samedi 31 janvier 2015

Nantes : un jeune homme meurt après une soirée alcoolisée au Hangar à bananes

Selon nos confrères de Presse Océan qui ont révélés l'information, un jeune homme d'une vingtaine d'années a été découvert mort près du hangar à bananes à Nantes. Selon les premiers éléments de l'enquête, il aurait succombé à une alcoolisation massive.
Une fin de soirée tragique au Hangar à Banane. Un homme d'une vingtaine d'année découvert mort, tôt ce matin. Selon les premiers éléments, il aurait succombé des suites
d'une alcoolisation massive. Il avait fait la fête hier soir, en compagnie d'un groupe d'amis.  Ils ont dormi dans leur voiture, sur le parking au bout du Hangar.

C'est en se réveillant qu'ils ont trouvé le corps sans vie de leur ami. Une autopsie et des analyses toxicologiques sont en cours. Il n'y a pour l'heure aucune suspiscion criminelle. Ses amis sont depuis ce matin au commissariat de police de Waldeck-Rousseau afin d'être entendus.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/2015/01/31/nantes-un-jeune-homme-decede-apres-une-soiree-alcoolisee-au-hangar-bananes-644913.html

Sortie de route à Montagny : un jeune de 18 ans tué, un autre entre la vie et la mort

Un effroyable accident s’est produit vendredi vers 23 heures sur la route de Brasseronde, sur la commune de Montagny. Un véhicule occupé par cinq jeunes âgés de 18 à 19 ans est sorti de la route et a percuté de plein fouet un poteau en béton autour duquel il s’est enroulé.
Les pompiers ont dû désincarcérer les cinq occupants et le bilan est dramatique : le passager avant, âgé de 18 ans et originaire de Brignais, a été tué. Le conducteur de la voiture a été transporté à l’hôpital Lyon-Sud dans un état très grave. Son pronostic vital est engagé.
Un des trois autres passagers a été transporté dans un état d’urgence absolue mais ses jours ne seraient pas en danger. Les deux derniers auraient été touchés moins sérieusement. Ils sont originaires de Brignais, Chaponost, Montagny et Oullins.
L’enquête pour déterminer les circonstances de l’accident a été confiée à la brigade de Mornant
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/01/31/montagny-un-jeune-de-18-ans-tue-un-autre-entre-la-vie-et-la-mort

Atteints de mucoviscidose, ils veulent mourir dans la dignité

Frères jumeaux atteints de mucoviscidose, Damien et Nicolas Delmer luttent depuis l'enfance contre cette maladie génétique incurable. Établis dans les Pyrénées-Orientales, ils publient un témoignage bouleversant sur leur quotidien et réclament la loi promise pour«mourir dans la dignité».
Ils veulent juste que l'on ne rajoute plus de douleurs à la souffrance. La souffrance des corps exténués par la maladie et les soins sans fin. La souffrance de l'esprit où la mort campe depuis l'enfance. L'échéance, oui. Ils la savent inéluctable. Mais pas la déchéance, cette horreur de «suffoquer comme un poisson hors de l'eau» que le suicide assisté ou l'euthanasie leur permettrait d'éviter.
Tout le combat de Damien et Nicolas Delmer, donc, Frères jusqu'au dernier souffle, ainsi qu'ils titrent leur livre. Plaidoirie exceptionnelle pour le droit à mourir dans la dignité, parue ce jeudi. «Je ne demande pas grand-chose au regard de ce que j'ai souffert. Juste la possibilité de mourir serein. Savoir que la peur me sera épargnée», écrit ainsi Damien Delmer, 34 ans. Damien, le plus fragile des jumeaux.
«Lundi, il va à nouveau être hospitalisé à Montpellier», indique ainsi son frère Nicolas, au téléphone, depuis Amélie-Les-Bains où ils vivent désormais, pour leur santé. «Péricardite, inflammation de l'enveloppe du cœur»… Damien pèse 37 kg, présente une capacité respiratoire de 22 à 30 % et vit avec une sonde nasogastrique, «gavage qui l'épuise et l'essouffle, sachant que si la principale atteinte de la mucoviscidose est respiratoire, elle démolit aussi l'appareil digestif», précise Nicolas chez qui la maladie est stabilisée depuis dix ans.
Dix ans… Le temps qu'ils ont gagné par rapport à l'espérance de vie qu'on leur avait promise à la naissance, une fois diagnostiquée cette maladie génétique incurable et dégénérative. Nicolas le sportif, Damien l'artiste… «Miroir vertigineux de la gémellité», tour à tour, chacun prend alors la parole dans ce livre. Pour dire l'enfance rythmée par les «crampes de feu» dans les bronches et les «coulées de lave» des médicaments violents, injectés dans les veines. Pour dire un quotidien d'interdits. Hanté par la douleur, l'angoisse de la quinte ultime et cette question obsédante : «Quand ?».
Interrogation à laquelle les malades disparus et les soignants indélicats répondent «Bientôt, quand tu auras fini de te dégrader». Car «la maladie envahit tout. Le corps se rétrécit.» Le suicide : Damien y pense depuis l'âge de 15 ans…
Et «Pourquoi m'interdirait-on de choisir ma mort alors que je ne vis qu'à moitié ? Ce droit à mourir, je veux me le réapproprier», insiste-t-il au fil des pages. «Ensemble nous avons passé un pacte, au cas où…», explique Nicolas. Un pacte scellé autour du dernier geste d'un insondable amour fraternel. Mais qui n'est ni une fuite, ni une démission.
Car en attendant, «nous nous battons pour le droit à la vie, le droit à la greffe -même si Damien n'est pas greffable étant trop dénutri- et pour que l'aide à mourir devienne légale», résume-t-il. Car le pire, pour le malade, c'est «de ne rien maîtriser». Quand à l'inverse, décider de mourir, permet enfin de reprendre le pouvoir sur la maladie qui jusqu'ici a tout gouverné, offre une ultime liberté.
Après lui avoir écrit, c'est Damien qui a parlé à François Hollande, le 16 octobre 2013, en visio conférence depuis la sous-préfecture de Céret. Trop faible pour aller à l'Élysée. Euthanasie, greffes, soins palliatifs. Longuement. Tous deux ont eu le sentiment que le Président avait écouté et entendu. Après tout, ils ne veulent que l'application de l'engagement 21 de son programme électoral.
Au téléphone, Nicolas reprend. «Nous souhaitons que la dignité du patient soit mise au centre du dispositif médical, la loi Léonetti est une avancée, mais insuffisante. Elle ne répond pas à l'ensemble des cas de personnes en fin de vie. C'est pour cela que nous réclamons une législation sur le suicide assisté, l'euthanasie active et le développement des soins palliatifs.» Engagement 21. Ils ne l'enterreront pas.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/31/2040815-atteints-de-mucoviscidose-ils-veulent-mourir-dans-la-dignite.html

vendredi 30 janvier 2015

Vercors: le lycéen mort dans une avalanche n'avait pas de détecteur

Renaud, le lycéen de 17 ans mort dans une avalanche mercredi dans le Vercors ne portait pas de détecteur de victimes d'avalanche (DVA), a indiqué le procureur de Grenoble jeudi au cours d'une conférence de presse. Le parquet va ouvrir une information judiciaire pour homicide involontaire
On ne peut pas dire en l'état actuel des choses qu'il y a des responsabilités évidentes dans cette affaire", a cependant mis en garde Jean-Yves Coquillat. Habituée des sorties en ski de randonnée, la victime, originaire de Saint-Marcellin (Isère), était élève dans une classe de terminale sports-études d'un lycée de Die dans la Drôme. Elle a été emportée près du Roc Cornafion (2.049 mètres), au-dessus de la commune de Villard-de-Lans, mercredi peu après midi.

Les encadrants du groupe de 16 lycéens "ignoraient" que la victime n'était pas porteuse d'un DVA. Pour responsabiliser ses élèves, l'enseignant, par ailleurs guide depuis 20 ans, avait désigné l'un d'entre eux pour vérifier le bon fonctionnement des détecteurs de la classe. Mais l'élève n'a pas signalé qu'un de ses camarades n'avait pas de détecteur sur lui. La victime ne portait en effet jamais de détecteur "parce qu'il n'en voyait pas l'utilité et qu'il estimait que cela émettait des ondes qui pouvaient être nuisibles", a indiqué M. Coquillat.

Emporté sur 200 mètres, son corps a été retrouvé deux heures après le déclenchement de l'avalanche, sous 1,50 mètre de neige, alors que l'espérance de vie sous une avalanche ne dépasse guère une demi-heure. Mais "rien ne prouve que l'absence de balise ait causé la mort de la victime. Compte tenu de la taille des blocs et de la nature de l'avalanche (...), la mort a pu être instantanée", a souligné le magistrat. Le DVA aurait-il permis d'éviter le décès du lycéen ? Une autopsie doit être pratiquée ce vendredi pour tenter de le déterminer.

Pour le reste, l'itinéraire emprunté par le groupe "n'était pas incohérent", "les précautions prises étaient les bonnes" et "les distances de sécurité étaient respectées", selon le procureur. Le parquet ouvrira la semaine prochaine une information judiciaire pour homicide involontaire.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/2015/01/30/vercors-le-lyceen-mort-dans-une-avalanche-n-avait-pas-de-detecteur-643965.html

Crisenoy : une jeune femme de 20 ans tuée dans l’accident

Les sapeurs pompiers et le Smur qui sont intervenus jeudi soir vers 18 heures sur la N 36 à Crisenoy n’ont malheureusement pas pu sauver la conductrice. Cette jeune femme de 20 ans, domiciliée dans le Loir-et-Cher, conduisait une Renault Mégane lorsqu’elle s’est soudainement déportée sur la gauche, pour des raisons qui restent ignorées.

Elle a alors percuté une fourgonnette qui roulait en sens inverse. Son conducteur, âgé de 56 ans et originaire de l’Aube, est indemne. Ce violent face à face, survenu dans le sens Melun-Guignes, avait occasionné de sérieux bouchons et nécessité la mise en place de deux déviations
http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/crisenoy-une-jeune-femme-de-20-ans-tuee-dans-l-accident-30-01-2015-4491983.php

Crash du F-16 grec : une femme pilote parmi les victimes

: Le sergent-chef Gilles Meyer, 27 ans, originaire de Colmar (Haut-Rhin), était technicien de maintenance avionique, et avait été déployé notamment en Afghanistan et en Libye. Le sergent Nicolas Ghez, 25 ans, né à Arcachon (Gironde), était armurier opérationnel sur Mirage 2000.  Le sergent Régis Lefeuvre, 25 ans, originaire de Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne), était mécanicien spécialisé dans les systèmes et matériels électroniques de bord.
19h08 : L’adjudant Thierry Galoux avait 41 ans. Il faisait partie de l’armée de l’air depuis 1994. À l’âge de 21 ans, il avait commencé sa carrière à Nîmes pour obtenir son
certificat d’aptitude militaire. En mai 1995, il intègre les bancs de l’école de la base aérienne 721 de Rochefort pour suivre sa formation spécialisée de sous-officier mécanicien. Il intègre d’abord le groupe d’entretien et de réparation des matériels spécialisés puis l’escadron de soutien technique aéronautique, en charge notamment de la maintenance des Transall. Il avait notamment été déployé en Côte d'Ivoire. Chef d’équipe maintenance avionique depuis le 1er septembre 2014, ce sous-officier de carrière était marié et avait deux enfants.

19h05 : Responsable maintenance vecteur et moteur, l’adjudant François Combourieu avait intègré l’armée de l’air le 29 septembre 1997. Ses formations militaires et spécialisées en poche, il est affecté sur la base aérienne 133 de Nancy-Ochey le 2 novembre 1999. Il intègre tout d’abord le service piste de l’escadron de
chasse 3/3 « Ardennes », avec lequel il est amené à être déployé en opérations extérieures, et en particulier en Afghanistan, au Tadjikistan et au Kirghizistan.
En 2010, il rejoint le tout nouvel escadron de soutien technique aéronautique. Né le 28 octobre 1977, l’adjudant Combourieu était marié et père de deux enfants.

19 heures : Le lieutenant Arnaud Poignant avait 26 ans. Il avait intègré l’armée de l’air le 26 août 2012. Il avait été promu aspirant en août 2012 et sous-lieutenant
en août 2013. Officier mécanicien, il rejoint les Mirage 2000D de la BA de Nancy-Ochey en septembre 2013. Le lieutenant Poignant avait une compagne et n’avait pas enfant.

18h55 : Le capitaine Gildas Tison avait 35 ans. Il aura servi la France 17 ans et neuf mois. À 18 ans, il intègre l’armée de l’air. Il rejoint ensuite l’escadron de transition opérationnelle de la base aérienne (BA) 120 de Cazaux, puis l’escadron de chasse 2/2 « Côte d’or » de la BA 102 de Dijon sur Mirage 2000-5.
En 2003, il devient instructeur sur Alphajet à l’école de l’aviation de chasse de la BA 705 de Tours. Il est promu lieutenant en 2004 et rejoint de nouveau la BA 102 en 2006, au sein de l’escadron de chasse 1/2 « Cigognes ». En 2009, il est nommé capitaine. L’année suivante, il est détaché en Asie durant trois ans en tant qu’expert Mirage 2000. Il était affecté depuis septembre 2014 à Albacete (Espagne) comme officier de liaison au centre tactique multinational qui organise plusieurs fois par an l’exercice interalliés TLP (Tactical Leadership Program). Le capitaine Tison était marié et avait deux enfants.

18h50 : Le capitaine Mathieu Bigand avait intègré l’armée de l’air le 30 août 2004, à 20 ans. À compter de 2007, il avait suivit sa formation au sein de l’école de pilotage de l’armée de l’air de Cognac, avant d’intégrer l’école de l’aviation de chasse implantée sur la base aérienne (BA) 705 de Tours.
Il est affecté à l’escadron de chasse 1/3 « Navarre » sur la BA 133 de Nancy-Ochey, le 10 mai 2010. Le capitaine Bigand avait été détaché successivement dans le cadre de l’opération Épervier puis Serval ou il s’était particulièrement distingué en effectuant la première mission de bombardement de l’opération. Ce sous-chef de patrouille aura servi la France durant plus de dix ans et aura totalisé près de 1000 heures de vol. L’aviateur était marié et père d’un enfant.

18h45 : Le lieutenant Marjorie Kocher avait 29 ans. Elle avait intégré l’armée de l’air à 22 ans en qualité d’élève officier. Le 28 janvier 2010, elle avait rejoint l’escadron de chasse 1/3 « Navarre », stationné à Nancy, pour poursuivre sa formation d’officier navigateur systèmes d’armes sur Mirage 2000D. Elle avait ensuite été déployée lors des opérations Unified Protector en Libye et Serval au Mali. Cet officier était titulaire de la croix de la Valeur militaire avec trois étoiles de bronze, de la médaille d’outre-mer agrafe Sahel, de la médaille Commémorative française agrafe Libye et Afghanistan et de la médaille d’argent de la Défense nationale. L’aviatrice avait un compagnon et n'avait pas d'enfant.
17h38 : Le ministère de la Défense a diffusé les noms et photos des neufs soldats français qui ont perdu la vie hier à sur la base aérienne d'Albacete, en Espagne. Cinq blessés sont toujours hospitalisés, certains dans un état grave.
17h35 : Le commandant de la base de Nancy-Ochey dévoile l'identité des aviateurs décédés. Il s'agit du capitaine Gildas Tison, du capitaine Mathieu Bigand, du lieutenant Marjorie Kocher, du lieutenant Arnaud Poignant, de l'adjudant Thierry Galoux, de l'adjudant François Combourieux, du sergent-chef Gilles Meyer, du sergent-chef Régis Lefeuvre et du sergent chef Nicolas Dhez.

17h19: Le dernier bilan de la catastrophe de la base aérienne d’Albacete/Los Llanos en Espagne a été livré ce soir par le commandant u capitaine Gile la base aérienne de Nancy-Ochey. Il fait état de «sept morts et quatre blessées». Parmi les sept militaires décédés figurent trois officiers : un pilote de Mirage 2000D, sa navigatrice ainsi qu’un mécanicien. Quatre sous-officiers mécaniciens, font également partie des victimes.

15h39 : L'exercice TLP (tactical leadership programme), auquel participait l’avion de combat grec qui s’est écrasé lundi en Espagne, vise à former des pilotes «chef de mission» et constitue «l’une des formations les plus réputées et les plus exigeantes du monde», selon le ministère français de la Défense. «TLP, c’est un peu le Saint Graal» pour les pilotes, résume une source militaire.
L’exercice existe depuis 1978 et se déroulait d’abord à Florennes en Belgique, mais il a été transféré à Albacete en raison de l’encombrement et de l’exiguité de l’espace aérien belge et des pays environnants, ainsi que pour les conditions météorologiques plus favorables régnant en Espagne.
14 h 14 : L'AFP révèle qu'une enquête vient d'être ouverte à Paris concernant le crash du F-16 en Espagne qui a coûté la vie 9 soldats français. Même si les faits ont eu lieu à l’étranger, l’ouverture d’une enquête en France est une procédure classique lorsque des nationaux comptent parmi les victimes. En Espagne, une enquête a également été ouverte et confiée à un juge de Valence avec la garde civile. Une commission d’enquête technique est aussi à l’oeuvre.
11 H 30 : parmi les Français, cinq se trouvent toujours "dans un état grave mais stable", trois à l’hôpital de la Paz, et deux à l’hôpital d’Albacete, proche de la base de Los Llanos où s’est produit l’accident, à quelque 250 km au sud-est de Madrid. Les quatre autres ont pu quitter l’hôpital.
Un blessé italien reste aussi dans un état grave mais stable à l’hôpital madrilène. "Cinq autres devraient quitter l’hôpital de Hellin à Albacete dans les prochaines heures", a ajouté le porte-parole. Les cinq autres Italiens ont déjà pu sortir.
Les enquêteurs tentent d’établir les causes de la catastrophe qui s’est produite lorsque le F-16 de l’armée de l’air grecque a subi une perte de puissance du moteur lundi après-midi, s’écrasant sur des appareils français et italiens sur un des parkings de la base.
11 H 05 : ce blessé avait été transféré à l’hôpital de la Paz à Madrid, a précisé Manuel Vazquez, porte-parole du ministère. Neuf autres Français, ainsi que onze Italiens, ont été blessés dans l’accident.
11 H 01 :un neuvième militaire français, grièvement blessé lors du crash, est décédé

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/26/dix-morts-et-treize-blesses-dans-le-crash-d-un-f-16-grec

jeudi 29 janvier 2015

2 morts et 3 blessés dans un choc frontal entre une voiture et un camion dans le Tarn

Un choc entre une voiture et un poids-lourd au Bout-du-Pont de l'Arn dans le Tarn a fait 2 morts, 2 blessés graves et 1 blessé léger dans la nuit de mercredi à jeudi. 
Dramatique accident de la route dans le Tarn : vers 1h30 du matin, dans la nuit de mercredi à jeudi, un véhicule a percuté un poids-lourd sur la RD 612 à Bout du Pont de l'Arn. Deux occupants de la voiture ont été tués sur le coup.

Il y a également 2 blessés graves et un blessé léger qui ont été transportés au centre hospitalier de Castres-Mazamet.  

http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/2015/01/29/2-morts-et-3-blesses-dans-un-choc-frontal-entre-une-voiture-et-un-camion-dans-le-tarn-642845.html

Les 9 corps rapatriés à 18 h sur la base de Nancy Ochey

Le retour des neufs corps des militaires français, tragiquement disparus à Albacete, aura lieu par voie aérienne ce jeudi 29 janvier vers 18 h sur la base aérienne 133 de Nancy-Ochey. » L’information est publiée ce matin par le service d’information et de relations publiques de l’Armée de l’air. Un retour attendu depuis plus de 72 heures par toutes les familles endeuillées et leurs frères d’armes de la base nancéienne.
Au lendemain du retour de trois des quatre blessés de la BA 133 sur le sol français, ce sont donc leurs neuf camarades décédés dans cette catastrophe aérienne qui rejoignent le territoire. Rappelons que sept militaires étaient rattachés à la BA 133 de Nancy Ochey : le capitaine Mathieu Bigand, le lieutenant Marjorie Kocher, le lieutenant Arnaud Poignant, l’adjudant François Combourieu, le sergent Gilles Meyer, le sergent Régis Lefeuvre et le sergent Nicolas Dhez.
Les deux autres victimes, le capitaine Gildas Tison et l’adjudant Thierry Galoux étant respectivement affectés à la base d’Albacete comme officier de liaison au centre tactique multinational, et à la BA 279 de Chateaudun.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/29/les-9-corps-rapatries-a-18-h-sur-la-base-de-nancy-ochey

Ormesson : hommages après la mort de la collégienne renversée

Divers hommages se préparent à Ormesson après le décès de Laetitia. Cette collégienne de 14 ans a succombé à ses blessure mardi soir après avoir été renversée le matin par une voiture aux abords du collège Saint-Exupéry avec l’une de ses amies. Marie-Christine Ségui (UMP), maire de la commune, indique qu’elle a rencontré la famille de l’adolescente ce mercredi et qu’il «a été conjointement décidé de l’organisation d’une marche silencieuse samedi ou dimanche matin.

» La date de celle-ci sera définitivement fixée lorsque les modalités d’organisation des obsèques seront connues. Par ailleurs, un registre de condoléances et une urne sont dès à présent ouverts en mairie afin de recueillir l’ensemble des soutiens de la population à la famille de la victime. Les deux jeunes filles ont été percutées par un automobiliste alors qu’elles traversaient, a priori précipitemment, la RD111 pour rejoindre leur établissement car elles étaient en retard.
http://www.leparisien.fr/ormesson-sur-marne-94490/ormesson-hommages-apres-la-mort-de-la-collegienne-renversee-28-01-2015-4486215.php

mercredi 28 janvier 2015

Isère : un lycéen meurt dans une avalanche lors d'une sortie scolaire

Un lycéen de 17 ans est mort dans une avalanche ce mercredi en milieu de journée. Deux autres jeunes sont blessés. Un groupe de lycéens circulait sur le plateau du Cornafion, à proximité de Villard-de-Lans.

Un groupe de lycéens de Dié a été surpris par une avalanche ce mercredi en milieu de journée. Selon le Dauphiné Libéré, un jeune garçon de 17 ans est mort. Repéré par des chiens de recherches en arrêt cardiaque, il a été conduit au CHU de Grenoble mais n'a pu être réanimé.
En tout, trois personnes ont été ensevelies par cette avalanche, qui s'est déclenchée peu après midi près du Roc Cornafion, au-dessus de la commune de Villard-de-Lans. Elles évoluaient au sein d'un groupe de 16 personnes, encadré par deux professionnels, selon la CRS Alpes.
Depuis le début de la saison hivernale 2014-2015, 18 personnes ont péri dans des avalanches en France, selon un décompte de l'AFP à partir des données de l'Association nationale pour l'étude de la neige et des avalanches (Anena). Chaque année, une trentaine de personnes sont tuées par des avalanches en France, selon l'Anena
 

Collision sur la RD152 à Kembs Niffer : 1 mort et 1 blessée grave

Un accident mortel s’est produit ce matin vers 7h50, sur la RD152, à Kembs Niffer dans le sud du Haut-Rhin. Un homme a trouvé la mort, et une femme âgée de 49 ans a été grièvement blessée, lors d’une collision fronto-latérale entre les deux automobilistes.
L’origine de l’accident est, pour l’heure, indéterminée. Les secours sont toujours place.
http://www.dna.fr/edition-de-saint-louis-altkirch/2015/01/28/collision-frontale-sur-la-rd152-1-mort-et-1-blessee-grave

Attentats : le récit glaçant du directeur de l'Hyper Cacher


Attentats: le récit glaçant du directeur de l... par leparisien

mardi 27 janvier 2015

Bergerac : enquête et incompréhension après le suicide d'un homme en pleine rue

Le bruit de la détonation n'a été entendu que par quelques personnes qui se trouvaient au rez-de-chaussée du palais de justice de Bergerac, dans les pièces à l'angle du parvis du bâtiment et de la rue Bourbarraud. Un lieu habituellement passant, à l'entrée des rues les plus commerçantes de la ville.
Mais en ce lundi, beaucoup de magasins étaient fermés. Dans les boutiques ouvertes et les appartements de l'étage, juste en face des lieux, personne n'a rien remarqué.
C'est l'afflux soudain des véhicules de police et de secours, un peu après 15 h 30, qui a attiré l'attention du voisinage. Au pied de la rampe d'accès de l'édifice, un homme venait de se donner la mort en se tirant une balle dans la tête.

Arme artisanale

Le périmètre de sécurité, dans un premier temps circonscrit autour du corps, a été rapidement élargi à l'ensemble de la place. Un drap blanc a été installé autour du corps pour le préserver des regards. Les enquêteurs ont procédé aux constats d'usage. Le corps a été enlevé vers 17 heures, et les lieux ont retrouvé leur configuration habituelle.
 
Un drap blanc a été installé autour du corps pour le préserver des regards
 
Les constatations effectuées permettent de conclure au suicide. Il s'agit d'un homme d'une cinquantaine d'années, ingénieur de formation, dont l'identité n'a pas été communiquée. L'arme qu'il a utilisée était de fabrication artisanale, un fusil à double canon chargé avec des munitions de chasse.
Plutôt sommaire, l'arme ne présentait aucune fiabilité quant à son usage et ne pouvait, selon les enquêteurs qui l'ont examinée, être mortelle qu'en étant utilisée à « bout touchant », ce qui fut le cas.

Prémédité, mais pas expliqué

Des documents trouvés dans les poches du quinquagénaire accréditent la préméditation de son acte. L'un d'eux évoquait son accord pour des prélèvements d'organes en vue de greffes. Un autre donnait, plus prosaïquement, le code du cadenas de sa bicyclette, son moyen de locomotion habituel, appuyée contre le mur, juste à côté du lieu du drame.
Mais s'ils établissent que le passage à l'acte était prémédité, ces documents n'en donnent pas les raisons. Les caméras qui surplombent l'entrée du palais de justice ont enregistré ses allées et venues devant le bâtiment, dans les minutes qui ont précédé le drame. À aucun moment, il n'a tenté d'y entrer.
« Aucune affaire judiciaire le concernant, ni comme victime ni comme auteur, n'était en cours,
Compte tenu du lieu que le quinquagénaire a choisi pour mettre fin à ses jours, une recherche a immédiatement été lancée pour déterminer si son geste avait un rapport avec la justice. Le procureur de la République de Bergerac a été formel, lundi soir, au cours d'une conférence de presse : « Aucune affaire judiciaire le concernant, ni comme victime ni comme auteur, n'était en cours, tant en matière civile que pénale. »
 
"Aucune affaire judiciaire le concernant n'était en cours"
 
Bergeracois d'origine, cet homme célibataire et sans enfants était au chômage et vivait chez ses parents, en ville. Choqués par la disparition brutale et dramatique de leur fils, ceux-ci ont été entendus succinctement. Mais ils n'avaient pas, d'emblée, d'éléments pour expliquer ce geste désespéré. Pourtant, l'arme utilisée et les écrits donnent aux enquêteurs la quasi-certitude que l'homme avait mûrement préparé son acte.

http://www.sudouest.fr/2015/01/27/suicide-en-pleine-rue-1810095-1733.php

Crash du F-16 en Espagne : sur la base de Nancy-Ochey, le choc et le deuil

La quasi-totalité des neuf militaires français tués lundi à Los Llanos appartenaient à la base aérienne 133 de Nancy-Ochey. Les drapeaux y sont en berne depuis ce matin.

Au moins sept des neuf militaires français tués lundi en Espagne étaient affectés sur la base aérienne 133 de Nancy-Ochey, en Meurthe-et-Moselle.
Depuis l'annonce du drame, c'est évidemment l'émotion et la consternation qui règnent sur place, où une cellule de crise a été mise en place dès lundi soir. "Cela touche toute la base aérienne, toute l'armée de l'air et toutes les armées", a lancé mardi matin le colonel Olivier Lapray, le commandant de la base, au bord des larmes.
"Ce sont de grands professionnels. On n'est pas à l'abri de la malchance et de la fatalité. Cela ne remet pas en cause le professionnalisme des équipages et des mécaniciens", a-t-il ajouté, en rappelant que l'opération à laquelle participaient ses hommes était "un entraînement à la guerre". "Ma solidarité et ma compassion vont vers les familles", a insisté le colonel Dupray, qui a prévenu les proches des victimes dans la nuit.
Hommage des élus
Pour rendre hommage aux victimes, les drapeaux ont été mis en berne en début de matinée. Puis les noms des victimes ont été égrenés aux militaires présents, à qui consigne a été donnée de ne pas communiquer auprès de la presse. Celle-ci n'a pas été autorisée à pénétrer à l'intérieur de la base.

Philippe Parmentier, le maire d'Ochey, un petit village d'environ 500 habitants situé à une trentaine de kilomètres de Nancy, s'est pour sa part "associé à la douleur des familles", en soulignant "les liens très forts qui unissent la commune à la base aérienne depuis près de 100 ans". D'autres élus ou anciens élus du département, comme Valérie Debord, ajointe au maire de Nancy ou Nadine Morano, ex-députée de Toul, ont également rendu hommage aux victimes.
 

EN DIRECT. Crash d'un F-16 : 8 militaires français tués, Le Drian attendu sur place

Un avion de chasse grec qui participait lundi à un exercice de l'OTAN en Espagne s'est écrasé sur le tarmac peu après le décollage. Le bilan est très lourd : 10 morts, dont 8 pilotes d'élite français, et 21 blessés, la plupart très gravement brûlés. Le ministre Français de la Défense est attendu sur place. Jamais l'Armée de l'air française n'avait été autant frappée dans un accident.

Le ministre français de la Défense, Jean-Yves Le Drian, est attendu sur place dans la journée. Le crash au décollage, lundi après-midi, d'un avion de combat grec de type F-16 sur la base espagnole de Los Llanos qui accueille un centre de formation de pilotes d'élite de l'Otan, a fait dix morts. Parmi eux : 10 militaires Français, dont trois capitaines et un lieutenant, et deux Grecs, qui étaient dans le F-16.
Un bilan extrêmement lourd. Outre ces 10 militaires décédés, 21 autres personnes ont été blessées, 11 Italiens et 10 Français. L'Elysée a précisé dans la soirée de lundi que "cet accident a causé de graves blessures par brûlures à six personnels mécaniciens". Le ministère de la Défense français a fait part d'un blessé "en situation d'extrême urgence, et deux placés en coma artificiel". Il précise que parmi les morts Français figurent trois capitaines et un lieutenant.
Que sait-on des circonstances du crash ? L'accident s'est produit vers 15h00 lors d'un entraînement. Au moment du décollage, l'avion "a perdu de sa puissance et  s'est écrasé sur l'aire de stationnement", heurtant cinq appareils qui s'y  trouvaient, selon le ministère.  Les pompiers ont mis une heure à éteindre l'incendie causé par le crash. L'avion de combat grec devait effectuer des manoeuvres dans le cadre d'un  entrainement organisé par l'Otan, le Tactical leadership Programme (TLP). Des images vidéo amateur que l'AFP a pu visionner montrent un avion en feu, d'où s'échappent d'importantes volutes de fumée noire puis au moins trois colonnes de fumée. Les équipes de secours ont dû venir à bout de l'incendie avant de pouvoir déterminer le nombre de victimes. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'accident.

Que faisaient les militaires français sur cette base ? S
elon le site internet de la base de Los Llanos, celle-ci accueille depuis 2010 un centre de formation de l'Otan. Le centre y forme des pilotes à diverses spécialités y compris la guerre électronique, la reconnaissance ou le combat aérien. Selon le site du ministère français de la Défense, le TLP est l'une des formations "les plus réputées et les plus exigeantes au monde" pour les pilotes de chasse. Les pilotes y sont déployés pour ces cours avec leurs appareils, qu'il s'agisse de Mirage ou encore de F-16.  
Suivez l'évolution de la situation en direct sur MYTF1News.  sur ce lien.... http://lci.tf1.fr/monde/europe/en-direct-crash-d-un-f-16-jean-yves-le-drian-attendu-sur-place-8553965.html
7h30 : "La base d'Ochey endeuillée". Plusieurs militaires français étaient issus de la base d'Ochey, près de Toul en Lorraine indique l'Est Républicain. Une information confirmée par une source militaire.
7h00 : Le pire accident pour l'Otan.Selon le quotidien espagnol El Païs, le crash est intervenu lors d'une journée d'entraînement classique, sans difficultés particulières. Il s'agit du pire accident jamais subi par l'Otan en dehors d'une zone de conflit.
06h37 : Selon les premies éléments de l'enquête, le crash serait intervenu au décollage du F-16, alors que ce dernier avait ses réserves de kérozène pleines. En retombant sur le tarmac, il a explosé à proximité immédiate de cinq autres avions, notamment deux Rafale et deux alpha-Jet.

lundi 26 janvier 2015

Lyon: Un ouvrier décède sur le chantier du Grand Stade

La douleur et l'incompréhension. Mardi dernier en début d'après-midi, un homme de 58 ans, travaillant en intérim sur le chantier du Grand Stade, est décédé. L'autopsie a conclu à une crise cardiaque, selon son entourage.
L'ouvrier, qui avait réalisé quelques missions sur le chantier en novembre et décembre comme métallier et poseur d'acier, avait entamé un nouveau contrat la veille de son décès.

La famille contactée tardivement

Ce lundi, sa famille, très peinée, qui s'étonnait de ne pas avoir été contactée de la part du Grand Stade, a finalement été appelée.
«Nous souhaiterions qu'une plaque soit apposée sur les murs du stade une fois que le chantier sera terminé, afin de rendre hommage aux ouvriers qui sont décédés pendant les travaux», explique la fille de la victime. La famille attend désormais une réponse

http://www.20minutes.fr/lyon/1525915-20150126-lyon-ouvrier-decede-chantier-grand-stade

Steenvoorde : un mort et un blessé grave dans un accident de la route

Dimanche 25 janvier, vers 5h00, un conducteur s'est tué au volant de son Porsche Cayenne sur l'aire de repos de Saint-Eloi, sur l'A25. Son passager a été sérieusement blessé mais son pronostic vital n'est pas engagé. 
Rentrant, selon les premiers constats, trop vite, sur l'aire de repos située au niveau de la commune de Steenvoorde, le conducteur, un jeune d'une vingtaine d'années originaire du Beauvaisis, a percuté par l'arrière un poids lourd garé alors que le chauffeur routier dormait.

Ce dernier est indemne mais le passager de la Porsche Cayenne, a dû être désincarcéré et hospitalisé. Il n'a pu être entendu. Le conducteur du véhicule en revanche est décédé des suites de ses blessures.

Des prélèvements sanguins ont été réalisés pour vérifier si le conducteur du 4x4 Porsche roulait sous l'emprise de l'alcool ou de stupéfiants. Le parquet de Dunkerque attend les résultats sous 48 heures. Par ailleurs, un expert a été nommé pour déterminer la vitesse du véhicule au moment de l'accident et pour vérifier qu'il n'y a pas eu de défaillance au niveau du freinage ou du régulateur de vitesse du véhicule

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/01/26/steenvoorde-un-mort-et-un-blesse-grave-dans-un-accident-de-la-route-640417.html

Massif du Queyras : incompréhension après la mort de six skieurs aguerris

Six skieurs du Club alpin français ont été retrouvés morts ce week-end après avoir été emportés dans le massif du Queyras par l'une des avalanches les plus meurtrières de ces dernières années dans les Alpes françaises.
Vingt-quatre heures après avoir retrouvé les corps, secouristes et habitants de la vallée continuent de s'interroger. Comment expliquer les risques pris par la cordée de six skieurs, pourtant expérimentés, dont les corps ont été retrouvés ensevelis sous une avalanche dans le massif du Queyras.
Les quatre hommes et deux femmes, tous français et âgés de 58 à 73 ans, étaient partis samedi matin pour une randonnée à ski, au départ de la petite station isolée de Ceillac (Hautes-Alpes). Ils ont été victimes d'une importante coulée de neige, de 900 mètres de long sur 300 mètres de large, qui s'est déclenchée à leur passage à la mi-journée. Après plusieurs heures de recherches qui ont duré jusqu'au dimanche matin, les corps ont été retrouvés dans le vallon de Bachas, à 2 500 mètres d'altitude.
«Ils ont clairement pris un gros risque en s'engageant dans cette randonnée, malgré l'instabilité du manteau neigeux», estime Sarah Chelpi, capitaine au Peloton de gendarmerie de haute-montagne (PGHM) de Briançon, à qui a été confiée l'enquête chargée de faire la lumière sur les circonstances du drame. La militaire avance l'hypothèse d'un «effet de groupe» ayant pu conduire les randonneurs, pourtant «habitués à évaluer les aléas climatiques», à s'engager tout de même sur cet itinéraire. «Aucun des secouristes du PGHM», pour la plupart des guides de haute montagne, «ne se serait engagé dans cette randonnée», assure-t-elle.
«Ils ont effectivement fait preuve de beaucoup d'imprudence. Ceux qui connaissent bien la montagne ne pourront dire le contraire», abonde Catherine, une habitante du village depuis 35 ans. «Il ne faut jamais l'oublier. Peut-être sont-ils partis trop relâchés du fait de leur expérience et leur connaissance du terrain. Pour l'alpiniste expérimenté, il y a toujours une volonté inconsciente de tester ses limites», ajoute-elle.

Le risque toujours présent

Selon Raphaël Balland, procureur de la République de Gap, il est encore trop tôt pour parler d'imprudence. «L'enquête préliminaire le déterminera». «Ce n'est pas a priori une sortie organisée par un guide ou par le Club alpin français (CAF) mais une sortie entre amis», a précisé le procureur.
«C'est un dramatique concours de circonstances. Les sols n'étaient pas préparés à accueillir autant de neige», analyse de son côté Pierre, 61 ans.
Cet ami proche de l'une des victimes, habitant d'une commune voisine, s'est rendu avec son épouse sur les lieux du drame. Tous deux réfutent l'hypothèse de l'imprudence. «Carole était quelqu'un de réfléchie. Elle préparait toujours ses sorties», assure Pierre.
La préfecture a mis en place une cellule d'urgence médico-psychologique pour les familles, qui ont rejoint la chapelle ardente installée en marge du village, où les corps ont été rapatriés un à un, avant d'être déplacés vers un établissement funéraire à Embrun.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/26/2036504-incomprehension-apres-mort-six-skieurs-aguerris-massif-queyras.html

dimanche 25 janvier 2015

Hautes-Alpes: les corps des six skieurs retrouvés

Les corps des des six skieurs du Club alpin français portés disparus depuis hier midi dans le massif du Queyras ont été retrouvés, annonce le préfet des Hautes-Alpes sur BFMTV. Les six randonneurs ont été victimes d'une avalanche à 2400 mètre d'altitude. Trois corps avaient été retrouvés dans la nuit.
Le groupe expérimenté était composé de quatre hommes et de deux femmes de nationalité française, âgés de 50 à 70 ans. Partis hier matin pour une randonnée à ski, ils ont été victimes d'une importante coulée de neige qui se serait déclenchée à leur passage, a indiqué la préfecture.

Les corps doivent être rapatriés dès que l'hélicoptère pourra se rendre sur place. Une chapelle ardente a été érigée dans le village de Ceillac d'où étaient partis les randonneurs.


http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/25/97001-20150125FILWWW00035-hautes-alpes-les-corps-des-six-skieurs-retrouves.php

Avalanche dans les Hautes-Alpes : trois morts, trois disparus

Les corps de trois des six skieurs du Club alpin français portés disparus depuis samedi midi dans le massif du Queyras ont été retrouvés cette nuit. Les secours sont pessimistes pour leurs trois compagnons.
Le drame s'est produit samedi en fin de matinée dans le massif du Queyras, au cœur des Hautes-Alpes. Un groupe de six personnes -quatre hommes et deux femmes, de nationalité française, âgés de 50 à 70 ans- effectuant du ski de randonnée a été victime d'une importante coulée de neige qui se serait déclenchée à son passage.
Débutées samedi après-midi, les opérations de secours ont permis de retrouver cette nuit les corps de trois des six randonneurs. Les recherches ont ensuite été interrompues vers 1h du matin en raison des conditions climatiques, qui rendaient le travail des secours périlleux. Elles devaient reprendre au lever du jour. "Nous sommes pessimistes pour les autres", a indiqué sur LCI le préfet des Hautes-Alpes, Pierre Besnard.
Poste de commandement à Ceillac
Les trois corps retrouvés seront ramenés à Briançon dans la matinée, où le peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) a installé un poste de commandement dans la salle des fêtes de Ceillac, commune depuis laquelle les skieurs avaient entamé leur ascension. Une chapelle ardente a également été mise en place, ainsi qu'une cellule psychologique pour les familles des victimes.
Les six skieurs, membres du Club alpin français et originaires du secteur, étaient considérés comme expérimentés.
 

samedi 24 janvier 2015

Canet-en-Roussillon : une voiture tombe dans les eaux du port, 1 mort

Selon l'Indépendant, un véhicule avec deux passagers à son bord est tombé dans les eaux du port de Canet-en-Roussillon. Un homme est décédé et une femme a été transportée à l'hôpital. 
Selon l'Indépendant, une voiture est tombée dans les eaux du port de Canet-en-Roussillon samedi en début d'après midi. Un témoin aurait sauté à l'eau pour sauver un des deux occupants, une septuagénaire, transportée à l'hôpital. Les secours n'ont pu que constater le décès de la seconde personne, également septuagénaire.

Nercillac (16) : une femme décède dans un accident de la route

Colette Chedoutaud, une femme âgée de 69 ans et domiciliée à Nercillac, un village situé entre Cognac et Jarnac, est décédée dans un accident de la circulation. Le drame s'est déroulé ce samedi matin vers 8 heures. C'est une riveraine qui a entendu du bruit à l'extérieur et qui a donné l'alerte.
Alors qu'elle livrait les journaux, la conductrice a perdu le contrôle de son véhicule dans une courbe à gauche, puis est venue percuter une buse en béton qui se trouvait devant une maison. Le choc a été assez violent et l'automobiliste n'a pas survécu à ses blessures.
L'enquête ouverte par la gendarmerie devra déterminer les circonstances exactes de cet accident qui n'est, a priori, pas dû aux conditions climatiques. A l'heure où s'est produit l'accident, la chaussée était sèche.
http://www.sudouest.fr/2015/01/24/nercillac-16-une-femme-decede-dans-un-accident-de-la-route-1808042-937.php

A16 : grave accident dans la nuit de jeudi à vendredi à hauteur de Transmarck

L’accident s’est produit juste après la sortie 48 (Marck-ouest), dans le sens Dunkerque-Calais. Un utilitaire immatriculé en Belgique s’est encastré dans un poids lourd immatriculé en Hongrie, qu’il suivait. On ignore encore les circonstances exactes de l’accident, mais il semble que l’utilitaire, qui conduisait sur la voie de gauche, était en train de se rabattre sur la voie du milieu où se trouvait le camion, et n’a pas vu que ce dernier freinait. Le choc a été extrêmement violent. Le conducteur de l’utilitaire, un Néerlandais de 39 ans, s’est retrouvé la jambe droite coincée sous l’arrière du poids lourd.
 
 

Désincarcération délicate

Les sapeurs-pompiers de Calais, de Marck, ainsi qu’un chef de groupe de la caserne d’Ardres ont dû procéder à une délicate désincarcération. Délicate car la seule voie d’accès possible se trouvait côté conducteur (le côté passager a été totalement écrasé dans la collision) et parce que des tôles enchevêtrées comprimaient les membres de la victime.
La police nationale, le SAMU 62 de Calais ainsi que deux dépanneuses étaient également présents sur les lieux. Un test d’alcoolémie a été réalisé sur les deux chauffeurs, mais il s’est révélé négatif dans les deux cas. Le conducteur de l’utilitaire est resté conscient durant toute la désincarcération. Celle-ci s’est achevée vers 3 h 30, heure à laquelle l’homme a pu être conduit à l’hôpital. Son pronostic vital n’est pas engagé, mais il est gravement blessé à la jambe droite.

A16 bloquée

Durant l’intervention des secours, une impressionnante file de camions cherchant à rejoindre le port et le Tunnel s’est formée sur la voie de droite, si bien que l’autoroute a été totalement bloquée à la circulation, l’intervention ayant lieu sur les voies du milieu et de gauche.

http://www.lavoixdunord.fr/region/calais-et-ses-environs/marck

vendredi 23 janvier 2015

Deux skieurs tués dans les Alpes après une chute mortelle

Une femme de 46 ans est morte ensevelie ce vendredi par une avalanche alors qu'elle effectuait l'ascension de la pointe des Cercles, en Savoie. A Chamonix, un Britannique a été tué après avoir chuté dans le massif du Mont-Blanc.
Semaine meurtrière dans les Alpes. Après la mort d'un Slovène dans la vallée Blanche et celle de deux skieurs dans le massif des Ecrins, deux skieurs ont fait une chute mortelle ce vendredi dans les Alpes du Nord.
A Valloire, en Savoie, une femme de 46 ans, originaire de la commune, a été emportée vers 13 heures par une avalanche alors qu'elle achevait l'ascension des 3 097 mètres de la pointe des Cercles. Elle a été emmenée sur plus de 400 mètres et a été ensevelie par l'avalanche. Alertés par son compagnon de randonnée, les secouristes du peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon sont intervenus en hélicoptère pour dégager la victime.http://www.leparisien.fr/faits-divers/deux-skieurs-tues-dans-les-alpes-apres-une-chute-mortelle-23-01-2015-4472999.php

Un homme égorge sa femme et tente de mettre fin à ses jours à Grasse

Un drame familial s'est joué ce jeudi en plein après-midi, place aux Aires, dans le centre ancien de Grasse.
Dans un appartement situé au-dessus des arcades de la place, un homme d'une quarantaine d'années a, selon les premiers éléments recueillis sur place, égorgé sa femme avec un couteau avant de retourner l'arme contre lui.
Il n'a cependant pas réussi à mettre fin à ses jours. Lorsque les policiers sont arrivés sur place, peu avant 17 heures, le meurtrier s'en serait pris à l'un d'eux, le blessant.
http://www.nicematin.com/grasse/un-homme-egorge-sa-femme-et-tente-de-mettre-fin-a-ses-jours-a-grasse.2074155.html

Une sexagénaire perd la vie dans un accident

Hier, peu avant 14 heures, une dame âgée de 66 ans, qui circulait sur la RN 117, en direction de Tournay, a perdu le contrôle de sa voiture, une Renault Clio, dans la grande courbe à l'entrée du village de Bordes. La voiture a alors brutalement quitté la chaussée et a violemment percuté le talus qui borde la voie ferrée. Très grièvement blessée sous le choc, la sexagénaire, qui habite Tournay mais dont l'identité n'a pas été révélée, a immédiatement été médicalisée sur place par les pompiers, qui ont dû la désincarcérer, et une équipe du Samu, mais malheureusement, elle n'a pas survécu à ses blessures.
Un accident qui laisse toutefois plusieurs zones d'ombre. En effet, à cet endroit, il n'y a aucun obstacle, selon les premiers éléments recueillis sur place. La voiture de la sexagénaire n'a percuté aucun autre véhicule et les dégâts sur la Renault Clio sont relativement faibles. Les gendarmes, qui ont ouvert une enquête pour déterminer les causes de cet accident, n'excluent donc aucune hypothèse. Sans doute que les conditions météo assez moyennes ont rendu la chaussée glissante et si elles ne sont pas la cause principale, elles y ont contribué. Reste la piste du malaise, qui est la plus probable. Les gendarmes n'excluent pas de faire appel aux témoins de l'accident pour essayer de comprendre ce qui a pu se passer.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/23/2034790-une-sexagenaire-perd-la-vie-dans-un-accident.html

jeudi 22 janvier 2015

Hautes-Alpes : les deux skieurs retrouvés morts dans le massif des Ecrins

Le guide de montagne de 51 ans et son client marseillais de 60 ans ont été tués dans une avalanche alors qu'ils évoluaient en hors-piste dans le massif des Ecrins. Leur disparition avait été signalée mercredi soir. Un hélicoptère a permis de repérer leurs corps ce jeudi près du Puy-Saint-Vincent.
Deux skieurs, portés disparus depuis mercredi dans le massif des Ecrins, ont été retrouvés morts jeudi matin, emportés par une avalanche. Les deux hommes, un guide originaire de Briançon de 51 ans et son client marseillais de 60 ans, évoluaient dans un secteur hors-piste près de la station de Puy-Saint-Vincent.

Des chutes de neige importantes

Leur disparition a été signalée mercredi vers 20h par leurs proches inquiets de ne pas les voir rentrer en station. Deux caravanes terrestres du PGHM de Briançon ont alors effectué des reconnaissances aux abords du domaine skiable. Ces recherches ont été interrompues dans la nuit en raison d'un fort risque d'avalanche, lié à des chutes de neige importantes.

Emportés à plus de 2 000 m d'altitude

Les corps des deux skieurs ont finalement été repérés jeudi matin dans le vallon de Narreyroux, au-dessus du village de Puy-Saint-Vincent, par un hélicoptère. De nombreuses traces d'avalanche ont été remarquées dans cette zone, très fréquentée par les adeptes du hors-piste. Les deux skieurs ont vraisemblablement été emportés mercredi à plus de 2.000 mètres d'altitude, selon le Peloton de Gendarmerie de Haute Montagne, franchissant plusieurs
barres rocheuses dans leur chute.

Risque d'avalanche de 3 sur 5

Selon Météo France, le risque d'avalanche est "marqué", de niveau 3 sur une échelle de 5, au-dessus de 2.100 mètres d'altitude sur l'ensemble des massifs des Hautes-Alpes, département placé de ce fait en vigilance "jaune".
Suite aux chutes de neige successives des derniers jours, il faut être bien équipé et se renseigner sur les conditions de neige avant de partir en ski hors-piste"

a mis en garde le capitaine Nicolas Colombani du PGHM de Briançon.

Dix morts depuis le début de la saison

Au moins dix personnes ont péri dans des avalanches en France depuis le début de la saison de sports d'hiver 2014/2015, selon un décompte de l'AFP à partir des données de l'Association Nationale pour l'Étude de la Neige et des Avalanches (Anena). Une trentaine de personnes sont tuées par des avalanches chaque année en France, selon l'Anena.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/2015/01/22/les-deux-skieurs-retrouves-morts-dans-le-massif-des-ecrins-637779.html

Quilly La jeune fille victime d'un accident est décédée

Mardi 20 janvier à 7 h 30, un grave accident de la route s'est produit à Quilly au lieu-dit « Le Vilo ». Une jeune fille de 13 ans, qui marchait au bord de la route en direction de son arrêt de bus a été percutée par une voiture qui circulait dans le sens Sainte-Anne sur Brivet/Quilly. Hier, elle était transportée au CHU de Nantes dans un état grave. La jeune fille n'a pas survécu à ses blessures.
Appel à témoins
Le conducteur du véhicule a fait l'objet de dépistages, pour l'alcool et la drogue, qui se sont avérés négatifs. La vitesse ne semble pas non plus en cause. La gendarmerie lance néanmoins un appel à témoins pour déterminer avec précision les circonstances de ce dramatique accident. Le conducteur de ce véhicule BMW break sombre, qui s'est arrêté, déclare avoir croisé un autre véhicule circulant en sens inverse juste avant l'accident avec ce piéton qui marchait sur le bord droit de la chaussée. Il indique également qu'il était suivi par un autre véhicule qui l'a dépassé au moment où il constatait l'accident. Plusieurs autres automobilistes et/ou piétons ont pu assister à cet accident, c'est pourquoi la gendarmerie lance un appel à témoins afin de recueillir le maximum d'éléments sur les conditions dans lesquelles il s'est produit. Cet appel à témoins vise en premier lieu les usagers de la route circulant sur l'axe (RD33) ce mardi 20 janvier vers 7 h 20, à Quilly. Sont également concernés les riverains ainsi que les piétons qui pouvaient se trouver aux abords de l'axe dans le créneau horaire où l'accident s'est produit.
Contacter la gendarmerie de St-Gildas-des-Bois au 02 40 01 40 14

 http://www.presseocean.fr/saint-nazaire

mercredi 21 janvier 2015

Charlie Hebdo: émotion aux obsèques de Frédéric Boisseau


Charlie Hebdo: émotion aux obsèques de Frédéric... par leparisien

À la gare, un homme se suicide en se jetant sous un train

Le drame s'est produit, hier, aux alentours de 15 h 45. Un homme seul s'est avancé d'un pas décidé sur le quai de la voie n° 2, la première en arrivant du hall de la gare. L'individu, qui avait décidé d'en finir, s'est jeté sur les rails au moment où un train d'infrastructure — constitué de deux locomotives, sans passager — arrivait en gare. Un usager présent sur le quai aurait tenté de stopper le geste funeste mais n'y est pas parvenu. Pour l'instant l'identité de la victime n'est pas encore connue. Il pourrait s'agir d'un homme âgé de 40 à 50 ans. Une enquête a été ouverte et confiée à la Brigade de sûreté urbaine (BSU).

Sept personnes choquées

Ce geste désespéré a choqué les usagers et le personnel qui ont assisté à la scène. Une infirmière psychologue du centre hospitalier d'Agen a d'ailleurs été envoyée sur place pour prendre en charge sept personnes, dont un enfant. Le trafic a été logiquement interrompu suite à l'incident. Il a finalement repris son cours normal, aux alentours de 17 h 30, occasionnant quelques retards de train.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/21/2033309-gare-homme-suicide-jetant-sous-train.html

mardi 20 janvier 2015

Gironde : un jeune homme de 22 ans tué sur la route

Un accident a coûté la vie à un automobiliste de 22 ans ce mardi vers 10 heures. Il circulait sur le CD 708, entre Sainte-Foy-la-Grande et La Roquille lorsque sa voiture a quitté la route, avant de tomber dans un fossé. Le verglas était encore très présent lorsque l'accident est survenu.
Le jeune conducteur avait perdu la vie à l'arrivée des secours

http://www.sudouest.fr/2015/01/20/un-jeune-homme-de-22-ans-tue-sur-la-route-a-sainte-foy-la-grande-1803215-2780.php

Hérault : un septuagénaire s'immole par le feu dans sa voiture à Lattes

L a police a retrouvé la dépouille d'un septuagénaire, ce lundi matin vers 7 h à Lattes près de Montpellier, dans sa voiture. L'homme se serait immolé par le feu après avoir blessé sa femme au cours d'une violente dispute.
La police a retrouvé la dépouille d'un septuagénaire, ce lundi matin vers 7 h, derrière le centre commercial Carrefour à Lattes (Hérault). L'homme s'était immolé par le feu dans sa voiture après avoir eu une violente dispute avec sa conjointe vers 6 h. Dispute au cours de laquelle elle a été blessée (son pronostic vital n'est pas engagé) au niveau du cou par arme blanche. Le couple était connu de la police pour des violences conjugales.
http://www.midilibre.fr//2015/01/19/lattes-il-s-immole-dans-sa-voiture,1112725.php

lundi 19 janvier 2015

Une femme de 30 ans décéde dans un accident de la route à Chaniers (17)

Grave accident de la route ce matin un peu après 9h. Trois véhicules sont impliqués et une conductrice de 30 ans a trouvé la mort dans un choc contre un poids lourd. L'accident a eu lieu route des Passereaux à Chaniers (17).
L'intervention est maintenant terminée mais il a fallu la présence de 18 sapeurs-pompiers, du SMUR, d'un véhicule de désincarcération et d'ambulances pour traiter cet accident qui mettait en cause trois véhicules.

D'après les premières constatations réalisées par les gendarmes, un véhicule conduit par une femme d'une trentaine d'années est entré en collision avec un semi-remorque dont le plateau était vide. La jeune femme a été déclarée décèdée par les médecins du SMUR tandis que le conducteur du camion, un homme d'une cinquantaine d'années, a été transporté au CHU de Saintes.

Une troisième personne, une conductrice témoin de l'accident, a été extrêmement choquée tout en refusant son transport. Les gendarmes ont condamné une voie de circulation pendant le travail des secours et la circulation est à présent rétablie.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/poitou-charentes/2015/01/19/une-femme-de-30-ans-decede-dans-un-accident-de-la-route-chaniers-17-635726.html

Quatrième mort sur les routes du Lot-et-Garonne : que s'est-il passé ?

L'année démarre bien tristement sur le front de la sécurité routière. Il s'agit, en effet, du quatrième mort sur les routes lot-et-garonnaises. Dimanche soir, un jeune automobiliste de 21 ans est décédé au Tripode, à Bordeaux. Il avait été transporté par hélicoptère, vers le centre hospitalier régional du Tripode de Bordeaux, dimanche après-midi. Le jeune homme avait dû subir, au préalable, une intervention chirurgicale.
Son passager, assis à l'avant du véhicule, est, lui, resté hospitalisé à Villeneuve-sur-Lot. Blessé sérieusement, il était cependant, dimanche soir, dans un état stable.

Défaut de maîtrise

Ces deux jeunes hommes ont été victimes d'un accident de la circulation survenu dimanche, un peu avant 5 h 30, sur la commune de Condezaygues, où ils avaient passé une partie de la soirée dans un établissement de nuit. Pour une raison que les gendarmes en charge de l'enquête vont devoir établir, le conducteur a perdu la maîtrise de son véhicule de type Seat Ibiza, puis est allé percuter un arbre à hauteur du lieu dit Tailladis.
À la compagnie de Villeneuve-sur-Lot, où l'on indiquait que le conducteur avait voulu éviter un contrôle nocturne, la thèse d'une vitesse inappropriée semble celle privilégiée pour expliquer l'accident. En effet, les gendarmes avaient, quelques instants plus tôt, pris en chasse une voiture qui, à quelques mètres du contrôle, avait fait demi-tour à vive allure. Ayant perdu sa trace, les militaires sont repartis vers le rond-point de la route de Fumel où ils étaient postés et ont découvert, en chemin, le drame. Dans le cadre des investigations, une prise de sang a été faite au conducteur pour savoir s'il avait ou pas consommer de l'alcool et des stupéfiants.

Aux vœux du Conseil

Les deux personnes, victimes de l'accident, sont domiciliées à Bourlens pour le conducteur, à Montayral pour le passager. Le premier, revenu dans le village natal à la fin de ses études à La Rochelle, travaillait dans l'entreprise familiale de Fumel depuis quelques mois. Samedi soir, il avait été aperçu à la cérémonie des vœux que le maire de Bourlens, Jean-Marie Queyrel, a adressés à sa population. Investi dans cette commune où il avait ses attaches, l'automobiliste avait fait par de son intention de s'engager au sein du comité des fêtes.
Bourlens où la route a fait une victime en fin de semaine dernière. Un jeune conducteur de 25 ans a perdu la vie après, également, une perte de contrôle de sa voiture. Celle-ci s'était arrêtée contre des rochers.
http://www.sudouest.fr/2015/01/19/deux-jeunes-hommes-grievement-blesses-1801446-2780.php

Un automobiliste meurt percuté par un sanglier

Samedi soir, un dramatique accident a eu lieu sur la commune de Laas, non loin de Marciac. Alors qu'il circulait sur la RN 21, un homme de 23 ans immatriculé dans les Hautes-Pyrénées est entré en collision avec un sanglier vers 21 h 30. Il a fait plusieurs tonneaux avant de percuter un arbre. Il s'est retrouvé incarcéré dans l'amas de tôle. Les pompiers de Miélan et Mirande ont réussi à l'en extraire mais la victime était dans un état critique. Le jeune a fait plusieurs arrêts cardiaques pendant l'évacuation pour finalement succomber à l'hôpital d'Auch. C'est la première victime sur les routes gersoises depuis le début de l'année.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/19/2031766-un-automobiliste-meurt-percute-par-un-sanglier.html

dimanche 18 janvier 2015

Un dernier hommage émouvant en mémoire d'Alice

Ce samedi 17 janvier, au matin, une foule nombreuse était présente sur le parvis de l'église Saint-Thomas des Carmes de Figeac.
Très émus, ses camarades de classe du lycée Champollion étaient venus adresser un touchant adieu à Alice. Alice qui allait fêter ses 16 ans s'en est allée bien trop tôt, victime d'un accident de la route, survenu route de Villefranche, à Figeac, la semaine dernière.
La voix étranglée de sanglots, les adolescents confiaient : «Alice était un rayon de soleil pour nous tous !».
Professeurs, surveillants, et direction de l'établissement étaient à leurs côtés, recueillis dans la douleur pour rendre hommage à la jeune fille.
André Mellinger le maire et son épouse ont tenu à s'associer à cette cérémonie commémorative. Tous ont eu une pensée pour ses parents, sa famille et ses proches en ces jours terribles pour eux.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/18/2031182-un-dernier-hommage-emouvant-en-memoire-d-alice.html

Haute-Saône : un père et son fils meurent dans un incendie à Amance

Deux victimes. C’est le lourd bilan d’un incendie qui s’est déclaré dans la nuit de samedi à dimanche à Amance (70), à 1 h, dans une maison située place du village dans laquelle vivaient un père et trois fils. Un incendie qui s’est propagé à une maison mitoyenne et qui a nécessité d’importants moyens.
À l’arrivée des secours, la maison était totalement embrasée et le feu avait déjà percé la toiture. Un incendie qui s’est développé rapidement avec la présence de planchers bois.
Selon les premiers éléments recueillis sur place, un des fils, poussé par son frère, a pu sauter depuis une fenêtre de l’étage. Blessé, ce dernier a été transporté au Centre hospitalier intercommunal de Vesoul. Un autre était absent du domicile, ce qui n’a pu être confirmé que vers 3 h 30. Le père et le dernier des trois fils manquaient à l’appel. Un important dispositif a été mis en place, une vingtaine d’engins et une cinquantaine de pompiers dont un plongeur qui a notamment sondé un ruisseau à l’arrière de la maison dans lequel aurait pu se trouver un éventuel survivant qui aurait également pu s’extraire du brasier.
Hélas, vers 4 h, les deux corps étaient retrouvés dans les gravats, la toiture et les planchers s’étant effondrés au rez-de-chaussée de l’habitation de 75m2.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/01/18/tragique-incendie-a-amance-(70)

samedi 17 janvier 2015

Gironde : trois jeunes se tuent dans un accident de la route à Capian

Il était 20h15, vendredi soir, quand un automobiliste a perdu le contrôle de son véhicule et a percuté un platane sur la D13 à Capian, à quelques kilomètres de Bordeaux.
Dans le choc , d'une extrême violence, le bloc moteur de la voiture, une Renault Mégane, s'est désolidarisé et a été projeté à plusieurs mètres. Quand les sapeurs-pompiers sont arrivés sur les lieux il était hélas trop tard, deux des occupants du véhicule, âgés d'une vingtaine d'années, avaient été tués sur le coup. Leur copain évacué dans un état très grave au CHU est décédé dans la nuit.
La gendarmerie a ouvert une enquête pour comprendre les circonstances de ce terrible drame qui endeuille la commune de Capian dont sont originaires les trois victimes.
http://www.sudouest.fr/2015/01/17/gironde-trois-jeunes-se-tuent-dans-un-accident-de-la-route-a-capian-1800469-2806.php

«Qui sera le prochain pâtissier» : Gauthier, le jeune candidat de 23 ans, est décédé

Triste nouvelle pour le monde la pâtisserie qui perd cette semaine l’un de ses plus grands espoirs : Gauthier-Thibaut Toulzac est en effet décédé des suites d’un cancer, à l’âge de 23 ans.
Le jeune homme avait participé à la saison 2 de Qui sera le prochain pâtissier sur France 2 l’année dernière et s’était hissé aux portes de la finale alors qu’il était le moins expérimenté des candidats.
Formé à l'Institut Paul Brousse, Gauthier travaillait avec le chef Laurent Jeannin , au prestigieux palace Le Bristol.  Il avait également suivi une formation au côté de Yann Couvreur, chef pâtissier au restaurant Le Prince de Galles. C’est ce dernier qui a annoncé le décès de son apprenti sur sa page Facebook.

vendredi 16 janvier 2015

Bermont : à contresens sur l'autoroute, il est décédé

Cette nuit, les pompiers ont été appelés pour un accident qui s'est déroulé à la hauteur de Brémont, sur l'autoroute. Deux voitures étaient entrées en collision. A leur arrivée, les pompiers n'ont pu que constater le décès de l'un des conducteurs qui était seul à bord. Ce jeune de 23 ans avait pris l'autoroute à contresens. Des prélèvements ont été effectués pour savoir s'il avait consommé de l'alcool ou pris des droques.
Dans l'autre véhicule, la conductrice, âgée de 21 ans, n'est que légèrement blessée. Un troisième véhicule a été impliqué : pour éviter l'accident, le conducteur est entré dans le rail de sécurité mais sans blessé, ni lui, ni son passager.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/franche-comte/2015/01/16/trevenans-un-accident-sur-l-autoroute-fait-un-mort-633898.html

Algérie : le corps du Français Hervé Gourdel retrouvé

Le corps a été exhumé entre les communes d’Abu Youcef et d’Akbil, à 160 km au sud-est d’Alger, là où une unité d’élite de l’armée avait entamé des fouilles mercredi sur les indications d’un jihadiste arrêté par les forces de sécurité, ont assuré des sources sécuritaires.
Il était donc enterré à une quinzaine de kilomètres par la route du lieu de son enlèvement.
«Suite à l’exploitation des renseignements fournis par un terroriste arrêté, un détachement» de l’armée a retrouvé le corps d’Hervé Gourdel à 10h00 du matin, indique le ministère de la Défense dans un communiqué. La dépouille a été exhumée en présence de représentants de la justice et de la gendarmerie, et son identité a été confirmée par des analyses d’ADN, poursuit le communiqué.
Le corps et la tête étaient enterrés séparément au milieu d’une forêt, dans un endroit piégé avec des engins explosifs. Les militaires, aidés d’une brigade cynophile, ont dû faire appel à des artificiers avant de commencer à fouiller la tombe indiquée, ont assuré des sources sécuritaires à l’AFP.
«Les terroristes entendaient faire des victimes parmi ceux qui viendraient fouiller dans le coin», a commenté auprès de l’AFP un habitant qui suivait à distance avec d’autres les fouilles.
Des experts de la gendarmerie ont effectué des prélèvements génétiques sur place. Ils ont été rejoints par le procureur spécialisé dans les affaires de terrorisme et un juge d’instruction en charge du dossier, partis d’Alger, a indiqué une source judiciaire.
Hervé Gourdel, guide de haute montagne de 55 ans originaire du sud de la France, avait été enlevé le 21 septembre au coeur du massif du Djurdjura par le groupe armé Jund al-Khilafa, qui a affirmé l’avoir exécuté en représailles à l’engagement de la France aux côtés des Etats-Unis dans les frappes contre l’EI en Irak.
Après l’exécution du Français, dont la vidéo avait été mise en ligne, la justice avait lancé des poursuites contre quinze personnes, toutes de nationalité algérienne, soupçonnées d’y avoir participé.
Au moins deux d’entre elles ont été tuées en novembre dernier, selon le ministre de la Justice, Tayeb Louh.
Puis l’armée avait tué le 22 décembre à Issers (65 km à l’est d’Alger) trois hommes dont le chef de Jund al-Khilafa, Abdelmalek Gouri.
Samedi dernier, en plein jour, elle a tué un jihadiste dans les environs du village d’Ait-Saada, à une dizaine de kilomètres du lieu où était enterré Hervé Gourdel.
M. Gourdel, arrivé en Algérie le 19 septembre pour faire du trekking dans le massif du Djurdjura, avait été kidnappé près du sommet Lala Khedidja qui culmine à 2.308 m d’altitude. Il se trouvait avec cinq compagnons algériens qui avaient été relâchés après 14 heures de séquestration.
Immédiatement après l’annonce de l’enlèvement, qui avait provoqué une forte émotion y compris en Kabylie, l’armée avait lancé 3.000 soldats à la recherche des ravisseurs. «Jamais on n’avait vu autant de militaires dans la région», a commenté un villageois, ajoutant que depuis ce déploiement «les habitants sont devenus plus coopératifs avec l’armée».
Jund al-Khilafa a surgi sur la scène jihadiste fin août en affirmant dans un communiqué avoir quitté Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), dénoncée pour sa «déviance», et fait allégeance à l’EI, un groupe ultra-radical responsable de nombreuses atrocités, dont la décapitation de plusieurs journalistes occidentaux en Syrie.

http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/01/15/algerie-le-corps-du-francais-herve-gourdel-retrouve

jeudi 15 janvier 2015

Deux accidents mortels dans le Rhône et dans l'Ain

3 personnes sont mortes aujourd'hui dans des accidents de la route, ce matin dans le Rhône, et puis cet après-midi dans l'Ain . 
Le premier accident s'est produit vers midi à Taluyers dans le Rhône. Une voiture dans laquelle se trouvait un homme et une femme a percuté un camion. La voiture se serait déportée pour une raison inexpliquée. Le choc contre un poids lourd de 19 tonnes n'a laissé aucune chance aux deux occupants du véhicule, deux sexagénaires du Var.

La seconde collision est intervenue dans l'après-midi à Replonges (Ain), ici encore entre un camion et une voiture. Là aussi, le conducteur du véhicule a été tué sur le coup.          

http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/2015/01/14/deux-accidents-mortels-dans-le-rhone-et-dans-l-ain-632920.html

Un balcon s'effondre à Argelès, un ouvrier tué sur un chantier

Le drame s'est noué mercredi peu avant 15 h 30 impasse des Huppes à Argelès-sur-Mer. Un employé d'une entreprise spécialisée dans les travaux d'étanchéité travaillait sur un chantier de construction d'immeubles. Il était sur un balcon quand celui-ci, pour une raison encore indéterminée, a cédé et s'est effondré.
L'ouvrier a chuté de plusieurs mètres de hauteur et a malheureusement été pris au piège sous des plaques de béton. Plusieurs collègues qui étaient présents sur les lieux au moment des faits se sont précipités et ont donné l'alerte.
Les sapeurs-pompiers ont déployé des moyens importants, mobilisant plus d'une vingtaine de personnels épaulés par la cellule sauvetage et déblaiement afin d'extraire la victime des gravats.
Malgré tous les efforts des secours, et la durée de l'intervention qui s'est terminée trois heures plus tard, ils n'ont pu que constater le décès de l'homme, un Perpignanais âgé de 58 ans, qui a été tué sur le coup.
Les services de gendarmerie de la brigade d'Argelès se sont également rendus sur place en urgence et ont déclenché des investigations afin de déterminer les causes et circonstances exactes de cet accident.
De même, les services de l'inspection du travail ont procédé en parallèle à des constatations sur le chantier et mènent une enquête administrative concernant ce décès.

http://www.lindependant.fr/2015/01/15/argeles-un-balcon-s-effondre-un-ouvrier-tue-sur-un-chantier,1979385.php

Un mort dans un incendie

Hier matin, un corps calciné a été découvert dans une maison d'Urgosse, près de Nogaro, où s'était déclaré un incendie quelques heures auparavant.
«La maison, je m'en fiche, c'est surtout pour la victime», déplore un septuagénaire. Cet homme est le propriétaire de la maison d'Urgosse qui a été ravagée par les flammes hier matin. Et surtout, dans laquelle un corps calciné a été découvert. «Les voisins m'ont appelé vers 8 h 45 et j'ai immédiatement contacté les pompiers avant d'arriver», raconte-t-il. «La fumée sortait de partout…»
Sur place, une vingtaine de personnels des casernes de Nogaro, d'Aignan, du Houga, d'Eauze et de Marciac sont intervenus, avec le renfort du véhicule de soutien opérationnel (VSO), juste après qu'EDF ait sécurisé les lieux. «On a ensuite éteint l'incendie et on a laissé les gendarmes effectuer leurs prélèvements», indique le lieutenant Michel Aurensan, chef de groupe VSO. En effet, un nombre impressionnant de gendarmes était également sur les lieux avec l'identification criminelle. «Ce n'est pas clair», glisse le colonel Christophe Poussereau, à la tête du commandement de gendarmerie du Gers. Les causes du décès et l'identité de la victime ne sont pour l'heure pas confirmées. L'origine de l'incendie non plus. «On suppose que c'est le locataire qui est décédé mais on n'en a pas la certitude», indique Pierre Aurignac, procureur de la République d'Auch. Les investigations de la gendarmerie se sont poursuivies toute la journée d'hier. Le Parquet a également mandaté un expert incendie. «Les pompiers ont évoqué des circonstances suspectes quant à l'origine du feu», déclare Pierre Aurignac.

Une autopsie diligentée

La victime supposée est un homme d'une cinquantaine d'années qui vivait seul. Il avait emménagé il y a 1 an. «C'est toujours difficile d'apprendre de telles nouvelles, on est forcément choqué. Après, c'est vrai que c'est quelqu'un que l'on voyait très peu au village», explique le maire d'Urgosse, Bernard Barrail. Le propriétaire de la maison a répété qu'il était «bien ici». «Je crois qu'il s'était installé suite à son divorce mais il recevait ses enfants le week-end. Il devait même commencer un nouveau travail demain (aujourd'hui) après une période de chômage. Il se plaisait ici.» Indiquant que la chaudière avait été révisée récemment et que son locataire avait «l'air heureux» la dernière fois qu'il l'avait vu. Une autopsie devrait avoir lieu dans la journée d'aujourd'hui à Toulouse.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/15/2029207-un-mort-dans-un-incendie.html

mercredi 14 janvier 2015

Un skieur se tue dans les Hautes-Pyrénées

Un skieur d'une quarantaine d'années a fait une chute mortelle de 150 mètres, lors d'une randonnée, alors qu'il montait vers le pic de Crémat, près de Barèges (Hautes-Pyrénées), aujourd'hui à la mi-journée, a-t-on appris auprès des secours.

Cet habitant de la région, skieur expérimenté, était parti seul par grand beau temps. Il a certainement glissé sur une portion de neige particulièrement dure, avant de heurter probablement des rochers affleurant en raison de la faible couche de neige, estime-t-on de même source.

Les CRS de Gavarnie, en charge des secours en montagne, ont été alertés par un témoin qui a vu la glissade fatale de loin. Deux CRS, assistés d'un médecin du Samu se sont rendus auprès de la victime à bord d'un hélicoptère de la gendarmerie, mais il n'ont pu que constater le décès du skieur.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/01/14/97001-20150114FILWWW00426-un-skieur-se-tue-dans-les-hautes-pyrenees.php

En Haute-Savoie, une femme de 80 ans décède dans un incendie à Lucinges

Mardi 13 janvier, vers 20h08, une femme d'âgée de 80 ans est décédée dans sa maison ravagée par un incendie route de Chez Piulet à Lucinges. 
Les pompiers ont été appelés peu avant 20 heures pour un incendie survenu dans une maison de 60 m², située route de Chez Piulet sur la commune de Lucinges. Quand ils sont parvenus à maîtriser le sinistre, ils ont découvert le corps sans vie d'une femme de 80 ans.

Le feu s'était propagé dans toute l'habitation du sous-sol à l'étage. Il aura fallu deux lances à eau pour venir à bout des flammes.

Le fils de la victime, un homme de 60 ans, est sorti indemne de l'incendie. Il a été relogé par un voisin. Une enquête est en cours pour déterminer les origines de l'incendie

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/01/14/en-haute-savoie-une-femme-de-80-ans-decede-dans-un-incendie-lucinges-632154.html

Lot-et-Garonne : la piste du drame familial se confirme

Une semaine après ce drame qui a bouleversé la commune d'Estillac (Lot-et-Garonne), les enquêteurs de la gendarmerie de la section de recherche et de la brigade des recherches en savent un peu plus sur les circonstances du double homicide.
À partir des éléments en leur possession, les gendarmes estiment que c'est le conjoint qui a fait usage d'une arme de poing sur son épouse, avant de la retourner contre lui.
Un geste qui est à inscrire dans un contexte de séparation que le tireur supposé, quadragénaire, n'aurait pas acceptée. La thèse du drame conjugal, telle que supportée dans les premières heures après la découverte des corps des deux quadragénaires et les investigations initiales, se confirme donc.
Toutefois, et selon la formule consacrée, la justice a indiqué que l'enquête était toujours en cours dans ce dossier douloureux. Les corps des victimes ont été remis aux familles en fin de semaine dernière pour une inhumation en toute discrétion…
http://www.sudouest.fr/2015/01/14/les-circonstances-du-drame-eclaircies-1795936-3688.php

Renversé par un véhicule, il décède à l'hôpital

Renversé par un véhicule lundi vers 17 heures au croisement des avenues de Beauregard et du Maréchal-Juin à Tonneins alors qu'il circulait en fauteuil roulant, Michel Gobel, 85 ans, est décédé dans la nuit de lundi à mardi au centre hospitalier d'Agen où il avait été transféré après une admission préalable à Marmande. Des témoignages ont établi que la victime n'a pas respecté l'arrêt au croisement. Un automobiliste de 26 ans, domicilié à Tonneins, n'a pas été en mesure de l'éviter.

Mais aussi ...

Marmandais >Le camion dans la grange. Vers 9 h 30, la sortie de Longueville a été le théâtre d'un accident spectaculaire mais sans gravité. L e chauffeur du camion a été légèrement blessé. Son véhicule a fini sa course folle dans une grange qui se trouve sur la propriété du maire de la commune Guy Farbos. Auparavant, le poids lourd a parcouru une centaine de mètres, en dégradant au passage un jardin. Il a également touché un poteau d'alimentation EDF. «C'est un vrai miracle», racontait hier un témoin sur place.
Agen > Les militaires. La Police nationale a, dans le cadre du déploiement de forces militaires sur le territoire national, passé le relais de la surveillance de la synagogue d'Agen au 31e régiment du Génie de Castelsarrasin, qui est arrivé hier sur place.
Agen > Des fleurs. Geste apprécié par les fonctionnaires de police au commissariat d'Agen : des anonymes en ont franchi le seuil pour déposer des fleurs et des cartes de remerciements pour leurs actions la semaine passée lors des attentats terroristes.
Agen > Manifestants attendus. Le 10 octobre dernier, des heurts ont opposé gendarmes et agriculteurs sur le site du lycée professionnel agricole Étienne-Restat à Sainte-Livrade. Le procès de sept d'entre-eux, qui doivent répondre des violences volontaires contre les forces de l'ordre, se déroule demain au tribunal correctionnel (palais de justice) d'Agen et le syndicat Coordination rurale appelle à un rassemblement dès 13 heures. L'audience est prévue à 14 heures. Le président de la CR 47 Patrick Franken figure au rang des prévenus.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/01/14/2028654-renverse-par-un-vehicule-il-decede-a-l-hopital.html