samedi 28 février 2015

Un randonneur décède dans une avalanche

Un randonneur à ski de 62 ans est mort samedi matin dans le massif de la Chartreuse, en Isère, après avoir été emporté par une avalanche de plusieurs centaines de mètres qui s'est déclenchée à son passage.

La victime, originaire de la banlieue grenobloise, faisait partie d'un groupe de quatre randonneurs qui évoluaient en descente dans la combe ouest du Charmant Som, un sommet situé à 1600 mètres d'altitude dans le massif de la Chartreuse et qu'ils avaient tout juste gravi. L'homme, un Isérois "expérimenté et très bien équipé", notamment d'un Détecteur de victimes d'avalanches (DVA), ouvrait la voie à ses compagnons lorsqu'il a été emporté et enseveli par une coulée de neige qui l'a traîné sur "plusieurs centaines de mètres", ont indiqué les secours.

"Au cours de la descente, le groupe a rencontré un peu de brouillard. La victime s'est engagée en éclaireur et après quelques secondes, lorsque le tour des autres est venu, les trois randonneurs restant ont constaté une coulée de neige", a précisé le capitaine Laurent Jaunatre, capitaine de la CRS des Alpes, confirmant une information du Dauphiné Libéré.

Sans aucun signe de vie du sexagénaire, les trois skieurs, un couple et un médecin, décident de contacter les secours et d'engager des recherches dans l'intervalle de leur arrivée. Très rapidement, ils localisent leur compagnon "sous 1,50 mètre de neige" grâce au DVA, épaulés par un autre groupe de randonneurs, puis tentent de le ranimer en vain.

Le décès de l'homme, probablement victime d'asphyxie selon les secours, sera finalement prononcé à son arrivée au CHU de Grenoble, où il a été transporté par hélicoptère. Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur les circonstances de l'accident.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/28/97001-20150228FILWWW00092-un-randonneur-decede-dans-une-avalanche.php

Meurtre d'Aurélia Varlet à Pontarlier : la faute de l’État ?

La famille Varlet sera reçue courant mars ou début avril au ministère de la justice. La requête déposée par l’avocat Randall Schwerdorffer aurait été sérieusement examinée par les conseiller de Christiane Taubira, la ministre.
« C’est très exceptionnel », insiste l’avocat. « Que le ministère souhaite rencontrer la famille d’une victime est déjà important. Mais je serais extrêmement surpris que l’on nous fasse venir pour nous dire qu’il ne peut y avoir de responsabilité de l’état dans cette affaire. J’ose espérer que l’on aura une discussion sur les graves dysfonctionnements des services de l’état dans cette affaire ».
Le 14 août 2013, jour de l’anniversaire de Didier Grosjean, son ex-amie, Aurélia Varlet qui venait de le quitter s’est à nouveau rendue à son domicile de la Rivière-Drugeon, près de Pontarlier. Après une discussion et parcequ’elle essayait de s’enfuir, elle a été abattue de deux balles de fusil, l’une dans le dos, l’autre à la gorge.
Mais dans ce dossier, la justice ne s’est pas « éteinte » avec le geste de Didier Grosjean qui a retourné l’arme contre lui. Cette affaire ne ressemble pas à tous les drames de la séparation qui surviennent dans la rubrique des faits-divers. Et d’abord pour les quatre plaintes classées sans suite à la suite de sept années de calvaire pour l’ex-compagne de Didier Grosjean. La jeune femme, menacée, traquée, espionnée, suivie grâce à quelques complicités « techniques », avait alerté le parquet et exposé les faits dans d’innombrables courriers envoyés aux autorités. Il semble qu’aucun n’ait été pris au sérieux. La jeune femme s’en est sortie en disparaissant totalement, en changeant de voiture, de métier, de région. C’est alors qu’Aurélia est arrivée dans la vie de Didier Grosjean pour subir le même sort. Le drame s’est joué lorsqu’elle a voulu s’échapper
« Nous établissons formellement que le parquet a ordonné une perquisition chez Didier Grosjean à la suite des plaintes de l’ex-compagne. Or cette perquisition n’a jamais eu lieu. Les gendarmes auraient découvert tous les fusils que possédait illégalement Didier Grosjean. Et notamment celui qui a servi à tuer Aurélia ».
Patrick Varlet, le papa d’Aurélia et Giovanni, son frère, sont décidés à aller jusqu’au bout de cette affaire. Ils souhaitent obtenir la reconnaissance d’un dysfonctionnement des services de l’état. « Nous voulons que ces négligences soient attestées. Que l’État reconnaisse. Nous voulons surtout que la parole des femmes en danger soit prise au sérieux et surtout pas à la légère. Nous le faisons pour Aurélia, pour son honneur, pour l’honneur de toutes les femmes qui subissent des violences ».

http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/02/27/aurelia-faute-de-l-etat

vendredi 27 février 2015

Gironde : incendie mortel à Saint-Martin-du Puy

Un homme âgé de 69 ans a trouvé la mort cette nuit dans l'incendie de sa maison dans le Langonnais. Son épouse a pu s'extraire des lieux à temps.
L'incendie s'est déclaré dans la nuit de jeudi à vendredi vers 3h du matin. Cette maison isolée de Saint-Martin-du-Puy était occupée par ses propriétaires, en l'occurrence d'un coupe de ressortissants anglais.

Le couple aurait été réveillé par les odeurs de fumée. Si la femme âgée de 63 ans a pu quitter les lieux à temps, son époux en revanche a péri dans l'incendie.

D'importants moyens de pompiers ont été dépêchés sur place.

Une enquête de gendarmerie a été ouverte pour connaître les causes de cet incendie. Parallèlement une autopsie de la victime a été ordonnée par le parquet. Hospitalisée au centre hospitalier de Langon la sexagénaire devrait rapidement être auditionnée

http://france3-regions.francetvinfo.fr/aquitaine/2015/02/27/gironde-incendie-mortel-saint-martin-du-puy-664323.html

Station des Angles : une jeune femme meurt, aspirée par une déneigeuse

Terrible drame sur la station des Angles, dans les Pyrénées-Orientales : le corps d’une jeune femme de 20 ans a été découvert ce vendredi matin, comme lé révèle France Bleu Roussillon. La victime aurait été aspirée par une fraise à neige.
Pour l’heure, les circonstances de l’accident restent floues. C’est le conducteur de la déneigeuse, alerté par les ratés de l’engin, qui a retrouvé le corps coincé dans la machine.
« Elle a été prise dans la fraise à neige, gros rouleau qui aspire et recrache la neige, lors de l'opération de déneigement de la route ce matin vers 5h15 » explique le directeur de la station, Jérôme Meunier.
La jeune femme était a priori une saisonnière employée sur la station et on ignore si elle a été percutée, si elle était allongée dans la neige ou si elle était déjà décédée au passage du véhicule.
Une enquête a été confiée à la gendarmerie et le conducteur, choqué, a été pris en charge par des médecins.
http://newsletter.ladepeche.fr/Go/index.cfm?WL=43740&WS=291720_2501986&WA=9537

Française enlevée au Yémen : son père en appelle à "l'humanité" des ravisseurs

Le père d'Isabelle Prime, la Française enlevée mardi au Yémen a appelé dans un communiqué ses ravisseurs "à faire preuve d'humanité". Il affirme également "aborder cette épreuve avec confiance".
Le père de la Française Isabelle Prime, enlevée mardi au Yémen, appelle ses ravisseurs "à faire preuve d'humanité" et à la libérer, ainsi que la jeune femme yéménite enlevée en même temps qu'elle, "dans les meilleurs délais".
"Nous abordons cette épreuve avec confiance et nous nous tenons aux côtés des autorités françaises avec lesquelles nous sommes en contact permanent et dont nous savons la détermination pour permettre à notre fille de recouvrer sa liberté", ajoute Jean-Noël Prime dans un communiqué transmis jeudi à l'AFP.
"Isabelle aimait le Yémen et souhaitait poursuivre son engagement même dans des conditions difficiles", souligne M. Prime qui a appris mardi en fin de matinée l'enlèvement de sa fille et de la jeune femme yéménite qui l'accompagnait "alors qu'elles travaillaient à Sanaa sur un projet à caractère social au bénéfice du peuple yéménite". "Nous remercions les médias qui ont relayé en France et dans le monde l'émotion suscitée par cet enlèvement", conclut M. Prime dans son communiqué.
"C'est un cauchemar que je vis"
"Depuis deux jours c'est un cauchemar que je vis", a-t-il ajouté, joint au téléphone par l'AFP avant de souligner, à propos des nombreuses sollicitations médiatiques dont il a fait l'objet: "Tout le monde a été vraiment très très respectueux, ça m'a fait chaud au coeur".
Isabelle Prime, 30 ans, qui travaillait pour une société sous-traitante d'un programme en partie financé par la Banque mondiale, et son interprète yéménite Chérine Makkaoui, ont été enlevées à Sanaa par des hommes déguisés en policiers alors qu'elles se rendaient en voiture au travail, selon leur employeur.
Des chefs tribaux et des miliciens chiites houthis ont été sollicités pour obtenir la libération des deux femmes mais l'absence d'autorités légitimes dans la capitale et le départ des diplomates occidentaux compliquent les recherches. Le président François Hollande a exigé mardi que la libération de la jeune femme "intervienne dans les meilleurs délais".
 

jeudi 26 février 2015

Un homme tente de se pendre en pleine rue à Vienne

Ce jeudi 26 février, dans la nuit, un homme âgé de 42 ans a tenté de se suicider dans la rue. Il a accroché son écharpe à un panneau de signalisation. L'intervention des pompiers lui a sauvé la vie
Les faits se sont produits vers 3h30 du matin, à Vienne. Un homme âgé de 42 ans est sorti dans la rue pour tenter de se suicider. Des passants l'ont vu accrocher son écharpe à un panneau de signalisation. Prévenus aussitôt, les pompiers sont intervenus rapidement pour lui porter secours.
L'homme n'a pas été blessé mais, en grande détresse psychologique,  il a été transporté à l'hôpital à Lyon. 


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/02/26/un-homme-tente-de-se-pendre-en-pleine-rue-vienne-663289.html

Montbéliard : la jeune maman décède après un accouchement

Briss Serjam, un père de famille domicilié à Valentigney n’est ni dans l’accusation, ni dans la colère. Seulement abattu par le drame qui vient de le frapper. « C’est terrible », lâche-t-il d’une voix atone. « Mon épouse a quitté la maison en pleine forme pour aller accoucher. On me la rend morte ». Un décès qui a conduit le vice-procureur Lionel Pascal à ouvrir une enquête pour recherche des causes de la mort. Le commissariat de Montbéliard est chargé de conduire les investigations, tandis qu’une autopsie sera pratiquée vendredi. « On veut connaître les raisons et les circonstances du décès, s’il est lié à des complications, une fragilité préexistante de la parturiente ? En tout état de cause, des investigations sont à mener », expliquait hier soir le parquetier.
Fatima, 42 ans, mère de trois enfants est décédée mardi soir au centre hospitalier de Montbéliard où elle avait été transférée « après des complications » samedi.
Maman d’un garçon de 16 ans, d’une fillette de six ans, Fatima Serjam a été admise le 12 février à la clinique des Portes-du-Jura à Montbéliard pour y donner naissance à son troisième enfant. Un petit garçon né par césarienne pratiquée « en urgence » selon le père de famille. En souffrances après l’accouchement, le bébé a d’ailleurs été transféré en pédiatrie au CH de Belfort. Depuis, le nouveau né va bien. Il a rejoint le domicile familial à Valentigney. En raison de ce que nomme pudiquement Briss Serjam « des complications après la césarienne », son épouse demeure, elle à la clinique. « Elle avait de la fièvre et de violents maux de ventre ». À tel point qu’elle est transférée samedi au centre hospitalier de Montbéliard pour un scanner. L’époux est alors averti par un chirurgien que son épouse présente « une grave infection » et qu’elle va « être opérée d’urgence. L’intervention se serait bien passée sauf que des problèmes respiratoires seraient alors intervenus ». Ce nouveau décès à la suite d’un accouchement, qui survient dans un contexte médical très sensible à la clinique des Portes-du-Jura interpelle forcément la justice.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/02/25/elle-decede-apres-un-accouchement

mercredi 25 février 2015

Un Vosgien victime d'un accident mortel en Haute-Saône

Mardi soir, à Aillevillers-Lyaumont, au lieu-dit « La Branleure », un automobiliste, qui circulait à bord d’une Citroën Xsara, s’est déporté sur sa gauche pour une raison encore indéterminée. Le Vosgien, originaire de la localité voisine, Le Clerjus, a heurté de plein fouet une Fiat qui arrivait en face. Le choc a été fatal.
au conducteur de la Citroën, âgé de 64 ans. Il est décédé alors que les services de secours tentaient de le réanimer. Le conducteur de la Fiat, un homme de 56 ans, a été légèrement blessé. Il a été transporté au centre hospitalier de Vesoul par les pompiers.

http://www.estrepublicain.fr/haute-saone/2015/02/25/aillevillers-lyaumont-un-vosgien-victime-d-un-accident-mortel-en-haute-saone

Territoire de Belfort : une fillette de 2 ans tuée par la chute d'un radiateur

Belfort.- Un accident tragique s’est produit mardi matin  à Roppe, un village situé dans la périphérie de Belfort.
Une fillette de, 2 ans, jouait avec sa grande sœur de 7 ans quand le radiateur de 2,50 m de hauteur devant lequel elle était installée s’est désolidarisé du mur suite à un choc et est tombé sur le bébé.
Le papa, présent avec son épouse, a aussitôt extirpé l’enfant coincé sous le radiateur et réalisé les gestes de premiers secours tandis que les pompiers étaient appelés sur les lieux. Il était 8 h 42.

Hélismur 25 sur les lieux

Le départ d’Hélismur 25, l’hélicoptère du Smur basé à Besançon, a aussitôt été déclenché et est arrivé en un temps record à Roppe où le pilote a choisi de se poser sur l’esplanade du château Lesmann, à 300 m de la rue du Commandant-Arnaud, où la famille habitait. Il était pourtant trop tard : lorsque le médecin du Samu Belfort est arrivé sur les lieux, l’enfant, gravement touchée à la tête, était en arrêt cardiorespiratoire. En dépit des tentatives de réanimation, son décès a été constaté.
Le temps que le maire Louis Heilmann se rende du lieu de l’atterrissage de l’hélicoptère à la rue du Commandant-Arnaud, les secours ne pouvaient plus rien faire. La maman et la sœur aînée avaient déjà été transportées à l’hôpital de Belfort par les pompiers où elles ont été prises en charge par une cellule médico-psychologique. Le papa a suivi dans la matinée. Le mariage du couple avait été célébré à Roppe il y a tout juste un an...
Une autopsie de la petite fille sera réalisée à l’Institut médico-légal de Besançon dans les jours prochains. Une enquête a été ouverte par le parquet de Belfort pour déterminer les circonstances exactes de la mort. Dans l’appartement dont les parents étaient locataires, un technicien d’investigation criminelle est venu faire des relevés en même temps que les gendarmes de la brigade de proximité de Belfort commandés par le capitaine Pax, réalisaient les constats d’usage. Il a fallu quatre personnes pour transporter le radiateur qui s’est transformé, en quelques secondes, en instrument de tragédie familiale.
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2015/02/24/un-radiateur-tombe-et-tue-une-fillette-de-2-ans

mardi 24 février 2015

Val d'Oise : un policier fauche et tue un cycliste

Un policier de la brigade anticriminalité (BAC) du Val-d’Oise a été mis en examen hier pour homicide involontaire après la mort d’un cycliste, dans la nuit de samedi à dimanche

Ce fonctionnaire âgé d’une trentaine d’années a percuté la victime en rentrant chez lui après son service. Il est aussi soupçonné d’avoir pris la fuite après cet accident survenu alors qu’il avait consommé de l’alcool.

Une petite route de campagne à 5 h 30 du matin. Le fonctionnaire de la BAC nuit s’engage sur la D 28.C’est là qu’il fauche avec son véhicule personnel la victime qui remontait du village d’Ableiges vers le hameau de la Villeneuve-Saint-Martin où il réside. « Je crois que j’ai tué quelqu’un… » confie le policier à sa compagne. Elle décide aussitôt d’alerter les gendarmes compétents sur ce secteur rural du Val-d’Oise. Une patrouille découvre le corps sans vie du cycliste de 32 ans sur le bord de la route.

Un choc particulièrement violent

Le policier est placé en garde à vue par les gendarmes de Marines. Au cours d’une première audition, il aurait expliqué avoir poursuivi sa route après un choc, avant d’indiquer, dans un second temps, s’être arrêté sur le bord de la route mais n’avoir alors rien vu. Le conducteur présentait également une alcoolémie supérieure à celle autorisée.

Hier soir, Yves Jannier, le procureur de la République, a ouvert une information judiciaire pour homicide involontaire, mais aussi délit de fuite et conduite sous l’emprise d’un état alcoolique. « Le cycliste portait un gilet jaune réfléchissant et son vélo était doté d’un éclairage à l’avant et à l’arrière », précise le magistrat qui évoque également un choc particulièrement violent ayant provoqué un enfoncement important de la carrosserie de la voiture.

« J’ai requis le placement sous mandat de dépôt du policier. Le juge des libertés et de la détention a décidé de le placer sous contrôle judiciaire. » Le fonctionnaire de la BAC a fait l’objet d’une mesure de suspension administrative.
http://www.leparisien.fr/faits-divers/val-d-oise-un-policier-fauche-et-tue-un-cycliste-24-02-2015-4555499.php

Théo Romera, 16 ans, se tue à moto en rentrant du lycée

Un nouvel accident mortel de la circulation s'est produit hier soir à Pomas et a coûté la vie à un jeune qui a percuté une voiture de plein fouet alors qu'il circulait en moto sur la «traverse» Pieusse-Pomas.
Un nouveau drame de la route est survenu, hier soir, vers 19 heures à Pomas, sur la départementale 504, surnommée «la traverse» qui va de Pieusse à Pomas. Elle a coûté la vie au jeune Théo Romera qui a perdu le contrôle de sa moto de petite cylindrée et a percuté de plein fouet une voiture qui arrivait en face. Selon les premiers éléments dont nous disposons, l'adolescent s'est soudainement déporté vers le côté gauche de la chaussée et n'a pas pu éviter le véhicule. Le choc fut évidemment violent et à leur arrivée sur place les secours, pompiers et équipe médicale du Smur ont constaté que la victime avait perdu connaissance et se trouvait en arrêt cardio-respiratoire. Durant plus d'une demi-heure, les médecins ont tenté de ramener le malheureux garçon à la vie sans malheureusement y parvenir. Son casque a été retrouvé à plusieurs mètres de lui quand les secours sont arrivés et l'on ignore pour l'heure s'il s'est décroché, s'il n'était pas attaché ou si, tout simplement, il ne portait pas. D'autre part, les dépistages des gendarmes quant à la consommation de drogue ou d'alcool se sont révélés négatifs pour la victime comme pour l'automobiliste. Le mystère est donc entier quant au pourquoi de la perte de contrôle de sa moto de petite cylindrée. Le jeune homme, selon nos informations, rentrait du lycée, l'institution Saint-François à Limoux, et regagnait son domicile de Cornèze où il habitait avec sa maman quand s'est produit l'accident. Le garçon originaire de Pomas avait perdu son papa, boulanger au village de Pomas, François Romera, au mois d'avril 2014 et était membre d'une grande famille du Limouxin. Il comptait de nombreux copains et amis, était adepte de sports mécaniques.
La gendarmerie a ouvert une enquête pour déterminer les causes de ce nouveau drame qui, une fois encore, frappe une jeune victime et, évidemment, sa famille.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/24/2054928-theo-romera-16-ans-trouve-mort-hier-soir-moto-pomas.html

lundi 23 février 2015

Suisse: Deux morts dans le crash d’un avion

Deux personnes sont mortes dans l'accident d'un avion biplace qui s'est produit lundi après-midi à Yverdon-les-Bains (canton de Vaud), selon la police cantonale vaudoise. Les deux personnes à bord étaient des pilotes expérimentés.
Le monomoteur s'est écrasé peu après son décollage de l'aérodrome d'Yverdon-les-Bains
Les pilotes habitaient Genève et dans ses environs. Les causes de l'accident ne sont pour l'heure pas connues.
http://www.20minutes.fr/societe/1547659-20150223-suisse-deux-morts-crash-avion

Double homicide à Lingolsheim : une marche blanche en hommage aux victimes

350 personnes ont participé dans le recueillement à une marche blanche ce dimanche après-midi à Lingolsheim, en hommage à une jeune femme et à son bébé tués vendredi 13 février
Le meurtrier présumé de sa compagne et de leur dernier-né, un bébé de deux mois, a été mis en examen et placé en détention provisoire samedi 14 février. Il a été mis en examen pour double homicide volontaire, double tentative d'homicide volontaire et menaces de mort sur fonctionnaires de police. Il risque la réclusion criminelle à perpétuité, "dans la mesure où les meurtres sont sur son enfant et sur son conjoint", avait précisé M. Hauger, substitut du procureur. L'homme avait déjà été condamné pour vol, violences sur fonctionnaires de police, ainsi que pour de nombreuses infractions routières.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2015/02/22/double-homicide-lingolsheim-une-marche-blanche-en-memoire-aux-victimes-660293.html

Essonne : il se saisit d’un couteau sur l’étal d’un boucher et tue un homme

Un drame s’est produit dimanche après-midi sur le marché de la Patte d’oie, à Vigneux-sur-Seine, dans l’Essonne. Un homme d’une trentaine d’années a porté un coup de couteau mortel à un autre homme après s’être emparé de son arme sur un étal de boucher. Il a été interpellé et placé en garde à vue.
Les circonstances de ce fait-divers restent encore floues. Il était environ 15 heures quand un homme s’est saisi d’un couteau sur le stand d’un boucher situé sous la halle couverte. Pour une raison inconnue, l’individu a porté un coup à un autre homme, sous l’oreille. L’agresseur s’est ensuite débarrassé du couteau et a attendu sagement que les forces de l’ordre viennent l’interpeller. Lors de son arrestation, il tenait des propos incohérents et avait un comportement étrange. La victime a quant à elle succombé sur les lieux. « Ils semblaient fréquenter tous les deux le marché. Nous ne savons pas s’ils se connaissaient », a commenté une source proche de l’enquête.
Placé en grade à vue, l’agresseur devait être soumis à une expertise psychiatrique. Une autopsie du corps de la victime doit être réalisée ce lundi. L’enquête a été confiée aux enquêteurs du commissariat de Draveil.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/23/2054476-essonne-saisit-couteau-etal-boucher-tue-homme.html

dimanche 22 février 2015

Une femme se jette du phare du Cap Ferret

Une femme de 41 ans s'est tuée, dimanche après-midi, en se jetant du haut du célèbre phare du Cap Ferret sur le Bassin d'Arcachon (Gironde), a annoncé à l'AFP la gendarmerie. Selon un porte-parole de la gendarmerie de Gironde, les gendarmes arrivés sur les lieux ont trouvé sur le corps de la victime les clefs de sa voiture et ont découvert peu après dans le véhicule "une lettre expliquant son geste". La gendarmerie n'a pas souhaité en révélé la teneur.

Les pompiers avaient été alertés par un appel peu après 14h00 "pour se porter au secours d'une femme ayant chuté d'une grande hauteur" depuis le phare situé sur la commune de Lège-Cap Ferret (Gironde). "Leurs tentatives de réanimation de la victime sur les lieux ont été infructueuses", a indiqué un porte-parole du Service départemental d'Incendie et de Secours de la Gironde.

Le célèbre phare du Cap Ferret constitue l'une des principales attractions touristiques du Bassin d'Arcachon. L'ouvrage construit en 1840 et haut de 53 mètres, surplombe toute la presqu'île, et offre un point de vue panoramique sur le bassin d'Arcachon, l'Ile aux Oiseaux, la dune du Pilat et les passes d'entrée vers l'océan. Pour accéder au sommet du phare, il faut gravir 258 marches.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/22/97001-20150222FILWWW00190-une-femme-se-jette-du-phare-du-cap-ferret.php

Une jeune femme succombe dans l'incendie de son appartement à Sainte-Marie-de-Cuines en Savoie

Une jeune femme de 19 ans a perdu la vie dimanche 22 février dans l'incendie de son appartement situé à Sainte-Marie-de-Cuines en Savoie.
Intoxiqué, un homme de  60 ans a été hospitalisé

L'alerte a été donnée vers 6 heures ce dimanche matin. Une vingtaine de pompiers sont intervenus sur l'incendie mais il était trop tard pour une jeune femme de 19 ans. Un autre habitant, un homme de 60 ans, a été intoxiqué par les flammes et transporté à l'hôpital de Saint-Jean-de Maurienne.
Une enquête de gendarmerie est en cours. L'origine du sinistre pourrait être un problème électrique.


http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/2015/02/22/une-jeune-fille-succombe-dans-l-incendie-de-son-appartement-saint-marie-de-cuines-en-savoie-660389.html

Hommage aux victimes de l'incendie : 150 personnes à la marche blanche

Une marche blanche a été organisée, hier matin, à Lavelanet, en mémoire des trois personnes décédées lors du violent incendie qui, dans la nuit du 3 au 4 septembre 2014, a ravagé la pension de famille de la Croix-Rouge.
Sous la pluie, quelque 150 personnes ont participé, hier matin, à la marche blanche en hommage aux trois victimes qui ont perdu la vie lors de l'incendie qui a ravagé la pension de famille, dans la nuit du 3 au 4 septembre 2014. La structure, gérée par la Croix-Rouge Midi-Pyrénées, abritait des personnes isolées, en situation d'insertion, d'exclusion ou de précarité.
À l'heure fixée, des amis, des rescapés du drame, de simples citoyens, se sont réunis devant le Casino, pour un départ groupé derrière les familles des victimes, vers la pension de famille, du moins ce qu'il en reste. Dans les mains, des roses rouges, jaunes, roses, blanches.
En tête du cortège, les enfants, jusqu'aux abords du lieu du drame où Gilbert Ferrier, Frédéric Amiot, et Dominique Monnery ont succombé. À l'approche du lieu du drame, une structure toujours marquée par les ravages de l'incendie, l'émotion monte d'un cran.
Initiatrice de cette marche blanche, la famille de Gilbert Ferrier est devant. Céline, Sophie, Julie, Caroline se serrent encore plus fort. Juste derrière, Francis, le frère. Le cortège s'arrête à quelques mètres de l'entrée de la pension de famille.

Recueillement digne

Un silence écrasant, des dizaines de personnes se figent. Un recueillement digne, fait de simplicité, de discrétion, de sensibilité. Un coussin de fleurs est déposé, des bougies sont allumées, les roses vont au sol ou sont accrochées au grillage. Puis c'est le retour vers le lieu de départ où des remerciements sont adressés aux participants, à la municipalité de Lavelanet, à sa police, aux gendarmes.

Un soulagement de pouvoir faire le deuil

Pour les familles, si ce n'est la fin d'un cauchemar, c'est un soulagement de pouvoir faire le deuil, «mais la perte d'un père dans des conditions horribles ne pourra jamais s'effacer», soulignent les quatre filles de Gilbert Ferrier, réconfortées par la présence du bon nombre de participants à la marche blanche.
Les obsèques de Gilbert Ferrier, Frédéric Amiot et Dominique Monery ont été célébrées hier après-midi.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/22/2053836-hommage-victimes-incendie-150-personnes-marche-blanche.html

samedi 21 février 2015

Hérault : un homme meurt dans un accident de voiture à Murles

Un accident a eu lieu, vendredi soir, à Murles dans le canton des Matelles (Hérault). Le passager du véhicule, âgé de 30 ans, est décédé. Le conducteur, âgé de 23 ans, est en état de choc mais indemne. Les gendarmes en charge de l'enquête restent prudents sur les circonstances de l'accident.
L'accident s'est produit entre Saint-Martin-de-Londres et Saint-Gély-du-Fesc. Un homme âgé de 30 ans est décédé dans la soirée de vendredi. Il était le passager d'un conducteur de 23 ans qui était également son employé. Le véhicule est tombé dans un fossé.
Prudence sur les circonstances de l'accident

Joint par téléphone, l'un des gendarmes de la brigade de Saint-Gély-du-Fesc, appelé sur les lieux en tant qu'enquêteur, a indiqué qu'il procédait à l'exploitation de témoignages et à des constatations sur le véhicule. Les circonstances ne sont pas encore connues.

Le conducteur pas encore interrogé

Les gendarmes doivent encore entendre des témoins. Le conducteur du véhicule n'a lui-même pas encore été entendu. Sous le choc, il a été conduit dans un service de réanimation après son accident.

Le dépistage d'alcoolémie du conducteur n'a rien révélé. La prise de sang de l'homme de 23 ans révélera s'il était sous l'emprise de produits stupéfiants.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/languedoc-roussillon/2015/02/21/herault-un-homme-meurt-dans-un-accident-de-voiture-murles-659989.html

Le bras sectionné par le tram

L'accident est survenu vers 0h15, entre les stations République et Gallia. D'après les premiers éléments de l'enquête, la jeune femme zigzaguait sur la piste cyclable longeant les voies de tram de l'avenue de la Marseillaise, lorsqu'elle a percuté l'avant de la rame. Le conducteur du tramway, qui circulait à une vitesse d'environ 20 km/h sur un tronçon limité à 30km/h, a entrepris un freinage d'urgence.
Coincée sous la rame, la cycliste âgée d'une vingtaine d'années était encore consciente à l'arrivée des sapeurs-pompiers. Ces derniers ont ordonné au conducteur d'effectuer une manoeuvre de rebroussement afin de pouvoir la dégager. C'est alors que la victime a perdu connaissance et fait un arrêt cardio-respiratoire.
La jeune femme, dont le bras a été sectionné, a pu être réanimée sur place par le médecin du Samu. Elle a été évacuée dans un état grave au CHU de Strasbourg-Hautepierre.
Une enquête de police est en cours pour déterminer les circonstances exactes de l'accident. D'après la Compagnie des transports strasbourgeois (CTS), aucune faute ne serait imputable au conducteur de la rame. Le contrôle d'alcoolémie auquel les policiers l'ont soumis s'est révélé négatif.
http://www.dna.fr/edition-de-strasbourg/2015/02/21/le-bras-sectionne-par-le-tram

vendredi 20 février 2015

Disparition de la directrice de Vulcania : "un suicide probable

Le corps de la directrice de Vulcania a été retrouvé mercredi soir à côté de sa voiture. Les premiers résultats de l'autopsie effectuée ont permis d'écarter la piste criminelle.
 
A l'issue de près d'une semaine de recherches, le corps de la directrice de Vulcania a été retrouvé jeudi au pied d'une falaise, à une quarantaine de kilomètres de Clermont-Ferrand. Une autopsie réalisée jeudi a permis d'écarter l'hypothèse criminelle.
Selon les premiers éléments rapportés par le quotidien La Montagne, "la piste du suicide semble la plus probable". L'autopsie de la directrice de Vulcania "a conclu à l'absence d'élément troublant ou suspect", a précisé jeudi le procureur Pierre Sennès.
Le décès "est consécutif à une chute importante, comme le laissaient supposer les constatations faites" mercredi, lors de la découverte du corps au pied de la falaise de la Dent du Marais, au Chambon-sur-Lac.
Pour les résultats des analyses toxicologiques, il faudra encore patienter quelques jours. L'hypothèse d'un accident de randonnée n'est toujours pas exclue

ATTENTAT DE CHARLIE HEBDO. Les parents de la première victime honorent la mémoire de leur fils dans le Jura

Agent de maintenance, Frédéric Boisseau s’était retrouvé par hasard dans les locaux de Charlie Hebdo le 7 janvier dernier. Il a été le premier à tomber sous les balles des frères Kouachi.
La victime avait prévu un séjour en famille dans le haut-Jura pour les vacances d’hiver. Afin de saluer sa mémoire, ses parents, Michel et Annie Boisseau, se sont rendus à Saint-Claude avec les enfants de Frédéric, âgés de 11 et 13 ans, ainsi que leur mère.
Ils ont skié dans le secteur de Lamoura. Une façon de resserrer les liens et rendre hommage à celui qui, à défaut d’être un caricaturiste, fut toute sa vie durant un «humaniste
http://www.leprogres.fr/jura/2015/02/19/les-parents-de-la-premiere-victime-honorent-la-memoire-de-leur-fils-dans-le-jura

jeudi 19 février 2015

Un nouveau-né défenestré, la mère suspectée

Un nouveau-né a été retrouvé mort au pied d'un immeuble à Strasbourg, dans la nuit de mercredi à jeudi, et sa mère est soupçonnée de l'avoir jeté par la fenêtre peu après l'accouchement, a-t-on appris de sources proches du dossier.

La femme était en pleine hémorragie quand les secours, alertés par une passante qui avait retrouvé le bébé, ont frappé à sa porte du troisième étage de l'immeuble, a précisé cette source, confirmant une information des Dernières nouvelles d'Alsace.

La femme, handicapée mentale, a été hospitalisée et devrait être soumise à une expertise lorsque son état de santé le permettra, a ajouté une autre source proche du dossier.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/19/97001-20150219FILWWW00372-un-nouveau-ne-defenestre-la-mere-suspectee.php

Une marche blanche en hommage aux trois victimes

Samedi, à 10 heures, une marche blanche en hommage aux trois victimes de l'incendie de la pension de famille partira du Casino, se dirigera vers l'établissement, où des fleurs seront déposées, puis retournera au point de départ. Rappel des faits. Dans la nuit du 3 au 4 septembre 2014, vers 3 heures, un violent incendie se déclarait dans un immeuble construit sur pilotis géré par la Croix-Rouge de Lavelanet. La structure, neuve, inaugurée juste un an avant, proposait vingt logements occupés par des travailleurs sociaux. Une violente explosion, provoquée par le feu d'une voiture qui s'est propagé à une autre fonctionnant au GPL, stationnée sur le parking situé sous l'immeuble, embrasait toute une aile de la structure, sur deux étages. Malgré l'intervention immédiate de dizaines de sapeurs-pompiers et celle des locataires qui avaient pu s'extraire et s'étaient munis d'extincteurs, l'incendie avait déjà tué.
Dans les décombres, trois corps étaient retrouvés, dirigés vers les services de l'identification. Ce drame avait provoqué la consternation en pays d'Olmes et au-delà. Les trois victimes sont maintenant identifiées, il s'agit de Gilbert Ferrier, 57 ans ; Frédéric Amiot et Dominique Monnery. Pour Céline Ferrier, c'est l'aboutissement de près de six mois d'une attente insoutenable. «Perdre son papa dans ces conditions atroces, c'est terrible ; on y pense sans arrêt, on éprouve une douleur effroyable, qui ne s'estompe pas. On a souffert six mois dans l'attente du rendu de l'identification, ç'a été très long. Mais aujourd'hui on nous a rendu mon père, on peut faire le deuil, on peut lui faire une sépulture comme à une personne normale, estimée et honnête, une sépulture digne. Mon père n'était pas un cas soc'; ça, je ne l'accepte pas.»
Avec l'identification terminée et les funérailles, comme les familles des deux autres victimes, Céline et la sienne pourront retrouver un peu de paix. Mais la douleur persiste. «Depuis ce drame, il manque une partie de nous, c'est très important de faire cette marche blanche». Un appel est lancé.
 

Disparition : le corps de la directrice de Vulcania retrouvé

Le corps de Catherine Damesin a été retrouvé mercredi auprès de sa voiture. Elle était portée disparue depuis dimanche et a été retrouvée à une quarantaine de kilomètres de Clermont-Ferrand.
Le corps et la voiture de Catherine Damesin, la directrice de Vulcania portée disparue depuis dimanche, ont été retrouvés ce mercredi. Selon France Bleu Pays d'Auvergne, elle a été retrouvé à côté d'une Renault Megane blanche sur le parking du lac Chambon, au pied du massif de Sancy, à une quarantaine de kilomètres de Clermont-Ferrand.
"Ce soir Vulcania est en deuil", a indiqué mercredi soir le président de Vulcania, Jean Mallot, dans un communiqué. "Face à cette tragédie, nos pensées se tournent d'abord vers la famille de Catherine et tous ses proches dont nous partageons la douleur", a ajouté Jean Mallot qui a fait part de son "immense tristesse" ainsi que celle de "l'ensemble du personnel de Vulcania".
Aucune précision n'a pour l'heure été faite sur l'éventualité d'un suicide. "Il faut attendre l'autopsie demain (jeudi) pour une conclusion définitive" a ajouté le parquet restant prudent concernant l'hypothèse d'un suicide.
Un appel à témoins
Catherine Damesin aurait quitté vers 10H30 son domicile clermontois dimanche pour aller randonner, seule, dans le secteur du col des Goules, à proximité du parc dédié aux volcans et aux sciences de la Terre qu'elle dirige près de Clermont-Ferrand. Elle n'a plus donné signe de vie depuis.
"Le dernier contact établi avec elle est un sms anodin échangé avec un proche datant de dimanche en fin de matinée", avait précisé mardi Laure Lehugeur, procureur adjoint. Son téléphone a été coupé depuis, rendant impossible sa géolocalisation. "On a interrogé sa famille, ses proches pour connaître son emploi du temps, ses endroits de prédilection", a par ailleurs souligné Pierre Sennès.

mercredi 18 février 2015

Intoxication au monoxyde de carbone à Bernaville (Somme) : un mort et deux blessés graves

Une intoxication au monoxyde de carbone dans une maison de Bernaville dans la Somme a fait un mort et trois blessés dont deux graves. L'intervention des secours était toujours en cours ce mercredi 18 février à 17 heures. 
Les équipes de secours interviennent depuis 15 heures environ ce mercredi 18 février dans une maison située au 23 rue Delcourt, à Bernaville dans la Somme, après l'intoxication au monoxyde de carbone de ses occupants.

Un homme de 85 ans est décédé. Trois autres personnes blessées dont deux grièvement ont été transportées à l'hôpital d'Amiens sud.

Selon les premiers éléments de l'enquête, un véhicule serait resté en marche dans le garage de l'habitation. Le monoxyde de carbone se serait alors répandu dans le logement. Il pourrait s'agir d'un oubli accidentel selon les gendarmes

http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/2015/02/18/intoxication-au-monoxyde-de-carbone-bernaville-somme-un-mort-et-deux-blesses-graves-658059.html

Toulouse : un homme armé d'une pelle décède sur le périphérique après son arrestation

Un homme de 37 ans est décédé sur le périphérique toulousain hier, en fin d'après-midi, à la suite d'un malaise cardiaque. Muni d'un outil de chantier ressemblant à une pelle, il venait d'être repéré, à pied, par les agents des ASF sur la bretelle 17, sortie Lasbordes, vers 16 h 20. C'est son comportement qui a attiré l'attention des agents
Visiblement agité, cet homme avait un comportement jugé inquiétant au passage des automobilistes. Alertés par les ASF, des policiers se sont rendus sur les lieux. Lors de l'interpellation de cet homme très excité, ce dernier aurait été victime d'un malaise cardiaque foudroyant.
Des médecins du Samu 31 ainsi que les pompiers ont tout tenté pour réanimer l'individu. En vain. Une autopsie doit être pratiquée pour déterminer les causes exactes de la mort. Hier soir, un magistrat du parquet s'est rendu sur les lieux.

Très excité

Peu de temps auparavant, la victime avait quitté sa voiture au péage du Palays, sur l'autoroute A61, à Ramonville. C'est au moment de payer qu'il s'est extrait de son véhicule. Il a continué à pied en longeant le périphérique toulousain.
Au cours de sa déambulation, il s'est emparé d'un outil de chantier, a priori d'une pelle, récupérée sur une zone en travaux. Arrivé à hauteur de la sortie 17, direction Lasbordes, le piéton agité se fait repérer par les agents des ASF, surpris de voir un individu à cet endroit. Face au danger qu'il pouvait encourir, les policiers prévenus se sont déplacés sur les lieux pour tenter de le mettre en sécurité et de l'éloigner des voies rapides. Lors de l'interpellation, l'homme, visiblement dans un état second, est apparu très excité avant de perdre connaissance, victime d'un malaise.
Ce trentenaire souffrait de graves troubles psychiatriques. Une enquête a été ouverte.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/18/2051545-toulouse-un-homme-decede-sur-le-peripherique-apres-son-arrestation.html

mardi 17 février 2015

Un SDF décède dans l'incendie d'un cabanon

Un sans-abri roumain âgé d'une quarantaine d'années est décédé hier soir dans l'incendie d'un cabanon dans lequel il avait trouvé refuge à Noisy-le-Sec (Seine-Saint-Denis), a-t-on appris aujourd'hui de sources concordantes.
Le quadragénaire se trouvait en compagnie d'un autre sans-domicile fixe lorsque le cabanon, situé près d'une voie ferrée, a pris feu, peu avant minuit, a précisé une source policière.

Son compagnon d'infortune "est sorti en courant pour prévenir les secours", mais lorsque ces derniers sont arrivés, "la victime était déjà morte", a raconté cette source. "Il a été retrouvé entièrement carbonisé", a précisé une source proche de l'enquête. La police judiciaire de Seine-Saint-Denis est chargée de l'affaire.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/17/97001-20150217FILWWW00109-un-sdf-decede-dans-l-incendie-d-un-cabanon.php

30 000 personnes rassemblées en hommage aux victimes

21H10 : La chef du gouvernement danois Helle Thorning-Schmidt a affirmé lundi soir que toute attaque contre les Juifs du Danemark était une attaque contre le pays tout entier, lors d’une manifestation en hommage aux victimes des attaques du week-end. «Je veux dire ce soir à tous les Juifs danois: vous n’êtes pas seuls», a-t-elle lancé devant les quelque 30 000 personnes rassemblées, soulignant qu’"une attaque contre les Juifs du Danemark (était) une attaque contre le Danemark».

20H39 :  Quelque 30 000 personnes étaient rassemblées lundi soir à Copenhague pour rendre hommage aux victimes des attaques.
17 H 30 : L’artiste suédois Lars Vilks, cible présumée d’une des deux fusillades à Copenhague, est parti vivre dans un lieu tenu secret, a annoncé la police suédoise lundi. «Son domicile à Höganäs (sud de la Suède) n’est pas un endroit où il est en sécurité. Et il doit aller dans un lieu sûr», a déclaré une porte-parole des forces de l’ordre, Ewa-Gun Westford, au sujet de cet artiste qui vit sous protection policière depuis qu’il a caricaturé le prophète Mahomet avec un corps de chien.

15 H 40 : des dizaines de bouquets déposés là où le tueur présumé a été abattu ont constaté les journalistes de l'AFP sur place.

15 H 05 : la chef du gouvernement danois Helle Thorning-Schmidt a invité lundi ses compatriotes juifs à ne pas suivre l’appel de son homologue israélien Benjamin Netanyahu à émigrer, affirmant que le pays avait besoin d’eux. "Nous ne serions pas les mêmes sans la communauté juive", a déclaré Mme Thorning-Schmidt.
12 H 05 : les deux suspects étaient déférés devant un juge lundi en fin de matinée. Plus tôt, Michael Juul Eriksen, l’avocat de l’un d’entre eux, avait précisé qu’ils n’étaient "pas inculpés de terrorisme mais de complicité, soupçonnés d’avoir aidé l’auteur (des attaques) à faire disparaître une arme et à se procurer une cachette". Selon lui, ces deux hommes d’une vingtaine d’années plaident non coupable. L’identité des deux hommes est protégée par le secret de l’instruction. D’après le quotidien Ekstra Bladet, ils sont tous deux d’origine étrangère.
11 H 50 : la police a confirmé lundi que deux hommes étaient inculpés de complicité avec l’auteur présumé des attaques à Copenhague. "Les deux hommes sont inculpés de complicité", a indiqué un porte-parole de la police, Steen Hansen, refusant de détailler les éléments à charge.
10 H 37 : quand le nom et la photo de l’auteur présumé du double attentat de Copenhague ont été publiés par les médias danois, Julie, 20 ans, a reconnu son camarade de lycée Omar al-Hussein, qui lui avait porté secours lorsqu’elle a été renversée par une voiture, fin 2013. Trois jours après l’accident, le jeune homme avait poignardé le passager d’un train de banlieue de Copenhague.
"Je suis profondément émue et choquée. Je n’aurais jamais cru que le terroriste serait un camarade de promotion. Que ce serait ce garçon qui m’a aidée, le jour où j’ai été renversée devant l’école", raconte cette jeune habitante de la banlieue de Copenhague. "Ce garçon à qui j’ai dit qu’il était quelqu’un de bien, et qui trois jours après a poignardé quelqu’un dans le S-tog (le RER de Copenhague, ndr) et est maintenant le responsable de ces horribles et terrifiantes attaques", raconte-t-elle.
La jeune femme a côtoyé Omar en 2012-2013 au VUC Hvidovre, un établissement lycéen et d’enseignement supérieur dans le sud-ouest de Copenhague, où ils suivent un cursus lycéen accéléré de deux ans, au lieu des trois habituels. Selon le proviseur du lycée, Peter Zinkernagel, interrogé par la télévision publique danoise DR, "c’était un élève doué et talentueux".
Le jeune homme habitait dans le quartier métissé de Nørrebro, se souvient Julie. "Il avait parfois un comportement assez agressif, mais sinon il était gentil et très intelligent. Il avait de bonnes notes à l’école, avait des amis et était bon camarade", raconte-t-elle, en se souvenant qu’"il s’entraînait dans la cour, il était costaud".
Né au Danemark, le jeune homme est d’origine palestinienne, selon des médias danois. Yeux marrons, cheveux noirs, des vêtements "un peu moulants, très normaux", il parlait bien danois, mais aussi arabe, selon Julie. "Quand j’ai été renversée, il a couru jusqu’à moi et m’a aidée à me ramener au lycée", se rappelle la jeune femme.
Trois jours plus tard, Omar el-Hussein, qui selon des sources policières citées par des médias danois était lié à des bandes délinquantes de la capitale danoise, poignarde plusieurs fois à la jambe un jeune homme de 19 ans, à la station Ny Ellebjerg. Selon DR, il avait alors été exclu du lycée. "Je l’ai vu ce jour là, c’est la dernière fois que je l’ai vu. Déjà à ce moment-là, j’étais très choquée, je n’en revenais pas, je n’y croyais pas", se souvient Julie.
"La police ne l’a pas retrouvé tout de suite, mais plus tard dans une maison dans laquelle il était rentré par effraction". Le jeune homme écope de deux ans de prison, dont il serait sorti il y a deux semaines seulement, selon la presse danoise.
"Au départ, je le voyais comme une bonne personne avec un cœur bon, parce qu’il m’avait aidé. Et puis ensuite j’apprends qu’il a fait du mal à quelqu’un et maintenant ça. C’est impossible de réaliser", dit cette jeune Danoise aux longs cheveux noirs, dont le père, d’origine pakistanaise, est musulman et la mère chrétienne.
Elle a demandé que son nom de famille ne soit pas publié. "Musulman ou non, cela n’a pas beaucoup d’importance aujourd’hui. On est tous Danois", insiste celle qui se définit comme "un mélange de musulmane et de chrétienne". "Soyons tous ensemble, car c’est ensemble que l’on est le plus fort", a écrit la jeune fille sur son compte Facebook au lendemain des attentats.
9 H 46 : les deux hommes ont été arrêtés dimanche. La police, qui quadrille la capitale danoise depuis samedi, est toujours à la recherche de témoins afin de déterminer le trajet exact de l’auteur des attentats et d’appréhender d’éventuels complices. Elle a notamment réalisé un raid contre un cyber-café dans le quartier de Nørrebro, où le criminel présumé a été abattu par la police.
9 H 21 :la police de Copenhague a annoncé lundi avoir placé en détention deux hommes qu’elle soupçonne de complicité avec l’auteur présumé des attaques dans la capitale danoise. "Les deux hommes sont soupçonnés d’avoir aidé l’auteur" des attentats, a écrit la police dans un communiqué, précisant qu’ils allaient être déférés devant un juge lundi matin.
6 H 49 : selon les médias danois, le tueur présumé a été identifié comme Omar El-Hussein. L’homme, âgé de 22 ans, a été abattu dimanche vers 4 heures GMT par des policiers sur lesquels il avait ouvert le feu dans le quartier populaire de Nørrebro.
Il est soupçonné par la police d’être l’auteur des deux fusillades samedi et dimanche qui ont tué deux civils et blessé cinq policiers.
La première attaque, au fusil-mitrailleur, a eu lieu samedi vers 15 heures GMT dans un centre culturel où avait lieu un débat sur l’islamisme et la liberté d’expression. Y assistait le caricaturiste suédois Lars Vilks qui faisait l’objet de menaces et agressions depuis la publication en 2007 d’un de ses dessins représentant le prophète Mahomet avec un corps de chien. Le réalisateur Finn Nørgaard, 55 ans, qui se trouvait dans l’assistance, est mort atteint au thorax par une des dizaines de balles que l’assaillant a eu le temps de tirer, avant de fuir en voiture. Trois policiers ont été blessés en s’interposant.
La seconde attaque a eu lieu à l’extérieur de la grande synagogue après minuit (23 heures GMT). Dan Uzan, un juif de 37 ans, qui montait la garde pour protéger les dizaines d’invités d’une bar mitzvah, a été tué. Deux policiers ont également été blessés.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/02/16/attaques-de-copenhague-interrogations-sur-le-tueur-presume

lundi 16 février 2015

Val d'Oise : émotion après la mort de Laura, renversée par un train

Beaucoup ne pouvaient retenir leurs larmes. Bouquets de fleurs à la main, des dizaines d'habitants de Presles (Val d'Oise) sont venus toute la journée, hier, rendre hommage à Laura, 14 ans. L'adolescente est décédée samedi après-midi après avoir été heurtée par un train à hauteur du passage à niveau situé aux abords de la gare de cette commune de 3 700 âmes
Le drame est survenu peu après 17 h 30, alors que Laura rentrait du stade de Presles avec trois amis. Elle a traversé la voie pour récupérer un ballon de foot qui lui avait échappé. Les deux barrières du passage à niveau étaient alors abaissées et les signaux sonores et lumineux activés. Elle a été percutée par un train de la ligne H, qui ne faisait pas de halte en gare de Presles. Elle est décédée sur le coup.

Une cellule psychologique installée à la mairie

Très choqués, quatre amis de Laura ont été pris en charge par les secours et la cellule psychologique mise en place en mairie. Ils ont été rejoints quelques minutes plus tard par la famille de l'adolescente.

Quant aux 210 passagers du train, ils ont été évacués dans un premier temps et conduits dans un gymnase mis à la disposition de la municipalité. Des bus ont ensuite été affrétés par la
SNCF afin de leur permettre de poursuivre leur voyage. Le trafic ferroviaire a repris normalement au cours de la soirée.

Depuis l'annonce du décès de la collégienne, les témoignages de soutien à sa famille se multiplient à Presles et sur les réseaux sociaux. « Repose en paix Laura. Tu étais une fille super gentille... », a écrit dès samedi soir Laure, sur Twitter. « Grosse pensée à Laura Dupuis, partie trop tôt », a ajouté Jérémy quelques instants plus tard.

Hier matin, les habitants venus lui rendre hommage décrivaient une adolescente « très attachante ». « Elle était très polie et très gentille », explique un riverain de son quartier, situé à deux pas de la gare. Beaucoup évoquent également une jeune fille passionnée de sport, et surtout de
football . Laura, qui avait été élue au conseil municipal des enfants, était inscrite en 4e au collège Cécile-Sorel de Mériel. Elle avait auparavant suivi sa scolarité à Presles, à l'école du Nantouillet.
« Toute la commune est sous le choc », confiait hier le maire (UMP) de Presles, Pierre Bemels, proche de la famille de Laura. L'élu, particulièrement affecté par le drame, dit « réfléchir » à la façon dont la ville rendra hommage à l'adolescente. « Je ne veux pas qu'elle soit oubliée


http://www.leparisien.fr/presles-95590/val-d-oise-emotion-apres-la-mort-de-laura-renversee-par-un-train-16-02-2015-4538337.php

Hautes-Alpes : un des deux randonneurs disparus retrouvé mort

L'un des deux randonneurs en raquette disparus depuis dimanche dans les Hautes-Alpes a été retrouvé mort lundi après-midi enseveli sous une avalanche, annoncent les CRS de Briançon.
L'homme de ce couple âgé de 52 ans a été retrouvé vers 14H40 à environ 2.400 mètres d'altitude, sous le col Perdu, dans le massif du Queyras. Il a été emporté par une avalanche de plaque de près de 300 mètres de large à son point de départ.
"Les recherches continuent pour retrouver sa femme", ont annoncé les CRS de Briançon, unité de police spécialisée dans les secours en montagne. Les recherches sont rendues particulièrement compliquées en raison des risques de nouvelles avalanches. Les secouristes doivent se relayer par petits groupes pour sonder l'avalanche qui atteint par endroit plus de 2,50 mètres de profondeur.
Risque d'avalanche très élevé
Le risque d'avalanche était évalué lundi au niveau 4 sur une échelle de 5 dans le massif du Queyras, selon Météo France. Le couple avait entamé leur randonnée dimanche depuis le hameau de Laus, à 1.745 mètres d'altitude, sur la commune de ervières, près de Briançon (Hautes-Alpes). Alertés à minuit, les CRS de Briançon avaient lancé des premières recherches durant la nuit.
Le véhicule des deux disparus a été retrouvé sur un parking du Laus, point de départ de plusieurs itinéraires de randonnée. Selon La Provence, les secouristes ne savent pas quel chemin ils ont emprunté. Dix-sept secouristes, dont un maître chien, étaient encore mobilisés sur les recherches lundi matin.
Les chutes de neige, qui ont commencé dimanche après-midi, rendent impossibles les reconnaissances en hélicoptère. Seules des équipes à pied ont donc été engagées pour tenter de retrouver les disparus.

Un homme de 43 ans se tue dans une sortie de route

Hier, peu après 17 heures, un homme a perdu le contrôle de son véhicule, sur un des chemins de Sainte-Gemme-Martaillac. Après une sortie de route, le véhicule est allé percuter un arbre. Un choc violent qui a découpé le pavillon de la voiture. La victime — un homme de 43 ans, habitant sur la commune, au lieu-dit «Garreau» — a été éjectée à plusieurs mètres du véhicule. C'est le neuvième décès sur les routes du Lot-et-Garonne depuis le début de l'année.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/16/2050277-un-neuvieme-mort-sur-les-routes.html

dimanche 15 février 2015

Meurthe-et-Moselle : une partie de l'A31 coupée après un accident mortel ce matin

Un choc entre un véhicule léger et un poids lourd a fait un mort ce dimanche matin sur l’A31, dans le sens Nancy-Metz, annonce Bison futé.
L’accident a eu lieu vers 5h à proximité de Lesménils en Meurthe-et-Moselle (au sud de Metz).
La route a immédiatement été coupée et une déviation est mise en place par la RD910, la RD955 et la RN431 afin de rejoindre l’A31 au niveau de Fey.

  http://www.estrepublicain.fr/actualite/2015/02/15/meurthe-et-moselle-une-partie-de-l-a31-coupee-apres-un-accident-mortel-ce-matin

La police de Copenhague dit avoir abattu l'auteur des deux attaques

Un homme juif a été tué vers 1h du matin près de la synagogue de Copenhague lors d'une fusillade. Une vaste chasse à l'homme avait été déclenchée et la police dit avoir tué l'auteur des deux attaques.
La police a abattu un homme dimanche matin à Copenhague quelques heures après deux fusillades qui ont fait deux morts et cinq blessés dans la capitale danoise. L'homme abattu venait d'ouvrir le feu sur les forces de l'ordre, a précisé la police, qui "cherche désormais à savoir si la personne pourrait être derrière les fusillades" de samedi dans un centre culturel et près de la synagogue de Copenhague.

L'échange de coups de feu entre l'homme et la police a eu lieu dans le quartier populaire de Noerrebro, où les autorités avaient placé un logement sous surveillance. "A un moment donné, une personne qui pourrait être en lien avec l'enquête est arrivée sur place", a expliqué la police. Quand les agents l'ont apostrophé, "il a ouvert le feu". Aucun policier n'a été blessé. Dans la nuit de samedi à dimanche, la police avait affirmé ne pas être en mesure d'établir de lien formel entre les deux attaques de samedi.

Samedi vers minuit, des coups de feu ont retenti près de la synagogue de Copenhague. Une personne a été blessée à la tête et est morte des suites de ses blessures, un policier a été blessé à la jambe et un autre au bras. "La police était déjà sur place. Une personne est arrivée et a commencé à irer", a déclaré le porte-parole de la police Allan Teddy Wadsworth-Hansen, précisant que la vie des policiers n'était pas en danger. Il a refusé de préciser si le civil décédé avait un lien avec la synagogue. Les forces de l'ordre ont diffusé dans la soirée une photo, apparemment prise dans un parking, d'un homme vêtu d'une doudoune foncée et d'un bonnet ou d'une cagoule bordeaux, avec un signalement: 25 à 30 ans, environ 1,85 m, athlétique. Des secteurs de la capitale danoise ont été bouclés mais "il ne s'agit pas d'un couvre-feu général. Les gens peuvent se déplacer dans Copenhague, en sécurité", a affirmé le porte-parole.
 
Lors de la première attaque, vers 16h, un homme a criblé de balles un centre culturel où se tenait un débat sur l'islamisme et la liberté d'expression, faisant un mort dans l'assistance, un homme âgé de 55 ans, et blessant trois policiers. Après la première fusillade, la chef du gouvernement danois, Helle horning-Schmidt, a dénoncé "un acte de violence cynique" et estimé que "tout porte à croire que la fusillade (...) était un attentat politique et de ce fait un acte terroriste". Paris a immédiatement condamné "avec la plus grande fermeté" cette "attaque terroriste". Washington a évoqué une attaque "déplorable" et proposé d'apporter son aide à l'enquête.
Joint par l'AFP, l'ambassadeur de France au Danemark François Zimeray a décrit un assaut brutal sur le centre culturel, au sein duquel se trouvait notamment l'artiste et caricaturiste suédois Lars Vilks, qui a été l'objet de plusieurs menaces et d'agressions depuis la publication à l'été 2007 d'un dessin représentant le prophète Mahomet avec un corps de chien. "Ils nous ont tiré dessus de l'extérieur. C'était la même intention que (l'attaque contre) Charlie Hebdo sauf qu'ils n'ont pas réussi à entrer", a-t-il déclaré, alors qu'il se trouvait encore sur les lieux une heure après l'attentat.

L'attaque par deux jihadistes français contre l'hebdomadaire satirique Charlie Hebdo, le 7 janvier à Paris, a fait 12 morts. Les assaillants avaient pénétré dans la salle de rédaction et y avaient ouvert le feu, avant de tuer un policier dans leur fuite. Deux jours plus tard, un homme lié aux deux jihadistes avait pris en otage plusieurs personnes dans une supérette cacher à Paris, faisant quatre morts dans la communauté juive.
  http://lci.tf1.fr/monde/europe/les-danois-sous-le-choc-apres-une-2eme-attaque-cette-nuit-contre-8564595.html

samedi 14 février 2015

EN DIRECT- Tirs à Copenhague lors d'un débat sur la liberté d'expression : un mort, Cazeneuve attendu sur place

Des dizaines de coups de feu ont été tirés samedi vers le bâtiment où se tenait à Copenhague une conférence baptisée "Islam et liberté d'expression". L'ambassadeur de France a tweeté être vivant. Le Suédois Lars Vilks qui dessine Mahomet était également présent, ainsi qu'une Femen.
"Still alive in the room" : le tweet de l'ambassadeur français fait froid dans le dos. Tout autant que les multiples impacts de balles visibles sur l'une des fenêtres. Des dizaines de tirs ont été entendus samedi à l'extérieur d'un bâtiment de Copenhague qui accueillait un débat baptisé "Islam et liberté d'expression", auquel participait notamment l'ambassadeur de France, François Zimeray, ont annoncé les médias danois.
Le Suédois Lars Vilks auteur de caritures de Mahomet était également présent. Il avait suscité la controverse en 2007 par des dessins du prophète Mahomet sous les traits d'un chien. Des menaces avaient été proférées par des groupes islamistes. Depuis, l'artiste fait l'objet d'une surveillance rapprochée pour sa sécurité.
Une personne aurait été tuée selon la police danoise. Trois policiers ont été blessés dans la rue en tentant de protéger les lieux, ont indiqué les médias danois, citant des témoins de la scène. La police a confirmé la fusillade et indiqué que les suspects s'étaient enfuis à bord d'une voiture.
Le récit glaçant de l'ambassadeur
"Ils nous tiré dessus de l'extérieur. C'était la même intention que Charlie Hebdo sauf qu'ils n'ont pas réussi à entrer", a déclaré ensuite à l'AFP l'ambassadeur François Zimeray, joint alors qu'il se trouvait encore sur les lieux.  "Intuitivement je dirais qu'il y a eu au moins 50 coups de feu, et les policiers ici nous disent 200. Des balles sont passées à travers les portes et tout le monde s'est jeté à terre", a-t-il raconté.
"On a réussi à s'enfuir de la pièce, et là on reste à l'intérieur car c'est encore critique. Les assaillants n'ont pas été attrapés, ils peuvent très bien être encore dans le quartier", a expliqué François Zimeray. "Il y avait plusieurs dizaines de personnes" dans la salle, a écrit sur Twitter une militante de Femen qui assistait au débat, Inna Shevchenko. 


 http://lci.tf1.fr/monde/europe/copenhague-tirs-lors-d-un-debat-sur-la-liberte-d-expression-avec-8564518.html

Deux accidents de la circulation dans l'Allier : un mort et deux miraculés

Vers 2 heures du matin, ce samedi 14 février, un véhicule avec deux passagers à bord perd le contrôle sur la RD953 au niveau de Saint-Menoux (03) et percute une habitation. Le conducteur, un homme de 44 ans, est tué sur le coup. Son passager, de 19 ans, blessé sera évacué sera évacué sur le centre hospitalier de Moulins.

Plus tôt dans la soirée, à 21h30, c’est sur la RCEA cette fois-ci qu’un accident s’est produit. Une voiture tente de doubler un camion et s’aperçoit qu’un autre poids lourd arrive en sens inverse. Le conducteur freine, tente une manœuvre pour se recaler derrière le camion qu’il était en train de doubler. Il le percute et est à son tour percuté par le poids lourd arrivant en face.

La voiture est entièrement détruite et les secours s’apercevront que les deux passagers du véhicule ne sont que très légèrement blessés. Un miracle, selon les gendarmes présents sur les lieux.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/2015/02/14/deux-accidents-de-la-circulation-dans-l-allier-un-mort-et-deux-miracules-655389.html

Collision bus-voiture à Dorlisheim: un mort

Les sapeurs-pompiers du Bas-Rhin indiquent ce matin être intervenus hier soir, peu après 22h30, à Molsheim, rue de la Commanderie, pour un grave accident de la circulation. Une collision entre un bus affrété par la SNCF et une voiture a en effet fait une victime de 72 ans. Cet homme était en arrêt cardio-respiratoire à l'arrivée des secours, et à été dégagé de a voiture. Dans le bus, deux passagers sont indemnes, mais une jeune fille de 19 ans a dû être prise en charge parce que choquée par l'accident. Le conducteur du bus est lui aussi indemne.
http://www.dna.fr/actualite/2015/02/14/collision-bus-voiture-a-molsheim-un-mort

Drame familial: l'autopsie confirme le double infanticide et le suicide

Au lendemain du drame qui a décimé toute une famille (voir notre édition d'hier), semant incompréhension et consternation dans la vallée des Gaves, l'autopsie pratiquée sur les corps de Jonathan et Alexandre, ainsi que de leur père Fabrice Dudillot a permis de confirmer la thèse du double infanticide et du suicide. «C'est la même arme de chasse qui a tué les deux enfants et leur père, celle retrouvée sous le corps de M. Dudillot, confirme la procureure de la République de Tarbes, Chantal Firmigier-Michel. Trois douilles ont été retrouvées. Les impacts sont à chaque fois situés sur le haut du corps. L'autopsie révèle également que les enfants ont été tués dans les positions dans lesquelles ils ont été retrouvés dans leur lit par les gendarmes .» Des éléments qui indiquent que les enfants ont très vraisemblablement été tués dans leur sommeil, alors que les coups de feu aient été tirés en tout début d'après-midi ce jeudi.

Analyses toxicologiques

Quelques instants plus tard, c'est un des deux frères aînés qui donnera l'alerte, après avoir découvert la maison fermée de l'intérieur et vu des traces de sang à travers la fenêtre. «Les résultats des analyses toxicologiques doivent permettre de déterminer si les enfants se sont endormis naturellement après le repas ou du fait de l'absorption de substances.»
La journée d'hier a été consacrée aux auditions de la famille et des voisins. «Elles ont confirmé que ce couple était en état de séparation, poursuit Mme Firmigier-Michel. Une situation que le père de famille vivait très mal. Mais les auditions ont aussi montré que personne ne pouvait imaginer une telle issue.» Pour l'heure, aucun écrit pouvant expliquer cet acte n'a été retrouvé au domicile. Les enquêteurs doivent mener de nouvelles investigations sur place, pour essayer d'apporter des réponses aux tourments de cette famille martyrisée.
http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/14/2049137-l-autopsie-confirme-le-double-infanticide-et-le-suicide.html

vendredi 13 février 2015

Une femme et un bébé tués dans un appartement près de Strasbourg

Un homme a tué une femme et un bébé vendredi dans un appartement près de Strasbourg, avant de blesser d'un coup de couteau l'un des policiers intervenus sur les lieux, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.
Les secours avaient dans un premier temps été alertés pour des violences à l'encontre d'un enfant de 12 ans, qui avait trouvé refuge chez un voisin dans ce petit immeuble de la commune de Lingolsheim, au sud de Strasbourg, ont indiqué les pompiers.
Lors de l'intervention, un homme est sorti de l'appartement et s'est jeté sur un policier, lui portant un coup de couteau au visage, a précisé une source policière, ajoutant que l'agresseur avait ensuite été arrêté.
Dans l'appartement, les pompiers ont indiqué avoir retrouvé une femme et un bébé d'un an morts, mais aussi une fille de deux ans indemne.
La fillette, ainsi que l'enfant de 12 ans et le policier blessé ont été évacués vers un hôpital à Strasbourg, ont ajouté les pompiers.
Le maire de Lingolsheim, Yves Bur, a évoqué sur France Bleu Alsace un "drame au sein d'une famille recomposée".
http://www.lepoint.fr/societe/une-femme-et-un-bebe-tues-dans-un-appartement-pres-de-strasbourg-13-02-2015-1904927_23.php

Limoges: un détenu se pend dans sa cellule

Un détenu de la maison d'arrêt de Limoges a été retrouvé pendu avec un câble de télévision dans sa cellule ce matin vers 8 heures, a-t-on appris auprès du Parquet de Limoges et de la police, confirmant une information du quotidien Le Populaire.

L'homme, âgé de 50 ans, était encore vivant lorsqu'il a été découvert par un surveillant prenant son service. Ce dernier a immédiatement prévenu les secours qui l'ont ranimé sur place et transporté aux urgences du CHU de Limoges, où il est décédé peu après son arrivée.

"Cet homme était mis en examen dans le cadre d'une affaire de viol et violences commis contre son ex-compagne", a expliqué le Procureur de la République, Michel Garrandaux. "L'instruction touchait à son terme, mais avec son suicide l'action publique s'éteint", a-t-il ajouté, précisant que, selon la procédure, "une autopsie sera effectuée par le service médico-légal."

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/13/97001-20150213FILWWW00160-limoges-un-detenu-se-pend-dans-sa-cellule.php

Hautes-Pyrénées : un père tue deux de ses enfants avant de se suicider

U n père de famille a tué deux de ses enfants avant de mettre fin à ses jours jeudi dans les Hautes-Pyrénées dans ce qui semble être un drame familial de séparation, a-t-on appris de source judiciaire.
"Nous sommes en présence de trois corps à l'étage de la maison, le père et ses deux enfants les plus jeunes (sur quatre). L'un est né en 2003 et le second en 1999", a indiqué par téléphone le procureur de la République, Chantal Firmigier-Michel, qui se trouvait sur place à Argelès-Gazost.

Il tue ses deux enfants de 12 et 16 ans

Un premier balayage de caméra sur la scène montre que "le père aurait donné la mort à ses deux enfants et se serait ensuite donné la mort avec une arme de gros calibre qui se trouverait sous son corps", a précisé la magistrate. Sur les circonstances du drame qui se serait déroulé "en tout début d'après-midi", Mme Firmigier-Michel a déclaré qu'il y avait "un contexte de séparation" du couple. Une autopsie sera pratiquée vendredi tandis que l'enquête va d'abord commencer auprès des proches des victimes.
L'épouse absente
L'épouse était partie de la maison pendant une semaine, amenant le mari à demander le lancement d'un avis de recherche. Cette dernière "n'est pas encore au courant de l'ampleur du drame", a ajouté le procureur. Quant aux deux autres enfants, "il n'y a pas de problème", a ajouté la magistrate. Selon le quotidien régional La Dépêche du Midi, la femme de 38 ans aurait disparu fin janvier à la suite d'un "différend familial" avant de réapparaître le 28
http://www.midilibre.fr/2015/02/12/hautes-pyrenees-un-pere-tue-deux-de-ses-enfants-avant-de-se-suicider,1123955.php

jeudi 12 février 2015

Tragique accident à Voutezac en Corrèze : deux morts

Le conducteur d'une voiture a perdu le contrôle ce soir avant de venir s'encastrer dans un arbre.
Le bilan fait état de deux personnes décédées. D'après les premiers éléments, une vitesse excessive serait à l'origine de l'accident.
Le conducteur et le passager du véhicule sont décédés. Les deux hommes étaient originaires d'Allassac

http://france3-regions.francetvinfo.fr/limousin/accident

Pays basque : une septuagénaire tuée dans un accident de la route

Un accident impliquant deux voitures est survenu ce jeudi matin à 8h30 sur la D20 (la route entre Ainhoa et Espelette) , sur la commune de Souraïde. La collision a eu lieu au col de Pinodieta
Une femme de 72 ans est décédée des suites de ses blessures. Une seconde personne impliquée dans l'accident, une jeune femme de 22 ans, a été choquée psychologiquement mais son état n'a pas nécessité de transport à l'hôpital.
Les sapeurs-pompiers des casernes de Saint-Pée-sur-Nivelle et Cambo-les-Bains sont intervenus sur les lieux.
http://www.sudouest.fr/2015/02/12/accident-en-cours-entre-ainhoa-et-espelette-1828527-4073.php

Guyane : premier cas de chikungunya décédé

Une femme guyanaise d'une quarantaine d'années est décédée après avoir contracté le virus du chikungunya en Guyane, a rapporté hier l'Agence régionale de santé (ARS).
Le décès remonte à la nuit de samedi à dimanche dernier, au cours d'une évacuation sanitaire vers Fort-de-France en Martinique, a précisé hier l'ARS.
Il s'agit, note un communiqué commun de l'ARS et de la préfecture, du "premier décès" causé par "l'épidémie de chikungunya" qui sévit dans ce département français d'Amérique du Sud.
La personne décédée ne présentait "pas d'antécédents particuliers" poursuit le communiqué.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/02/12/97001-20150212FILWWW00036-guyane-premier-cas-de-chikungunya-decede.php

mercredi 11 février 2015

Le patron historique de l’abbaye des Sept-Fontaines meurt dans une grande précarité

U n homme bon », « un amoureux des bêtes », « un excellent cuisinier », « un très bon cavalier ». Ceux qui, ce mardi matin, ont appris la funeste nouvelle, n’avaient que des compliments à adresser à feu Michel Nicolle, 57 ans, disparu dans son sommeil quelques heures plus tôt. « J’ai travaillé avec lui à Fagnon de 2001 à 2011, je n’ai jamais eu aucun souci. Jamais un mot plus haut que l’autre. C’est quelqu’un que j’appréciais », confie cet ancien cuisinier. « Il était affable, sympathique, témoigne Patrick Manil, son premier avocat. C’était vraiment un gentil garçon. »
C’est son épouse Christine qui a découvert le décès de son mari, vers 4 heures, mardi matin. Son décès serait dû à un malaise cardiaque. Les secours arrivés sur place n’ont rien pu faire. Ceux qui le connaissaient bien ont retracé le parcours de cet Ardennais pure souche, né à Rethel un demi-siècle plus tôt. Dans les années 80, premier fait d’armes, avec la reprise de l’hôtel-restaurant Le Moderne, situé devant la gare de Rethel.

« Son bonheur lui a été volé »

Quinze ans plus tard, il rachetait au Crédit Agricole, qui le tenait du prince de Mérode, l’abbaye des Sept Fontaines. Là où Charles de Gaulle aimait chasser jadis, un golf avait vu le jour en 1986. Michel Nicolle le géra, puis le fit passer de 9 à 18 trous. Un investissement qui allait devenir un gouffre financier, avec une dette cumulée de 1,9 million d’euros fin 2013.
La reprise par Jean-Loup Petin, il y a moins d’un an, aurait dû être une délivrance. Ce fut le contraire. L’entrepreneur parisien n’a pas payé ce qu’il devait au couple Nicolle (près de 400 000 euros), plongeant celui-ci dans les difficultés. « Cet homme avait un rêve : acheter un bateau de 15 mètres aux Pays-Bas et faire de la navigation fluviale, atteste son ami Christian Chardon. Il voulait partir avec sa femme et leurs deux chiens. Mais il n’a pas pu le faire, car Petin ne lui a jamais payé ce qu’il lui devait. Son bonheur lui a été volé. »
Avocat des Nicolle, Ahmed Harir était mardi à l’aube aux Sept Fontaines. « Ces derniers temps, Michel Nicolle était très fatigué et éprouvé par la tournure de la procédure avec Jean-Loup Petin. Cela l’avait beaucoup affecté. » Les conditions matérielles du couple étaient devenues très dures. « Les Nicolle vivaient dans les combles du club-house de l’abbaye, sans chauffage car Jean-Loup Petin l’avait fait couper. Il leur était même interdit d’utiliser les douches de l’abbaye ! », révèle l’avocat, qui promet de « tout faire pour que la veuve de M. Nicolle obtienne justice »...
Selon des proches, il faisait à peine dix degrés chez Michel Nicolle cet hiver, alors que ce dernier souffrait de problèmes pulmonaires. Ses intimes se consolent en témoignant que le navigateur sans bateau est parti dans son sommeil, et qu’au moment de son ultime traversée, les traits de son visage étaient « paisibles ». Ses obsèques auront lieu samedi, à 14 h 30, à l’église Saint-Nicolas de Rethel.
http://www.lunion.com/region/le-patron-historique-de-l-abbaye-des-sept-fontaines-meurt-ia3b25n488963

Accident mortel à Wihr-au-Val

Un automobiliste a fait une sortie de route peu après minuit sur la départementale 417 à Wihr-au-Val, près de Wintzenheim. Le conducteur, âgé d'une trentaine d'années, était originaire de Herrlisheim-près-Colmar. Sa voiture a percuté un arbre, il a été tué sur le coup.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alsace/2015/02/11/accident-mortel-wihr-au-val-653179.html

Dordogne : un patron de restaurant meurt dans un incendie à Creysse

Il s'appelait Frédéric Fontenel et tenait le restaurant Le Pécharmant, à Creysse près de Bergerac. Ce mercredi matin, il est décédé dans l'incendie de sa maison, sise Chemin des alouettes. Âgé d'une quarantaine d'années, il était père de deux enfants
Selon les premiers éléments recueillis sur place, l'homme s'apprêtait à quitter le domicile au volant de sa voiture, peu avant 9 heures, lorsqu'un voisin lui signala que de la fumée se dégageait du toit de sa maison. Frédéric Fontenel serait alors rentré chez lui, mais il n'est jamais ressorti.
http://www.sudouest.fr/2015/02/11/dordogne-un-patron-de-restaurant-meurt-dans-un-incendie-a-creysse-1827495-1814.php

RHÔNE. Nouveau suicide à l’hôpital du Vinatier

Trois suicides et une agression en quinze jours. Les drames se succèdent au sein de l’établissement de Bron. L’infirmier qui avait tenté de sauver une patiente du suicide le 1er février, s’est donné la mort dimanche
Trois suicides et une agression en quinze jours. Les drames se succèdent au sein de l’établissement de Bron. L’infirmier qui avait tenté de sauver une patiente du suicide le 1er février, s’est donné la mort dimanche.
Les personnels des trois hôpitaux psychiatriques du Rhône – le Vinatier, Saint-Jean-de-Dieu et Saint-Cyr-au-Mont-d’Or – manifesteront ce jeudi matin à Lyon pour dénoncer des conditions de soins et de travail de plus en plus dégradées.  

http://www.leprogres.fr/rhone/2015/02/10/nouveau-suicide-a-l-hopital-du-vinatier

mardi 10 février 2015

Ervillers : une femme meurt dans l'incendie de sa maison

L'incendie a eu lieu ce lundi vers 12 h 30. Arrivés sur place à Ervillers, les pompiers ont découvert le corps sans vie d'une femme de 86 ans. Agricultrice à la retraite selon La Voix du Nord, elle vivait au rez-de-chaussée de cette maison.
Les pompiers ont découvert sur place une bouteille de gaz, ce qui a obligé à beaucoup de prudence et précautions lors de leur intervention.  On ignore pour l'instant les causes de cet incendie. Un poêle à charbon pourrait en avoir été le déclencheur

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/2015/02/09/ervillers-651827.html

Villeurbanne : un septuagénaire tue son épouse malade puis tente de se suicider

Ils étaient fatigués de la vie et allaient prendre une autre voie. C’est en substance ce qu’a écrit un Villeurbannais de 75 ans, qui, ce week-end, a tué son épouse malade puis tenté de mettre fin à ses jours.
Samedi à quatre heures du matin, il a envoyé un mail à leur fils unique, qui vit dans le Maine-et-Loire. Mais lorsque celui-ci l’a lu, vers 8 heures, il était déjà trop tard. Il a aussitôt appelé le commissariat de Villeurbanne, situé à deux pas de l’appartement de ses parents, situé 19 rue Docteur-Rollet.
Les policiers n’ont eu aucune peine à entrer dans l’appartement. Le vieil homme avait confié une clé à la gardienne, et laissé la porte d’entrée entrebâillée. Dans la chambre, les policiers ont découvert le septuagénaire, grièvement blessé à la tête, gisant sur le lit et, à ses côtés, le corps sans vie de son épouse et une carabine 22 LR.
Le blessé, dans un état critique, a été conduit à l’hôpital Édouard-Herriot, puis transféré à l’hôpital neurologique.
http://www.leprogres.fr/rhone/2015/02/09/villeurbanne-un-septuagenaire-tue-son-epouse-malade-puis-tente-de-se-suicider