole entre la vie et la mort

L'accident s'est produit, ce mercredi en début d'après-midi. Un jeune apprenti agricole de 19 ans, habitant Salles-de-Castillon et employé par une entreprise de Belvès-de-Castillon, est très grièvement blessé aux deux jambes après avoir été happé par une herse rotative.
Le jeune homme conduisait un tracteur muni au lieu-dit "la Chapelle", sur la commune de Saint-Philippe d'Aiguille lorsque son instrument agricole s'est embourbé. En voulant le dégager, il a été happé et touché très violemment jusqu'en dessous du bassin. Il a perdu connaissance.

Transporté dans un premier temps au centre hospitalier de Libourne, il devait être héliporté ce mercredi soir vers le Tripode, à Bordeaux.

http://www.sudouest.fr/2013/10/23/libournais-un-apprenti-agricole-happe-par-une-machine-entre-la-vie-et-la-mort-1208703-2966.php

mercredi 23 octobre 2013

Essonne:un homme percuté par un TGV

Un jeune homme est mort aujourd'hui après avoir été percuté par un TGV près de Marcoussis, dans l'Essonne, entraînant de fortes perturbations sur le réseau du TGV atlantique, a-t-on appris auprès des secours et de la SNCF.

L'homme, âgé de 30 ans, a été happé vers 14H30 au niveau d'un tunnel par un train Rennes-Paris. Il est décédé sur le coup, ont indiqué les pompiers. Selon la SNCF, il aurait cisaillé un grillage pour accéder aux voies afin de se jeter sous le train. La rame, qui transportait environ 500 passagers, a été lourdement endommagée au moment de l'impact et se trouvait toujours immobilisé au niveau de la gare de Massy peu avant 19H00. "La circulation est en conséquence perturbée sur la ligne à grande vitesse atlantique depuis 14H30", a indiqué la SNCF sur son
site internet.

La circulation a repris vers 17H15 "à une fréquence limitée" car les trains circulaient en alternance sur une seule voie.
Les TGV en provenance ou à destination de l'Ouest et du Sud-Ouest empruntaient un autre itinéraire et subissaient des retards pouvant aller jusqu'à plusieurs heures, a précisé la SNCF


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/23/97001-20131023FILWWW00555-essonneun-homme-percute-par-un-tgv.php

Il se tue à contresens sur une voie rapide

Un automobiliste de 78 ans a trouvé la mort mercredi en Ariège en empruntant à contresens la voie rapide Pamiers-Foix où il a percuté successivement deux véhicules, a-t-on appris auprès des gendarmes. Le chauffeur du premier véhicule qu'il a percuté est sorti indemne de l'accident. Mais la conductrice du second véhicule accidenté a été légèrement blessée. Le septuagénaire a été désincarcéré de son véhicule et transféré dans un état grave au centre hospitalier du Val d'Ariège à Foix où il est décédé.

http://www.lejdd.fr/Societe/Faits-divers/Depeches/Il-se-tue-a-contresens-sur-une-voie-rapide-635305

Montpellier : elle tente de s’immoler par le feu avant de plonger dans une fontaine

Mardi soir, rue de l'Université, une jeune femme de 26 ans a tenté de s'immoler par le feu dans la cour de la faculté de droit. Elle a été hospitalisé pour des brûlures légères.
Mardi, vers 19 h 30, dans la cour de la faculté de droit, rue de l’Université, dans l’Écusson, une femme de 26 ans a tenté de s’immoler par le feu. Elle s’est aspergée de l’essence qu’elle détenait dans une petite bouteille, avant d’allumer son briquet et de s’enflammer.
Pour finalement aussitôt plonger dans une fontaine.


Cette personne ne souffre que de blessures superficielles, des brûlures légères au bras gauche et sur le torse. Secourue, elle a ensuite été évacuée vers le CHU par les sapeurs-pompiers.

http://www.midilibre.fr/2013/10/23/une-jeune-femme-tente-de-s-immoler-par-le-feu,773393.php

Frappé à mort à son domicile près de Besançon

Un homme de 63 ans a été découvert mort à son domicile, lundi près de Besançon, victime de multiples fractures aux côtes et aux membres inférieurs et supérieurs, a-t-on appris mardi de source judiciaire. D'après l'autopsie du corps pratiquée mardi à l'institut médico-légal de Besançon, le sexagénaire a succombé à un arrêt cardiaque, lundi entre cinq et sept heures du matin, résultant de multiples traumatismes et d'un important stress, a déclaré la vice-procureure de Besançon, Margaret Parietti.
L'agression a pu se produire dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-elle précisé. La victime a eu six côtes cassées, des fractures aux membres inférieurs et supérieurs, ainsi que de multiples hématomes et traumatismes. Le corps de cet homme sans histoires a été découvert par des proches lundi matin dans son appartement, situé dans un entrepôt sur la zone industrielle de Chaleuzeule, à cinq kilomètres de Besançon. La vice-procureure a annoncé qu'elle ouvrirait mercredi une information judiciaire pour "assassinat".
Le ou les auteurs du crime sont entrés par la cuisine en cassant une fenêtre double vitrage. La victime stockait dans son entrepôt des meubles et des ustensiles de cuisine destinés à la restauration, qu'il achetait dans des salles des ventes ou des lieux de liquidation pour les revendre ensuite. Au fond de ce local professionnel, équipé de nombreuses caméras que les enquêteurs de la gendarmerie s'efforcent d'exploiter, il avait installé son propre appartement, qui a été dévasté par son ou ses agresseurs.
 

mardi 22 octobre 2013

Forte explosion à la suite d'un accident...un mort

Un accident de la circulation, qui a fait au moins un mort, a provoqué une forte explosion dans une petite ville de Seine-et-Marne, où une canalisation de gaz a rompu et brûlé, formant une torchère d'une vingtaine de mètres de haut, selon les pompiers et la police.

L'accident, qui a eu lieu à Férolles-Attilly à une trentaine de kilomètres au sud-est de Paris, aurait fait au moins un mort, probablement le conducteur d'une moto, selon la police.

À 18h00, l'incendie était "toujours en cours, et les secours ne pouvaient pas s'approcher de la moto et du corps qui est dans le brasier", a-t-elle précisé. Une vingtaine de sapeurs-pompiers étaient sur place, attendant que l'opérateur du réseau,
GRDF, parvienne à couper l'alimentation en gaz pour que les flammes cessent d'elles-même. "On éteint absolument pas" ce type d'incendies, contre lesquels les lances à eau sont inutiles, ont précisé les pompiers.

Selon une source policière, il semblerait qu'une moto ait percuté un transformateur électrique, provoquant l'explosion d'une canalisation de gaz voisine. "Sous l'impact, la canalisation a explosé et provoqué une torchère d'environ 20 mètres de haut", a-t-elle précisé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/10/22/97001-20131022FILWWW00518-forte-explosion-a-la-suite-d-un-accident.php