vendredi 30 septembre 2016

Haute-Savoie: chute mortelle d'un nourrisson

Un nourrisson a fait une chute mortelle aujourd'hui dans le massif de la Tournette à Montmin (Haute-Savoie), rapporte Le Dauphiné. L'enfant était avec son père en randonnée lorsqu'il a chuté pour une raison pour le moment indéterminée.
Son père s'est jeté à son tour pour tenter de rattraper l'enfant. Les secours n'ont malgré tout pas réussi à réanimer l'enfant, mort d'un arrêt cardiaque traumatique, affirment nos confrères.

Un hélicoptère a été dépêché sur place. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie d'Annecy.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Perpignan : leur nouveau-né est mort après une bagarre familiale

Un jeune couple dénonce les violences qu'il aurait subies de ses proches et qui auraient causé un accouchement prématuré.
"Que ce soit le cinquième, le sixième ou le dixième, c'était toujours notre enfant. Un morceau de notre chair. C'est très dur. On a le cœur brisé". La détresse est perceptible dans le récit de ce jeune couple issu de la communauté gitane, qui tient à témoigner aujourd'hui de la querelle qui gronde depuis longtemps au sein de leur propre famille et qui a viré au drame à la fin de l'été. Avec la mort de leur nouveau-né causé, selon eux, par les violences qui leur auraient été infligées et pour lesquelles ils ont déposé plainte auprès des services de police

Les circonstances de l'affaire demeurent encore bien obscures, les versions divergent et des investigations doivent être menées pour dissiper les zones d'ombres. Toutefois, selon les déclarations, consignées sur procès-verbaux, de Moïse et de son épouse Romina, tout aurait débuté le 24 août dernier vers minuit. Une bagarre aurait éclaté quand les parents du mari, son frère et sa belle-sœur auraient débarqué à leur domicile, quartier Saint-Mathieu, à Perpignan. "Dans la soirée, on s'était déjà disputé au téléphone. Parce que mon frère violentait sa compagne qui a 16 ans. Il l'aurait brûlée avec des cigarettes, lui aurait donné un coup de tête et il l'aurait séquestrée à la maison quand il sortait en emportant la clé. Moi, je n'aime pas ça. J'avais dit à ma mère que si je voyais ces choses-là, je serai obligé d'aller au commissariat pour dire qu'il maltraitait cette gamine. J'avais déjà signalé cette situation. Et là, ma famille est venue chez nous pour nous dire de nous mêler de nos affaires".
Le couple aurait ainsi été violenté. Notamment Romina, alors enceinte de 7 mois et demi, qui aurait subi les assauts des quatre opposants. "Ils lui ont tiré les cheveux, donnés des coups de pied et de poing. Ils l'ont menacée avec un tournevis devant nos enfants de 10, 6, 7 et 4 ans, raconte Moïse. On a décidé de tous descendre dans la rue pour que les voisins voient ce qui nous arrivait. Et ça a continué...".
"On vit dans la peur"
L'alerte est finalement donnée auprès du Samu qui transporte la jeune femme de 27 ans jusqu'au centre hospitalier. Or, au moment de repartir, elle est prise de fortes contractions. Au petit matin, elle met au monde une petite fille. L'enfant est viable, respire, mais succombe moins d'une heure plus tard. "Les médecins ont dit que son décès était dû à un accouchement prématuré et au fait que le bébé était en état de choc, parce qu'il a ressenti ce qui est arrivé, ajoutent les parents. On attend que la justice s'occupe de ce dossier, qu'un procès ait lieu le plus rapidement possible. Aujourd'hui, on vit dans la peur. On est tous suivi par un psychologue. On reste enfermés chez nous, on n'ose pas sortir, ni emmener les enfants à l'école. On aimerait bien aussi qu'ils aient une vie normale".
Mais comment peut-on en arriver là avec ses proches ? "Jusque-là on se parlait normalement avec mes parents. Mais il y a de vieilles histoires. Mon père est venu avec un fusil chargé il y a 5 ou 6 ans et il voulait mettre une balle dans le ventre de ma femme pour la faire accoucher", explique Moïse. "En fait, de chaque côté dans nos familles, personne n'a jamais voulu que l'on soit ensemble. On est cousins germains, mais on s'aimait trop. Et on a fait un mariage comme il faut, avec le mouchoir, la virginité...", termine Romina qui a fugué à 16 ans pour rejoindre son futur époux. Le père de ses quatre enfants et de la petite dernière, morte à la naissance. Dans la violence.

http://www.lindependant.fr/2016/09/30/leur-nouveau-ne-est-mort-apres-une-bagarre-familiale,2264446.php

Les habitants sous le choc après la mort suspecte d'une retraitée à Reims

Dans la résidence où vivait la retraitée retrouvée morte, mercredi matin, toutes les conversations tournent autour du drame. Et l’angoisse monte
« Les gens ne parlent que de ça. Il y en a qui ont peur. » Le gardien de la résidence de l’avenue d’Épernay où vivait la septuagénaire retrouvée sans vie, mercredi matin, essaie d’être à l’écoute des habitants du mieux qu’il le peut ; tout en soutenant son épouse, qui peine à se remettre de sa macabre découverte. « Elle a craqué ce matin (ndlr : jeudi). Elle est partie acheter ses médicaments », nous confiait-il jeudi, encore bouleversé par ce drame, dont on ignore toujours les circonstances. L’enquête pour meurtre ouverte et confiée au Service régional de police judiciaire (SRPJ) de Reims devrait permettre d’y voir plus clair.

« On n’est pas bien depuis »

Toujours est-il que pour l’heure, les voisins de la malheureuse s’interrogent : qu’a-t-il bien pu arriver à cette femme sans histoires, retraitée de l’Éducation nationale, qui vivait paisiblement à quelques mètres de chez eux ? Michel, qui habite au 3 e  étage avec sa femme, croisait régulièrement la victime. « Quand je suis arrivé ici il y a cinq ans, on s’est rendu compte qu’on se connaissait. On s’était côtoyés au lycée rémois dans lequel je travaillais comme chef cuisiner. Elle était professeur d’allemand et documentaliste, me semble-t-il. Depuis, on discutait comme ça. Elle me racontait qu’elle allait en Allemagne, souvent en Forêt Noire. En Autriche, aussi. Je ne sais vraiment pas ce qui a pu se passer. » Si Michel parvient à faire face, son épouse, elle, a plus de mal à retrouver ses esprits. « Ça m’a fait quelque chose. On n’est pas bien depuis », lâche-t-elle, les traits tirés. « Quand elle s’en allait, elle fermait ses volets. Cette fois, on a remarqué qu’ils étaient ouverts. On s’est demandé pourquoi. Pour nous, c’était parce qu’il y avait eu du vent. »
C’est en apercevant la police par sa fenêtre, mercredi matin, que le couple a compris qu’il se passait quelque chose. « Mais on n’avait pas du tout pensé à ça. » Michel a appris la mauvaise nouvelle en croisant, un peu plus tard, la gardienne en allant faire ses courses. « Il y avait un petit attroupement qui discutait de ce qui s’était passé. C’est comme ça que j’ai su. »
Gisèle, qui habite dans une autre partie de l’immeuble depuis 6 ans, est elle aussi sous le choc, même si elle ne se souvient pas avoir déjà vu la victime. « Les policiers m’ont montré une photo d’elle, m’ont demandé si j’avais entendu des cris. Je ne la connaissais pas. Mais avec la proximité, ça touche forcément. Même si on a déjà une porte blindée, ça fait réfléchir. » D’autant que la résidence sécurisée est, selon elle, « calme ». « Il n’y a que des appartements habités par une ou deux personnes, et peu d’enfants. Ce sont beaucoup de retraités. (…) C’est un drôle de destin… »
http://www.lunion.fr/812274/article/2016-09-29/les-habitants-sous-le-choc-apres-la-mort-suspecte-d-une-retraitee-a-reims

jeudi 29 septembre 2016

Jeumont : un jeune rider BMX entre la vie et la mort

Un jeune homme de 17 ans est entre la vie et la mort, après avoir fait un accident de BMX mercredi après-midi à Jeumont. Vers 16h20, l'adolescent qui roulait dans le bois du site de Watissart a violemment percuté un arbre, dans des circonstances qui restent à déterminer.
A l'arrivée des secours, il était insconscient et saignait d'une oreille. Il a été transporté par hélicoptère vers le CHR de Lille, avec le pronostic vital engagé.
Il roulait sur un BMX sans frein, et ne portait pas de casque.

Une enquête est ouverte pour faire la lumière sur les causes de cet accident

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

Accident mortel : l'urgentiste salue les ouvriers

Khaled Ouabbache, médecin urgentiste au centre hospitalier de Lavaur, est intervenu avec son équipe lors de l'accident mortel qui a coûté la vie à un enfant de 5 ans, lundi soir, à Lavaur. Des ouvriers portugais engagés pour la saison des pommes ont joué un rôle majeur avant leur arrivée.
Il témoigne : «Je souhaite saluer la disponibilité et le courage de ces ouvriers. Ils nous ont apporté une aide précieuse tout au long de l'opération de secours. Il y en a un qui s'est enfoncé tout seul dans le noir pour atteindre la voiture. D'autres ont dégagé les branches et tracer un passage. Ils ont formé ensuite une chaîne humaine pour nous permettre d'atteindre le véhicule. Ces gars-là, ils ont pris des risques, compte tenu de la verticalité de la rive. Ils ont toute ma gratitude et celle de tous les intervenants
http://www.ladepeche.fr/communes/lavaur,81140.html

Le disparu des Auxons (25) retrouvé mort à côté de la gare

Disparu depuis samedi soir, de la commune des Auxons, où il aurait pris un train pour Besançon, Bernard Perpignaa, 70 ans, a été retrouvé ce mercredi en milieu d’après-midi. Décédé malheureusement, sa dépouille a été découverte à proximité de la gare TGV, sans que l’on sache depuis combien de temps il se trouvait là. Une autopsie sera réalisée pour déterminer les causes de sa mort.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2016/09/28/le-disparu-des-auxons-retrouve-mort-a-cote-de-la-gare

mercredi 28 septembre 2016

Un mort dans une violente collision à Fronville (52)

Un poids lourd et une voiture sont entrés en collision vers 18 heures, sur la RN 67, à hauteur de Fronville, en Haute-Marne. Une personne est décédée dans l'accident. La route est bloquée dans les deux sens.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/champagne-ardenne/haute-marne

Un jeune conducteur meurt dans l'incendie de sa voiture après avoir percuté un platane

Un nouvel accident mortel s'est produit mardi soir vers 23 heures sur la commune de Montaigut-sur-Save, dans le nord-ouest de Toulouse.
Pour une raison encore inconnue, un conducteur qui circulait en direction de Menville, sur la D87, a violemment percuté un platane : son véhicule de marque Renault, s'est immédiatement embrasé. 
Le jeune homme, qui serait âgé d'environ 25 ans, n'a pas pu s'extraire de son véhicule en feu. Il était déjà décédé lorsque les secours sont arrivés. 
Le début de semaine a été particulièrement meurtrier sur les routes de la région : 
Lundi soir, un automobiliste a perdu la vie dans une collision survenue sur l'A64 vers Carbonnne, en Haute-Garonne, et mardi et un enfant de cinq ans est décédé après que la voiture de son père ait chuté dans la rivière Agout près de Lavaur, dans le Tarn. 
http://www.ladepeche.fr/communes/montaigut-sur-save,31356.html

mardi 27 septembre 2016

Une femme trouve la mort après une chute à Annecy

Les caméras de vidéosurveillance ont quasiment "assisté" à la chute en direct. Elles balayaient les rues de la ville d'Annecy lorsqu'elles sont tombées sur un corps étendu rue Carnot, qui n'était pas sur les images quelques secondes plus tôt.
L'équipage dépêché sur place a bien tenté de réanimer la victime en lui prodiguant les premiers soins, mais la femme âgée de 48 ans était déjà décédée.
Des riverains ont alors témoigné avoir entendu du bruit. Puis ils ont reconnu la personne, leur voisine qui habitait un appartement sous les combles d'un immeuble juste au-dessus.

Un officier de police judiciaire s'est rendu sur place, puis a défoncé la porte qui était verrouillée de l'intérieur. C'était alors évident, la victime venait de tomber de la fenêtre, une jacobine (fenêtre de toit).

L'enquête permettra de déterminer si s'agit là d'un suicide ou d'une chute, des marques de glissade laissant supposer un accident.

L'autopsie dira aussi si la victime avait consommé alcool, médicaments et alcool...

http://france3-regions.francetvinfo.fr/alpes/haute-savoie/annecy/une-femme-trouve-la-mort-apres-une-chute-annecy-1095657.html

Jura : un mort, un blessé dans un huis clos familial

Hier soir, le procureur de la République de Lons-le-Saunier, Jean-Luc Lennon, demeurait extrêmement prudent. Les investigations étaient toujours en cours au 41, de la Grande-Rue, à Rans (Jura), et quasiment aucune audition n’avait pu être menée dans des conditions satisfaisantes.
La seule certitude disponible est que le drame découvert en fin de matinée dans ce paisible village relève d’un huis clos familial certainement étouffant. C’est la mère, bien qu’alcoolisée, qui a donné l’alerte à 11 h 10.
Sur place, sapeurs-pompiers et gendarmes ont découvert un homme mort. Robert Pin, 70 ans, le père de famille, tué semble-t-il d’un seul coup de couteau reçu à la gorge, qui a atteint la veine jugulaire.
À ses côtés un homme grièvement blessé de plusieurs coups de couteau, le fils âgé de 34 ans qui, au vu de son état, a été héliporté au centre hospitalier de Dijon.
Selon le voisinage, M. Pin était « sympathiquement apprécié » ; par contre, son fils était connu pour son intempérance. L’alcool pourrait donc être au cœur de ce drame familial, dont on ne savait pas, hier soir, s’il s’était déroulé dans la nuit ou au cours de la matinée. La rumeur d’un parricide n’était quant à elle « ni confirmée ni infirmée » par le parquet jurassien. « Pour l’instant on ne sait même pas si l’on est en présence d’un homicide », expliquait le procureur Lennon, coupant court à toute spéculation.
L’enquête a été confiée à la brigade des recherches de Dole, à laquelle la section des recherches de Besançon a apporté son soutien.
http://www.estrepublicain.fr/

lundi 26 septembre 2016

Un Alsacien meurt noyé après avoir volé un canoë-kayak

Un Alsacien a péri noyé ce dimanche dans un lac suisse après que l’embarcation qu’il avait volée en compagnie d’autres jeunes Français eut chaviré.
L’incident s’est produit au large de la commune d’Yvonand, située sur les rives du lac de Neuchâtel, à l'ouest de la Suisse.

Ils ont chaviré à 700 m du bord

Les trois jeunes, domiciliés dans le département du Haut-Rhin, ont subtilisé un canoë-kayak et ont chaviré à 700 mètres du rivage. L’un des trois a réussi à rejoindre la rive par ses propres moyens, le deuxième a pu être secouru par les sauveteurs et acheminé par une ambulance, en hypothermie, dans un centre hospitalier. Le troisième, porté disparu, a été retrouvé sans vie en fin de matinée. Son corps a été sorti de l’eau par les plongeurs de la gendarmerie.
Les victimes font partie d’une équipe de cinq jeunes, âgés d’environ 25 ans, venus faire du camping depuis la France.
http://www.estrepublicain.fr/actualite/2016/09/25/un-alsacien-meurt-noye-apres-avoir-vole-un-canoe-kayak

dimanche 25 septembre 2016

Un garçon de 12 ans tué dans l'Hérault

Un garçon de 12 ans a été retrouvé mort dans une rue de Sauvian (Hérault) samedi soir, tué à l'arme blanche, vraisemblablement lors d'une dispute familiale, indique le parquet de Béziers.
Un autre adolescent, de 17 ans, a été placé en garde à vue à Valras, a précisé le parquet. Selon le maire de Sauvian, Bernard Auriol, il s'agit du demi-frère de la victime, immédiatement interpellé par les gendarmes.
Le jeune garçon a été retrouvé dans la rue, les bras en croix et en sang, non loin de son domicile, par des passants qui ont immédiatement alerté les secours. "Après un massage cardiaque de 20 minutes, les équipes du Samu n'ont pu que constater le décès de l'adolescent", poursuit l'élu.

Le drame s'est produit rue de Mazeilles, dans un lotissement périphérique de cette commune de 5000 habitants, proche de Béziers.

D'après le maire, la mère de cette fratrie de cinq enfants est internée, et c'est la grand-mère qui en a la charge au quotidien.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

"Accident de personne" entre Nîmes et Montpellier, les TGV bloqués pendant 2 h

U ne personne est décédée ce samedi 24 septembre vers 19 h 30 après avoir été percutée par un TER dans le secteur du Crès (Hérault). La circulation des trains a été totalement interrompue entre Nîmes et Montpellier de 19 h 30 à 22 h.
Un TER est entré en collision avec une personne ce samedi 24 septembre aux alentours de 19 h 30 dans le secteur du Crès, à quelques kilomètres de Montpellier. La victime est décédée lors du choc et les services funèbres sont sur place. Aucune piste n'est pour l'heure confirmée mais il pourrait s'agir d'un suicide. 

Six TGV bloqués

L'accident a engendré de fortes perturbations sur le réseau SNCF entre Montpellier et Nîmes. Six TGV ont été bloqués sur les voix ou dans les gares, pendant 2 h. Joints par Midi Libre, les services de la SNCF ont indiqué être en attente de la levée du corps pour relancer le trafic. La reprise était effective à 22 h. 
http://www.midilibre.fr/2016/09/24/accident-de-personne-entre-nimes-et-montpellier-les-tgv-bloques-depuis-19-h-30,1398584.php

samedi 24 septembre 2016

Un mort dans un accident de la route dans les Côtes d'Armor

Un homme est décédé dans une collision entre deux voitures ce vendredi soir à Saint-Donan, près de Saint-Brieuc. 
La collision s'est produite vers 19h ce vendredi soir au carrefour des Croix-Neuves, entre le Pont Noir et le bourg de Saint-Donan. Un homme est décédé, un autre a été grièvement blessé.
L'hélicoptère du Samu et de nombreux secours ont été déployés. Un enquête est en cours.
C'est le 26ème décès depuis le début de l'année sur les routes des Côtes d'Armor

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor

Un homme de 38 ans meurt dans un accident de la route

Le drame s'est produit dans la nuit de jeudi à vendredi, à 3 heures du matin. Une voiture avec quatre personnes à bord qui arrivait de Montauban a percuté le talus sur la route départementale 958, au niveau du chemin de Rabastens. Le conducteur, un homme domicilié à La Ville-Dieu-du-Temple de 37 ans a perdu le contrôle de sa berline allemande. Le véhicule a fait plusieurs tonneaux sur 150 mètres. Deux occupants ont été éjectés sous le choc dont l'homme de 38 ans, David Nabet, frère du conducteur, qui est décédé sur le coup. L'autre victime éjectée, une jeune fille de 22 ans originaire de Toulouse a été héliportée à l'hôpital Purpan dans un état grave. Vendredi, en début d'après-midi ses jours n'étaient plus en danger. Quant aux deux autres occupants, ils se sont retrouvés coincés dans la voiture alors que celle-ci était en train de prendre feu. Coup de chance, des gendarmes intervenaient à quelques mètres de là pour une tentative de cambriolage. Ils ont pû désincarcérer rapidement les victimes avant que les flammes ne se propagent. Blessés légèrement, ces deux-derniers,l'un originaire de Toulouse l'autre de La Ville-Dieu-du-Temple, ont été pris en charge par les sapeurs-pompiers de Castelsarrasin et le Samu, puis transportés au centre hospitalier de Montauban. Selon la gendarmerie, une «vitesse excessive», serait la cause de l'accident.
La commune de La Ville-Dieu-du-Temple était sous le choc, ce vendredi. Dominique Birois, le maire a souligné la «chance inouïe» que des gendarmes aient été présents sur place lors de l'accident.

vendredi 23 septembre 2016

Accident mortel chez Lindt à Oloron : le chauffeur placé en garde à vue ce jeudi

Le chauffeur de poids lourd, qui avait écrasé le 7 septembre, un homme de 36 ans, sur le parking du magasin d'entreprise, avait été hospitalisé après les faits
Le chauffeur de poids lourd, qui avait écrasé le 7 septembre, un autre conducteur, âgé de 36 ans, sur le parking du magasin d'entreprise de Lindt, a été placé en garde à vue ce jeudi matin.
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
Le chauffeur en cause était depuis les faits hospitalisé. Très choqué, il avait été immédiatement pris en charge par la cellule psychologique du Smur.
Le chauffeur de poids lourd, qui avait écrasé le 7 septembre, un homme de 36 ans, sur le parking du magasin d'entreprise, avait été hospitalisé après les faits
Le chauffeur de poids lourd, qui avait écrasé le 7 septembre, un autre conducteur, âgé de 36 ans, sur le parking du magasin d'entreprise de Lindt, a été placé en garde à vue ce jeudi matin.
 
Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances du drame.
Le chauffeur en cause était depuis les faits hospitalisé. Très choqué, il avait été immédiatement pris en charge par la cellule psychologique du Smur. 

Il n'aurait pas vu le chauffeur qui se trouvait devant lui

Les deux chauffeurs de poids lourds travaillaient pour des entreprises de transports extérieures à Lindt. Les deux hommes, qui se connaissaient, se seraient croisés à l'entrée du parking et auraient entamé une discussion. Le premier conducteur, âgé de 20 ans, serait ensuite remonté dans son véhicule et aurait entamé une manoeuvre, pensant que son collègue faisait le tour par l'arrière. Il aurait enclenché la marche avant mais n'aurait pas vu son collègue qui se trouvait devant lui.
La victime, âgée de 36 ans, était morte sur le coup. 
http://www.sudouest.fr/2016/09/22/accident-mortel-chez-lindt-a-oloron-le-chauffeur-place-en-garde-a-vue-ce-jeudi-2509978-4321.php

Le marcheur meurt d'une crise cardiaque

Alain Frayssinet, carrossier albigeois âgé de 62 ans, a été victime d'un malaise cardiaque fatal, hier vers 15 heures, alors qu'il participait à une marche organisée, comme chaque jeudi, par la maison de quartier de La Renaudié à Albi. Les faits se sont déroulés sur un sentier au lieu-dit «Marin», limitrophe des communes de Lamillarié et Lombers. Neuf personnes, dont l'épouse du marcheur décédé, avaient pris part à cette randonnée. C'était la première fois qu'Alain Frayssinet y participait. Après avoir couvert environ un kilomètre, il a ressenti une douleur mais il a quand même souhaité poursuivre la marche. Quelques mètres plus loin il était victime d'un malaise qui allait s'avérer fatal, malgré l'intervention des autres marcheurs qui l'ont immédiatement placé en position latérale de sécurité, puis effectué des massages cardiaques et du bouche-à-bouche en attendant les secours. Lorsque les sapeurs-pompiers de Réalmont et Albi et les médecins du SMUR sont arrivés sur les lieux, ils n'ont malheureusement pas pu ramener à la vie Alain Frayssinet. Les maires de Lamillarié et Lombers se sont rendus sur les lieux, ainsi que les gendarmes de la compagnie d'Albi.
http://www.ladepeche.fr/communes/albi,81004.html

jeudi 22 septembre 2016

Calvi: chute mortelle d'un touriste à la citadelle

Un touriste de 59 ans est décédé aujourd'hui en chutant du haut de la citadelle de la station balnéaire de Calvi, en Haute-Corse, selon des services de secours.
La victime, qui se promenait avec son épouse dans la citadelle, a fait une chute de plusieurs mètres sur des rochers en contrebas des remparts de la citadelle. Les pompiers et des médecins urgentistes rapidement sur place ne sont pas parvenus à la ranimer.
Une enquête a été confiée à la gendarmerie.

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Loire: un adolescent meurt dans un accident

Un adolescent est mort hier soir dans un accident de la route à Boën-sur-Lignon (Loire), rapporte aujourd'hui France Bleu Saint-Etienne Loire. Agé de 17 ans, le jeune homme roulait en mobylette lorsqu'il a percuté une voiture, vers 20h hier.

Selon nos confrères, la collision a eu lieu près d'un rond-point. L'ado a été projeté sur le côté et n'a pas survécu au choc. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour déterminer si l'automobiliste impliqué dans l'accident, âgé de 21 ans, est responsable ou non. 

                              

mercredi 21 septembre 2016

Golancourt (60) : un mort et deux blessés grave

Un jeune homme de 25 ans est décédé mardi soir lors d'un accident qui s'est produit vers 22h le long de la route départementale 932, à Golancourt, dans l'Oise. Deux personnes sont gravement blessées
Trois jeunes homme ont percuté un arbre hier soir vers 22h à Golancourt, dans l'Oise. Le conducteur, âgé de 25 ans, n'a pas survécu. Les deux passagers sont dans un état grave.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/picardie/oise

L’adolescent vosgien agressé à Nancy est décédé

La nouvelle n’a malheureusement surpris personne. Julien, le lycéen vosgien de 17 ans frappé à la sortie d’une boîte de nuit de Nancy, n’a pas survécu à ses blessures. Il est décédé à l’hôpital central de Nancy ce mardi à 14 h 15.
Sa famille et ses amis étaient préparés au pire depuis plusieurs jours. Dès dimanche, les messages de sympathie qui se sont multipliés sur Facebook ressemblaient à des condoléances.
Le jeune homme était dans un état désespéré. Seules des machines le maintenaient en vie. Conformément à la volonté de ses parents, elles ont été arrêtées ce mardi, en début d’après-midi.
C’est l’épilogue dramatique d’un énième incident à la sortie d’une discothèque de Nancy. Dans la nuit de jeudi à vendredi, le lycéen vosgien s’est rendu dans la boîte de nuit située dans la tour Thiers, à côté de la gare de Nancy. Il était avec un copain et une copine. Le trio a apparemment eu maille à partir avec d’autres clients. Un échange de regards. Un peu de tension. Rien de plus semble-t-il.
Suffisant quand même pour que Julien quitte les lieux en compagnie de ses deux amis. La responsable des portiers les a accompagnés sur quelques dizaines de mètres puis les a laissés.
Arrivé place de la République, le jeune homme et ses camarades auraient retrouvé les individus qu’ils avaient croisés en discothèque. L’un d’eux a mis un coup de poing à Julien. Un seul coup. Mais le lycéen est tombé et sa tête a heurté le sol.

Autopsie cruciale

Pris en charge par les pompiers quelques instants plus tard, il a été conduit aux urgences de l’hôpital central. Seule une fracture du nez aurait été diagnostiquée. Le jeune garçon a été autorisé à rentrer chez lui en milieu de matinée. Mais il a dû être réhospitalisé d’urgence en fin d’après-midi, après que sa mère l’a découvert sans connaissance dans sa chambre. Pour l’instant, les policiers du SRPJ de Nancy sont focalisés sur la recherche de l’individu qui a donné le coup de poing fatal. Ils peuvent compter sur la description fournie par les deux amis de la victime qui ont assisté à l’agression. Les caméras de surveillance qui se trouvent dans le secteur de la gare peuvent également fournir des indications précieuses.
Les enquêteurs ont également lancé un appel à témoins, avec un numéro de téléphone à appeler (le 03.83.17.29.44) pour recueillir des témoignages sur ce qui s’est passé dans la discothèque puis place de la République. Bref, l’identification de l’auteur du coup de poing ne devrait être qu’une question de temps.
Son interpellation ne répondra toutefois pas à toutes les questions. Car des interrogations se posent également sur la prise en charge de la victime par les secours.
Dans ce contexte, l’autopsie du corps du jeune homme, qui aura lieu dans les prochains jours, sera cruciale
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2016/09/21/l-adolescent-vosgien-agresse-a-nancy-est-decede

mardi 20 septembre 2016

Accident mortel sur l'A64 ce mardi matin

Un accident impliquant six véhicules, dont une fourgonnette, a causé la mort d'une personne ce matin à 5h23 sur l'autoroute A64 dans le sens Bayonne-Toulouse, à hauteur de Cazères, sur la commune de Mondavezan en Haute-Garonne. Un homme de 59 ans, originaire de Saint-Gaudens (31), sur lequel les secours ont fait un massage cardiaque, n'a pas survécu. Deux autres personnes sont blessées dont un homme de 28 ans. Elles ont été prises en charge par les pompiers.
Selon les premiers éléments, une femme tombée en panne sur la bande d'arrêt d'urgence aurait été rejointe par son mari pour la dépanner. Pour une raison inconnue, un troisième véhicule a percuté le véhicule du mari par l'arrière avant de se déporter sur les voies de l'autoroute. Les voitures qui circulaient dans le sens Bayonne-Toulouse à ce moment là sont alors entrés en collision avec celui-ci entraînant le carambolage mortel.
http://www.ladepeche.fr/communes/mondavezan,31349.html

Agressé à la sortie d’une discothèque à Nancy, un lycéen vosgien entre la vie et la mort

Le drame s’est joué dans la nuit de jeudi à vendredi. A 3 h 43, un lycéen Vosgien de 17 ans, quitte la discothèque le Réseau située dans la tour Thiers, juste à côté de la gare de Nancy. Il est accompagné d’un copain et d’une copine. Suite à un échange de regards et un début de tension avec d’autres clients, les trois jeunes ont décidé de partir.
« Notre responsable des portiers ne les a pas sentis rassurés et les a raccompagnés jusqu’à la place Thiers », témoigne la patronne de la discothèque. Soit une escorte sur quelques dizaine de mètres. Afin de s’assurer qu’il n’y avait pas de problème.
Un coup de poing puis des petits malaises
Une fois la responsable des portiers partie, l’adolescent et ses amis ont poursuivi leur chemin. Une centaine de mètres plus loin, sur la place de la République, ils auraient eu maille à partir avec un groupe. Le lycéen a reçu un coup de poing. Il est tombé par terre.
L’agression n’est pas allée plus loin. Il n’y a pas eu d’acharnement, de bagarre générale, ni de scène de lynchage.
Le jeune homme qui saignait du nez et de la lèvre, s’est relevé. Avec ses amis, il a continué son chemin. Mais il aurait fait plusieurs petits malaises et aurait eu du mal à tenir sur ses jambes.
Pronostic vital engagé
Arrivés sur le pont des Fusillés, sa copine et son copain, inquiets, ont alerté les pompiers. Ces derniers ont pris en charge le jeune homme et l’ont conduit aux urgences de l’hôpital central où il a été admis à 4 h 30. Une fracture du nez aurait été diagnostiquée. Rien de plus. Et il a pu quitter l’hôpital à 10 h 50. Ses parents sont venus le chercher.
Mais dans l’après-midi, sa mère l’a découvert inconscient dans sa chambre. Elle a prévenu les secours.
Son fils aurait été d’abord conduit à l’hôpital de Remiremont. Il aurait ensuite été transféré par ambulance sur l’hôpital de Nancy où il est arrivé dans un état comateux à 17 h 30. Depuis, il est dans un état critique. Son pronostic vital est engagé et les médecins seraient pessimistes.
Une enquête a été ouverte et confiée au SRPJ de Nancy. Les investigations ont, pour l’instant, pour objectif de retrouver l’auteur du coup de poing qui a blessé le lycéen. Un appel à témoins est d’ailleurs diffusé par les enquêteurs.
Messages de soutien à sa famille
Il est vraisemblable que les policiers devront également se pencher sur la manière dont le jeune homme a été pris en charge par les secours.
En attendant, ses amis ont commencé à réagir en postant sur Facebook des messages de soutien à sa famille ou de révolte contre ce qui lui est arrivé.

lundi 19 septembre 2016

Vaucluse: il tue sa femme et tente de se suicider

Un homme a tué sa femme avec un fusil de chasse et a tenté de se suicider ce soir à Cavaillon (Vaucluse) après une dispute entre le couple séparé, a-t-on appris de sources concordantes.

D'après les premiers éléments de l'enquête, l'homme, âgé de 63 ans, attendait son épouse, de laquelle il était séparé depuis quelques semaines, devant son domicile à Cavaillon vers 19 heures aujourd’hui, a indiqué à l'AFP le parquet. "Une dispute éclate dans le hall de l'immeuble et au moment où elle sort, il tire, puis il va dans la cour de l'immeuble et retourne l'arme contre lui", a expliqué le magistrat de permanence. La victime, âgée de 57 ans, était décédée à l'arrivée des secours, tandis que l'homme gravement blessé à la tête, a été évacué par hélicoptère à l'hôpital Nord de Marseille, selon le Centre opérationnel d'incendie et de secours du Vaucluse. Son pronostic vital est engagé, selon le parquet.

L'alerte a été donnée par un témoin qui aurait assisté à la dispute, puis qui aurait entendu les coups de feu. Le commissariat de Cavaillon est chargé de l'enquête

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Une mère avoue avoir noyé son fils handicapé

Dans la nuit de dimanche à lundi, une femme a été arrêtée à Saint-André-les-Vergers, dans l'Aube, après qu'elle a déclaré avoir tué son fils de 5 ans, rapporte LCI.
La femme a croisé le chemin des policiers, alors qu'elle errait, hagarde. D'emblée, elle avoue son terrible geste.

Elle avait prévenu par SMS

Les fonctionnaires ont immédiatement informé les gendarmes. Ces derniers avaient été prévenus par un membre de la famille. Par SMS, la suspecte avait annoncé son intention de noyer son petit garçon dans la baignoire du domicile familial.
 Les circonstances de ce drame doivent être précisées par l'enquête
http://www.ledauphine.com/france-monde/2016/09/19/une-mere-avoue-avoir-noye-son-fils-handicape

Course de côte à Tancarville : le pilote est décédé suite à sa sortie de route

Dimanche 18 septembre, un pilote automobile a été victime d'une sortie de route, transféré au CHU par l'hélicoptère de la sécurité civile, il est décédé
L'accident s'est produit vers 16h45 dimanche : un pilote inscrit à la course de côte a subi une sortie de route. Pompiers et SAMU l'ont désincarcéré avant de le transférer au CHU de Rouen par hélicoptère. Le Comite Régional du sport automobile de Normandie confirme son décès.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/

Un mort, trois blessés graves — Drame familial

Samedi 17 septembre dans la soirée, un homme âgé d'une soixantaine d'années a poignardé trois personnes, dont un enfant de 12 ans, avant de se suicider une fois rentré chez lui, rapporte le journal Sud Ouest. Un bébé et un enfant de 8 ans, également dans la maison, n'ont pas été agressés. D'après La Charente Libre, l'ancienne belle-fille de l'agresseur serait en couple avec l'un des fils du couple de sexagénaires agressés. Armé d'un couteau, il aurait frappé au thorax les deux retraités et le petit garçon de 12 ans.
Samedi vers 21H00, un homme d'une cinquantaine d'années a fait irruption dans une maison d'Angeac-Champagne, dans l'ouest du département, apparemment à la recherche de son ex-belle fille, la fille de son ex-femme avec qui il était en conflit, selon une source proche de l'enquête. Le pronostic vital de ce dernier était engagé ainsi que celui d'une des deux personnes âgées, au moment de leur transfert à l'hôpital de Poitiers. Plus tôt, ce sexagénaire, originaire de Cognac (Charente) n'avait qu'une idée en tête: retrouver son ex-compagne. Il se serait suicidé avec une arme à feu.
La gendarmerie a ouvert une double enquête, pour tentatives d'assassinat et recherche des causes de la mort de l'agresseur.
http://infosbeninmonde.com/2016/09/un-mort-trois-bless-s-graves-drame-familial/%3C?

dimanche 18 septembre 2016

Charente : il agresse à l'arme blanche trois personnes, dont un enfant, et se donne la mort

L’homme voulait retrouver son ancienne belle-fille. Deux victimes, dont l'enfant de 12 ans, ont été plus grièvement blessées. 
Drame familial dans la nuit de samedi à dimanche, au lieu-dit Roissac, un hameau d'Angeac-Champagne, en Charente. Samedi, soir, un homme d'une soixantaine d'année, domicilié à Cognac, s'est mis en tête de retrouver son ancienne belle-fille par tous les moyens, avec qui il était en conflit. 
Armé d'un couteau, il est allé au domicile des deux personnes âgées qui avaient, ce soir-là, la garde des trois enfants de son ancienne belle-fille, âgés de 12 ans, 8 ans et 9 mois. Constatant l'absence de cette dernière qui se trouvait à une fête de mariage, l'homme a poignardé au thorax les deux personnes âgées et l'enfant de douze ans, avant de prendre la fuite.
Les trois victimes ont été transportées au centre hospitalier de Poitiers : samedi soir, le pronostic vital de deux d'entre elles (le grand-père et l'enfant de douze ans) était engagé. Ce dimanche matin, l'enfant de 12 ans semblait sorti d'affaire
L’homme voulait retrouver son ancienne belle-fille. Deux victimes, dont l'enfant de 12 ans, ont été plus grièvement blessées. 
Drame familial dans la nuit de samedi à dimanche, au lieu-dit Roissac, un hameau d'Angeac-Champagne, en Charente. Samedi, soir, un homme d'une soixantaine d'année, domicilié à Cognac, s'est mis en tête de retrouver son ancienne belle-fille par tous les moyens, avec qui il était en conflit. 
Armé d'un couteau, il est allé au domicile des deux personnes âgées qui avaient, ce soir-là, la garde des trois enfants de son ancienne belle-fille, âgés de 12 ans, 8 ans et 9 mois. Constatant l'absence de cette dernière qui se trouvait à une fête de mariage, l'homme a poignardé au thorax les deux personnes âgées et l'enfant de douze ans, avant de prendre la fuite.
Les trois victimes ont été transportées au centre hospitalier de Poitiers : samedi soir, le pronostic vital de deux d'entre elles (le grand-père et l'enfant de douze ans) était engagé. Ce dimanche matin, l'enfant de 12 ans semblait sorti d'affaire. 

Retrouvé mort

L'auteur des faits a été activement recherché cette nuit. Son domicile, à Cognac, a été placé sous surveillance. Ce dimanche, au petit matin, les gendarmes, assistés par les policiers, ont perquisitionné son logement. Le sexagénaire a été retrouvé mort. Il se serait suicidé à l'aide d'une arme à feu.
L'enquête a été confiée à la compagnie de gendarmerie de Cognac.

http://www.sudouest.fr/2016/09/18/angeac-champagne-16-il-poignarde-trois-personnes-dont-un-enfant-et-se-donne-la-mort-2504827-882.php

Jeux paralympiques: Un cycliste se tue lors d'une compétition

Les Jeux paralympiques de Rio endeuillés à la veille de la cérémonie de clôture. Un cycliste iranien est mort samedi après une grave chute lors d'une compétition du plus grand événement mondial réservé aux sportifs handicapés.
L'accident de Bahman Golbarnezhad, 48 ans, s'est produit pendant la course de cyclisme sur route masculine, ouverte aux catégories de handicap C4-5, légères déficiences physiques ou mentales. Le cycliste, originaire de Shiraz en Iran, a été transporté à l'hôpital «où il est malheureusement décédé», a déclaré Craig Spence, porte-parole du Comité international paralympique (IPC).

Un tronçon montagneux «exigeant»

Selon le comité organisateur, Bahman Golbarnezhad a eu son accident vers «sur un tronçon montagneux» de la descente de Grumari, un quartier en bord de mer situé à l'ouest de Rio. «Il a reçu les premiers soins sur place et au moment d'être transporté à l'hôpital, il a été victime d'un arrêt cardiaque. Il est décédé peu de temps après son hospitalisation», précise l'IPC dans un communiqué.
Selon des informations de presse, l'athlète a perdu le contrôle de son vélo et sa tête a heurté le sol. D'après UOL, un important site d'informations sportives au Brésil, la vitesse des cyclistes peut atteindre les 65 km/h sur ce tronçon. Aux jeux Olympiques, les cyclistes avaient déjà qualifié le parcours de Grumari «d'exigeant», surtout la descente. Une enquête pour déterminer les circonstances de son accident a été ouverte.

Le drapeau paralympique sera mis en berne dimanche

Le patron de l'IPC, Philip Craven, a présenté ses condoléances à la famille de l'athlète, ses proches, ses coéquipiers ainsi qu'à toute la délégation iranienne. «Cette nouvelle nous brise le coeur. La famille paralympique doit être unie face à ce terrible drame qui endeuille de grands Jeux paralympiques à Rio», a-t-il déclaré dans un communiqué.
«C'est une très triste nouvelle pour le sport et pour le mouvement paralympique», a dit de son côté Carlos Nuzman, président de Rio-2016, envoyant ses «prières à tous les Iraniens». «Dévasté» par la mort du cycliste, le président de l'Union internationale de cyclisme, Brian Cookson, a également présenté ses «sincères condoléances».
Immédiatement après l'annonce de ce décès, le drapeau iranien a été mis en berne dans le village olympique où vivent les 4.300 athlètes qui participent à ces Jeux. Le drapeau paralympique sera également mis en berne dimanche dans le village olympique et au-dessus du "Rio centro", l'enceinte sportive où l'Iran doit affronter la Bosnie-Herzégovine en finale de volleyball assis
http://www.20minutes.fr/sport/jeux_paralympiques/

samedi 17 septembre 2016

Collision entre voiture et ambulance au Pays basque : trois morts

Le chauffeur de la voiture, son épouse et la passagère de l'ambulance sont morts dans l'accident, survenu alors que les conditions météo étaient "mauvaises" dans les Pyrénées Atlantiques. 

Trois personnes d'une cinquantaine d'années ont été tuées samedi en fin de matinée dans une collision frontale entre une voiture et une ambulance, sur une route départementale à Ascarat, près de Saint-Jean-Pied-de-Port, dans les Pyrénées-Atlantiques, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.
Mauvaises conditions météo. Selon les premières constatations, la voiture, immatriculée dans les Pyrénées-Orientales, "se serait déportée à la sortie d'une courbe et aurait percuté de plein fouet l'ambulance arrivant en sens inverse, dans de mauvaises conditions météo", avec pluies et bourrasques succédant à de fortes chaleurs, rendant la chaussée très glissante. Le chauffeur de la voiture, âgé de 58 ans, a été tué sur le coup, son épouse de 55 ans est décédée peu après son transfert à l'hôpital de Bayonne, tandis que la passagère de l'ambulance, âgée de 53 ans, décédait pendant son transfert en hélicoptère, a précisé la gendarmerie, confirmant une information initiale de France 3 Aquitaine.
Seule la conductrice de l'ambulance est indemne. L'enquête sur les circonstances de l'accident a été confiée à la gendarmerie de Saint-Etienne-de-Baïgorry.
http://www.europe1.fr/faits-divers

Marseille : un mort dans un accident de la circulation

Il était 7h30 ce matin, lorsqu'une voiture est entrée en collision avec un deux-roues, à l'angle du boulevard Dugommier et de la Canebière.
Le conducteur du deux-roues, un homme de 48 ans, a alors été projeté contre un tramway à l'arrêt.
Les secours rendus sur place, n'ont pu que constater le décès

http://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes/bouches-du-rhone/marseille

Percuté par une voiture, le cycliste décède

Un cycliste a trouvé la mort dans un accident survenu tôt ce samedi matin à Strasbourg.
Les sapeurs-pompiers indiquent que l'accident s'est produit à 5h15 environ, ce samedi matin, rue Alfred-Kastler, une rue qui fait la jonction entre Neudorf et Esplanade, près du pont du Danube, à Strasbourg.
Selon leurs indications, il s'agit d'un cycliste de 40 ans qui est impliqué dans l'accident.
Les sapeurs-pompiers indiquent qu'il est décédé sur place.
Leur compte-rendu ne donne aucune indication sur les circonstances de l'accident

http://www.dna.fr/actualite/2016/09/17/percute-par-une-voiture-le-cycliste-decede

Il se suicide sur son lieu de travail

Une enquête vient d'être ouverte pour comprendre l'origine du geste désespéré d'un employé d'une société d'énergie, jeudi, retrouvé mort sur son lieu de travail. Un technicien de 64 ans, travaillant au sein de la société Engie Cofely (ex-GDF/Suez), à Toulouse, a mis fin à ses jours sur son lieu de travail, jeudi 15 septembre, en milieu d'après-midi. Une enquête a été ouverte après la découverte du corps de la victime dans un bureau de cette entreprise, chemin du Silo. Une cellule psychologique a été mise en place après ce drame qui a suscité une importante émotion parmi les collègues de la victime. «Ses collègues et ses collaborateurs sont tous très choqués. Une enquête de police est en cours», a indiqué un porte-parole de la société Engie Cofely, à Paris. «Ce drame est révélateur des dégradations des conditions de travail dans cette entreprise, réagit Stéphane Galiay, délégué syndical central à la CGT. Ce technicien s'était déjà plaint auprès de ses collègues. Il y a un an, il avait déjà exprimé de manière très inquiétante son intention de mettre fin à ses jours. Nous avions alerté la direction et une cellule de crise avait été mise en place.» Le syndicaliste évoque «un malaise» au sein de l'entreprise lié «au management à l'anglo-saxonne, et à la «pression mise sur les salariés». Engie Cofely assure la maintenance des climatisations et de l'électricité de nombreuses entreprises
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

Meuse : à 80 ans, elle doit quitter la maison qu'elle loue à sa fille

Coquette, alerte, Yvette -son prénom a été changé, NDLR- ne fait pas son âge, un peu plus de 80 ans. Bien coiffée, maquillée, joliment habillée, celle qui est mère de plusieurs enfants et grand-mère de plusieurs petits-enfants a tout pour être heureuse. Une jolie maison, une famille, des amis. Certes, son mari décédé voilà presque dix ans lui manque toujours autant, mais elle s’est habituée, regarde des photos…
Tout pour être heureuse donc, ou presque, puisque d’ici quelques semaines, elle devra avoir quitté cette maison sans vraiment comprendre pourquoi, juste parce que la loi est ainsi faite.
Début août, Yvette a reçu une lettre en recommandé. L’expéditeur : une de ses filles, propriétaire de la maison qu’elle lui loue depuis des années. Entre la mère et la fille, il y a un bail oral que cette dernière, qui vit à plusieurs centaines de kilomètres de Bar-le-Duc, souhaite tout à coup voir rédigé noir sur blanc. « Je me suis renseignée, on m’a conseillé de ne rien signer comme ça, sans avoir connaissance du contenu du bail. » C’est la réponse qu’apportera Yvette au courrier de sa fille.
L’échange épistolaire a tourné court et s’est soldé quelques jours plus tard par une nouvelle lettre filiale signifiant la vente de la maison.

Dimension humaine occultée

Un vrai coup de massue pour Yvette qui, dans ce nouveau courrier, a découvert qu’elle devait avoir quitté la maison en février 2017 ou alors qu’elle avait la possibilité d’acheter ladite maison. Le prix ? 150.000 euros. Yvette n’a même pas besoin des deux mois qui lui sont offerts pour faire part de sa décision « C’est bien au-dessus de mes économies », regrette l’octogénaire qui ne perçoit qu’une petite retraite. « A mon âge, je vais trouver une banque qui me prête sur vingt ans ? » ironise Yvette qui rit jaune en regardant l’environnement quotidien qu’elle va devoir quitter d’ici moins de six mois. Légalement certes mais sans considération humaine, regrette-elle.
Cette situation est désespérante pour une autre de ses filles qui soutient sa mère moralement et cherche avec elle des solutions. Si elles vont aller voir un avocat pour savoir si un recours est possible, elles ont aussi commencé à prendre contact avec les agences immobilières. Quelques appartements ont déjà été visités. « Pas trop mal, mais tellement petit », regrette Yvette qui, en plus d’être obligée de quitter la maison où elle s’est fait des souvenirs, ne conçoit pas d’être obligée de se séparer de ses meubles.
« Ce serait un traumatisme de plus pour maman », avance sa fille qui l’épaule au quotidien. « Elle va être déracinée de son quartier. Elle ne conduit pas, ne pourra plus se rendre régulièrement au cimetière à pied comme elle a l’habitude de le faire. »
Les yeux au bord des larmes, Yvette et sa fille essayent de penser avenir, nouvel appartement cocon. Grâce peut-être au propriétaire d’un assez grand logement vacant et au loyer modéré qui lui permettra de retrouver le sourire.

Locataires: après 65 ans, vous êtes protégés

Les récentes lois Alur (Duflot) et Macron ont renforcé la protection des locataires âgés. Désormais, elle s'applique à tous les baux en cours, et à toutes les personnes âgées de plus de 65 ans.
Le cas d'Yvette poserait uniquement problème par l'absence de bail écrit, mais la solidarité parent/enfant pourrait être invoquée. Ainsi, le propriétaire ne peut pas s’opposer au renouvellement du bail (sauf à proposer un autre logement équivalent), si le locataire:
-a plus de 65 ans à l’échéance du bail,
-et justifie de ressources annuelles inférieures au plafond retenu pour les prêts locatif à usage social, dit plafond Plus). En 2015, ce plafond est de 23127 €/an en Île-de-France, et de 20107 €/an ailleurs. Ces deux conditions doivent être réunies.
Par ailleurs, ces règles s'appliquent aussi à la ou les personne(s) à la charge du locataire. Si le locataire vit avec une personne à sa charge, il est protégé par la présence de celle-ci. Il demeure deux exceptions: si le propriétaire a lui-même plus de 65 ans OU s'il a lui-même des ressources inférieures au plafond. En revanche, cette fois, les conditions ne sont pas cumulatives : même si le propriétaire ne se trouve que dans un seul de ces deux cas, son locataire ne peut pas faire jouer son droit à demeurer dans le logement.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2016/09/16/a-la-rue-a-plus-de-80-ans

vendredi 16 septembre 2016

Un mort dans un accident de la route ce vendredi matin en Pays de Bray

L'accident s'est produit sur la RN 31, près de Gournay en Bray. 
Un homme de 33 ans a perdu la vie ce matin, vers 8 heures, lors d'une collision entre sa voiture et un poids-lourd, sur la RN 31 à Avesnes en Brays, dans la côte des Carreaux.
Le conducteur du poids-lourd est indemne.

Les circonstances exactes de l'accident ne nous sont pas précisées pour le moment. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/haute-normandie/seine-maritime/pays-de-bray

Dijon: explosion dans un immeuble, 9 victimes

Une violente explosion s'est produite ce matin dans un immeuble ancien du centre-ville de Dijon, faisant huit blessés, dont un en "urgence absolue", et un disparu, a-t-on appris auprès de la préfecture de Côte-d'Or.
L'une des victimes est toujours enfouie sous les décombres et les secours ne sont pas entrés en contact avec elle, a précisé à l'AFP Pauline Jouan, directrice de cabinet de la préfète de Côte-d'Or.
L'explosion est survenue vers 9H30 au 15 rue Pierre Palliot dans un immeuble d'habitation du quartier de la gare, qui a été entièrement bouclé.
Jointe par l'AFP, la procureure de Dijon Marie-Christine Tarrare a exclu "tout acte terroriste". L'explosion est "probablement liée au gaz: il s'agit soit d'un accident, soit d'un acte suicidaire qui aurait provoqué l'explosion", a-t-elle précisé.

D'importants secours, Samu, pompiers, sont sur place, dirigés par la préfète Christiane Barret. Le maire de Dijon, François Rebsamen, est également sur place

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

jeudi 15 septembre 2016

Catillon-sur-Sambre : un homme tente de se suicider sur le parking de son entreprise

Un homme de 52 ans a tenté de mettre fin à ses jours avec une arme à feu sur le parking de son entreprise, avant sa prise de service. Il a été transporté au Centre hospitalier de Cambrai. Son pronostic vital est engagé
Ce jeudi à 7h30, un homme s'est tiré une balle dans la tête sur le parking de son entreprise, juste avant sa prise de service. Alertés immédiatement, les secours ont dû le transférer vers le centre hospitalier de Cambrai. Très grièvement blessé, il est entre la vie et la mort.

Pas de signes avant-coureurs pour ses collègues 

Contacté, le chef de cette société de couverture installée à Catillon-sur-Sambre, dans le sud de l'Avesnois, s'est montré visiblement ébranlé. Ni lui, ni ses salariés - douze en tout - n'ont perçu le moindre signe avant-coureur qui aurait pu les alerter sur le mal être de leur collègue.
Une psychologue de la médecine du travail a passé la matinée dans l'entreprise

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nord-pas-de-calais/

Un bébé de 18 mois décède après un accident

Une petite fille de 18 mois n’a pas survécu après une collision qui s’est produite, hier matin, à Cour-Cheverny. Quatre autres personnes ont été blessées.
Un grave accident de la route s'est produit, hier matin, vers 9 h 20, sur la D 765, à Cour-Cheverny. Pour une raison que l'enquête de gendarmerie devra déterminer, un fourgon, qui circulait en direction de Blois, a violemment percuté par l'arrière une Citroën Picasso, qui s'apprêtait à tourner sur la gauche, vers le chemin de la Crépinière. Une Renault Clio, qui arrivait en face, n'a pas pu éviter le Picasso et a fini sa course dans le fossé de la voie inverse de son sens de circulation. La conductrice, une femme de 30 ans, originaire de Suèvres, s'est retrouvée bloquée dans son véhicule, ne pouvant ouvrir les portières. Les pompiers ont découpé la portière côté conducteur pour qu'elle puisse sortir.
L'enfant héliporté à Tours
A bord du Picasso, se trouvaient trois personnes, originaires de Cour-Cheverny : une femme de 35 ans et sa petite fille de 18 mois, installée dans un siège auto à l'arrière du véhicule, ainsi qu'une amie de la mère. Vers 10 h 45, le bébé, très gravement blessé, a été transporté par l'hélicoptère du Samu à l'hôpital Clocheville, à Tours. Son pronostic vital était engagé. La petite fille est décédée en début d'après-midi.
Sa mère et sa passagère ont été conduites au centre hospitalier de Blois, tout comme le conducteur du fourgon, un homme de 56 ans qui réside à Soings-en-Sologne, et la conductrice de la Clio.
Vingt et un pompiers des casernes de Cour-Cheverny, Contres, Blois-Nord et Sud, commandés par le capitaine Yannick Kervoelen, ont pris en charge les victimes. Le Smur était également sur place. Les gendarmes, dirigés par le capitaine Joël Pilorget, commandant en second de la compagnie de Blois, ont procédé aux constatations.
Un important bouchon s'est formé sur la D 765 car, le temps de l'intervention des secours, la circulation a été coupée dans les deux sens. Le trafic a été rétabli en fin de matinée.

http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir-et-Cher/Actualite/Faits-divers-justice

mercredi 14 septembre 2016

Tonneins (47) : une femme de 62 ans se tue sur la route

Âgée de 62 ans, la femme, originaire de Virazeil, a perdu le contrôle de son véhicule sur la D813 entre Tonneins et Ayet
Une sortie de route fatale a eu lieu mardi soir vers 17h45 sur la D813 entre Tonneins et Ayet. Une Virazeillaise de 62 ans a perdu le contrôle de son véhicule dans un tournant et a percuté un platane de face avec sa Citroën C4.
Inconsciente à l'arrivée des secours, la victime a été réanimée mais n'a pu être maintenue en vie. Le médecin du Samu a confirmé le décès quelques minutes après.
C'est la 15e victime sur les routes du Lot-et-Garonne depuis le début de l'année
http://www.sudouest.fr/2016/09/13/tonneins-47-une-femme-de-62-ans-se-tue-sur-la-route-2498990-3887.php

Agde : accident mortel, le chauffeur était alcoolisé

U ne passagère de 26 ans est décédée des suites de ses blessures samedi matin sur la RD 612.
Il était aux alentours de 5 h 30, ce samedi 10 septembre, lorsque un tragique accident s'est produit sur la commune d'Agde, sur la RD 612. Une jeune femme, âgée de 26 ans, et domiciliée à Paulhan y a perdu la vie. Elle était passagère arrière dans le véhicule accidenté qui a fini sa course sur le toit après avoir heurté un panneau de signalisation, à l'issue d'un virage à la sortie du Cap-d'Agde, en direction de Béziers.
Le conducteur a perdu le contrôle de sa voiture sur une chaussée qui était un peu glissante après une légère averse.
À leur arrivée, les pompiers n'ont rien pu faire pour la ramener à la vie. Le conducteur n'a pas été blessé. Les deux autres passagères ont été prises en charge par les secours. L'une présentait une blessure à l'épaule. Quant à l'autre, une sœur de la victime décédée, n'était pas touchée physiquement mais se trouvait en état de choc. Les policiers chargés de l'enquête ont effectué les constatations habituelles, notamment les dépistages d'alcoolémie et de consommation de stupéfiants
http://www.midilibre.fr/2016/09/12/accident-mortel-le-chauffeur-interpelle,1391901.php

mardi 13 septembre 2016

Tragique bain de minuit à Saint-Pierre La mer ?

Un gros dispositif de recherche de personne est actuellement en cours à Saint-Pierre La mer : pompiers et gendarmes patrouillent le littoral et la mer pour tenter de retrouver un homme de 67 ans.
Hier, vers minuit, il a pris un bain de minuit avec sa compagne, et n'est pas revenu depuis. C'est sa compagne qui a alerté les secours. Les recherches ont aussitôt été lancées, puis ont été interrompues dans la nuit pour reprendre aujourd'hui. Un hélicoptère,  des bateaux de la gendarmerie maritime et de la brigade nautique sillonnent la zone.  La mer très agitée par le fort vent marin rend la baignade dangereuse ces jours-ci. Une information complétée au fil de la journée.
http://www.lindependant.fr/2016/09/13/tragique-bain-de-minuit-a-saint-pierre-la-mer,2256607.php