mardi 28 novembre 2017

Bordeaux: un SDF trouvé mort près du Samu

Un sans domicile fixe âgé de 59 ans a été découvert mort dans la nuit de d'hier à aujourd'hui à Bordeaux, à proximité des locaux du Samu social, a indiqué la préfecture.
L'homme, de nationalité roumaine, a été découvert aux alentours de 5h30 par les sapeurs-pompiers. Il a succombé à un malaise, malgré un massage cardiaque prodigué par les secours, a précisé la préfecture.
La victime était connue des services sociaux. "Le samu social était allé trois fois à sa rencontre lundi, deux fois en journée et une fois dans la nuit. A chaque fois, il a refusé l'aide du samu social et une place en hébergement d'urgence", a-t-on ajouté de même source.
Aucune blessure apparente n'a par ailleurs été constaté sur son corps, a informé la préfecture. Cette nuit, les températures à Bordeaux sont restées positives, aux alentours de 2 degrés.
Au total, 1081 places d'hébergement d'urgence sont ouvertes en Gironde, dont 164 dans le cadre du début de la période hivernale, a informé la préfecture. Une trentaine était disponible hier, selon la même source.
  1. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

lundi 27 novembre 2017

Perpignan: il se suicide par balle sur une aire de repos de l’autoroute A9

L’alerte a été donnée dimanche vers 15h30 auprès des secours afin d’intervenir au plus vite sur l’autoroute A9 et plus précisément sur l’aire de repos Les Pavillons à 5 km au sud de Perpignan, où un homme gisait inanimé dans sa voiture.


À leur arrivée, les pompiers, renforcés par une équipe du Samu, ont tenté de réanimer le malheureux. En vain. Selon les premiers éléments, il aurait mis fin à ses jours et se serait tiré une balle dans le cœur. Âgé de 73 ans et domicilié à Amélie-les-Bains, il aurait laissé un mot sur le tableau de bord de son véhicule pour expliquer son geste.
Les services de gendarmerie se sont rendus immédiatement sur les lieux et ont évacué puis entièrement verrouillé l’aire de repos, le temps que les techniciens en identification criminelle procèdent aux premières constatations et aux prélèvements, nécessaires à l’enquête. 


Perpignan: il se suicide par balle sur une aire de repos de l’autoroute A9http://www.lindependant.fr/2017/11/27/perpignan-il-se-suicide-par-balle-sur-une-aire-de-repos-de-l-autoroute-a9,3073967.php

samedi 25 novembre 2017

Attentats du 13 novembre: Un rescapé du Bataclan s'est suicidé

Il était l’un des rescapés de l’attentat terroriste du Bataclan qui avait fait 90 morts le 13 novembre 2015. Guillaume Valette, 31 ans, s’est suicidé « dans la nuit du samedi 18 au dimanche 19 novembre » a annoncé vendredi soir sur sa page Facebook l’association de victimes « 13onze15 - Fraternité et Vérité ».

« Nos pensées et l’expression de notre profonde sympathie vont à sa famille, à ses amis, à ses proches », écrit l’association de victimes.

« Il voulait rester seul »


Selon l’association « 13onze15 - Fraternité et Vérité » qui communique sur ce décès avec l’accord de la famille, cet acte serait en lien avec le traumatisme de l’attentat du Bataclan. Le trentenaire « n’avait souhaité se faire aider ni par sa famille, ni par l’une des associations de victimes (« 13onze15 - Fraternité et Vérité » ou « Life For Paris ») ». « Il voulait rester seul….», poursuit le texte.

Un isolement que regrette l’association qui rappelle « combien il est important de prendre conscience de la nécessité de se faire accompagner, par sa famille en tout premier lieu, par une association, par un médecin, un psychiatre, un psychologue » en cas d’événement aussi violent. « Le traumatisme psychologique subi à l’occasion de ces attentats est profond, il est durable, il doit être considéré et soigné. »

vendredi 24 novembre 2017

Suicides dans la police : le témoignage saisissant de Marie

Lot-et-Garonne: mort suspecte d'un bébé, un couple en garde à vue

Un couple a été placé en garde-à-vue à Agen, après la mort suspecte d'un bébé de 18 mois, qui pourrait avoir été victime de violences sexuelles et qu'ils avaient amené à l'hôpital après, disaient-ils, une mauvaise chute, rapporte l'AFP de sources concordantes. 
Le couple, la mère du bébé et son compagnon, tous deux âgés d'une vingtaine d'années, s'étaient présentés aux urgences de l'hôpital d'Agen dimanche dans la matinée, avec la fillette en arrêt cardio-respiratoire. L'équipe médicale est brièvement parvenue à ranimer l'enfant mais n'a pu la sauver, a-t-on précisé de source proche du dossier, confirmant une information de Sud-Ouest.
Le corps de l'enfant, chez qui les médecins avaient repéré une hémorragie au niveau de l'abdomen, a fait l'objet d'une autopsie qui a révélé des traumatismes et lésions au niveau des organes génitaux.
A la suite de ce développement, le couple a été interpellé hier à son domicile d'Agen et placé en garde à vue, ahttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/-t-on précisé de même source.
  1. é
  2. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

jeudi 23 novembre 2017

Saint-Dié-des-Vosges : un homme se défenestre du 3e étage

La victime a été prise en charge et transferée au centre hospitalier Saint-Charles de Saint-Dié-des-Vosges.
Les sapeurs-pompiers sont intervenus ce jeudi matin au 11, rue des Peupliers dans le quartier de l'Orme pour secourir un homme qui s'est défenestré depuis le 3e étage du bâtiment. Il est tombé sur une voiture.
A priori, la victime souffrirait de problèmes psychologiques et aurait fait une tentative de suicide. Blessé, il a été pris en charge et transporté au centre hospitalier Saint-Charles de Saint-Dié-des-Vosges


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mercredi 22 novembre 2017

Un collégien meurt après un cross scolaire

Un collégien est décédé hier après avoir fait un arrêt cardio-respiratoire lors d'un cross scolaire à Marmande (Lot-et-Garonne), ont indiqué aujourd'hui les pompiers.
«Au cours d'une compétition sportive, un jeune de 11 ans, en arrêt cardio-respiratoire a été transporté avec une équipe médicale à l'hôpital de Marmande avec un pronostic vital engagé, et l'enfant a été déclaré décédé au centre hospitalier, ont déclaré à l'AFP les pompiers.
Selon la Dépêche du midi, le collégien a fait un malaise peu après le départ de cette course annuelle à la plaine de la Filhole. L'infirmière de l'établissement est intervenue puis les secours qui ont pu «relancer son activité cardiaque au bout d'une demi-heure». Le jeune a été évacué vers 15 heures «dans un état jugé très préoccupant» vers l'hôpital.
La compétition a été annulée et une cellule psychologique a été mise en place au sein de l'établissement, précise le journal.


mardi 21 novembre 2017

Etats-Unis: Jacob, le petit garçon qui avait demandé des cartes de Noël, est mort

Jacob Thomson, le petit garçon de neuf ans atteint d’un cancer incurable qui avait demandé à recevoir des cartes de Noël en avance, est décédé dimanche, ont annoncé ses parents.
e petit bonhomme avait à peine cinq ans quand les docteurs ont diagnostiqué un cancer. Le garçon s’était depuis battu contre le neuroblastome qui s’est progressivement répandu et est devenu incurable.


Des témoignages de solidarité qui ont fait « la différence dans les derniers jours de sa vie »



Il avait ému les internautes en demandant à recevoir des cartes de Noël, sa période préférée, en avance. Le petit garçon a également reçu des peluches de pingouin, son animal préféré. Des personnalités telles qu’Arnold Schwarzenegger lui avait écrit.
Il y a dix jours, le petit garçon avait déjà reçu pas moins de 40.000 cartes du monde entier.


« Chaque personne qui a envoyé à Jacob une carte de Noël, un cadeau, un message ou une vidéo sur Facebook ou une prière a fait la différence dans les derniers jours de sa vie », ont déclaré les parents du petit garçon sur la page Facebook qui lui est dédiée.


« Nous espérons que l’histoire de Jacob et l’énorme vague de soutien du monde entier auront un impact durable sur la sensibilisation à cette maladie », ont expliqué les parents de Jacob, appelant les internautes à donner leur sang, leurs plaquettes ou en faisant des dons à des associations, notamment à celles venant en aide aux pingouins.


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lundi 20 novembre 2017

Un homme tue son beau-père avec une batte

Dans la nuit de vendredi à samedi, un jeune homme de 23 ans a tué son beau-père endormi à coups de batte de baseball à Rodilhan (Gard), selon Midi Libre . Le jeune homme, ayant reconnu les faits, et sa mère ont été placés en garde à vue
Le jeune homme aurait agi pour se venger des violences faites sur sa mère selon ses déclarations aux enquêteurs. Rentré alcoolisé ce soir-là, le suspect présumé aurait récupéré une batte de baseball chez sa grand-mère (chez laquelle il vivait) pour battre son beau-père dans une autre partie de la maison.
Les secours n'ont été prévenus que vers 9 heures le lendemain matin par la mère du jeune homme. C'est d'ailleurs pour ce délai qu'elle a été placée en garde à vue pour «non-assistance à personne en danger». Une information judiciaire a été ouverte à l'issue de la garde à vue du principal suspect.

Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/

dimanche 19 novembre 2017

Voiture contre scooter : le cyclomotoriste tué

Un jeune homme de 20 ans est décédé, samedi vers 22 h, à la suite d’une collision survenue dans le quartier de la Montagne-Verte, à Strasbourg. Il conduisait un scooter lorsqu’il a été heurté par une voiture, rue d’Ostwald. Le cyclomotoriste se trouvait en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des secours. Légèrement blessé, l’automobiliste âgé de 21 ans a été transporté à la clinique Rhéna de Strasbourg.
Faits divershttp://www.dna.fr/faits-divers

Rennes: Un enfant d'un an meurt noyé dans une chambre

Un garçon d’un an est mort noyé, samedi après-midi dans l’appartement de ses parents, situé rue du Bourbonnais, non loin de la dalle Kennedy dans le quartier de Villejean, à Rennes (Ille-et-Vilaine). Alertés, les pompiers ont tenté de réanimer le nourrisson. En vain.

Une enquête ouverte

Le garçonnet aurait été retrouvé inanimé dans une chambre. D’après Ouest-France, il se serait noyé dans un seau qui se trouvait dans la pièce. On ignore pour l’heure les circonstances du drame.
La piste de l’accident est privilégiée. Une enquête a été ouverte et les parents du bébé ont été entendus samedi après-midi, ajoute le quotidien.

samedi 18 novembre 2017

Essonne: Il meurt en voulant sauver son chien, prisonnier des flammes

Dramatique incendie à Saint-Germain-lès-Corbeil dans l’Essonne. Un homme âgé de 33 ans est mort ce vendredi, pris au piège par les flammes qui ont envahi son appartement. La victime serait décédée en tentant de porter secours à son chien, rapporte Le Parisien.
D’après les témoignages recueillis sur place, le trentenaire est d’abord sorti une première fois de l’appartement, sain et sauf. Puis il aurait décidé d’y retourner pour sauver son fidèle animal de compagnie, resté prisonnier des flammes. Mais il n’en est jamais revenu…

Une enquête a été ouverte

Le corps du jeune homme a été retrouvé par les secours dans les décombres. D’après les premières constatations des pompiers et des gendarmes, le feu serait parti de la chambre à coucher aux alentours de 6h45.
Une enquête a été ouverte pour déterminer l’origine de cet incendie.
M

vendredi 17 novembre 2017

Alsace: Disparition inquiétante d’une femme de 35 ans, un corps retrouvé dans le secteur des recherches

Une femme de 35 ans, habitante d’Obermodern (Bas-Rhin), disparue depuis le 15 novembre était activement recherchée par les gendarmes ainsi que de nombreux bénévoles qui ont quadrillé tout le secteur pendant la journée. Un corps a été retrouvé dans la campagne proche de la gare où sa voiture a été retrouvée mercredi dernier.
Le corps retrouvé n’a pour l’instant pas été identifié, a expliqué la gendarmerie de Bouxwiller chargée des recherches. Selon les Dernières Nouvelles d’Alsace, la description correspond selon toutes probabilités à celle de la jeune femme.
>> A lire aussi : Disparition inquiétante d’une femme de 35 ans, les gendarmes continuent les recherches

La cause du décès recherchée

Des examens vont être pratiqués pour confirmer la cause du décès. Nos confrères précisent que celle du suicide serait privilégiée par les enquêteurs.

Incendie mortel du Lot-et-Garonne: un «possible drame conjugal

Au moins un corps a été retrouvé aujourd'hui en milieu d'après-midi dans la maison calcinée d'une famille de quatre personnes à Bazens, un village du Lot-et-Garonne, a appris l'AFP de source proche du dossier.
Les secours ont continué l'opération de déblaiement des décombres de cette maison, à la recherche des parents et de leurs deux enfants. L'origine accidentelle de l'incendie mortel est "peu probable", a estimé le parquet d'Agen dans un communiqué. Les enquêteurs, qui ont retrouvé deux bidons d'essence dans un hangar à proximité, étudient plusieurs pistes dont celle d'un "possible drame conjugal", a ajouté le parquet, précisant que deux corps avaient été retrouvés
Toujours selon une source proche du dossier, le père est moniteur sportif dans le centre de détention voisin d'Eysses. Dépressif, il se trouvait en arrêt maladie tandis que la mère est professeur de natation à la piscine de Nérac. Ce matin, les deux enfants du couple ne se sont pas présentés à leurs établissements scolaires ce matin. Les deux voitures du couple ont par ailleurs été garées près de leur domicile, où des armes à feu ont été retrouvées.
Après l'alerte donnée vers 05H30, une trentaine de pompiers ont été mobilisés pour éteindre les flammes qui ravageaient cette maison isolée, proche de la forêt. Sur place, un périmètre de sécurité a été dressé.

Flash ActuFlash Act

mercredi 15 novembre 2017

Drame à l'hôpital de Baume-les-Dames : une patiente se défenestre

Le triste événement s’est produit ce mercredi matin. Une femme souhaitant mettre fin à ses jours a sauté du 3e étage de l'établissement. Elle n'a pas survécu
Les secours n’ont rien pu faire pour sauver la malheureuse femme.
Ce mercredi peu avant 8 h 30, une patiente de 48 ans est décédée sous les fenêtres de l’hôpital de Baume-les-Dames (Doubs), avenue Kennedy. Sa chute du 3e étage lui a été fatale.
Aux côtés des pompiers appelés sur place en urgence, les gendarmes ont établi, après de rapides investigations, qu'il s'agissait bien d'un acte désespéré. La victime habitait Baume-les-Dames.

  • Edition de Besançonhttp://www.estrepublicain.fr/edition-de-besancon/2017/11/15/drame-a-l-hopital-de-baume-les-dames-une-patiente-meurt-defenestree

mardi 14 novembre 2017

Gironde : un homme meurt électrocuté en sectionnant un câble de la SNCF

Un homme est mort électrocuté lundi 13 novembre dans la soirée à Bruges (Gironde), près de Bordeaux, en tentant de sectionner un câble électrique de la SNCF, ont indiqué les pompiers mardi 14 novembre, confirmant une information de France Bleu Gironde.

Les pompiers ont été appelés pour une intervention "à proximité d'une aire d'accueil des gens du voyages". Ils ont retrouvé le corps d'un homme de 40 ans, de nationalité roumaine. Il s'est électrocuté en sectionnant un câble électrique alimentant la ligne SNCF Bordeaux-Le Verdon


Faits divershttp://www.rtl.fr/sujet/faits-divers

Un SDF retrouvé mort dans le couloir d'un hôpital

Un sans domicile fixe a été retrouvé sans vie dans un couloir de l'hôpital de Montereau, lundi, rapporte Le Parisien.
Le SDF, âgé de 53 ans, a été découvert par un membre du personnel du centre hospitalier
Il avait été admis samedi soir à l'hôpital puis avait été reçu par un médecin sans pour autant être hospitalisé.
Les équipes avaient autorisé le quinquagénaire à rester dans la salle d'attente pour la nuit.
Selon le procureur de Fontainebleu, l'homme "était de santé précaire".
Une enquête est ouverte par le commissariat de la ville pour comprendre les circonstances exactes du décés.

                                     
  • Faits-Divershttp://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

  • lundi 13 novembre 2017

    Terrible soir du 13 Novembre 2015

    hebergement d'image

    Carole Deville-Cristante

    Ce terrible soir du 13 Novembre 2015 avec 130 victimes . Leur vie s'est arrêtée , mais celle de leurs familles , de leurs amis est bien triste à présent .
    N'oublions jamais cette date épouvantable .


    Un séisme aux confins de l'Iran et de l'Irak fait plus de 300 morts

    Au moins 328 personnes ont été tuées et plusieurs milliers blessées dans un tremblement de terre de magnitude 7,3 qui a frappé dimanche soir le nord-est de l'Irak et des régions frontalières en Iran et en Turquie.
    Pour l'heure seul l'Iran a annoncé un bilan officiel provisoire, qui ne cesse d'augmenter au fil des heures.
    En Irak, où se situait l'épicentre du séisme, les responsables locaux ne parlent pour l'instant que de six morts. En début de matinée côté iranien, il s'élevait à 328 morts et environ 2500 blessés, tous recensés dans la province occidentale de Kermanshah, limitrophe de l'Irak.
    Les autorités iraniennes s'attendent à ce que ces chiffres augmentent compte tenu de la difficulté des secours à atteindre certaines zones reculées.
    une secousse a 25 km de profondeur
    Selon l'Institut géologique américain (USGS), la secousse a été enregistrée à une profondeur de 25 kilomètres à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de la ville d'Halabja, dans une zone montagneuse de la province irakienne de Souleimaniyeh. Elle a eu lieu à 18h18 GMT et a également été ressentie en Iran ainsi qu'en Turquie où ni dégâts ni victimes n'ont été enregistrés, selon les autorités.
    Les médias publics iraniens ont appelé la population au calme. "La situation est sous contrôle dans les zones frappées par le séisme", dans l'ouest de l'Iran, a assuré la télévision d'État.

    Faits-Divers            Faits-Divers             http://www.nicematin.com/sujet/faits-divers

    Policiers et gendarmes confrontés à une brutale vague de suicides

    Sept membres des forces de l’ordre ont mis fin à leurs jours en une semaine, dont l’ex-patron de la lutte contre le hooliganisme : après quelques années d’accalmie, policiers et gendarmes craignent qu’en 2017 le fléau des suicides dans leurs rangs ne retrouve ses plus hauts niveaux.
    Ils sont gardiens de la paix ou commissaire de police, gendarme membre d’une unité d’intervention ou commandant une brigade de proximité, fonctionnaires ou militaires exerçant en zone rurale ou dans l’agglomération parisienne : ils font partie des 45 policiers et 16 gendarmes qui se sont donné la mort depuis le début de l’année 2017, selon un décompte du ministère de l’Intérieur.

    Suicide probable de l’ex-patron de la lutte contre le hooliganisme

    Dimanche, c’est le commissaire Antoine Boutonnet, ex-chef de la division nationale de lutte contre le hooliganisme, qui a été retrouvé mort, après avoir probablement mis fin à ses jours avec son arme de service, au terme d’une semaine noire dans les rangs des forces de l’ordre. Dans la soirée, ce terrible bilan s’aggravait encore avec un nouveau suicide d’une policière dans la région de Perpignan.
    Cette accélération du nombre de suicides a conduit le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, à demander dimanche soir aux directeurs généraux de la Police nationale, de la Gendarmerie et de la Sécurité intérieure « une évaluation des mesures mises en œuvre pour prévenir les suicides parmi les forces de l’ordre ».
    Gérard Collomb a annoncé en outre vouloir réunir « rapidement les représentants des policiers et gendarmes pour évoquer les dispositifs de prévention existants et les moyens d’en renforcer encore l’efficacité ».

    L'« usure » des policiers et des gendarmes

    Après un pic en 2014, année noire au cours de laquelle 55 policiers (contre 40 en moyenne annuellement) et une trentaine de gendarmes avaient mis fin à leurs jours, le nombre de suicides parmi les forces de l’ordre avait décru en 2015 et 2016.
    Etait-ce l’effet du plan présenté en janvier 2015 par Bernard Cazeneuve contenant 23 mesures (recrutement de psychologues, redynamisation des cellules de veille, nouveaux cycles de travail…) destinées à prévenir le suicide ou la conséquence vertueuse du tourbillon opérationnel dans lequel sont plongées les forces de l’ordre depuis deux ans, confrontés à une menace terroriste sans précédent ?
    « Policiers et gendarmes sont très mobilisés sur la défense des autres depuis deux ans. Peut-être que cela les a amenés à moins se soucier d’eux-mêmes mais peut-être que cela a également généré de l’usure », avance prudemment Céline Berthon, secrétaire générale du syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN).

    Manque de considération, « désocialisation » et politique du chiffre

    « Confrontés au quotidien à la misère humaine, à la violence et au pire que l’on puisse trouver chez l’homme, les policiers ne peuvent plus supporter ce manque de considération, facteur du passage à l’acte dramatique », avance Unité-SGP-Police, qui demande une « réunion immédiate » du comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de la Police nationale.
    Management « déplorable », manque de considération, conditions de travail, « usure professionnelle », « désocialisation », politique du chiffre, sont renvoyés par le syndicat de gardiens de la paix sur le banc des accusés.
    Les suicides parmi les forces de l’ordre ont des causes multiples et touchent des profils variés, relève Céline Berthon, « une institution qui est confrontée à ce phénomène doit être en mesure, de manière dépassionnée, de se demander : « est-ce qu’il y a des choses qui peuvent faciliter le passage à l’acte ou le provoquer ? Et le cas échéant, comment puis-je faire un travail de prévention ? » »
    Mots-clés :

    dimanche 12 novembre 2017

    Montpellier: Un homme retrouvé pendu dans le parking souterrain d'un centre commercial

    Dans la nuit de vendredi à samedi, le corps d’un homme inconnu, pendu, a été découvert dans l’un des parkings souterrains du Polygone à Montpellier, dans l’Hérault.

    Des investigations en cours

    Les sapeurs-pompiers, dépêchés dans les sous-sols du centre commercial du centre-ville, n’ont pas pu ramener la victime à la vie, rapporte le site e-metropolitain.
    L’hypothèse du suicide est privilégiée par les enquêteurs, mais une autopsie a été ordonnée. Des investigations sont menées pour tenter d’identifier cet homme.
    M

    jeudi 9 novembre 2017

    Oise: suicide d'un gendarme dans une caserne

    Un gendarme de 38 ans s'est suicidé avec son arme personnelle à la caserne de Méru (Oise) dans la nuit de mardi à hier, a appris l'AFP aujourd'hui auprès de la gendarmerie.
    "Il s'est suicidé dans le jardin de son logement dans la caserne. Ce n'était pas avec son arme de service", a indiqué à l'AFP un porte-parole de la gendarmerie picarde, confirmant une information du Parisien. Marié et père de deux enfants, il faisait partie du Peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (Psig).
    La gendarmerie de Méru avait déjà été dramatiquement touchée par la mort de trois gendarmes en décembre 2016 dans un accident de la route à Berneuil-en-Bray (Oise)
    Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/

    mardi 7 novembre 2017

    Metz: une étudiante se défenestre sur le campus

    Une jeune femme de 22 ans a sauté du quatrième étage d'un bâtiment du campus universitaire du Saulcy à Metz (Moselle) hier matin, selon les informations du journal Ouest-France
    Elle aurait chuté de 6 à 8 mètres et selon des témoins, elle était consciente à l'arrivée des sapeurs-pompiers. Elle a rapidement été transportée à l'hôpital, dans un état jugé alarmant. Ses jours ne seraient plus en danger. La victime souffrirait de multiples fractures aux jambes et au dos. 
    La police privilégie pour l'instant la thèse de la tentative de suicide. Sa famille, alertée par des messages inquiétants postés sur les réseaux sociaux par la jeune femme, avaient averti le personnel de l'université. 

    Flash Actuhttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/

    Au moins 39 fonctionnaires de police seAu moins 39 fonctionnaires de police se sont suicidés depuis le début de l'année sont suicidés depuis le début de l'année

    Après une baisse en 2016, le nombre de suicides dans la police repart à la hausse cette année, annonce France bleu. Le site affirme que 39 fonctionnaires de police se sont donné la mort depuis le 1er janvier.
    Ce serait trois décès de plus que sur l’ensemble de l’année 2016, constate le site, « peut-être même cinq car deux autres cas font toujours l’objet d’une enquête ».
    >> A lire aussi: Interview: Suicide chez les policiers: «Ils ont un besoin important de reconnaissance»

    Un plan de prévention des risques psychosociaux dans la police

    L’arme de service aurait été utilisée dans environ la moitié des passages à l’acte. Depuis la fin août, le phénomène se serait accéléré. Dix suicides ont été recensés, dont sept en région Ile-de-France.
    Si un plan de prévention des risques psychosociaux dans la police a été présenté en 2015, la menace terroriste complique ses préconisations. Outre le nombre d’heures supplémentaires, la pression sur les fonctionnaires de police constitue une deuxième menace. Un service de soutien psychologique opérationnel (SSPO) dispose d’une ligne téléphonique ouverte 24 heures sur 24 pour les policiers en souffrance (01 80 15 47 09).
    >> A lire aussi: Comment les familles tentent de se reconstruire après le suicide d'un proche
    Mots-clés :

    dimanche 5 novembre 2017

    Un jeune homme décède sur l’A35 dans un accident de moto-école

    Suivi par un moniteur circulant en auto-école, avec lequel il pouvait communiquer par liaison radio, un élève de moto-école a percuté l’arrière d’une voiture roulant sur la voie rapide, d’après les premières constatations des gendarmes du peloton motorisé de Sainte-Croix-en-Plaine. Le jeune motard, un habitant de Pfastatt âgé de 19 ans, aurait alors chuté, et la Honda aurait glissé sur une cinquantaine de mètres.
    L’auto-école, la voiture percutée, mais aussi plusieurs autres véhicules se sont immédiatement arrêtés. En attendant l’arrivée des secours, ces témoins ont tenté de protéger au mieux la zone d’accident, et deux médecins qui passaient par là par hasard ont pratiqué un massage cardiaque sur la victime. Malgré l’intervention des pompiers et du Smur qui ont pris le relais, les tentatives de réanimation sont restées vaines.
    Le conducteur de la Renault percutée à l’arrière, un habitant de Logelheim âgé d’une quarantaine d’années, n’a pas été blessé. Les gendarmes ont bien sûr recueilli sa déposition, ainsi que celle du moniteur, pour tenter de mieux comprendre les circonstances du drame. Le temps pour les secours d’intervenir, puis de procéder aux constatations, les deux voies de circulation ont été bloquées pendant deux heures. Jusqu’à 15 h, la circulation n’a été possible que sur la bande d’arrêt d’urgence, ce qui a entraîné un bouchon d’une demi-douzaine de kilomètres
    Faits divershttp://www.dna.fr/faits-divers

    vendredi 3 novembre 2017

    Grenoble: un neurochirurgien se tue au CHU

    Un neurochirurgien de 36 ans s'est suicidé dans le centre hospitalier universitaire de Grenoble, après avoir laissé une lettre invoquant des motifs personnels, selon des sources concordantes.
    La direction du CHU a fait part, dans un communiqué, du "décès brutal d'un neurochirurgien dans la nuit de mercredi à jeudi survenu dans les blocs opératoires de l'hôpital Michallon". Selon plusieurs sources, il s'agirait d'un suicide. L'une d'elle évoque une longue lettre dans laquelle ce père de trois enfants invoque des causes personnelles et non professionnelles.
    Le corps de ce chirurgien spécialiste en neurochirurgie pédiatrique, qui avait travaillé à Necker-Enfants malades avant de revenir à Grenoble, a été découvert vers 7h00 du matin. Selon les premières constatations, le médecin aurait absorbé des médicaments pour mettre fin à ses jours.
    "C'est un choc pour tout le monde à l'hôpital", a confié un confrère. Le médecin était "très apprécié par l'ensemble des équipes et reconnu par les étudiants comme un excellent enseignant", a souligné la direction de l'hôpital, qui parle de "circonstances tragiques". Toute la communauté hospitalière est "très affectée" par la disparition de "ce grand professionnel".
    Une cellule d'urgence médico-psychologique a été activée.

    Flash Achttp://www.lefigaro.fr/flash-actu/

    jeudi 2 novembre 2017

    Meurtre d'Alexia: «On revit toute la nuit ce qu'elle a pu vivre», confie le père de la joggeuse

    Le père d’Alexia Daval s’est livré devant le bar PMU de Gray qu’il gère avec sa femme, en Haute-Saône. « On revit toute la nuit ce qu’elle a pu vivre, en espérant qu’elle n’a pas souffert », confie-t-il dans une interview à RTL diffusée ce jeudi matin, après la mort de sa fille de 29 ans, disparue lors d’un footing le long de la Saône samedi matin.
    « On tient le coup par rapport à toutes les affections qu’on nous porte, témoigne-t-il, en pleine lecture de messages de soutien reçus avec des fleurs et des bougies, d’après nos confrères. Mais c’est l’inacceptable qui est arrivé, le drame le plus complet, commis par un monstre ou des monstres. […] On avait une lueur d’espoir, mais on l’a perdue. »

    L’enquête se poursuit, une autopsie ce jeudi

    Après la découverte d’un cadavre retrouvé brûlé sous des feuillages dans le bois de Velet-Esmoulin lundi, le procureur de la République de Vesoul, Emmanuel Dupic, a annoncé mercredi qu’il s’agissait bien du corps d’Alexia Daval, après l’exploitation ADN des constatations envoyées à un laboratoire de police technique et scientifique.
    « On est dans le deuil, on attend avec impatience qu’on nous rende le corps d’Alexia, témoigne encore son papa. On est obligé de le tenir, le choc. On a encore un travail devant nous, un travail pour elle, puis un travail pour sa sœur, pour continuer à vivre, tout simplement. […] C’est monstrueux, c’est des gens qui sont irresponsables, qu’on voudrait voir vite derrière les barreaux. »
    L’enquête se poursuit. Les enquêteurs suivent différentes pistes. Des auditions ont eu lieu. Mais aucun suspect n’a pour l’heure été identifié. Un nouvel appel à témoins a par ailleurs été diffusé. Et une autopsie doit avoir lieu ce jeudi à Besançon.
    M