mardi 28 février 2017

Après le décès de leur gardien de but, le soutien s'organise autour des enfants

Suite au drame qui a coûté la vie au petit Émile, 10 ans, sur un terrain de football du Lot ce week-end, un dispositif d'accompagnement a été mis en place pour les jeunes.

Entourer les jeunes footballeurs, les protéger : c'est l'objectif des éducateurs sportifs et de l'Éducation nationale. Depuis l'accident de leur coéquipier, Émile samedi sur le terrain de football de Lissac-et-Mouret (46), puis l'annonce de son décès, dimanche, à l'hôpital Purpan, les jeunes joueurs de son club l'Entente Foot Azur, comme ceux de l'Élan Marivalois âgés de 10 et 11 ans font l'objet de toutes les attentions.
«Dès que l'on a compris la gravité de l'accident, nous avons fait sortir les enfants du terrain, se remémore Jérôme, responsable des U11 de l'Élan marivalois. Tandis que les secours étaient prévenus et les premiers gestes de secours pratiqués sur le jeune gardien de but à terre, des parents encadraient les groupes jusqu'aux vestiaires et s'organisaient pour leur faire quitter les lieux au plus vite». Dans sa tête comme dans celles des témoins, cet accident semble irréel. «On est incapable d'expliquer ce drame. C'était une action de jeu comme on en voit chaque samedi, un choc entre un joueur et un gardien», poursuit-il.

Pour Serge Martin, président du District de foot du Lot : «C'est un drame extrêmement rare. Le football lotois est en deuil, nos pensées sont tournées vers les parents et les proches du petit».

Une attention particulière a bien évidemment concerné le jeune garçon impliqué et particulièrement marqué. D'ailleurs Thierry Dumont, l'entraîneur d'Émile, compatissait : «Il y a une famille dans la douleur, mais une autre aussi dans la peine, et je pense aux deux».

Dès le samedi soir, il a contacté chaque famille de son club et fait le point avec son collègue de l'Élan marivalois pour déterminer le niveau d'urgence dans la prise en charge des enfants. Le dimanche, un 1er échange avec un médecin psychiatre a été organisé au stade de Lacapelle. «En tant qu'adultes nous sommes tellement affectés que c'est compliqué de préserver des gamins de ce drame. On leur a adressé des mots simples», dit le responsable de l'équipe marivaloise.

À Lissac et Mouret, dès hier soir, l'encadrement de Foot Azur se réunissait au stade. Mercredi, les coéquipiers d'Émile recevront à leur tour ce soutien psychologique. Les entraînements et tous les matches des équipes jeunes de l'Entente devraient être suspendus.

Dans les 9 écoles concernées par ce drame, l'Éducation nationale a elle aussi déclenché une cellule de crise, comme l'indique Christophe Portenart, responsable de la circonscription de Figeac. «Dès lundi, 7 h 30, infirmière, psychologue, médecin scolaire, enseignants spécialisés du Rased, assistante sociale et conseillers pédagogiques sont intervenus. Par binôme, ils permettaient l'expression des émotions et recueillaient la parole des élèves, en groupe ou individuellement. L'impact et l'aptitude des enfants sont variés».

Ce week-end, dans le Lot, tous les clubs seront appelés à respecter une minute de silence pour Émile. Après l'autopsie hier, les obsèques seront célébrées samedi.
«Tout le monde a été exemplaire et réactif, pour mettre en place une chaîne humaine, avec pour priorité les enfants, remerciait Thierry Dumont, pourtant tout le monde a été traumatisé, même les secours».

http://www.ladepeche.fr/grand-sud/lot/


Lunel : un ami le découvre mort à son domicile

D imanche 26 février, aucun élément suspect n'avait été relevé. L'enquête est en cours.
Ce dimanche 26 février, dans l'après-midi, un Lunellois d'une cinquantaine d'années a été retrouvé sans vie à son domicile, situé rue Sadi-Carnot, à Lunel. La macabre découverte a été faite par l'un de ses amis qui s'étonnait de ne plus avoir de ses nouvelles. L'enquête, confiée aux gendarmes de la compagnie de Lunel, est en cours. 
http://www.midilibre.fr/2017/02/27/lunel-un-ami-le-decouvre-mort-a-son-domicile,1471689.php

lundi 27 février 2017

Un sexagénaire meurt d'une crise cardiaque en pleine partie de chasse

Ce dimanche 26 février vers 9 h 30, un homme âgé de 62 ans est décédé d’une crise cardiaque lors d’une partie de chasse, à Nuzéjouls.
Domicilié sur la commune, Michel Treneule s’est effondré dans un chemin forestier. Un chasseur présent à ses côtés est parvenu à le réanimer une première fois, avant que la victime ne retombe en arrêt cardiaque à l’arrivée des pompiers.
http://www.ladepeche.fr/communes/cahors,46042.html

Toulouse : un enfant meurt après un choc sur un terrain de foot

A Toulouse, ce samedi 25 février, lors d'un match de football entre deux équipes de U11, un jeune de 10 ans a été gravement blessé à la tête au cours de la rencontre, rapporte le site de La Dépêché. L'enfant n'a pas survécu à ses blessures. C'est un fait de jeu qui est à l'origine de ce terrible drame : la victime, gardien d'une des formations, a pris un coup de genou à la tête d'un adversaire qui a eu un mauvais réflexe en tentant de stopper sa course pour éviter son adversaire.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4339946/toulouse-un-enfant-meurt-apres-un-choc-sur-un-terrain-de-foot.html

Hérault : une octogénaire décède après une chute en fauteuil

Alors qu'elle était en famille, une Teyrannaise âgée de 89 ans a échappé à l'espace d'un instant à la vigilance de ses proches et a été victime d'une chute mortelle, ce dimanche, aux environs de 16 h.
Selon les premiers éléments de l'enquête, diligentée par les gendarmes de la compagnie de Castelnau-le-Lez, son fauteuil roulant aurait pris la pente et de la vitesse avant de finir sa course en contrebas dans un fossé présentant une petite retenue d'eau.
Ce dimanche soir, les constatations étaient en cours pour déterminer avec certitude les causes de ce tragique accident de la vie.
http://www.midilibre.fr/2017/02/26/herault-une-octogenaire-decede-apres-une-chute-en-fauteuil,1471473.php

dimanche 26 février 2017

Béziers : une violente collision fait un mort et un blessé léger

Aux alentours de 8h30 ce matin, un accident de la circulation a eu lieu sur la D64 à hauteur du stade de Montflourès, entre la prison du Gasquinoy et le croisement de la route de Narbonne. Cette collision implique deux véhicules et 2 personnes.
Selon les pompiers de l'Hérault, une femme de 49 ans est décédée à la suite de ses blessures. Un autre homme, légèrement blessé, âgé d'une trentaine d'années a, quant à lui été transporté au CH de Béziers.
Selon nos informations, la conductrice de 49 ans aurait percuté une voiture avant de finir sa course contre une seconde après avoir doublé sur une ligne continue.

La circulation a été rétablie sur la départementale vers 10 h 30.

 http://france3-regions.francetvinfo.fr/occitanie/herault/beziers

Un motard de 41 ans décède après une collision avec une voiture

Un motard âgé de 41 ans a trouvé la mort hier vers 18 heures dans une collision frontale avec une voiture entre Burlats et Brassac. L'accident s'est produit au niveau de l'intersection entre la RD 622 et la RD 30, route de Carauce, mais les circonstances exactes de cette violente collision ne sont pas encore clairement déterminées.
Le motocycliste, un officier de police judiciaire du commissariat d'Albi, portait à l'arrière sa fille âgée de 14 ans. Polytraumatisée mais consciente, elle a été prise en charge par les pompiers et deux équipes du Smur avant d'être transportée dans un état très grave vers l'hôpital du Pays d'autan à Castres.
De son côté, la conductrice de la voiture a été blessée légèrement mais se trouvait en état de choc après l'accident et a été elle aussi transportée vers l'hôpital.
L'accident s'est donc produit au niveau du croisement. Selon les premières constatations sur place, Xavier Plontz - qui arrivait de Brassac - n'a pas pu éviter la voiture et l'a heurtée au niveau de l'avant gauche avant d'être très violemment projeté sur le pare-brise de la voiture et de chuter quelques mètres plus loin avec sa passagère.
Un très important dispositif de secours a été déployé hier soir autour du lieutenant J.-Marc Calimache, chef de groupe pompiers, pour faire face avec des unités de Brassac, Mazamet, Castres et Lacrouzette ainsi que deux équipes de Smur.
Une enquête a été ouverte pour comprendre ce qui s'est passé exactement. Elle a été confiée aux gendarmes de la brigade de Montredon-Labessonnié.
http://www.ladepeche.fr/communes/burlats,81042.html

Sortie de route mortelle

Ce samedi après-midi, peu avant 18 heures, un homme de 81 ans, habitant la banlieue de Metz(57) a perdu la vie sur la départementale 42a reliant Bouxières-sous-Froidmont et Longeville-lès-Cheminot. Pour une raison inconnue, son véhicule 4 X 4 Land Rover Defender, de couleur verte a quitté la route étroite et s’est retrouvé sur le toit une vingtaine de mètres plus loin. Des traces étaient visibles le long du bas-côté, qui menaient à la voiture, réduite à l’état d’épave.
Les sapeurs-pompiers de Pont-à-Mousson, aux ordres du capitaine Didier Gauthier, ont été obligés de procéder à un dégagement d’urgence, le conducteur, incarcéré dans son véhicule, étant en état de mort apparente à leur arrivée. Secondés par les médecins du SMUR de l’hôpital de Pont-à-Mousson, ils ont tenté une réanimation. Mais les docteurs n’ont rien pu faire et ont déclaré le décès du conducteur.
Les gendarmes de la brigade de Dieulouard étaient sur place pour les premières constatations, qui ont montré que le véhicule, qui venait de Bouxières-sous-Froidmont et se dirigeait vers Longeville-lès-Cheminot, était seul en cause. Mais la raison de la sortie de route de l’octogénaire restent inconnues. L’enquête ouverte, et les prélèvements effectués sur la victime apporteront peut-être des éclaircissements sur les circonstances du drame.
Vers 19 heures, alors que la circulation était toujours coupée, un véhicule de remorquage de l’entreprise Nadler de Lesménils a commencé à procéder à l’enlèvement du Land Rover.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-pont-a-mousson/2017/02/26/sortie-de-route-mortelle

samedi 25 février 2017

Plouha : un homme tue sa mère âgée avec un fusil de chasse

C'est au lieu-dit Bon-Repos à Plouha que s'est déroulé, selon la gendarmerie et le procureur "un drame familial". Une femme de 90 ans a été tuée par son fils, âgé de 57 ans vendredi 24 février. Il a tiré sur elle avec un fusil de chasse.
D'après les premiers éléments de l'enquête, et suite à ce geste, il a appelé des proches pour leur expliquer ce qui était arrivé. Ces derniers se sont rendus chez lui, ont prévenu la gendarmerie, et les secours. L'homme a été contrôlé positif à l'alcool. Il a d'abord été mis en cellule de dégrisement, avant d'être placé en garde à vue à la gendarmerie de
Binic.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/cotes-d-armor

Gironde : l’enfer d’une femme battue et pauvre

Depuis un an, une Médocaine était devenue l’objet de son compagnon. Il a été condamné à 18 mois de prison, dont neuf ferme, jeudi.
On l’appellera Sandrine. Elle a 41 ans, pas d’emploi et vit du RSA. Elle est assise sur le banc des parties civiles. Son front est gris, le contour de ses yeux varie entre le jaune, le vert et le violet. Le bas de son visage, lui, est encore rouge. Dans la nuit de lundi à mardi, Sandrine a été passée à tabac.
« J’étais couchée, il était minuit. Sans raison, il m’a saisie par les cheveux, m’a traînée hors du lit. Ont démarré les coups de tête, de poings, contre un mur et les insultes. Il s’est arrêté subitement et s’est endormi comme une masse. Il était ivre mort », lit Clémentine Chovin, la présidente d’audience. Entre ses mains, la magistrate tient les déclarations de Sandrine face à la police.

Aucun souvenir

C’était mardi. Sandrine avait rendez-vous au commissariat de Bordeaux, dans le cadre d’une autre procédure. Devant sa figure enflée comme un ballon, l’agent qui la reçoit s’étonne. Elle prétexte une chute. Il insiste. Elle finit par se livrer. Son compagnon n’est pas loin. Il l’attend dans le hall où il est interpellé avant d’être placé en garde à vue et renvoyé devant la 7e chambre du tribunal correctionnel de Bordeaux, dans le cadre d’une comparution immédiate, jeudi.
Petit, une veste militaire trop grande pour lui sur le dos, Marcos Cobo Jurado, 59 ans, n’en mène pas large dans son box. Une première pour cet homme au casier judiciaire vierge. De la nuit de lundi à mardi, il dit n’avoir aucun souvenir. « Entre l’alcool, les cachets, tous ces mélanges… Sous l’effet de la boisson, je ne me contrôle plus. Je suis désolé. »
« Et quand vous vous êtes réveillé, vous n’avez pas vu le visage tuméfié de votre compagne ? », l’interroge la présidente. « Non. » « Et quand vous êtes monté dans la voiture pour la conduire au commissariat ? » « Non plus. » Il faudra que les policiers lui montrent des photos pour qu’il s’écrie : « Mon Dieu, c’est horrible ! » Et ce n’était pas la première fois.
La lecture du rapport du médecin qui a examiné Sandrine éclaire sur l’histoire de ses souffrances. Elle porte des traces de coups sur tout le corps. Certaines blessures sont anciennes. Son supplice a débuté il y a un an, dans le huis clos de ce couple isolé et en situation de grande précarité.
Ils habitent dans une grange louée et rafistolée, dans le Médoc. Elle n’a pas les clés. Tout est à son nom à lui. Son RSA ? Il part sur le compte de Monsieur. Un héritage qu’elle a touché ? Idem. « C’était pour qu’elle ne soit pas embêtée avec sa procédure de surendettement », assure-t-il. Il garde aussi les clés de la voiture de sa compagne. « On se croirait à l’époque où les femmes n’avaient pas le droit d’avoir un compte et de conduire », soupire la présidente.

« Je me retrouve sans rien »

« Je suis perdue. Je me retrouve sans rien. Sans maison, sans argent. Aujourd’hui, je suis dans un foyer d’accueil d’urgence », avoue Sandrine à la barre. « Il faut protéger cette femme à la sortie du tribunal », insiste le procureur de la République Marie-Madeleine Alliot qui requiert de la prison ferme et un mandat de dépôt contre le prévenu.
Elle sera entendue. Marcos Cobo Jurado a été condamné à 18 mois de prison dont neuf assortis d’un sursis avec une mise à l’épreuve de trois ans lui interdisant d’entrer en contact avec la victime, l’obligeant à l’indemniser et à suivre des soins. En outre, il devra verser à son ex-compagne 3 000 euros de dommages et intérêts. Il a été incarcéré à l’issue de l’audience.
http://www.sudouest.fr/2017/02/25/l-enfer-d-une-femme-battue-et-pauvre-3228252-2780.php

Haut-Doubs : une automobiliste tuée dans un choc frontal près de Pontarlier

Drame de la route, ce vendredi aux alentours de 15h30. Une automobiliste de 49 ans, seule à bord de son véhicule, a trouvé la mort dans un choc frontal extrêmement violent entre deux voitures, sur la RN57 près du rond-point de Doubs en direction de Besançon, au lieu-dit "Pont Rouge". Dans l'autre automobile impliquée, deux personnes ont été légèrement blessées. Ce qui n'a pas empêché l'homme de 60 ans et la femme de 53 ans de venir aussitôt au secours de la femme. Un courage admirable qui n'a malheureusement pas empêché la victime, dans un état désespéré, de décéder. Les sapeurs-pompiers ont transporté les deux blessés légers à l'hôpital de Pontarlier. La circulation est coupée dans les deux sens. Une déviation est mise en place par Vuillecin.
http://www.estrepublicain.fr/edition-haut-doubs/2017/02/24/haut-doubs-une-automobiliste-tuee-dans-un-choc-frontal-pres-de-pontarlier

vendredi 24 février 2017

Côtes-d'Armor: une agricultrice trouvée pendue

Une productrice de lait des Côtes-d'Armor, qui vivait très mal la crise du lait, a été trouvée pendue dans sa salle de traite, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie, alors que s'ouvre à Paris le Salon de l'Agriculture.
"Une femme de 47 ans, mère de deux enfants, qui produisait du lait avec son mari et un associé dans un GAEC (Groupement agricole d'exploitation en commun, ndlr), à Plumieux (Côtes-d'Armor), a été retrouvée par ce dernier pendue à une poutre jeudi à 07H00", a indiqué à l'AFP la gendarmerie des Côtes-d'Armor
En difficultés financières, elle a laissé un message disant qu'elle était désolée mais qu'elle ne supportait plus la situation", a précisé l'officier de permanence
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/index.php

Paris : noyade dans un parc aquatique, une enfant de 5 ans dans un état critique

L a jeune victime était en arrêt cardio-respiratoire lors de sa prise en charge par les pompiers. Son pronostic vital est engagé.
Une fillette âgée de 5 ans a été admise au service réanimation à l'hôpital Necker de Paris ce mercredi 22 février dans la soirée, après s'être noyée dans un des bassins à vagues du parc aquatique Aquaboulevard. Selon Le Parisien, qui rapporte l'affaire, le pronostic vital de la victime était engagé lors de son arrivée à l'hôpital. 

Enquête ouverte

Selon les premiers éléments, la fillette se trouvait dans le parc aquatique du XVe arrondissement de Paris en compagnie de son oncle et son amie. C'est un maître nageur qui est intervenu en premier et a sorti l'enfant de l'eau. En arrêt cardio-respiratoire, il a été pris en charge par les pompiers. Une enquête a été ouverte. 
http://www.midilibre.fr/2017/02/23/paris-noyade-dans-un-parc-aquatique-une-enfant-de-5-ans-dans-un-etat-critique,1470402.php

jeudi 23 février 2017

Agenaise tuée à Toulouse : sa fille avait consommé des stupéfiants

Peu d’avancées dans l’enquête sur le meurtre de Patricia Gély, cette assistante sociale rattachée au Conseil départemental de Lot-et-Garonne, retrouvée inanimée dans l’appartement toulousain de sa fille Agathe, samedi dernier.
 
La jeune femme a été hospitalisée d’office après avoir elle-même prévenu les secours et il sera impossible aux enquêteurs de la sûreté départementale de Lot-et-Garonne d’interroger Agathe « tant que les médecins n’auront pas indiqué que son état est compatible avec une garde à vue », indiquait mercredi soir, le parquetier toulousain de permanence.
L’autopsie, pratiquée sur le corps de Patricia Gély, a confirmé la mort par arme blanche. Un couteau dont se serait emparée Agathe, 24 ans, au cours d’une violente altercation avec sa mère.

« Elle avait arrêté ses études »

Les motifs du passage à l’acte de cette jeune femme atteinte de troubles psychiatriques restent donc encore assez flous, mais le parquet confirme qu’elle avait consommé des stupéfiants peu avant le drame. Le week-end dernier, Patricia Gély avait quitté Agen pour passer le week-end chez sa fille à Toulouse.
« Dans le temps réduit que nous avons eu avant son hospitalisation d’office, nous avons compris qu’elle avait été étudiante, mais on ne savait pas ce qu’elle faisait depuis quelques mois », indique le parquet.
http://www.sudouest.fr/2017/02/23/la-fille-de-patricia-gely-avait-consomme-des-stupefiants-3221540-3603.php

Nîmes : mort suspecte d'un nouveau-né, le père en garde à vue

Q uand les secours sont arrivés, mardi 21 février, à Valdegour à Nîmes, le bébé était mort. Le compagnon est en garde à vue. 
Lorsque les secours sont arrivés mardi 21 février après-midi dans cet appartement de Valdegour à Nîmes, le bébé était mort. Sa maman qui venait d'accoucher portait des traces de violences. Son compagnon était mercredi 22 février toujours en garde à vue dans les locaux du commissariat.
Une autopsie du bébé est prévue ce jeudi 23 février. Elle devrait permettre de confirmer ou non si le bébé est mort né.
http://www.midilibre.fr/2017/02/22/nimes-mort-suspecte-d-un-nouveau-ne-le-pere-en-garde-a-vue,1470023.php

mercredi 22 février 2017

Mailhac-sur-Bénaize (87) : un jeune stagiaire décède dans une exploitation agricole

Un tragique accident s'est déroulé le lundi 20 février aux alentours de 18h à Mailhac-sur-Bénaize en Haute-Vienne. Un jeune homme en stage dans une exploitation agricole est tombé dans un mélangeur d'aliments pour le bétail. Les circonstances exactes ne sont pas connues
Aux alentours de 18h, le lundi 20 février, à Mailhac-sur-Benaize, un jeune homme de 17 ans tombe dans mélangeur d'aliments pour bétail en fonctionnement. Les pompiers sont intervenus sur place mais ils n'ont pu que constater le décés du jeune garçon.
A 17 ans, il effectuait un stage dans cette exploitation agricole.
Une enquête de gendarmerie a été ouverte

http://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/haute-vienne

Un piéton fauché sur l'A7 alors qu'il traversait l'autoroute

Un jeune homme de 22 ans a été fauché par un camion cette nuit alors qu'il traversait l'autoroute A7 à la hauteur de la Mulatière. Une information du Progrès
On ignore pour l'instant les circonstances du drame relaté par le journal "Le Progrès".
Un homme de 22 ans a été fauché par un camion mardi vers 20h alors qu'il traversait à pied l'autoroute A7 à la  hauteur de la Mulatière. Le chauffeur du poids-lourd a, semble-t-il,  été surpris par l'irruption du piéton à cet endroit. Il n'a pas pu l'éviter.

La CRS 45 est intervenue pour sécuriser les lieux. Le trafic a été réduit tandis que l'on procédait aux premières constatations

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/lyon

Le motard landais accidenté samedi à Ossès (64) est décédé

Originaire de Saint-André-de-Seignanx, le motard avait percuté une barrière samedi après-midi alors qu’il circulait sur la D918 à Ossès au Pays basque, en direction de Bayonne
Le jeune homme de 21 ans, originaire de Saint-André-de-Seignanx, et qui avait été grièvement blessé dans un accident de la circulation à Ossès au Pays basque, samedi après-midi, est décédé ce mardi à l’hôpital de Bayonne
Le choc contre une barrière avait provoqué des lésions cérébrales très graves. En dépit des soins prodigués par les équipes du centre hospitalier de Bayonne où il avait été transporté par hélicoptère, peu de temps après le drame, le jeune homme n’a pas survécu à ses blessures.
Enquête en cours

mardi 21 février 2017

L'hommage des sapeurs pompiers de Nice à l'un des leurs, mort au feu

Ce mardi matin se tenait la 20e cérémonie en mémoire du sapeur David Anguille, mort au feu à Nice le 21 février 1997.            
Elle s'est tenue à la caserne Hancy de Nice en présence du colonel Alain Jardinet, directeur du Service départemental d’incendie et de secours des Alpes‐Maritimes par intérim, du lieutenant‐colonel Olivier RIquier, chef du groupement Nice‐Montagne et du capitaine Frédérik Caille, chef de centre du CIS Hancy.
Une plaque a été dévoilée en présence de la famille de David Anguille et de représentants d'Eric Ciotti, président du Conseil départemental et de Philippe Pradal, maire de Nice.
Afin d’honorer la mémoire de leur camarade, une course de cohésion a ensuite été lancée au départ du CIS Hancy.
http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

lundi 20 février 2017

Vaulx-en Velin : le club de l'ASUL handball endeuillé par la disparition de Sephora Zozime

Séphora Zozime, sociétaire de l'ASUL Handball Vaulx-en-Velin, est décédée samedi soir dans l'accident de circulation qui a fait un mort et deux blessés graves avenue de Bohlen à Vaulx. Elle fêtait ce soir là son 23ème anniversaire. Son club de handball, où elle entraînaît les jeunes, est sous le choc.    
éphora Zozime avait tout juste 23 ans. Elle fêtait samedi son anniversaire et c'est en rentrant du bowling qu'elle est morte à Vaulx-en-Velin dans une collision à un carrefour qui a fait par ailleurs deux blessés graves. Un accident d'une violence inouie lié sans doute à un feu rouge grillé et à un refus de priorité causé par une autre automobiliste.
La disparition brutale de Sephora provoque une grande émotion au sein du club de l'ASUL Vaulx-en-Velin, où elle avait elle-même débuté à l'âge de 11 ans. Ses camarades l'avaient croisé dans la semaine et samedi encore, quelques heures avant sa mort, alors qu'elle était venue suivre un match de hand.
"Sephora était pleine de vie et d'envies" explique Anthony Serez, le président du club . "Elle s'habillait toujours en noir mais elle portait des couleurs en elle. Elle adorait la musique" se souvient -il "Je lui avais demandé de passer une visite médicale après une sévère blessure aux ligaments croisés pour reprendre la compétition", explique le dirigeant.
http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/lyon

Le conducteur percute un arbre et perd la vie

Le drame s'est produit hier, à la tombée de la nuit, aux alentours de 17 h 30. Un kilomètre après le village de Saint-Martin-d'Oydes, en direction de Pamiers, un conducteur d'une cinquantaine d'années perd le contrôle de son véhicule, sur la D626 A, une route étroite bordée d'arbres.
«Il s'agit d'un homme originaire des Pyrénées-Orientales», témoigne la maire de la commune, Geneviève Leleu, qui s'est dépêchée sur les lieux. «L'accident pourrait avoir été provoqué par un dépassement. En doublant une voiture, le conducteur s'est déporté sur le bas-côté.» Il perd le contrôle de sa fourgonnette, et c'est alors que l'avant de son véhicule percute un arbre
Dépêchés sur place, les pompiers de Saverdun, de Pamiers et les gendarmes de la brigade de Saverdun n'ont pu que constater le décès du conducteur. «Selon les hommes du SMUR, il est décédé sur le coup», poursuit Geneviève Leleu. «C'est dramatique, dès qu'il y a mort d'homme, c'est toujours dramatique. J'ai essayé de rassurer les passants car cela crée un certain traumatisme chez les gens. Les familles choquées qui étaient à bord des deux véhicules doublés ont été prises en charge par les secours», raconte l'élue. Avant de rappeler le caractère accidentogène de la route.
http://www.ladepeche.fr/communes/saint-martin-d-oydes,09270.html

dimanche 19 février 2017

Une jeune femme tue sa mère à l'arme blanche

Un drame familial s'est joué aujourd'hui vers 13 heures dans un appartement du centre de Toulouse, rue Urbain-Vitry. Une jeune femme, âgée de 24 ans, qui est connue pour souffrir de sérieux problèmes psychiatriques a porté plusieurs coups de couteau à sa mère
Quand les secours sont arrivés sur place, ils n'ont pas pu sauver cette femme qui était âgée de 58 ans. La jeune fille, blessée notamment à une main, a dû être prise en charge et transportée pour recevoir de soins à l'hôpital Purpan. Les policiers de la sûreté urbaine, chargés de l'enquête par le parquet, n'ont pour l'instant pas pu l'entendre. L'origine de la querelle entre la mère et sa fille est pour l'instant très incertaine.
Les problèmes psychiatriques de la principale suspecte compliquent les investigations. Les policiers attendent l'avis d'un expert psychiatre pour savoir s'ils vont pouvoir entendre cette jeune femme ou si son état psychique rend sa garde à vue incompatible
http://www.ladepeche.fr/communes/toulouse,31555.html

samedi 18 février 2017

Un enfant meurt dans un accident de luge

Un enfant de quatre ans est décédé et son père et sa soeur de huit ans ont été grièvement blessés lors d'une chute en luge dans un ravin, dans une station de ski située entre le Gard et la Lozère.
Les deux enfants ont fait une sortie de piste en luge vers 13h et ont chuté de 15 mètres en contrebas à Prat-Peyrot, la station de ski du Mont-Aigoual, à la frontière entre le Gard et la Lozère.
La fille de huit ans était grièvement blessée à la jambe et en état d'hypothermie. En essayant de secourir ses enfants, le père a également chuté en bas de la falaise et s'est fracturé une jambe.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Une femme retrouvée morte au pied de son immeuble à Grenoble

Une femme de 58 ans est morte samedi 18 février 2017, vers 6 heures 30, après une chute du quatrième étage d'un immeuble situé galerie de l'Arlequin à Grenoble.
Le fils de la victime a, quant à lui, été attaqué par son chien.

Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cette defenestration

http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/isere/grenoble
Un terrible accident de la circulation s’est produit vendredi soir à Miserey-Salines, rue de Besançon, vers 18 h 30. Pour des raisons qui restent à déterminer, un jeune homme de 18 ans, alors qu’il traversait la chaussée, a été renversé par un bus de ramassage scolaire. Le choc a été brutal et a envoyé la victime au sol. Les secours sont arrivés très rapidement sur place.
Le garçon a été pris en charge et médicalisé sur place par le Samu, avant d’être conduit, dans un état grave, vers l’hôpital de Besançon. Aucune indication sur son pronostic vital n’a été fournie.
Le conducteur du bus et une jeune fille de 18 ans, choqués, ont également été examinés et pris en charge
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/02/18/un-garcon-de-18-ans-gravement-percute-par-un-bus

vendredi 17 février 2017

Cannes: un homme électrocuté sur un train

La cadavre carbonisé d'un homme a été retrouvé ce matin au centre de maintenance SNCF de Cannes La Bocca (Alpes-Maritimes) sur le toit d'un train en provenance de Vintimille, en Italie, ont indiqué des sources concordantes.
» Lire aussi - Le tribunal de Nice clément avec Cédric Herrou, «passeur» humanitaire
D'après la police, en charge de l'enquête, l'homme n'avait pas de papiers sur lui et il est, dans l'état, difficilement identifiable. II s'agit d'un individu de sexe masculin, relativement jeune, mais dont la couleur de peau, notamment, n'est pas reconnaissable.
Selon une source policière, il y a de fortes présomptions que la personne retrouvée décédée soit un migrant qui serait monté sur le train en gare de Vintimille. Une enquête a été confiée à la police locale pour déterminer les circonstances exactes du drame et le parquet de Grasse a été saisi.
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Verrières (16) : un homme de 29 ans décède après une sortie de route

Le conducteur angoumoisin, seul en cause, a fait plusieurs tonneaux jeudi soir, vers 20 heures. Il est décédé vendredi matin des suites de ses blessures.
Malgré les efforts des secours, l’homme de 29 ans qui a perdu le contrôle de sa Clio, jeudi soir à Verrières, est  décédé vendredi matin.
C’est un accident d’une extrême brutalité qui a eu lieu sur la D 151, peut avant 20 heures, au lieu dit Chez Mauzée. Un conducteur circulant dans le sens Criteuil – Saint-Fort-sur-le-Né a perdu le contrôle dans un virage et réalisé plusieurs tonneaux. Les gendarmes, dans leur constatation, ont noté que les arbres ayant encaissé le choc ont été sectionnés à 2 mètres de hauteur. Des indices qui laissent penser à une vitesse excessive dans cette courbe relativement prononcée, où aucun autre véhicule ne semble en cause.
Les pompiers de Segonzac et Cognac, rapidement arrivés sur cette route peu fréquentée limitée à 90 km/h, ont trouvé la Clio sur le toit. A l’intérieur, cet homme originaire de Gond-Poutouvre était en arrêt cardio-respiratoire. Grâce aux soins prodigués par le Smur de Cognac, la victime de 29 ans a pu être réanimée. Pendant une heure, les secours ont tenté de stabiliser son état. Devant la gravité des blessures, notamment une plaie à la tête, une évacuation en hélicoptère a été envisagée. Finalement, les signes vitaux de l’Angoumoisin se dégradant, l’option d’un transfert par ambulance a été choisie, en destination du CHU de Bordeaux.
Les médecins ont constaté son décès, vendredi, à 5 heures du matin.
http://www.sudouest.fr/2017/02/17/verrieres-16-un-homme-de-29-ans-grievement-blesse-apres-une-perte-de-controle-3205849-1216.php

L’ultime combat de la boulangère malade

C’est trop tard » Il faut une énergie folle à Charlotte Charlopin pour communiquer ces trois mots, à la fois simples et remplis de désespoir. Boulangère à Champigneulles, cette femme d’une soixantaine d’années a la maladie de Charcot.
La sexagénaire est à un stade avancé de cette pathologie incurable qui entraîne une paralysie de tous les muscles. Elle ne peut plus du tout bouger, ni parler. Pour échanger avec elle, il faut un abécédaire et lui montrer les lettres l’une aprés l’autre.
« Dire qu’il y a moins d’un an, elle courait partout. Elle était encore pleine de vie. Elle vendait le pain avec moi », soupire Morgane Thomassin. Cette jeune fille est une employée de la boulangère. Le commerce a périclité avec l’état de santé de sa gérante et a fermé définitivement ses portes, il y a une semaine.
La jeune salariée qui habite juste à côté, continue toutefois à rendre visite à sa patronne. Elle s’est attachée à elle et l’aide au quotidien. Tout comme des infirmières, des médecins et des auxiliaires de vie qui passent plusieurs fois par jour.
Si la boulangère a pratiquement perdu tous ses moyens physiques, elle a en revanche gardé toute sa tête. « Charlotte est intelligente. Elle se rend compte de tout ce qui lui arrive. Elle sait qu’elle est condamnée et elle veut mourir tranquillement chez elle avec son chien et son chat », confie un de ses amis, Jean-Paul Fischer.
Mais cet ultime souhait semble compromis. La boulangère est en effet censée quitter au plus vite son logement situé au-dessus de son ancien commerce. « Car l’appartement est lié à la boulangerie qui a été mise en liquidation. Le liquidateur judiciaire veut le récupérer. L’eau, le gaz et l’électricité vont être coupés prochainement », précise Jean-Paul Fischer.

En danger

Il n’y a toutefois pas que la justice à pousser dehors la sexagénaire malade. « Tout le personnel médical qui est autour d’elle, préconise un départ vers un établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD). Car la laisser dans la situation actuelle constitue un danger », explique le nouveau maire de Champigneulles, Bernard Vergance.
La boulangère a pourtant clairement exprimé sa volonté de ne pas aller dans un EHPAD dans une lettre, véritable appel au secours qu’elle a affiché sur la porte de sa boulangerie. Cela a interpellé les habitants du secteur et provoqué une vague d’émotion sur les réseaux sociaux. « C’est une femme de caractère qui était très active. Elle s’est toujours débrouillée toute seule dans la vie et je peux comprendre son envie de rester chez elle », confie ainsi Lydia Wacker, une employée de la pizzeria voisine.
Les amis de Charlotte Charlopin essaient de trouver un autre appartement à la boulangère. Mais c’est pour l’instant mission impossible. « Car, d’une part, elle n’a plus de ressources et d’autre part, les services sociaux ne veulent pas lui fournir un logement où elle resterait seule la nuit », constate Jean-Paul Fischer. Conséquence : un départ pour un EHPAD est programmé ce lundi. « Mais si elle refuse de monter dans l’ambulance, on retourne à la case départ et le problème reste entier », précise le maire de Champigneulles qui tente de trouver une solution à ce qui est un vrai dilemme
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-agglomeration/2017/02/17/l-ultime-combat-de-la-boulangere-malade

jeudi 16 février 2017

Suicide au grand magasin Le Printemps

Un homme se serait jeté, cet après-midi, de l’escalator central du sommet du magasin (le huitième étage) et serait retombé « sur un sol en verre », six étages plus bas, rapporte Le Parisien.
« Selon le commissariat du IXème arrondissement, il s’agit d’un suicide », indique la direction qui reste très prudente sur les faits et « exprime sa compassion pour la famille de la victime ».
À la suite de l’intervention de la police et des pompiers, le grand magasin a été fermé et le personnel « très choqué a été pris en charge en interne », soulignent les secours. En fin d'après-midi, les clients qui souhaitaient profiter de l'ouverture nocturne jusqu'à 20h45 se voyaient indiquer par les vigiles que le magasin était "fermé pour des problèmes techniques
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Saône-et-Loire : un automobiliste a été retrouvé mort dans la Saône

Les faits se sont produits en début de soirée mercredi 15 février 2017 sur la commune d’Ormes, près de Cuisery, dans la Bresse bourguignonne, ont indiqué les gendarmes.
Il était environ 22 heures quand les plongeurs ont pu remonter à la surface le corps d’un automobiliste. Il s'agit d'un jeune homme, "un gendarme adjoint volontaire de 21 ans", selon
le Journal de Saône-et-Loire.
Les recherches se sont poursuivies tard dans la nuit et ont repris ce matin pour s’assurer qu’il n’y avait pas d’autre occupant dans le véhicule
http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers/accident?r=bourgogne-franche-comte

Le capitaine Thomas Cuenin tué dans un carambolage en Vendée

Il avait risqué sa vie sur bien des théâtres d’opérations. En première ligne des combats, comme lors dès premières heures de l’opération Sangaris en Centre-Afrique : le capitaine Thomas Cuenin, 28 ans, originaire de Nancy, est décédé, impuissant, dans le carambolage effroyable de Saint-Etienne-de-Brillonet, en Vendée. Sa voiture faisait partie, de celles qui suivaient le camion transportant des bobines de papier, et qui a perdu son chargement, vendredi 10 février.
Thomas Cuenin avait choisi très tôt le métier des armes comme un sacerdoce. Lycée Loritz à Nancy, préparation militaire à La Flèche, puis Saint-Cyr : une voie royale, pavée d’embûches, s’ouvrait alors pour le jeune officier, très sportif qui ne versera jamais dans la facilité. L’infanterie, le brevet parachutiste, celui, très sélectif, d’instructeur commando, la qualification de chef de section « troupes aéroportées » : Thomas Cuenin, modèle de droiture et de loyauté, avait opté pour le terrain et l’action, mais aussi pour l’une des plus belles unités en France, le 1er Régiment de chasseurs parachutistes.
Instructeur depuis deux ans à Saint-Maixent, Thomas Cuenin, qui s’était marié en 2012 avec Marine, avait un petit garçon de 3 ans et allait prendre la tête d’une compagnie, en août prochain au 1er RCP. Fils et frère aimant et chaleureux, né au foyer de Véronique Cuenin, médecin à Saint-Clément et de Jean-Michel Cuenin, gérant de société, ce grand gaillard athlétique gardait des liens très forts avec Nancy, où ses parents résident toujours. Ils rendront un dernier hommage à Thomas Cuenin vendredi 17 février, à 10 h, en la cathédrale de Nancy.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2017/02/16/thomas-cuenin-tue-dans-un-carambolage-en-vendee

mercredi 15 février 2017

Geste désespéré à l’hôpital médian

Un homme de 52 ans est décédé, hier vers 6 h 30 à l’Hôpital Nord Franche-Comté à Trévenans, après un probable geste désespéré. L’information a été révélée par la direction dans un communiqué. Selon les éléments recueillis, le malheureux au comportement dépressif était arrivé aux urgences vers 18 h après une tentative de suicide. Il serait sorti du service vers 3 h 30 à l’insu du personnel soignant. Il aurait déambulé dans les couloirs pour finalement se retrouver dans la galerie du deuxième étage qui surplombe le hall d’entrée. C’est là qu’il a enjambé la balustrade au niveau d’un atrium et s’est jeté dans le vide. Le personnel du Smur est aussitôt intervenu pour lui porter secours. Le désespéré souffrait d’une fracture au bassin, d’une fracture à une vertèbre cervicale et d’une plaie au foie. Malgré les soins qui ont été prodigués, le patient est décédé d’un arrêt cardiaque. Les gendarmes de la brigade de Belfort, qui ont reçu le renfort d’un technicien en investigations criminelles, ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de la mort du quinquagénaire. Le parquet de Belfort a par ailleurs ordonné une autopsie.
Dans un communiqué, la direction de l’hôpital a présenté ses condoléances à la famille et a précisé qu’elle tirerait les conséquences du suicide, pour éviter qu’un nouveau drame ne se reproduise.
Avant l’ouverture de l’hôpital médian, le personnel s’était inquiété de la facilité avec laquelle on pouvait enjamber la balustrade dans les galeries des étages. L’architecte avait alors répondu qu’elle avait une hauteur réglementaire
http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2017/02/15/geste-desespere-a-l-hopital-median

mardi 14 février 2017

Accident de train au Luxembourg : un mort et plusieurs blessés

Une collision entre un train et un convoi de marchandises a fait un mort et plusieurs blessés
Une personne est décédée lors d’une collision ce mardi matin au Luxembourg entre un train de passagers et un convoi de marchandises, et deux autres ont été hospitalisées, a indiqué à la mi-journée la police grand-ducale. Le "Plan Nombreuses Victimes" a été déclenché et une centaine de secouristes étaient à l’oeuvre sur les lieux de l’accident. Un "poste médical avancé" a été établi à proximité.
L’accident est survenu vers 9 heures à Düdelingen, entre Zoufftgen, en France, et la gare de triage de Bettembourg, au Grand-Duché. Le train de marchandise venait de France, tandis que le train de passagers, parti de Luxembourg, se dirigeait vers la France. 

Les raisons de l’accident encore inconnues

Les raisons de l’accident "restent encore à déterminer", avait plus tôt dans la matinée précisé la compagnie des chemins de fer luxembourgeois (CFL), qui opérait le train de passagers. Le procureur a chargé la police d’ouvrir une enquête et une unité canine a été envoyée sur place, selon le communiqué de la police.
http://www.sudouest.fr/2017/02/14/accident-de-train-au-luxembourg-un-mort-et-plusieurs-blesses-3196636-4755.php

Dinan: une fillette meurt de la tuberculose

Une enfant de 4 ans est morte de la tuberculose en Bretagne la semaine dernière, selon les informations de Ouest France. La fillette, originaire de Vildé-Guingalan, près de Dinan, dans les Côtes d'Armor, avait été emmenée à l'Hôpital Sud de Rennes, où elle n'a pas pu être sauvée.
Les morts liées à la bacille de la tuberculose sont très rares en France de nos jours. Face aux risques de contagion, une campagne de dépistage a été lancée dans l'école maternelle de la fillette : les deux classes seront soumises à une radio pulmonaire. Selon l'Agence Régionale de Santé, ce dépistage sera proposé à toutes les personnes qui ont fréquenté la petite plus de huit heures durant les trois derniers mois, ce qui inclut aussi le personnel de l'école et ses proches
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Le routier décédé avait plus de 3 g d’alcool dans le sang

Une chute de sa cabine. Après avoir examiné le corps du routier roumain retrouvé sans vie à côté de son camion samedi au petit matin, le Dr Frémont, médecin légiste, a conclu à une chute accidentelle. Si on savait que le routier avait passé la soirée sur un parking à proximité de l’entreprise ArcelorMittal à Revigny-sur-Ornain et que celle-ci avait dû être arrosée, les résultats de l’analyse de sang pratiqués sur le corps du routier ont été connus ce dimanche. L’homme présentait un taux d’alcoolémie de 3,24 g par litre de sang. Une alcoolisation massive qui explique peut-être que l’homme ait chuté de la cabine de son poids lourd en voulant satisfaire un besoin naturel.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-bar-le-duc/2017/02/12/le-routier-decede-avait-plus-de-3-g-d-alcool-dans-le-sang

lundi 13 février 2017

Amputée des 4 membres: elle raconte son calvaire au CHU

En 2011, une jeune mère de famille subit une IVG au CHU de Bordeaux. Elle en ressort amputée des quatre membres après avoir contracté une maladie nosocomiale.
Même si le CHU a été condamné, cette mère de 3 enfants a décidé de témoigner auprès de nos confrères du Plus, de L'Obs.
L'hôpital devra l'indemniser
Le tribunal de Bordeaux a considéré qu'aucun élément "ne permet de limiter la part de responsabilité du CHU" dans cette terrible affaire.
L'hôpital de Bordeaux a été condamné par le tribunal administratif de Bordeaux début 2017, comme le relataient nos confrères de Sud-Ouest. Le CHU devra indemniser la victime. Une provision de 300 000 euros a déjà été versée.
Dans le viseur de Priscilla ? Les médecins qui l'ont soignée. «Aujourd’hui, ces "professionnels" de la santé travaillent toujours. Pourtant, ils devraient d’urgence être interdits d’exercer. Ils sont dangereux et c’est une honte pour la France qu’ils demeurent impunis», déclare-t-elle.
Elle raconte par le menu sa prise en charge, que le tribunal a jugé "défaillante".

«J’ai donc fait confiance à ce médecin que je n’ai jamais vu de ma vie»

«Sur place, j’ai eu affaire à une interne qui discutait de mon cas avec le médecin de garde au téléphone (...). Et j’ai donc fait confiance, comme beaucoup d’autres l’auraient fait, à ce médecin (de garde) que je n’ai jamais vu de ma vie. En effet, il n’est jamais venu m’ausculter ou me rencontrer. Il a donné des ordres à distance, sans savoir dans quel état j’étais.»
Le premier à se rendre compte de son état, dit-elle, est un médecin généraliste, qu'elle consulte plus de 24 heures après les premiers symptômes.
Elle est finalement transportée à nouveau au CHU: «Ce n’est qu’à minuit, qu’(un médecin) est enfin revenu pour me dire : "C’est grave, on vous transfère en déchocage". Je n’étais presque plus consciente. Arrivée au CHU de Bordeaux en état de choc septique grave à 12 heures, je suis restée jusqu’à minuit dans les urgences de la maternité de l’hôpital.»
A son mari, on explique alors que son pronostic vital est engagé. Elle passe huit jours dans le coma. Puis le réveil, où elle se découvre amputée.

Bactérie mangeuse de chair

«Tous mes organes ont été touchés par cette infection. Plus rien ne fonctionnait normalement. J’avais des nécroses de peau partout, mon corps était plein de trous. Le streptocoque pyogène de type A, baptisé "bactérie mangeuse de chair", était en train de ronger les graisses et les tissus de mon corps. Mes extrémités étaient nécrosées, il fallait m’amputer les deux jambes et les deux bras.»
Désormais, Priscilla a deux combats. Le premier est de voir le médecin condamné.
«En attendant, j’aimerais vraiment voir le médecin du CHU de Bordeaux, celui qui ne m’a pas prescrit les trois petits grammes d’antibiotiques qui auraient changé ma vie, derrière les barreaux. Même si je n’y crois pas trop. Là encore, notre système est mal fait.»

2017, «l'année de la greffe»

Le second, c'est d'obtenir une greffe des mains. «Si tout se passe bien, je pourrais m’inscrire pour une opération. J’espère sincèrement que 2017 sera l’année de la greffe.»
http://www.estrepublicain.fr/faits-divers/2017/02/13/amputee-des-4-membres-elle-raconte-son-calvaire-au-chu
 

samedi 11 février 2017

Un skieur décède dans les Hautes-Alpes

Un skieur âgé d'une trentaine d'années est mort samedi après-midi dans les Hautes-Alpes après avoir été emporté par une avalanche qu'il a déclenchée accidentellement à 2.400 mètres d'altitude, a-t-on appris auprès des secours en montagne. L'accident est survenu peu avant 16H00 samedi dans le secteur de l'Ombilic, un sommet du Briançonnais, alors que le trentenaire pratiquait le ski de randonnée avec deux autres skieurs, tous indemnes.
La victime aurait été complètement ensevelie par la coulée et "traîné sur deux ou trois cent mètres", a précisé le Peloton de gendarmerie de haute montagne (PGHM) de Briançon, qui a engagé un vingtaine de secouristes sur place. L'homme, originaire de la région, a été retrouvé vers 18H00 par un chien d'avalanche et a été transporté vers l'hôpital de Briançon, où il est décédé. Une enquête, confiée au PGHM de Briançon, a été ouverte pour éclaircir les circonstances du drame
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Montcaret (24) : accident mortel sur la route de Bordeaux

Deux collisions se sont produites quasi concomitamment, faisant un mort L’effroi s’est abattu sur la route de Bordeaux hier soir, sur la commune de Montcaret, entre Sainte-Foy-la-Grande et Castillon-la-Bataille. Vers 19 h 15, un choc frontal d’une grande violence s’est produit sur la départementale 936. À leur arrivée, les secours ont trouvé le conducteur d’un des véhicules, un habitant de Montcaret âgé de 38 ans, en arrêt cardio-respiratoire. Les tentatives pour le sauver sont restées vaines, le malheureux est décédé sur les lieux du drame. Dans l’autre véhicule, la conductrice, âgée d’une cinquantaine d’années, a été grièvement blessée dans la collision. Il semblerait que la robustesse de son break soit pour beaucoup dans sa survie. Au terme d’une longue opération de désincarcération, elle a pu être évacuée par hélicoptère vers un centre hospitalier. Son passager, un homme de 18 ans, a pour sa part été légèrement blessé. Huit personnes impliquées Il se trouve que quasi concomitamment, sur le même axe, un second accident s’est produit impliquant huit personnes, dont cinq enfants. Il a possiblement été provoqué par un ralentissement : il s’agirait de deux véhicules roulant dans le même sens de circulation qui se seraient percutés au lieu-dit L’hirondelle. L’un était un fourgon dans lequel se trouvaient un couple et cinq enfants, l’autre un automobiliste roulant seul. Hier soir, à l’heure où nous bouclions nos pages, il était indiqué que ce second accrochage avait uniquement occasionné des blessures mineures. Une déviation a été mise en place le temps des interventions.
http://www.sudouest.fr/2017/02/11/deux-accidents-et-un-mort-sur-la-d-936-3188450-1953.php

Un jeune homme retrouvé mort dans son garage

Un homme d’une vingtaine d’années est décédé, ce vendredi, à son domicile d’Aïssey (Doubs). Les efforts des secours pour le réanimer sont restés vains
Les pompiers ont été alertés peu avant 13 h, ce vendredi, pour un feu d’habitation, au cœur du petit village d’Aïssey, situé à une trentaine de kilomètres de Besançon, non loin de Bouclans.
Les riverains signalaient un important dégagement de fumée, ce qu’ont effectivement constaté les sapeurs pompiers dès leur arrivée. Très vite, alors qu’ils procédaient aux reconnaissances dans cette maison, les secours ont découvert un individu de 26 ans allongé dans son garage. L’homme était en arrêt cardiaque.

Une autopsie programmée

Malgré les efforts de réanimation dans l’ambulance des pompiers, puis par l’équipe SMUR dépêchée sur place, la victime n’a pas repris connaissance. Une autopsie sera réalisée. L'homme, employé dans les travaux publics, habitait le village depuis sa naissance.
Aucune autre personne n’a été blessée, ni même évacuée lors de l’intervention. Une fois le feu maîtrisé, les gendarmes ont procédé aux constatations d’usage. Les techniciens de l’identification criminelle ont « gelé » la scène, pour tenter de déterminer les circonstances exactes de ce drame humain. L’enquête, elle, a été confiée à la brigade de Roulans. La piste accidentelle serait privilégiée. Sur les lieux, l'hypothèse d'un radiateur électrique ayant pris feu était notamment évoquée.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/02/10/incendie-a-aissey-(doubs)-un-homme-retrouve-mort-dans-son-garage

vendredi 10 février 2017

L'incendie s'est déclaré vendredi, peu après 6h30, dans une habitation située sur la commune de Plouvien (Finistère). Un couple était présent à l'intérieur du logement au moment des faits.
Une trentaine de sapeurs-pompiers de Plabennec, Plouguerneau, Lannilis et Brest se sont rendus sur place pour maîtriser les flammes.
Les secours ont fait la découverte du corps sans vie d'un homme a-t-on appris auprès du Service départemental d'incendie et de secours. La compagne de la victime, légèrement intoxiquée par les fumées, a été prise en charge par les secours. 

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere

Impressionnant accident sur une autoroute de Vendée, cinq blessés dont un grave

Un accident s’est produit ce vendredi matin sur l’A83. Il implique six voitures et un poids lourd
Un impressionnant accident impliquant six voitures et un poids lourd s’est produit ce vendredi matin à 6h45 sur l’A83, en Vendée, rapporte Ouest-France
Pour une raison encore inconnue, le camion, qui transportait des ballots de papier s’est couché sur la chaussée. Cinq personnes ont été blessées dans cet accident, dont une en état d’urgence absolue, transportée au CHU de Nantes
Le 22 décembre dernier, la Vendée avait déjà été le théâtre d’un impressionnant double carambolage, cette fois sur la D160. Provoqué par ce que les témoins avaient décrit comme un "mur de brouillard", ce carambolage, qui impliquait 35 véhicules, avait coûté la vie à cinq personnes et fait une vingtaine de blessés. 
http://www.sudouest.fr/2017/02/10/video-impressionnant-accident-sur-une-autoroute-de-vendee-cinq-blesses-dont-un-grave-3186289-7.php

jeudi 9 février 2017

Il tue une femme en pleine rue et se suicide

Un homme d'une trentaine d'années a tué au fusil à pompe une femme de 35 ans, aujourd'hui, en plein centre de Corbeil-Essonnes, puis a retourné l'arme contre lui, a-t-on appris de sources policières
"Il a tiré à deux reprises, vers 18h, puis s'est suicidé", a précisé l'une des sources. "Il n'avait pas de papiers d'identité sur lui. On ne sait encore rien des liens qu'il avait avec la victime", a-t-elle ajouté.
"Il s'agirait d'un couple et d'une séparation mal acceptée", selon la seconde source. L'enquête a été confiée au commissariat de Corbeil-Essonnes
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Gard : des chasseurs découvrent un cadavre à Junas

L e corps a été découvert en fin d'après-midi ce mercredi 8 février, en pleine garrigue.
Ce mercredi 8 février, en fin d'après-midi, les autorités ont été prévenues d'une découverte de cadavre. En fait, des chasseurs sont tombés par hasard  sur un  corps en pleine campagne. Un vaste dispositif a été déclenché pour connaître les causes de la mort. Les  militaires de la cellule d'identification criminelle du groupement de gendarmerie ont été envoyés sur les lieux ainsi qu'un médecin de l'institut de médecine légale (IML) de Nîmes.  
 
Les gendarmes de la compagnie de Vauvert se  sont aussi déplacés sur le site afin d'effectuer les premières  constatations et identifier ce cadavre et connaître les causes de la mort. Les investigations sont en cours. Aucune piste n'est écartée à ce stade des investigations.

mercredi 8 février 2017

La Rochelle: noyade dans un parc aquatique

Un enfant de sept ans a péri noyé hier après-midi dans un parc aquatique situé près de La Rochelle. Le garçonnet, qui était accompagné par un membre de sa famille, s'est noyé alors qu'il venait de s'élancer dans le grand bassin depuis un toboggan, dans le parc aquatique et de loisirs "Palmilud", à Périgny, en Charente-Maritime
Selon les premiers éléments de l'enquête, le maître-nageur n'aurait rien vu du drame. Il aurait ensuite tenté de réanimer l'enfant. Celui-ci a été transporté dans un état très grave à l'hôpital de La Rochelle où il est décédé. Pour une raison encore indéterminée, l'enfant aurait retiré ses brassards avant d'emprunter le toboggan. Le centre aquatique, qui comprend plusieurs bassins ainsi qu'un espace détente et un parc, a été fermé pendant deux jours.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Occitanie: elle fonce sur sa mère et la tue

Une fille de 16 ans a tué sa mère hier soir à Prades, Pyrénées-Orientales lors d'une dispute, avant d'être hospitalisée pour troubles comportementaux, selon une source judiciaire.
La mère, âgée de 51 ans, circulait en voiture avec sa fille quand une dispute a éclaté, a expliqué le parquet.
La mère s'était arrêtée pour calmer sa fille mais que cette dernière avait décidé de s'allonger sur la route. Avec l'aide d'un autre conducteur, la maman avait alors tenté de la raisonner mais la fille s'était levée brusquement et avait pris le volant.
Sa mère s'était alors accrochée au véhicule et avait été traînée sur une centaine de mètres, avant de chuter et de mourir. La jeune fille ne s'est pas arrêtée et a été interpellée à son domicile, selon la même source.
Le parquet a confirmé que la mère avait été "percutée et projetée au sol". La fille a été hospitalisée pour "troubles comportementaux", selon la même source, qui précise qu'une enquête pour "homicide volontaire sur ascendant" a été ouverte
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

mardi 7 février 2017

Le Havre: il étrangle sa mère nonagénaire et malade

Un homme de 69 ans a tué par étranglement sa mère malade, âgée de 94 ans, dont il s'occupait, avant de tenter de se suicider, a déclaré aujourd'hui une source policière au Havre (Seine-Maritime).
Les faits se sont déroulés dans la nuit de dimanche à lundi vers 4 heures du matin dans un quartier du nord de la ville portuaire. Une infirmière chargée de prodiguer des soins à domicile a découvert la vieille dame sans vie hier matin, sur sa chaise médicalisée, et a prévenu les secours.
Le fils, qui venait fréquemment chez sa mère pour s'occuper d'elle, a indiqué aux enquêteurs s'être levé dans la nuit pour l'aider, et l'avoir étranglée à ce moment-là. Il aurait ensuite, selon ses premières déclarations, avalé de l'eau de javel dans le but de mettre fin à ses jours.
Conduit au centre hospitalier de Montivilliers, dans la périphérie havraise, le meurtrier présumé a été placé en garde à vue sur son lit d'hôpital pour homicide volontaire. Aujourd'hui, il n'avait toujours pas été auditionné par les policiers.
Sa garde à vue a été prolongée et mercredi "un juge d'instruction sera saisi", a indiqué le procureur de la République, François Gosselin.
"Il n'en pouvait plus de voir sa mère dans cet état", a indiqué une source judiciaire à un correspondant de l'AFP
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/index.php

Nîmes : l'ouvrier blessé lors du montage du cirque de Saint-Petersbourg est mort

L 'ouvrier était tombé d'une hauteur de 7 m alors qu'il montait le chapiteau du cirque, à Nîmes, vendredi 3 février. Il est décédé dimanche 5 février au soir. 
Un accident grave s'était produit ce vendredi 3 février, entre 4 heures et 5 heures, au marché gare de Nîmes. Alors que les ouvriers du cirque de Saint-Petersbourg s'affairaient pour monter le chapiteau, l'un d'entre eux est tombé d'une hauteur de 7 m. Il avait perdu connaissance quand les pompiers se sont portés à son secours, quelques minutes plus tard. Il a été transporté au CHU Carémeau pour y recevoir des soins en urgence. Il est décédé dimanche 5 février au soir. 

Une enquête pour homicide involontaire ouverte

Une enquête pour homicide involontaire et infractions aux règles de sécurité a été ouverte, a déclaré le procureur de Nîmes sur son compte twitter.
Après cet accident, les deux représentations de ce vendredi 3 février ont été annulées en raison d'un "incident technique
http://www.midilibre.fr/2017/02/06/pronostic-vital-engage-apres-une-chute-au-cirque,1463134.php

lundi 6 février 2017

Un infirmier se défenestre à l’hôpital Georges Pompidou à Paris

L’homme s’est suicidé dans la nuit de dimanche à lundi. Il n’était pas de service à ce moment-là
Un infirmier s’est suicidé "par défenestration" dans la nuit de dimanche à lundi à l’hôpital européen Georges Pompidou, à Paris. C’est là qu’un cardiologue s’était donné la mort de la même manière il y a un peu plus d’un an.
"Cet infirmier travaillait habituellement en équipe de suppléance de nuit", indique l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), précisant qu’"il n’était pas de service cette nuit-là" et que "sa compagne a été reçue dans la nuit".
"Une enquête est diligentée par la direction de l’hôpital européen Georges Pompidou et la cellule d’analyse des suicides est saisie, en lien avec les représentants du CHSCT", ajoute l’AP-HP. En outre, "une cellule d’écoute et d’accompagnement est mise en place pour soutenir (…) les agents qui en ressentent le besoin".

Un cardiologue s’était aussi défenestré en décembre 2015

Aucune autre information n’était disponible dans l’immédiat, mais le drame rappelle celui qui avait secoué l’établissement du XVe arrondissement il y a un peu plus d’un an. Le 17 décembre 2015, le cardiologue Jean-Louis Mégnien, 54 ans, s’était lui aussi jeté par la fenêtre d’un étage de l’HEGP, où il était revenu travailler depuis trois jours, après neuf mois d’arrêt maladie.
Selon ses proches, il était victime de harcèlement de la part de sa hiérarchie. Son épouse avait déposé une plainte pour harcèlement moral auprès du parquet de Paris, qui a ouvert une information judiciaire le 19 février.
Saisie par la ministre de la Santé Marisol Touraine, l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) avait pointé des manquements dans le traitement du conflit qui a conduit au geste du professeur, parmi lesquels "l’absence de signalement" sur sa souffrance. "Une majorité des mesures recommandées par l’Igas est en cours de mise en place par l’AP-HP", avait assuré en septembre 2016 le CHU.
Le drame survenu dans la nuit de dimanche à lundi fait également écho aux suicides d’au moins cinq infirmiers cet été.
http://www.sudouest.fr/2017/02/06/un-infirmier-se-defenestre-a-l-hopital-georges-pompidou-a-paris-3172931-7.php

Pas-de-Calais: un garçon de 5 ans mort, les parents en garde à vue

Un garçon de cinq ans est décédé à Aire-sur-la-Lys (Pas-de-Calais) dans la nuit de dimanche à lundi, dans des conditions suspectes, conduisant au placement en garde à vue de ses parents, ont indiqué aujourd'hui des sources concordantes.
"Un enfant de cinq ans est décédé dans des conditions suspectes quant aux explications qui ont été données, avec un motif médical non établi à cette heure", a expliqué Patrick Leleu, procureur de la République de Saint-Omer, précisant que les parents ont été placés en garde à vue. Selon les secours, le garçonnet a été retrouvé dans une rue.

dimanche 5 février 2017

Botsorhel (29) : un homme retrouvé mort dans l'incendie de sa maison

Le corps d'un homme de 51 ans a été retrouvé dans les décombres de sa maison en feu, à Botsorhel, dans le Finistère nord, en fin de nuit ce dimanche.
Les pompiers ont été appelés vers 5h, ce dimanche matin, sur la commune de Botsorhel, à une quinzaine de kilomètres au sud de Morlaix, pour l'incendie d'une maison. Une vingtaine d'entre eux en provenance des casernes des environs vont intervenir sur ce sinistre. Le plancher et la toiture du pavillon se sont effondrés. dans les décombres, ils vont retrouver le corps d'un homme de 51 ans
http://france3-regions.francetvinfo.fr/bretagne/finistere/morlaix

Charente : un septuagénaire tué dans un accident avec un camion-nacelle Enedis

Le conducteur de 70 ans n’aurait pas respecté l’arrêt au stop à Genouillac. Le camion a traîné la voiture sur plusieurs mètres.
Ce samedi, vers 15h25, un accident impliquant un camion-nacelle Enedis et une voiture s’est produit au lieu-dit "La Pouyerie" sur la RD86, sur la commune de Genouillac, en Charente.
À l’arrivée des secours, le conducteur du véhicule, âgé de 70 ans, était en arrêt cardiaque. Désincarcéré, il n’a pas pu être réanimé par le Samu
http://www.sudouest.fr/2017/02/04/charente-un-septuagenaire-tue-dans-un-accident-avec-un-camion-nacelle-enedis-3168857-813.php
U n homme de 33 ans a été emporté par une vague alors qu'il pêchait sur la côte à Marseille samedi 4 février, et est mort noyé malgré les efforts des marins-pompiers pour le ranimer, a-t-on appris auprès de la préfecture maritime. 
Vers 18 heures samedi, des témoins ont signalé aux secours qu'un homme avait été emporté par une vague au niveau du passage des croisettes à Marseille, a indiqué la préfecture maritime, confirmant une information de la Provence.
"Il était en train de pêcher à pied sur les rochers, alors que les conditions météo, vent fort et houle importante, peuvent rendre la zone dangereuse pour les personnes qui s'y trouvent", a précisé la préfecture maritime dans un communiqué.

Retrouvé à 500 mètres de l'endroit de sa chute

Immédiatement, plusieurs moyens ont été engagés par le Cross Med (Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée) pour procéder aux recherches: une vedette, deux semi-rigides du Bataillon des marins-pompiers de Marseille et un hélicoptère dragon 151 de la sécurité civile. L'homme a été retrouvé peu de temps après, à 500 mètres de là où il avait chuté.
Ramené à terre et pris en charge, il n'a pas pu être ranimé. La Préfecture maritime de la Méditerranée rappelle que plusieurs avis de vents forts ont été émis pour ce week-end sur tout le littoral méditerranéen, rendant non seulement les conditions de navigation en mer difficiles, mais pouvant également présenter des dangers pour des activités en bord de mer.
En cas de nécessité et pour déclencher une opération de secours, le Cross Med est joignable directement au 196 depuis un téléphone fixe ou portable.
http://www.midilibre.fr/2017/02/04/marseille-un-pecheur-meurt-emporte-par-une-vague,1462794.php

samedi 4 février 2017

Gard : une vieille dame décède en chutant dans un ravin en voiture

C e vendredi 3 février, une octogénaire a perdu la vie dans un accident de voiture à Concoules, dans le Gard.
A 15 h 46, ce vendredi, une voiture seule, avec deux personnes à son bord, a chuté dans un ravin, entre Concoules et l'hôpital de Ponteils, sur la route départementale 906.
Une femme de 80 ans est décédée. La deuxième personne, une femme de 75 ans, a été extraite il y a peu du véhicule et est légèrement blessée. Un hélicoptère de la sécurité civile est intervenu pour porter assistance. Les sapeurs-pompiers de Bessèges et Génolhac étaient également sur place. 
Les circonstances précises de l'accident ne sont pas encore définies. La conductrice aurait emprunté un chemin proche de la D906, qui monte dans la forêt et aurait alors glissé. 
http://www.midilibre.fr/2017/02/03/concoules-la-vieille-dame-decede-dans-un-accident-de-la-route,1462548.php

vendredi 3 février 2017

Il tue sa femme malade et se donne la mort

Un drame de la maladie, de la vieillesse. Le drame d’une fin de vie placée sous le signe de l’amour et de la souffrance partagée. Une souffrance mutuelle probablement devenue insoutenable.
Lundi, vers 14 h 30, une auxiliaire de vie faisait la macabre découverte. L’employée se présentait au domicile d’un couple de personnes âgées - rue du Lieutenant Henri-Crepin, un quartier cossu de Nancy situé dans le secteur Saurupt - et découvrait le couple sans vie.
L’hypothèse d’un homicide suivi d’un suicide reste privilégiée. Une lettre a été retrouvée. Âgé de 86 ans et atteint d’une grave maladie, le mari a semble-t-il tué son épouse de 84 ans atteinte d’un mal incurable, à l’aide d’une arme à feu. Avant de retourner l’arme contre lui.
La police a effectué de nombreuses constatations et des relevés au sein de l’habitation. Des investigations sont toujours en cours. Avec la mort du mari - auteur présumé de l’homicide - la justice devrait prononcer l’extinction de l’action publique.
http://www.estrepublicain.fr/edition-de-nancy-ville/2017/02/02/il-tue-sa-femme-malade-et-se-donne-la-mort

jeudi 2 février 2017

Bordeaux : une jeune femme de 21 ans fait une chute mortelle de la tour Pey-Berland

Une jeune femme de 21 ans a mis fin à ses jours ce mercredi matin du haut de la tour Pey-Berland. Les secours n’ont rien pu faire
Une jeune femme de 21 ans est décédée, mercredi matin, après une chute mortelle de 40 mètres.
La victime s’est jetée dans le vide depuis la deuxième terrasse de la tour Pey-Berland, à Bordeaux, dans les zones accessibles au public. Elle ne fait pas partie des employés du site.

Des filets de sécurité

Les pompiers, alertés à 10 h 55, sont rapidement intervenus sur place avec le Smur et la police. Mais n’ont rien pu faire.
En 2010, des filets anti-chute avaient été installés autour des deux terrasses de la tour, quelques jours seulement après le suicide d’une Bordelaise de 24 ans.
http://www.sudouest.fr/2017/02/01/bordeaux-une-jeune-femme-fait-une-chute-mortelle-de-la-tour-pey-berland-3158472-2780.php

mercredi 1 février 2017

Pierrelatte: un ouvrier victime d'une crise cardiaque à 70 mètres de hauteur

Le drame s'est produit sur le site du Tricastin mais pas sur l'installation de la centrale nucléaire. Le centre de secours et d'intervention de la Drôme est intervenu rapidement notamment les pompiers spécialisés en secours en montagne. L'homme était maintenu par les haubans de sécurité qu'il avait revêtus pour son intervention. Un hélicoptère de la sécurité civile, appelé sur les lieux, pour un éventuel hélitreuillage, n'a pas pu intervenir : l'homme avait déjà succombé à son malaise cardiaque.
La victime était employé par une société intérimaire travaillant pour Areva.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/faits-divers/accident?r=auvergne-rhone-alpes

Décès de deux étudiants après une intoxication au monoxyde de carbone

Deux étudiants de l'école Centrale-Lille âgés de 21 ans sont décédés à cause d'une intoxication au monoxyde de carbone, a-t-on appris mercredi auprès de leur école.
Les corps de ces deux élèves de 2e année, un garçon et une fille, ont été retrouvés dimanche dans la salle de bain d'un appartement partagé par des étudiants de Centrale dans le centre de Lille. La jeune femme a succombé lundi soir. "Une cellule psychologique a été mise en place, tout le monde est très affecté. Il y aura une minute de silence aujourd'hui", a indiqué une porte-parole de cette grande école d'ingénieurs qui scolarise environ 1.500 élèves.
Lundi, deux femmes, âgées de 71 et 90 ans, sont également mortes dans les Hauts-de-France, à Fère-en-Tardenois (Aisne), en raison d'une intoxication au monoxyde de carbone.
http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4304401/deces-de-deux-etudiants-apres-une-intoxication-au-monoxyde-de-carbone.html