samedi 30 décembre 2017

Un homme décède au centre hospitalier, coincé entre deux véhicules

Un homme de 44 ans est décédé ce matin, vers 8h30, au centre hospitalier spécialisé de Rouffach, sur son lieu de travail.
Selon les premiers éléments de l’enquête menée par la gendarmerie, il venait de stationner son véhicule utilitaire sur une portion en légère pente, à proximité du pavillon 20 où il devait prendre son service. L'homme a alors commencé à marcher quand, pour une raison inconnue, son véhicule s’est mis à avancer vers lui, le coinçant contre une voiture garée juste à côté.
Malgré les interventions des sapeurs-pompiers et du Smur, il n’a pu être ranimé.
La victime ne travaillait pas directement pour le CHS, comme annoncé dans un premier temps, mais était employée par l'association Access, hébergée actuellement par l'hôpital.
Secteur de Rouffach http://www.dna.fr/edition-de-guebwiller/secteur-de-rouffach

jeudi 28 décembre 2017

Millas: l'avocate des familles demande des expertises effectuées rapidement

L'avocate de certaines familles de victimes de l'accident de Millas (Pyrénées-Orientales) a réclamé que les expertises sur le fonctionnement du passage à niveau, où la collision entre un car scolaire et un train a fait six morts et plusieurs blessés le 14 décembre, commencent rapidement.
"Le magistrat instructeur a demandé des expertises, mais pour l'instant aucune n'a été faite", a indiqué Me Jehanne Collard à l'AFP. "Il s'agit de vérifier si le feu était allumé et si le signal sonore a fonctionné. Il faut que c
Une troisième famille s'est jointe aujourd'hui à la constitution de partie civile, a précisé Me Collard. La conductrice du car scolaire a été mise en examen le 20 décembre pour "homicides et blessures involontaires par imprudence" et placée sous contrôle judiciaire, avec notamment l'interdiction de conduire.
Elle a toujours assuré avoir vu les barrières du passage à niveau levées. Sa version contredit les premières "constatations matérielles" dont avait fait état le procureur de Marseille et qui allaient "plutôt dans le sens d'une barrière (du passage à niveau) fermée", tout comme les témoignages du conducteur du TER et des chauffeurs des véhicules qui se trouvaient de l'autre côté de la voie.
La conductrice affirme que le feu et la sonnerie ne fonctionnaient pas au moment où elle est passée. "C'est possible, d'où l'importance des résultats de l'expertise", selon Me Jehanne Collard, estimant que si c'est le cas, cela met "en cause aussi la SNCF". Lancée il y a sept jours, une pétition en soutien à la conductrice était sur le point de rassembler 50.000 signatures aujourd'hui à 15h00.
es expertises soient effectuées très rapidement", a-t-elle expliqué.
  1. Actualité
  2. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

mercredi 27 décembre 2017

Collision de Millas: Des familles de victimes reçues par le préfet des Pyrénées-Orientales

La douleur toujours, mais aussi des questions et des critiques… Des familles de victimes de la collision mortelle entre un car scolaire et un train le 14 décembre ont été reçues mardi par le préfet des Pyrénées-Orientales et certaines se sont constituées partie civile pour avoiraccès au dossier judiciaire.


Les critiques des parents de victimes seront prises en compte


Accompagné par le recteur d’académie, il a reçu « individuellement et à leur demande cinq familles endeuillées » et « leur a rappelé les efforts déployés (…) par l’ensemble des services de soins et de secours, qui ont entrepris tout leur possible pour sauver des vies », selon un communiqué de la préfecture.

Il a souligné que « l’équipe de direction, les médecins et les soignants du centre hospitalier de Perpignan avaient veillé à ce que l’information aux familles des enfants décédés se fasse de manière digne et individualisée, avec la possibilité d’un soutien psychologique immédiat ».

Le préfet et le recteur « ont entendu et pris en compte les remarques des familles sur les maladresses qu’elles ont pu ressentir à l’occasion de l’annonce du décès de leur enfant et dans les jours qui ont suivi ». « Un retour d’expérience approfondi » sera effectué « afin d’apporter, là où cela est possible, les améliorations utiles », a ajouté le préfet, souhaitant « associer les familles à cette réflexion de manière à ce que leur voix soit entendue ».

Deux semaines après la tragédie, la douleur reste vive


Ces rencontres, fermées à la presse, ont eu lieu à la mairie de Saint-Féliu-d’Avall, village d’où étaient originaires les victimes, dont les six collégiens tués. Les familles n’ont fait aucune déclaration.
​L'association France Victimes s’est aussi installée à la mairie pour assister les victimes, tout comme la Fenvac (Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs) et l’assureur du transporteur, Axa.

Près de deux semaines après la tragédie, la douleur reste vive. Les familles, dont au moins deux se sont constituées partie civile mardi à Marseille, ont « le sentiment d’avoir été abandonnées » lors du drame, avait affirmé samedi leur avocate Me Jehanne Collard.
Elle a cité l’exemple d’une de ses clientes, à qui la mort de son enfant venait d’être annoncée, mais dont le corps était à Montpellier. Après plusieurs heures d’attente, « elle est partie à Montpellier et personne ne l’a accompagnée ».

Répondant sur RTL à l’indignation de cette mère, Élisabeth Pelsez, déléguée interministérielle à l’aide aux victimes, a jugé mardi « tout à fait normal pour cette maman de dire que le temps lui a paru immensément long et que pendant tout ce temps-là elle a dû être désespérément seule avec sa douleur ». « Il y avait autour d’elle du personnel hospitalier, il y avait des personnes chargées de la prise en charge psychologique, mais je pense qu’il faut encore mieux faire », a poursuivi Mme Pelsez.

La conductrice du bus soutenue par une pétition


Sur le plan judiciaire, Me Collard avait évoqué samedi « au conditionnel », le fait que la conductrice du car ait pu être « sous l’emprise d’antidépresseurs, d’anxiolytiques ». Le procureur de Marseille a répondu mardi à l’AFP qu’il n’y avait pas «à ce stade de l'enquête de lien de causalité entre les médicaments pris par la conductrice du car pour dormir» et la collision avec un TER. Selon lui, elle prenait ces médicaments « depuis des années ».

La conductrice a été mise en examen le 20 décembre pour « homicides et blessures involontaires par imprudence » et placée sous contrôle judiciaire avec notamment l’interdiction de conduire. Elle a toujours assuré avoir vu les barrières du passage à niveau levées. Sa version contredit les premières « constatations matérielles » dont avait fait état le procureur de Marseille et qui allaient « plutôt dans le sens d’une barrière (du passage à niveau) fermée », tout comme les témoignages du conducteur du TER et des chauffeurs des véhicules qui se trouvaient de l’autre côté de la voie.

Lancée il y a cinq jours, une pétition en soutien à la conductrice rassemblait mardi à 20h30 plus de 26.000 signatures.

Mots-clés :


mardi 26 décembre 2017

Montpellier: Un vigile du marché de Noël meurt écrasé par le véhicule de son collègue lors d'un jeu qui tourne mal

Le matin de Noël, les deux agents de sécurité du marché de Noël de Montpellier démarrent leur service à 8h30. Les allées autour de la place de la Comédie sont désertes et, par amusement, l’un des deux monte sur le capot du véhicule que l’autre conduit, raconte France Bleu Hérault.

Mais les choses tournent mal, l’homme de 27 ans tombe du capot et se fait écraser.

Les secours n’ont pas réussi à le réanimer


Selon des témoins, le conducteur accélérait et freinait brusquement avant que son collègue ne tombe. Les pompiers arrivés sur place n’ont pas réussi à le réanimer. Le conducteur d’une vingtaine d’années lui aussi a été placé en garde à vue.

Son test d’alcoolémie est négatif. Une enquête a été ouverte pour homicide involontaire.


Millas: une pétition soutient la conductrice du car

Des milliers de personnes ont signé une pétition de soutien à la conductrice du car scolaire  percuté par un TER à Millas, (Pyrénées-Orientales), le 14 décembre, indique France info.
Mardi matin peu avant 10h, près de 9000 personnes avaient "signé" le texte ci-dessous, dont nous avons corrigé les nombreuses fautes d'orthographe initiales : "Soutient à Nadine conductrice du car de Millas accusée à tort par l´Etat français ! Plusieurs témoignages d’habitants de Millas et ses alentours ont affirmé que les barrières dysfonctionnaient ! Merci de partager au maximum".
Dans cette enquête, la conductrice du car est mise en examen pour "homicides et blessures involontaires" par imprudence, ce qui a conduit à la mort de 6 enfants. 
"Ce qui lui arrive a touché tous les chauffeurs de bus et de poids lourds. Il faut plutôt la soutenir, tant qu'on ne sait pas ce qui s'est réellement passé, il ne faut pas juger. Le décès des enfants, elle va y penser toute sa vie. Ce sera dur pour elle, on l'accuse un peu trop vite", témoigne Flora, au micro de France Bleu Roussillon,  signataire de la pétition et créatrice également d'une page de Facebook de soutien à la conductrice du car.  
Du côté des familles qui ont perdu leurs enfants dans la collision, ils vont se constituer partie civile. Leur avocate, Jehanne Collard, va déposer une demande en ce sens à Marseille, où est instruit le dossier. 
  1. Flash Actu http://www.lefigaro.fr/flash-actu/

lundi 25 décembre 2017

Il tue sa femme avant de se suicider

Samedi matin, un homme de 82 ans a abattu son épouse de 89 ans avant de retourner l'arme contre lui et de se donner la mort.
Le drame s'est produit dans la maison de Ploemeur (Morbihan) où le couple d'octogénaires vivait depuis plusieurs années, précise Ouest-France.

La femme tuée sur le coup

Pour une raison qui reste à déterminer, l'homme a tiré à bout portant sur son épouse avec un fusil de chasse, la tuant sur le coup. Il a ensuite mis fin à ses jours. Une enquête a été ouverte.
A la Unehttp://www.dna.fr/

Il met fin à ses jours juste avant Noël

Police secours, sapeurs-pompiers et médecin du Samu (Service mobile d’urgence et de réanimation) d’Epinal sont intervenus ce dimanche soir, peu avant minuit, dans un immeuble du centre-ville d’Epinal. Un homme, âgé de 48 ans, avait décidé de mettre fin à ses jours par pendaison. A l’arrivée des secours, il était trop tard pour tenter une réanimation.
Le quadragénaire, célibataire, sans enfant et vivant seul n’aurait pas supporté le décès récent de sa sœur et la solitude au moment des fêtes de Noël.
L’hypothèse du suicide ne fait aucun doute.
Il met fin à ses jours juste avant Noëhttp://www.estrepublicain.fr/actualite/2017/12/25/il-met-fin-a-ses-jours-juste-avant-noell

dimanche 24 décembre 2017

Une femme retrouvée morte sur la bande d’arrêt d’urgence à Metz

Ce dimanche matin, le corps d'une femme de 51 ans a été retrouvé par les CRS de l'autoroute, sur la bande d'arrêt d'urgence de la rocade Est de Metz, d'après nos confrères du Républicain Lorrain. La victime, qui a été retrouvée au volant de sa voiture, était en train de rentrer chez elle dans le secteur de Freyming-Merlebach. après avoir tenu son poste à l'hôpital de Mercy. Une enquête est en cours afin de connaître la cause du décès, même si la thèse d'un malaise est pour le moment privilégiée


Une femme retrouvée morte sur la bande d’arrêt d’urgence à Metzhttp://www.estrepublicain.fr/actualite/2017/12/24/une-femme-retrouvee-morte-sur-la-bande-d-arret-d-urgence-a-metz

Après un contrôle de gendarmerie, un homme décède dans son ascenseur

A t-il ressenti un trop gros coup de stress après son contrôle de gendarmerie? Était-il en proie à des problèmes cardiaques antérieurs? Toujours est-il qu'un Cannois âgé de 55 ans est décédé dans son ascenseur samedi 23 décembre vers 15h.


L'homme avait été contrôlé peu avant par les gendarmes du PSIG, en poste de surveillance sur l'avenue des Anglais, alors qu'il roulait sans casque sur son scooter.
Démuni de papiers, le contrevenant s'est rendu chez lui accompagné d'un militaire, au 58 boulevard Carnot. En pleine ascension vers le septième étage, le malheureux a été pris d'un malaise.
Malgré les efforts prodigués par le gendarme pour le maintenir en vie et l'arrivée imminente des pompiers, l'homme est décédé quasiment sur son pallier


samedi 23 décembre 2017

Accident mortel sur la RD 500

Un accident a eu lieu ce matin vers 7 h sur la RD 500, entre Molsheim et Obernai, à hauteur de la bretelle de sortie de Rosheim.
La personne qui se trouvait à bord du véhicule est décédée.
Les pompiers de Molsheim et les gendarmes du peloton motorisé d'Ebersheim sont intervenus sur place.
Rosheimhttp://www.dna.fr/edition-de-obernai-barr-rosheim/rosheim


mercredi 20 décembre 2017

Haute-Loire : interpellé par les gendarmes, il meurt dans l'accident de leur véhicule

Un jeune homme de 22 ans est décédé mardi 19 décembre au soir après son interpellation par la gendarmerie, rapporte L'éveil de la Haute-Loire. Arrêté par les gendarmes pour trouble de l'ordre public, le jeune homme était assis à l'arrière du véhicule des forces de l'ordre, impliqué dans un accident avec un autre véhicule.

L'accident est survenu vers 20 heures, sur une route départementale entre Tence et Chambon-sur-Lignon, comme le rapporte le quotidien régional. Les gendarmes roulaient en direction de Chambon-sur-Lignon lorsque leur véhicule, un Peugeot Partner, aurait dérapé dans un virage à droite. Une voiture arrivant en face aurait alors percuté le véhicule dans un violent choc latéral. En arrêt cardio-respiratoire, la victime n'a pas pu être ranimée par les secours. 

Trois gendarmes ont été blessés dans l'accident et transportés à l'hôpital de Firminy. Les trois occupants de l'autre voiture impliquée sont indemnes. Au moment de l'accident, les forces de l'ordre ramenaient l'interpellé au domicile de ses parents.