lundi 31 mars 2014

Mort de Michel Dinet : l’hypothèse d’un malaise

« CELA FAIT TOUJOURS quelque chose d’aller sur un accident. Mais lorsqu’on connaît la victime, cela fiche vraiment un coup ». Jean-François Baltard. ne s’attendait pas à démarrer son mandat de maire d’Allamps comme ça. Elu officiellement à la tête de ce petit village du Toulois lors du conseil municipal de samedi après-midi, l’ex-premier adjoint a été réveillé en pleine nuit, à 0 h 37 précisément.
C’est son prédécesseur qui l’a tiré du lit. L’ancien maire qui figurait toujours sur les tablettes des secours, venait d’apprendre qu’un grave accident s’était produit sur le territoire de la commune. Il a immédiatement transmis l’information et les responsabilités de maire à son successeur.
François Baltard a filé le long de la départementale 4, là où un véhicule a percuté un arbre. Lorsqu’il est arrivé, de nombreux gradés de la gendarmerie étaient déjà sur place ainsi que le préfet. Car l’automobiliste victime de la sortie de route, n’était pas un conducteur ordinaire. Il s’agissait de Michel Dinet, le président du conseil général 54.
« C’était un voisin, c’était l’ancien maire de Vannes-le-Châtel, le village d’à côté, et le conseiller général du coin. C’était quelqu’un qui se battait pour son canton. J’avais des rapports amicaux avec lui », réagit le maire d’Allamps, tout en émotion retenue.
Après la stupeur et le choc de la nouvelle de la disparition d’une figure majeure de la vie politique de Meurthe-et-Moselle, vient le temps des questions. En particulier sur la cause de la sortie de route mortelle.
« Une enquête est en cours et il n’y a pour l’instant aucune certitude », indique la substitut du procureur de permanence. Et d’ajouter : « Même si nous faisons preuve d’une attention particulière en raison de la personnalité de la victime, nous suivons la procédure habituelle en matière d’accident mortel ».

Jamais de chauffeur le week-end

Chargés des investigations, les gendarmes de communauté de brigades de Toul ont donc procédé aux constatations d’usage sur les lieux de l’accident. Une expertise de la voiture de Michel Dinet, un Renault Scénic, pourrait avoir lieu dans les prochains jours pour essayer de reconstituer le scénario du drame et déterminer, en particulier, la vitesse à laquelle circulait le véhicule.
En revanche, il n’est pour l’instant pas question d’autopsie. La dépouille de l’élu n’a pas été conduite à l’Institut médico-légal de Nancy mais au funérarium de Toul. Auparavant, un examen externe du corps a eu lieu et des prélèvements sanguins ont été effectués. Des prélèvements dont les résultats seront connus dans les 48 heures. Actuellement, c’est l’hypothèse d’un malaise ou d’un assoupissement qui est privilégiée par les enquêteurs. Un coup de volant pour éviter un animal n’est pas, non plus, exclu.
Le président du conseil général n’utilisait jamais de chauffeur le week-end. Il conduisait lui-même. Il rentrait de chez ses parents habitant Neufchâteau dans les Vosges, lorsque l’accident s’est produit. Il avait passé la soirée avec eux et était presque arrivé chez lui à Vannes-le-Châtel. Son Renault Scénic s’est déporté, en pleine ligne droite, sur la gauche. Et il est allé percuter de plein fouet un arbre de l’autre côté de la chaussée. Un choc terrible. L’élu est mort sur le coup.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/03/31/mort-de-michel-dinet-l-hypothese-d-un-malaise

Blaye : un adolescent tombe des murs de la citadelle


Dimanche vers 16h15, un adolescent de douze ans demeurant à Blaye est tombé du haut des murs de la citadelle, dans une zone normalement interdite au public. Son pronostic vital est engagé. Il a été héliporté au Centre hospitalier universitaire Pellegrin de Bordeaux.
Selon les premiers éléments dont disposent les gendarmes il ne s'agirait pas d'une chute accidentelle mais d'un geste volontaire et désespéré, suite à une peine de cœœur.
Le jeune a en effet laissé un mot en ce sens. Des témoins qui ont donné l'alerte l'auraient vu se jeter dans le vide. 

http://www.sudouest.fr/2014/03/30/blaye-un-adolescent-tombe-des-murs-de-la-citadelle-1509167-3227.php

Un motard tarbais se tue à Monein

D'après nos confrères de la République des Pyrénées, un motard de 32 ans résidant à Tarbes a perdu le contrôle de sa moto ce samedi vers 15 heures à la sortie de Monein. La victime circulait au sein d'un groupe de motards de la région de Tarbes qui faisait une randonnée. Au début d'une courbe, le motard a violemment heurté l'amorce de la glissière de sécurité. Il a été éjecté et projeté contre le panneau de signalisation zébré bleu et blanc qui signale le virage. Malgré tous leurs efforts des secouristes, le motard est décédé des suites de ses blessures. Il était marié et père de deux enfants en bas âge.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/30/1851720-un-motard-tarbais-se-tue-a-monein.html

dimanche 30 mars 2014

Charente : le maire se suicide quelques heures avant sa prise de fonction

Il devait prendre ses fonctions dimanche 30 mars. Elu le dimanche précédent maire de Vibrac, village de Charente, Philippe Sauty s'est suicidé dans la nuit de samedi à dimanche, rapporte France 3 Poitou-Charentes
Il avait été largement élu dès le premier tour, en obtenant 75,14% des voix. Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme domicilié à Vibrac, village de 300 habitants, se serait donné la mort à l'aide d'un fusil de chasse. C'est son épouse, découvrant le corps à son réveil, qui a donné l'alerte. 
L'homme, un retraité de la SNCF âgé d'une cinquantaine d'années, était premier adjoint jusqu'au 23 mars, date du premier tour des municipales au cours duquel avait été élu un nouveau conseil. Les conseillers municipaux, convoqués à 10 heures, devaient procéder à l'élection du nouveau maire, précise à la gendarmerie. "Bon nombre de conseillers municipaux le voyaient prendre cette fonction", explique la même source. Selon une source proche du dossier, "il n'y aurait pas de lien entre l'élection et le décès".

http://www.francetvinfo.fr/elections/charente-le-maire-se-suicide-quelques-heures-avant-sa-prise-de-fonctions_564487.html

Malesherbes (45) : un couple de retraités retrouvé mort dans leur maison

Selon une information de la République du Centre, un homme de 75 ans et sa femme, 65 ans, ont été retrouvés mort vendredi 28 mars à 10h30. Ils ont été tués par arme à feu. C’est un membre de la famille qui a fait la macabre découverte. Les enquêteurs s’orientent vers un drame familial
Les enquêteurs n’ont relevé aucune trace d’effraction, ni de lutte. C’est donc l’hypothèse d’un drame familial qui est privilégiée. Le Parquet d’Orléans a ouvert une enquête.

Selon les voisins interrogés par nos confrères de la République du Centre, les volets de la maison du hameau de Trézan, commune de Malesherbes, étaient fermés depuis le début de la semaine. Mais rien d'inquiétant pour eux, pensant que les deux retraités étaient en vacances.

Ces mêmes témoins racontent également que le couple était sur le point de se séparer. La femme souhaitait visiblement retourner vivre dans la région de Tours, là où ses filles, nées d’un premier mariage étaient installées.

L’autopsie des victimes sera pratiquée en début de semaine prochaine à l’institut médico-légal de Tours.



http://centre.france3.fr/2014/03/29/malesherbes-45-un-couple-de-retraites-retrouve-mort-dans-leur-maison-445057.html

Accident mortel à Pars-les-Romilly

Un jeune homme de 22 ans a trouvé la mort ce dimanche matin à 6h00 sur la route D440, à la sortie de Pars-les-Romilly, direction Romilly-sur-Seine.
Il aurait raté un virage avant de s'enrouler contre un poteau EDF.
Une enquête déterminera les causes exactes de l'accident.


 http://www.lest-eclair.fr/faits-divers-justice

Une femme de 32 ans jugée pour le meurtre de son bébé

Aline Moléro, 32 ans, comparaîtra à partir de lundi devant la cour d'assises de la Loire pour avoir tué son bébé d'une douzaine de coups de couteau pour ne plus avoir de lien avec le père dont elle était séparée.

«Une grosse bêtise»

Le 14 février 2012, cette jeune mère au foyer de la région stéphanoise a elle-même prévenu de ce qu'elle venait de commettre. Elle s'est rendue chez des voisins, les vêtements ensanglantés, en disant avoir «fait une grosse bêtise».
L'un d'eux l'a accompagnée dans son pavillon de Roche-la-Molière (Loire), une ancienne ville minière de la région stéphanoise. Il a prodigué un massage cardiaque, en attendant l'arrivée des secours, mais il n'a pu ranimer Amélio qui a succombé en l'espace de quelques minutes à une hémorragie, selon les légistes.
Les médecins ont relevé treize plaies provoquées par des coups portés «avec violence» au thorax et à l'abdomen du nourrisson, à l'aide d'un couteau de cuisine retrouvé sur le lit où gisait le corps.
>> Retrouvez notre article Le phénomène de l'infanticide sous-évalué

«Je vous attendais, j'ai préparé mes affaires»

A leur arrivée, les policiers ont constaté le calme, la froideur et l'absence de regret d'Aline Moléro qui leur a déclaré : «Je vous attendais, j'ai préparé mes affaires».
«Je l'ai tué le jour de la Saint-Valentin», a ajouté la jeune femme, comme pour mieux souligner qu'à travers la jeune victime, c'était son père, avec qui elle était séparée depuis plusieurs mois, qui était visé.
Représenté par Me Laurent Vérilhac, ce dernier, domicilié au moment des faits à Clermont-Ferrand, où il était en formation dans une école de la fonction publique, est la seule partie civile constituée à l'occasion de ce procès.
Avant de commettre ce geste irréparable, Aline Moléro, parfois décrite comme s'occupant «bien» de ses enfants par son entourage familial, avait confié son fils aîné, polyhandicapé, alors âgé de dix ans, né d'une précédente union, à l'institut médico-éducatif qui l'accueillait durant la semaine.
>> Retrouvez par là notre article sur Un drame familial à Nice

«Plus de lien avec le père»

«Au moins, maintenant je n'aurai plus de lien avec le père (...) je ne le verrai plus en lui», a expliqué peu après le drame l'accusée, qui élevait le nourrisson, confié à son père un week-end sur deux.
Après la séparation des parents, survenue en septembre 2011, peu après la naissance d'Amélio, des tentatives de retour à la vie commune n'avaient pas abouti.
Tandis qu'Aline Moléro évoquait des souffrances physiques et morales que lui aurait fait endurer son concubin, qu'elle soupçonnait d'infidélité avec une collègue de travail, ce dernier indiquait que les troubles du comportement de la jeune femme, suivie par un psychiatre, s'étaient amplifiés durant sa grossesse.

Discernement altéré

En janvier 2012, parallèlement à la fixation d'une pension alimentaire due par le père, après la rupture du Pacs unissant le couple, le juge aux affaires familiales avait ordonné une enquête sociale et une expertise médico-psychologique de la famille.
Les expertises judiciaires effectuées sur l'accusée ont souligné un «trouble psychiatrique ayant nettement altéré son discernement».
Aline Moléro a indiqué pour sa part qu'elle n'était «pas dans (son) état normal» le jour du drame, après avoir consulté sur Facebook des photos du nouveau-né avec son père.
Le procès est prévu pour durer jusqu'à jeudi.

http://www.20minutes.fr/societe/1337085-20140330-justice-femme-32-ans-jugee-meurtre-bebe
C'est un véritable drame qui s'est produit, hier matin, vers 8 h 40, à l'intérieur d'une résidence derrière l'hypermarché Casino, au numéro 36 du boulevard Limbert à Avignon. Des habitants ont donné l'alerte après avoir découvert le corps d'un homme qui venait de se défenestrer du 3e étage d'un immeuble de cette résidence.
Les sapeurs-pompiers, lorsqu'ils sont arrivés, n'ont rien pu faire. A leur arrivée, l'homme âgé de 83 ans était décédé.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2814742/un-octogenaire-se-defenestre.html

Michel Dinet se tue sur la route

ll devait être aux alentours de 23 h 30, hier soir, lorsque Michel Dinet, pour des raisons qui restent à déterminer, aurait perdu le contrôle de son véhicule sur la départementale 4, entre Colombey-les-Belles et Vannes-le-Châtel, sur le territoire de la commune d’Allamps, dans le Sud Toulois.
À leur arrivée sur les lieux de l’accident, les secours ont pris en charge le président du conseil général de Meurthe-et-Moselle qui était inconscient. Sur place, les sapeurs-pompiers de la caserne d’Allamps, épaulés vraisemblablement par leurs collègues de Vannes-le-Châtel et de Colombey, appuyés par les médecins réanimateurs d’une équipe du SAMU se sont activés et ont pris en charge Michel Dinet. Malheureusement en vain.

Un choc d’une grande violence

Pendant ce temps, le préfet de Meurthe-et-Moselle, Raphaël Bartolt, arrivait sur les lieux, précédé du colonel de gendarmerie. Des déviations et un important périmètre de sécurité étaient mis en place afin de tenir éloignés les curieux et ainsi de permettre aux forces de l’ordre de faire les premières constatations tout en recueillant les éléments qui permettront de comprendre pourquoi le monospace a quitté la chaussée avant de s’encastrer dans un arbre au niveau de l’intersection avec le chemin communal menant au petit village d’Allamps.
Quoi qu’il en soit, vu l’état du véhicule – l’avant était totalement détruit – au moment de sa prise en charge par la dépanneuse, tout laisse à penser que le choc a dû être d’une grande violence. Cette nuit, aucune information ne filtrait, le black-out était total. Pourquoi la voiture de Michel Dinet a quitté la route dans cette longue ligne droite sombre ? Qui a donné l’alerte ? Était-il seul à bord du véhicule ? Michel Dinet était-il décédé à l’arrivée des secours ? Autant de questions qui restent pour le moment sans réponse de la part des autorités, lesquelles sont restées discrètes tout au long de l’intervention. 

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/03/30/michel-dinet-se-tue-sur-la-route

samedi 29 mars 2014

ROYE (80) : l’homme frappé à coups de batte de base-ball est décédé

L’homme de 36 ans, frappé à coups de batte de base-ball le samedi 22 mars dans un appartement à Roye (Somme), est décédé ce samedi 29 mars au matin à l’hôpital d’Amiens nord. Son demi-frère, âgé de 23 ans, est soupçonné d’avoir porté les coups lors d’une soirée alcoolisée. Il a été mis en examen et écroué vendredi 28 mars.

http://www.courrier-picard.fr/region/roye-80-l-homme-frappe-a-coups-de-batte-de-ia201b0n340789

Deux randonneurs tués dans une avalanche

Deux randonneurs à raquette ont été tués et un autre blessé samedi par une avalanche dans les Pyrénées ariégeoises. L'accident est survenu aux alentours de 13h30. Les trois promeneurs effectuaient une randonnée à raquettes dans le massif des Trois Seigneurs, au-dessus du village de Rabat-les-Trois-Seigneurs.
Lorsque l'avalanche s'est déclenchée et les a emportées, les victimes étaient encordées. La neige a coulé sur 300 mètres mais l'un des randonneurs a réussi à s'extraire et à alerter les secours.

Les hommes du Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de l'Ariège ont mené les opérations de secours, assistés d'un hélicoptère et d'un chien d'avalanche. Le randonneur qui a donné l'alerte, âgé de 27 ans, est ressorti polytraumatisé de l'avalanche et a été hospitalisé. Ses compagnons de randonnée, une Toulousaine de 25 ans et un habitant de Muret (Haute-Garonne) âgé de 32 ans, sont décédés.

Le risque d'avalanches en Ariège, où l'on observe un début de fonte des neiges, est qualifié de marqué par Météo France.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/29/97001-20140329FILWWW00135-deux-randonneurs-tues-dans-une-avalanche.php

Castelnaudary : un homme happé par le TGV Lyon Toulouse, le trafic perturbé

En début d'après midi, un homme âgé de 50 ans s'est vraisemblablement suicidé au moment où le TGV Lyon Toulouse allait franchir la gare de Castelnaudary.
Selon le témoignage du machiniste, la victime se serait précipitée sur le train.
La SNCF indique que la circulation a repris à 16 h 40, l'accident ayant occasionné 1 h 45 minutes de retard pour l'ensemble des TGV concernés par ce secteur. Les autres trains circulant entre Narbonne et Toulouse, ont eux connu entre 30 et 45 minutes de retard.
 

Escazeaux. Le village se mobilise pour Margot

Margot est une jolie petite fille de 8 ans. Depuis sa naissance, elle est atteinte d'une infirmité motrice cérébrale: la lysencéphalie. Elle ne peut utiliser ni ses mains ni ses jambes, elle ne parle pas, mais comprend tout ce qu'on lui dit. Elle sait communiquer sa joie ou son mécontentement. Très souriante, elle aime la musique, les lumières, les promenades...
Afin de faire connaître cette maladie, l'association Margot comme tout le monde a vu le jour en 2013, sur l'initiative de Dominique et Sylvie, les parents de la petite fille, et de quelques amis proches. Très ouverts et disponibles, les parents de Margot se battent, chaque jour, pour leur fille, pour son bien être, mais également sur le regard porté sur le handicap. Début mars, Margot est donc allée avec sa maman à la rencontre des enfants de l'école de Escazeaux, répondant à l'invitation qui leur avait été lancée. Un moment d'échanges précieux.

Grande chaîne de solidarité

Au quotidien, de nombreux appareillages de soin sont nécessaires. Margot grandit, de nouveaux investissements doivent être réalisés, notamment l'acquisition d'un véhicule plus adapté pour ses déplacements. Au total, entre l'achat du véhicule et son aménagement, 25 000 € seront nécessaires. Les parents de Margot travaillent mais la charge est lourde et il leur sera difficile d'assurer la totalité de la dépense.
Pour cette raison, leurs amis, leurs voisins, se mobilisent et lancent une grande chaîne de solidarité, en lançant un appel aux dons et en organisant une manifestation.
Loto, demain, pour récolter des fonds. Ce dimanche 30 mars à partir de 14 h 30, à la salle des fêtes d'Escazeaux, un loto est organisé pour récolter des fonds. Dix-huit parties avec de nombreux lots, tombola, vente de boissons chaudes et fraîches, pâtisseries, bonbons et pop-corn. Tous ceux qui aiment Margot, ils sont nombreux, espèrent que ce loto rencontrera un vif succès, ils comptent sur vous et sur votre présence, demain, à Escazeaux.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/29/1850872-escazeaux-le-village-se-mobilise-pour-margot.html

vendredi 28 mars 2014

Second décès un mois après le choc frontal sur la RD 931

SOMME-SUIPPE (51). Le choc frontal survenu vendredi 28 février peu après 20 heures sur la RD 931 à la sortie de Somme-Suippe vient de faire une seconde victime. 
Gérard François, 77 ans et grièvement blessé lors de cet accident, est décédé au centre hospitalier de Reims mercredi 26 mars. Depuis le soir du drame, son pronostic vital était engagé.

Les mauvaises conditions météorologiques en cause

Cette veille de week-end hivernal, sur la longue ligne droite qui mène de Somme-Suippe à Sainte-Menehould, ce retraité et habitant du village tente, à bord de sa Peugeot 206, de doubler un semi-remorque. Mais il pleut des trombes d’eau et la visibilité est mauvaise. Engagé sur la voie opposée, le conducteur ne peut éviter la Clio qui arrive en face. À son bord, un autre villageois, Etienne Liébault, âgé de 78 ans, meurt sur le coup. Le conducteur du poids lourd est indemne.
Durant une partie de la nuit, la route avait été coupée à la circulation afin de permettre aux sapeurs-pompiers de Suippes, au secours routier et aux gendarmes de mener à bien les opérations de sauvetage.
Très rapidement, l’enquête de gendarmerie a permis de déterminer les circonstances exactes de ce drame. Grâce aux constatations matérielles et aux témoignages de deux chauffeurs routiers témoins de la scène, il est apparu que la vitesse n’est pas en cause. Ce sont bien les conditions climatiques, particulièrement exécrables : obscurité, pluie battante ce soir-là, qui auraient faussé le jugement de Gérard François. Son décès, survenu moins d’un mois après les faits, sera donc pris en compte dans les statistiques des tués sur la route.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/second-deces-un-mois-apres-le-choc-frontal-sur-la-rd-931-ia0b0n323135

Drame pour Ingrid Chauvin: sa petite fille de 5 mois est décédée

C'est un véritable drame qui vient de toucher Ingrid Chauvin et son compagnon Thierry Peythieu : leur petite fille Jade, âgée de 5 mois, est décédée.
La nouvelle vient de tomber. Terrible. L'agence artistique Adéquat, qui représente les intérêts d'Ingrid Chauvin, a fait part jeudi soir (27 mars 2014) du décès de Jade, la fille de la comédienne sans plus de précision. Elle était âgée de 5 mois. Ses obséques auront lieu samedi au cimetière du Père-Lachaise.
L'héroïne des séries Femmes de loi et Les Toqués avait mis sa carrière entre parenthèse pour mener à bien sa maternité. «Depuis sa venue au monde, je vis un bonheur inimaginable et indicible», déclarait-elle récemment alors que les téléspectateurs la redécouvraient dans le téléfilm Une bonne leçon (TF1). En évoquant ses projets, elle plaisantait: «J'ai deux rôles maintenant: jeune maman et comédienne! . Mais il n'empêche, ça y est, je suis de retour...»
À 40 ans, Ingrid Chauvin avait mis au monde une petite fille prénommée Jade (le 17 octobre 2013), fruit de son union avec Thierry Peythieu. Une naissance qui avait comblée de bonheur celle que les téléspectateurs avaient aussi découerte dans les sagas estivales Méditerranée et Dolmen diffusées sur TF1. «Je suis métamorphosée! Je suis plus mature, plus sereine, plus épanouie», disait-elle comme pour oublier les inquiétudes éprouvées durant la grossesse. «Il a fallu nourrir un peu plus cet embryon qui était trop faible [...] J'ai eu très peur de la perdre. J'ai pris la décision de m'arrêter de travailler pour être au calme et ne prendre aucun risque.»

http://tvmag.lefigaro.fr/programme-tv/article/television/80603/drame-pour-ingrid-chauvin-sa-petite-fille-de-5-mois-est-decedee.html

Saint-Étienne: un étudiant fait une chute mortelle

Dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 4h30, un jeune homme d'une vingtaine d'années est tombé du cinquième étage d'un immeuble situé rue Michel-Rondet.

Selon les premiers éléments recueillis par la police, il rentrait d'une soirée étudiante et fumait une cigarette à la fenêtre lorsqu'il a basculé dans le vide. Il est décédé sur place. La piste accidentelle est privilégiée.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/03/28/saint-etienne-un-etudiant-fait-une-chute-mortelle

Var: 2 lycéennes tuées dans un accident de bus

Deux lycéennes sont mortes aujourd'hui à Pourrières (Var) quand le bus scolaire dans lequel elles se trouvaient a été percuté par un semi-remorque, indique le site de Var Matin.

Cinq autres personnes ont été légèrement blessées, dont deux jeunes enfants qui étaient à bord d'un troisième véhicule, selon le site internet.

La gendarmerie a lancé un appel à témoins: toute personne pouvant donner des détails sur cet accident est priée de s'adresser à la gendarmerie de Saint-Maximin, en appelant au 04.94.78.00.12.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/27/97001-20140327FILWWW00402-var-2-lyceennes-tuees-dans-un-accident-de-bus.php

jeudi 27 mars 2014

Aulnay : un homme tombe du 7ème étage

Ce jeudi matin, à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), un homme a fait une chute du 7eme étage d’une résidence située rue des Mimosas. La victime âgée de 48 ans est dans un état désespéré. Elle a été transportée à l’hôpital.
On ignore encore les circonstances précises de ce drame. , tragique accident ou acte criminel. Toutes les hypothèses sont ouvertes.

http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/aulnay-un-homme-tombe-du-7eme-etage-27-03-2014-3715161.php

Vitry-sur-Seine : un homme décède dans un feu de pavillon

Un homme de 76 ans est dans l' de son pavillon, rue de la Glacière à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), mercredi vers 20 heures. Le feu serait parti d'une cuisine située au premier étage de la maison. C'est une voisine qui aurait donné l'alerte, voyant des flammes s'échapper d'une fenêtre.

A l'arrivée des pompiers, la victime était déjà en arrêt cardio-respiratoire.

  Il présentait des brûlures au deuxième degré et n'a pu être réanimé. La police, le magistrat de permanence et un représentant de la mairie se sont rendus sur place.

Selon une source policière, ce pavillon était «insalubre». Selon les premières constatations, le feu pourrait avoir une origine accidentelle.


http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/vitry-sur-seine-un-homme-decede-dans-un-feu-de-pavillon-27-03-2014-3714625.php

Vigile noyé à Bobigny : quatre hommes renvoyés aux assises

La chambre d'instruction de la cour d'appel de a confirmé mercredi le renvoi devant les assises de quatre hommes accusés d'être impliqués dans la mort de Saïd Bourarach, un vigile de magasin retrouvé noyé dans un canal après une course-poursuite, a-t-on appris de source judiciaire
Ce renvoi devant les assises pour «violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec usage ou menace d'une arme» avait été décidé en septembre 2013 par un juge d'instruction de Bobigny (Seine-Saint-Denis). Deux des mis en examen avaient fait appel de ce renvoi devant la cour d'appel de .

Le juge avait estimé que les quatre hommes avaient provoqué la noyade du vigile en le soumettant à «un choc émotif» et à une «pression psychologique» telle que ce dernier avait dû, pour échapper à ses assaillants, sauter dans le canal de l'Ourcq où il s'est noyé. Une analyse contestée par l'avocat de l'un des accusés, Me Paul Le Fèvre, pour qui la course-poursuite ne pouvait être qualifiée de «violences volontaires ayant entraîné la mort», et par conséquent ne méritait pas les assises.

«Il est très vraisemblable que nous allons faire un pourvoi», a fait savoir Me Le Fèvre, après la confirmation du renvoi.

Le corps de la victime présentait des traces de violences

La victime, un père de famille de 35 ans, employé dans un magasin de bricolage Batkor à Bobigny, avait été pris à partie le 30 mars 2010 par un client qui voulait entrer après la fermeture pour y acheter un pinceau et de la peinture. Des insultes avaient fusé et le client mécontent était revenu accompagné de trois amis pour en découdre avec le vigile.

Une altercation avait alors éclaté, l'un des agresseurs s'emparant d'une manivelle à cric tandis que le Saïd Bourarach répliquait avec sa bombe lacrymogène. S'en était suivie une course-poursuite le long du canal entre le vigile et les quatre hommes. Selon les mis en cause, le vigile se serait noyé après s'être volontairement jeté dans le canal, ce que conteste la famille. Selon l'autopsie, le corps de la victime présentait de multiples traces de violences préalables à sa chute dans le canal.

Les quatre hommes, âgés de 19 à 25 ans à l'époque des faits, encourent 20 ans de réclusion


http://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/vigile-noye-a-bobigny-quatre-hommes-renvoyes-aux-assises-26-03-2014-3712077.php

mercredi 26 mars 2014

Un automobiliste de 96 ans tué dans un accident entre Lorgues et le Thoronet

Un homme de 96 ans a trouvé la mort cet après-midi sur la route départementale 17 reliant Lorgues au Thoronet à la hauteur du Pont d’Argens.
La voiture de ce Thoronéen a percuté violemment l’arrière d’un véhicule avant d’être projeté sur un autre véhicule en stationnement retrouvé à l’état d’épave.
Crise cardiaque ou décès dû au choc, les raisons de la mort restaient encore inconnues en fin de journée. C’est l’équipe médico-légale de la gendarmerie qui est chargée d’en déterminer les circonstances.
L’un des deux occupants du véhicule percuté a, quant à lui,  dû être désincarcéré et transporté à l’hôpital de Draguignan, le second ne subissant que des blessures légères

http://www.varmatin.com/brignoles/un-automobiliste-de-96-ans-tue-dans-un-accident-entre-lorgues-et-le-thoronet.1622953.html

Le corps d'un bébé de six mois découvert sur un trottoir à Laval

Le cadavre d'un nourrisson, en état de décomposition avancée, a été découvert dans un bosquet, à Laval (Mayenne), rapporte Ouest-France.
Le bébé a été découvert mardi par une riveraine qui promenait son chien, dans une zone artisanale jouxtant un quartier populaire, selon une source judiciaire.
Le bébé serait de sexe féminin et âgé de 6 mois environ. Sa mort remonterait à une semaine environ.
La policier judiciaire d'Angers est chargée de l'enquête et une autopsie devait être pratiquée mercredi.

  http://www.sudouest.fr/2014/03/26/laval-le-corps-d-un-bebe-de-six-mois-decouvert-sur-un-trottoir-1505201-7.php

Football. Alexandre dédie le maillot de Zlatan à son ami disparu

L'ado lorientais de 17 ans avait fait le buzz en obtenant le maillot de l'attaquant vedette du PSG, vendredi dernier à Lorient. Il l'avait fait pour Aurélien, un ami décédé.

Alexandre a tenu sa promesse : ce mardi 25 mars, il a enfilé la tenue d'Ibrahimovic et s'est recueilli auprès de la tombe de son ami, emporté il y a trois ans par une maladie virale.
« Aurélien avait 13 ans et demi, il était fan du PSG. J'ai voulu lui rendre hommage avec le maillot d'un Parisien. Zlatan était le premier dans ma ligne de vue... J'espère qu'Aurélien me voit de là-haut, avec ce maillot que je suis allé chercher pour lui. »

Avec la mère d'Aurélien

Hélène, la maman d'Aurélien, a accompagné Alexandre au cimetière.
" Il faisait partie du cercle d'intimes d'Aurélien. Il m'avait dit quelques jours avant le match qu'il allait faire quelque chose pour son ami, mais il ne m'avait pas dit quoi".

Un précédent

Hélène a vivement apprécié le geste qui la touche beaucoup. Mais elle a aussi averti Alexandre, qui n'est pas novice en la matière, qu'il serait bien avisé de ne jamais recommencer.
"J'ai déjà réussi à avoir le maillot d'Aboubakar en partant d'un autre endroit de la tribune sud", confie le jeune supporter des Merlus. L'attaquant des Merlus lui avait confié sa tenue à la fin d'un match Lorient-Auxerre. 

"On m'a prévenu"

Alexandre est reparti chez lui où il conserve le précieux maillot de Zlatan. Il sait qu'à présent, il est vraiment repéré au stade du Moustoir.

http://www.ouest-france.fr/lorient-alexandre-dedie-le-maillot-de-zlatan-son-ami-disparu-2041312

Perpignan : un jeune automobiliste meurt dans un accident près de Thuir

Un accident s'est produit sur la RD 612, près de Thuir, dans les Pyrénées-Orientales. Bilan : un mort. 
Un jeune homme a perdu la vie ce mardi après-midi dans un accident de la circulation au niveau de la route départementale 612, près de Thuir. 
L'automobiliste aurait perdu le contrôle de son véhicule et fini sa course hors de la chaussée. Il aurait été éjecté de l'habitacle selon nos confrères de L'Indépendant. La victime a succombé à ses blessures.

http://www.midilibre.fr/2014/03/25/perpignan-un-jeune-automobiliste-meurt-dans-un-accident-pres-de-thuir,839523.php

mardi 25 mars 2014

Un élève saute d'une fenêtre du 3e étage de son collège

Son professeur n'a rien pu faire pour éviter le drame. Un collégien de 11 ans est hospitalisé dans un état grave mardi à Agen après s'être jeté par la fenêtre du 3e étage de son établissement. Il a agi en plein cours et pour une raison inexpliquée, a-t-on appris mardi auprès de l'Académie.
La pelouse détrempée lui a sauvé la vie. L'enfant, scolarisé en classe de 6e à Aiguillon, à 30 km d'Agen, s'est jeté par la fenêtre sans prévenir, lundi vers 15h. Le professeur, qui s'est rué vers lui, n'a pas pu l'en empêcher, a-t-on précisé auprès de l'Académie, confirmant une information de Sud Ouest. La chute d'une dizaine de mètres a fini sur de la pelouse détrempée par les pluies récentes, ce qui lui a sans doute sauvé la vie.
Aucun antécédent et aucun problème en classe. Le collégien a été hospitalisé à Agen dans un état grave, mais son pronostic vital n'était pas engagé et les séquelles pourraient ne pas être importantes, a-t-on précisé de même source. "Il n'y a à ce stade pas d'explication rationnelle", a déclaré Laurence Adeline, la directrice académique. "Ce n'est pas forcément un geste désespéré, peut-être un défi, on ne sait pas vraiment". Elle a ajouté que l'enfant n'avait pas de trouble psychologique connu, et que son geste n'avait pas été précédé d'un problème en classe.
Une cellule d'aide et d'écoute a été mise en place pour les élèves et familles, avec médecin, assistante sociale et psychologues. Les parents d'élèves de la classe ont été vus individuellement et un courrier adressé aux autres. La classe a repris mardi après-midi, avec des nouvelles rassurantes sur l'adolescent.
 

Bordeaux : il la sauve du suicide sur le pont de pierre

Il était en famille, au volant de sa voiture et circulait, dimanche, à 14 h 30, depuis la place Stalingrad en direction du centre-ville. Ce militaire de la brigade de gendarmerie de l'air de Bordeaux a brusquement stoppé son véhicule au milieu du pont de pierre quand il a aperçu une personne dans le vide, de l'autre côté de la rambarde.
Les bras tendus vers l'horizon, une jeune fille menaçait de sauter dans la Garonne. Le gendarme s'est approché et est parvenu à la bloquer avant qu'elle ne passe à l'acte. Deux femmes, un couple ainsi qu'un homme lui ont prêté main-forte pour maîtriser l'adolescente de 15 ans ramenée sur le trottoir et qui indiquait vouloir en finir avec la vie.
Les secours, alertés, sont très vite arrivés sur les lieux depuis la caserne de La Benauge distante de quelques centaines de mètres. Les policiers du commissariat de La Bastide également.
L'adolescente, transie de froid, a été transportée par les sapeurs-pompiers à l'hôpital Charles-Perrens.

http://www.sudouest.fr/2014/03/25/il-la-sauve-du-suicide-sur-le-pont-de-pierre-1503419-2780.php

Suicide à la prison de Bourg-en-Bresse

Un détenu, qui était libérable à la mi-avril, s'est suicidé par pendaison hier soir à la maison d'arrêt de Bourg-en-Bresse dans l'Ain, selon une source pénitentiaire.

L'homme, âgé d'une vingtaine d'années, a été retrouvé par des surveillants, pendu à l'aide d'un drap dans sa cellule, à l'heure du repas. Malgré l'intervention rapide des secours, le détenu n'a pu être ranimé, a-t-on précisé de même source.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/25/97001-20140325FILWWW00168-suicide-a-la-prison-de-bourg-en-bresse.php

L’alcool en cause dans les deux derniers accidents mortels dans le Roannais

Jeudi dernier, à Perreux, un jeune homme de 19 ans avait perdu la vie suite à une perte de contrôle. Les cinq occupants du véhicule étaient tous sous l’emprise de l’alcool et certains de stupéfiants, a-t-on appris ce lundi auprès du parquet de Roanne.
Les investigations se poursuivent pour savoir qui conduisait.
Dimanche, à Villerest, un homme de 37 ans est décédé suite à une sortie de route, après que son véhicule a plongé dans la Loire. Le conducteur conduisait lui aussi sous l’emprise de l’alcool, a-t-on appris lundi début de soirée auprès de la compagnie de la gendarmerie de Roanne.

http://www.leprogres.fr/loire/2014/03/24/l-alcool-en-cause-dans-les-deux-derniers-accidents-mortels-dans-le-roannais

lundi 24 mars 2014

Agression à Paris : un vigile des «Restos» dans un état grave

Un homme, employé comme vigile dans une annexe des «Restos du Coeur», située rue du Surmelin, dans le XXe arrondissement de , a été victime d’une violente agression, ce lundi, vers 18 heures.

Selon les premières investigations confiée aux enquêteurs du 2ème district de police judiciaire (DPJ), la victime aurait évincé un inconnu quelques minutes avant que ce dernier ne l’agresse.
 
Cet homme a été aperçu en train de prendre la fuite avec une pierre dans la main après les faits.

Secouru dans un état grave et alors qu’il était en arrêt cardiaque, le vigile a été évacué, sous escorte policière, vers l’hôpital Necker dans le XVe arrondissement de la capitale. Son pronostic vital est engagé.


http://www.leparisien.fr/faits-divers/agression-a-paris-un-vigile-des-restos-dans-un-etat-grave-24-03-2014-3705297.php

Bastia: une marche blanche pour rendre hommage à Jean Leccia

Lundi 24 mars au matin, les salariés de la préfecture de Haute-Corse ainsi que ceux du conseil général se sont rassemblés à Bastia devant les services du département pour rendre hommage au haut fonctionnaire.
Le directeur général des services du département de la Haute-Corse, Jean Leccia, 53 ans, a été assassiné dimanche 23 mars vers 23h15 à Talonne, à la sortie nord d'Aleria. Deux hommes circulant en moto ont tiré une quinzaine de projectiles, cinq d'entre eux auraient touché la victime.



http://corse.france3.fr/2014/03/24/bastia-une-marche-blanche-pour-rendre-hommage-jean-leccia-441437.html

Landes : un jeune homme tué dans un accident à Castets

La nuit de dimanche à lundi a été marquée par un accident mortel survenu sur la route départementale D 947, entre Castets et Saint-Paul-lès-Dax.
Avant 4 h 30, la nuit dernière, une voiture a quitté la voie de circulation pour s'encastrer contre un arbre planté sur le bas-côté.
Seul à bord de son véhicule, le conducteur, un jeune homme de 20 ans, était originaire de Castets.

http://www.sudouest.fr/2014/03/24/castets-accident-mortel-dans-la-nuit-de-dimanche-a-lundi-1502593-3337.php

Accident grave à Nantes. Un étudiant entre la vie et la mort

Un automobiliste a percuté un cycliste samedi soir vers 22 h 15, à Nantes. Un étudiant nantais âgé de 24 ans a été grièvement blessé. Son pronostic vital est engagé.

L'accident s'est produit non loin du conseil régional, boulevard Georges-Pompidou, sur l'île de Nantes.Une Renault Megane roulant à vive allure a percuté un cycliste, projetant le jeune homme sur des voitures en stationnement.
L'automobiliste s'est enfui. Il s'est présenté au commissariat central ce dimanche matin vers 8 h 30.
L'étudiant nantais, originaire de Vannes, a été admis dans un état grave hier soir au CHU de Nantes.

http://www.ouest-france.fr/accident-grave-nantes-un-etudiant-entre-la-vie-et-la-mort-2033600

Une femme retrouvée noyée dans la Bourbeuse

A 23 h 30 samedi, les gendarmes du Territoire de Belfort ont été alertés par les proches d’une femme de 44 ans. Depuis vendredi soir, la quadragénaire n’avait plus donné signe de vie. La femme avait quitté son domicile à pied.
Les militaires ont engagé d’importants moyens pour rechercher la disparue. Quarante gendarmes, renforcés par le maître de chien de Valdahon et l’hélicoptère de Colmar ont quadrillé le secteur de Bourogne et des alentours, sous le commandement du lieutenant-colonel Petit.
C’est à 10 h 15 dimanche que les gendarmes ont finalement découvert la disparue. Malheureusement, son corps se trouvait dans la Bourbeuse, à l’extérieur du village.
Le cadavre a été sorti de l’eau par les pompiers de Belfort-Sud. Une autopsie est prévue à Besançon pour déterminer les circonstances du décès.
La victime est l’une des institutrices de l’école primaire de Bourogne, où elle habitait.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/03/23/une-femme-retrouvee-noyee-dans-la-bourbeuse

dimanche 23 mars 2014

Tram : accident mortel à Vandœuvre

Les faits ont eu lieu, boulevard Jean-Jaurès à 20 mètres de la station le Reclus. Une quadragénaire y a laissé la vie. D’après les premiers éléments de l’enquête et les témoignages recueillis sur place, il pourrait s’agir d’un geste désespéré.
Le tram était en progression ascendante, en direction de son terminus du CHU de Brabois. Il transportait une trentaine de passagers, aucun n’a été blessé. En revanche, le conducteur, très choqué a été pris en charge par une cellule psychologique.
Il s’agit du premier accident mortel impliquant le tram.

http://www.estrepublicain.fr/meurthe-et-moselle/2014/03/23/tram-accident-mortel-a-vandoeuvre

Accident grave à Nantes. Un étudiant entre la vie et la mort

Un automobiliste a percuté un cycliste samedi soir vers 22 h 15, à Nantes. Un étudiant nantais âgé de 24 ans a été grièvement blessé. Son pronostic vital est engagé.

L'accident s'est produit non loin du conseil régional, boulevard Georges-Pompidou, sur l'île de Nantes.Une Renault Megane roulant à vive allure a percuté un cycliste, projetant le jeune homme sur des voitures en stationnement.
L'automobiliste s'est enfui. Il s'est présenté au commissariat central ce dimanche matin vers 8 h 30.
L'étudiant nantais, originaire de Vannes, a été admis dans un état grave hier soir au CHU de Nantes.

http://www.ouest-france.fr/accident-grave-nantes-un-etudiant-entre-la-vie-et-la-mort-2033600

Vitry-sur-Seine : un enfant rom d'un an et demi meurt écrasé

Damatique accident à Vitry-sur-Seine (Val-de-Marne), ce samedi soir. Peu avant 20 heures, un très jeune enfant rom d’un an et demi, qui habitait avec ses parents dans un camp le long de la rue Léon-Geffroy, a été écrasé par une voiture dans des circonstances qui restent à éclaircir.

D’après les premiers éléments de l’enquête, le petit garçon a tenté de traverser la rue et été renversé.

  Les pompiers l'ont trouvé en arrêt cardio-ventilatoire. Ils ont tenté de le transporter en urgence vers l’hôpital du Kremlin-Bicêtre, mais l’enfant est décédé pendant le trajet.

Un homme d’une cinquantaine d’années a été interpellé et conduit au commissariat de Vitry. On ignore pour l'instant s'il s'agit de l'automobiliste.


http://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/vitry-un-enfant-rom-d-un-an-et-demi-meurt-ecrase-22-03-2014-3697719.php

samedi 22 mars 2014

Suicide à Gundolsheim : un TGV percute un homme

La victime, un octogénaire originaire d’Issenheim, qui voulait mettre fin à ses jours, se serait couchée sur les rails. Le TGV n'a pas pu s'arrêter à temps. Il a été ensuite arrêté en gare de Merxheim, puis à Mulhouse. Plus d'une centaine de passagers ont été embarqués dans un autre train pour rejoindre Marseille. Le trafic régional a été fortement perturbé pendant plusieurs heures avant d'être rétabli dans la matinée.

http://alsace.france3.fr/2014/03/22/suicide-gundolsheim-un-tgv-percute-un-homme-438643.html

Trois jeunes se tuent dans un accident

Trois jeunes, âgés d'une vingtaine d'années, ont péri ce matin dans une collision avec un autre véhicule, à Palinges, en Saône-et-Loire.

L'accident s'est produit vers 10H40 sur une route départementale à une vingtaine de kilomètres au sud de Montceau-les-Mines. L'occupante de l'autre véhicule, une femme âgée d'une cinquantaine d'années, a été grièvement blessée dans l'accident.

Les trois occupants du premier véhicule, âgés de 20 à 25 ans, sont morts dans la collision.



http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/22/97001-20140322FILWWW00072-trois-jeunes-se-tuent-dans-un-accident.php

Un accident de travail chez Rœderer jugé devant la cour d’appel

Philippe Meyer a rangé ses pancartes et sa bouteille d’eau, mais s’accroche toujours. En grève de la faim l’été dernier devant la maison de champagne Louis-Rœderer, l’ex-caviste était devant la chambre sociale de la cour d’appel de Reims, hier, pour plaider la reconnaissance d’une « faute inexcusable » de son ex-employeur lors d’un accident du travail (ce qui lui donnerait droit à des indemnités complémentaires).
Âgé de 49 ans, Philippe Meyer avait déjà effectué plusieurs missions en CDD chez Rœderer quand sa vie a basculé, le 3 mars 2008. Ce jour-là, alors qu’il chemine à pied dans les caves, il laisse passer un premier chariot élévateur sur sa droite, mais se fait percuter par un second qui arrive sur sa gauche en marche arrière. Bilan : une jambe écrasée, un coude cassé, dix jours d’hôpital, deux ans d’arrêt, plus de travail depuis.
M.Meyer affirme qu’un carton masquait le gyrophare du chariot, tandis que le conducteur et un témoin disent le contraire. De même n’y avait-il pas de barrière pour « stopper l’arrivée rapide de piétons ». Avocat de l’ex-caviste, Me Étienne Lherbier en conclut que « l’employeur a manqué gravement à ses obligations de sécurité en ne prenant pas les mesures nécessaires à la protection de ses salariés».
« Il y avait au sein de Rœderer une pratique anormale consistant à mettre un cache sur le gyrophare des chariots élévateurs », ajoute-t-il, « car à force, les gyrophares, ça éblouit les caristes. » Il en veut pour preuve une note de service datée du lendemain de l’accident, stipulant qu’il est « formellement interdit de fixer un carton sur le gyrophare du chariot élévateur ». Me Lherbier interprète cette note comme la fin d’une « tolérance » qui avait cours jusqu’alors. Il met également en doute les déclarations du conducteur et du témoin. « Leur présentation des faits est très favorable à leur employeur, mais ça se comprend : ils tiennent à garder leur poste. S’agissant du témoin, en page 1 de son audition, il dit  Je n’ai même pas vu M.Meyer courir avant l’accident  , puis se contredit dès la page 2 :  C’était justement le cas de M.Meyer qui courait pour se rendre à son vestiaire  . »
Pour Rœderer, l’accident est en effet imputable à une imprudence du caviste qui aurait couru. La note de service ? « Un débriefing a eu lieu après l’accident. Il est apparu que par moments, des caches étaient mis. L’entreprise l’ignorait, d’où cette note pour rappeler qu’il ne fallait pas le faire », explique Me Florence Royer. Gyrophare ou non, l’accident aurait quand même pu se produire, précise l’avocate de Rœderer, car un constat d’huissier a établi que les feux de recul du chariot « cachaient les effets du gyrophare ». Enfin, une barrière destinée à « stopper l’arrivée rapide des piétons » n’aurait servi à rien « car M. Meyer s’était déjà arrêté pour laisser passer le premier chariot ».
Délibéré le 21 mai. En attendant, M.Meyer est convoqué le 25 mars en correctionnelle, sur plainte de Rœderer pour « diffamation » en raison de propos tenus lors de sa grève de la faim. Le procès devrait toutefois être renvoyé pour une raison de forme.

http://www.lunion.presse.fr/region/faits-divers

vendredi 21 mars 2014

Accident mortel de la Joue-du-Loup: le skieur allait-il trop vite?

L'accident avait coûté la vie à un skieur de 7 ans le 6 mars dernier à la Joue-du-Loup, une station du Dévoluy, dans les Hautes-Alpes. Le jeune garçon, originaire de Rennes skiait en compagnie de son père et d'un ami de celui-ci lorsqu'il est violemment heurté par un adolescent de 16 ans, venant d'Amiens. Comme l'avait déjà précisé le parquet de Gap, "le choc a été d'une extrême violence". L'adolescent skiait, selon le procureur de la République de Gap, Raphaël Balland, "à une vitesse excessive". Le radar pédagogique présent sur la piste "La Gaudy" a d'ailleurs été saisi au cours de l'enquête mais "une vitesse précise n'a pas été déterminée".
Ce vendredi, le parquet de Gap indique "avoir fait le tour des investigations". Le dossier d'instruction a "été transmis au parquet d'Amiens". La suite ? "C'est à Amiens que l'ouverture ou non d'une information judiciaire sera décidée", indique encore le procureur Raphaël Balland. En revanche, à Gap, le parquet continue "d'examiner les éléments pour décider de poursuivre ou non" la station. "Il faut qu'il y ait une faute caractéristée, donc vraiment grave", commente le procureur. Une décision sera prise dans les prochains jours par le parquet. De plus, le parquet confirme que la famille du garçon de 7 ans avait déposé plainte

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes

Encore un suicide d'agriculteur dans l'Aisne

CInq suicides d'agriculteurs depuis septembre 2013 : c'est le triste constat dressé ce matin par la chambre d'agriculture de l'Aisne réunie en session à Laon. Le dernier est survenu il y a quelques jours dans une exploitation du canton de Guise. L'exploitant, âgée de 54 ans, vivait seul sur une ferme de grande culture. De quoi alarmer les intervenants de la session de la chambre d'agriculture.
L'an dernier, l'Institut de veille sanitaire avait publié une
étude détaillée et inquiétante sur la mortalité par suicide chez les agriculteurs. Il en ressortait qu'entre 2007 et 2010, le suicide a ainsi fait près de 500 morts dans le monde agricole.
En octobre dernier, nous consacrions un dossier complet au stress des agriculteurs dans notre région. Depuis 2011, un plan de prévention tente de juguler la progression de ce fléau qui frappe d'abord les éleveurs. La Mutualité sociale agricole, bras armé du plan lancé par le ministère de l'agriculture, dispose de plusieurs outils dont la mise en place d'un échéancier de paiement, la prise en charge de cotisations sociales ou la mise en contact avec des médecins ou des psys. Une cellule « pluri-disciplinaire » (Marne-Ardennes-Meuse) à laquelle participe François-Régis Lenoir, directeur de la MSA, se charge de détecter les situations problématiques.
« Pour 2013, sur les trois départements, dix-neuf sont particulièrement suivies, sur une centaine confrontée à de sérieuses difficultés financières. » La MSA a également lancé un cycle de conférences et de « débats théâtraux » au cours desquels des comédiens miment les difficultés des agriculteurs devant des salles combles. Après échange avec le public, celui-ci rejoint les acteurs sur scène. "Libérer la parole, c'est aussi une manière intelligente et drôle parfois de gérer le stress », note Camille Chochoy, chargée de l'action sanitaire et sociale à la MSA. L'organisme, qui dispose d'un bon maillage territorial, se veut également un « guichet unique » où les exploitants peuvent s'adresser sans risquer l'incompréhension.
Si, fort heureusement, le stress ne conduit pas toujours au suicide, il débouche parfois sur un syndrôme d'épuisement professionnel désormais connu sous le nom de "burn out". Là encore, les agriculteurs sont en tête du sinistre palmarès des professions les plus exposées. Une étude à laquelle nous avons consacré un article le mois dernier montre que 24 % des agriculteurs cumulent à la fois une forte charge de travail et un travail compulsif, 24 % se sentent émotionnellement vidés par leur travail, 47 % se sentent fatigués lorsqu’ils se lèvent le matin et qu’ils doivent affronter une nouvelle journée de travail, 53 % se déclarent épuisés à la fin de leur journée de travail.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/encore-un-suicide-d-agriculteur-dans-l-aisne-ia0b0n319454

Incendie: une mère et son bébé périssent

Une jeune femme de 19 ans et son bébé de dix mois ont péri dans la nuit dernière, dans un incendie survenu dans un immeuble de Salies-de-Béarn (Pyrénées-Atlantiques), a-t-on appris auprès des secours et de la gendarmerie. L'incendie s'est déclaré vers 0h40, pour une raison encore indéterminée, au niveau de la toiture d'un immeuble de deux étages, dans la petite ville béarnaise située à environ 60 kilomètres de Pau, ont précisé les secours.

La jeune mère et son bébé, qui vivaient dans un appartement au deuxième étage, "sont décédés à la suite d'inhalations de gaz," a précisé à une correspondante de l'AFP le groupement de gendarmerie de Pau. "Quatre familles vivant dans l'immeuble ont étés secourues et relogées", ont par ailleurs indiqué les secours, confirmant une information du journal Sud Ouest.

Quelques 25 pompiers au total, de Salies-de-Béarn et de communes proches - Orthez, Puyoo, Urt, Mauléon ainsi que Pau - ont été mobilisés plus de quatre heures, pour lutter contre l'incendie, qui a complètement détruit la toiture mais pas l'immeuble lui-même. Des engins restaient sur place ce matin, par précaution. L'enquête à été confiée à la gendarmerie.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/21/97001-20140321FILWWW00109-incendie-une-mere-et-son-bebe-perissent.php

Nîmes : agressé à l'arme blanche, un quadragénaire succombe à ses blessures

Le corps sans vie d’un homme a été découvert, jeudi matin, dans un appartement situé dans un immeuble du quartier de Mas de Mingue à Nîmes. Des voisins ont entendu appeler à l’aide. Mais quand les secours sont arrivés, ils n’ont pu que constater le décès de ce quadragénaire nîmois, victime de coups de couteau.
Apparemment, les voisins auraient entendu appeler à l’aide aux alentours de 6 heures. Mais lorsque les pompiers et le Samu sont intervenus sur les lieux, ils n’ont pu que constater le décès de cet homme, âgé d’une quarantaine d’années. Il a manifestement succombé à des blessures provoquées par une arme blanche. Quand il a été retrouvé, il gisait dans une mare de sang.
Enquête de voisinage
Dans un premier temps, les policiers du commissariat de Nîmes sont intervenus sur les lieux pour tenter de récolter des éléments et notamment de recueillir des témoignages aux abords de l’appartement, situé au rez-de-chaussée de cet immeuble “Mireille de la Crau”, route de Courbessac.
Ensuite, les enquêteurs de l’antenne de Nîmes du SRPJ de Montpellier ont pris le relais pour continuer les investigations sous le regard des voisins qui scrutaient les mouvements des voitures de police. Des équipes de police technique et scientifique (PTS) ont ensuite convergé vers l’appartement pour effectuer une série de prélèvements et de relevés.
A l'origine, une dispute ?
Selon nos informations, les lieux étaient particulièrement en désordre. Aucune information n’a filtré sur le mobile éventuel de cet homicide. Une dispute serait potentiellement à l’origine des faits. Aucun signalement n’a été diffusé s’agissant de l’auteur présumé des faits.
L’autopsie de la victime pourrait être réalisée dans les prochains jours, peut-être ce vendredi, à l’institut de médecine légale de Nîmes. Dans l’après-midi et la soirée, les policiers de la PJ ont multiplié les actes d’enquête pour tenter d’éclaircir le contexte de ce meurtre. Des auditions ont été réalisées dans le voisinage de la victime pour connaître ses relations.

http://www.midilibre.fr/2014/03/20/mas-de-mingue-un-quadragenaire-poignarde,837162.php

jeudi 20 mars 2014

Charente-Maritime : le jeune homme cloîtré chez lui retrouvé mort

Les gendarmes intervenaient mercredi pour prendre contact avec un homme qui était cloîtré chez lui depuis mardi. Ils l'ont découvert mort
Un habitant de Beauvais-sur-Matha, en Charente-Maritime, qui était cloîtré chez lui depuis mardi soir en raison de problèmes personnels, a été découvert mort mercredi en fin d'après-midi.
Les gendarmes ont fait la macabre découverte alors qu'ils intervenaient pour tenter de prendre contact avec lui. Si à aucun moment le jeune homme ne s'est montré menaçant, sans aucune nouvelle, ils craignaient qu'ils puisse être armé.
Ils ont fini par entrer et c'est là qu'ils ont trouvé le corps sans vie. D'après les premiers éléments de l'enquête, le jeune homme aurait mis fin à ses jours avec une arme à feu.

http://www.sudouest.fr/2014/03/19/beauvais-sur-matha-17-une-personne-cloisonnee-chez-elle-1496851-1246.php

Nîmes : un homme retrouvé pendu à 12 mètres du sol

L'opération a mobilisé des policiers et des pompiers en nombre. Le quotidien «Midi libre» rapporte qu'un homme a été retrouvé mercredi matin pendu Nîmes (Gard) à une hauteur de 12 mètres. Il était accroché à un arbre, sur une sorte de falaise située à proximité du Mas de Mingue, de la rue Auguste-Chabaud et de l'école Notre-Dame.

 Les secours n'ont pas réussi à ranimer l'individu, un personne de 38 ans, dont l'identité n'a pas été révélée. Ils ont eu recours au Groupe de recherches et d’intervention en milieu périlleux (Grimp) pour parvenir à décrocher le corps.

Les enquêteurs ont rapidement conclu qu'il s'agissait d'un
. Cette personne aurait été domiciliée à Montpellier (Hérault).
http://www.leparisien.fr/faits-divers/nimes-un-homme-retrouve-pendu-a-12-metres-du-sol-20-03-2014-3690473.php

Quatre enfants reclus découverts dans un appartement

Ils n'ont probablement jamais vu la lumière du jour. Trois enfants, âgés de 2, 5 et 6 ans ont été découverts cette semaine par les services sociaux de La Courneuve, en Seine-Saint-Denis. Ils vivaient reclus depuis leur naissance, selon RTL. Les parents ont été placés en garde à vue mais ne sont pas parvenus à expliquer les raisons de leur acte. Ils ont été écroués. Leurs quatre enfants, dont le plus jeune est âgé de deux mois, ont été placés en famille d'accueil. Une enquête est ouverte pour déterminer comment cette famille a pu passer entre les mailles du filet des services sociaux.
La mère se rend à l'hôpital avec son bébé. L'affaire a débuté début février. Voyant que son bébé de deux mois est en mauvaise santé, la mère de famille décide de tirer la sonnette d'alarme. Elle se présente à l'hôpital de la Courneuve, avec, dans ses bras, son nourrisson, toujours selon RTL. Après avoir examiné l'enfant, le médecin décide d'alerter les autorités du département. L'histoire remonte alors à la police qui se rend rapidement à l'appartement familial dans une barre d'immeuble de la cité des 4.000, un quartier sensible et défavorisé de la Seine-Saint-Denis.
Des enfants sauvages. Là, les enquêteurs découvrent les trois autres enfants du couple entassés sur des matelas posés à même le sol. L'appartement n'était "pas très propre, pas très bien rangé, mais ce n'était pas un dépotoir non plus", a-t-elle ajouté. Les enfants vivent tous dans la même pièce et n'ont visiblement jamais mis un pied dehors. "C'est des enfants sauvages, qui ont poussé tout seul", a relaté la source. "L'enquête laisse à penser qu'ils ne sortaient pas ou très, très peu. Leurs voisins ne les connaissaient pas".
"Aucun n'était scolarisé, ni suivi, ils n'étaient pas vaccinés et ne voyaient pas de médecin", a-t-elle ajouté. Ils souffrent tous de malnutrition et présentent d'importants retards psycho-moteurs. Les deux aînés, âgés de 5 et 6 ans, présentent des troubles autistiques et arrivent à peine à marcher et à parler.
Les enfants placés en famille d'accueil, les parents écroués. Le père, âgé de 33 ans, et la mère, 27 ans, ne travaillaient pas mais touchaient des allocations pour leurs enfants. Placés en garde à vue, les parents ont donné des explications laborieuses aux enquêteurs. Ils semblent en effet ne pas avoir "pris conscience" de la situation. Ils sont écroués.
Pas d'abus sexuels sur les enfants. Selon les premiers éléments de l'enquête, les enfants n'auraient pas été battus ou abusés sexuellement. Les enfants ont été placés en famille d'accueil. Une information judiciaire a été ouverte pour mauvais traitements sur mineurs. L'enquête a été confiée à la Sûreté départementale de Seine-Saint-Denis.
 

Albi. Une piétonne de 81 ans meurt renversée par un scooter

Mardi vers 16 heures, une Albigeoise de 81 ans a été percutée par un scooter alors qu’elle empruntait un passage piéton. L’accident s’est produit en face du lycée Lapérouse sur les Lices. Déséquilibrée par le choc, elle est ensuite tombée sur l’angle d’un trottoir. Sérieusement blessée à la tête, la victime était inconsciente à l’arrivée des secours. Hospitalisée à Albi, Marie-Thérèse Canivenc est décédée d’une hémorragie interne dans la nuit.

Le feu était vert pour les piétons

Le conducteur du deux-roues, un mineur de 17 ans originaire de Cagnac-les-mines, a été entendu par la police. Il s’est arrêté immédiatement après l’accident. L’adolescent nie avoir grillé la priorité mais les témoins présents indiquent que le feu était vert pour les piétons au moment du drame. Les analyses toxicologiques n’ont révélé aucune présence d’alcool ou de stupéfiants chez le conducteur. Le jeune a été remis à ses parents et devrait être à nouveau convoqué par les policiers.
La victime, Marie-Thérèse Canivenc, vivait à Albi depuis ses 20 ans. Elle était originaire du village de Sérénac et a travaillé comme assistante hospitalière. Cette Albigeoise a longtemps été un membre actif de la CFTC (Confédération Française des Travailleurs Chrétiens).
Pour un des neveux de la victime, ce drame montre «qu’une banale infraction peut avoir des conséquences dramatiques pour la victime, sa famille mais aussi pour le conducteur».
Le parquet d’Albi s’est saisi du dossier. La famille n’a pour l’instant pas porté plainte

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/20/1843865-albi-une-pietonne-meurt-renversee-par-un-scooter.html

mercredi 19 mars 2014

Un motard a une jambe sectionnée dans une collision

Un motard de 40 ans a été très grièvement blessé, ce mercredi à midi, dans une collision avec une voiture survenue sur la RD590 à la sortie d’Espaly-Saint-Marcel, près du château de La Bernarde. Inconscient suite au choc, la victime a eu la jambe droite sectionnée.
Les circonstances de la collision seront établies par les policiers du Puy-en-Velay. La moto roulait en direction de Loudes quand elle s’est déportée sur la voie de gauche.
Evitée par un premier véhicule arrivant en sens inverse, elle s’est encastrée contre une Renault 19 avant d’être projetée contre les glissières de sécurité sur le côté droit. Le motard a été conduit en urgence absolue et sous assistance médiale du Samu 43 sur l’hôpital Emile-Roux.
L’accident a entraîné une coupure de la RD590 pendant plus d’une heure et d’importants bouchons pour sortir du Puy-en-Velay. Le trafic s’est également reporté sur des itinéraires bis de faible gabarit, entraînant des perturbations aux «Estreys» et dans le secteur du golf de Ceyssac et des «Vigneaux».

http://www.leprogres.fr/haute-loire/2014/03/19/collision-a-espaly-saint-marcel-un-motard-a-une-jambe-sectionnee

Un accident mortel sur la Départementale 113 à Lançon

Une collision frontale entre deux véhicules légers sur la Départementale 113 a causé la mort d'une conductrice de 62 ans en début d'après-midi à Lançon de Provence, et a également fait un blessé grave, qui après avoir été désincarcéré a été transporté par hélicoptère à l'hôpital nord de Marseille. La circulation a été coupée dans les deux sens pendant le temps de l'intervention

http://www.maritima.info/depeches/faits-divers/departement/28951/un-accident-mortel-sur-la-departementale-113-a-lancon.html

Ozar Hatorah, 2 ans après : «Ma fille hurlait : papa ça tire, y a des morts !»

Lundi 19 mars 2012. Les derniers parents pressent leurs enfants vers l’école Ozar Hatorah, à Toulouse. Un homme, casqué, observe quelques secondes depuis son scooter. Cet individu qui a déjà tué trois fois voulait exécuter un nouveau militaire ce matin-là. Il ne l’a pas trouvé. Alors il a roulé jusqu’à la rue Jules-Dalou, à Toulouse. Il s’est arrêté, a sorti une arme et a ouvert le feu.
«J’étais au bureau. Il devait être 8 heures. Mon téléphone sonne. Ma fille, alors en troisième, hurle : Ça tire de partout, y a des morts, faut que tu viennes ! J’ai sauté dans ma voiture et j’ai foncé.»
Pierre-Yves, père de deux élèves alors inscrits à Ozar Hatorah, n’a rien oublié. Ni le cœur qui s’emballe, ni l’angoisse qui compresse, ni les radios qui diffusent encore de la musique alors que lui cherche des informations. «Je téléphonais aux parents, aux amis. On ne comprenait pas même si l’information circulait entre proches… Je suis arrivé, enfin. C’était bloqué. Des pompiers, des policiers partout. Tu ne sais pas et tu trembles. On t’annonce un mort, puis une deuxième, un troisième, un quatrième, un cinquième… Le professeur d’hébreu, ses enfants, la fille du directeur. L’horreur. Mes enfants m’appelaient, en larme et je suis resté bloqué dehors pendant des heures.»
Extrait d’une réunion à Purpan, le docteur Ducassé, patron du Samu, roule aussi vers l’école théâtre d’un carnage. «J’ai eu du mal à me frayer un chemin. Une de mes équipes d’intervention se trouvait dans l’école, d’autres arrivaient. Rapidement, ils ont évacué l’adolescent blessé au thorax. Avec le colonel Moine, des pompiers, on a organisé, on essayait. Les réflexes professionnels font agir. Il y avait ce petit garçon qu’on essayait de réanimer. Malgré son état désespéré, nous l’avons évacué pour pas qu’il ne meure sur place.»
Ces enfants, un commandant de police les a vus en arrivant avec ses collègues. «J’étais au commissariat central quand la fusillade a éclaté. On a pris une voiture avec trois collègues de la sûreté pour aller sur place. Nous ne savions rien, même pas si le tireur se trouvait encore là. Quand j’ai franchi le portail de l’école, j’ai découvert une petite fille blonde entourée par les médecins. Ils essayaient de la sauver. Dans mon métier, j’ai vécu des horreurs : les attentats de Paris en 1995, l’explosion de l’usine AZF en 2001. Là c’était différent. Nous étions dans une école, avec des enfants. Que penser devant une petite fille mourante qui a pris une balle en pleine tête ? Tout le monde avait les yeux mouillés de larmes, personne ne parlait mais il demeurait une grande agitation. Je ne sais même pas si les gens de l’école, les enfants notamment, savaient que le tueur s’était enfui.»
«Tu es dehors et tu réalises peu à peu. Tu es devant une école où se trouvent tes enfants. Tu es rassurée parce qu’ils sont vivants et horrifiés par la violence de l’acte, par son antisémitisme, par sa signification. Comment l’interpréter ? Comment l’accepter ?», interroge Pierre-Yves le parent d’élèves.
«J’ai encore devant mes yeux Mme Sandler devant le corps de son mari et de son fils avec une incroyable dignité. Il faut prier, disait-elle», confie le patron du SAMU. «Passé l’émotion, il faut redevenir flic. Nous ne sommes jamais préparés à de telles situations pourtant tu dois affronter, retrouver les bons réflexes, éviter la pagaille de l’émotion», glisse le commandant de police.
«Au bout d’un moment, avec le procureur Valet, nous avons décidé d’aller à la rencontre de tous les élèves, réunis dans le réfectoire. Il fallait parler, improviser un début de cellule psychologique», confie le docteur Ducassé. «Mais comment expliquer ? Que dire ? Comment justifier les actes d’un homme qui vient et tue des enfants ?»
«Tuer des enfants, faut pas», déclare justement un homme devant la télévision d’un café du quartier des Izards. Nous sommes le lundi 19 mars 2012 en fin de matinée. Comme beaucoup d’autres, il regarde les chaînes d’information et s’indigne. Il s’appelle Mohammed Merah. Il a 23 ans. C’est lui l’auteur des assassinats. 36 heures plus tard, le Raid tente de l’interpeller dans son appartement de la rue du Sergent-Vigné. C’est le début du siège. Mohammed Merah, le tueur au scooter, sera finalement tué le 22 mars lors de l’assaut des policiers du Raid. Entre le 11 et le 19 mars, à Toulouse et Montauban, il a assassiné trois militaires, exécuté trois enfants et un père de famille ; et grièvement blessé un adolescent et un autre parachutiste.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=21853&WS=291720_2501986&WA=4108

Cornebarrieu. Un sexagénaire se tue sur la route

Un tragique accident de la circulation s’est produit, hier matin, sur la commune de Cornebarrieu. Les secours ont été contactés aux alentours de 8 h 45 pour une sortie de route. À leur arrivée, le conducteur de la voiture était décédé.
Pour une raison que l’enquête devra déterminer, cet homme qui roulait sur la départementale 65, dans le sens Aussonne-Cornebarrieu, a perdu le contrôle de son véhicule, une Clio noire. Dans une légère courbe, il est parti tout droit avant de percuter violemment une clôture en béton et un arbre. Il ne semble pas avoir freiné.
Cet homme de 64 ans, Léo Carletti, était domicilié à Bouloc, au Nord du département. Les gendarmes de la compagnie Toulouse-Mirail se sont rendus sur les lieux. Ils ont procédé aux premières constatations. La victime a-t-elle été prise d’un malaise qui aura occasionné la sortie de route ? Y a-t-il eu un problème technique sur le véhicule. Une enquête de gendarmerie est ouverte afin de faire toute la lumière sur ce drame.
Depuis le début de l’année, les routes de Haute-Garonne ont cependant enregistré une baisse significative du nombre de tués. Trois personnes ont trouvé la mort entre le 1er janvier et le 28 février contre 10 sur la même période en 2013.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/03/19/1843027-cornebarrieu-un-sexagenaire-se-tue-sur-la-route.html

Tournon-sur-Rhône: un bébé hospitalisé après avoir été violemment secoué

Un nourrisson de 3 mois a été hospitalisé d’urgence à Lyon, lundi dernier. Ce sont ses parents, âgés d’une vingtaine d’années et résidant à Tournon-sur-Rhône (Ardèche), qui ont alerté les secours.
Ces derniers ont avoué que, sous l’énervement, le père aurait secoué l’enfant dans la journée de dimanche. Lundi soir, constatant que leur enfant ne réagissait plus, le jeune couple aurait alors décidé d’alerter les pompiers.
Le nourrisson a d’abord été évacué vers l’hôpital de Valence. Son pronostic vital était alors engagé.
Compte tenu son état de santé, le bébé a été ensuite transporté dans un service de néonatalogie de Lyon.
Si son état s’est stabilisé, l’enfant gardera très certainement des séquelles de cet épisode. Des séquelles qui resteront à déterminer lors de prochains examens.
C’est le parquet qui a signalé l’affaire à la brigade de gendarmerie de Tournon-sur-Rhône, qui a ouvert une enquête. Les parents ont été d’abord placés en garde à vue prolongée, puis écroués.
Une information judiciaire a été ouverte. L’enquête se poursuit actuellement sur commission rogatoire.

http://www.ledauphine.com/ardeche/2014/03/18/un-bebe-hospitalise-apres-avoir-ete-violemment-secoue

mardi 18 mars 2014

Renversée par un véhicule elle meurt à son arrivée à l'hôpital

Ce matin vers 10 heures une femme de 62 ans demeurant à Avignon a été mortellement percutée par un véhicule avenue Pasteur au Pontet. D'après nos informations, la victime est décédée à son arrivée à l'hôpital. Les gendarmes ont ouvert une enquête.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/03/18/renversee-par-un-vehicule-elle-meurt-a-son-arrivee-a-l-hopital

Un père de famille se tue dans un accident, son fils de 9 ans blessé

Un père de famille s’est tué dans un accident de la route entre Azelot et Manoncourt-en-Vermois en Meurthe-et-Moselle. Son fils de neuf ans présent dans la voiture est blessé.
 
Un jeune père de famille, âgé de 31 ans et originaire de Saint-Nicolas-de-Port (Meurthe-et-Moselle) est décédé dimanche soir dans un violent accident de la route vers 20H45 a-t-on appris des secours. Selon les premiers éléments, cet homme qui prenait la route entre Azelot et Manoncourt-en-Vermois au sud de l’agglomération de Nancy a perdu le contrôle de son véhicule et a percuté un talus puis un arbre qui a été déraciné.
Un enfant, fils de la victime et âgé de 9 ans était également dans la voiture au moment du choc. Il a été blessé légèrement selon la même source. L’enfant a été transporté vers l’hôpital tandis que les gendarmes s’efforcent de comprendre les circonstances du drame. Une enquête est ouverte
 

Le corps d'un homme retrouvé au fond d'un vallon à Sainte-Agnès

Macabre découverte que celle qu'ont fait ce lundi matin des agents de Force 06 qui nettoyaient ce matin le vallon en contrebas de la route de l'Armée des Alpes sur la commune de Sainte-Agnès.
C'est sur le corps d'un homme, visiblement là depuis plusieurs jours, qu'ils sont tombés aux environs de 10 heures.
Ils ont immédiatement donné l'alerte à la gendarmerie.
Un technicien d'investigation criminelle est actuellement sur place pour procéder aux premières constatations dans l'attente de l'intervention du peloton de gendarmerie de haute montagne.
Ces spécialistes ont été missionnés pour récupérer le corps qui git dans un ravin particulièrement escarpé.

http://www.nicematin.com/menton/le-corps-dun-homme-retrouve-au-fond-dun-vallon-a-sainte-agnes.1658032.html

Meuse : meurtre passionnel à Montmédy

Les traces des scellés sont encore visibles sur la porte d’entrée de ce logement du 14 avenue du Général-Leclerc à Montmédy dans le Nord de la Meuse. Un logement qui fait partie d’un ensemble situé à une trentaine de mètres de la gendarmerie de la localité. Il y a quelque temps encore ils abritaient des familles de gendarmes avant d’être rétrocédés au domaine civil.
Les volets bleus sont toujours fermés. Le calme est revenu dans ce lieu d’ordinaire paisible. Pourtant, c’est dans cet appartement, portant le numéro 5, que s’est joué un drame samedi 15 mars vers 2 h du matin. Un drame que l’on peut sans doute qualifier de drame passionnel.
Coups de couteau à la gorge, à l’abdomen, au buste et au dos
Selon les premiers éléments, à cette heure-là, l’auteur présumé des faits : Nicolas Watin-Pierson, 29 ans et sans antécédent judiciaire, aurait fait irruption dans l’appartement qui est celui de son ex-compagne âgée de 32 ans de laquelle il est séparé depuis un an et avec qui il a eu un enfant, aujourd’hui âgé de 3 ans et demi.
La jeune femme est en compagnie d’un homme : Francesco Assenza, 43 ans, un Italien récemment arrivé en France où vit une partie de sa famille. Un article de presse paru sur le site internet italien d’informations « Qui cosenza », précise que l’homme était un pizzaïolo originaire de Ciro, une bourgade calabraise, qu’il avait émigré au Luxembourg et qu’il était venu « vivre avec sa compagne lorraine ».
L’auteur présumé des faits aurait d’abord assené des coups au quadragénaire avec une pierre puis se serait saisi d’un couteau dans la cuisine et en aurait donné plusieurs coups à la victime. Cette dernière a été atteinte à la gorge, à l’abdomen, au buste et au dos. Francesco Assenza a rapidement succombé à ses blessures.
L’auteur présumé a ensuite pris la fuite. Rapidement, les gendarmes de la brigade de Montmédy sont sur place et procèdent aux constatations. La substitut du procureur Gory est également sur les lieux. La brigade des recherches de Verdun, elle, se lance sur la piste de l’ex compagnon de la jeune femme. Elle retrouve le jeune homme chez des proches à quelques kilomètres, dans le village de Chauvency-Saint-Hubert. Nicolas Watin-Pierson se rend alors aux forces de l’ordre sans opposer de résistance. Il est placé en grade à vue pour homicide volontaire dans les locaux de la gendarmerie de Montmédy où il aurait reconnu la plupart des faits.
Hier, le parquet de Verdun s’est dessaisi au profit de son homologue nancéien où l’auteur présumé a été déféré. Le parquet a ouvert une information judiciaire pour meurtre et le juge d’instruction a mis en examen l’auteur présumé pour la même qualification. Il a été écroué. L’affaire est désormais à l’instruction.
Quant à la victime, son corps a été examiné par le docteur Frémont, médecin légiste à Verdun, avant d’être dirigé vers l’Institut médico-légal de Nancy où sera pratiquée une autopsie dans les prochains jours.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers

lundi 17 mars 2014

Une femme tuée par son mari

Une femme âgée de 44 ans a été tuée en début d'après-midi de plusieurs coups de couteau portés par son mari qui a ensuite tenté de mettre fin à ses jours en se poignardant, en Saône-et-Loire, a-t-on appris auprès du parquet de Chalon-sur-Saône.

Le meurtre a eu lieu dans la maison ou vivait le couple, à Bissey-sous-Cruchaud (Saône-et-Loire). L'homme, qui s'est lui-même donné un coup de couteau après avoir tué sa femme, était dans un état très grave avec un pronostic vital engagé, a précisé le procureur de la République à Chalon, Christophe Rode.

C'est un proche qui aurait alerté les pompiers.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/03/17/97001-20140317FILWWW00408-tuee-a-coups-de-couteau-par-son-mari.php

L'Wren Scott, la compagne de Mick Jagger, retrouvée morte à New York

La compagne de Mick Jagger a été retrouvée morte dans son appartement new-yorkais ce lundi selon les autorités. L'Wren Scott, créatrice de mode et mannequin, était âgée de 47 ans.

La créatrice américaine de mode L'Wren Scott, compagne de Mick Jagger, a été retrouvée morte dans un appartement à New York, a annoncé lundi un porte parole de la star des Rolling Stones. Mick Jagger est "complètement choqué et dévasté" par le décès de sa compagne a ajouté le porte-parole.
Mick Jagger, 70 ans, et L'Wren Scott formaient un couple depuis 2001, après le divorce de l'icône du rock britannique avec Jerry Hall. Selon les médias américains, l'ancien mannequin a été retrouvée pendue dans son appartement par un assistant lundi matin.
Mick Jagger, qui a eu sept enfants avec quatre femmes différentes, se trouvait lundi en Australie où il est en tournée avec les Rolling Stones