dimanche 30 novembre 2014

Inondations: un mort dans les Pyrénées-Orientales

Un homme de 73 ans est décédé dimanche vers 14H00 à Rivesaltes (Pyrénées-Orientales), en voulant franchir en voiture une cuvette inondée, a annoncé la préfecture.

Le septuagénaire a succombé à un arrêt cardiaque. C'est le premier décès enregistré dans le Sud-Ouest, en proie à une montée des eaux encore plus importante que la crue de 1999, qui avait fait 35 morts et un disparu dans la région.
Le département avait été placé dans la matinée en alerte rouge inondations et les zones à risque avaient été massivement evacuées.

"La situation est sous contrôle" avait déclaré Manuel Valls il y a quelques heures


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/30/97001-20141130FILWWW00117-inondations-un-mort-dans-les-pyrenees-orientales.php

Accident fatal pour un jeune conducteur

Un jeune conducteur originaire de Malause a pour une raison indéterminée, perdu le contrôle de son véhicule la nuit dernière peu avant une heure du matin. L'embardée du véhicule fut telle que le jeune homme à son volant fut mortellement blessé par le choc qui s'en suivit. Les gendarmes ont procédé aux constatations d'usage. La victime est Sébastien Zoladek, âgé de 20 ans, issu d'une famille connue et appréciée dans la cité malausaine. Sébastien était impliqué dans la vie locale. Il était également membre du club de football de Golfech. Hier, la maire de Malause traduisait l'émotion de la commune à l'annonce de cette terrible nouvelle. Le match de football qui devait opposer hier soir Golfech à Saint-Alban a été annulé
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/30/2001981-accident-fatal-pour-un-jeune-conducteur.html

Mortellement fauché par une voiture

Un jeune homme de 20 ans a été renversé par une voiture, ce matin vers 5h30, alors qu'il marchait sur la chaussée, montée d'Avignon à Aix, à proximité d'une station service. Il est décédé.
L'enquête a été confiée aux policiers aixois.  
http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3154998/mortellement-fauche-par-une-voiture.html

samedi 29 novembre 2014

Toulouse. Un détenu découvert pendu à la maison d'arrêt

Un détenu âgé de 59 ans, incarcéré depuis cet été, a été retrouvé pendu ce matin dans sa cellule de la maison d'arrêt de Seysses, près de Toulouse. Malgré l'intervention des gardiens et les gestes de premiers secours, cet homme n'a pas pu être ranimé. Une enquête a été ouverte, confiée à la gendarmerie.
Selon la gendarmerie, l'homme était "suivi pour de multiples tentatives de suicide

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/29/2001624-toulouse-un-detenu-decouvert-pendu-a-la-maison-d-arret.html

Il était mort chez lui depuis un an

La macabre découverte a eu lieu jeudi. Le corps sans vie d'un homme de 35 ans a été retrouvé à son domicile du centre-ville de Fleurance. D'après les constatations du médecin légiste, il était décédé depuis «des mois, voire une année». Il habitait un appartement d'un petit immeuble du 36, rue Monge, juste au-dessus du cabinet de radiologie. C'est à l'occasion de la venue sur place du père de la victime et du propriétaire que le corps a été découvert. Ensemble, ils devaient établir un diagnostic énergie du logement. L'information avait déjà circulé en ville hier.
Beaucoup se demandent comment un tel événement a pu se produire dans «un lieu si fréquenté». D'après certains, il n'avait plus vraiment de contacts avec sa famille.
Le jeune homme était arrivé relativement récemment à Fleurance. Il était connu pour avoir travaillé par le passé dans une entreprise locale de travaux paysagers. Pour l'heure, aucune piste n'est communiquée sur les circonstances de sa mort. Les prélèvements effectués par l'identification criminelle sont en cours d'analyses. Une enquête est ouverte par la gendarmerie de Fleurance.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/29/2001171-il-etait-mort-chez-lui-depuis-un-an.html

vendredi 28 novembre 2014

Béarn : le cycliste renversé par une voiture meurt en contrebas

L'effroyable accident s'est produit peu après 14 heures, hier après-midi, sur le pont de la rocade à Bizanos, en contrebas du château de Franqueville.
Un cycliste qui circulait en direction d'Idron a été percuté par une voiture arrivant de face et circulant en direction d'Idron. Le violent choc a projeté la victime par-dessus le pont.
Tombé dix mètres en contrebas, le cycliste, grièvement blessé, a rapidement été pris en charge par les secours. Transporté dans un état désespéré vers le centre hospitalier de Pau, l'homme s'est éteint quelques minutes plus tard.
La victime, Pierre Brandalise, était un médecin généraliste et acupuncteur de 65 ans. Son cabinet était installé sur la place de la République.
« On a entendu un grand choc et quand on s'est retourné, il était allongé, témoigne Frédéric Bourhouan, qui passait à pied à proximité. Je me suis approché, il était visiblement blessé aux jambes. Il disait qu'il avait très mal. Je pense à sa famille. »

http://www.sudouest.fr/2014/11/28/le-cycliste-renverse-meurt-en-contrebas-1750818-4046.php

VAR. Trois morts et deux disparus, selon un nouveau bilan

11H55.  Trois personnes ont trouvé la mort dans les intempéries qui affectent le Sud-Est et deux personnes demeurent portées disparues, selon un nouveau bilan communiqué ce vendredi par le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve. «Sur La Londe-les-Maures et la commune de Grimaud on déplore deux personnes décédées, une personne décédée a également été trouvée sur la commune d’Hyères», a-t-il dit à la presse à Paris au sujet des inondations dans le Var. «Il reste deux personnes disparues pour lesquelles les secours sont mobilisés.»
9H55. Le corps sans vie d’une femme d’une quarantaine d’années a été retrouvé ce vendredi dans la commune de La Londe-Les-Maures (Var), frappée jeudi par de violents orages, a-t-on appris auprès de la gendarmerie. «Il n’y a aucun élément qui nous permette formellement de déterminer s’il s’agit de la dame que l’on recherche», a-t-on toutefois nuancé, de même source.
Trois personnes sont portées disparues depuis jeudi soir dans cette zone où une femme a déjà péri, selon un bilan préfectoral.

6H55. Une femme de 68 ans a été retrouvée morte et trois personnes, dont une mère et sa fille, étaient toujours portées disparues ce vendredi matin à La Londe-les Maures (Var) après de violentes intempéries, selon la préfecture du département, l’un des 14 en vigilance orange.

En janvier, de précédentes intempéries avaient déjà fait un mort dans cette commune située entre Hyères et le Lavandou. Jeudi soir, des équipes de plongeurs menaient  au bord d’un cours d’eau, le Maravenne, des recherches pour retrouver d’éventuels disparus, après des témoignages rapportant notamment qu’une voiture avait été emportée par les eaux.
Parmi les trois personnes disparues figurent une mère et sa petite fille. Lors de sa visioconférence avec Bernard Cazeneuve, en se basant sur de premières informations complétées ensuite, le préfet du Var avait laissé entendre que la femme retrouvée morte jeudi soir était justement cette mère. Réagissant à ce bilan, le Premier ministre Manuel Valls a fait part dans un communiqué jeudi soir de sa «tristesse» et appelé la population à «la plus grande prudence».
Dans la salle des fêtes de sa ville, le maire de La Londe François de Canson a quant à lui évoqué seulement deux disparus et 200 foyers d’électricité. «Depuis deux jours, il pleut fortement», a raconté M. de Canson.


Vigilance orange encore aujourd'hui
Dans sa ville, où la pluie était fine en début de nuit, de nombreuses routes étaient redevenues praticables. 50 enfants, retenus un temps dans leurs écoles, avaient ainsi pu regagner en début de soirée leurs domiciles. En revanche, à Grimaud, près de Saint-Tropez, quelque 80 enfants devaient passer la nuit dans leurs établissements, avant que leurs parents ne les récupèrent vendredi à partir de 7 heures, selon la mairie de cette ville. Dans cette zone, à Grimaud et La Londe notamment, ont été requis près de 500 pompiers, une cinquantaine de militaires de la sécurité civile, 150 gendarmes, cinq hélicoptères, a déclaré le ministre de l’Intérieur. Une soixantaine d’hélitreuillages ont été réalisés. Ces événements font suite à deux orages «violents et ponctuels» à La Londe et Grimaud, jeudi après-midi, «une charge d’eau énorme tombant sur ces communes en quelques minutes», selon la préfecture, qui a lancé aux habitants du département un appel à la prudence. .

Ce vendredi matin, Météo-France a ajouté l’Aude aux départements en vigilance orange, et a maintenu 13 autres départements en alerte orange: les Pyrénées-Atlantiques, les Hautes-Pyrénées, la Haute-Garonne et l’Ariège, pour des vents violents, et l’Aveyron, l’Ardèche, le Gard, l’Hérault, la Lozère, le Tarn et les deux départements de Corse, pour les risques d’inondations associées à de fortes précipitations. Le Var pourrait enfin être touché par des inondations. La dernière alerte météorologique importante en France remonte à la mi-novembre: cinq personnes circulant en voiture avaient péri dans des accidents provoqués par les intempéries dans le Gard et la Lozère


http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/11/28/une-femme-retrouvee-morte-plusieurs-personnes-toujours-portees-disparues

jeudi 27 novembre 2014

Seine-et-Marne : une mère et de sa fillette retrouvées mortes dans un appartement

Découverte macabre ce jeudi vers 18 heures, dans un appartement de la rue du 21-Août à Souppes-sur-Loing. Les corps sans vie d’une mère de 35 ans et de sa fille de 5 ans ont été découverts. Selon les premières constatations, leurs morts remonteraient à une quinzaine de jours. La petite-fille n’avait pas été vue à l’école depuis ce temps. 
C’est le propriétaire du qui a fait la terrible découverte en ouvrant la porte du logement avec les policiers municipaux. Selon les premiers éléments de l’enquête, deux pistes semblent être privilégiées : un infanticide suivi d’un , ou une intoxication au monoxyde de carbone. L’autopsie des deux corps devrait permettre de déterminer la cause précise des décès. Les enquêteurs du commissariat de Nemours, en charge de l’enquête, n’ont pas trouvé trace d’un mot expliquant un éventuel suicide.

Vers 19 heures, ce sont les techniciens en identification criminelle qui sont arrivés sur place pour faire les différents relevés et tenter de comprendre dans quelles circonstances, la mère et sa fille ont trouvé la . « J’ai été prévenu par les policiers municipaux de ce terrible drame, explique Pierre Babut, le maire de la commune. Je suis très affecté par ce qui vient d’arriver. Personnellement, je ne les connaissais pas. J’ignore tout des circonstances dans lesquelles elles ont trouvé la mort. C’est l’enquête qui le déterminera. »
Les proches voisins, eux, sont sous le choc, à commencer par cette mère de famille qui habite une maison un peu plus haut dans la rue : « On a du mal à croire ce qui s’est passé. C’est pourtant à notre porte. En plus, si leur décès remonte à plusieurs jours, c’est affreux. On ne s’est aperçus de rien. Chacun est occupé par sa propre vie égoïstement.
http://www.leparisien.fr/souppes-sur-loing-77460/souppes-sur-loing-les-cadavres-d-une-mere-et-de-sa-fille-retrouves-27-11-2014-4327853.php

Tué sur une route nationale pour des phares

Un homme a été mortellement percuté jeudi par un automobiliste sur une route nationale de Seine-et-Marne, alors qu'il venait de descendre de sa voiture pour lui demander de couper ses pleins phares.

L'accident s'est produit peu après 17h sur la RN3 à hauteur de la commune de Trilbardou, à une dizaine de kilomètres de Meaux à l'est de Paris. "Il y avait un bouchon. Une voiture est arrivée, avec les pleins phares, et un des passagers de la voiture de devant est descendu pour lui demander de les éteindre", ont raconté les gendarmes de Seine-et-Marne.

Selon les premiers éléments de l'enquête, l'automobiliste aurait alors "percuté" le piéton avant de prendre la fuite en s'engageant sur la voie de circulation inverse. La victime, dont l'identité n'a pas été précisée, a rapidement succombé à ses blessures, ont précisé les gendarmes.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/27/97001-20141127FILWWW00396-tue-sur-une-route-nationale-pour-des-phares.php

Pays basque : un frère et une soeur meurent dans un incendie

L'alerte a été donnée ce lundi à 13h40 par les voisins pour un incendie déclaré dans une maison d'habitation de Saint-Martin-d'Arberoue (canton d'Hasparren).
Un frère et une soeur, quadragénaires, ont trouvé la mort dans l'incendie. Le frère était handicapé moteur et en fauteuil roulant. L'incendie a été en partie maîtrisé par les voisins.
  • Autopsie dans les prochains jours
Arrivés sur les lieux, les pompiers ont fini de circonscrire le sinistre. Mais les deux personnes ont péri. Le corps de l'homme est brûlé de façon importante.
L'enquête a été ouverte par la compagnie de gendarmerie de Bayonne et un magistrat du parquet s'est rendu sur les lieux.
L'hypothèse est celle d'un suicide, selon le parquet de Bayonne, qui devra être confirmée. L'identification criminelle était sur place. Une autopsie sera pratiquée à l'institut médico-légal de Bordeaux dans les prochains jours.
http://www.sudouest.fr/2014/11/26/pays-basque-un-frere-et-une-soeur-morts-dans-un-incendie-1749194-4018.php

Australie: Le joueur de cricket touché à la tête par un lancer est décédé

Le joueur de cricket australien Phillip Hughes est décédé ce jeudi des suites de ses blessures après avoir été touché de plein fouet à la tête par un lancer, a annoncé le médecin de l'équipe australienne. «Il est de mon triste devoir de vous infomer que Phillip Hugues est décédé il y a peu», a déclaré le Dr Peter Brukner dans un communiqué.

Sur le point de retrouver l'équipe nationale

Le batteur de 25 ans, qui était sur le point de retrouver l'équipe nationale australienne, disputait un match du championnat des provinces australiennes lorsque le drame est arrivé. «Il n'a jamais repris conscience après avoir été blessé mardi», a ajouté le médecin. «Il n'a pas souffert et était entouré de sa famille et des amis proches. La communauté du cricket est en deuil et présente ses plus profondes condoléances à sa famille et à ses amis».
Le joueur de l'équipe d'Australie Méridionale avait été atteint à la tête de plein fouet par une balle lancée par un joueur de Nouvelle-Galles du Sud lors d'un match entre les deux Etats australiens comptant pour la Sheffiel Shield. Après le choc, Hughes avait chancelé quelques instants, avant de s'écrouler inconscient face contre terre
http://www.20minutes.fr/sport/1489335-20141127-australie-joueur-cricket-touche-tete-lancer-decede

Face à face mortel dans les gorges

La série noire continue sur la RD 118, dans la très grande courbe des gorges de Luc-sur-Aude. Hier en fin de matinée, la collision frontale entre deux véhicules a coûté la vie à Aracely Vencell, 67 ans, domiciliée à Espéraza. Au volant de sa Renault Supercinq blanche, Arracely Vencell circulait dans le sens Limoux-Quillan lorsque dans la grande courbe, son véhicule s'est soudain déporté sur la gauche, pour une raison que l'enquête de gendarmerie devra préciser, et a percuté de plein fouet une Renault Modus qui arrivait en face. À bord de la Renault Modus, Gérard Ourtal, 62 ans, domicilié lui aussi à Espéraza, n'a rien pu faire pour éviter le choc. À l'arrivée des pompiers de Couiza et de l'équipe du SMUR de Quillan, la conductrice était en arrêt cardiaque et devait décéder sur les lieux de l'accident. Quant à Gérard Ourtal, seul à bord de son véhicule, il était dirigé par les pompiers vers le centre hospitalier de Carcassonne pour un traumatisme costal. Sur place, les gendarmes de la brigade de Quillan sous le commandement de l'adjudant Nou et du capitaine Grau, de la compagnie de Limoux, ont procédé aux constatations d'usages, sur une portion de route très accidentogène. En effet, ce virage, cette longue courbe, a déjà fait la «une» de l'actualité par ses nombreux accidents matériels ou mortels… «TF1» lui consacrant même un reportage en mai 2011 intitulé «le virage de la mort». C'est en tout cas dans ce virage, encore une fois, que le destin, aussi cruel soit-il, a encore frappé.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/27/1999595-face-a-face-mortel-dans-les-gorges.html

mercredi 26 novembre 2014

Hockey : information judiciaire dans l'enquête du garçon tué à Dunkerque

Le procureur de la République de Dunkerque a annoncé l'ouverture d'une information judiciaire sur le décès d'un jeune supporteur de hockey sur glace, âgé de 8 ans, lors d'un match de 2e division opposant Dunkerque à Reims début novembre.

"Je vais ouvrir une information judiciaire aujourd'hui ou demain", a déclaré mercredi Eric Fouard. "On a reçu un certain nombre d'informations, des témoins qu'on a entendus ou qui vont l'être. Des vérifications vont être faites. C'est plus facile et plus transparent pour tout le monde de le faire dans le cadre d'une information judiciaire, car ça permet un accès au dossier, ce que ne permet pas réellement une enquête préliminaire", a-t-il dit.

Le 2 novembre, Hugo, qui se trouvait dans les tribunes de la patinoire, avait été violemment touché au niveau d'une oreille par un palet qui était sorti de l'aire
de jeu avant de succomber à l'hôpital de Dunkerque. Licencié, le garçon jouait pour l'équipe des moins de 9 ans des "Corsaires". Un palet, ou rondelle de hockey, fabriqué principalement à base de caoutchouc naturel, pèse 170 grammes, et peut être envoyé jusqu'à plus de 180 km/h.

Ce drame avait causé une vive émotion dans le monde du hockey français et dans la région de Dunkerque. Près de 1.000 personnes avaient assisté aux funérailles à Coudekerque-Branche (Nord), le 10 novembre. "Il semble que dans ce sport le palet sorte souvent du terrain, donc je vais voir si c'est le cas à Dunkerque et si des choses ont été faites pour pallier ces choses-là ou non", a ajouté M. Fouard. "Est-ce que cet accident était imprévisible ou est-ce que c'est quelque chose qui aurait pu être prévenu ? C'est le sens des investigations en cours", a-t-il souligné.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/2014/11/26/hockey-information-judiciaire-dans-l-enquete-du-garcon-tue-dunkerque-600394.html

Une septuagénaire décède des suites d'un accident à Mios (33)

Elle n'a pas survécu à ses blessures. Dès lundi après-midi, son pronostic vital était engagé. Héliportée vers l'hôpital Pellegrin, une septuagénaire victime d'un accident de la circulation est décédée au petit matin mardi.
L'accident est survenu dans le sens Bayonne-Bordeaux sur l'A63 à Mios. Selon les premiers éléments dont disposaient les gendarmes du peloton autoroutier, le véhicule conduit par son mari est entré en collision par l'arrière avec un camion d'une société lituanienne alors qu'il entamait une manoeuvre de dépassement.
Prisonnière des tôles, la femme avait dû être désincarcérée. Le mari avait été hospitalisé pour des examens.
http://www.sudouest.fr/2014/11/26/une-septuagenaire-decede-des-suites-d-un-accident-a-mios-33-1748806-3004.php

Ariège : Un couple de Britanniques retrouvé sans vie dans sa maison

Ils vivaient dans une maison de campagne, excentrée du cœur de Fabas. Non loin des prés et des collines boisées du Volvestre ariégeois. C'est là que les corps d'un couple de Britanniques, les Hawkins, ont été retrouvés, ce lundi. Ce matin-là, alors qu'elle se rend chez le couple, c'est la femme de ménage qui retrouve les corps de Derek et Sheila. Lui avait près de cent ans, elle un peu plus de quatre-vingt-cinq.
Les gendarmes de la brigade de recherche de Saint-Girons et de la brigade territoriale de Sainte-Croix-Volvestre sont chargés de l'enquête, ouverte par le parquet de Foix. La thèse privilégiée par les enquêteurs serait celle du meurtre de l'épouse par son mari, qui se serait lui-même suicidé. «C'est la piste qui semble être la plus probable», dit Géraldine Labialle, vice-procureure placée à Foix. Aucune trace de lutte n'a été retrouvée sur place. Selon les premières constatations, l'arme utilisée aurait été celle de l'homme, une arme de poing de calibre 22 long rifle. Et il aurait indiqué à son kinésithérapeute être «moralement fatigué». Il aurait encore dit que «si je pars, ce ne sera pas seul».

Installés là depuis une trentaine d'années

Les Hawkins, «c'étaient des gens connus à Fabas», dit le maire, Simon Bavard.
Ils s'étaient installés là il y a une trentaine d'années, se souvient le premier magistrat. Et de toute façon, dans un village de 390 habitants, tout le monde se connaît un peu. «Totalement surpris», Simon Bavard se rappelle avoir croisé le couple à la mairie, parfois chez eux, parfois quand ils allaient faire les courses dans le centre du village, «chez le boulanger». Le souvenir qu'il garde, c'est surtout celui d'un «couple passionné par l'élevage de chiens». Ils élevaient des teckels chez eux, au lieu-dit Clot-de-Bousquet.
Des investigations sont toujours en cours, et des autopsies doivent avoir lieu, aujourd'hui à Toulouse.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=37917&WS=291720_2501986&WA=7684

Avignon: une mère de famille chute d'une vingtaine de mètres et décède

 43 ans, elle n’a pas survécu à une chute d’une vingtaine de mètres.
Cette mère de famille est tombée depuis une fenêtre de son appartement au quatrième étage du 2 rue de la Bancasse, dans le centre-ville d’Avignon. « J’ai entendu un grand bruit alors je suis sortie. Elle était allongée par terre. Au bout de quelques minutes, elle s’est mise à me parler », raconte une témoin de la scène.

Elle tombe du quatrième étage au milieu des passants

Policiers nationaux et municipaux sont arrivés les premiers sur les lieux. Il était un peu moins de midi. Les sapeurs-pompiers les ont rejoints seulement quelques minutes après. Tout a été mis en œuvre pour prendre en charge la victime le plus vite possible. Evacuée vers l’hôpital d’Avignon, Céline Charles a perdu connaissance peu après. Elle ne s’est jamais réveillée.
Reste à savoir comment et pourquoi cette Avignonnaise s’est défenestrée ? D’autant que des témoins disent avoir entendu des cris. Et que son appartement était en « désordre », confie un proche de l’enquête. « Pour l’instant, il n’y a aucune raison et aucun élément qui permette d’impliquer un tiers », précise Bernard Marchal, procureur de la République à Avignon. Toutefois, une enquête est en cours.
Dès aujourd’hui, une information judiciaire du chef de “recherche des causes de la mort” va être ouverte. Un juge d’instruction sera saisi. Dans les jours qui viennent, un examen toxicologique et une autopsie devraient permettre d’y voir plus clair.

http://www.ledauphine.com/vaucluse/2014/11/25/chute-mortelle-d-une-mere-de-famille

mardi 25 novembre 2014

Le patron du Smur d'Avignon tué dans un accident à Bonnieux

Le Dr Jacques-Emmanuel Trouvé, médecin urgentiste, était à vélo lorsqu'un autobus l'a heurté
Un médecin a été tué dans un accident de la route, hier, en fin de matinée à Bonnieux. Le Dr Jacques-Emmanuel Trouvé était le responsable du Smur d'Avignon, ce service mobile d'urgence et de réanimation rattaché aux urgences du centre hospitalier Henri-Duffaut, appelé à intervenir avec une ambulance à la demande du Samu.
Âgé de 48 ans, Jacques-Emmanuel Trouvé faisait du vélo lorsqu'il a été heurté, peu après 11 heures, par un bus du réseau départemental Transdev, sur la route de Ménerbes à Bonnieux. Il est mort sur le coup. La petite route départementale 3 a dû être fermée durant plus d'une heure à la circulation pour permettre aux équipes de secours et aux gendarmes de la compagnie d'Apt d'effectuer leur travail et de procéder aux premières constatations sur les lieux du drame. D'après nos renseignements, le bus était en train de procéder à un dépassement quand le cycliste a été accroché. Le conducteur de l'autocar, 55 ans, a été placé en garde à vue peu après les faits pour permettre aux militaires de déterminer avec précision les causes de la tragique collision. Si le conducteur n'avait pas consommé d'alcool ni de stupéfiants, sa manoeuvre de dépassement sur cette route particulièrement étroite pourrait caractériser une faute d'imprudence.
Du côté des équipes de sapeurs-pompiers mais aussi de médecins urgentistes avec qui le médecin était habitué à travailler, c'est la consternation. "Jacques était praticien à Avignon depuis une quinzaine d'années, témoigne le Dr Stéphane Bourgeois, médecin urgentiste, chef de service du Samu 84. Au sein du Smur et des urgences, il était reconnu".
Le Dr Jacques-Emmanuel Trouvé s'était très tôt intéressé durant ses études aux urgences vitales et particulièrement à la prise en charge des Accidents vasculaires cérébraux (AVC). En lien avec l'ARS, l'Agence régionale de santé, il avait contribué, à l'automne 2013, à mettre en place l'unité neurovasculaire avec le Dr Patricia Tourniaire, chef du service. "C'était un grand praticien, un grand médecin. Il a fait énormément de choses", ajoute Stéphane Bourgeois. "Les équipes sont atterrées. Nous sommes très malheureux", ajoutait hier Stéphane Bourgeois, très ému par la disparition de son camarade.
Son décès brutal a également plongé la commune de Puget, où il résidait, dans une profonde tristesse. "Il était d'un extrême dévouement. C'est un choc terrible car M. Trouvé était toujours souriant, prévenant. J'ai rarement vu quelqu'un avec autant de qualités", se souvient le maire du petit village, parlant d'un homme doté d'une "vraie élégance morale".
Le journal La Provence, qui avait eu l'occasion de réaliser des reportages avec le médecin urgentiste à plusieurs reprises dans la région, présente ses sincères condoléances à sa compagne Véronique, à ses deux garçons et à ses proches.

http://www.laprovence.com/article/edition-avignon-grand-avignon/3144914/le-patron-du-smur-davignon-tue-dans-un-accident-a-bonnieux.html

lundi 24 novembre 2014

Une défaillance technique est-elle à l’origine de l’accident mortel ?

ANCHAMPS (08). Dimanche matin, une sortie de route entre Anchamps et Laifour a coûté la vie à un automobiliste de 25 ans, natif du Revinois. La victime se rendait chez des amis.
Le choc dû à l’accident, aggravé par une température de la Meuse inférieure à 10º C n’ont laissé aucune chance, dimanche matin, à un automobiliste de 25 ans.
Vers 4 heures, le jeune homme a perdu le contrôle de sa voiture, une Volkswagen Golf, alors qu’il circulait sur la voie verte entre les communes d’Anchamps et Laifour, à proximité de Revin.
Arrivée à hauteur du hameau dit « La petite commune », le véhicule qui roulait vers la cité revinoise a chuté dans la Meuse après avoir mordu l’accotement sur plus de 50 mètres, laissant présager l’issue dramatique.

Originaire des Ardennes, il vivait en Belgique

Le jeune homme n’a hélas pas survécu à ses blessures et son décès a été constaté aux alentours de 9h30. Si on ne connaît pas encore l’identité de la victime, on sait qu’elle vivait en Belgique mais qu’elle était native du Revinois. L’automobiliste se rendait vraisemblablement chez des amis de cette région dont il était originaire.
L’enquête, afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame, a finalement été confiée à la compagnie de gendarmerie de Revin et aux gendarmes de la brigade de Fumay.
Les premières constatations ont été effectuées immédiatement après le choc afin de savoir si un élément extérieur, peut-être un animal, pourrait être à l’origine de cette sortie de route.
Le véhicule accidenté a, quant à lui, été repêché dans la Meuse par des plongeurs de la gendarmerie de l’Aube. Il devrait être expertisé dans les prochains jours pour savoir si une défaillance technique ne serait pas à l’origine de cette sortie de route mortelle

http://www.lunion.com/region/une-defaillance-technique-est-elle-a-l-origine-de-ia18b0n444774

Il ne survit pas à son second crash en l'espace d'un an et demi

L'ancien inspecteur des impôts limouxin, qui vivait à Véraza, n'a pas survécu à son deuxième crash en un an et demi. C'est dans l'Hérault, avec deux passagers à bord de son aéronef, qu'il s'est écrasé, samedi après-midi. Sa cousine germaine est également décédée.
Le temps était splendide et idéal, samedi matin, quand Jean-Paul Vignel a décollé de l'aéroport de Nogaro dans le Gers. Il était 9 heures et, en compagnie de sa cousine Brigitte Ducoq et de son époux Jacques, ils devaient se rendre dans les Bouches-du-Rhône…
Vers 11 heures, l'avion de marque Gardan, un petit 4 places, s'est volatilisé. Il a disparu des écrans radar…
Sur les hauts cantons de l'Hérault, au nord de Béziers, le temps était bien moins clément et c'est là, dans les bois près du col de Rodomouls, au cœur du parc naturel du Haut-Languedoc, que l'avion s'est crashé, dans des circonstances indéterminées et sous le regard d'aucun témoin.
Jacques Ducoq a pu s'extraire de l'aéronef démembré et, malgré ses blessures gravissimes, a pu donner l'alerte en hélant des chasseurs qui se trouvaient dans le secteur.
Les services de secours se sont rendus sur place et n'ont pu que constater le décès de Jean-Paul Vignel, âgé de 63 ans, et de sa cousine Brigitte Ducoq, 53 ans.
Le survivant, quasi miraculé, a été
admis dans le service des grands brûlés de l'hôpital Lapeyronnie à Montpellier. Il souffre de lésions nombreuses, notamment au visage ainsi que de plusieurs fractures. Hier, son pronostic vital n'était plus engagé.
Dans le petit monde de l'aviation audoise, nul ne s'expliquait l'accident survenu samedi, surtout eu égard à la grande expérience de pilotage de Jean-Paul Vignel, licencié à l'Aéro-Club de Castelnaudary depuis longtemps.

Miraculé en 2013

Au mois d'avril 2013, il avait déjà fait la «Une» de notre quotidien quand, à Dreuilhe dans l'Ariège, il avait réalisé un atterrissage d'urgence après que le moteur de son avion avait rencontré une défaillance en survolant les vestiges du château de Montségur. Les dégâts matériels furent importants et si les quatre occupants ont été blessés, deux légèrement et deux autres, dont le pilote, un peu plus gravement, le pire avait été bel et bien évité.
Ce ne fut malheureusement pas le cas samedi.
Ancien inspecteur des impôts, père de deux enfants, Fanny et Franck, il vivait à Véraza et était surtout connu, apprécié et respecté pour les nombreuses actions humanitaires qu'il a menées avec ses avions en direction de l'Afrique surtout. Il présida l'association Partance, basée à Toulouse, et au début des années, il fit beaucoup parler de lui quand il achemina, avec Cessna, des milliers de verres de lunettes en direction du Sénégal.
Hier encore, des techniciens examinaient l'épave de son Gardan afin de déterminer les causes de ce crash tragique.

dimanche 23 novembre 2014

Un avion décolle de Nogaro et s'écrase près de Béziers : deux morts et un blessé

Deux personnes ont trouvé la mort et une troisième a été grièvement blessée samedi dans le crash d'un avion de tourisme près de Béziers . Un appareil qui avait décollé à Nogaro dans le Gers. Parmi les victimes, deux Gersois.
L'appareil a décollé vers 9H30 de l'aérodrome de Nogaro dans le Gers et faisait route vers Aix-en-Provence. Ce petit avion 4 places de type Gardan a percuté la montagne à hauteur du col de Redoubouls sur la commune de Riols dans l'Hérault, dans une clairière au bord d'un bois, près du parc naturel du Haut-Languedoc.

Le seul rescapé de cet accident, une Gersois, quoique grièvement blessé, est parvenu à marcher et a rencontré des chasseurs qui ont donné l'alerte, vers 13h30. L'épave de l'avion et les deux corps (une personne originaire du gers et une autre de l'Aude, le pilote) ont été découverts après 16H00 sur un site difficile d'accès, qui a nécessité la mobilisation d'une cinquantaine de pompiers, d'une trentaine de gendarmes et d'un hélicoptère de la gendarmerie

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2014/11/22/un-avion-decolle-de-nogaro-et-s-ecrase-pres-de-beziers-deux-morts-et-un-blesse-597962.html

L'hommage à Michèle de Castelbajac, tuée par un déséquilibré

Environ 150 personnes étaient hier matin à Monfort pour rendre un dernier hommage à Michèle de Castelbajac. Avant la cérémonie prévue le 7 décembre aux Invalides.
Les obsèques de Michèle de Castelbajac se sont déroulées hier matin à Monfort. Famille, amis et villageois se tenaient sur le parvis de l'église Saint-Clément pour rendre un dernier hommage à la vicomtesse décédée dans d'atroces circonstances le 12 novembre dernier.

L'éloge de Mgr Gardès

A l'arrivée du cercueil, Mgr Gardès, l'archevêque d'Auch, a béni le corps de la défunte. Lors de son éloge, il n'a jamais évoqué le meurtre dont elle a été victime. Mais il a, à plusieurs reprises, évoqué «la violence de sa disparition» qui doit aussi amener chacun à «profiter de la vie humblement». Venu à la cérémonie entouré de ses deux enfants et de son ancienne épouse, le fils de Michèle de Castelbajac, Guillain, a également largement salué le parcours d'une mère dont il est si «fier» devant environ 150 personnes qui garnissaient les rangs de l'église Saint-Clément. Dont le frère et la sœur de Michèle, forcément très affectés par cette disparition. Jean-Charles, le célèbre couturier, n'a en revanche pas été aperçu sur le parvis de l'église. Le recueillement s'est ensuite poursuivi dans la plus stricte intimité familiale au cimetière de Sainte-Gemme où a eu lieu l'inhumation dans le caveau familial. Et où l'époux de Michèle, Jean, avait d'ailleurs été enterré en août dernier.
Une cérémonie initialement prévue en son honneur aux Invalides, à Paris, le 7 décembre prochain sera aussi tenue pour Michèle de Castelbajac. A 78 ans, elle laisse un trou béant dans le cœur de nombreuses personnes mais son fils espère bien continuer à faire vivre cette «flamme» qui lui était propre au château.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/23/1996942-l-hommage-a-michele-de-castelbajac.html

samedi 22 novembre 2014

Décès brutal d'une élue à la fin du conseil municipal

Les élus venaient à peine de prendre place à table pour partager le repas, après la séance du conseil municipal, jeudi peu avant 22 heures, lorsque Liliane Poinsot a fait un malaise (lire notre édition d'hier). D'abord prise en charge par ses collègues qui lui ont prodigué les premiers secours avec l'aide de la police municipale, elle a ensuite été secourue par les sapeurs-pompiers, rapidement rejoints par une équipe médicale du Samu. Après une heure de massage cardiaque, Liliane Poinsot n'a pas pu être ramenée à la vie dans la stupeur générale. Elle avait 67 ans.
Réélue conseillère municipale en mars dernier sur la liste «Pour les Blagnacais», Liliane Poinsot avait fait son entrée au conseil municipal en 2008.

L'hommage du maire

«C'est avec une grande émotion qu'en mon nom personnel et au nom du conseil municipal, j'adresse à la famille de Liliane Poinsot, à son mari Jackie, à ses trois enfants, à ses amis et à son groupe politique, nos profondes condoléances et toute notre sympathie attristée», indique Bernard Keller, maire de Blagnac. «Son décès brutal a profondément choqué l'ensemble des élus blagnacais présents au moment de son accident cardiaque. Liliane Poinsot était impliquée dans les questions sociales et environnementales. Elle siégeait à la commission Cadre de vie et au Conseil d'administration du CCAS. Ses régulières interventions en conseil municipal témoignaient de son profond attachement à Blagnac et plus particulièrement à son quartier d'Odyssud, qu'elle chérissait».

La perte d'une amie

Très attristé par sa disparition qui s'est déroulée sous ses yeux, Régis Léonard était depuis près de dix ans son compagnon de route sur les bancs de l'opposition. «Nous étions déjà colistiers sur la liste de Jacques Puig», rappelle le conseiller municipal. «C'était une personne qui allait au fond des choses, qui étudiait les dossiers. Elle luttait contre les injustices. Elle était aussi chaleureuse et n'hésitait pas à rendre service».
Les obsèques de Liliane Poinsot auront lieu mercredi 26 novembre à 9 heures à l'église Saint-Pierre de Blagnac, suivies d'une cérémonie au crématorium de Cornebarrieu.
La Dépêche du Midi adresse à sa famille ses sincères condoléances.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/22/1996306-deces-brutal-elue-fin-conseil-municipal.html

Dernier hommages à J.-P. Fauché : une foule considérable

Plusieurs centaines de personnes s'étaient rassemblées hier matin en l'abbatiale de Moissac pour partager l'émotion que leur avait provoquée la disparition soudaine et inexpliquée de Jean-Pierre Fauché.
Certains avaient même dû suivre l'office depuis le parvis ou la place Durand-de-Bredon, tant l'affluence outrepassait la capacité d'accueil de notre église. Jean-Michel Henryot, maire, Pierre Guillamat et Guy-Michel Empociello, conseillers généraux, de nombreux autres élus, dont Bernard Garguy, maire de Lizac et président de l'Intercommunalité, et plusieurs personnalités du monde économique et consulaire entouraient la famille et côtoyaient dans la nef une foule bouleversée.
La cérémonie religieuse fut précédée par la prise de parole, au nom du Conseil Général, de Guy-Michel Empociello qui souhaita «rappeler la mémoire d'un grand chef d'entreprise qui fut pour nous tous, tarn-et-garonnais, un exemple précieux.» Son hommage, bref mais poignant soulignera l'engagement du défunt qui le «conduira à mettre sa vie en péril, et même à la perdre».
Sa fille, sa nièce et des amis se succédèrent ensuite pour évoquer «les moments de bonheur que tu nous as apportés», pour décrire le «bâtisseur hors-norme», «homme des situations difficiles» qui vient de disparaître en laissant «tous tes amis chefs d'entreprise désemparés», ou exprimer «la fierté d'avoir connu un homme d'exception», qui a «vécu comme un éclair et est parti de même».
Avant que débute le cérémonial, on a pu entendre ce commerçant rappeler à ses interlocuteurs «il a fait mon premier magasin à Villemade, en 1968». C'est dire l'ancienneté de la présence de Jean-Pierre Fauché (depuis 1963) et l'étroitesse de ses relations avec le tissu économique local.
Et si, dit l'un des orateurs : «nous sommes heureux d'avoir partagé avec toi des moments de joie», un autre ajoutera : «de là-haut, on sait que tu nous observes de ton œil de maître».
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/22/1996689-une-foule-considerable-pour-accompagner-j-p-fauche.html

vendredi 21 novembre 2014

Yonne : un motard est décédé cette nuit près d’Auxerre

Cette nuit, vers 0h30, un homme de 22 ans qui circulait en moto n’a pu éviter une voiture qui arrivait en sens inverse sur la D124, entre Auxerre et Venoy. Il est mort sur le coup.
Cette nuit, un homme de 22 ans qui circulait en moto sur le D124 entre Auxerre et Venoy a percuté de plein fouet un véhicule qui venait en sens inverse. Cela s’est passé sur la commune d’Egriselles (Yonne). Le motard est mort sur le coup.
D'après les premières indications de l'enquête de gendarmerie, le véhicule roulait à vive allure et se serait déporté. Le chauffeur, choqué, a été placé en garde à vue.

La route a été fermée une partie de la nuit, la circulation est revenue à la normale ce matin

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne/2014/11/21/yonne-un-motard-est-decede-cette-nuit-pres-d-auxerre-596948.html

Percuté et tué par un véhicule en poussant sa moto

Hier soir vers 22h15, sur la route départementale reliant Carpentras et Caromb, un motard en panne, qui poussait sa moto en marchant vers Caromb, a été percuté par l'arrière, par un véhicule roulant dans le même sens. Le choc a été terrible.

Projeté à plusieurs mètres, ce Carombais de 37 ans devait décéder un peu plus tard, sur le lieu même du drame. Les sapeurs-pompiers ont essayé de le ranimer pendant près d'une heure, en vain. Les policiers ont procédé aux constatations d'usage afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident.

Le conducteur de la voiture a été soumis à un test d'alcoolémie, qui s'est révélé négatif. Selon les premiers éléments de l'enquête, il a été établi que cet automobiliste, également domicilié à Caromb, n'a pas vu le piéton, invisible sur le bas-côté de la chaussée, dans cette nuit noire, sans lune, opacifiée par des nappes de brouillard.


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3140570/percute-et-tue-par-un-vehicule-en-poussant-sa-moto.html

Elle aurait confié avoir enterré son bébé

Une mère d'un nourrisson de 7 semaines a été mise en examen pour homicide volontaire et incarcérée, rapporte Sud Ouest. La femme de 41 ans aurait affirmé avoir enterré sa fille.

Les enquêteurs ont entamé depuis deux semaines des recherches à Peujard (Gironde) mais la petite Jade reste introuvable. en l'absence de corps, il est très difficile pour les enquêteurs de dire ce qu'il s'est vraiment passé le 6 novembre dernier, date à laquelle, le nourrisson a disparu.

Après avoir "confié" à un proche son acte, elle aurait fait une tentative de suicide en avalant des médicaments. Interrogée par les gendarmes à son réveil, elle est restée vague sur le déroulement de la journée du 6 novembre. Son témoignage serait "difficilement exploitable" par les enquêteurs


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/21/97001-20141121FILWWW00042-elle-aurait-confie-avoir-enterre-son-bebe.php

jeudi 20 novembre 2014

Lot-et-Garonne : collision entre une voiture et un camion à Damazan, un mort

Un octogénaire est décédé des suites de ses blessures vers 14 heures ce jeudi 20 novembre, sur la RD 8 à Damazan, près de Tonneins.
L'automobiliste, âgé de 86 ans, n'aurait pas marqué l'arrêt à une intersection au moment où un poids-lourd arrivait à la hauteur de sa voiture. Les pompiers ne sont pas parvenus à le réanimer

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=37529&WS=291720_2501986&WA=7607

Artigueloutan : un jeune homme décède, percuté par un camion

Un jeune homme est décédé mercredi soir après avoir été percuté par un camion sur la D 817, à hauteur d'Artigueloutan.
 
L'identité de la victime n'avait pu être dévoilée hier, le jeune homme n'ayant aucun papier sur lui au moment du drame. D'après les premiers éléments recueillis sur place par les secours et les gendarmes, il pourrait s'agir d'un acte volontaire.
http://www.sudouest.fr/2014/11/20/artigueloutan-un-jeune-homme-decede-percute-par-un-camion-1742169-3977.php

Charente-Maritime : une mère de famille de 22 ans décède dans un accident

Un voiture et un poids-lourd sont entrés en collision ce jeudi matin à Cozes, près de Royan. La conductrice de l'automobile est décédée. Sa fillette est grièvement blessée
ne voiture et un poids-lourd sont entrés en collision ce jeudi vers 9 heures sur la départementale 730 (axe Mirambeau-Royan), en direction de Royan, entre Grezac et Cozes.
Une mère de famille et son enfant étaient à bord de l'automobile, une Renault 21. La conductrice, âgée de 22 ans, est décédée. Son enfant, une petite fille âgée d'environ 3 ans et demi, est grièvement blessé. La fillette a été prise en charge par les pompiers et une équipe du Smur de Royan. 

Traumatisme crânien

L'hélicoptère Dragon 17 de la sécurité civile a aussi été dépêché sur le site de l'accident. A son bord, une équipe du Smur de La Rochelle. D'après notre correspondant sur place, la fillette, victime d'un traumatisme crânien, va être transportée par hélicoptère à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux. 
Choqué, le chauffeur du camion-benne, un homme de 53 ans dépendant de la société Aunis Saintonge Electricité basée aux Gonds, a été pris en charge par les pompiers et transporté à l'hôpital de Royan. Il est originaire de Saintes.

Traînée sur 40 mètres

Quant aux circonstances de l'accident, dont l'enquête est de la compétence de la gendarmerie, il apparaît que la conductrice de la voiture, qui circulait sur la route de Chambrefief, a traversé la RD 730 à l'entrée de Cozes. Eblouie par le soleil, elle n'aurait pas vu le camion-benne qui arrivait sur sa droite. Le chauffeur a été surpris et a freiné, mais a percuté la voiture de plein fouet. La fillette était assise à l'arrière gauche du véhicule. La Renault 21 a été traînée sur 40 mètres.
Les gendarmes ont procédé aux dépistages de circonstance sur le chauffeur. L'enquête devra déterminer si la circulation et le chargement du poids lourd étaient conformes à la réglementation.  
Selon nos informations, la jeune conductrice était originaire de Chenac-Saint-Seurin-d'Uzet.

http://www.sudouest.fr/charente-maritime/grezac/

Une religieuse retrouvée morte dans une dépendance de l'ancien couvent

La macabre découverte a eu lieu hier matin, vers 10 heures. Ce sont les gendarmes qui ont retrouvé le corps sans vie de sœur Marie-Jeanne, née Yvonne Bousquet, âgée de 83 ans, dans un bâtiment non loin de la maison de retraite de Clairvaux. C'est samedi, en fin de journée que la disparition de la religieuse avait été signalée entraînant, dès dimanche matin, une forte mobilisation pour retrouver la disparue. Outre une trentaine de gendarmes, deux équipes cynophiles, un hélicoptère, deux équipes de plongeurs des sapeurs pompiers de l'Aveyron, les personnels de la maison de retraite et de nombreux particuliers ont pris part aux recherches pendant ces cinq jours.
Sœur Marie-Jeanne, atteinte de la maladie d'Alzheimer résidait à la maison de retraite du Val fleuri. C'est dans une dépendance de l'ancien couvent qu'elle a fini par être localisée, au premier étage du bâtiment situé à une cinquantaine de mètres à l'extérieur de la maison de retraite. Personne n'explique, pour l'instant, ce qui a guidé les pas de sœur Marie-Jeanne vers ce lieu précis.
Un drame qui plonge tout le village dans la consternation et touche tout particulièrement les personnels de la maison de retraite.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/20/1994854-religieuse-retrouvee-morte-dependance-ancien-couvent.html

mercredi 19 novembre 2014

Drame en gare de Fréjus: un dernier hommage rendu à Nicolas

Ce mercredi matin, à 11 heures, avaient lieu les obsèques de Nicolas Retz, décédé à 15 ans, mercredi dernier, heurté par un TGV en gare de Fréjus.
Dans une chapelle Saint-Roch pleine à craquer, à Fréjus-plage, sa famille, ses amis et de nombreux anonymes ont tenu à rendre un dernier hommage au jeune homme, cruellement arraché à la vie la semaine dernière.
Le père Pierre a salué la montée au ciel d'un jeune homme parti trop tôt, remerciant les très nombreuses marques de condoléances sur le groupe Facebook pour Nicolas, suivi par près de... 13 000 personnes.
Quelques jeunes, de blanc vêtus, avaient formé une longue marche silencieuse depuis le lycée Camus, dès le matin 9 heures, où Nicolas était scolarisé, jusqu'à l'église, en passant par la gare, tragique lieu de l'accident du mercredi 12 novembre.
http://www.varmatin.com/frejus/drame-en-gare-de-frejus-un-dernier-hommage-rendu-a-nicolas.1933569.html

Une femme retrouvée morte devant la caserne des pompiers

Le corps sans vie d'une femme a été retrouvé, lundi matin, vers 8 h 45, à proximité du centre de secours des sapeurs pompiers de Saint Sulpice La Pointe. C'est un passant qui a donné l'alerte. Cette habitante de Saint Sulpice était allongée sur un passage constitué de gros galets, à seulement quelques mètres de la caserne située à proximité de la gare SNCF. Il a fallu une grande partie de la matinée pour identifier la victime qui n'avait pas de papiers sur elle. Elle serait âgée d'une soixantaine d'années. Les circonstances de sa mort ne sont pas encore déterminées. Sans aucune blessure apparente ni trace de coups, une enquête pour mort suspecte a été lancée. Une autopsie a été demandée et pratiquée à Toulouse. Les résultats devraient être connus en milieu de semaine. Les services de gendarmerie n'ont pas souhaité communiquer sur ce décès encore mystérieux.
http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/19/1994513-morte-devant-la-caserne-des-pompiers.html

Tarare : une octogénaire grièvement brûlée après une explosion dans une maison de retraite

Une dame de 84 ans a été grièvement brûlée ce mardi après-midi après une explosion survenue à l’Ehpad la Clairière, située à l’entrée est de Tarare. Elle a été évacuée sur l’hôpital Saint-Luc/Saint-Joseph à Lyon.
La victime se trouvait dans un lieu de vie collectif avec son masque à oxygène quand elle aurait voulu allumer une cigarette. L’octogénaire a été touchée au visage dans l’explosion.
Une enquête de gendarmerie est en cours.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/18/tarare-une-octogenaire-grievement-brulee-apres-une-explosion-dans-une-maison-de-retraite

mardi 18 novembre 2014

Longpont : une marche blanche organisée après le meurtre d’Emma, 15 ans

Le départ aura lieu ce mercredi après-midi à 14 heures de la place de la mairie de Longpont-sur-Orge (Essonne). Une blanche est organisée en « hommage à Emma et en soutien à Alexandre ». Le 11 novembre dernier, la jeune fille, âgée de 15 ans, a été abattue de plusieurs coups de fusil au domicile familial à Longpont.
Son beau-père, qui a avoué le meurtre, a été incarcéré. Le frère jumeau d’Emma, Alexandre, a, lui, été grièvement blessé de plusieurs coups de couteau. L’auteur présumé des faits, âgé de 45 ans, s’est rendu quelques heures après le drame et a reconnu les faits devant les enquêteurs, sans vraiment livrer d’explication.
Mis en examen pour et tentative de meurtre, il a été placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis.
http://www.leparisien.fr/longpont-sur-orge-91310/longpont-une-marche-blanche-organisee-apres-le-meurtre-d-emma-15-ans-18-11-2014-4301935.php

Villeurbanne : un jeune homme se jette sous les roues du métro

La ligne A du métro ne fonctionne plus depuis 9h45 ce mardi. Selon nos informations, il s'agit d'une tentative de suicide. La victime, un jeune homme, a été transportée à l'hôpital dans un état très grave
Les sapeurs-pompiers ont été appelés à 9h41. L’homme a pu être extrait un peu avant 10h30 et évacué dans un état grave à l'hôpital Edouard-Herriot à 10h45. Son pronostic vital est engagé.
En conséquence, le métro A ne circule plus. Sept bus relais sont mis en place entre les stations Charpennes et Valux-en-Velin La Soie.
Après que le trafic a été interrompu sur le ligne B entre les stations entre Charpennes et Gare Part-Dieu, il a repris progressivement peu après 11h sur l’ensemble de la ligne.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/11/18/metro-la-ligne-a-a-l-arret

L'entrepreneur Jean-Pierre Fauché retrouvé mort dans sa voiture

Hier en milieu d'après-midi, le corps sans vie de l'entrepreneur Jean-Pierre Fauché(72 ans), une figure de l'économie départementale, a été retrouvé dans un véhicule stationné près d'un champ, en rase campagne sur la commune de Lizac.
Surpris de voir une automobile stationnée dans ce secteur isolé, des habitants de la petite localité près de Moissac ont finalement décidé de donner l'alerte, intrigués puis rapidement soucieux… Apercevant une personne à l'intérieur du véhicule malgré de la buée sur les vitres, ils lancèrent plusieurs appels. En vain. Ils contactaient rapidement les secours.
Arrivés les premiers sur les lieux, et immédiatement rejoints par une équipe médicale du Samu, les pompiers moissagais ne pouvaient que constater le décès du chef d'entreprise de Lafrançaise, de suite identifié comme étant Jean-Pierre Fauché.
Depuis le début de l'après-midi, les gendarmes de la communauté de brigades (COB) de Lafrançaise étaient déjà mobilisés pour retrouver cet homme qui avait soudainement disparu sans donner de nouvelles. Parti au travail le matin, il ne répondait plus au téléphone peu après midi. Sa compagne et sa secrétaire très inquiètes, avaient aussitôt alerté la gendarmerie. Une géolocalisation du véhicule avait même été lancée.

Une arme dans la voiture

Les recherches, sur la foi du GPS mais aussi de l'appel des villageois, ont toutes abouti hier soir au lieu-dit «Le Célarié», à Lizac, où l'homme d'affaires était propriétaire d'un terrain. L'effroyable découverte confirmait hélas le mauvais pressentiment des proches de l'homme d'affaires.
Sur place, le maire Bernard Garguy qui travailla plus de 30 ans pour Jean-Pierre Fauché était sous le choc. Le patron en second de la compagnie de gendarmerie de Castelsarrasin, le lieutenant Rémi Ruiz, ordonnait de suite le gel des lieux afin de laisser travailler les experts de la police scientifique attendus dès hier soir.
À la tombée de la nuit, les techniciens en identification criminelle (TIC) de Montauban ont débuté leurs analyses et établi les premières constatations. Il semble acquis qu'une arme à feu a été retrouvée dans le véhicule, qui peut confirmer la thèse du suicide tellement redoutée ces dernières heures dans son entourage, que l'enquête devra confirmer.

Un grand entrepreneur

Quoique tardive, l'information sur la mort brutale de Jean-Pierre Fauché a gagné les quatre coins du département, et au-delà. C'est à Lafrançaise, en 1963, que l'homme, un CAP en poche, avait créé son entreprise d'installation électrique. Ses premiers clients sont des particuliers pour lesquels il réalise l'équipement électrique de leur habitation. Rapidement, il se tourne vers un marché en pleine expansion : l'électricité industrielle.
Dès 1977, son entreprise devient une des premières sociétés françaises indépendantes dans ce secteur d'activité. Le Groupe JP Fauché a compté jusqu'à plus 1 000 collaborateurs pour un chiffre d'affaires flirtant avec les 170 millions d'euros.
Depuis 2011, Jean-Pierre Fauché avait transmis l'entreprise à des collaborateurs mais n'avait pas abandonné les affaires. Non content d'épauler de jeunes entrepreneurs à qui il apportait son expérience, souvent ses fonds, il avait remonté des sociétés notamment dans le génie climatique (Montauban, Castelsarrasin) et les couleurs de JPF Consultant flottaient encore dans le ciel économique de la région. Jusqu'à ce triste lundi de novembre…

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/18/1993194-jean-pierre-fauche-retrouve-mort.html

lundi 17 novembre 2014

L’émouvante lettre de Peter Kassig à ses parents : "J’ai peur de mourir"

L’Américain Peter Kassig vient d’être exécuté par l’État islamique en représailles aux frappes aériennes menées par les États-Unis en Syrie et en Irak. Selon Metronews, les parents de cet otage de 26 ans avaient publié en octobre dernier une lettre dans laquelle il confiait « sa peur de mourir ».
Ancien soldat reconverti en travailleur humanitaire, Peter Kassig avait été enlevé il y a plus d’un an en Syrie. Cet été, il avait envoyé une lettre à ses parents dans laquelle il évoquait sa mort probable. « J'ai évidemment peur de mourir mais le plus dur est de ne pas savoir, de se poser des questions, d'espérer et de se demander si je peux même espérer quoique ce soit. Je suis très triste que tout cela ce soit produit et de ce que vous endurez à la maison à cause de cela » écrivait le jeune homme. « Si je meurs, je pense que nous, vous et moi, pourrons au moins trouver du réconfort en pensant que je suis parti (en Syrie) pour tenter d'alléger les souffrances et aider ceux qui sont dans le besoin » ajoutait-il.
Dans ce courrier, Peter Kassig s’exprimait également sur sa conversion à l’islam, qui a eu lieu entre octobre et décembre 2013. La lettre se terminait par un simple « Je vous aime », rapporte Metronews.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=37307&WS=291720_2501986&WA=7528

Arnaque aux panneaux solaires : une famille au bord du suicide

Arnaquée par une société de démarchage leur ayant promis l'installation gratuite de panneaux solaires, une famille de Roques-sur-Garonne, au bord du suicide, se bat pour que justice soit faite.
Trois ans déjà. Trois ans que les époux Ansseur vivent un cauchemar. Tout ça pour la pose de panneaux photovoltaïques censés faire baisser leur facture d'électricité. En allant déambuler au supermarché de Fenouillet ce samedi de septembre 2011, Chérifa ne se doutait pas qu'elle allait signer sa descente aux enfers. La voilà abordée par l'un de ces vendeurs ambulants, qui pour n'importe quoi vous font entrer dans le miroir aux alouettes. Cette fois, c'est du photovoltaïque dont il s'agit, un produit encore à la mode à l'époque, fort coûteux (autour de 25 000 € l'investissement), mais que Chérifa, comme par enchantement, va remporter au bout d'un soi-disant tirage au sort. C'est drôle, sa voisine qui l'accompagnait ce jour-là gagne la même chose. Sauf qu'elle, ne s'engouffrera pas plus loin dans ce qui va s'avérer être une monstrueuse arnaque.
La société vient bien installer 18 panneaux photovoltaïques. Montant des travaux : 23 750 €, normalement gratuit pour le couple Ansseur… Sauf que des prélèvements ne tardent pas à s'effectuer sur leur compte -la société a habilement récupéré leurs coordonnées bancaires- et que leur est retourné un contrat de crédit honteusement falsifié, l'organisme ayant tout simplement rempli les cases du nécessaire emprunteur. «On n'a jamais rien emprunté, jamais rien signé. Aujourd'hui, les mensualités courent toujours, plus de 230 € par mois», souffle Chérifa, déjà en situation financière délicate quant à un licenciement professionnel programmé. La maison, achetée à crédit à la fin des années 1980, n'est pas finie de payer…
Du superbe T5 initial, il ne reste aujourd'hui pas grand-chose. Toit et plafond infiltrés d'eau, murs de plusieurs pièces souillés de noirceurs d'humidité, quand il ne s'agit pas d'eau qui ruisselle… : la maison des Ansseur devient peu à peu inhabitable. La faute d'une installation à l'avenant, d'un véritable travail de sagouin à l'heure d'étanchéifier le toit, pour, précisons-le, un résultat totalement nul en matière de rendement solaire. «Que voulez-vous, lâche Chérifa, nous nous battons contre des fantômes !»
Les fantômes, ce sont les représentants de Cyberus, une société qui a, depuis, déposé le bilan et contre laquelle le couple Ansseur n'a plus aucun recours, ni pour contester au pénal le faux bon de commande qu'on lui impute, ni même pour demander au civil réparation des énormes désordres matériels subis, l'assurance étant accolée à cette société fantôme ! Après plusieurs mois d'enquête, il s'est avéré que Cyberus agissait pour le compte du groupe «Artys», lui-même gérant «Artys Solar», une société également radiée du registre du commerce, et ce dès décembre 2011 !
Reste l'organisme de crédit, la Sofiap, plusieurs fois interpellée et relancée par l'UFC-Que choisir, laquelle a alerté la Direction départementale de la protection des populations (DDPP) de la Haute-Garonne. Sans réelle avancée. Au point que l'organisme de défense des consommateurs a récemment adressé à la DDPP de Paris, service de la répression des fraudes, l'ensemble du dossier de Chérifa et Houari Ansseur. Ces derniers espèrent enfin sortir du tunnel et ne plus avoir à se dire en permanence qu'«un jour, c'est sûr, le toit de notre maison va nous tomber sur la tête !»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/17/1992822-arnaque-au-solaire-un-enfer.html

dimanche 16 novembre 2014

Deux victimes dans un accident d’ULM

Deux personnes sont mortes dans la chute de leur engin, vraisemblablement un ULM caréné, qui s’est écrasé dimanche à Ferrière-la-Grande (Nord) près de Maubeuge.
L’accident s’est produit vers 15H30. D’après les témoins qui ont appelé les secours, une aile s’est détachée et l’engin, une sorte de petit avion, a chuté, a indiqué la préfecture. Un morceau d’aile a en effet été retrouvé à 500 mètres de l’arbre sur lequel s’est écrasé l’appareil. Les victimes sont un Belge d’environ 60 ans et un jeune homme en cours d’identification.
Le choc a été très violent. L’ULM aurait décollé de l’aérodrome de Maubeuge-Elesmes, à quelques kilomètres de l’impact, a précisé la préfecture. L’enquête sur les circonstances de l’accident est diligentée par le parquet d’Avesnes-sur-Helpe
http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/11/16/deux-victimes-dans-un-accident-d-ulm

Intempéries : 4 morts à la frontière italo-suisse

Quatre personnes ont trouvé la mort dans des glissements de terrain provoqués par des pluies torrentielles cette nuit à la frontière italo-suisse et une cinquième est portée disparue près de la ville de Gênes, en Ligurie, ont rapporté les services de secours.

Un homme de 70 ans et une adolescente de 16 ans ont péri hier soir dans l'effondrement de leur maison à Cerro di Laveno, localité italienne proche de la frontière suisse. Les autorités helvétiques ont annoncé la mort de deux femmes dans un glissement de terrain à Davesco-Soragno, du côté suisse de la frontière. Les recherches se poursuivent pour retrouver d'autres victimes éventuelles.

A Serra Rocco, un village proche de Gênes, un homme de 67 ans est porté disparu. Depuis un mois, les intempéries ont fait quatre morts dans cette région.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/16/97001-20141116FILWWW00115-intemperies-4-morts-a-la-frontiere-italo-suisse.php

Incendie à Paris : «J'ai vu la femme tomber du 4e étage»


Incendie à Paris : «J'ai vu la femme tomber du... par leparisien

Un homme se suicide en sautant du viaduc d’Échinghen

Un homme originaire de Phalempin (près de Seclin) s'est suicidé ce vendredi en sautant du viaduc d'Echinghen, sur l'A16 près de Boulogne-sur-mer. Selon le journal de Montreuil, le corps de ce quadragénaire a été retrouvé dans un champ, au pied du viaduc vers 14h.

Sa voiture était stationnée sur la bande d’urgence de l'A16, à proximité près de l’endroit où il s’est jeté dans le vide, à 80 mètres de haut environ.

En janvier dernier, une femme avait été retrouvée morte pratiquement au même endroit
http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2014/11/15/un-homme-se-suicide-en-sautant-du-viaduc-d-echinghen-592668.html

Paris: Un incendie dans le 19e arrondissement fait un mort

Selon une information de LCI, une femme serait morte dans un incendie qui s'est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche dans le 19e arrondissement de Paris. Le feu, qui s'est déclaré pendant la nuit rue rue Lally-Tollendal a également fait six blessés, dont deux pompiers. Mais pour ces victimes, le pronostic vital n'est pas engagé.
Selon LCI, deux personnes se seraient défenestrées dans le drame. La cause de l'incendie pourrait être une bougie restée allumée dans un des appartements. Son occupant a été blessé et placé en garde à vue.
http://www.20minutes.fr/paris/1481427-20141116-paris-incendie-19e-arrondissement-fait-mort

Intempéries - Gard / Lozère : cinq morts victimes du dernier épisode cévenol

Le bilan est lourd : cinq morts. Tous circulaient en voiture. Douleur et incompréhension après l'épisode cévenol brutal qui s'est abattu sur Gard et Lozère dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 novembre.
Douleur et incompréhension après l'épisode cévenol brutal qui s'est abattu dans la nuit du vendredi 14 au samedi 15 novembre. Le bilan est lourd : cinq morts. Tous circulaient en voiture. Une mère de famille de 30 ans et ses deux enfants (4 ans et 1 an) ont été emportés au niveau d'un pont submersible sans parapet traversant la Droude, cours d'eau capricieux entre Cruviers-Lascours et Saint-Césaire-de-Gauzignan, au sud d'Alès (Gard). Le drame s'est noué aux alentours de 23 h 30. Le père était au volant du véhicule, un Peugeot Partner qui aurait calé sur le pont. La montée des eaux a été très violente et rapide et les flots ont balayé la voiture qui a été retrouvée 800 mètres en aval.
"Tout le monde se connaît ici. On pense avant tout au père"
Alertés par un riverain, les sapeurs-pompiers n'ont pu sauver que le conducteur, prisonnier de branchages. Ce carreleur d'une trentaine d'années a été hélitreuillé et transféré à l'hôpital d'Alès. Ses jours ne sont pas en danger. "Il appelait à l'aide quand nous l'avons trouvé. Il est très choqué", relate le lieutenant-colonel Marc, patron des pompiers alésiens. À l'intérieur du véhicule, le corps de la mère, employée d'une crèche d'Alès Agglo à Méjannes-lès-Alès, sans vie.
Quelques mètres plus loin, leur fille âgée de 4 ans, scolarisée à l'école de Saint-Césaire-de-Gauzignan, n'a pas eu plus de chance. Le corps du bébé a été retrouvé sans vie, en début d'après-midi, aux alentours de Moussac, près de 4 km plus bas. La famille était installée à Saint-Césaire depuis quatre ans. Une cellule d'aide psychologique a été activée dans cette commune de 400 habitants. "Tout le monde se connaît ici. On pense avant tout au père", souffle Pierre Leroy, 18 ans.

L'alerte orange qui n'a pas été activée par Météo France avant samedi matin

Certains habitants, hagards, cherchaient des réponses hier, face à l'horreur. "Il y a eu des pluies diluviennes mais l'épisode a été de courte durée. Ici, on est habitué, donc personne ne s'est inquiété", explique Jean-Pierre Baumel, qui vit à quelques centaines de mètres du lieu du drame. "Je ne m'explique pas cet accident. Les gens qui vivent ici connaissent ce pont et savent que ce cours d'eau monte vite", déplore-t-il. D'autres questions se succèdent. D'abord l'alerte orange qui n'a pas été activée par Météo France avant samedi matin. "A 21 h 30, je suis sorti boire un verre. Je ne me suis pas méfié, il n'y avait pas d'alerte", confie Pierre, un habitant de Cruziers-Lascours, assurant s'être fait surprendre par le déluge. "On ne sait pas si le conducteur serait passé par là malgré tout. Ces phénomènes sont très localisés et rapides, difficiles à prévoir", estime Christophe Rivenq, directeur général des services de l'agglomération alésienne. "Face à un automne particulièrement pluvieux, il faut appeler à la plus grande prudence", conseille Frédéric Gras, le maire de Saint-Césaire-de-Gauzignan, très ému par ce drame. La question de la dangerosité des ponts submersibles est également posée.
 "Nous pensons que l'automobiliste s'était engagé sur la route avant qu'elle ne soit fermée"
Les intempéries ont tragiquement frappé une autre commune du Gard. À quelques kilomètres de Bessèges, à Peyremale. Une Renault Twingo a été emportée par les flots au moment où elle franchissait le pont submersible des Drouilhèdes. Un habitant du village, d'une soixantaine d'années, retraité de l'Éducation nationale, a été retrouvé mort par les secours, à l'intérieur du véhicule. En Cévennes lozériennes, autre drame. Ce samedi matin, un homme de 62 ans a été retrouvé mort dans son véhicule, sur la départementale 51 qui relie Villefort à Pied-de-Borne. Pompiers et gendarmes ont été prévenus aux alentours de 7 h 30. La voiture, visiblement seule en cause, aurait chuté de 20 mètres en contrebas de la route.
Lire la suite sur ce lien ..........  http://www.midilibre.fr//2014/11/15/mortelles-intemperies,1082338.php

samedi 15 novembre 2014

Intempéries : un homme meurt en Lozère

Un homme est mort hier soir, emporté dans sa voiture en Lozère, alors qu'il circulait sur une route à flanc de montagne, ravinée par les eaux de ruissellement, alors que de fortes pluies s'abattaient sur la zone.
Le corps de la victime et sa voiture ont été retrouvés ce matin plus de 20 mètres en contrebas de la route, ont affirmé les secours.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/11/15/97001-20141115FILWWW00096-intemperies-un-homme-meurt-en-lozere.php

Mort de Michèle de Castelbajac dans le Gers : la vicomtesse a été tuée à coup de pierre

 
Les corps des victimes du double meurtre de Cazaux-Savès ont été autopsiés, vendredi à Toulouse. Sans surprise, l'examen de la dépouille d'Hubert Baron a révélé que le nonagénaire est décédé suite à de multiples traumatismes, après avoir été percuté par le véhicule qu'Arnaud Larrieu a précipité sur le malheureux, mercredi midi, alors qu'il se trouvait sur le perron de sa maison.
Quant à Michèle de Castelbajac, la deuxième victime que le Lot-et-Garonnais Arnaud Larrieu a avoué aux gendarmes avoir tué, une heure plus tard, dans son château de Caumont, toujours sur la commune de Cazaux-Savès, elle a succombé à plusieurs coups portés au crâne, avec une pierre retrouvée à proximité des lieux du crime par les enquêteurs.

Hospitalisé à Agen

Arnaud Larrieu avait notamment expliqué avoir entendu des voix
Vendredi, le meurtrier présumé a quitté Auch, où il avait été hospitalisé sous contrainte, son état mental n'étant pas compatible, selon l'expert-psychiatre qui l'a examiné après les faits, avec une garde à vue. Il est désormais hospitalisé au centre hospitalier spécialisé La Candélie, à Agen. Mercredi après-midi, lorsqu'il a été interpellé par les gendarmes dans le château de la vicomtesse de Castelbajac, Arnaud Larrieu avait notamment expliqué avoir entendu des voix et raconté aux enquêteurs que sa victime s'exclamant « Qu'est-ce que vous faites chez moi ? », il lui avait répondu « Je suis ici chez moi. C'est à vous de partir ! »
En dépit des difficultés que rencontrent les enquêteurs et le parquet pour entendre le prévenu, tout repose désormais sur le degré d'aliénation mentale que les experts psychiatres décèleront dans la personnalité d'Arnaud Larrieu. Âgé de 28 ans, il était employé dans une coopérative viticole du Lot-et-Garonne jusqu'aux faits de mercredi dernier.
Plus jeune, Arnaud Larrieu s'était formé aux métiers de la banque. Une tradition dans sa famille. Il avait suivi des cours dans une école à Bayonne, puis était parti parfaire sa formation à Dundee, en Écosse. Il a ensuite travaillé dans un établissement bancaire à Paris. Une expérience qui s'est mal terminée. Dans la capitale, Arnaud Larrieu s'est définitivement détourné des métiers de la finance. Il y a aussi connu une histoire sentimentale douloureuse, qui l'a marqué. Il n'avait désormais plus de relation sentimentale établie.

Discret mais sociable

Il est revenu dans le giron familial agenais pour repartir d'un nouveau pied, et a été recruté dans une cave coopérative en avril. En CDD d'abord. Puis, il a signé un CDI en juin. L'Agenais travaillait au début de la chaîne d'embouteillage. Jamais, au sein de l'entreprise où il s'était intégré parfaitement, il n'avait manifesté de comportements violents. Ses collègues décrivent plutôt un garçon sensible, à la fragilité psychologique certes latente mais des relations normales et polies. Un individu plutôt discret mais sociable.

http://www.sudouest.fr/2014/11/15/tuee-a-coups-de-pierre-1736535-2277.php

Incendie mortel à Saint-Laurent-du-Var

Un feu d'appartement s’est déclaré ce vendredi à 18 heures en centre-ville de Saint-Laurent-du-Var, avenue Général De Gaulle, non loin du square Benes.
Il est 18h30 quand les pompiers sont alertés, pour un départ de feu au cinquième et dernier étage de la résidence Bellissime. L’incendie est rapidement maîtrisé mais le logement a été entièrement ravagé par les flammes.
Dans la cuisine, les pompiers découvrent le corps d'un octogénaire qui a été probablement asphyxié par les fumées toxiques.

http://www.nicematin.com/cagnes-sur-mer/incendie-mortel-a-saint-laurent-du-var.1984869.html

Il perd la vie dans le feu de son écobuage

Victime d'un malaise, un retraité d'Escosse a perdu la vie jeudi soir en tombant dans le brasier de son écobuage. Issu d'une famille bien connue dans le village, le septuagénaire était un chasseur émérite.
La tristesse règne à Escosse depuis hier matin et l'annonce de la disparition de Jean-Marie de Martin de Viviés. Issu d'une famille de notables locaux, l'ancien agriculteur a perdu la vie jeudi soir dans des conditions dramatiques.
Propriétaire du domaine du Château Lafitte situé sur les hauteurs de la bourgade, le retraité est parti quelques heures plus tôt accompagné de son chien pour faire brûler quelques branchages récupérés durant la période estivale. Une opération que ce dernier a l'habitude de faire en contrebas de son habitation. Voyant la nuit tombée, son épouse s'inquiète de ne pas voir revenir son mari. Une angoisse accentuée par le retour solitaire de l'animal de compagnie. Étonnée, elle descend à proximité du foyer encore actif, tente de l'éteindre mais n'aperçoit toujours pas son époux. Elle alerte alors sa famille et en particulier son neveu, résidant à quelques encablures de la demeure familiale.
Arrivés sur place, les membres de la famille de Viviés démarrent les recherches. Sans succès. Ce n'est que sur les coups de 22 heures que le corps de Jean-Marie est retrouvé sans vie et calciné par le brasier. Dépêchés sur les lieux, les secours et les gendarmes de la brigade de Pamiers, ainsi qu'un médecin, établissent les premières constatations. Le rapport est sans appel : le septuagénaire a été victime d'un malaise. Un incident qui a provoqué sa chute dans le foyer. De quoi accréditer la thèse accidentelle privilégiée dès le départ par les enquêteurs.

Un retraité actif

Âgé de 78 ans, Jean-Marie de Martin de Viviés était un retraité actif. Il partageait son quotidien entre sa famille et ses différents passe-temps. Membre avec son épouse du club des Aînés ruraux de la Vallée de l'Estrique, l'ancien combattant de la guerre d'Algérie était un véritable passionné de chasse. Président d'honneur du club d'Escosse en tant que représentant des agriculteurs, il avait légué une partie de son domaine à l'association. Un geste que ne risque pas d'oublier Patrick Labbé, le président. «Je perds vraiment un bon copain. Il participait à toutes les battues le samedi. Il n'hésitait pas à participer aux repas, à découper le gibier ou à partager la viande avec les autres agriculteurs du coin. La chasse était quelque chose qu'il avait dans la peau.»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/15/1991462-il-perd-la-vie-dans-le-feu-de-son-ecobuage.html

vendredi 14 novembre 2014

Avon-Fontainebleau : tentative de suicide à la gare

Une femme vient d’être transportée d’urgence ce vendredi après-midi à l’hôpital du Kremlin-Bicêtre (Val-de-Marne) après une tentative de en gare d’Avon-Fontainebleau. Vers 15 heures, cette femme marchait le long des voies, un peu en amont des quais, lorsqu’elle s’est jetée sur les voies au moment où arrivait un train qui circulait dans le sens Montereau-. Le conducteur a réussi à freiner, mais la victime a quand même été percutée.
Son pronostic vital serait engagé. Pendant l’intervention des secours, le trafic des trains a été perturbé.

http://www.leparisien.fr/avon-77210/avon-fontainebleau-tentative-de-suicide-a-la-gare-14-11-2014-4291937.php

Drame en gare de Fréjus: tous ses amis pleurent Nicolas

Une marche silencieuse a eu lieu jeudi après-midi à Fréjus en hommage à Nicolas.
Une cinquantaine de collégiens et lycéens ont défilé depuis le skate park de la base nature jusqu'à la gare. Là même où, mercredi soir, l'adolescent de 15 ans a perdu la vie en percutant un TGV.
Après avoir passé leur mercredi après-midi au gymnase où ils ont regardé des groupes de gym sportive faire des performances, Nicolas et un jeune ami à lui, tous deux licenciés à l'AMSLF gym loisir, rentraient chez eux en fin d'après-midi chercher leurs affaires pour entrer en piste à leur tour.
Etaient-ils pressés? Ils ont toutefois tenté le diable et coupé à travers les rails de la gare... Et Nicolas y a laissé sa vie.
Elève de seconde au lycée Albert-Camus de Fréjus, Nicolas laisse un grand vide pour sa famille, ses amis, et dans sa classe.
Ses amis ayant rapidement appris la nouvelle, ils ont monté un groupe Facebook quelques heures après son décès, invitant tous ceux qui le connaissaient, de près ou de loin, à se recueillir au skate park de la base nature, aujourd'hui jeudi dès 13 h. Là où Nicolas aimait faire de la trottinette. Plus d'une cinquantaine de jeunes sont venus lui rendre hommage.
Le cortège s'est déplacé jusqu'à la gare de Fréjus où des fleurs ont été déposées.
Une cellule psychologique a été mise en place à son lycée. Tous les élèves désireux de parler peuvent rencontrer, aujourd'hui jeudi et demain vendredi, la psychologue et le médecin scolaire notamment.
La plupart des classes ont maintenu leurs cours.
Une seconde grande marche silencieuse devrait avoir lieu samedi, où toute la population est invitée à rejoindre les rangs. Pour l'heure, nous ne savons pas encore à quelle heure ni où celle-ci pourrait s'organiser.

http://www.varmatin.com/frejus/drame-en-gare-de-frejus-tous-ses-amis-pleurent-nicolas.1926180.html

Le grutier villefranchois a aidé à sauver deux jeunes du suicide

Loïc Gallego vient de recevoir la médaille pour acte de courage et dévouement pour avoir sauvé deux jeunes qui tentaient de se suicider fin septembre dernier.
Samedi 27 septembre dernier, dans la sage préfecture Lozérienne allait se nouer une situation qui aurait pu virer au drame. Travaillant sur une grue haute de 41 mètres sur le chantier du futur espace événementiel de Mende, Loïc Gallego, jeune Villefranchois, a tout d'un coup aperçu une jeune fille au sommet de l'engin. Ni une, ni deux, il est monté à sa rencontre. Voyant que celle-ci voulait se jeter dans le vide, après avoir franchi la rambarde de sécurité, il commença à lui parler, en caressant le secret espoir qu'elle fasse marche arrière. Puis, il la saisira et réussira à la persuader de revenir sur la passerelle. Loïc restera à ses côtés tant qu'elle continuera de menacer de se jeter dans le vide. Il sera rapidement rejoint par une équipe de la direction départementale de la sécurité publique, alertée par les
passants. Un brigadier de police
et un sous-brigadier l'aideront aussi à maîtriser la jeune fille dont l'agitation et les gestes inconsidérés auraient pu entraîner sa chute comme celle de ses sauveteurs.
Les hommes du centre d'incendie et de secours de Mende arriveront à stabiliser la situation tout en envisageant les moyens nécessaires à un retour au sol. Sauf que le calme n'étant pas encore revenu, l'arrivée du compagnon de la jeune fille relança l'excitation suicidaire, cette fois des deux jeunes gens. Le jeune homme menaçant le aussi de sauter dans le vide…
«Ce récit épique, insista le Préfet de Lozère lors de la remise
a médaille pour acte de courage et dévouement au début du mois, à Loïc et aux autres sauveteurs, il faut bien le dire, traduit un événement grave dont l'issue aurait sans aucun doute été dramatique sans l'intervention de chacun des intervenants présents aujourd'hui. N'écoutant que leur devoir de citoyens, fonctionnaires ou bénévoles, ils ont surmonté le danger et empêché deux suicides.»
Cette médaille pour acte de courage et de dévouement a été conçue dès 1 693 pour distinguer les hommes qui ont sauvé plusieurs vies.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/11/14/1990770-le-grutier-villefranchois-a-aide-a-sauver-deux-jeunes.html