mercredi 30 avril 2014

Un octogénaire percuté par un TER à Monnetier-Mornex en Haute-Savoie

Un homme de 80 ans est décédé après avoir été percuté par un TER, ce mercredi matin vers 7h30 à Monnetier-Mornex en Haute-Savoie. Vraisemblablement, il s'agirait d'un suicide. Le trafic entre Annemasse et la Roche-sur-Foron a été perturbé pendant deux heures
Un accident mortel a causé la mort d'une personne âgée de 80, ce matin vers 7h30, à Monnetier-Mornex. Il a été percuté par un TER en direction de la Roche-sur-Foron. Les pompes funèbres sont intervenus pour dégager le corps de la personne qui était restée sur la voie.

Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agit d'un suicide. La victime demeurait dans l’ancienne gare de Monnetier-Mornex.

Le trafic SNCF a, par la suite, été perturbé entre Annemasse et la Roche-sur-Foron pendant plus de deux heures. Huit voyageurs ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers et les services de la SNCF.


http://alpes.france3.fr/2014/04/30/un-homme-percute-par-un-ter-monnetier-mornex-en-haute-savoie-468665.html

Encore un motard tué dans un accident

Un nouvel accident mortel de la circulation impliquant un motard s'est produit lundi en soirée dans le Sud du département. Vers 20 h 20 à Saint-Saturnin-lès-Apt, pour une raison inexpliquée, un motard qui roulait sur la route départementale 2, s'est déporté sur la voie gauche de la circulation et a percuté frontalement une voiture qui arrivait en sens inverse. Le choc a été d'une extrême violence. À l'arrivée des sapeurs-pompiers, si le conducteur du véhicule était indemne, le motard, un homme né en Belgique mais demeurant à Saint-Saturnin-lès-Apt, était en arrêt cardio-respiratoire. Les sapeurs-pompiers ont procédé à sa réanimation avant de le conduire au centre hospitalier d'Apt, puis de l'héliporter vers l'hôpital Nord de Marseille où il a malheureusement succombé à un second arrêt cardiaque, moins d'une heure après son arrivée.
Ce nouvel accident mortel porte à 16 le nombre de victimes tuées sur les routes vauclusiennes depuis le début de l'année. La proportion de motards, désormais 5 sur 16, ne fait qu'accroître l'inquiétude des gendarmes. Il y a une quinzaine de jours, après le double accident mortel de motos à Monieux, ils avaient prévenu : les contrôles vont se renforcer. Ce week-end du 1er mai encore, les axes de circulation vont se colorier de bleu.

http://www.laprovence.com/Edition-sud-vaucluse

Sortie de route mortelle à Générac (33)

Un trentenaire est mort cette nuit dans un accident de la route

Il n'a pas survécu à ses blessures. Cette nuit vers 5 h 50, au lieu dit La Forgette sur la RD 252, un automobiliste de 32 ans a soudain perdu le contrôle de sa voiture, qui a fini sa course contre un poteau électrique.
Les secours n'ont rien pu faire.

http://www.sudouest.fr/2014/04/30/sortie-de-route-mortelle-a-generac-33-1540532-2890.php

Vive émotion à Chouilly après la mort d’un couple dans un accident de voiture

CHATILLON-EN-MICHAILLE (01). Un couple domicilié à Chouilly a perdu la vie dans un accident de la route, dimanche. Le pronostic vital de leur enfant de 4 ans est toujours engagé.
Le petit bourg de Chouilly, près d’Épernay, est en deuil. Un couple qui y vivait depuis une dizaine d’années avec leurs quatre enfants, est décédé dimanche après-midi dans un accident de la circulation. Leur bambin de 4 ans qui les accompagnait est, quant à lui, très grièvement blessé.
La famille Pareti roulait à bord d’un 4x4 Nissan sur l’autoroute A40 (Ain) dans le sens Genève-Macon, en direction de Paris, lorsque pour une raison qui échappe encore aux forces de l’ordre, le véhicule a percuté un pilier du pont des Étournelles, sur la commune de Chatillon-en-Michaille. Le choc a été extrêmement violent.
Le conducteur Rudolf Pareti s’est-il assoupi, a-t-il été pris d’un malaise ? Mystère, d’autant que les conditions de route étaient bonnes à cette heure de la journée. La zone n’est pas non plus réputée pour être le théâtre d’accidents réguliers.

Le garçon toujours dans un état critique

Alertés, les pompiers du centre de secours de Bellegarde, qui se trouve à deux pas du drame, ont rapidement pris en charge le petit garçon dans un état très critique. Ce dernier a d’ailleurs été héliporté à l’hôpital de Bron, près de Lyon. Son pronostic vital est toujours engagé.
De longues heures ont ensuite été nécessaires aux quinze pompiers mobilisés pour désincarcérer le couple prisonnier de l’habitacle. Le peloton de l’autoroute de l’Éloise, avec sept gendarmes, a procédé aux constatations et bloqué l’A40 le termps que l’hélicoptère atterrisse et reparte.
Rudolf Pareti, 39 ans, était président des parents d’élèves dans le bourg. Il était originaire de Paris, son épouse Stéphanie, 40 ans, de Châlons-en-Champagne. Les trois autres bambins de 5, 7 et 9 ans étaient à la maison à Chouilly avec leur grand-mère paternelle au moment des faits. C’est le maire Jacques Hostomme qui a eu la lourde tâche de leur annoncer la tragédie.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/vive-emotion-a-chouilly-apres-la-mort-d-un-couple-dans-ia0b0n339935

Drame à Andrezé. Un homme retrouvé mort dans une rivière

À Andrezé, près de Cholet, un automobiliste a été retrouvé mort ce mardi 29 avril. À l'intérieur de sa voiture, dans la rivière le Beuvron.

À Andrezé, près de Cholet, un automobiliste a été retrouvé mort ce mardi 29 avril. À l'intérieur de sa voiture, dans la rivière le Beuvron.

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/maine-et-loire/andreze-49600#from-breadcrumb

Clermont-Ferrand : retrouvera-t-on un jour le corps de la petite Fiona ?

Selon une information de La Montagne, presque un an jour pour jour après la disparition de la petite Fiona, 5 ans, à Clermont-Ferrand, de nouvelles fouilles vont être organisées le 13 mai en présence de la mère et de son compagnon, toujours écroués dans cette affaire.
Ces fouilles auront lieu, une nouvelle fois, dans le secteur boisé du lac d'Aydat, au sud de Clermont-Ferrand. Mis en examen pour "coups mortels aggravés" et écroués, la mère (Cécile Bourgeon) et le beau-père de Fiona (Berkane Makhlouf) se rejettent toujours mutuellement les violences commises sur la fillette, dont le corps n'a jamais été retrouvé, malgré leurs indications sur les lieux...
Nouvelle tentative le 13 mai
Une source judiciaire a indiqué : "Je vous confirme les fouilles, il y aura un transport (de la mère et du beau-père) sur les lieux le 13 mai pour tenter de retrouver encore une fois où le corps a pu être enseveli. Des repérages aériens avaient permis de réaliser des photos de quelques endroits", qui pourraient orienter ces nouvelles fouilles. La date du 13 mai a été retenue car "la nature aura la même configuration" que l'an dernier, ce qui pourrait permettre à la mère et au beau-père de retrouver la mémoire. 
4 mois de mensonges
Fiona, 5 ans, avait été signalée disparue le 12 mai 2013 dans un parc de la capitale auvergnate. Mais, après quatre mois de mensonges, Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf avaient fini par avouer avoir enterré la petite fille à la lisière d'une forêt, dans ce secteur.
De multiples recherches restées vaines 
Déjà emmenés autour du Lac d'Aydat, séparément, juste après leur arrestation, l'un et l'autre n'avaient pas réussi à signaler le lieu exact. Il faut dire que le couple Bourgeon-Makhlouf vivait sous l'emprise de la drogue avant les faits. Et chaque fois, a rappelé La Montagne lundi, Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf avaient évoqué des bribes de souvenirs et des "flashes". 
Les deux juges d'instruction en charge de l'enquête ont déjà ordonné un certain nombre d'actes dans cette affaire, comme des survols par hélicoptère début janvier. Les trois précédents transports sur les lieux, en septembre et octobre 2013, accompagnés de fouilles, ont tous échoué...

http://www.midilibre.fr/2014/04/29/clermont-ferrand-retrouvera-t-on-un-jour-le-corps-de-la-petite-fiona,854974.php

mardi 29 avril 2014

L’endormissement confirmé dans l’accident survenu sur l’A4

L’endormissement semble bien être à l’origine de l’accident qui a coûté la vie à une femme de 26 ans, samedi, sur l’A4, en fin de matinée, à hauteur de la commune de Dommartin-Dampierre.

Entendu dimanche, son compagnon de 30 ans qui se trouvait au volant, a réitéré les propos qu’il avait tenus aux gendarmes de l’Escadron départemental de sécurité routière après les faits, selon lesquels il se serait assoupi au volant du véhicule où, côté passager, la victime avait pris place.

Tous les témoins de l’accident ont également été entendus. Les suites éventuelles qui y seront données restent désormais suspendues à la décision du parquet de Châlons qui statuera à l’examen du dossier.

Il n’en demeure pas moins que ce drame de la route n’a pas manqué de faire basculer le destin du couple. Domiciliés dans l’Yonne, l’homme – légèrement blessé dans l’accident – et la femme devaient se marier prochainement. Au moment des faits, ils se rendaient en Moselle d’où la victime était native.

http://www.lunion.presse.fr/region/l-endormissement-confirme-dans-l-accident-survenu-sur-l-a4-ia18b0n339252

Perpignan : La retraitée aurait tiré sur son mari au 357 Magnum

En garde à vue depuis samedi, elle a été mise en examen hier pour 'homicide volontaire' puis écrouée.
Interpellée et placée en garde à vue par la police depuis samedi après avoir tiré un coup de feu sur son mari et l'avoir mortellement touché à leur domicile situé sur l'ancienne route de Canet à Perpignan, la retraitée, âgée de 65 ans, a été déférée au parquet hier. Une information judiciaire a été ouverte pour 'homicide volontaire' et elle a été mise en examen de ce chef avant d'être écrouée. Sans que l'on connaisse encore les circonstances précises du drame.
C'est la mise en cause qui aurait alerté elle-même la police samedi vers 10 h, du geste qu'elle venait de commettre. À l'arrivée des secours dans la villa du 9 rue Pierre-Boulat, son mari, âgé de 68 ans, avait malheureusement succombé à ses blessures. Selon les premiers éléments, tout aurait débuté dans la nuit de vendredi à samedi. Vers 2 h, elle aurait passé un premier appel à la police pour expliquer qu'elle était victime de violences conjugales. Sur place, les forces de l'ordre auraient trouvé le mari alcoolisé et vaseux, ils n'auraient pas constaté de traces évidentes de coups sur l'épouse mais lui auraient conseillé de passer la nuit dans un hôtel jusqu'où ils l'auraient accompagnée.
Que s'est-il passé ensuite ? Comment ce couple qui menait une existence d'apparence cossue en est-il arrivé là ? L'issue fatale se nouait-elle depuis longtemps derrière les volets de cette belle villa ? Et les voisins de ce quartier résidentiel n'ont-ils rien vu ? L'épouse, avait occupé divers postes, dont un d'assistante dentaire, avant de cesser son activité. Lui était militaire de carrière à la retraite et avait, selon des témoins, des problèmes avec la boisson. Tous deux étaient membres d'un club de tir. Et les querelles, semble-t-il, émaillaient à huis clos leur quotidien.
Samedi au petit matin, jour de l'anniversaire de son mari, l'épouse serait alors revenue à la maison, Là, une énième dispute aurait éclaté entre eux. Pourquoi ? Toujours est-il que la retraitée se serait saisie d'un pistolet automatique 357 Magnum et aurait tiré un coup dans la tête de son mari avant de prévenir le commissariat. L'enquête, menée par la police, se poursuit pour faire toute la lumière sur cette affaire. En attendant de savoir si les analyses scientifiques des prélèvements effectués sur place, corroborent ou non la version des faits livrée par la sexagénaire.

http://www.lindependant.fr/2014/04/29/la-retraitee-aurait-tire-sur-son-mari-au-357-magnum,1877391.php

Drame d'Eperlecques : hommage émouvant à Romain et Damien

« Ne pas oublier » et « peut-être faire avancer l'affaire ». Hier, un an après l'accident qui a coûté la vie à Romain et Damien, près de 300 personnes ont participé à la marche blanche et au lâcher de ballons à Eperlecques Peu avant 20 heures, plusieurs centaines de personnes se massent à quelques mètres du lieu du drame, zone du Muguet à Eperlecques. La mine serrée, ils se souviennent. Jour pour jour, Damien et Romain étaient percutés sur cette route. Les deux frères de 21 et 24 ans n'ont pas survécu (lire ci-dessous). « On revoit cette journée de dimanche », souffle Mélissa, l'une des soeurs de Romain et Damien, avant que le cortège prenne la direction du lieu du drame. « Chaque jour nous fera penser à ce qu'on a vécu... »
Une famille restée
dans la douleur
La plaie est restée ouverte, pour cette soeur, pour la seconde aussi, mais également « pour les jumeaux de 7 ans... Ce n'est pas facile de leur expliquer... » La mère de Damien et Romain ne peut pas s'exprimer. La douleur est intense. Autour de cette famille soudée qui peine à faire son deuil, des amis, des connaissances, une partie du conseil municipal... 150 ballons sont prêts à s'envoler, symboliquement. «  Il n'y en a pas assez pour tout le monde... », confie Mélissa, émue de voir autant de personnes réunies pour ce triste anniversaire.

« On a du mal
à comprendre... »
Le cortège s'apprête à démarrer. Mélissa, amère, ne peut oublier que les deux auteurs présumés « sont en liberté. On a du mal à comprendre... Romain et Damien, eux, ne sont plus là... ». La tristesse envahit de plus en plus ce sombre cortège qui avance lentement. Une photo rappelle les deux disparus.
Les 150 ballons s'envolent. Puis, un à un, les yeux rougis, ils s'approchent pour déposer une rose. La foule s'immobilise. « C'est très dur...  », confie une amie des deux jeunes hommes. D'autres ne réussissent pas à s'exprimer, submergés par la peine. « On veut montrer qu'on est toujours là, indique Anthony, un ami d'enfance des deux frères. Et si ça peut faire avancer l'affaire.
 » Deux hommes ont été mis en examen. L'affaire n'a pas été jugée. Pour la famille, les proches, cette étape est importante. «  La douleur est toujours la même, l'enquête prend du temps. Pourtant, pour nous c'est évident, nos copains ne se sont pas jetés sous le véhicule...

http://www.nordlittoral.fr/fait-divers-justice/faits-divers

La nonagénaire victime d'un accident est décédée des suites de ses blessures

Un tragique accident de la circulation a eu lieu, un peu avant midi, avenue du professeur Forgues, à Briançon. Un poids lourd et une voiture sont entrés en collision au dessus du centre commercial Grand'Boucle, au niveau de la boulangerie.
Selon les premiers éléments de l'enquête menée par les policiers de Briançon, la nonanégénaire était en train de quitter son stationnement au moment de l'accident.
Prise en charge sur place par les pompiers et le Smur, elle a été transportée à l'hôpital de Briançon vers 12h45. Elle y est décédée des suites de ses blessures, indique le Dauphiné Libéré

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes

Le drame du petit Esteban, exécuté d’une balle dans la tête

Trois personnes, dont un petit garçon de 9 ans, ont été tuées vendredi 18 avril à Visé en Belgique. Depuis, l’enquête piétine. Personne ne peut pour l’heure expliquer les raisons d’un tel drame
Les enquêteurs ont d’abord pensé que le petit Esteban avait été victime d’une balle perdue. Mais l’enfant de 9 ans aurait en réalité été exécuté froidement, d’une balle dans la tête, rapporte «La Meuse» ce lundi. Vendredi 18 avril, l’enfant revenait du restaurant avec sa marraine, Carol et son mari Benoît lorsqu’ils se sont retrouvés en face du tueur. Ce dernier les attendait dans l’allée de leur habitation située rue de Berneau, à Visé, en Belgique. Les deux époux ont été chacun touchés par trois balles de calibre 9 millimètres. C’est la septième qui a ôté la vie du petit garçon.
Depuis le drame, les autorités font tout pour retrouver le coupable. Mais pour l’heure, leurs recherches sont restées vaines, indique «La Libre Belgique». Seul indice d’après la RTBF, juste avant de passer à l’acte, le tireur aurait dit à Benoît : «Alors, tu me reconnais maintenant? Tu te souviens de qui je suis?» Une phrase qui, d’après le quotidien, pourrait supprimer la thèse du tueur à gages. D’autant qu’une amie a confié que l’homme avait reçu des menaces il y a plusieurs mois de cela. Banquier, il aurait eu une altercation avec un client qu’il avait mis à la porte. «Il l'a mis à la porte devant tout le monde et ce dernier a proféré des menaces. Je ne dis pas que c'est lui bien sûr, mais c'est pour vous dire que le métier de banquiers n'est pas toujours facile», a-t-elle confié à «La Meuse».

"Nos coeurs sont déchirés et remplis de haine"

Face au manque d’informations, le parquet a lancé un appel à témoins mardi dernier. Il demande à toute «personne qui aurait vu, au moment des faits, un véhicule circuler de manière dangereuse tous feux éteints ou toute personne qui aurait remarqué quelqu'un surveiller la rue dans les semaines qui ont précédé les faits est invitée à prendre contact avec le commissaire Roger Biazot, de la division homicide de la PJF de Liège au numéro suivant 04/232 50 29».
Le père du petit Esteban a lui aussi lancé un appel sur sa page Facebook. Mais c’est au tueur qu’il s’est directement adressé. Il lui demande de se rendre «dans le premier poste de police» et d’assumer ses actes. «Nos coeurs sont déchirés et remplis de haine, et pourtant sans esprit de vengeance. L'âme de parents aimants que nous sommes depuis presque 20 ans veut connaître la vérité au plus vite, que les responsables soient condamnés pour leurs actes et qu'ils écopent des peines qui leur sont dues», écrit-il. Les funérailles de la petite victime se sont déroulées mercredi dernier. Celles du couple ont eu lieu samedi. 

http://www.parismatch.com/Actu/Faits-divers

Caux-et-Sauzens. Un jeune de 26 ans se tue sur la RD 119

Un jeune homme de 26 ans, habitant à Belpech, a trouvé la mort, dimanche, peu après 21 h 30 sur la route de Montréal, à hauteur de la commune de Caux-et-Sauzens. Selon les constatations effectuées par les gendarmes de la brigade d'Alzonne, Jonathan Negrony, un jeune militaire affecté à la base aérienne d'Istres, circulait dans le sens Carcassonne-Montréal, lorsqu'il a perdu le contrôle de sa voiture, à la sortie d'un virage, au carrefour des routes départementales N° 119 et 48.
Le véhicule, une Volkswagen Golf, aurait alors mordu sur l'accotement bordant la chaussée avant de finir sa course contre un platane. Sous la violence du choc, le conducteur a été éjecté et tué sur le coup.
Alertés par un témoin de l'accident qui «aurait vu la voiture s'envoler», ont rapporté les enquêteurs, pompiers et équipes du SMUR n'ont malheureusement rien pu faire pour ramener la victime à la vie.
Le jeune homme conduisait-il trop vite ? Avait-il bouclé sa ceinture ? En l'absence de témoins directs de ce nouveau drame de la circulation, les gendarmes pourront peiner à expliquer les circonstances exactes de cette sortie de route. Jonathan Negrony vivait depuis quelques mois à Belpech où il s'était établi avec sa compagne. Il était également licencié au club de football local.
Coïncidence ou pas, une heure et quart plus tard, un accident de la circulation similaire ou presque a fait une blessée grave, sur la commune de Conilhac-des-Corbières.
Une habitante de cette même commune, âgée de 38 ans, a également perdu le contrôle de sa voiture sur la RD 165, après avoir mordu sur le bas-côté. Le véhicule est ensuite parti en tonneaux avant de s'immobiliser sur la chaussée.
Souffrant de douleurs au niveau des vertèbres cervicales, la victime a dû être désincarcérée par les sapeurs-pompiers.
Évacuée dans un premier temps sur le centre hospitalier de Narbonne, la conductrice a été admise par la suite au CHU de Montpellier..

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/29/1872396-caux-sauzens-jeune-26-ans-tue-rd-119.html

lundi 28 avril 2014

Finistère: décès de l'ado tombée à la mer

L'adolescente de 15 ans tombée à la mer vendredi avec son père, à la pointe de la Torche (Finistère), et transportée dans un état grave à l'hôpital de Quimper, est décédée aujourd'hui, a-t-on appris de source judiciaire. Son père, âgé de 41 ans, était toujours porté disparu, selon la même source.

C'est un témoin qui, vendredi, avait alerté le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross Corsen) que deux personnes étaient tombées à la mer à la pointe de la Torche, à Penmarc'h. Des recherches avaient rapidement été entreprises avec un hélicoptère de la sécurité civile, une vedette de la SNSM et une autre des pompiers, ainsi qu'un avion de patrouille maritime.

L'adolescente avait été retrouvée dans un état grave, puis évacuée vers l'hôpital de Quimper. Lors du drame, la mer était peu agitée avec des vents d'environ 22 km/h. Les deux personnes étaient tombées à la mer pour une raison inconnue.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/28/97001-20140428FILWWW00306-finistere-deces-de-l-ado-tombee-a-la-mer.php

Seine-Saint-Denis: Un policier se suicide à son domicile

Il y a moins de suicides de policiers qu'avant mais les chiffres dans cette profession sont plus élevés que la moyenne nationale…
Un policier de 27 ans s’est suicidé à son domicile de Villetaneuse (Seine-Saint-Denis) dimanche en fin d'après-midi, a appris 20 Minutes auprès de sources policières. Auparavant en service au 16e arrondissement de Paris, il était affecté à la brigade anti-criminalité (BAC) de Seine-Saint-Denis où il travaillait de nuit. «Il y avait été muté il y a quinze jours», nous a précisé une source.
C’est sa compagne, elle même policière, qui l’a découvert. Selon les premiers éléments, il a mis fin à ses jours avec son arme de service.

Chiffres supérieurs à la moyenne nationale

La moyenne des suicides déplorés au sein de la police nationale ces cinq dernières années est d’environ 42 chaque année. Ce chiffre était de 70 dans les années 1990. Depuis le 1er janvier 2013, des pôles de vigilance suicide sont mis en place dans les services territoriaux des départements. Mais ces chiffres restent supérieurs à la moyenne nationale.
Le 29 août 2013, dans une réponse à la question écrite de la sénatrice de l’Essonne Claire-Lise Campion, l’Intérieur estimait qu’il n’y avait pas «de surreprésentation de jeunes policiers dans ces drames, puisque la plus concernée est celle des 40-44 ans».
Par ailleurs, le ministère reconnaissait que «s’il est établi que les causes sont majoritairement d’ordre privé, la difficulté du métier de policier ne peut être niée dans les facteurs déclenchant le passage à l’acte».

http://www.20minutes.fr/societe/1362693-seine-saint-denis-un-policier-se-suicide-a-son-domicile

Le toit d'une paillote s'effondre en Corse : une femme succombe à ses blessures

Une femme blessée dans l'effondrement du toit d'un restaurant de plage dimanche à Porto-Vecchio en Corse-du-Sud est décédée lundi à l'hôpital d'Ajaccio.
La victime avait été hospitalisée en fin de journée avec un autre blessé grave après avoir été dégagée des décombres du toit du restaurant de plage de type paillote qui s'était effondré sur les clients. Un autre blessé grave a été hospitalisée à Bastia. Le toit en tuiles romaines sur une charpente en bois et soutenu par une structure également en bois de la paillote Acciaro, sur la plage de Palombaggia, à Porto-Vecchio, venait d'être installé.
La structure s'est effondrée
Il se serait effondré après la rupture, pour des raisons encore inconnues, de la structure le soutenant. Une quinzaine de personnes, dont des touristes allemands, ont été prises au piège, prisonnières des décombres enchevêtrés et des gravats. Huit d'entre elles ont été blessées dont trois grièvement.
Un important dispositif de secours a rapidement été mis en oeuvre. Mais les pompiers, assistés de volontaires, ont eu de grandes difficultés à opérer, ne parvenant à dégager certaines victimes qu'au terme de plusieurs heures d'efforts. Selon certains témoins, une centaine de personnes se trouvaient auparavant dans l'établissement réunies pour une fête après les élections municipales. La plupart d'entre elles étaient progressivement parties en raison du mauvais temps, un vent violent soufflant actuellement sur le sud de la Corse.
Enquête ouverte
Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident. Structures légères en principe construites en bois et démontées en hiver, les paillotes sont des établissements de plage traditionnels en Corse. Il s'agit généralement de restaurants et autres débits de boissons mais qui s'apparentent de plus en plus souvent aux aménagements des plages privées du type de ce qui se pratique sur Côte d'Azur où la clientèle peut aussi louer parasols sur des emplacements réservés et autres équipements de plage.
Edifiées parfois en partie sur le domine public maritime, les paillotes doivent, selon la loi et la réglementation, être démontées à la fin de la saison estivale. Elles sont parfois au centre de polémiques lorsqu'on a affaire à des constructions en dur, dénoncées notamment par les défenseurs de l'environnement, et d'occupation illégale du domine public maritime.
Le préfet Bonnet avait fait incendier clandestinement deux paillotes
Des préfets ont parfois ordonné la fermeture, voire la destruction de certaines de ces installations. L'exemple le plus tristement célèbre de ces interventions de l'Etat remonte à 1999, avec l'ex-préfet Bernard Bonnet, venu "ramener l'état de droit en Corse" après l'assassinat du préfet Claude Erignac, en 1998. Adepte des méthodes musclées, le haut-fonctionnaire avait ordonné à des officiers de gendarmerie, qui s'étaient exécutés, d'incendier clandestinement deux de ces paillotes, près d'Ajaccio. L'opération commando des militaires avait tourné au fiasco et le préfet avait été révoqué et condamné à de la prison. 

http://www.midilibre.fr/2014/04/28/le-toit-d-une-paillote-s-effondre-en-corse-une-femme-meurt-de-ses-blessures,854197.php

Perpignan : Un jeune motard se tue dans un accident

Un jeune homme a perdu la vie ce dimanche soir dans un accident de la circulation survenu rue Alfred Sauvy à Perpignan. Selon les premiers éléments, la victime circulait sur une moto quand un animal aurait traversé la chaussée. Le pilote du deux roues, âgé de 27 ans, a perdu le contrôle et a lourdement chuté sur la route.

Les sapeurs-pompiers ont été immédiatement dépêchés sur les lieux et lui ont prodigué les premiers soins. Malgré tous leurs efforts, le jeune homme a succombé à ses blessures. 
Un second motard, qui le suivait, s'est également couché sur la chaussée pour l'éviter et aurait fini sa course contre un arbre. Blessé, il a été transporté au centre hospitalier de Perpignan où il se trouvait toujours ce lundi. Une enquête, menée par les services de police, est en cours. 

http://www.lindependant.fr/pyrenees-orientales/perpignan/

Grisolles. Un jeune dans un état critique après avoir chaviré dans le lac de pêche

Un dramatique accident s'est produit hier en fin de journée, au lac de Labarthe à Grisolles. Un groupe de jeunes pêcheurs appartenant à la Gaule traminote de Toulouse était venu pêcher le carnassier, sur ce lac privé, réputé pour être poissonneux. Selon les déclarations recueillies sur place, ils auraient embarqué sur une barque pour se positionner au milieu du lac. Est-ce à cause du mauvais temps ou du vent violent qui soufflait hier sur Grisolles ? Toujours est-il qu'aux environs de 17 h 30 la barque aurait chaviré avec ses passagers, qui ont réussi à regagner la rive, transis de froid. Mais l'un d'entre eux, un jeune homme de 19 ans restait inconscient. Le Samu et les sapeurs-pompiers arrivés rapidement sur place lui ont prodigué rapidement les premiers soins et ont réussi à faire repartir son pouls. Un peu plus tard, le jeune homme toujours inconscient était transporté en urgence à l'hôpital de Montauban dans un état critique. À l'heure où nous bouclons cette édition, son pronostic vital était engagé.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/28/1871491-grisolles-il-chavire-dans-le-lac-de-peche.html

dimanche 27 avril 2014

Ain. Deux morts dans un accident sur l'A40, un enfant de 4 ans hospitalisé

Un accident qui s'est produit aux alentours de 16h45 sur l'A40, à hauteur de Châtillon-en-Michaille, a fait deux morts selon nos confrères du Dauphiné Libéré. Les deux victimes, âgées d'environ 35 et 40 ans, étaient accompagnées d'un troisième passager, un garçon de 4 ans, héliporté vers un hôpital lyonnais.
Le véhicule, qui roulait en direction de Mâcon, se serait encastré dans un pilier du pont des Étournelles.

http://www.leprogres.fr/ain/2014/04/27/deux-morts-dans-un-accident-sur-l-a40-un-enfant-de-4-ans-hospitalise

Une femme de 43 ans étranglée par son ex mari à Saint-Fiel en Creuse

Une dispute aurait éclaté entre l'ancien couple à propos du nouveau compagnon de celle-ci. Son ex-mari l'a alors étranglée, elle se trouve toujours dans le coma
L'auteur du geste qui pourrait coûter la vie à cette mère de famille est âgé de 70 ans. Ayant un différent avec son ex-femme concernant son nouveau compagnon, l'homme aurait alors tenté de l'étrangler avant de donner l'alerte.

En arrivant, les pompiers sont parvenus à réanimer la victime, qui se trouverait toujours dans le coma aujourd'hui.

Une information judiciaire a été ouverte pour tentative de meurtre aggravé.


http://limousin.france3.fr/2014/04/27/une-femme-de-43-etranglee-par-son-ex-mari-saint-fiel-en-creuse-466913.html

La Torche. La jeune fille tombée à l'eau dans un état désespéré

Les recherches restent vaines pour retrouver le corps du père qui s'est jeté à la mer pour sauver sa fille vendredi à la Torche. La jeune fille est dans un état désespéré.

Les patrouilles de gendarmerie continuent de ratisser la baie d'Audierne pour tenter de retrouver le corps de l'homme de 41 ans.
Ce vacancier du Nord se promenait avec son épouse et ses trois filles sur l'éperon rocheux de la Torche. Sa fille de 15 ans est tombée à la mer et son père s'est aussitôt porté à son secours.
Malgré un important dispositif de secours, le corps du père n'a pas été retrouvé. La jeune fille avait été récupérée et transportée dans un état critique à l'hôpital de Quimper. Les médecins ne nourrissent plus d'espoir quant à son rétablissement. 

http://www.ouest-france.fr/la-torche-la-jeune-fille-dans-un-etat-desespere-2428687

Terrible perte de contrôle à Nice: un mort et deux blessés dont un grave

Une Mercedes, avec à son bord cinq passagers, a percuté une villa vendredi peu après minuit, sur le boulevard Maeterlinck à Nice. Le bilan est lourd : un mort et deux blessés graves, rapporte le site de Nice-Matin.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2854798/une-mercedes-percute-une-villa-1-mort-2-blesses.html

Un jeune Langueusien de 17 ans se tue à moto

L'accident s'est produit dans la nuit de vendredi à samedi, vers 4 h du matin, sur la route de Moncontour.

Un jeune de 17 ans est décédé dans un accident de la circulation cette nuit, vers 4 h du matin, à Trégueux.
Seul en cause, l'adolescent aurait perdu le contrôle de sa petite moto de 50 cm3 peu avant la Croix-Gibat, sur la route de Moncontour.
D'après les premiers éléments donnés par la police, le jeune Langueusien revenait d'une soirée qu'il avait passée avec des amis, à Saint-Brieuc.
Des prélèvements sanguins ont été effectués. Transmis à Rennes, les résultats ne seront connus que lundi.

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-un-jeune-langueusien-de-17-ans-se-tue-cyclomoteur-2400093

Perpignan : un sexagénaire tué par arme à feu

Selon l'Indépendant, un différend familial serait à l'origine du drame qui a causé la mort d'un sexagénaire à Perpignan.
Selon l'Indépendant, un différend familial serait à l'origine de la mort d'un sexagénaire à Perpignan samedi matin. A l'arrivée des secours, le malheureux avait succombé à ses blessures. Toujours selon l'Indépendant, l'épouse serait entendue par la police pour éclaircir les circonstances de ce drame

http://www.midilibre.fr/2014/04/26/perpignan-un-sexagenaire-tue-par-arme-a-feu,853617.php

samedi 26 avril 2014

Un an après l’explosion de Wilson : les habitants du quartier sont toujours traumatisés

REIMS (51). En mémoire des trois victimes tuées dans l’explosion de gaz survenue à Wilson il y a un an, une marche blanche est organisée demain dimanche. Une commémoration nécessaire, aussi, pour les rescapés.
La douleur, insoutenable, l’empêche toujours de dormir. Les cauchemars aussi. Pourtant, Boualem Hannou participera à la marche blanche, demain dimanche, dans le quartier Wilson, en mémoire des trois victimes de l’explosion survenue il y a tout juste un an. Une explosion dans laquelle, lui aussi, aurait pu perdre la vie.   « Deux femmes et un monsieur sont morts. Ils habitaient aux 1er, 2e et 4e étages. Je dormais quand c’est arrivé. Au 3e.  Tous les jours je me demande pourquoi pas moi. »
Vers 11 heures, le 28 avril 2013, M. Hannou a entendu « comme une bombe ». Et puis plus rien. Il a su plus tard qu’il s’en était sorti grâce au courage de jeunes du quartier, qui étaient parvenus à l’extraire des gravats. « Je suis resté une journée dans le coma. Puis j’ai passé une semaine à l’hôpital. » Bilan : 400 jours « minimum » de maladie, annonce le rescapé – relogé, depuis, avenue Bonaparte à Croix-Rouge – qui ne peut vivre sans anti-douleurs, sans séances régulières chez le kinésithérapeute. « J’ai dû me faire opérer du bras. Mais j’ai toujours mal, il est toujours gonflé, le chirurgien ne sait pas pourquoi. Je prends des médicaments matin, midi et soir. J’ai aussi très mal au dos. Et derrière la tête. J’ai eu 21 points de suture. » Des séquelles qui lui rappellent, tous les jours, le drame.   « L’avenir ? Je ne le vois pas. » À 42 ans, M. Hannou, qui a pris 19 kg depuis la catastrophe, n’a plus guère d’espoir. Sa vie professionnelle, dans le bâtiment, est aujourd’hui brisée. Ses journées, inexorablement consacrées à des rendez-vous médicaux. « Toutes les deux semaines, je suis chez mon médecin traitant. Sinon, chez le psychologue. Ou chez le psychiatre. » Car en plus des blessures physiques, M. Hannou doit désormais vivre avec des angoisses incessantes.   « Quand je discute avec les médecins, ça va mieux. Mais après deux jours, je rechute. Je ne sais pas comment faire. Je ne vais pas rester comme ça toute ma vie ! J’ai peur dès que je suis dans un bâtiment, mais aussi quand je passe à côté. Je ne dors pas, malgré les cachets. À 2 heures du matin, quand tout le monde dort, moi je réfléchis. Et je pleure. »

« Une vie bousculée, arrêtée en 2 minutes »

Des larmes, Brigitte Mottay aussi en a versé. Elle, habitait au rez-de-chaussée du 8, allée Beethoven, dont l’extrémité a été soufflée par l’explosion. Ce matin-là, ce matin où sa vie a basculé, elle était dans son canapé, en train de faire du crochet, et avait un œil sur son ordinateur. « Ça va très vite. C’est un gros boum. » Sur le coup, elle ne réalise pas que, comme les vitres et les tableaux, son existence vient de voler en éclats. « Il y a eu beaucoup de poussière. Je suis sortie toute seule, avant l’arrivée des pompiers. Je n’avais rien. Mais je n’avais rien compris non plus. Je n’ai pas, sur le coup, pris conscience de l’importance du sinistre. » Une fois dehors, elle découvre l’ampleur du désastre. Aperçoit autour d’elle de nombreux visages connus du quartier. « Ceux du 4 et du 6 ont réagi plus vite que nous. Au 8, ça nous avait tellement étonnés, qu’on avait tardé à bouger… On était tous groggy à l’intérieur. » Elle a attendu l’arrivée des secours, sans comprendre. Puis a rejoint le gymnase, réquisitionné pour accueillir les sinistrés. Avant d’être recueillie par des amis. « J’y suis retournée avec eux, vers 16 heures, pour voir, et réaliser. Mon appartement était relativement épargné. Disons qu’il y avait un trou dans le plafond, des fissures, mais les murs étaient restés debout. Les canalisations avaient pété. Il y avait un rideau d’eau dans le couloir du rez-de-chaussée. » Quinze jours plus tard, Mme Mottay était relogée, rue Paul-Petit. Mais ce n’est qu’en novembre dernier qu’elle a pu récupérer ses machines de broderie, indispensables pour faire tourner son entreprise. « Ce qui me révolte, c’est qu’il y a eu des vols, malgré les vigiles et le système de protection . On m’a dérobé un ordinateur, deux imprimantes et d’autres objets. Je suis une ancienne antiquaire, grande collectionneuse. Il y avait beaucoup de choses chez moi… »
Brigitte Mottay, frappée par un malaise, n’avait pas pu participer à la première marche blanche, organisée une semaine après le drame. Cette fois, un an plus tard, en mémoire des victimes, avec qui elle entretenait de bons rapports de voisinage, elle sera bien là. Pour elle, aussi.   « En ce moment, je ne suis pas bien. C’est l’anniversaire. Plus le temps passe, plus c’est difficile. C’est une vie qui est bousculée, arrêtée en 2 minutes. J’ai 57 ans. Je n’ai plus rien, plus de photos, plus de souvenirs, plus de passé. » Mme Mottay voit toujours le psychologue et le psychiatre du dispositif. « J’essaie de recommencer mon activité, mais j’ai beaucoup de mal à me concentrer. C’est difficile. »
Difficile aussi, l’après, pour Daniel Léger, que nous avions rencontré en septembre dernier. Domicilié au 18, rue Hector-Berlioz, il a assisté, depuis sa chambre, au désastre. A ressenti, lui aussi le choc, à 11 h 16. Et attend toujours de pouvoir quitter ce lieu, devenu synonyme pour lui de tragédie. « Nous ne sommes plus que quatre locataires, sur dix. J’ai fait plusieurs demandes au Foyer rémois, mais on ne me propose rien. On me dit qu’il n’y a rien. J’ai toujours été un bon locataire, je ne comprends pas ! Ça m’inquiète, je ne peux plus rester ici. » Il pointe du doigt sa fenêtre de cuisine, brisée par la déflagration, et toujours pas remplacée. Simplement couverte d’une planche de bois fine. « Ils en ont enlevé sur l’immeuble détruit. Je pourrais peut-être en récupérer une... » Du coup, l’hiver a été rude chez Daniel Léger. Sa facture d’électricité aussi. Sans parler de son loyer, « qui a augmenté alors que notre immeuble est prêt à être démonté ! Je suis en colère, j’en ai marre ». Et les nuits sans sommeil n’arrangent rien.   « Je fais toujours des cauchemars. Je pense à ceux qui ont perdu la vie. On participera, avec ma copine, à la marche blanche, dimanche. Même si ça ne les fait pas revenir, ça permettra de ne pas les oublier. »
Les oublier... impensable pour Zabida Mecibah qui doit vivre elle aussi avec, sous les yeux, cette scène de désolation dans laquelle sa sœur a perdu la vie. Demain, elle trouvera le courage et sera dans la rue pour lui rendre hommage. «   J’habite juste derrière. On s’était installées ensemble dans le quartier au décès de mon mari. On pouvait se parler d’un balcon à l’autre ! Je l’ai cherchée ce matin-là quand j’ai entendu l’explosion. Je ne l’ai pas trouvée. » D’elle, il ne lui reste qu’une photo d’identité en noir et blanc   ; un cabas rayé récupéré dans les décombres. « Ils vont détruire tout ça, mais on n’oubliera pas nos morts. Cette terre est pleine de leur sang. »

http://www.lunion.presse.fr/region/photos-video-un-an-apres-l-explosion-de-wilson-les-ia3b24n338058

Belfort : il meurt, piqué par une guêpe

Ce samedi après-midi, un homme de 58 ans est décédé après une banale piqure de guêpe. L’homme, originaire de Chaux (90) s’est fait piquer par l’insecte. Il a fait un choc anaphylactique qui a entraîné un arrêt cardiaque. Malgré une prise en charge rapide à l’hôpital de Belfort, il n’a pu être ramené à la vie.
Il est extrêmement rarissime de décéder après une seule piqure de guêpe.
 

Un homme se suicide du viaduc du Pays de Tulle cette nuit en Corrèze

Aux alentours d'une heure du matin, cette nuit, un jeune homme de 24 ans a sauté du viaduc du Pays de Tulle (haut de 150 mètres), situé sur les communes de Naves, Les Angles-sur-Corrèze et Gimel-les-Cascades, dans le département corrézien.

Les pompiers et la gendarmerie sont tout de suite intervenus, sans succès


http://limousin.france3.fr/2014/04/26/un-homme-se-suicide-du-viaduc-du-pays-de-tulle-cette-nuit-en-correze-466447.html

écuisses. - Hier, un homme de 26 ans s’est jeté sous un train. Le trafic ferroviaire a été lourdement perturbé.

Le TGV en provenance d’Annecy et de Milan qui circulait en direction de Paris a été immobilisé hier pendant 6 heures à Écuisses. Un jeune homme résidant à Montceau s’est volontairement jeté sous le train.
Hier vers 12 h 30, un TGV avec à bord 750 personnes, a percuté mortellement un homme de 26 ans au niveau de la commune d’Écuisses. Le train en provenance d’Annecy pour la rame de tête et Milan pour la rame de queue, ne devait que traverser la gare Montchanin TGV pour poursuivre son voyage en direction de Paris gare de Lyon. Il roulait donc à pleine vitesse au moment du choc qui a été d’une violence extrême. Tous les passagers disent avoir très bien perçu le bruit de l’impact, juste au moment où le train passait sur un pont, à l’intersection de la ligne TGV et de la ligne classique. Selon l’enquête supervisée par les gendarmes de la compagnie d’Autun, la victime qui résidait à Montceau-les-Mines (mais sans y être originaire) aurait volontairement mis fin à ses jours. Un vélo a été retrouvé au bord de la voie.

Six heures d’attente

Lancé à près de 300 km/h, le TGV s’est immobilisé 2 500 mètres après la collision. Les 750 passagers ont été prévenus immédiatement de la nature de l’accident. Selon la SNCF, un « accident de personne » perturbe normalement la circulation ferroviaire pendant une à deux heures. Mais hier, les passagers n’ont pu repartir que six heures plus tard, à 18 h 15, après avoir été transbordés dans un autre train. Un retard dû aux conditions de travail très difficiles de l’officier de police judiciaire et des agents funéraires. À l’avant, la « jupe du train » portait l’empreinte du corps. Le conducteur, choqué, a été relevé et pourra être pris en charge par les nouvelles cellules de soutien psychologique mise en place par la SNCF.
À bord, aucune situation sensible n’a été relevée. Les passagers, dont de nombreux enfants, ont attendu dans un calme relatif, patientant en dévalisant le wagon bar. Les trois TGV qui suivaient en provenance ou en direction de Paris ont été détournés sur une ligne classique (via Dijon) et ont eu 1 h 30 de retard. Les autres trains n’ont été impactés que par des retards, allant de 5 à 15 minutes. Le trafic a repris normalement à partir de 15 h 40

http://www.lejsl.com/edition-du-creusot/le-creusot

Lunéville-Nancy : une quadragénaire tuée par un train

Le TER Lunéville-Nancy a percuté et tué une femme de 44 ans qui se trouvait sur les rails, ce vendredi vers 10 h 30, à environ 1 km de la gare de Varangéville. La police a ouvert une enquête pour déterminer s'il s'agit d'un accident ou d'un suicide. Le trafic ferroviaire a été interrompu pour permettre aux enquêteurs d'effectuer les constatations. La trentaine de passagers qui se trouvaient à bord du TER ont été pris en charge par un bus  et conduit sur Nancy.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/25/luneville-nancy-une-quadragenaire-tuee-par-un-train

vendredi 25 avril 2014

Rhône. Drame d’Alzheimer à Ecully : un octogénaire tire au fusil à pompe sur le lit conjugal

Il ne supportait plus les cris de sa compagne souffrant de la maladie d’Alzheimer. Pour lui faire peur et la faire taire, un homme de 82 ans a pris son fusil à pompe et a tiré sur le lit où était couchée la vieille dame âgé de 93 ans.
Choquée mais indemne, elle a été hospitalisée.
Son compagnon a été arrêté dans la nuit de mercredi à jeudi à son domicile d’Ecully. Il sera présenté au parquet ce samedi matin. L’enquête est menée par la brigade départementale de protection de la famille.


http://www.leprogres.fr/faits-divers

Emporté par une vague en sauvant sa fille

Une jeune fille de 15 ans a été transportée vendredi dans un état grave vers l'hôpital de Quimper après être tombée à la mer avec son père, toujours recherché, à la pointe de la Torche (Finistère), a indiqué la préfecture maritime de l'Atlantique dans un communiqué.

Vers 11h40, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (Cross Corsen) a été alerté par un témoin que deux personnes étaient tombées à la mer à la pointe de la Torche, à Penmarc'h, indique la préfecture, qui a précisé à l'AFP ne pas connaître les raisons de la chute.

Les victimes sont un homme de 41 ans et sa fille de 15 ans, a précisé la préfecture, qui a affirmé que des recherches avaient rapidement été entreprises avec un hélicoptère de la sécurité civile, une vedette de la SNSM et une autre des pompiers, ainsi qu'un avion de patrouille maritime.

Peu après 12h00, la jeune fille a été retrouvée dans un état grave puis évacuée vers l'hôpital de Quimper, tandis que les recherches se poursuivaient pour retrouver son père.

Lors du drame, la mer était peu agitée avec des vents d'environ 22 km/h, selon la même source


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/25/97001-20140425FILWWW00246-emporte-par-une-vague-en-sauvant-sa-fille.php

Ligny-Saint-Flochel : un jeune ouvrier agricole retrouvé mort sous un engin agricole

Un ouvrier agricole âgé de 20 à 25 ans, a été retrouvé décédé hier après-midi vers 15h00 sous un engin agricole à Ligny-Saint-Flochel, près de Roclincourt, dans le Pas-de-Calais. 
Le corps du jeune homme a été découvert inanimé. Vers 15h15, les secours ont affirmé son décès. Selon les gendarmes, le véhicule agricole était une botteleuse (appareil servant à faire des ballots de paille), mais d'après un correspondant de l'Abeille de la Ternoise, présent sur place, il s'agissait d'un semoir à petits pois.  

Un examen du corps va être réalisé ce soir et des experts viendront faire les constats d'usage sur l'engin dès demain, vendredi.



http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/24/ligny-saint-flochel-un-jeune-ouvrier-agricole-retrouve-mort-sous-une-botteleuse-465579.html

Lunéville-Nancy : une quadragénaire tuée par un train

Le TER Lunéville-Nancy a percuté et tué une femme de 44 ans qui se trouvait sur les rails, ce vendredi vers 10 h 30, à environ 1 km de la gare de Varangéville. La police a ouvert une enquête pour déterminer s'il s'agit d'un accident ou d'un suicide. Le trafic ferroviaire a été interrompu pour permettre aux enquêteurs d'effectuer les constatations. La trentaine de passagers qui se trouvaient à bord du TER ont été pris en charge par un bus  et conduit sur Nancy.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/25/luneville-nancy-une-quadragenaire-tuee-par-un-train

Castelnaudary. Un octogénaire succombe à des piqûres d'abeilles

Un drame terrible a coûté la vie, hier, à un octogénaire de Soupex, Guy Campagne, entrepreneur du bâtiment, en retraite. Un drame qui aurait pu faire d'autres victimes.
Hier matin, sur la commune de Saint-Paulet un apiculteur était occupé à recueillir le miel de ses ruches qu'il comptait déménager. Alors que M. Campagne se dirigeait vers lui, il se fait piquer par une abeille. L'apiculteur, voyant qu'il repartait , a continué à vaquer à ses occupations et c'est au moment où il se dirigeait vers son véhicule qu'il a aperçu M. Campagne, au sol, en arrêt cardiaque. Les sapeurs-pompiers, alertés, se sont très rapidement rendus sur les lieux du drame, à En Taillant, route de Soupex . À peine avaient -ils éloigné la victime, qu'ils ont été, à leur tour la cible de l'essaim en colère avec des abeilles agitées, virevoltant dans tous les sens. Les deux secouristes piqués en plusieurs endroits se sont alors débattus, gesticulant pour essayer de les chasser. En vain. L'un d'eux, piqué à l'intérieur de la bouche, est tombé au sol et a alors aussitôt fait un œdème de Quincke.
Un moment terrible pour les secours face à une victime décédée, et impuissants à porter secours à un de leur collègue au sol qui, très rapidement, a éprouvé des difficultés à respirer. Son état nécessitera d'ailleurs qu'il soit emmené au centre hospitalier de Carcassonne par l'hélicoptère médicalisé. Il devait y rester en observation au service réanimation pour la nuit.Un autre sapeur-pompier, conducteur du véhicule du Samu, présent sur l'intervention, qui voulait porter secours à ses deux collègues attaqués, est lui aussi piqué à plusieurs reprises ainsi qu'un des gendarmes présents sur l'intervention. Ils seront également hospitalisés, certains sous perfusion. Par chance leurs jours ne sont pas en danger.
Le drame a plongé Soupex dans la peine tant M. Campagne était estimé. Il aurait eu 80 ans dans quelques jours.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/04/25/1870127-castelnaudary-un-octogenaire-succombe-a-des-piqures-d-abeilles.html

Une factrice tente de se suicider dans son bureau de poste

Une employée de La Poste, âgée d’une cinquantaine d’années, a tenté de mettre fin à ses jours ce jeudi matin sur son lieu de travail, au bureau Lionel-Terray à Grenoble. La quinquagénaire a été prise en charge par les secours et évacuée vers les urgences. Elle est hors de danger, mais toujours hospitalisée.

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/04/25/une-factrice-tente-de-se-suicider-dans-son-bureau-de-poste

jeudi 24 avril 2014

Dramatique série sur la RN 147 à hauteur de Bellac : 2 morts dans la journée de mardi

Deux accidents de la circulation se sont produits hier, sur la RN 147, à hauteur de Bellac en Haute-Vienne. L’un dans la matinée, l’autre en fin d’après-midi. Le bilan est lourd : deux morts.
Loi des séries, mais sans aucun rapport, un autre accident s’est produit, vers 19H30, toujours sur la RN 147, cette fois au nord-ouest de Bellac.
Un autre véhicule, circulant vers Poitiers, s’est déporté de sa voie de circulation pour une raison inconnue. Un poids lourd, arrivant en sens inverse, a alors tenté de l’éviter, en se déportant lui aussi. Mais le véhicule s’est alors rabattu, percutant de plein fouet le camion. Le conducteur de la voiture, un homme de 70 ans, est décédé. Le chauffeur du poids lourd, immatriculé dans la Vienne, est lui indemne


http://limousin.france3.fr/2014/04/23/dramatique-serie-sur-la-rn-147-hauteur-de-bellac-2-morts-dans-la-journee-de-mardi-464459.html

Charente : un homme de 65 ans meurt dans l'incendie d'une grange

Un incendie s'est déclaré en fin de matinée dans la grange d'une habitation de Valence, situé sur le lieu-dit La Brousse, entre Mansle et Cellefrouin.
D'importants moyens ont été déployés par les pompiers pour maîtriser le feu qui a ravagé cette grange de 200 mètres carrés. Le corps d'un homme de 65 ans se trouve sous les décombres. Une équipe de pompiers spécialisés est chargée de sécuriser les lieux pour en extraire le corps. Sa femme qui aurait tenté de le secourir, a été brûlée aux mains. Leur petit-fils est sain et sauf.
L'incendie a pu être maîtrisé vers 12h30.

http://www.sudouest.fr/2014/04/24/charente-une-grange-en-feu-a-valence-un-homme-serait-sous-les-decombres-1534860-1147.php

Jura . Saint-Claude : un homme se suicide en sautant du grand pont

Les gendarmes sanclaudiens ont été appelés avant 7h30 ce jeudi matin. Le conducteur d’un fourgon qui passait sous le Grand Pont a vu un corps sur le parking à côté de l’entreprise SCEB. Une fois sur place, les secours n’ont pu que constater le décès. Il s’agit d’un homme d'une quarantaine d'années, commerçant à Saint-Claude.
L’hypothèse la plus probable est celle d’un suicide.


http://www.leprogres.fr/jura/2014/04/24/saint-claude-un-homme-se-suicide-en-sautant-du-grand-pont

Handicapée mentale, elle a vécu 34 ans « comme un animal »

Elle plaçait les mains sur ses oreilles pour ne pas entendre les paroles de son bourreau, hier, en correctionnelle, à Nancy. Petite bonne femme sous le joug d’un couple, durant 34 ans, à Laxou. Arrivée chez eux parce qu’elle entretenait une liaison avec le frère du maître de maison. Qui l’a très vite délaissée.
« On l’a eue en 1973. Personne de sa famille n’en voulait, monsieur le juge ! Alors on l’a gardée chez nous… » Veste grise, lunettes cerclées or, cravate triste, ventre proéminent, petite sacoche en cuir usé posée au pied de ses mocassins vernis, le prévenu, 65 ans, n’était pas d’accord avec la lecture du dossier d’instruction que faisait le président Christian Haouy.
« Il est insupportable pour un adulte de se prendre des tapes sur la tête, des gifles, de manière habituelle, de la part des personnes chez qui on vit. Ces humiliations sont inacceptables. On recueille quelqu’un chez soi durant 34 ans et on le fait manger à côté, dans la cuisine, comme un animal. Et on l’enferme le soir venu. C’est une forme de séquestration… »
Le 9 avril 2009, la victime, âgée de 66 ans, est allée voir la police pour dénoncer des violences. Elle venait d’être mise à la porte. L’instruction judiciaire a conclu au non-lieu pour le viol. Et les poursuites pour abus de faiblesse ne démarrent qu’à partir de 2006 pour cause de prescription des faits antérieurs.
Un état de soumission…
« Il faut comprendre dans quel état de soumission elle était. Pendant combien de temps, elle a entendu dire : ta famille, elle ne veut pas de toi… » Pour Me Merry, avocate de la partie civile, le couple « connaissait parfaitement sa vulnérabilité ». La victime souffre en effet d’un handicap mental léger. Elle a été placée sous tutelle durant l’enquête.
« Le vocabulaire employé démontre une violence continue. Que c’était une feignante, une moins que rien, que si elle voulait partir, elle irait sous les ponts. Tout ça pour ponctionner son compte en banque… », a poursuivi la partie civile.
Le couple lui prenait le petit salaire qu’elle recevait de la maternité de Nancy. Lui donnant juste quelques billets. En 1992, le couple lui a également fait contracter un prêt sur 20 ans, pour lui vendre la nue-propriété de leur maison de campagne, afin de n’en conserver que l’usufruit.
Et de lui faire vendre la maison, en 2006, en empochant la totalité du produit de la transaction, 80.000 €, avec la complicité d’un notaire. Les avocats se sont étonnés que ce notaire, dont le nom n’a pas été cité, n’ait pas été poursuivi. La procureur Chantal Ramey est restée muette sur ce point.
« Ce ne sont pas des violences spectaculaires. Mais constantes, répétées », a dénoncé la représentante du ministère public, requérant six mois de prison avec sursis.
« Elle a travaillé pendant 20 ans à la maternité de Nancy. Elle a eu des collègues avec qui elle pouvait discuter. Elle n’a jamais rien dit, et n’a jamais cherché à partir », a plaidé Me Valence, pour la défense.
Et d’assurer que « ce n’est qu’à partir de 2008 que les choses se sont dégradées entre ces trois personnes au fonctionnement bizarre. Avant, le mode de fonctionnement convenait à tous ».
Le tribunal a condamné le couple à huit mois de prison avec sursis. Accordant 41.000 € de réparations à la victime.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2014/04/24/34-ans-comme-un-animal

mercredi 23 avril 2014

Dijon: suicide d'un adjoint de sécurité de 22 ans

Un adjoint de sécurité, âgé de 22 ans, s'est suicidé avec son arme de service, mercredi après-midi, au commissariat de Dijon, a-t-on appris auprès du directeur départemental de la sécurité publique de Côte-d'Or, Séraphin Parra.

Inquiet de ne pas voir le jeune homme reprendre son service à 14h00, un collègue est parti à sa recherche et a retrouvé son corps dans une annexe de la cafétéria du commissariat, a précisé M. Parra, confirmant une information du Bien Public. En poste à Dijon depuis 2011, le jeune homme venait de réussir le concours de gardien de la paix.

Une enquête pour déterminer les circonstances du décès a été confiée à la direction inter-régionale de police judiciaire de Dijon.
Une cellule psychologique a été mise en place au sein du commissariat, a ajouté le DDSP de Côte-d'Or.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/23/97001-20140423FILWWW00314-dijon-suicide-d-un-adjoint-de-securite-de-22-ans.php

Une nonagénaire est décédée dans un accident de la circulation

Une dame âgée de 92 ans est décédée dans un accident de la circulation mardi à Senez. Il était aux environs de 18 heures, lorsque le véhicule d’un conducteur âgé de 37 ans a quitté la chaussée dans un virage à gauche pour tomber en contrebas de la route départementale 4085. A ses côtés, sa passagère originaire de Barrême qui était son aïeule a succombé à ses blessures malgré l’intervention des secours. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie de Mézel afin de déterminer les circonstances exactes de cet accident.

http://www.ledauphine.com/haute-provence/2014/04/23/une-nonagenaire-est-decedee-dans-un-accident-de-la-circulation

Hénin-Beaumont : un piéton mortellement fauché ce mardi soir

Un homme de 45 ans a été percuté par un véhicule rue Elie Gruyelle à Hénin-Beaumont ce mardi soir vers 23h30. Il est décédé.
Les soins prodigués sur place n'ont malheureusement pas pu aboutir, le piéton un homme de 45 ans, est décédé. La conductrice, âgée de 23 ans, avait appelé les secours juste après l'accident. Ses analyses d'alcoolémie sont négatives. Elle avait été placée en garde à vue.

Selon la police, qui précise une information de
La Voix du Nord, un piéton aurait voulu traverser la rue hier soir et se serait rétracté avant qu'un second piéton ne s'engage sur la route. La conductrice n'a pas réussi à éviter l'impact.

On sait que l'accident s'est produit au niveau du numéro 210 de la rue sur une chaussée humide. Une enquête a été ouverte.

La semaine dernière, le 17 avril, une dame de 79 ans, avait été percutée par une voiture (à un autre niveau de la même rue) qui effectuait une marche arrière. Cette dame est décédée hier, mardi 22 avril, des suites de ses blessures. 


http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/23/henin-beaumont-un-pieton-mortellement-fauche-hier-soir-464517.html

Drame de Luc-sur-Orbieu : une ex-collègue de la victime témoigne

Tony Boyé, le jeune homme de 23 ans décédé lundi soir après une altercation avec son père à propos de son "addiction" supposée à internet, a travaillé pendant la saison estivale 2012 au Carrefour Market de Lézignan.
Les témoignages des salariés rejoignent ceux des voisins. Ils ont alors côtoyé un jeune homme gentil et discret, qui n'a jamais posé de problème à quiconque. "Nous avons travaillé ensemble, pendant la saison, il avait commencé en mai et il est resté jusqu'en août. Il était à la caisse, explique Audrey Monier, hôtesse d'accueil. Je garde le souvenir de quelqu'un de très sympathique. Il était discret, mais à la pause, il riait avec nous, blaguait et se montrait très gentil. Je suppose qu'il était un peu nerveux, parce que sous la caisse, sa jambe bougeait tout le temps. Il n'était pas du tout introverti, et il n'avait pas le profil d'un fou de jeux vidéos : à la caisse, il était placé non loin des écrans, mais je ne l'ai jamais vu traîner de ce côté-là. Il était très aimable avec les clients, et personne n'a jamais eu à se plaindre de lui. Il est venu il y a quelques jours avec son père et nous a demandé des nouvelles. Il était peu liant, ne parlait jamais de sa vie privée, on ne l'a jamais vu en dehors du boulot . Dans le cadre du travail, c'était quelqu'un d'agréable".

http://www.lindependant.fr/2014/04/23/audrey-de-carrefour-il-etait-agreable-tout-en-etant-tres-discret,1875095.php

Accident de cheval mortel pour le directeur des finances publiques

Les fonctionnaires de l’administration des finances publiques des Alpes-de-Haute-Provence ont appris hier le tragique accident de cheval dont a été victime, samedi, leur directeur, Jean-Louis Funel.

Transporté par les pompiers à l’hôpital de Digne dans un premier temps, il a été transféré hier à Toulon, dans un état de mort cérébrale. Les circonstances précises du drame n’étaient pas connues hier soir. Marseillais de naissance, marié et père de trois enfants, Jean-Louis Funel, 56 ans, avait pris ses fonctions en juin dernier.

Diplômé de l’école nationale du cadastre de Toulouse, il avait occupé plusieurs postes en Bourgogne, à Saint-Étienne, en Ardèche puis récemment dans l’Essonne.


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2850677/accident-de-cheval-mortel-pour-le-directeur-des-finances-publiques.html

Accident mortel après une fête étudiante à Hyères: le parquet ouvre une enquête

Un juge d'instruction a été désigné pour déterminer les circonstances de la mort de Lou-Anne ce vendredi à Hyères. Le conducteur de la voiture dans laquelle se trouvait la jeune étudiante a été mis en examen. Il avait consommé trop d'alcool avant de prendre le volant.
Le jeune homme a été mis en examen pour "homicide involontaire" et placé sous contrôle judiciaire. Il présentait une alcoolémie de 1,80 mg/l de sang après l'accident sur la RD12 à Hyères. L'enquête se poursuit sur le contexte dans lequel s'est produit le drame.
Les deux jeunes gens avaient participé, à la Magnanerie de Saint-Isidore dans la vallée de Sauvebonne à Hyères, à la soirée de "gala" de la filière "gestion des entreprises et des administrations" (GEA) de l'IUT de La Garde. Lou-Anne, une brillante étudiante âgée de 18 ans, originaire du Val, était major de sa promotion.

http://www.varmatin.com/hyeres/accident-mortel-apres-une-fete-etudiante-a-hyeres-le-parquet-ouvre-une-enquete.1659896.html

mardi 22 avril 2014

Accident de voiture : le village pleure son conseiller municipal

LA FORESTIERE (51). Francis Rossi, conseiller municipal fraîchement élu, est décédé dans un accident de voiture ce dimanche soir. Son épouse est toujours hospitalisée.
Cédric Peuvrier ne comprend pas comment l’accident a pu se produire. «  Je suis allé sur place, je n’ai pas vu de traces de freinage…  » constate, déboussolé, celui qui vient de perdre son ami, Francis Rossi, 53 ans. Avec son épouse, il quittait justement le domicile des époux Peuvrier pour rentrer chez eux le soir de l’accident. «  Ils étaient comme des frères  », indique Georges Quinault, conseiller municipal élu de la Forestière, dans le sud-ouest marnais, en même temps que Francis Rossi. «  On se pose tous des questions… C’était quelqu’un de tellement généreux. Un bon vivant.  »

L’expression revient souvent dans la bouche des habitants.
Cédric Peuvrier se rappelle d’ailleurs de sa première rencontre avec Francis Rossi, il y a une dizaine d’années. «  J’avais besoin de ciment. Je suis allé voir un voisin qui m’a orienté vers Francis. C’était un jour férié, comme aujourd’hui. Il m’a dépanné, sans même me connaître. Il était comme ça. On s’est revu plusieurs fois et depuis cinq ans, on mangeait ensemble au moins une fois par semaine.  »
Les repas, la convivialité, la bonne humeur : des choses simples qu’aimait partager Francis Rossi avec ses proches et les gens du village.

« Il aurait été un excellent conseiller »

Jean-Pierre Ruelle, ancien maire et premier adjoint, sourit à l’évocation du montage de la liste pour les municipales.


«  Francis est de La Forestière. Son père était un immigré italien et sa mère était née ici. Il voulait s’investir dans son village et, justement, souhaitait qu’il y ait un maximum de personnes originaires ou vivant à La Forestière sur la liste. C’était le plus bavard d’entre nous, il était dynamique  », plaisante-t-il. «  Il aurait été un excellent conseiller, il aurait donné beaucoup de son temps.  » Cédric Peuvrier sait que son ami avait particulièrement envie de s’investir pour l’organisation de la fête du 1er mai, à L’Étoile.
Il adorait également la chasse. Il était d’ailleurs devenu président de la Société de chasse il y a cinq ans. «  C’était sa passion. Moi, je ne chasse pas, mais il était intarissable.  » Comme beaucoup de membres de l’association, âgés d’une cinquantaine d’années, il avait commencé à l’âge de 16 ans. Mais n’oubliait pas non plus le lien avec les autres corporations de métier. Agriculteur, Jean-Pierre Ruelle savait pouvoir compter sur lui. «  Il était toujours prêt à aider, pour poser des clôtures, par exemple.  »

Plaquiste, il avait d’ailleurs fondé sa propre société, dans laquelle travaillent ses deux fils. Une réelle fierté. La famille : une autre valeur essentielle aux yeux de Francis Rossi. Sûrement un trait de ses origines italiennes. Les habitants témoignent d’une famille très soudée, avec son épouse, Martine, ses deux fils, ses deux filles et ses quatre petits-enfants.
La municipalité envisage de soutenir, d’une façon ou d’une autre, la famille dans ces moments douloureux. Tous dans le village se souviendront de lui comme d’un «  homme au grand cœur  ».

 
C'est le 11e accident mortel depuis le début de l'année sur les routes marnaises. Le dernier accident mortel en date s'est produit le 6 avril. Un cycliste avait été renversé par une voiture. Le conducteur n’avait même pas pris la peine de s’arrêter. Le cycliste était décédé des suites de ses blessures à l'hôpital.

http://www.lunion.presse.fr/region/faits-divers

Un détenu de 70 ans se suicide aux Baumettes

Hier en fin de matinée, les surveillants de la maison d’arrêt des Baumettes de Marseille ont retrouvé le cadavre d’un détenu, âgé de 70 ans. Le septuagénaire avait mis fin à ses jours par pendaison dans sa cellule. Une enquête a été ouverte et confiée à la sécurité publique.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2849203/un-detenu-de-70-ans-se-suicide-aux-baumettes.html

Moivrons : un jeune motard se tue dans une sortie de route

Moivrons. Un tragique accident de la circulation s’est produit dimanche soir, vers 23 h, à l’entrée de Moivrons, une petite commune située entre Nancy et Pont-à-Mousson. Une centaine de mètres avant d’arriver dans le village, un motard a perdu le contrôle de son engin dans un virage. Le deux-roues est sorti de la route et est allé percuter deux piquets en béton d’une clôture qui délimitait un champ.
Le conducteur, Mathieu Richaudeau, un jeune de 20 ans domicilié à Leyr, un village voisin, n’a survécu. Arrivés sur place, un médecin du SAMU ainsi que les pompiers du Val de Seille et ceux de Pompey lui ont prodigué les premiers soins. Ils ont tenté de la réanimer. En vain. Le jeune motard est décédé.
Présents sur les lieux, les gendarmes de la brigade de Nomeny ont effectué les constatations. Une enquête est en cours pour tenter de comprendre pourquoi la victime est sortie de la route.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/04/21/un-jeune-motard-se-tue-dans-une-sortie-de-route

lundi 21 avril 2014

Long (80) : Une fillette de 3 ans décède, écrasée par un téléviseur

Le drame a eu lieu  hier soir au domicile familial, à Long, dans la Somme. Un téléviseur serait tombé sur une fillette de 3 ans. Les pompiers ont été appelés un peu avant 21 heures pour secourir l'enfant. Héliportée au CHU d'Amiens, la victime n'a pas survécu à ses blessures.
Hier soir, au domicile familial, la fillette âgée de 3 ans a été écrasée par un  téléviseur. Blessée grièvement, les secours sont appelés rapidement.
Les pompiers sont intervenus sur place vers 21H.
La victime a été ensuite héliportée dans un état grave au CHU d'Amiens mais elle n'a pas survécu à ses blessures.
Les faits évoquent un terrible accident domestique.
Une autopsie a été ordonnée par le parquet d'Amiens pour déterminer les causes exactes du décès. Les auditions des parents doivent permettre aux gendarmes d'Abbeville d'éclaircir les circonstances du drame.


http://picardie.france3.fr/2014/04/21/long-80-une-fillette-de-3-ans-decede-ecrasee-par-un-televiseur-463611.html

Accident de cyclomoteur à Quimperlé. Un ado de 17 ans dans un état grave

Inconscient et souffrant d'un grave traumatisme crânien, un jeune cyclomotoriste a été transporté par hélicoptère à Brest, dimanche soir vers minuit.

Dimanche vers 23 h 45, un adolescent âgé de 17 ans et domicilié à Moëlan-sur-Mer se rendait à la discothèque l'Equalizer à Quimperlé, sur sa motocross 50 cm3. Il a traversé le rond-point de Tian'Anmen à Trélivalaire, tout près du centre de secours,et heurté en pleine tête un panneau de cédez-le passage.

Inconscient

Inconscient et souffrant d'un grave traumatisme crânien, il a été transporté par l'hélicoptère Dragon 29 à l'hôpital de la Cavale-Blanche, à Brest.

http://www.ouest-france.fr/accident-de-cyclo-quimperle-un-ado-de-17-ans-dans-un-etat-grave-2259239

Un conseiller municipal décède dans un accident de la route

Il était 22h45 environ quand l'accident mortel s'est produit. Une voiture circulait sur la RD 49 à proximité du village de la Forestière dans le canton d'Esternay.
La voiture a fait une sortie de route et a percuté un arbre, provocant la mort d'un homme, le conducteur. Il s'agissait de Francis Rossi, conseiller municipal de La Forestière. Ce dernier, plaquiste de profession, était aussi le président de la société de chasse. Sa femme qui se trouvait du côté passager est grièvement blessée et a été transportée à l'hôpital.
Les causes exactes de l'accident ne sont pour l'instant pas connues.
Francis Rossi était très apprécié dans le petit village de la Forestière. "C'était un homme au grand cœur", a précisé un des habitants interrogé.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/un-conseiller-municipal-decede-dans-un-accident-de-la-route-ia0b0n335507

dimanche 20 avril 2014

La Chapelle d'Armentières : un mort et deux blessés graves dans une collision entre une moto et une voiture

L'accident s'est produit dans une légère chicane, rue Victor-Vigneron, à La Chapelle d'Armentières (Nord). Il était environ minuit quand une Citroën AX et une moto Honda de grosse cylindrée sont entrées en collision dans des circonstances qui restent encore à éclaircir. Il y avait deux personnes sur le deux-roues, dont l'une est décédée. Les pompiers, alertés à 0h06, ont tenté en vain de le ranimer. Selon La Voix du Nord, son corps a été projeté à plus de 30 mètres.   
L'autre passager de la moto et conducteur de la voiture, qui a du être désincarcéré, ont été hospitalisés dans "un état grave", selon les pompiers d'Armentières. Une enquête de police est en cours.

http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/20/la-chapelle-d-armentieres-un-mort-et-deux-blesses-graves-dans-une-collision-entre-une-moto-et-une-voiture-463037.html

Accident à Angers. Deux corps calcinés dans une collision

 Près d’Angers, dans la nuit de vendredi à samedi, un accident a provoqué la mort de deux personnes.
Sur le talus de la D347, à hauteur de la piscine de Saint-Barthélemy-d'Anjou, commune qui jouxte Angers, l'herbe est carbonisée. C'est là qu'une Ford Fiesta, percutée par une 206 Peugeota pris feu vers 23 heures vendredi soir.
Les deux corps, qui se trouvaient dans la Ford, ne sont pas identifiables, selon un policier. Tout laisse à penser que ce sont les propriétaires du véhicule, un couple de sexagénaires habitant Longué-Jumelles (Maine-et-Loire).
« Pour en être certain, nous allons tout de même réaliser des autopsies des corps et des prélèvements ADN », indique un enquêteur.

Un conducteur en garde à vue

Le conducteur de la 206, qui est sorti indemne de l'accident, a été placé en garde à vue au commissariat d'Angers. Âgé de 32 ans, le conducteur devrait être présenté au juge ce dimanche.

http://www.ouest-france.fr/accident-angers-deux-corps-calcines-dans-une-collision-2225097

Jacques Mesrine L'homme qui a fait trembler la France FR 2014

samedi 19 avril 2014

Deux morts et trois blessés graves dans un choc frontal

Ce samedi, aux alentours de 17 h 30, sur la départementale 538, entre Divajeu et Allex, deux véhicules se sont percutés frontalement. Deux hommes de 43 ans et 18 ans, originaires de l’Isère, ont perdu la vie. Dans l’autre véhicule, les pompiers ont extrait quatre personnes.
Trois étaient dans un état grave. Coupée à la circulation, la D 538 a été rouvert à la circulation il y a quelques minutes. Les sapeurs-pompiers venus du centre de secours de Crest et des centres voisins ont dépêché sur place : cinq ambulances, un hélicoptère et deux véhicules de désincarcération

http://www.ledauphine.com/drome/2014/04/19/divajeu-deux-morts-et-trois-blesses-graves-dans-un-choc-frontal

Accident mortel sur l'autoroute: un passager éjecté et tué

Un accident mortel s’est produit ce samedi à 16 heures sur l’Autoroute A 41, dans le sens Chambéry-Grenoble, à hauteur de la commune de Francin. Un véhicule Kangoo dans lequel se trouvaient quatre personnes a effectué plusieurs tonneaux. Un des passagers qui se trouvaient à l'arrière a été éjecté et tué. Les trois autres occupants, blessés, ont été transportés à l’hôpital de Chambéry

http://www.ledauphine.com/savoie/2014/04/19/accident-mortel-sur-l-autoroute

Drame familial à l'Arbresle : un père et sa fille retrouvés morts

Un homme âgé d'une cinquantaine d'années, a été retrouvé pendu dans sa voiture vendredi à l’Arbresle, sa fillette, âgée de 2 ans, décédée à ses côtés.
Selon une information de nos confrères du Dauphiné Libéré, c’est sa compagne, inquiète de ne pas avoir de nouvelles, vendredi matin qui avait alerté les gendarmes pour disparition inquiétante.

Le couple était en instance de séparation, une situation mal vécu par le père de famille.

Selon les premiers éléments, l’homme aurait tué sa fillette en l'étranglant dans un bungalow d’un camping sur les bords du lac d’Annecy, avant de prendre la route de l’Arbresle


http://www.leprogres.fr/rhone/2014/04/19/drame-familial-a-l-arbresle-un-pere-et-sa-fille-retrouves-morts

Collision frontale à Baltzenheim : le conducteur de la camionnette décédé

Le jeune conducteur dont la camionnette a percuté un poids lourd, mardi vers 13 h 15 à Baltzenheim, est décédé mercredi des suites de ses blessures. L’accident s’était produit sur la RD 52, alors que la camionnette circulait dans le sens Marckolsheim/Neuf-Brisach et le camion en sens inverse. La camionnette se serait déportée sur l’autre voie de circulation, sans raison apparente. L’enquête se poursuit afin de tenter de déterminer plus précisément les circonstances de l’accident. Michael Gorth, âgé de 26 ans, était domicilié à Marckolsheim. Les obsèques auront lieu ce mardi 22 avril à 14 h, au temple protestant de Sélestat. 

http://www.lalsace.fr/actualite/2014/04/19/collision-frontale-a-baltzenheim-le-conducteur-de-la-camionnette-decede

Un homme entre la vie et la mort après avoir braqué une villa

Un homme de 28 ans se trouve entre la vie et la mort à l'hôpital de la Timone à Marseille après avoir reçu une décharge de chevrotine lors d'un braquage qui a mal tourné à La Ciotat, la nuit dernière. Aux environs de minuit, le blessé et un complice s'étaient introduits dans la villa d'une famille, armés et encagoulés. Le père les avaient découverts alors qu'ils allaient pénétrer à l'intérieur de son logement.

Dans des circonstances que l'enquête va devoir préciser, des coups de feu ont d'abord été tirés par les malfaiteurs avant que le propriétaire des lieux ne s'empare d'un fusil de chasse et n'ouvre le feu sur l'un des intrus. Son complice s'est alors enfui. Les forces de l'ordre redoutent des débordements à l'hôpital de la Timone où la famille et les proches du braqueur se sont rassemblés.


http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2845646/un-homme-entre-la-vie-et-la-mort-apres-avoir-braque-une-villa.html

Appel à témoin après l’accident mortel à la suite de "wheeling"

L’accident qui a coûté la vie à une femme de 47 ans, mercredi après-midi, aux environs de 15h, boulevard Ganay (9e) à Marseille, réclame encore de nombreuses vérifications.
Les enquêteurs cherchent notamment à expliquer comment le motard a soudain perdu le contrôle de sa machine. Toute personne permettant de livrer des précisions sur les circonstances du drame peut contacter le service central accidents au 04 84 35 32 73.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2844135/appel-a-temoin-apres-l%E2%80%99accident-mortel-a-la-suite-de-wheeling.html

vendredi 18 avril 2014

Valenciennes: il meurt, percuté par le tramway

Un homme de 77 ans est décédé cet après-midi après avoir été percuté par le tramway à Valenciennes (Nord), a-t-on appris auprès des secours.

Dans des circonstances qui restent à éclaircir, l'homme est passé sous les roues du tramway vers 16h10 et a dû être désincarcéré.
La circulation des trains a dû être coupée pendant plusieurs dizaines de minutes, ainsi que la circulation des voitures, alors que l'accident s'est déroulé en centre-ville.

La conductrice a été très choquée, a indiqué une source policière.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/04/18/97001-20140418FILWWW00333-valenciennes-il-meurt-percute-par-le-tramway.php

Accident de Noeux-les-Mines : émotion à Aubers aux funérailles des deux motards tués

Des motards venus de toute la région Nord Pas-de-Calais, environ 300 à 500, et en particulier de Roost-Warendin, des habitants du village se sont réunis ce vendredi matin en l'église d'Aubers pour rendre un dernier hommage à Cathy et Arnaud, décédés dimanche dans un tragique accident. L'Eglise était pleine à craquer. De nombreuses personnes sont restées dehors. Des centaines de motos ont accompagné les deux cercueils jusqu'au cimetière.

Cathy Loé, 40 ans, était employée à la mairie d'Aubers, commune dont elle était originaire. Arnaud Deneuféglise avait 43 ans. Le couple habitait Auchy-les-Mines et avait 4 enfants, nés de précédentes unions.

La conductrice avait consommé des drogues

Arnaud Deneuféglise, dit Brousouf et Cathy Loé, "Mary Poppins", sont décédés dimanche sur une route de Noeux-les-Mines. Leur moto est entrée en collision avec une voiture qui arrivait en face. Sa conductrice âgée de 22 ans, sous l'emprise de stupéfiants et fatiguée après une nuit en discothèque, aurait perdu le contrôle et fait un écart. Elle a été mise en examen pour homicide involontaire aggravé.

Ce rassemblement était organisé par le club de motards de Roost-Warendin dont faisait partie les deux victimes. Depuis dimanche, l'émotion est forte dans la communauté des motards. Les circonstances de l'accident sont particulièrement révoltantes et ont suscité de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux.


http://nord-pas-de-calais.france3.fr/2014/04/18/accident-de-noeux-les-mines-emotion-aubers-aux-funerailles-des-deux-motards-tues-461815.html