lundi 30 juin 2014

Villeton (47) : un homme de 25 ans décède dans un accident de la route

Un grave accident de la circulation a eu lieu vers 2 h 45 ce lundi matin. Le conducteur, Alan Jannic, âgé de 25 ans et domicilié à Sainte-Bazeille, était seul dans sa Mégane. Il arrivait depuis Tonneins sur la RD 120, et a perdu le contrôle de son véhicule au lieu-dit Pont Canal, là où la départementale enjambe le canal et forme un dos d'âne. Les traces de freinage indiquent que la voiture s'est déportée sur la voie de gauche puis s'est rabattue à droite, dans un jardin, où elle est venue heurter un arbre. Le choc a été très violent et, à leur arrivée sur les lieux, les pompiers et gendarmes venus de Tonneins n'ont pu que constater le décès du jeune homme.
 
Ce n'est pas la première fois que des accidents graves se produisent à cet endroit, malgré une vitesse limitée à 50 km/h. Le maire, Jean Guiraud, déplorait ce lundi "une vitesse souvent excessive", alors que l'école du village est située à une cinquantaine de mètres du lieu de l'accident. Il y a près d'un ans, le 14 juillet, un véhicule avait déjà atterri dans un jardin situé de l'autre côté de la route au même endroit et avait fait plusieurs blessés.

http://www.sudouest.fr/2014/06/30/villeton-47-un-homme-de-25-ans-decede-dans-un-accident-de-la-route-1601071-3603.php

Rhône. Chaponnay: un bébé tué par une camionnette

L'accident s'est produit lundi en fin de matinée. Le bébé, âgé de 18 mois, se trouvait dans une poussette lorsqu'il a été renversé.
Il était environ 11h15, lundi, quand un accident s'est produit dans le centre de Chaponnay. Pour une raison encore indéterminée, une camionnette a renversé une poussette dans laquelle se trouvait un bébé de 18 mois. L'enfant est décédé. D'après les premiers éléments, la poussette se trouvait sur le trottoir

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/06/30/chaponnay-un-bebe-renverse-par-une-cam

Aude : le chauffeur du camion sera poursuivi pour la mort du motard

L e chauffeur du camion narbonnais impliqué dans l'accident de la route qui a coûté la vie à un motard, vendredi, peu avant 15 h, sur le CD613 à hauteur de l'abbaye de Fontfroide, sera poursuivi en justice.
Le chauffeur de camion narbonnais impliqué dans l'accident de la route qui a coûté la vie à un motard, vendredi, peu avant 15 h, sur le CD613 à hauteur de l'abbaye de Fontfroide sera poursuivi en justice.
Une erreur de conduite"
Le quinquagénaire avait été placé en garde à vue, afin de tenter d'éclaircir les circonstances du drame. "L'enquête doit se poursuivre la semaine prochaine, mais il en ressort déjà qu'une erreur de conduite, un manque de vigilance de la part du chauffeur routier est à l'origine de l'accident", a déclaré, samedi, le parquet de Narbonne.
Déporté à gauche... pour tourner à droite
Le conducteur du poids lourd, qui roulait en direction de Narbonne, avait actionné son clignotant gauche et s'était déporté sur la voie centrale de circulation, à hauteur de l'intersection entre le CD613 et la route menant à l'abbaye de Fontfroide. Luc Sicard, qui le suivait à moto, a donc continué sur sa voie. Or, le chauffeur routier, dont il est aujourd'hui établi qu'il a ensuite mis son clignotant à droite, s'était en réalité déporté à gauche afin de pouvoir, après, prendre l'angle à 90° et tourner à droite, sur le chemin. Le motard qui le suivait s'est retrouvé dans l'angle mort... Le camion a effectué son virage sans le voir dans son rétroviseur et le malheureux s'est retrouvé sous les roues du poids lourd.
Les tests d'alcoolémie et de dépistage du cannabis pratiqués sur le chauffeur se sont révélés négatifs. Son permis lui a toutefois été retiré.
Père de famille et gendarme réserviste
La mort de Luc Sicard, père de famille, a plongé Sallèles-d'Aude dans la tristesse. L'homme de 39 ans, y était installé et avait monté son entreprise de nettoyage de bâtiments. Il était également gendarme réserviste

http://www.midilibre.fr//2014/06/29/fontfroide,1016817.php

dimanche 29 juin 2014

A Belmont-Tramonet, en Savoie, un éleveur meurt après avoir été chargé par son taureau

L'homme, âgé d'une soixantaine d'années, a été chargé par l'un de ses jeunes taureau alors qu'il rentrait son troupeau. Il était décédé à l'arrivée des secours qui n'ont donc rien pu faire
Un éleveur âgé d'une soixantaine d'années a été tué, ce samedi 28 juin en fin de journée, par l'un de ses jeunes taureaux. Le drame s'est déroulé sur la commune de Belmont-Tramonet, en Savoie. Selon les gendarmes, l'animal a chargé puis piétiné l'éleveur alors que celui-ci était en train de rentrer son troupeau à l'étable, vraisemblablement pour la traite. La victime a été retrouvé par son épouse qui a immédiatement prévenu les secours. Mais lors de l'arrivée des pompiers et des gendarmes, l'éleveur était hélas déjà décédé. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/06/29/belmont-tramonet-en-savoie-un-eleveur-meurt-apres-avoir-ete-charge-par-son-taureau-508549.html

Claira : L'homme recherché depuis la mi-juin a mis fin à ses jours

L'alerte avait été donnée le 17 juin par l'épouse de cet homme de 72 ans, inquiète de voir que ce dernier n'était pas rentré la veille au soir. Durant plusieurs jours, les militaires avaient déployé tous les moyens à leur disposition (chien Saint-Hubert, hélicoptère, quadrillage de la zone, appel à témoins), sans succès.
Et vendredi soir, c'est un promeneur qui a donné l'alerte, après avoir découvert un corps suspendu à un arbre. L'identité du défunt a malheureusement permis de confirmer qu'il s'agissait du septuagénaire disparu. L'examen médical pratiqué a permis d'établir que la mort était consécutive à un suicide.

http://www.lindependant.fr/2014/06/29/l-homme-recherche-depuis-la-mi-juin-a-mis-fin-a-ses-jours,1900268.php

Après une rixe, un jeune Caennais succombe au CHU

Tombé au sol après plusieurs coups à la tête lors d'une rixe tôt samedi matin, un Caennais de 25 ans, grièvement blessé, a succombé à ses blessures hier au Chu de Caen.

Hospitalisé au Chu de Caen samedi matin après une rixe, un Caennais de 25 ans, atteint à la tête, est décédé hier après-midi au service réanimation.
Les circonstances de la rixe mortelle qui s'est produite vers 5 h 50 samedi, place Courtonne, dans le quartier du port de Caen, restent encore bien confuses. Seule tragique certitude : ayant reçu plusieurs coups et fait l'objet d'une balayette, la victime est tombée et sa tête a heurté violemment le sol.

Mêlée confuse

Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime, qui avait passé la soirée et la nuit avec deux amis, a voulu retirer de l'argent à un distributeur de billets pour acheter des croissants. Aux abords du distributeur, un autre groupe l'aurait pris à partie et un second groupe se serait impliqué dans une mêlée confuse avec des protagonistes plus ou moins alcoolisés.
Dans le cadre de l'enquête pour coups mortels, les policiers ont procédé à de nombreuses auditions et sont à la recherche d'un témoin important.

http://www.ouest-france.fr/faits-divers-apres-une-rixe-un-jeune-caennais-succombe-au-chu-2662182

Le poids-lourd franchit le terre-plein central : 1 mort, 4 blessés en Meuse

Verdun. Ce samedi, vers 8 h, le chauffeur d’un poids lourd appartenant à un transporteur routier de la région messine et transportant du plâtre circulait sur l’autoroute A4 dans le sens Metz-Paris lorsqu’arrivé sur la commune de Parfondrupt (Meuse) au point kilométrique 279, il a perdu le contrôle de son véhicule.
L’homme âgé de 53 ans de nationalité turque et qui habitait Uckange (Moselle) s’est déporté sur la gauche, a franchi le terre-plein central en défonçant les glissières de sécurité, puis s’est retrouvé dans les voies où les véhicules circulaient dans l’autre sens. Un de ces derniers n’a pu éviter le camion et l’a heurté. Est-ce ce choc qui a été à l’origine du décès du chauffeur du poids lourd ? Toujours est-il que son véhicule s’est complètement retourné en travers des deux voies. D’après les premières constatations, il semblerait que le chauffeur se soit endormi ou a été victime d’un malaise.

Circulation perturbée

A l’arrivée des secours, le chauffeur du camion était décédé tandis que le conducteur de la voiture âgé de 47 ans domicilié à Creutzwald en Moselle était sérieusement blessé de même que l’un de ses deux fils, âgé de 17 ans. Sa compagne, 43 ans et leur adolescent, 15 ans, souffrent de blessures légères. Rapidement sur place, 39 sapeurs-pompiers de Briey, Jarny, Audun-le-Roman, Val de l’Orne, Trieux-Tucquegnieux et Fresnes-en-Woëvre mais aussi des médecins et infirmières des SAMU de Briey et de Verdun ont pris en charge les victimes. L’autoroute dans le sens Jarny-Paris a été très vite saturée : un bouchon de 2 km s’est formé. Les équipes de la Sanef ont dans un premier temps dévié les automobilistes en direction d’une sortie de secours de l’autoroute à la hauteur de Saint-Jean-lès-Buzy, puis ont coupé l’A4 à hauteur de la sortie de Jarny.
Les pompiers de Fresnes dirigés par le lieutenant Patrick Hunter ont dû désincarcérer le conducteur de la voiture tandis que les médecins du SAMU de Briey et de Verdun s’occupaient des autres victimes, notamment le jeune homme de 17 ans gravement blessé. Ce dernier, conditionné sur place, a été confié à l’équipe du SAMU Lorraine dont l’hélicoptère a atterri sur l’autoroute avant de repartir pour l’hôpital central de Nancy. Les trois autres blessés ont été transportés au Centre hospitalier de Verdun. Pour cela, un convoi comprenant le Samu, le peloton motorisé de Briey et les trois ambulances transportant les victimes a traversé le terre-plein central et contourné le camion en travers de la route après qu’une unité de production et de sauvetage de Briey a procédé à la découpe d’une partie de la barrière de sécurité.
Afin de résorber le bouchon de 2 km, les automobilistes coincés par l’accident ont été invités à faire demi-tour et à quitter l’autoroute à la hauteur de la sortie de secours de Saint-Jean-lès-Buzy. Les automobilistes venant de Metz ont emprunté une déviation qui a généré une circulation difficile à Jarny et à Conflans.

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2014/06/28/perte-de-controle-sur-l-a4-a-parfondrupt-un-mort

samedi 28 juin 2014

Une fillette écrasée par la voiture de sa grand-mère

La conductrice a fait une marche arrière et n'a pas vu l'enfant de 14 mois...
Le drame a eu lieu vendredi après-midi, à Saint-Martin-d’Entraigues (Deux-Sèvres). Une enfant de 14 mois a perdu la vie, après avoir été renversée par la voiture conduite par sa grand-mère.
La conductrice a effectué une marche arrière et a roulé sur l’enfant qui se trouvait dans le jardin de ses parents. Les pompiers et le SAMU de Niort sont immédiatement intervenus. A leur arrivée, la fillette était en arrêt cardio-respiratoire. Elle est décédée peu après.
Très affectée, la grand-mère a été prise en charge par les secours.


http://www.ledauphine.com/france-monde/2014/06/28/une-fillette-ecrasee-par-la-voiture-de-sa-grand-mere

Lucy (76) : une conductrice meurt dans un accident

L'accident a eu lieu sur la départementale 1314 sur la route d' un village au nord de Neufchâtel-en-Bray
Les pompiers ont été alertés à 10h58. Arrivés sur les lieux de l'accident, ils ont découvert une femme incarcérée dans sa voiture. Les médecins ont constaté son décès.

La voiture était immobilisée contre un arbre. L'hypothèse de la cause de l'accident est une violente sortie de route. Une enquête est ouverte pour en comprendre les  circonstances.

La victime avait 45 ans.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/2014/06/28/lucy-76-une-conductrice-meurt-dans-un-accident-508139.html

Un homme meurt dans un accident de la route

Dans la nuit, vers minuit quinze, un homme de 48 ans a perdu la vie sur la RD 8, entre Gréoux et Valensole, au lieu-dit le Bassaquet. D'après les services de secours qui ont constaté le décès à leur arrivée, il aurait perdu le contrôle de son véhicule qui a effectué plusieurs tonneaux et sectionné un poteau de téléphone.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2939257/un-homme-meurt-dans-un-accident-de-la-route.html

Bretoncelles. Drame familial : un mort et un blessé grave

Jeudi soir à Bretoncelles, un homme d'une quarantaine d'années aurait tiré sur sa femme avant de se donner la mort.

Une femme a été héliportée de Bretoncelles au centre hospitalier d'Alençon dans la soirée de jeudi. Elle aurait été victime d'un coup de feu dans une jambe tiré par son compagnon qui se serait donné la mort par la suite.
Le drame s'est déroulé au lieu-dit « Le Moulin Viel », un hameau isolé situé à l'est du bourg de cette commune du Perche ornais.
Sur fond de séparation, les faits se seraient déroulés dans le cadre d'une dispute du couple. L'enquête a été confiée à la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Mortagne-au-Perche.

http://www.ouest-france.fr/fait-divers-bretoncelles-drame-familial-un-mort-et-un-blesse-grave-2656604

vendredi 27 juin 2014

Un jeune se noie dans la Seine

Selon le Parisien, un adolescent de 15 ans s'est noyé aujourd'hui en début d'après-midi dans la Seine, à Saint-Germain-Laval.

Le jeune homme nageait avec des amis quand les remous d'une péniche qui passait l'aurait fait couler. Son corps a été retrouvé par des plongeurs vers 15h30 mais le jeune n'a pas pu être réanimé.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/27/97001-20140627FILWWW00361-un-jeune-se-noie-dans-la-seine.php

Gironde. Suicide d'un détenu à la prison de Gradignan

Un détenu s'est donné la mort jeudi dans sa cellule de la prison de Gradignan, près de Bordeaux.
L'homme né en 1970, incarcéré dans une cellule individuelle depuis le mois d'avril, s'est pendu, a précisé le parquet de Bordeaux, ajoutant qu'une enquête était en cours pour déterminer les circonstances du drame. Le détenu exécutait deux peines pour des faits de récidive de conduite sous l'empire d'un état alcoolique, le dernier jugement ayant été rendu au tribunal de Libourne, en avril.
L'administration pénitentiaire a confirmé le suicide, mais s'est refusée à tout commentaire, soulignant qu'une enquête était en cours.

http://www.ladepeche.fr/faits-divers/

Un policier et sa femme roués de coups

Selon une information d'Europe 1, sur le parking d'un fast-food d'Ormesson, dans le Val-de-Marne, un policier qui n'était pas en service et sa femme ont été roués de coups par trois jeunes après qu'ils se soient fait rappeler à l'ordre. En effet, leurs scooters avaient frôlés les deux enfants du couple âgés de 2 ans et demi et 4 ans. "Quand ils se sont arrêtés, la première chose que je leur ai dit, c'est : 'vous ne vous rendez pas compte, mais vous avez failli nous renverser'", raconte le policier sur Europe 1.

La situation a rapidement dégénéré. "Ça a été des insultes et des menaces de mort. Ils m'ont traité de 'sale blanc'. Je leur ai dit que j'étais policier et que je ne voulais pas aller plus loin. Ils m'ont répondu : 'on s'en fout, ça ne change rien pour nous'", poursuit le père de famille. Le couple a ensuite reçu des coups de poings, de pieds et même des coups de casque. Un seul des agresseurs, âgé de 16 ans a été arrêté


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/27/97001-20140627FILWWW00040-un-policier-et-sa-femme-roues-de-coups.php

jeudi 26 juin 2014

Une femme de 86 ans succombe à ses blessures


MONTMIRAIL (51). Une femme de 86 ans n'a pas survécu à l'accident qui s'est produit ce jeudi après-midi. Vers 14h45, une collision entre un poids lourd et la voiture s'est produite. Elle même et son époux on du être désincarcérés. Son mari est actuellement à l'hôpital.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/une-femme-de-86-ans-succombe-a-ses-blessures-ia0b0n369255

Une femme se jette du pont de l'autoroute

Le drame est survenu ce jeudi à 15h30. Une femme a tenté de mettre fin à ses jours en sautant depuis le nouveau pont enjambant l'autoroute A 43, à hauteur de la sortie de la Tour-du-Pin.
Dans sa chute, la victime a été violemment percutée par une voiture qui circulait dans le sens Lyon/Chambéry. Les sapeurs-pompiers et le Smur ont pris en charle la victime qui souffrirait de plaies à la tête et de fractures aux jambes. Elle a été transportée par hélicoptère sur l'hôpital de Lyon-Sud. L'autoroute est toujours fermée à la circulation en direction de Chambéry. Une retenue de plus de dix kilomètres s'est formée.


http://www.ledauphine.com/isere-nord/2014/06/26/une-femme-se-jette-du-pont-de-l-autoroute

Un piéton fauché mortellement par un scooter dans le centre-ville de Nice

Dramatique accident de la circulation mardi en milieu d'après-midi dans le centre-ville de Nice. avenue Raymond-Comboul.
Un scooter a violemment percuté un piéton, un homme de 48 ans, qui traversait sur le passage protégé, avenue Raymond-Comboul.
La victime, très sérieusement blessée, a d'abord été médicalisée sur place par le Samu, avant d'être hospitalisée. Elle est finalement décédé dans la soirée à l'hôpital Saint-Roch des suites de ses blessures.
Le pilote du scooter - un ado de 14 ans - n'a été que légèrement blessé. Une enquête a été ouverte par les services de police.

http://www.nicematin.com/nice/un-pieton-fauche-mortellement-par-un-scooter-dans-le-centre-ville-de-nice.1797769.html

Elle décède suite à sa chute en montagne

Marie-Thérèse de Pablo, la randonneuse de 67 ans qui a chuté accidentellement au lac des Bouillouses, dans les Pyrénées-Orientales, vendredi matin, est morte des suites de ses blessures.
Dans nos éditions de dimanche et de lundi, nous avions relaté la chute, vendredi matin, d'une randonneuse haut-pyrénéenne âgée de 67 ans au lac des Bouillouses (Pyrénées-Orientales).
La sexagénaire était alors entre la vie et la mort. La victime et son époux étaient venus passer des vacances dans le secteur avec leur camping-car et avaient décidé de faire le tour du lac à pied.
Il s'agit en fait de Marie-Thérèse de Pablo et de son époux Jean-Claude, conseiller municipal à Arcizac-ez-Angles. Tout comme son mari, Marie-Thérèse de Pablo était très impliquée au comité des fêtes du village.
Selon nos confrères de «L'Indépendant», la malheureuse aurait fait un mouvement pour tenter de rattraper son mari qui aurait trébuché et serait ainsi tombée à son tour, tapant la tête contre un rocher et perdant aussitôt connaissance. Blessé aux hanches, son époux a cependant réussi à donner l'alerte. Malgré tous les efforts des CRS, son épouse n'a pu être ranimée et est décédée des suites de ses blessures. Marie-Thérèse de Pablo était originaire de Peyrouse, autre village près de Lourdes et de Saint-Pé-de-Bigorre. Depuis l'âge de ses 50 ans, elle participait aux manifestations organisées par la classe «67».
Ancien conseiller municipal de Lourdes et président de la classe «67», Christian Merriot lui rend hommage : «C'est avec une grande émotion et tristesse que nous avons appris le décès accidentel de Marie-Thérèse de Pablo, consécutif à une chute lors d'une randonnée qu'elle effectuait avec son époux Jean-Claude, au lac des Bouillouses, dans les Pyrénées-Orientales. Nous invitons tous les membres de la classe «67» qui le peuvent à assister à ses obsèques, ce vendredi, en l'église de Peyrouse, à 14 h 30».
«Son souvenir demeurera à jamais en nous comme celui de nos autres conscrits disparus et qu'elle est partie rejoindre», réagit «Nanou» Estaun, autre membre de la classe «67». Le conseil municipal et le comité des fêtes d'Arcizac-ez-Angles adressent leurs plus vives condoléances à Jean-Claude et à sa famille.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/26/1907295-elle-decede-suite-a-sa-chute-en-montagne.html

mercredi 25 juin 2014

Un homme tente de s'immoler à La Roche-sur-Foron en Haute-Savoie

Dans la nuit du mardi 24 au mercredi 25 juin, un patient de l'Etablissement Public de Santé Mentale de la Vallée de l'Arve a tenté de s'immoler par le feu. Brûlée au deuxième degré, la victime a été transférée au Centre Hospitalier Alpes Léman.
Les faits se sont produits vers 1 heure du matin. Un homme a tenté de s'immoler dans sa chambre hospitalière. Il aurait vraisemblablement jeté la cigarette qu'il fumait sur son lit. Deux employés sont rapidement intervenus. Elles ont été victimes de brûlures aux mains et soignées sur place.

La victime a été brûlée au deuxième degré, principalement au niveau du bras. Elle a été transportée d'urgence au Centre Hospitalier Alpes Léman à Contamine-sur-Arve


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2014/06/25/un-homme-tente-de-s-immoler-la-roche-sur-foron-en-haute-savoie-505853.html

Assises de la Charente-Maritime : 12 ans de réclusion pour un « car jacking » aux conséquences mortelles

Les jurés de la cour d'assises ont suivi les réquisitions de l'avocat général : ils ont condamné Tengiz Shteninger à 12 ans de réclusion criminelle.
 
Ce jeune réfugié géorgien de 21 ans a été reconnu coupable de vol avec violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner. Le 22 octobre 2011 à La Rochelle, il avait agressé Robert Floriat, un retraité de 88 ans, pour lui voler sa voiture. Projetée à terre, la victime était décédée un mois plus tard à cause de ses blessures.

http://www.sudouest.fr/2014/06/24/assises-de-la-charente-maritime-12-ans-de-reclusion-pour-un-car-jacking-aux-consequences-mortelles-1595357-1391.php

Arcueil : tentative de suicide en gare RER de Laplace

Ce mardi après-midi, les usagers du RER B qui se trouvaient sur le quai en gare de Laplace, à Arcueil, ont été témoins bien malgré eux d’une scène choquante. A 15h50, le train entre en gare lorsqu’une femme tente de se suicider en se jetant sur la voie. La rame la percute alors, la propulsant sur le quai. Née en 1947, selon une source policière, la personne, grièvement blessée, n’est pas morte.
Aucun passager n’a été blessé. Le trafic a été interrompu pendant environ une heure

http://www.leparisien.fr/arcueil-94110/arcueil-tentative-de-suicide-en-gare-rer-de-laplace-24-06-2014-3949827.php

mardi 24 juin 2014

Gravement blessée après avoir été percutée sur un passage piéton

Une femme de 50 ans a été gravement blessée hier à La Mure après avoir été percutée par une voiture. L'accident s'est produit rue du Breuil lorsque cette femme a traversé la chaussée sur un passage protégé. Très sérieusement touchée à la tête, elle a été médicalisée et évacuée au CHU de Grenoble La Tronche. Le conducteur du véhicule a subi un dépistage d'alcoolémie, qui s'est révélé négatif

http://www.ledauphine.com/isere-sud/2014/06/24/gravement-blessee-apres-avoir-ete-percutee-sur-un-passage-pieton

Marche blanche en mémoire de Valentin, tué sur la route

Le week-end a été particulièrement meurtrier sur les routes du Tarn-et-Garonne (nos éditions de dimanche et lundi). Ce fut d'abord une jeune mère de famille de juste 19 ans qui décédait dans sa voiture à l'entrée de Saint-Nicolas-de-la-Grave après que sa voiture dans la nuit de vendredi à samedi eut effectuée plusieurs tonneaux. Samedi une autre tragédie routière avait pour cadre le chemin du Rossignol Blanc dans le secteur de Birac. Il y avait un choc frontal entre deux deux-roues une grosse cylindrée pilotée par un homme de 40 ans et en face dans une courbe arrivant de Falguières une petite moto. Les secours découvraient deux blessés. Le jeune Valentin 17 ans et demi avait son pronostic vital engagé. Il était dirigé dans le coma vers le centre hospitalier. Las dimanche Valentin ne survivait pas à ses blessures. Ce deuil plonge toute une famille dans une peine inextinguible. Aujourd'hui tous les copains de Valentin ont décidé de lui rendre hommage. Ils se sont donné rendez-vous à 14 h 30 à la salle des fêtes de Falguières. De là un cortège de petits cubes (50 cm 3) partira encadré par les forces de police à allure réduite vers l'Esplanade des Fontaines. Pour rendre un hommage au copain mort trop tôt le premier jour de l'été au bord d'une route communale.

http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=28162&WS=291720_2501986&WA=5407

lundi 23 juin 2014

Le capitaine Fournier, au coeur du drame des pompiers

Le capitaine Cyril Fournier comptait parmi les victimes de l'accident de car de l'amicale des pompiers gravelinois, survenu à Loon-Plage le lundi 9 juin.

Il revient sur la sortie de route et sur son rôle au coeur de l'accident.
C'était lundi 9 juin, en soirée. Les montres indiquaient 21h passées quand le second bus de l'amicale des sapeurs-pompiers de Gravelines a terminé sa course dans le fossé. « Je venais d'accompagner mon petit garçon aux toilettes du car, raconte le capitaine Cyril Fournier. On regagnait nos places au milieu, à proximité de la porte latérale, quand j'ai senti un grand coup de volant. Inquiet de la manoeuvre à pleine vitesse, j'ai levé les yeux et j'ai vu le rond-point. J'ai tout de suite compris que l'accident était inévitable.
 »
« Une machine à laver »
Depuis la terrible sortie de route, le chef de centre doit se démultiplier. Un coeur dans l'émotion et les deux pieds dans l'organisation. « J'avais normalement droit à une semaine d'arrêt, mais je suis là quand même : il faut gérer la phase accidentelle, les funérailles*... » Déjà le soir du drame, le secouriste professionnel gérait le drame de l'intérieur. « J'avais eu le temps d'attacher mon fils et de placer la main sur lui avant le choc, mais j'ai manqué de temps pour mettre ma propre ceinture, rapporte le chef des pompiers gravelinois. Mon visage a ensuite heurté le siège devant et après, ça a été la machine à laver. » Au coeur de l'accident, le capitaine a eu l'impression d'« au moins un tonneau » du véhicule de transport, même s'il reconnaît que la désorientation sur le coup a pu l'induire en erreur. La position finale de l'épave (couchée sur le côté droit) et les témoignages autour de lui semblent aussi écarter l'hypothèse d'une ou plusieurs rotations du bus.
Après une courte perte de connaissance, Cyril Fournier se reveille au milieu des débris de verres, des sièges arrachés et des blessés. Lui-même reprend conscience dans un assez piteux état. « Au final, je suis sorti de l'hôpital avec un trauma crânien, les lombaires et la cloison nasale touchées.
Aujourd'hui, des bleus sortent d'un peu partout... Sur place, les médecins suspectaient même une hémorragie rénale. » Dans le feu de l'action, l'homme ignore évidemment ce diagnostic, peu rassurant a posteriori. Ses enfants s'en tirent eux aussi avec quelques blessures (fracture de la clavicule pour le fils, blessure à la mâchoire pour la fille). Dans un premier temps, le pompier refuse le costume de victime, prend ses responsabilités et tente de gérer le tragique événement. « J'avais mal, mais ça allait et le côté professionnel a pris le dessus », indique-t-il. Le capitaine des pompiers s'inquiète pour ses enfants en premier lieu. Après la prise en charge de ces derniers par un collègue, il cherche un téléphone et appelle les secours. « Une personne avait déjà appelé, mais j'ai voulu insister auprès du Codis, explique-t-il. Oui, il s'agissait de pompiers, mais surtout d'un car de 50 personnes renversé avec de nombreuses victimes. »
« Je ne tenais
plus debout »
Dans l'attente des premiers secours, Cyril Fournier effectue un tour des blessés. L'information du décès probable d'une passagère, coincée sous le bus, lui arrive. La suite de cette horrible nuit, Cyril la passera à l'hôpital. « Avec l'arrivée des premiers collègues et la retombée d'adrénaline, les douleurs ont commencé à être insupportables. Je ne tenais plus debout. » Allongé puis transporté au CHD, Cyril Fournier en sortira à 2h du matin. «  J'ai tout de suite rejoint ma femme à la maison pour la rassurer. Juste avant l'accident, je lui avais envoyé un texto sur l'autoroute pour la prévenir de notre retour. Elle était restée à la maison en raison de sa grossesse de 8 mois et demi. » La famille, celle du capitaine ou celle plus large des pompiers, s'avérera un précieux refuge pour surmonter ce drame.

http://www.lepharedunkerquois.fr/actualite/a_la_une/LePhareDunkerquois/index.shtml

Percuté par une voiture, l’adolescent a été tué sur le coup

FONTAINE DENIS NUIZY (51). Après l’accident qui a provoqué la mort d’un adolescent de 13 ans, on a appris ce dimanche l’identité de la victime. Il s’agit de Louis Launay. Il vivait avec sa famille à Montgenost. Originaire de Barbonne-Fayel, il habitait depuis quelques années dans cette commune de 140 habitants située près de Sézanne. Il était scolarisé au collège de Sézanne.
Selon des Montgenostiers, « il était vraiment adorable, d’une gentillesse extraordinaire ». Depuis le drame, le village est sous le choc. Vendredi dernier, vers 16heures, Louis Launay faisait du motocross avec son grand frère âgé de 15 ans et un ami lorsqu’il a été percuté par une voiture sur la « route des Bois », qui relie la D50 à la D951, sur le territoire de la commune de Fontaine-Denis-Nuisy. Sous la violence du choc, il a été éjecté à plus de 150 mètres de sa moto, une 80 cm3. Il a été tué sur le coup. Sur place, les 11 sapeurs-pompiers et le Smur de Sézanne n’ont malheureusement pu que constater le décès de l’adolescent.
Très choqué, l’automobiliste, âgé de plus de 80 ans, n’a toujours pas pu être entendu par les gendarmes. Seuls des témoins ont été auditionnés au cours du week-end. L’enquête se poursuit pour connaître les circonstances exactes de ce dramatique accident. En attendant, les obsèques de Louis Launay se dérouleront ce mercredi. Ses amis et ses proches ont monté un groupe pour lui rendre hommage sur Facebook.

http://www.lunion.presse.fr/accueil/percute-par-une-voiture-l-adolescent-a-ete-tue-sur-le-coup-ia0b0n367311

Défi Facebook : mort d'une jeune femme de 29 ans

"A l'eau ou au resto", le défi Facebook a selon toute vraisemblance fait une nouvelle victime, une femme de 29 ans, samedi soir dans le Maine-et-Loire. La scène a été filmée par son compagnon avec son téléphone portable, qu'il a ensuite utilisé pour prévenir les secours.
Les faits. Il fait encore jour samedi soir vers 22 heures quand la jeune femme de 29 ans décide de plonger dans l'étang de Chaumont-d'Anjou. La raison de cette baignade tardive est un défi lancé par un membre de sa famille sur le réseau social Facebook. Le principe : se baigner tout habillé ou offrir un restaurant à l'initiateur. Sur la berge, son petit ami la filme avec son téléphone portable. Mais rien ne va se passer comme prévu et la jeune femme fait un arrêt cardiaque avant de mourir quelques heures plus tard.
Un phénomène inquiétant. Cet accident survient quelques jours après la mort d'un jeune qui s'était jeté à vélo dans la Vilaine. Deux morts qui inquiètent beaucoup les gendarmes qui craignent une multiplication de ces défis avec l'arrivée de l'été.
 

dimanche 22 juin 2014

Un alpiniste meurt dans le Mont-Blanc

Un alpiniste bordelais de 30 ans a trouvé la mort dimanche matin en chutant à 3800 mètres d'altitude dans le massif du Mont-Blanc, en Haute-Savoie.

L'accident s'est produit vers 7 heures dans le couloir de Whymper sur l'Aiguille Verte alors que la victime descendait en rappel à 3800 m d'altitude avec trois autres alpinistes. Déséquilibrée pour une raison encore indéterminée, la victime a lâché la corde qui le retenait, a dévissé et chuté sur trois cents mètres.

Son corps a été récupéré par l'hélicoptère des secours en montagne, qui ont été alertés par les compagnons de la victime. Ces derniers sont ensuite descendus au refuge du Couvercle


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/22/97001-20140622FILWWW00157-un-alpiniste-meurt-dans-le-massif-du-mont-blanc.php

Ugine : un cycliste de 26 ans chute mortellement

Un cycliste de 26 ans qui circulait sur la D 109 entre Héry-sur-Ugine et Saint-Nicolas-la-Chapelle, a chuté de près de 50 mètres en contrebas de la route, ce dimanche 22 juin, peu avant midi.
Malgré les tentatives de réanimation des pompiers et du Smur, le jeune homme originaire d’Annecy, est décédé.

http://www.ledauphine.com/savoie/2014/06/22/ugine-un-cycliste-de-26-ans-chute-mortellement

Défi Facebook. Elle décède après s'être baignée dans un étang

Une femme de 29 ans est décédée dans la nuit de samedi à dimanche, après être entrée dans un étang dans le Maine-et-Loire. Probablement à la suite d'un défi Facebook.

Un malaise

Encore un décès dans le cadre du défi Facebook ? Tout porte à le croire, ce dimanche 22 juin, après le décès d'une jeune femme. Âgée de 29 ans, elle a succombé, dans la nuit de samedi à dimanche, après être entrée dans l'eau de l'étang de Chaumont-d'Anjou (Maine-et-Loire).
Selon les premiers éléments de l'enquête, confiée à la gendarmerie, elle est à peine entrée dans l'étendue d'eau de la base de loisirs. Après être entrée jusqu'à mi-cuisse, elle est revenue vers la berge. C'est à ce moment qu'elle a fait un malaise.
Son petit ami, qui aurait filmé la scène avec un téléphone mobile, a prévenu les secours à 21h A leur arrivée sur place, les pompiers de Jarzé et une équipe du Smur, accompagnés par les gendarmes de Jarzé, ont trouvé la jeune femme en arrêt cardio-respiratoire. Ils l'ont ranimée et transférée, aux alentours de 23h, vers le centre hospitalier d'Angers, dans un état désespéré.

Le décès a été constaté vers 4h du matin

La jeune femme aurait répondu à un défi Facebook. Depuis quelques jours, ce jeu se répand sur la toile sous la forme d'une chaîne. Elle invite à se baigner tout habillé ou à offrir le restaurant à la personne qui a lancé le défi. Plusieurs accidents sont déjà à déplorer. Comme à Béganne, près de Vannes, où un jeune de 19 ans est mort après s'être jeté à vélo dans la Vilaine.

http://www.ouest-france.fr/defi-facebook-elle-decede-apres-setre-baignee-dans-letang-de-malague-2642860

Choc frontal entre deux motos : un jeune de 17 ans dans le coma

Hier, après-midi, aux environs de 15 h 30, chemin de Rossignol à Birac, deux motards ont été gravement blessés à la suite d'un violent choc frontal. L'accident s'est produit sans témoins et les policiers arrivés rapidement sur les lieux avaient bien du mal à reconstituer les faits. L'un des pilotes, un jeune homme de 17 ans et demi arrivait de Falguières à bord d'une petite moto, le second motard, un homme d'une quarantaine d'années pilotait une grosse cylindrée et venait de Montauban. Selon les premières constatations les deux motos se sont heurtées de plein fouet, après une courbe. Sous la violence du choc, les deux motos ont été projetées chacune sur un côté de la chaussée. Arrivés sur les lieux quelques minutes à peine après l'accident, les pompiers ont rapidement prodigué les premiers soins aux deux blessés, sous un soleil de plomb, avant de les transporter au Centre hospitalier de Montauban. Le plus jeune était toujours dans le coma.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/22/1905167-choc-frontal-entre-deux-motos-jeune-17-ans-coma.html

Lyon: un jeune disparait après un plongeon dans le Rhône

Deux jeunes d'une vingtaine d'années ont volontairement plongé dans le Rhône à Lyon, samedi après-midi, et l'un d'eux a disparu dans le courant, a-t-on appris auprès des pompiers confirmant une information du Progrès. Peu avant 16h45, les deux garçons ont plongé depuis le pont Churchill dans le 6ème arrondissement, selon des témoins. L'un d'eux est rapidement ressorti de l'eau, mais le second a brutalement disparu.
Dix pompiers, dont six plongeurs et un bateau, étaient toujours sur place en début de soirée, l'hypothèse d'une noyade étant privilégiée.
 

samedi 21 juin 2014

"Alexandre n'est plus là, pour rien du tout" : le témoignage de la mère d'Alexandre Junca

En juin et octobre 2011, le corps démembré d'Alexandre Junca, 13 ans était retrouvé dans différents endroits de Pau. Trois ans après, et à deux jours de la reconstitution des faits, Valérie Lance, la mère du garçon témoigne.
 
C'est à une journée particulièrement intense à laquelle se prépare Valérie Lance. Lundi, elle assistera à la reconstitution du meurtre de son fils, Alexandre Junca, un adolescent de 13 ans assassiné en juin 2011. "Tout ce qui concerne Alexandre, j'y suis", témoigne cette maman, pour le journal Sud-Ouest ce samedi. Valérie Lance veut assister à cette étape de l'enquête "pour voir, pas pour être vue". "J'ai besoin de mettre des images sur ce que je sais", confie-t-elle.
 Depuis que le corps de son fils a été retrouvé démembré en juin et octobre 2011, dans différents endroits de la ville, Valérie Lance a suivi les moindres évolutions de l'enquête. Jusqu'au dernier témoignage du principal suspect, révélant que le déchainement de violence autour de l'adolescent était bien parti d'un vol de portable. Depuis, Christophe Camy a été mis en examen le 5 juin dernier pour "assassinat assorti d'actes de torture et de barbarie" et "séquestration en bande organisée d'un mineur de moins de 15 ans". En avril 2013, c'est Mickaël Baehrel qui avait été placé en examen. Il avait avoué avoir tué l'adolescent à coups de marteau (voir la vidéo ci-dessus).
"On lui demande l'heure, Alexandre la donne" 
"Alexandre n'est plus là, pour rien du tout. Pour un portable qui n'avait aucune valeur financière mais qui avait beaucoup de valeur pour Alexandre", réagit la maman. Et de décrire la scène : Christophe Camy arrête Alexandre dans la rue pour lui demander l'heure. Le jeune garçon sort son portable pour la lui donner. C'est à ce moment que le principal suspect tente de lui arracher son téléphone, mais Alexandre ne se laisse pas faire. Le témoignage de Camy rapporte qu'un marginal de 28 ans, Mickaël serait apparu par hasard et aurait asséné des coups de marteau à la jeune victime. Valérie Lance "comprend" que son fils n'ait pas lâché son téléphone : "Le portable, c'était ses amis, ses photos, ses messages". "Alexandre n'avait pas du tout la vision du danger qui l'attendait. On lui demande l'heure, il la donne", raconte-t-elle pour Sud-Ouest.
Depuis ce mois de juin 2011, "nous vivons au rythme de l'affaire", témoigne Valérie Lance. Et ce qui la "hante", c'est bien la clôture du dossier. "A partir du moment où le dossier sera clos, j'ai peur qu'on ne fasse plus rien". Mais avant cela, une autre étape l'inquiète : le procès. Ce moment où ses proches, ses parents et les sœurs d'Alexandre "vont apprendre beaucoup de choses", "peut-être voir des photos" sur lesquelles elle est elle-même tombée "sans vraiment les chercher" ou "des détails" qu'elle a été "obligée de lire dans les rapports d'expertise".  "J'aimerais bien les préserver de tout ça, mais je ne peux pas".
 

Créteil : Un homme happé par le métro se fait arracher le pied

Un homme de 23 ans a été blessé à la station de Créteil-L’Échat, samedi matin. Il se trouvait sur le quai, «titubant» selon nos sources, quand l’accident est arrivé. Happé par une rame de la ligne 8, cet habitant de Choisy-le-Roi a notamment eu le pied arraché. Ses jours n’étaient pas en danger lorsqu’il a été hospitalisé.

http://www.leparisien.fr/creteil-94000/creteil-un-homme-happe-par-le-metro-se-fait-arracher-le-pied-21-06-2014-3942095.php

Accident de la circulation à Martigny: un mort et trois blessés

Un accident mortel s'est produit vendredi soir sur la route du Grand-St-Bernard entre Sembrancher et Martigny. Le conducteur est décédé et les trois passagers ont été blessés.
Vendredi vers 19h30, un accident de circulation s’est produit à Martigny-Croix, sur la route du Grand-St-Bernard. Le conducteur est décédé et les trois passagers ont été blessés, communique samedi la police cantonale.
Un Valaisan de 72 ans circulait de Sembrancher en direction de Martigny au volant de sa voiture, en compagnie de trois passagers. Peu après la bifurcation pour Martigny-Croix, pour une raison encore indéterminée, le véhicule est monté sur le trottoir situé à sa droite et a percuté violemment une «tête de glissière».
Le conducteur est décédé sur les lieux de l’accident. Les blessés, tous nés en 1941, ont été transportés par ambulance à l’hôpital de Sion.

http://www.lenouvelliste.ch/fr/valais/martigny/

Un chauffeur routier lyonnais se tue sur l’A6

Un accident mortel s'est produit ce vendredi soir aux alentours de 21 heures sur l’autoroute A6 à hauteur de Saint-Georges-de-Reneins. Un chauffeur routier, qui roulait en direction de Lyon, a perdu le contrôle de son camion qui a percuté la barrière de sécurité avant de se renverser sur sa voie de circulation.
Écrasé dans sa cabine, le conducteur n’a pas survécu à ses blessures malgré l’intervention des secours. Âgé de 41 ans, il serait originaire de la région lyonnaise.
Une partie du chargement s’est répandu sur la chaussée.

http://www.leprogres.fr/rhone/2014/06/20/un-chauffeur-routier-lyonnais-se-tue-sur-l-a6

vendredi 20 juin 2014

Un motard trouve la mort dans une sortie de route

Vers 12h45, un motard a trouvé la mort dans une violente sortie de route, sur la RD 53. Malgré l'intervention des sapeurs-pompiers et du Smur, le motard, âgé de 36 ans n'a pu être ranimé. Selon les premiers éléments d'enquête, la victime aurait percutée dans sa chute un regard en béton situé en bordure de route

http://www.ledauphine.com/isere-nord/2014/06/20/un-motard-trouve-la-mort-dans-une-sortie-de-route

Bethoncourt (25) : un an avec sursis pour un accident mortel

Atmosphère pesante, ce jeudi matin dans le prétoire. Le tribunal correctionnel juge un homicide involontaire. Une collision frontale sur la route du travail, qui a coûté la vie, le 7 novembre 2013, à 7 h 05, à Anthony Laurencot, un Héricourtois de 33 ans. L’accident s’est produit à hauteur de Bethoncourt, sur la Départementale qui fait la jonction entre Héricourt et le pays de Montbéliard. Très fréquentée et très meurtrière.
Atmosphère, donc, pénible dans l’enceinte correctionnelle. D’un côté une famille qui pleure un fils, un frère, un compagnon et « attend une explication du prévenu pour pouvoir faire son deuil. Anthony ne reviendra jamais. Le manque est terrible », soutient le bâtonnier Catherine Hantz. De l’autre, des parents qui soutiennent leur fils prévenu, un garçon sans casier qui, en préambule des débats, présente ses excuses à la famille éprouvée : « Sincèrement, je veux leur dire que je m’en voudrai à vie. Pas un matin ne se passe sans que je n’y pense. J’ai tellement de remords… »...
Romain n’a jamais tenté d’échapper à ses responsabilités. À la suite du choc, il s’extirpe de sa voiture et s’enquiert aussitôt de l’état du conducteur de la Saxo en criant : « C’est ma faute »...
Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet. Romain est condamné à un an de prison avec sursis, 150 € d’amende et à l’annulation de son permis avec interdiction de se représenter aux épreuves avant deux ans....


http://www.estrepublicain.fr/justice/2014/06/19/le-prix-de-la-douleur

Suicide d'un détenu à la prison de Sequedin

Un détenu de 34 ans a été retrouvé pendu dans la nuit dans le quartier disciplinaire de la maison d'arrêt de Sequedin (Nord), près de Lille, a-t-on appris de sources pénitentiaires.

Le détenu, né en 1980, a été retrouvé pendu entre minuit et 01H00 par des surveillants, a indiqué l'une des sources pénitentiaires, confirmant une information du journal La Voix du Nord.

Il avait été condamné à quatre ans de prison pour des violences et des menaces, a-t-on ajouté de même source.

Il s'est "probablement pendu entre deux rondes" de surveillants, selon une autre source pénitentiaire.

La maison d'arrêt de Sequedin compte environ 850 détenus pour 600 places.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/06/20/97001-20140620FILWWW00126-suicide-d-un-detenu-a-la-prison-de-sequedin.php

Ain. Vescours : un homme fait un malaise mortel et chute dans un étang

Mercredi, vers 16 h 45, un homme de 81 ans, qui transportait des sacs de gravats, a fait un malaise cardiaque. Il a chuté dans un étang.
Le médecin des sapeurs-pompiers n’a pu que constater son décès.


http://www.leprogres.fr/faits-divers/2014/06/20/vescours-un-homme-fait-un-malaise-mortel-et-chute-dans-un-etang

jeudi 19 juin 2014

Trélissac (24) : entre la vie et la mort à la sortie de la discothèque

Dimanche, au petit matin, vers 5 heures, un jeune homme de 19 ans, habitant Coulounieix-Chamiers, aurait été victime de blessures involontaires très graves sur le parking de la discothèque L'Autre monde, à Trélissac.
 
Le jeune homme serait monté sur le coffre d'une voiture en mouvement et en serait tombé. Son pronostic vital est engagé et il a été transporté à l'hôpital Pellegrin de Bordeaux.
Le conducteur du véhicule a été placé en garde à vue. Il y est toujours, car une partie des témoins reste à entendre et d'autres seraient encore à retrouver.

http://www.sudouest.fr/2014/06/19/trelissac-24-entre-la-vie-et-la-mort-a-la-sortie-de-la-discotheque-1590281-1809.php

Morts tragiques : série noire chez les jeunes

La nuit toulousaine a une nouvelle fois été endeuillée, hier, par la mort d'un jeune homme de 21 ans, un étudiant, retrouvé décédé dans une mare de sang, rue Lascrosses, dans le quartier Compans-Caffarelli. Il était 4 h 20 lorsque des passants ont donné l'alerte. Ils venaient de découvrir, sur un bateau de stationnement, entre deux voitures, le corps de la victime dont le crâne était fracassé à côté du trottoir. Les sapeurs-pompiers mais aussi les policiers se sont rendus sur place où un périmètre de sécurité a été établi. Malgré les efforts des secours, le jeune homme, en arrêt cardiaque, n'a pu être ranimé.
Hier, les circonstances de sa mort restaient incertaines même si la thèse accidentelle semblait privilégiée par les enquêteurs de la sûreté départementale. Côté voisinage, personne n'était en mesure d'apporter un témoignage probant. «Ma fenêtre donne juste devant l'endroit où le corps a été retrouvé, relate une mère de famille habitant le petit immeuble d'un étage. Je n'ai rien entendu. Ce sont les policiers qui m'ont réveillée vers 6 heures. C'est là que j'ai vu le corps. J'ai été très choquée.»
Les enquêteurs ont procédé aux premières constatations sur place hier, jusqu'à 9 heures. Ils ont cherché à reconstituer le fil de la soirée de la victime. Le jeune homme de 21 ans, étudiant en première année du programme grandes écoles de la Toulouse business school, originaire de Dijon, était semble-t-il sorti avec plusieurs de ses amis. Une soirée arrosée au terme de laquelle il avait voulu rentrer à son domicile de la rue Lascrosses. Si l'on a cru un temps qu'il avait pu être agressé, cette hypothèse ne semblait plus privilégiée hier soir. De même, l'idée qu'il ait lourdement chuté avant d'être écrasé par un véhicule à cet endroit, d'où les blessures au crâne, s'éloignait. À l'inverse, la piste d'une chute depuis le toit du petit immeuble commençait à se dessiner.
Un étudiant a été placé en garde à vue, hier en fin de matinée, sans pour autant que cette personne soit suspecte dans cette affaire. «Une enquête est ouverte pour homicide volontaire. Il s'agit de se donner un cadre, a expliqué le procureur de la République Michel Valet. Pour l'heure, on ne sait pas exactement ce qui s'est passé.» Une autopsie du corps doit avoir lieu cet après-midi. Hier, la direction de l'école de commerce où étudiait la victime a exprimé son émotion et relayé le choc subi par ses camarades.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/19/1903202-morts-tragiques-serie-noire-chez-les-jeunes.html

mercredi 18 juin 2014

Accident de moto: 25 ans et gravement blessé dans une collision à Annemasse

Un jeune homme souffre de multiples fractures après une collision entre sa moto et une voiture, à Annemasse, ce mercredi 18 juin au matin. Il a visiblement doublé sur la ligne blanche alors qu'une voiture venait d'annoncer son intention de tourner
Un homme de 25 ans s'est gravement blessé, vers 6h40, à Annemasse. Transporté à l'hôpital, il souffre de multiples contusions.

Selon les premiers éléments communiqués par la police, la victime porterait "une part de responsabilité". Sur la rue d'Arve, en arrivant au croisement de la rue des Jardins, le motard aurait entrepris de doubler un véhicule alors qu'il y avait une ligne blanche et que la voiture avait actionné son clignotant, signalant qu'elle allait tourner à gauche.

Les autorités soulignent qu'en 2013 et 2014, les deux tiers des accidents impliquant un deux roues sont dus à un refus de priorité et/ou à un changement de direction au moment du dépassement.


http://alpes.france3.fr/2014/06/18/accident-de-moto-25-ans-et-gravement-blesse-dans-une-collision-annemasse-501001.html

Le combat de leur fils Thibault contre la leucémie est devenu leur bataille

SAVIGNY-SUR-AISNE (08). Thibault Briet a été emporté à 11 ans par une leucémie, en octobre 2013. Ses parents ont fondé une association à Savigny-sur-Aisne, pour sensibiliser le public à cette maladie.
Il y a quelques mois, Céline Hermanowski et José Briet ont créé l’association Thibault Briet, en hommage à leur fils, décédé l’année dernière des suites d’une leucémie lymphoblastique, une variante aiguë de la maladie.
Aujourd’hui séparés, les deux parents ont uni leurs forces pour continuer le combat entamé par leur fils pendant près d’un an. Lorsqu’il tombe malade, en octobre 2012, Thibault est hospitalisé à Reims. C’est là que le diagnostic est prononcé. « On nous a annoncé qu’il souffrait d’une leucémie, soi-disant celle qui se soigne le mieux. Ça a été une claque », reconnaît José Briet, président de l’association.
Après plusieurs rechutes, des traitements de chimiothérapie, Thibault fini par s’éteindre mais il laisse derrière lui des parents prêts à tout pour faire avancer la recherche et sensibiliser le public à la réalité de cette terrible maladie. « Il y a de grandes associations mais ça ne suffit pas, la leucémie est le premier cancer des enfants », poursuit le père de Thibault.

« La maladie, c’est la souffrance »

Sa mère, Céline Hermanowski est, elle aussi, très impliquée dans l’association en tant que vice-présidente. « J’en ai marre que les associations montrent des enfants souriants qui ont l’air en bonne santé. La maladie, c’est la souffrance. On veut vraiment sensibiliser les gens à la leucémie et au don de moelle osseuse. On ne se rend pas compte de l’importance que cela peut avoir. Les gens pensent que ça fait mal alors que l’opération se déroule sous anesthésie générale. Pour Thibault, nous avions trouvé un donneur en Allemagne ». Mais le jeune garçon n’en bénéficiera pas, emporté trop tôt par la maladie. Quoi qu’il en soit, aujourd’hui, José et Céline vont de l’avant pour « continuer le combat de Loulou, parce qu’en 2014, ce n’est plus possible de mourir de cette maladie ».
L’association organise une collecte de sang demain de 16 à 20 heures à la salle des fêtes de Monthois, en partenariat avec l’amicale des donneurs de sang de Vouziers.

http://www.lunion.presse.fr/region/le-combat-de-leur-fils-thibault-contre-la-leucemie-est-ia3b25n364500

Un jeune de 20 ans retrouvé mort cette nuit en pleine rue, quartier Compans-Caffarelli

Le corps sans vie d’un jeune homme âgé d’une vingtaine d’années a été retrouvé tôt ce mercredi matin, devant le numéro 10 de la rue Lascrosses, à Toulouse. On ignore pour l’instant s’il s’agit d’une agression ou d’un accident.
Le quartier Compans-Caffarelli a été bouclé ce matin suite à la découverte par des passants d'un homme gisant au sol entre deux véhicules, la tête en sang, vers 4h30. Les enquêteurs étaient sur le terrain ce matin pour tenter de détermnier les circonstances de ce drame. Pour l’instant, le jeune homme n’a pas été identifié. Les voisins ont déclaré n'avoir rien entendu.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/18/1902755-jeune-20-ans-retrouve-mort-nuit-pleine-rue-quartier-compans.html

mardi 17 juin 2014

Accident mortel à Saint-Aubin sur la D619

Une jeune femme de 23 ans a trouvé la mort ce matin à 7h50 sur la D619 à Saint-Aubin. Trois voitures sont impliqués dans cet accident.
Alors qu'elle voulait tourner sur la gauche, la voiture de la jeune femme a été percutée par l'arrière et projetée sur la voie inverse où la collision avec un autre véhicule a été inévitable.

http://www.lest-eclair.fr/accueil/accident-mortel-a-saint-aubin-sur-la-d619-ia0b0n240957

Marche blanche à Eppeville pour Christophe

Une marche blanche est organisée en mémoire de Christophe Rambour le samedi 5 juillet à Eppeville, à 10 heures, par ses parents et sa famille.
«  Nous resterons dans Eppeville  », explique Denis Rambour, son père. La famille prévoit des fleurs blanches, et lâchera des ballons blancs avant que le cortège ne parte dans les rues derrière une photo géante de Christophe.
Christophe Rambour, maître-chien de 25 ans, a disparu tout début janvier 2012. Il aurait été séquestré, supplicié puis tué par trois hommes et deux femmes qui se disaient ses amis, notamment à Villers-Faucon (près de Roisel) où il serait décédé des sévices subis. Les soi-disant « amis » l’auraient découpé puis brûlé.
Son corps n’a toujours pas été retrouvé, et le motif des actes de barbarie demeure un mystère.

http://www.courrier-picard.fr/region/marche-blanche-a-eppeville-pour-christophe-ia0b0n390439

Adieu Christophe

Jean-Christophe Lafforgue nous a quittés brutalement, ce vendredi, nous laissant sans voix, cloués par le chagrin. Difficile d'évoquer Christophe au passé, difficile de se dire que nous n'entendrons plus sa voix puissante, là, tout près ou loin dans le grésillement du talkie-walkie. Nous n'entendrons plus ses blagues ni les quelques coups de gueule qui arrivaient aussi vite qu'ils partaient. Après tout, qui n'a pas de défaut, et celui-ci n'est rien au regard de ses qualités. Oui, cela faisait partie du charme de «Kiki». Il est aussi un fondu de mécanique, un excellent pilote et bon dameur. Dameur ! Il le fut plusieurs années à Cauterets, puis sur les pentes du Hautacam, sa montagne, son chez lui. Le Syndicat mixte du Hautacam lui confie le poste de chef d'exploitation. Il l'assume avec conviction, ne comptant ni ses efforts ni ses heures. Même submergé de problèmes techniques, il savait répondre avec gentillesse à un client.
Oui, c'était un bon vivant, heureux de vivre, généreux, partageur. Désolé si le présent et l'imparfait sont mêlés dans ce billet. Ne serait-ce pas la preuve qu'il est encore avec nous ? À ses enfants Chloé et Matthieu, à son épouse Michèle, à ses parents Monique et Jean-Pierre, à son frère Thierry nous présentons toutes nos condoléances et toute notre amitié.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/17/1901859-salut-christophe.html

Après la mort d'un probable squatter, questions sur une rue toulousaine sinistrée

«Tout a commencé par un simple dégât des eaux entre deux immeubles, aux 8 et 9 de la rue, il y a plusieurs mois», explique un riverain, «il y a eu des problèmes d'assurance, les propriétaires ont été relogés ailleurs. Un des bâtiments, vide, a été squatté, puis un autre, puis trois puis quatre puis cinq maisons».Les habitants de la paisible petite rue Ambroise Frédeau n'ont pas vraiment compris pourquoi cette étroite artère bordant le chemin de fer, au pied du très résidentiel quartier de la Côte Pavée était devenue l'une des venelles les plus prisées des squatters, selon eux.
La proximité du centre-ville et du canal, et des divers squats du centre social autogéré du Crea, explique peut-être cela. «Le bouche-à-oreille a dû fonctionner. À chaque décès d'un propriétaire, dès qu'une maison était fermée, il ne fallait pas plus d'une semaine pour que porte d'entrée ou volets soient fracturés ou déposés et le logement occupé. Au bout de deux jours, les squatters avaient changé la serrure et justifiaient d'une présence qui empêche toute expulsion», poursuit le riverain, qui désire rester anonyme, de peur d'éventuelles mesures de rétorsion.
«On s'est sentis très seuls, nous les habitants, quand on a appelé la police. Ils refusaient d'intervenir si ce n'était pas le propriétaire du logement squatté qui le demandait. Même pour fermer la maison fracturée. Les services municipaux de l'équipe Cohen nous ont reçus mais rien n'a vraiment été fait. Quand on réussissait à faire murer l'entrée, les occupants revenaient et cassaient les parpaings pour rentrer à nouveau», poursuit le riverain. «Ils sont passés par les jardins, ont fracturé des grilles et même une porte blindée». Jean-Baptiste de Scoraille, nouveau maire du quartier, était présent, samedi, sur les lieux de l'incendie du n° 8 de la rue, où un homme a été retrouvé mort, brûlé : «J'ai pris contact avec les propriétaires pour régler ce problème qui malheureusement se termine par la mort d'un homme, ce qui est toujours inacceptable.» Un sinistre qui clôt tragiquement la période squat de la rue : «Le 8 et le 9 vont être rasés pour être reconstruits. Les autres maisons ont été revendues», selon le riverain.

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/17/1901488-apres-mort-probable-squatter-questions-rue-toulousaine-sinistree.html

lundi 16 juin 2014

Il y a deux ans disparaissait Thierry Roland !

 Le commentateur-vedette du football est mort le 16 juin 2012. Il manque à tous ! Surtout à ceux qui écoutent son successeur Christian Jeanpierre...
Quand fut donné le coup d'envoi de la Coupe d'Europe 2012, la voix de Thierry Roland n'a pas retenti au micro de M6. Pour ses amis comme pour ses confrères, c'était (très) mauvais signe ! Quelques jours plus tard tombait la nouvelle tant redoutée : Thierry Roland s'est éteint dans son sommeil au lendemain d'un match de l'équipe de France. Tout le monde du football était en émoi. Nombre de membres de la glorieuse "génération Platini", qui font aujourd'hui le bonheur de Variétés Club de France, une amicale d'anciens footballeurs à but caritatif, assistèrent à ses obsèques, comme Alain Giresse, Luis Fernandez, Marius Trésor, Bernard Lacombe ou Maxime Bossis.
Les anciens sélectionneurs Raymond Domenech, dont la compagne Estelle Denis a pris la parole lors de la cérémonie, et Gérard Houllier, le président de la Ligue de football professionnel Frédéric Thiriez et les entraîneurs Antoine Kombouaré ou Guy Roux représentaient aussi le monde du ballon rond. En revanche, la génération 98, dont il fut le premier supporteur, brilla par son absence.
Deux ans plus tard, la voix de Titi nous manque. Surtout quand on entend ses successeurs qui, sur les chaînes nationales, s'égosillent pour ne rien dire... On se prend à rêver des expressions et jeux de mots qu'il aurait placés en assistant aux erreurs d'arbitrage qui émaillent déjà ce Mondial 2014, aux hymnes nationaux oubliés lors du match contre le Honduras, à la victoire des "Bataves" sur les Espagnols ou à celle de l'Italie sur l'Angleterre...
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"Je ne connaissais rien au football, mais je connaissais Thierry Roland"

Arrivé à la télévision à une époque où le football était loin d'être incontournable, il a participé à la démocratisation du sport le plus populaire au monde, devenant la passerelle entre les salons français et les terrains de foot aux quatre coins de la planète. Mais celui qui est né à Boulogne-Billancourt ne fait pas partie des commentateurs sportifs qui passent et s'en vont. Il a réussi à imposer une patte, des répliques mythiques ("Ils ne passeront pas leurs vacances ensemble", "Un manchot de la tête", "Foudroyé comme un lapin") et un rire inimitable reconnaissable parmi des millions. Un cocktail explosif qui l'a parfois mis en porte à faux avec ses dirigeants. Mais le public a toujours répondu présent : les banderoles de soutien le soir de son dernier match commenté sur TF1, en 2005, ne sont qu'un exemple parmi tant d'autres.
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Pour s'en rendre vraiment compte, il suffisait de tendre l'oreille en ce triste samedi après l'annonce de son AVC et d'écouter la population. "Je ne connaissais rien au football, mais je connaissais Thierry Roland." Tout est dit ! Pour savoir qui était le fidèle compagnon de Jean-Michel Larqué, il n'était pas nécessaire d'avoir une quelconque instruction footballistique. Pas besoin de connaître la définition du hors-jeu de position et la composition du onze type de l'équipe bulgare. Qu'on le veuille ou non, avec sa disparition, c'est un acteur majeur du football français qui s'en est allé. Voici une petite sélection des phrases les plus marquantes de la carrière de Thierry Roland.

Des répliques cultes

9 octobre 1976. France-Bulgarie : à la suite d'un penalty sifflé contre les Bleus, Thierry Roland, hors de lui, lance : "Je n'ai vraiment pas peur de le dire, monsieur Foote, vous êtes un salaud !" À l'issue de la rencontre, Antenne 2 souhaite le sanctionner, mais les nombreuses lettres de soutien au commentateur font renoncer la chaîne.
22 juin 1986, Angleterre-Argentine : Diego Maradona marque de la main - un but qui sera qualifié de "main de Dieu" - en quart de finale de la Coupe du monde et, une nouvelle fois, Thierry Roland invective l'arbitre en prenant Jean-Michel Larqué à témoin : "Franchement, Jean-Michel, ne croyez-vous pas qu'il y a autre chose qu'un arbitre tunisien pour arbitrer un match de cette importance ?"
12 juillet 1998, France-Brésil : comment oublier cet instant de franchise culte après la première victoire tricolore en Coupe du monde. "Après avoir vu ça, on peut mourir tranquille ! Le plus tard possible, mais on peut. Ah, c'est superbe ! Quel pied ! Oh putain, quel pied !"
26 mai 2002, Corée du Sud-France : lors d'un match de préparation contre les Coréens et face à sa difficulté à repérer les joueurs sur le terrain, Thierry Roland lâche : "Il n'y a rien qui ressemble plus à un Coréen qu'un autre Coréen ! Surtout habillé en footballeur ! D'autant qu'ils mesurent tous 1,70 m, qu'ils sont tous bruns, à part le gardien."
30 juin 2002, Brésil-Allemagne : Thierry Roland réprimande l'attaché de presse de TF1 à la mi-temps, car il ne lui a pas obtenu des places supplémentaires pour la finale de la Coupe du monde. Choqué, Jean-Michel Larqué s'en mêle et s'emporte contre lui. Seulement, les micros ne sont pas coupés et tous les téléspectateurs de TF1 entendent la discussion qui tourne au vinaigre - "Tu ne vas pas me donner des leçons", "Ne me fais pas chier, toi aussi". Les échanges d'amabilités pleuvent. Thierry Roland avouera plus tard qu'il s'agit de la seule "engueulade" avec Jean-Michel Larqué en près de trente ans de collaboration.

http://www.lepoint.fr/sport/football/il-y-a-deux-ans-disparaissait-thierry-roland-16-06-2014-1836636_1858.php

Percuté de plein fouet, un motard mauléonnais décède dans les Landes

Ce dimanche dans les Landes, pour une raison indéterminée, le conducteur de la voiture qui venait en face a quitté sa voie et percuté le motard de Mauléon.
L'après-midi de ce dimanche a été marqué par un accident de la route qui a fait une victime le long des routes landaises. Percuté par une voiture, Philippe Trey est décédé des suites de ses blessures. Ce Mauléonnais de 62 ans circulait au guidon de son Harley-Davidson le long de la route départementale D 29, à hauteur de Sorde-l'Abbaye, quand le drame s'est produit, passé 13 h 30.
Une voiture circulant en direction de Peyrehorade aurait percuté le motard, roulant pour sa part dans le sens inverse et sur sa voie de circulation. Selon les premières constatations relevées sur les lieux de l'accident, le véhicule aurait changé de voie de circulation et foncé de plein fouet sur le deux roues piloté par le sexagénaire. Alerté, le parquet de Dax a confié une enquête à la brigade de gendarmerie de Peyrehorade, soutenue par les services spécialisés.
Patron du Café des remparts
Légèrement blessé suite au choc, le conducteur de la voiture a dû être évacué en direction du centre hospitalier de Dax. Domicilié dans la région d'Orthez et âgé de 19 ans, son audition pourrait intervenir ce lundi. Si son état de santé le permet, ses déclarations devraient permettre d'apporter des éléments d'explication à cet accident. Un prélèvement sanguin a été fait. Les résultats des analyses d'alcoolémie et de recherche de produits stupéfiants sont attendus par les gendarmes.
Passionné de mécanique et de véhicules ancien, la victime, ancien gérant du Café des remparts à Bayonne, semblait également fascinée par la marque de cycles de Milwaukee, comme tendait à le montrer la tenue qu'il avait revêtue pour sa randonnée dominicale. Dans un état grave lors de l'arrivée des sapeurs-pompiers du centre de secours de Peyrehorade, le motard est décédé durant son transport vers l'hôpital de la cité thermale. Cet ancien Bayonnais avait déménagé en Soule, d'où est originaire sa femme, il y a deux ans.

http://www.sudouest.fr/2014/06/16/le-motard-est-decede-1586080-3484.php

Un motard de 47 ans meurt après avoir percuté un tracteur

Un motard de 47 ans a été tué ce matin dans un accident de la route à Sainte-Cécile-les-vignes. L'accident s'est produit vers 5h30 route de Cairanne lorsque le motard a percuté par l'arrière un tracteur qui circulait dans la même direction, sur la D167. Il a été tué sur le coup. 
Originaire de Mallemort dans les Bouches du Rhône, le motard venait de Tulette (26), là où sa compagne réside. Le viticulteur n'a pas été blessé.

http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/2922598/un-motard-de-47-ans-meurt-apres-avoir-percute-un-tracteur.html

Loire: Un enfant de trois ans se noie dans la piscine familiale

Il est décédé à l'hôpital...
Un garçonnet de trois ans est décédé dimanche au CHU de Saint-Étienne des suites d'une noyade dans la piscine familiale à Montbrison (Loire), a-t-on appris ce lundi de source judiciaire.
L'enfant a chuté dans la piscine située en bordure de la maison de ses parents, à Montbrison (Loire), alors qu'il était apparemment sans surveillance.
Peu avant 16h, il a été pris en charge par le Samu qui l'a médicalisé et transporté par hélicoptère au CHU de Saint-Etienne, où il est décédé des suites de la noyade.

La mère hospitalisée

Les pompiers ont porté assistance à plusieurs membres de la famille présents sur les lieux de l'accident, dont la mère de l'enfant qui a été hospitalisée.
Une enquête a été confiée à la gendarmerie pour établir les circonstances de cet accident.

http://www.20minutes.fr/societe/1402390-loire-un-enfant-de-trois-ans-se-noie-dans-la-piscine-familiale

dimanche 15 juin 2014

Drame familial ce matin à Cuesmes (Mons): un homme aurait tué sa compagne avant de se suicider

Selon les premiers éléments de l'enquête, on s'orienterait vers le thèse d'un meurtre suivi d'un suicide dans le cadre intra-familial.
Des coups de feu ont retenti dans la rue Emile Vandervelde à Cuesmes, une entité de la ville de Mons, ce matin vers 9h30. Selon la police locale, deux personnes sont décédées dans une maison de la rue. La police a été prévenue vers 10h et le parquet et le médecin légiste sont attendus sur place.
Selon les informations recueillies par Benjamin Samyn, sur place pour RTL-TVI, il s'agirait d'un drame familial. Un homme aurait tué sa compagne avant de se donner la mort. C'est en tout cas vers cette thèse que l'enquête se dirige. Les circonstances exactes des deux morts violentes restent encore à déterminer, mais, selon le procureur du Roi de Mons Christian Henry: "Il s'agit d'un couple et l'enquête menée par la police scientifique ainsi que les autopsies doivent encore déterminer qui a tué l'autre et qui s'est suicidé", a indiqué Christian Henry. "Il est toutefois établi qu'il n'y a pas eu d'intervention extérieure de tiers, ni d'effraction. Il ne s'agit en tout cas pas d'un double meurtre." 
Selon nos confrères de la RTBF, le meurtrier présumé était bien connu des services de police pour des faits graves.

http://www.rtl.be/info/votreregion/hainaut

Incendie dans un immeuble squatté : un homme retrouvé mort

Un incendie violent a éclaté la nuit dernière vers 4 h 30, rue Frédeau, à Toulouse. Les pompiers ont été alertés à 4 h 48. Quand la première équipe est arrivée sur place, les flammes avaient pris de l'ampleur dans cette maison murée, et pourtant régulièrement squattée dans cette rue qui longe la voie ferrée et débouche avenue Jean-Rieux, à Toulouse. Les pompiers ont attaqué le feu qui gagnait la toiture avec deux lances. Les pompiers ont largement arrosé cette bâtisse de trois étages, protégeant la résidence voisine. Une fois le feu maîtrisé, les pompiers ont mené des reconnaissances dans l'immeuble dont le dernier étage, et le toit, se sont effondrés. En finissant de noyer les restes de braises, les pompiers ont découvert le corps sans vie d'un homme sans doute victime de l'incendie. Une autopsie va être réalisée.

Beaucoup de squat

Les experts du laboratoire de police scientifique ont également réalisé des prélèvements pour déterminer l'origine de l'incendie.
Cet incendie, et ses conséquences, a ému ce quartier dont les habitants rencontrent depuis de longs mois des problèmes récurrents avec les squatters. «Plusieurs maisons ont été occupées. Nous avons multiplié les démarches tant auprès de la municipalité que de la police. Pas facile d'avoir des réponses même si le nouveau maire paraît plus réactif», explique un voisin. Hier matin Jean-Baptiste De Scorraille s'est déplacé pour constater les dégâts. La maison qui a brûlé venait à nouveau d'être murée. «Je voyais souvent un homme. Il démontait les parpaings pour s'installer», confie un habitant de la rue. L'homme qui est mort dans l'incendie ? «Je le crains», souligne l'habitant. Hier la victime n'était pas identifiée par la police. Quant aux habitants, effrayés par les conséquences dramatiques, ils attendent la suite. «Plusieurs fois, nous avons craint un tel drame. Maintenant qu'une personne est morte, peut-être que la mobilisation va réellement faire bouger les choses. C'est triste.»

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/15/1900873-incendie-dans-un-immeuble-squatte-un-homme-retrouve-mort.html

Accident à Pruillé. Hospitalisé, le scootériste décède

Très grièvement blessé après être entré en collision avec une camionnette, un scootériste est décédé au CHU d'Angers.
Vendredi 13 juin vers 17 h 20, le conducteur du scooter est entré en collision avec une camionnette conduite par un homme de 40 ans. Les deux véhicules circulaient dans le même sens, sur la quatre-voies D 775, en direction d’Angers, lorsqu'ils se sont percutés au lieu-dit La Chesnaie. Les deux conducteurs, l'un grièvement blessé, l'autre en état de choc, ont été hospitalisés. Le scootériste de 51 ans est décédé au CHU d'Angers dans la nuit de vendredi à samedi.

Appel à témoins

Pour éclairer les circonstances de l’accident, la brigade de gendarmerie du Lion-d’Angers lance un appel à témoins. Contact au 02 41 95 30 13.

http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/maine-et-loire/pruille-49220#from-breadcrumb

samedi 14 juin 2014

Drame de Sorèze : l'enquête se poursuit

Les gendarmes sud-Tarnais ont poursuivi leur enquête hier sur le drame familial survenu mercredi soir à Sorèze, au lieu-dit En Taillades. Francis Auriol, retraité depuis peu et âgé d'une soixantaine d'années, a tué avec un fusil de chasse sa mère Léa Auriol, âgée de 86 ans avant de retourner l'arme contre lui et se suicider. Des faits qui se sont déroulés en l'absence de témoin puisque l'épouse de Francis Auriol n'était pas dans la maison mais à l'extérieur lorsque le drame s'est produit. Un meurtre qui reste donc sans explication alors que Léa Auriol, ancienne employée à la mairie de Sorèze, veuve depuis longtemps, vivait sous le même toit que son fils et sa belle-fille dans la villa où étaient aménagés deux appartements. La tragédie pourrait trouver son origine dans le huis clos familial, peut être un conflit important et latent entre mère et fils, certains témoins évoquant un changement du comportement de Francis Auriol, voire un mal-être, notamment depuis qu'il avait pris sa retraite de l'entreprise de Revel où il travaillait. Mais ce ne sont que des pistes de recherche pour les gendarmes tant cette tragédie survenue au sein d'une famille très honorablement connue, a surpris tous ceux qui la connaissait

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/14/1900446-drame-de-soreze-l-enquete-se-poursuit.html

Saint-Paul-sur-Yenne : un jeune homme tué par un engin agricole

Un dramatique accident a coûté la vie à un jeune homme de 18 ans, jeudi après-midi.
La victime, dont le père est agriculteur à Yenne, était stagiaire dans une autre exploitation agricole sur la commune de Saint-Paul-sur-Yenne, au lieu-dit les Vellats. Sur un chemin en pente, l’engin agricole qu’il manœuvrait s’est retourné. La victime s’est retrouvée bloquée sous la cabine, écrasée au niveau du bassin.
Les pompiers l’ont secouru et l’ont médicalisé avant de le transporter par hélicoptère vers l’hôpital de Grenoble. Très grièvement blessé, il n’a pas survécu et est décédé à l’hôpital. Une enquête pour déterminer les circonstances de ce drame a été ouverte par les gendarmes.

http://www.ledauphine.com/faits-divers/2014/06/13/un-jeune-homme-tue-par-un-engin-agricole

vendredi 13 juin 2014

Condamné pour un meurtre à Talence : Stéphane Franfor s'est suicidé à Mont-de-Marsan

Détenu au centre pénitentiaire landais depuis sa condamnation à 30 ans de réclusion pour un meurtre commis en 2007, il se serait pendu dans sa cellule. Il clamait depuis le début son innocence
téphane Franfor, 45 ans, s'est donné la mort dans sa cellule du centr pénitentiaire de Mont-de-Marsan, où il purgeait une peine de trente ans de réclusion pour avoir donné la mort, le 16 juillet 2007, à Oleg Boulyndine, dans un appartement de Talence, en Gironde
Jugé devant les assises de la Gironde, Stéphane Franfor, marginal revendiqué, qui avait déjà était condamné par la justice pour des braquages de banque dans les années 80, avait été acquitté. Depuis le début, il niait farouchement être l'auteur de ce meurtre. Il avait même été jusqu'à revendiquer un autre homicide, commis en mai 2007 à Anglet, dans les Pyrénées-Atlantiques.
Il avait affirmé avoir volontairement mis le feu à une maison dans laquelle se  trouvait un homme, mort dans cet incendie. Stéphane Franfor avait effectivement été mis en examen pour ces faits par le parquet de Bayonne en février 2012.
Jugé en appel, en décembre 2013, devant les assises de la Charente  où, comme en première instance, il était défendu par l'avocate bordelaise Me Sophie Benayoun, il avait été condamné le 19 décembre 2013 à trente ans de réclusion criminelle. Comme à Bordeaux, Stéphane Franfor avait nié avec force avoir tué Oleg Boulyndine.   

http://www.sudouest.fr/2014/06/12/mont-de-marsan-stephane-franfor-s-est-suicide-1583448-3452.php

Un sexagénaire retrouvé mort sous son tracteur

Guy Lacouterie, âgé de 78 ans, a trouvé la mort dans son champ au quartier La Tyre, hier 12 juin, aux alentours de 16 heures.
Le sexagénaire était parti depuis 11 h 30 pour travailler dans son champ qui présentait une forte dénivellation. Il traitait tout en bas de la parcelle pour désherber la bordure du champ et le ballant a vraisemblablement heurté un obstacle et a déséquilibré le tracteur.
Le tracteur a glissé pour tomber dans le profond fossé entraînant avec lui son conducteur. Sa femme, inquiète de son absence, l'a cherché durant deux heures et c'est une voisine qui a découvert le tracteur. Les pompiers de Maubourguet et Vic, sur les lieux avec le docteur Sendrané, n'ont pu que constater le décès du malheureux. «C'était un homme apprécié, alerte et dynamique pour ses 78 ans et je suis très triste ainsi que pour sa famille», a indiqué Francis Loumagne, le maire. Les circonstances de l'accident n'ont pas été précisément déterminées

http://www.ladepeche.fr/article/2014/06/13/1899607-retrouve-mort-sous-son-tracteur.html

Un mort et deux blessés suite à un dramatique accident à Belgrade (Namur): une voiture a percuté un arbre de plein fouet

Ce jeudi, vers 17h, une Skoda a percuté violemment un arbre qui se trouvait le long de la chaussée de Nivelles, près du magasin Trafic de Belgrade (Namur). Il y a un mort, et deux blessés, dont un grave.
Le drame s’est déroulé vers 17h. Une Skoda circulait en ligne droite sur la chaussée de Nivelles. Le véhicule venait de Temploux et se dirigeait en direction de Namur. À son bord, trois personnes.
Pour une raison encore indéterminée, la voiture est sortie de sa trajectoire et a percuté de plein fouet un arbre qui se trouvait le long de la chaussée, à proximité du magasin Trafic de Belgrade.
La passagère arrière de la voiture est décédée. Les deux autres occupants du véhicule sont blessés. Ils ont été emmenés à l’hôpital par une ambulance des pompiers de Namur et une ambulance de la Croix Rouge. L’un était dans un état grave. L’autre n’est que légèrement blessé.
En début de soirée, la route était toujours bloquée dans les deux sens. Un expert du parquet devait encore descendre sur les lieux.

http://www.lameuse.be/72/regions/namur/actualite